#bécasse
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prosedumonde · 2 years ago
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La peur […] c’est quelque chose d’effroyable, une sensation atroce, comme une décomposition de l’âme, un spasme affreux de la pensée et du coeur, dont le souvenir seul donne des frissons d’angoisse. Mais cela n’a lieu, quand on est brave, ni devant une attaque, ni devant la mort inévitable, ni devant toutes les formes connues du péril : cela a lieu dans certaines circonstances anormales, sous certaines influences mystérieuses, en face de risques vagues. La vraie peur, c’est quelque chose comme une réminiscence des terreurs fantastiques d’autrefois.
Guy de Maupassant, Contes de la bécasse • La Peur
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philoursmars · 11 months ago
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Marseille. Le Palais Longchamp abrite deux musées, ici le Muséum d'Histoire Naturelle.
Sabre argenté
Aiguillat commun
Requin-marteau
Espadon, Bécasse de mer, Liche Vadigo...
Lézard ocellé
fossiles de Dapalis minutus - Oligocène, Aix-en-Provence
œufs de Dinosaures - Rognacien, Bassin de Marseille
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phytine · 2 years ago
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Je regarde Marie-Antoinette (Canal+) et dieu qu'elle a l'air gaudiche dans le premier épisode ça me tue.
En vrai ce qui me tue vraiment c'est la manière dont toute son arrivée est mise en scène. C'est vraiment pauvre petite chose innocente face à ces viles français.
Et je ne dis pas que les français étaient sympathiques ou quoi, mais il y a un moment, j'ai juste envie de lever les yeux au ciel.
Je sais bien qu'elle n'était pas celle qui était destinée à épouser le dauphin. Mais n'y aurait il pas eu moyen de la former un peu mieux ? Parce que là, moi je comprends un peu l'ensemble de la Cour qui pense qu'elle est gourde.
Ah et quand elle se plaint pour le chien et qu'elle le dit à l'ambassadeur qui se dit qu'il va se plaindre par voie diplomatique... Non mais c'est même ses fringues qui auraient dû lui être enlevées aussi. L'épouse doit abandonner tous les biens de son pays d'origine pour entrer dans celui qui va devenir le sien. Tradition de l'Ancien Régime.
Et puis alors le coup de la bague, mais mon dieu...
Non vraiment, j'allais dans cette série plutôt motivée, mais là... Y'a au moins 20 raisons pour lesquelles on devrait avoir un incident diplomatique.
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the-roo-too · 1 year ago
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I swear you're just deleting my asks now 😭
-👻
roo sickoo im barely online rn 🩻
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aquamarineglow · 3 months ago
Note
Do you know about the French translation of PL. Do you know Bishop and Rook are called Buse and Bécasse, meaning "Buzzard" and "Woodcock" because French Targent has a bird theme going, but also both words are slang for "moron"
(Listen to French Descole too) (as a treat) (in the games) (they changed his VA in the movie) (terrible choice)
This is hilarious but can you believe the disrespect!
Imagine starting your first day at work and your boss says, "Welcome to Targent. From now on you will be known as Idiot and Moron."
On a more serious note, I love how each version of Azran Legacy sticks to the bird theming, but chooses birds that have different meanings.
UK Azran Legacy calls them Rook and Bishop, which are birds but also chess pieces to show that they are only seen as pawns by Targent.
French Azran Legacy calls them Buse and Bécasse to show that they aren't very smart.
Spanish Azran Legacy calls them Tort and Olito, which combines to make Tortolito, showing that they literally complete one another.
Idk I think it's neat.
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mel-et-ses-histoires · 1 year ago
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Se faire tremper par la pluie parce qu'on est bécasse et que les parapluies ça se gardent au placard : check.
Constater qu'un soutif de couleur plus foncé que son haut quand on est trempée ce n'est pas optimal : check
Moi : non bien sûr que je vais garder ma blouse fermée aujourd'hui, ça va il fait moins chaud.
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de-gueules-au-lion-d-or · 1 year ago
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La nature, un joli mot et souvent une illusion ! Qu’est-ce donc au juste ? La rose, éclose ce matin dans mon jardin, est-elle la nature ? Oui et non. Oui, pour cette raison qu’elle pourrait peut-être vivre et se renouveler sans mon secours. Non, dans la mesure où elle est une « fabrication » de jardiniers savants, sans qui elle ne serait pas ce qu’elle est. Alors, qu’est-ce que la nature ? Réponse : c’est ce qui existe et vit de son propre mouvement, sans l’intervention humaine ou malgré elle. Selon la définition d’Aristote, c’est ce qui possède en soi son principe de devenir. Le vent, les marées, les vipères, les bécasses, les chevreuils, les guêpes, les renards, les friches, le ruissellement de l’eau après la pluie sont de la nature. Mais ni le massif de roses, ni le champ de blé transgénétique, ni le verger aseptisé ne sont plus tout à fait de la nature et ils le seront de moins en moins. Ils sont de la nature domestiquée, sous perfusion, la seule que les humains tolèrent.
Jour après jour, des chercheurs pénètrent quelques nouveaux secrets, se substituant à la nature pour l’exploiter, la contraindre ou la changer. Hier, clonage d’une brebis, aujourd’hui fécondation d’un souris sans père… Il est intéressant de savoir par quel processus mental nous en sommes arrivés à ce point. Pour cela nous pouvons nous référer à l’étude de Pierre Hadot, Le Voile d’Isis. Essai sur l’idée de Nature (Gallimard, 2004). Cette étude explore l’idée contrastée que les Européens se sont faits de la Nature depuis 3000 ans. Rappelons que Pierre Hadot a été le titulaire de la chaire de philosophie antique au Collège de France, auteur entre autres de La philosophie comme manière de vivre (Livre de Poche, 2003).
Dans Le Voile d’Isis, pour rendre compte de nos relations avec l’idée de nature, Pierre Hadot examine les interprétations successives données au célèbre aphorisme d’Héraclite : « La Nature aime à se cacher ». Cet examen commence avec Homère, deux siècle au moins avant Héraclite. C’est en effet dans l’Odyssée que l’on trouve pour la première fois le mot et le concept de nature que les Grecs nomment physis (d’où vient physique). Chez Homère et dans la pensée grecque avant Platon, le mot physis (nature) désigne la force animatrice du cosmos et de la vie : la nature d’un végétal, celle d’un animal ou celle d’un homme. La physis est toujours nature de quelque chose.
A partir de Platon et d’Aristote, le mot change de sens. Il désigne moins la force que son résultat. Et la Nature, désormais dotée d’une majuscule, se personnalise, devenant en quelque sorte synonyme de l’univers (cosmos) et de son principe organisateur. Ainsi l’adage d’Héraclite prendra-t-il la signification désormais courante : la Nature porte en elle des « secrets » devant lesquels les hommes se divisent. Les uns veulent les percer avec plus ou moins de curiosité et de violence, les autres tiennent à en respecter le mystère et en faire une source de joie et de sagesse. Pour caractériser ces deux dispositions qui ont traversé l’histoire de la pensée européenne, Pierre Hadot s’appuie sur les mythes de Prométhée et d’Orphée. Voyant dans la Nature une ennemie et plus tard une matière désenchantée, le premier cherche à lui faire avouer ses secrets pour la transformer en instruments de puissance. L’autre mythe, celui d’Orphée, s’élève contre cette violence « contre nature », préconisant avec Lucrèce, Spinoza, Goethe ou Nietzsche de se fondre dans son immanence et d’en respecter la « pudeur ».
Contrairement à la légende, les hommes sont rarement les amis de la Nature. Sauf les peuples chasseurs. En Europe, ceux-ci nous ont laissé le témoignage admirable des grottes ornées de représentations animales. Le plus souvent, les hommes se défient de la Nature. Ils en ont peur, même quand ils prétendent la protéger. La Nature, les hommes d’aujourd’hui l’aiment éventuellement dans les poèmes ou dans les jardins ratissés, c’est-à-dire dans sa négation. Quand elle est vraie, vivante, sauvage, inquiétante, ils la fuient, la combattent et la détruisent. Elle leur répugne et les effraye.
La Nature nous angoisse, et pas seulement par ce qu’elle révèle de redoutable : la nuit, seul en forêt, en mer ou en montagne dans la tempête. La Nature nous angoisse surtout parce qu’elle est inexplicable. Elle est réfractaire à notre entendement. Elle échappe au principe de raison qui veut que toute chose ait une raison d’être qui l’explique. Pourquoi le monde ? Parce que… dieu par exemple. Pourquoi Dieu ? Parce que le monde… Mais qu’est-ce qui nous prouve que la raison ait raison ? Pourquoi le mystère du monde se laisserait-il percer par la petite raison des hommes ? Comment et pourquoi pourrions-nous tout comprendre, tout expliquer, puisque ce « tout » nous précède, nous contient et nous dépasse ?
Ce qui nous déroute et nous inquiète c’est que la Nature ne poursuit aucun but. Elle ne nous écoute pas. Elle ne nous demande rien. Elle ne s’occupe pas de nous. Elle n’a pas été créée pour nous. Mais elle nous englobe. Elle est libre. Rien d’extérieur à elle ne la gouverne. Selon le mot de Lucrèce, elle est à la fois incréée et créatrice. Elle est sans pensée, sans conscience, sans volonté.
Nul n’a mieux traduit l’angoisse et même l’horreur de la Nature que Jean-Paul Sartre dans son roman philosophique La Nausée (1938). On sait que, dans un court essai publié en 1946, Sartre définissait son existentialisme comme un humanisme. Par humanisme, il entendait une forme de cartésianisme qui pose l’homme au centre de la création. La certitude du « Je pense, donc je suis » est pour lui la base de l’existentialisme. « Mais pourquoi est-ce que je pense ? » Son existentialisme affronte à cet instant le caractère injustifiable de l’existence. Reprenant l’interrogation de Leibniz, il répond : il n’y a aucune raison pour qu’il y ait quelque chose plutôt que rien. Sartre est un rationaliste désenchanté.
Roquentin, héros existentialiste de La Nausée, reste cartésien. Mais, comme Sartre, c’est un rationaliste révolté. Il découvre en effet que la raison ne peut répondre de l’existence concrète. La galet que Roquentin tient dans sa main en se promenant le long du rivage fait naître en lui la nausée. Il aura beau définir les propriétés du galet, sa composition minérale, sa couleur, sa forme et autres abstractions, son existence reste totalement inexplicable. Pourquoi un galet plutôt que rien ?
Cependant, pour un humaniste exaspéré comme Roquentin, un galet est moins irritant qu’un arbre. La crise nauséeuse de Roquentin atteint son sommet pendant sa promenade dans un parc où il rencontre un marronnier. Le silence de l’arbre, sa pose immuable, ses racines dans le sol, ses branches dans le ciel, son refus implicite de réduire son existence à un concept, tout cela offense Roquentin, l’emplit de dégoût. Accablé par l’examen d’une racine du marronnier ; Roquentin lui donne un coup de pied, sans parvenir à entamer l’écorce.
Pour un esprit rationaliste, un galet est philosophiquement opaque. Un arbre l’est encore plus. Roquentin est enfermé dans les limites de la conscience humaine, au-delà desquelles existe la Nature, indépendante, autonome, indifférente. Or, ce qui échappe au monde de l’intelligibilité humaine, de l’intelligibilité mathématique, le terrifie. Roquentin est donc condamné à la ville, ultime forteresse de l’humanisme et de la rationalité. Dans une ville, si l’on choisit ses heures, on ne rencontre que des minéraux, les moins inquiétants des existants. Mais Roquentin sent qu’un jour, comme dans les prédictions de Vico, la végétation triomphera de la ville. Cela le remplit de terreur.
Ce qui est horreur pour Sartre est joie pour Giono. Le contraste entre l’imaginaire de ces deux écrivains souligne celui de deux façons opposées de percevoir la Nature. Dans une nouvelle datée de 1932, le romancier du Chant du monde se laisse aller à un rêve un peu fou qu’il ne faut pas prendre pour une anticipation, mais pour une songerie panthéiste : « Il n’y aura de bonheur pour vous que le jour où les grands arbres crèveront les rues, où le poids des lianes fera crouler l’obélisque et courbera la Tour Eiffel ; où, devant les guichets du Louvre on n’entendra plus que le léger bruit des cosses mûres et des graines sauvages qui tombent ; le jour où, des cavernes du métro, des sangliers éblouis sortiront en tremblant de la queue… » (Solitude de la pitié, 1932).
A la suite de Leibniz, Sartre s’inquiète jusqu’à la nausée de ne pouvoir expliquer le pourquoi du monde. Pourquoi y a‑t-il quelque chose au lieu de rien ? Giono, lui, regarde le monde. Il ne le pense pas, il ne l’interroge pas, il le perçoit et le goûte. Il ne tente pas de l’enfermer dans un discours. Il se promène, il contemple. Il se laisse pénétrer par cette évidence, cet émerveillement : il y a quelque chose, et non pas rien ! Ce quelque chose est sans “pourquoi”. On songe à la fin de L’Etranger, roman pourtant très nihiliste d’Albert Camus, dont le héros, à la veille de mourir, éprouve une sensation inattendue : « La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée… »
Nous avons tous vécu, je l’espère (et les chasseurs peut-être plus que d’autres), de tels instants de plénitude dans la contemplation de la Nature. C’est ce que Romain Rolland appelait le « sentiment océanique ». Un sentiment d’union indissoluble avec la Nature, ce que les lointains Orientaux appellent « le grand Tout ». Ce n’est souvent qu’un sentiment. Mais il arrive que ce soit plus. Que ce soit une expérience bouleversante, un état modifié de la conscience. Expérience de l’unité entre soi et la Nature.
La contemplation des arbres, de la forêt, de la montagne, de la mer ou du ciel étoilé, rend l’ego dérisoire. « Quel calme, soudain, quand l’ego se retire ! » (Comte-Sponville). Il n’y a plus que l’être immense de la Nature au sein de laquelle on se sent immergé. Dans son livre La Mystique sauvage (PUF, 1993), Michel Hulin caractérise cette expérience par « le sentiment d’être présent ici et maintenant au milieu d’un monde lui-même intensément existant. »
Les hommes ne sont pas pour autant des pierres ou des animaux. Le sentiment d’être uni à la Nature ne signifie pas que l’on se fond dans un chaos indistinct. Mais bien au contraire que l’on observe les distinctions de la Nature. Au début de la Théogonie, Hésiode montre fortement que la vie, sans ordre, se détruit. Zeus et les dieux olympiens, figures du principe d’ordre, sont venus ordonner le cosmos pour permettre la vie. Et celle-ci fonctionne par distinction et séparation.
Commentaires de Paul Mazon dans sa traduction de la Théogonie (Belles Lettres, 1982) : « La force mystérieuse qui fait naître la vie, si rien ne vient la régler et la contenir, ne crée que confusion et mort : elle détruit aussitôt ce qu’elle vient de mettre au jour. » C’est le sens du mythe d’Ouranos, puis de sa mutilation par Cronos, enfin de la victoire de Zeus sur ce dernier.
A l’instar des dieux eux-mêmes qui ne sont pas extérieurs à la création et sont le reflet du cosmos, les hommes sont des êtres de la Nature, dont ils ne peuvent être isolés. C���est ce que manifeste Homère dans quelques vers célèbres de l’Iliade : « Comme naissent les feuilles, ainsi font les hommes. Les feuilles, tour à tour, c’est le vent qui les épand sur le sol, et la forêt verdoyante qui les fait naître quand se lèvent les jours du printemps. Ainsi des hommes : une génération naît à l’instant même où une autre s’efface » (Iliade, VI, 146).
Dans les temps anciens, chantés par Hésiode, Homère ou Ovide, les ancêtres des Européens respectaient la Nature, même s’ils en craignaient les dangers. Ils avaient la conscience intime de l’unité du monde ressenti comme une harmonie de conflits. Ils se savaient eux-mêmes dépendants des forces qui en commandent les équilibres. La Nature avait une âme. Elle était animée. Elle manifestait en toute chose son universelle divinité. Les bois, les landes et les sources étaient peuplés de nymphes, de farfadets ou de fées. Et les hommes en respectaient la sacralité.
Dans une des plus fameuses légendes du Nord, ayant tué le dragon et goûté son sang, Sigurd comprend le chant des mésanges. Nos mythes et nos rites cherchaient une coïncidence entre les œuvres humaines et l’image d’un cosmos ordonné. La disposition circulaire du temple solaire de Stonehenge reflétait ainsi l’ordre du monde, symbolisé par la course du soleil, son éternel retour à la fin de la nuit et à la fin de l’hiver. Elle figurait l’anneau de la vie unissant la naissance à la mort. Elle représentait aussi le cycle éternel des saisons.
Malgré les ruptures avec cet ordre ancien introduites par le christianisme, la construction des églises romanes ou gothiques répondait encore aux anciens symbolismes. Bâties sur d’antiques sites sacrés, elles en assuraient la perpétuation. Elles continuaient d’être « orientées » par rapport au soleil levant, et leurs sculptures étaient toutes bruissantes d’un bestiaire fantastique. Dans son impressionnant jaillissement, la futaie de pierre des nefs gothiques était la transposition des anciennes forêts sacrées.
Pourtant la rupture fondamentale cheminait, qui dissociait les humains de la nature et postulait l’idée vaniteuse et peu sensée que l’univers avait été créé pour les hommes seuls. En définissant l’homme comme « maître et possesseur de la nature », en voyant dans les animaux des « machines », Descartes ne fit que théoriser ce qu’avait préparé la séparation d’avec la nature inhérente aux religions monothéistes. Il exprimait la logique du nihilisme, anticipant sur l’arrogance technique et la manipulation du vivant. Il annonçait l’univers de la mégapole universelle, édifié sur la haine de la Nature.
Plus l’homme est « moderne », c’est-à-dire urbanisé, plus sa détestation de la Nature grandit. Il croit aimer les animaux en condamnant par exemple les chasseurs, sans voir qu’il obéit ainsi à une morale compassionnelle étrangère à la nature. Sans comprendre que la mort fait partie de la vie. Sans savoir de surcroît que, dans la Nature, la mort de l’animal sauvage est toujours cruelle, rongé qu’il est par des parasites et la maladie, dévoré vivant par des prédateurs. La mort foudroyante en plein vol, en pleine course ou au repos, sous les plombs ou la balle du chasseur, oui, cette mort donnée est autrement clémente.
En réalité, ce que l’homme « moderne » déteste dans le chasseur, sans d’ailleurs bien tout comprendre, c’est la part d’animalité, de vraie nature et de sauvagerie encore préservée en lui.
Dominique Venner
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mmepastel · 11 months ago
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Nouvelle lecture de Tarjei Vesaas, pour ce qui est estimé être son chef-d’œuvre, écrit en 1957 ; encore une fois, j’ai lu la version que je pouvais, c’est �� dire la précédente, de Régis Boyer, et non pas celle, toute neuve proposée par les éditons Cambourakis.
Quel livre ! Pas de ceux qu’on oublie, je le devine déjà.
Mattis est considéré comme l’idiot du village, alors qu’il vit auprès de sa sœur qui assure la survie du duo, avec patience, silences, quelques pointes de lassitude et beaucoup d’abnégation -on devine les sacrifices qu’elle a dû consentir pour assumer ainsi son frère et vivre ainsi dans une campagne isolée, en tête-à-tête avec son frère aimé mais différent.
La narration, bien qu’à la troisième personne, est plongée dans l’intériorité de Mattis, et comme avec les fillettes du Palais de Glace, l’auteur s’applique à restituer du mieux possible le chaos sensible qu’est la psyché du mal nommé « simple d’esprit » ; car rien n’est simple dans son esprit. Tout est complexe, mouvant, inquiétant. Il se sent et se sait inadapté, il perçoit ses défaillances, et lutte constamment pour les dissimuler ou supporter les vexations qu’elles engendrent. C’est très douloureux et touchant à lire.
A dire vrai, je connais quelqu’un comme ça, que mon travail me force à fréquenter régulièrement. Il souffre en effet, et comme le héros du récit, il arrive qu’il s’agace parce qu’on ne « comprend rien » ! Et non , en effet, le langage échangé entre nos logiques de gens « futés » (dirait Mattis) et la sienne débouchent la plupart du temps sur l’incompréhension.
Et pourtant, Mattis est ultra sensible. Il n’arrive pas à grand chose, mais il perçoit les choses et s’émeut de la nature, particulièrement des oiseaux, il perçoit tout comme un présage, notamment une bécasse qui passe au-dessus de sa maison. Il perçoit les moqueries, il perçoit la beauté, l’amour qui lie les gens. Il a peur que sa sœur ne l’abandonne, un jour. Il est assoiffé d’affection, mais enfermé dans sa solitude. La bonté de certains lui offre un baume éphémère ; il se heurte sans cesse à la question insoluble : pourquoi les choses sont-elles comme elles sont ?
En cela, ses questions le rendent un peu universel, un peu comme chacun de nous. Nous aussi nous luttons pour paraître autres que nous sommes, je pense. Nous aussi nous rêvons d’un amour inconditionnel, d’une bienveillance sans fond, d’un désir de consolation impossible à rassasier. Nous aussi sommes de vrais enfants, qui faisons mine d’avoir grandi.
Mattis, naïf, sent néanmoins quand son équilibre est menacé, et que traverser le lac sur sa barque décatie ne suffira pas comme raison d’être, ni comme passeport pour l’autonomie. Sa lutte intérieure, rendue par une narration sobre et blanche pourrait-on dire, n’en est que plus bouleversante. On frémit de sentir les conflits qui agitent son esprit troublé, inquiet. Mais ici-bas, c’est seul que l’on pense, intimement, à la meilleure façon de décider les choses plutôt que de les subir.
Livre très triste et très beau, puissant et existentiel.
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trucbiduleschouettes · 2 years ago
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!! >:3c
thank you for asking!
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Let's go with Sumer, my Yuanti shepherd!
Sumer is from Dryroots, a small village guarded by a bugul noz. She has a young human apprentice named Bécasse. She is also a big lesbian and got herself a new paypal after sleeping with a travelling palid elf druid while the party was dealing with some game trauma-
Summer met the party after she and some of her sheeps got kidnapped by sudden magic and brought to an island where a hag was living. Summer was quite sadden that some of her favourite sheeps got devoured. She just started following the party in hope they'd bring her home, as Dryroots was their next stop for a mission.
She feels a bit aloof but has a sense of humour still. She taught the party how to shave sheeps. She also gave them some of her own venom as a parting gift.
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prosedumonde · 2 years ago
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Songeait-elle aux morts ? Rêvassait-elle tristement, sans souvenir précis ? Ou bien sa pensée anéantie restait-elle immobile comme de l’eau sans courant ?
Guy de Maupassant, Contes de la bécasse • La folle 
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perduedansmatete · 2 years ago
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j'attends toujours les messages d'un copain car il m'appelle bécasse grognasse pouffiasse andouille saloperie etc aléatoirement et je sais jamais quel va être le prochain ptit nom ça me fait toujours trop rire il est très inventif, en plus on se parle et on se voit assez rarement donc c'est toujours innatendu et plaisant de recevoir sorti de nulle part un "salut grognasse tu me manque on s'attrape quand ??"
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ill-be-a-super-model · 1 year ago
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Hi everyone, i'm going to get back on trace bécasse i'v gained 3kg and i feel fat honestly, so monday 13th going to be a new beggining for me. Sorry to be a disapointement.
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bruh-error-404 · 1 year ago
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La vieille bécasse elle était dans le même lycée pendant 3 ans sans me cala à traîner avec des gens connus pour être pas sympa et à peine 2 semaines dans ma relation elle dit à ma copine (pcq elles sont dans le meme échange universitaire) « fait gaffe avec les relations à distance pcq ma pote s’est fait tromper par son gars » SUPER DE RASURER MA COPINE COMME CA GROSSE CONNE DE MERDE T’ES CÂBLÉE À L’ENVERS OUUUUU?? Ca date decembre mais je veux lui hurler dessus
La pimprenelle elle l’ouvre alors que personne lui a rien demandé je vais pleurer de haine
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les-degustations-ugo · 1 year ago
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🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, Connaissez-vous les Vins de Anne de Joyeuse ❓❓🇫🇷
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🍇🍷IGP Pays d'oc rouge Syrah 2022 cuvée "Rien à Cirer"du domaine Anne de Joyeuse 🍇🍷:
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🍇 :
Syrah
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💰:
12,90€ /bouteille
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👁️ :
Robe de couleur grenat soutenue avec des reflets violets
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👃 :
Un nez sur des notes de fruits noirs, épices
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💋 :
En bouche on a un vin avec une belle rondeur malgré les tanins bien présents. Sur des arômes de prunes, Myrtilles, épices (poivre noir, la réglisse). Une bonne longueur en bouche avec une finale sur des notes chocolatées.
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📜En résumé📜 :
J'ai beaucoup aimé cette cuvée d'une belle gourmandise avec des fruits bien juteux. Une belle cuvée à partager et à "cire-ôter".
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🧆Dégusté sur une Bavette de boeuf grillée 🧆.
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🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Bécasse aux cèpes, Brochettes d'agneau, Cailles rôties, Canard rôti aux champignons.....
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📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine  pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌. 
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🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des vins ont était dégustés et recrachés.
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#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho  #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #wineporn #drink
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📜🇨🇵Description du Domaine 📜🇨🇵 :
En 1929, un groupe de vignerons décide de mutualiser leurs outils et leur savoir-faire pour créer un chai de vinification et de commercialisation des vins rouges de la haute vallée de l’Aude. Les blancs viendront plus tard.
Ils choisissent le nom Anne de Joyeuse en hommage au Duc de Joyeuse, qui fût le premier à faire rayonner la région à la cour du roi Henri III. En échange de ses loyaux services, le roi lui offre la Seigneurie et les terres de Limoux.
Dès 1972, ils décident de planter Merlot, Cabernet-Sauvignon, Cabernet -Franc, Malbec pour les cépages rouges, Chardonnay et Sauvignon pour les cépages blancs. Ces variétés parfaitement adaptées au terroir de Limoux, bénéficient du croisement des influences des quatres terroirs: Méditerranéen, Océanique, Pyrénéen et Autan✅.
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⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
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🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers.  And you, do you know the wines of Anne de Joyeuse ❓❓🇬🇧
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🍇🍷 IGP Pays d'oc red Syrah 2022 cuvée "Rien à Cirer" from the Anne de Joyeuse estate 🍇🍷:
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🍇:
Shiraz
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💰:
€12.90 /bottle
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👁️:
Deep garnet color with purple reflections
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👃:
A nose with notes of black fruits, spices
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💋:
On the palate we have a wine with a nice roundness despite the very present tannins.  On aromas of plums, blueberries, spices (black pepper, liquorice).  A good length in the mouth with a finish on chocolate notes.
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📜In summary📜:
I really liked this cuvée of a beautiful gluttony with very juicy fruits.  A beautiful cuvée to share and to "wax-remove".
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🧆 Tasted on a Grilled Beef Flank 🧆.
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🍷 Some food and wine pairings possible with this cuvée 🍷: Woodcock with porcini mushrooms, Lamb skewers, Roasted quail, Roasted duck with mushrooms.....
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📌 Don't forget, drinking a cannon is saving a winemaker.  Go see the domain's website to see all the vintages and promotions of the moment 📌.
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🔞 "Alcohol abuse is dangerous for your health, to be consumed in moderation"🔞 Most of the wines have been tasted and spat out.
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#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇬🇧📜Description of the Domain📜🇬🇧
☑️In 1929, a group of winegrowers decided to pool their tools and their know-how to create a wine-making and marketing cellar for red wines from the upper Aude valley. White will come later.
They choose the name Anne de Joyeuse in homage to the Duke of Joyeuse, who was the first to promote the region at the court of King Henry III. In exchange for his loyal services, the king offered him the Lordship and the lands of Limoux.
In 1972, they decided to plant Merlot, Cabernet-Sauvignon, Cabernet -Franc, Malbec for the red grape varieties, Chardonnay and Sauvignon for the white grape varieties. These varieties, perfectly adapted to the Limoux terroir, benefit from the crossing of influences from the four terroirs: Mediterranean, Oceanic, Pyrenean and Autan✅.
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🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi.  E tu, conosci i vini di Anne de Joyeuse❓❓🇮🇹
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🍇🍷 IGP Pays d'oc rosso Syrah 2022 cuvée "Rien à Cirer" della tenuta Anne de Joyeuse 🍇🍷:
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🍇:
Shiraz
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💰:
€ 12,90 / bottiglia
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👁️:
Colore granato intenso con riflessi porpora
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👃:
Un naso con note di frutti neri, spezie
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💋:
Al palato abbiamo un vino con una bella rotondità nonostante i tannini molto presenti.  Su aromi di prugne, mirtilli, spezie (pepe nero, liquirizia).  Buona persistenza in bocca con un finale su note di cioccolato.
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📜In sintesi📜:
Mi è piaciuta molto questa cuvée di una bella golosità con frutti molto succosi.  Una bella cuvée da condividere e da "scerare".
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🧆 Degustato su una Costata di Manzo alla Griglia 🧆.
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🍷 Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa cuvée 🍷: Beccaccia ai funghi porcini, Spiedini di agnello, Quaglia arrosto, Anatra arrosto con funghi.....
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📌 Non dimenticare, bere un cannone è salvare un enologo.  Andate a vedere il sito del dominio per vedere tutte le annate e le promozioni del momento 📌.
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🔞 "L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, da consumare con moderazione"🔞 La maggior parte dei vini sono stati assaggiati e sputati.
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🇮🇹📜Descrizione del Dominio 📜🇮🇹
Nel 1929 un gruppo di viticoltori decise di unire i propri strumenti e il proprio know-how per creare una cantina per la vinificazione e la commercializzazione dei vini rossi dell'alta valle dell'Aude.  I bianchi verranno dopo.
Scelsero il nome Anne de Joyeuse in omaggio al duca di Joyeuse, che fu il primo a promuovere la regione alla corte del re Enrico III.  In cambio dei suoi fedeli servigi, il re gli offrì la Signoria e le terre di Limoux.
Dal 1972 decisero di impiantare Merlot, Cabernet-Sauvignon, Cabernet-Franc, Malbec per i vitigni a bacca rossa, Chardonnay e Sauvignon per i vitigni a bacca bianca.  Queste varietà, perfettamente adattate al terroir di Limoux, beneficiano dell'incrocio delle influenze dei quattro terroir: Mediterraneo, Oceanico, Pireneo e Autan✅.
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sabinerondissime · 2 years ago
Note
J'ai dit si c'est toi seulement j'aimais le dos😜
Et y a pas marqué "Bécasse " dans mon dos, si tu veux le savoir !
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