#avancer malgré la douleur
Explore tagged Tumblr posts
Text
Quand la solitude devient un refuge après l'absence.
Un vide abyssal s’installe lorsque l’on perd un être aimé, un vide qui ne se mesure pas seulement à l’absence physique, mais qui s’immisce dans chaque fibre de notre existence. Le départ de ma femme ne m’a pas seulement dérobé sa voix, ses gestes, ni laissé une maison désertée. Non, elle a emporté avec elle une part de moi, celle qui s’épanouissait dans son regard, celle qui vivait pour elle.…
View On WordPress
#apprendre à vivre avec le vide#avancer malgré la douleur#besoin de solitude après un deuil#chemin du deuil et résilience#Deuil et solitude#expérience du deuil personnel#faire face à la perte d&039;un être cher#nouveau départ après la perte d’un conjoint#processus de guérison émotionnelle#reconstruction après une perte#reconstruire sa vie après le décès d&039;un proche#se retrouver après une perte#trouver la paix dans la solitude#vivre avec l&039;absence
2 notes
·
View notes
Text
Je sais qu’en ces jours de fêtes, où tout le monde est censé se réunir, mon absence te pèsera plus que jamais. Je sais combien ton cœur se serre et ta gorge se noue à l’idée de ne pas m’avoir à tes côtés, à cette table où je devrais être. Je sais que mon départ est encore trop vif, trop présent, que chaque sourire te coûte un peu plus quand l’ombre de ce manque plane autour de toi. Mais sache ceci : je ne suis jamais vraiment parti. Je suis là, dans chaque souvenir qui t’arrache un sourire malgré tout. Je suis là, dans les éclats de rire, dans les silences, dans les regards que tu poses sur ce que nous avons partagé. Je suis près de toi, dans ton cœur, dans ta force, dans ton amour, qui ne mourra jamais. Même si tu ne me vois pas, je suis là, à veiller sur toi. Tu n’es pas seul(e), et tu ne le seras jamais. Je sais combien c’est compliqué de gérer cette absence. Chaque jour te demande une force que peu peuvent comprendre, et encore plus en ces moments où l’on attend de toi des sourires et de la légèreté. Je sais que mon absence pèse sur ton cœur, que les souvenirs te submergent parfois et que les questions sans réponse te hantent. Mais sache que tu fais bien plus que simplement tenir debout : tu avances, malgré la douleur. Je suis fier(ère) de toi, de la manière dont tu continues à aimer, à vivre, même avec ce vide en toi. N’oublie jamais que je suis toujours là, à ma manière, dans ton cœur et dans tout ce qui te rappelle combien nous nous sommes aimé . Tu n’es pas seul(e), et je suis avec toi, même dans les silences.
7 notes
·
View notes
Text
C'est une approche fascinante ! Reprendre ce moment du point de vue d’un personnage qui réfrène son excitation tout en étant immergé dans cette scène intense va permettre d’explorer les sensations internes, les pensées troublées, et le combat intérieur pour garder le contrôle alors que tout dans le corps appelle à céder à la tension montante.
Brûlure Silencieuse
Je marchais dans la pénombre de cette ruelle, mais c’est à peine si je sentais mes jambes avancer. L’air autour de moi était lourd, presque poisseux, comme s’il portait une charge invisible, quelque chose qui collait à ma peau, pénétrait dans mes pores. Je le voyais là, immobile, comme une ombre plus dense que les autres. Tout en lui semblait attirer, mais pas de manière naturelle. Il y avait quelque chose d’autre… quelque chose de vital, de primal, qui pulsait dans l’air autour de lui.
Je pouvais entendre le souffle de l’autre à côté de moi, tout aussi irrégulier que le mien. J’essayais de ne pas trop y penser, de rester concentré, mais quelque chose me brûlait de l’intérieur. Ce n’était pas la peur. Ce n’était pas exactement ça. Mon cœur battait trop fort, mais ce n’était pas seulement l’adrénaline. C’était une chaleur plus sourde, plus intime. Une excitation, mal placée, mais présente. Ma gorge se serrait, et chaque respiration me rappelait que j’étais vivant, terriblement vivant, comme si chaque parcelle de ma peau était en éveil.
Im bougea à peine, mais cela me fit l’effet d’une onde de choc. Un simple mouvement de sa main vers son arme, et mon corps réagit. Mon ventre se serra, comme si une main invisible avait glissé sous ma peau pour attraper mes tripes. J’essayais de rester calme, de ne pas trembler, mais chaque fibre de mon être voulait exploser, comme si quelque chose en moi voulait rejoindre cette énergie invisible qui vibrait dans l’air.
Mon regard glissait sur lui, presque malgré moi. Ses doigts caressaient la crosse de son arme avec une lenteur insupportable. Une caresse…, oui, c’était bien ça. Chaque geste semblait être plus qu’un simple mouvement. Il y avait une sensualité dans ce qu’il faisait, dans la manière dont ses muscles se tendaient sous sa veste, dans la manière dont il prenait possession de cet objet. Je pouvais presque sentir la texture du métal sous mes propres doigts, comme si je vivais ce moment à travers lui.
Ma respiration devint plus rapide, et je luttais contre ça. Mon corps me trahissait, me rappelait ce que je ne voulais pas admettre. Mon ventre se serrait encore, la chaleur remontant le long de ma colonne vertébrale jusqu'à ma nuque, comme si une fièvre invisible s'était emparée de moi. C'était indécent, presque honteux, mais impossible à ignorer.
Il leva son arme, et je savais que c’était fini. Mais au lieu de la peur, ce fut autre chose qui m’envahit. Une vague d’excitation presque insupportable. Mon cœur battait contre mes côtes comme un tambour, chaque battement envoyant une décharge à travers mon corps. Mon souffle devint saccadé, difficile à contenir. Il y avait cette fine ligne entre la peur et le désir, et je venais de la franmchir sans comprendre pourquoi.
Le tir résonna comme un coup de tonnerre. Une brûlure vive traversa ma poitrine, mais la douleur se mélangea à cette sensation indescriptible. Mes jambes cédèrent sous moi, et alors que je tombais, tout sembla se ralentir. Ma peau frémissait, mes muscles se contractaient sous la décharge de la balle, mais au lieu de seulement souffrir, il y avait cette étrange, perturbante jouissance, comme si mon corps, au lieu de lutter, se laissait aller.
Je n’arrivais plus à penser clairement. L’air autour de moi vibrait, et dans ma chute, tout semblait être amplifié. La texture du sol sous mes doigts, la chaleur qui irradiait de ma blessure, le souffle chaud qui m’échappait — tout était plus intense, plus profond. Chaque sensation se mêlait dans une symphonie absurde de douleur et de plaisir, comme si mon corps ne savait plus comment réagir.
Le sol m’accueillit, mais ce ne fut pas brutal. C’était presque doux, comme si cette chute n’était qu’une étape dans ce voyage insensé. Mes paupières se fermaient, et dans cet ultime instant de conscience, je sentais encore cette chaleur étrange dans mes veines, ce feu qui continuait à brûler malgré tout, comme un dernier battement de vie dans un corps qui s’abandonne.
5 notes
·
View notes
Text
La magie (Bucky X Loki X OC)
Alayna Stark était assise sur le sol de la pièce, entourée de livres anciens et de cristaux scintillants. La lumière douce des bougies dansait autour d'elle, créant une ambiance chaleureuse et intime. Elle jouait avec sa magie, ses mains s'élevant et s'abaissant avec grâce, traçant des motifs lumineux dans l'air. Un murmure mélodieux s'échappait de ses lèvres, une chanson qu'elle avait inventée, une mélodie qui parlait de guérison et de renaissance.
Alors qu'elle se laissait emporter par la magie, la porte s'ouvrit lentement, et Bucky Barnes et Loki entrèrent dans la pièce. Les deux hommes échangèrent un regard, conscients de la tension qui flottait dans l'air. Ils étaient prudents, chacun portant le poids de leur passé. Bucky, avec ses cicatrices et son regard chargé de regrets, savait qu'il était responsable des blessures qui avaient laissé Alayna paralysée pendant tant d'années. Loki, quant à lui, avait été l'architecte du chaos à New York, blessant Tony, le frère d'Alayna, et provoquant une douleur qu'elle n'oublierait jamais.
Alayna leva les yeux vers eux, un sourire doux sur son visage. Elle n'éprouvait pas de haine envers eux, malgré tout ce qu'ils avaient fait. Sa magie lui avait permis de remarcher, de retrouver une partie de sa vie qu'elle pensait perdue à jamais. Mais elle restait prudente, consciente des démons qui hantaient ces deux hommes.
« Vous pouvez entrer, vous savez, » dit-elle d'une voix chantante, interrompant leur hésitation. « Je ne mords pas. »
Bucky s'avança lentement, ses mains dans les poches, tandis que Loki, avec son air habituel de défi, s'approcha avec une curiosité malicieuse. « Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, » murmura Loki, son regard se posant sur les cristaux qui brillaient autour d'Alayna. « La magie peut être… imprévisible. »
« Oh, mais c'est justement ce qui la rend si fascinante, » répondit Alayna, son sourire s'élargissant. « La magie est une extension de nous-mêmes. Elle peut guérir, mais elle peut aussi détruire. » Elle se leva, faisant quelques pas vers eux, ses mouvements fluides et gracieux. « Je ne vous en veux pas, vous savez. »
Loki croisa les bras, un sourire en coin. « C'est un soulagement d'entendre cela. Je n'aime pas être détesté, même si je le mérite souvent. »
« Je ne suis pas ici pour juger, » dit Alayna, son regard se posant sur Bucky. « Je sais que vous n'étiez pas vous-même. » Elle marqua une pause, puis ajouta : « Nous avons tous nos démons. »
Bucky baissa les yeux, la culpabilité se lisant sur son visage. « Je… je suis désolé pour ce que j'ai fait. Je ne peux pas changer le passé, mais je veux faire amende honorable. »
« Je le sais, » répondit Alayna, sa voix douce. « Et je crois en la rédemption. » Elle tendit la main, un éclat de lumière émanant de ses doigts. « Regardez. »
Elle fit léviter un petit cristal, le faisant tourner dans les airs avec une aisance déconcertante. Les yeux de Loki s'illuminèrent d'intérêt, tandis que Bucky observait avec une fascination mêlée d'appréhension.
« C'est incroyable, » murmura Loki, s'approchant un peu plus. « Tu as un véritable don. »
« Merci, » dit Alayna, le sourire toujours présent. « La magie m'a aidée à guérir, à me reconstruire. Je ne suis pas la même personne que j'étais autrefois. » Elle se tourna vers Bucky. « Et je ne veux pas que vous restiez prisonnier de votre passé non plus. »
Bucky hocha la tête, touché par ses mots. « Je vais essayer de faire mieux. Pour moi, pour vous, pour Tony. »
Alayna lui adressa un regard encourageant. « C'est tout ce que nous pouvons faire. Avancer, un pas à la fois. »
Alors qu'ils restaient là, dans cette pièce remplie de magie et de promesses, Alayna se sentit soudainement plus légère. Peut-être que la rédemption était possible, non seulement pour elle, mais aussi pour ceux qui l'entouraient.
« Je peux vous montrer quelques tours, si vous le souhaitez ? » proposa-t-elle, un éclat de malice dans les yeux.
Bucky et Loki échangèrent un regard, puis un sourire complice se dessina sur leurs visages. Peut-être que, ensemble, ils pourraient trouver un moyen de guérir leurs blessures, de transformer leur passé en quelque chose de nouveau et d'éclatant.
#loki x oc x bucky#loki of asgard#loki odinson#loki laufeyson#Avengers#bucky barnes#james buchanan barnes#fanfic
4 notes
·
View notes
Text
Je viens de finir ce bijou. Immense livre, d’une immense beauté et d’une tristesse incommensurable.
Il y a une intrigue qui lie deux amies, dont la narratrice, mais les événements racontés sont mêlés au flux et reflux du souvenir (longtemps refoulé dans le pays et néanmoins transmis aux personnages) du massacre de 30 000 coréens identifiés comme communistes en 1948, sur l’île de Jeju, au sud de la Corée, lors d’une rébellion. Il m’a fallu faire quelques recherches pour avoir connaissance de ce fait, et comprendre qu’avant la division en 1948 précisément du pays en deux, puis la guerre de Corée qui démarra en 1950, le pays uni était colonisé par le Japon. A l’issue de la guerre mondiale, le Japon est écarté par les États-Unis et les soviétiques. Mais avec la guerre froide, les deux puissances se partagèrent le pays, malgré la rébellion des coréens, le nord aux russes et le sud aux américains, suscitant un climat de violence qui conduisit aux faits évoqués dans le livre.
Ce sont ces morts oubliés, ceux de l’île de Jeju qui sont ici rappelés, presque convoqués. Le pays avait jeté un voile (blanc ?) sur cet épisode sanglant, d’une violence inouïe. La prose poétique de Han Kang réveille ces souvenirs et mélange comme dans un rêve douloureux le témoignage de son amie (dont les parents ont vécu, enfants, l’horreur), bloquée à Séoul par une hospitalisation inattendue, et le voyage de la narratrice de Séoul jusqu’à l’île de Jeju pour aller sauver l’oiseau de son amie, laissé brusquement seul suite à son accident.
En lisant, on se sent dans une nuit quasi totale, dans le noir donc, et pourtant l’omniprésence de la neige qui tombe abondamment apporte un contrepoint blanc. On navigue dans ce clair-obscur quasi sensuel, entre « toucher », et « vue(s) » parfois de l’ordre de l’hallucination. La narratrice marche dans la neige, confond étendue neigeuse et mer, rêve et réalité, voix de son amie, voix de la mère de son amie. Tout se lie dans un réseau subtil et délicat, pourtant très puissant émotionnellement, car cohérent. Elle se dépêche pour sauver le perroquet, avance dans la nuit, manque de mourir de froid.
La nature même de la neige est évoquée, à la fois scientifiquement et poétiquement, comme un assemblage de cristaux et de poussière, comme si la neige symbolisait la permanence des choses : chaque flocon porte un bout du passé qui n’en finit pas de se mêler au ciel. Elle symbolise cet impossible adieu aux êtres disparus, leur éternel retour dans les pensées ou au cœur même de la nature de l’île. La neige symbolise aussi la mort, car, la mère de l’amie, petite, a retrouvé son village et une partie de sa famille tuée, ensevelies sous la neige, et celle-ci ne fondait pas sur les visages, car ils étaient froids, sans vie.
Voici deux des nombreuses images marquantes de ce livre terrifiant et superbe. Un livre qui est comme un tombeau impossible, lorsque la douleur vous pousse au bord du fantastique.
13 notes
·
View notes
Text
Dans le tourbillon de l'amour, nous étions unis,
Nos cœurs battaient à l'unisson, dans un élan infini.
Mais les vents ont changé, les nuages se sont assombris,
Et notre histoire, autrefois si belle, s'est évanouie.
Les mots durs ont été prononcés, les larmes ont coulé,
Les promesses brisées, les rêves envolés.
La douleur s'est emparée de moi, comme une lame acérée,
Une rupture qui a déchiré mon âme, me laissant effondrée.
Les souvenirs heureux résonnent dans mon esprit,
Les moments partagés, les sourires complices, l'amour infini.
Mais maintenant, tout est devenu sombre et silencieux,
Un vide immense, une tristesse profonde, un cœur douloureux.
Je me sens perdue, dévastée, comme un oiseau blessé,
Les ailes brisées, incapable de voler, de retrouver ma liberté.
Chaque jour est un défi, une bataille contre la douleur,
Mais je sais qu'avec le temps, je guérirai, je retrouverai mon bonheur.
Je me relèverai, plus forte qu'avant, tel un phénix renaissant,
Je panserai mes blessures, je retrouverai mon élan.
Car la vie continue, malgré les épreuves que l'on traverse,
Et je sais qu'un jour, je trouverai à nouveau l'amour qui me berce.
En attendant, je prends le temps de guérir, de me reconstruire,
De me redécouvrir, de retrouver mes passions, mes désirs.
La rupture m'a détruite, mais je sais que je me relèverai,
Et je serai plus forte, plus épanouie, prête à avancer.
Mrs_Inconnue
3 notes
·
View notes
Text
C’est dur de laisser quelqu’un partir, c’est extrêmement dur, mais parfois il faut aussi se rendre à l’évidence, malgré la douleur, le sang, les larmes, c’est ce qu’il y’a de mieux, pour tout le monde, pour pouvoir avancer, et se reconstruire. Même si je ne me reconstruirais pas. C’est une ultime offrande à l’amour que tu as cultivé entre nous. So long my lover. So long my friend. Et à jamais.
2 notes
·
View notes
Text
Dans la vie, personne ne viendra vous sauver. Soyez votre propre héroïne.
Dans la vie, personne ne viendra vous sauver. Soyez votre propre héroïne.
Je suis Aelia, guerrière du clan des Ardentis.
Dès mon enfance, j’ai appris à faire face aux tempêtes, à affronter la douleur sans détour, et à avancer malgré elle. Très tôt, j’ai compris que ma propre force se trouvait en moi, et que c’était à moi seule de la découvrir.
Il y a eu des moments où j’ai chuté, corps et âme. Les blessures étaient profondes, l'ombre m'entourait sans relâche. Mais à chaque chute, j’ai trouvé la force de me relever. Mes rêves, mes principes, et cette conviction indéfectible que ma volonté serait ma guide m'ont permis de surmonter l'impensable. Chaque cicatrice est devenue une marque de ma résilience, une preuve que je suis plus forte que mes luttes.
Certaines batailles n’ont pas été visibles. Parfois, elles se sont menées dans le silence de mon esprit, où la peur et le doute se sont battus pour prendre le dessus. Mais j’ai appris à les regarder dans les yeux, à les accepter et à les transformer en le moteur de ma détermination.
Je me suis inspirée de guerrières comme Xena, une femme qui n’a jamais abandonné malgré ses erreurs. Comme elle, j’ai fait face à mes démons, à mes faiblesses, et j’ai appris à les utiliser pour me renforcer.
Wonder Woman m’a montré que la foi en l’humanité et l’amour étaient des armes tout aussi puissantes que l’acier.
Lagertha, m’a appris que la loyauté envers soi-même et l’indépendance d’esprit sont ce qui fait la grandeur d’une reine.
À travers elles, j’ai compris que le véritable pouvoir réside dans la capacité à se relever seule, à se reconstruire après chaque chute. Aujourd'hui, je sais que je n’ai pas besoin de Sauveur. Mon Salut est en moi, dans ma force inébranlable, dans mon refus d’abandonner.
Vous aussi, cette force réside en vous. Le chemin peut être long, et la solitude accablante, mais il n'y a pas de plus grande victoire que celle de se relever seule, de forger son propre destin, et de rester fidèle à ses principes. La guerrière que je suis aujourd’hui a été forgée dans les épreuves, mais surtout dans ma capacité à me relever, encore et encore. Et je sais que tant que je continuerai à avancer, je serai invincible.
images : My AI Artworks
#biography#ecrivaine#women warriors#womenwriters#personal development#female warrior#believeinyourself#brave#courage
0 notes
Text
youtube
Intro :
L’amour, ô l’amour...
Est-il toujours réel, lorsqu’il se rebelle ?
L’amour, ô l’amour...
Est-il toujours vrai, lorsqu’il est trompé ?
Couplet 1 :
Dans l'ombre des regrets, une flamme s'éveille,
Passé tourmenté, dans ses yeux, le soleil.
Tatouages et promesses sur sa peau gravées,
Chaque geste, un combat, une chance de rêver.
Douces rébellions, il avance sans peur,
Son cœur, une forteresse, brûlant malgré l'erreur
Pré-refrain 1 :
Du désert des regrets aux routes pavées d’espoir,
Enrichi, il avance, dans la gloire il veut croire.
Ses pas l’allègent, le passé encore l’effleure,
Dans la trame de ses rêves, son cœur porte ses douleurs.
Refrain :
L’amour, ô l’amour, rythme les errances,
L’amour, ô l’amour, chante les espérances.
L'amour, ô l'amour m'a chamboulé
L'amour, ô l'amour m'a enflammé
Et m'a laissé changer, avec lui,
L'âme passionnée
Couplet 2 :
Sous son rire de clown, une tristesse se camoufle,
Maquillage comme écran, sous lequel son cœur souffle.
Tatouages en récits, sur sa peau, ils dansent,
Chaque geste, un voile, pour cacher sa souffrance.
En couleurs et en art, elle brave ses peurs,
Son cœur, un théâtre, où elle joue contre ses pleurs.
Pré-refrain 2 :
Elle cache son reflet, se juge dans le miroir,
Blessée par le passé, par des amours illusoires.
Mais sous ses ailes timides, un papillon s’élance,
À ses côtés, elle trouve enfin confiance
Refrain :
L’amour, ô l’amour, rythme les errances,
L’amour, ô l’amour, chante les espérances.
L'amour, ô l'amour m'a chamboulé
L'amour, ô l'amour m'a enflammé
Et m'a laissé changer, avec lui,
L'âme passionnée
Outro :
L'amour, ô l'amour m'a chamboulé
L'amour, ô l'amour m'a enflammé
Et m'a laissé changer, avec lui,
L'âme passionnée...
1 note
·
View note
Text
MARDI LE 17 DÉCEMBRE 2024
EXHORTATION MATINALE : FIXER LES YEUX SUR L’AVENIR
« Frères, je ne pense pas l’avoir saisi, mais je fais une chose : oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ. » (Philippiens 3:13-14)
Dans sa lettre aux Philippiens, Paul s'adresse à une Église fidèle mais confrontée à des défis personnels et communautaires. Ce passage nous place dans un contexte où Paul, malgré son impressionnant parcours spirituel, confesse humblement qu'il n'a pas encore atteint la perfection. Cependant, il adopte une posture déterminée : celle d’un coureur focalisé sur la ligne d’arrivée. Le texte nous invite à ne pas nous attarder sur nos échecs passés ni à nous laisser ralentir par ce que nous avons perdu. En Jésus-Christ, l’avenir est toujours porteur d’espoir, car Dieu a des plans de restauration pour ceux qui fixent leurs yeux sur Lui.
1. ÉTYMOLOGIE ET SIGNIFICATION
Le mot « oubliant » en grec est epilanthanomai (ἐπιλανθάνομαι), qui signifie « négliger volontairement » ou « cesser de se souvenir activement ». Ce terme indique une action délibérée, une décision de ne plus accorder de place au passé.
Quant à « se porter vers » (epekteinomai - ἐπεκτείνομαι), il décrit une intense aspiration, comme un athlète qui tend son corps pour atteindre la ligne d’arrivée. Paul ne nie pas l’existence du passé, mais il refuse de lui donner le pouvoir d’entraver sa progression vers les promesses de Dieu.
2. LA NATURE DE DIEU : UN DIEU DE RESTAURATION ET D’ESPOIR
Dieu ne se concentre pas sur nos échecs passés mais sur ce qu’Il veut accomplir dans nos vies. Cela se voit dans la vie de personnages comme :
- JOSEPH (Genèse 41:51), qui oublia les souffrances de sa jeunesse pour embrasser sa destinée en Égypte.
- PIERRE, après avoir renié Jésus, trouva la restauration et un nouveau départ en Christ (Jean 21:15-17).
Ce Dieu de restauration nous appelle à ne pas regarder en arrière, mais à avancer avec confiance, car « ses compassions se renouvellent chaque matin » (Lamentations 3:22-23).
3. CE QUE DIEU ATTEND DE NOUS
Dieu attend que :
- Nous ayons une foi proactive, tournée vers Ses promesses.
- Nous Abandonnions les regrets et les échecs passés.
- Nous croyons en Sa capacité à faire toutes choses nouvelles (Ésaïe 43:18-19).
- Nous visons le but ultime, qui est la vie éternelle avec Lui, tout en servant fidèlement ici-bas.
4. L’EXEMPLE DE JÉSUS-CHRIST
Jésus lui-même a montré l’exemple en refusant de laisser les douleurs et le rejet de son ministère terrestre l’empêcher d’accomplir sa mission. Sur la croix, il déclara triomphalement : « Tout est accompli » (Jean 19:30), montrant que ce qui compte, c’est d’aller jusqu’au bout de la volonté de Dieu, malgré les pertes et les épreuves.
5. POUR NOUS AUJOURD’HUI
Nous avons tous connu des pertes, des erreurs ou des échecs. Mais Dieu nous appelle à regarder vers l’avant, car l’avenir qu’Il prépare est rempli de Sa bonté. Comme le disait Jérémie : «Je connais les projets que j’ai formés sur vous… des projets de paix et non de malheur » (Jérémie 29:11).
CONCLUSION
Bien-aimés, ne laissez pas le poids du passé ralentir votre marche avec Dieu. Fixez vos yeux sur l’avenir en Christ, car ce qu’Il a préparé pour vous dépasse de loin tout ce que vous avez perdu. Le chemin est devant vous, alors courez avec persévérance vers le but.
PRIONS ENSEMBLE
Seigneur Éternel Et Tout-Puissant,
Nous venons devant Toi aujourd’hui pour Te remercier pour ton amour et ta fidélité. Merci pour le privilège de Te suivre, même lorsque nous avons failli ou perdu des choses importantes. Apprends-nous à tourner nos regards vers l’avenir et à Te faire confiance pour la restauration.
Aide-nous à oublier ce qui est derrière et à courir avec persévérance vers le but céleste que Tu as préparé pour nous en Jésus-Christ. Renouvelle notre force et notre foi, et guide-nous dans ta lumière.
Nous Te prions, au nom de Jésus, notre Seigneur et Sauveur.
Amen.
#Shalom
#CN
0 notes
Text
Apprenez à fermer vos bouches avant de juger sans vraiment connaître les gens et surtout connaître vraiment ce qu'on appelle le HANDICAP INVISIBLE . Car faut encaisser au quotidien déjà le handicap mais aussi le jugement des autres. 🤬
Déçu par les gens qui comprennent pas, on ne demande pas de se mettre à notre place mais au moins nous laisser tranquille ...
C’est triste de se sentir mal et s'entendre dire :
"Mais si tu es malade pourquoi tu fais ça ou telle chose ...
"C’est difficile de te croire..... Je le vois bien, tu n'as rien".
Mais personne ne connaît la lutte personnelle de chacun, et la force qu'il faut pour continuer à se lever tous les jours comme si de rien n'était...
Ça fait des années que je souffre de ces douleurs, et d'une quantité de changements en moi, sans raison apparente... Jusqu'à ce que le diagnostic tombe...
Il y a deux sentiments, celui de :
• Enfin tu sais ce que tu as
Et celui de :
• Maintenant comment je l'affronte ?
Le manque de courage, tous ces traitements qui te fatiguent encore plus.. Et les milliers de commentaires :
"Tu as grossi"... "Qu'est ce qui est arrivé à tes cheveux?"
"Et ces tâches, si beau qu’était ton visage, qu'est-ce qui t'es arrivé ?..."
"Ne pleure pas, retiens toi."
Les maladies silencieuses et invisibles existent !!!!!
Quand vous avez une maladie invisible, c'est difficile de faire face aux gens... Ils ne comprennent pas, jusqu'à ce que ça leur arrive. Et oui, la roue tourne…
Fatiguée d'entendre dire " Tu es allé chez le docteur ? Tu as essayé ça ? C'est parce-que tu es trop comme ci... ou pas assez comme ça....! "
Oui, j'ai déjà essayé et je continue à tout essayer 🙂
Les médecins disent que cette maladie est là pour toujours.
Que je ne guérirai pas.
Cependant, je n'abandonne pas, et je veux que les autres le voient. Chaque jour qui passe est une bataille gagnée ... 😛
Une sieste ne me guérira pas, mais si ça m'aide, je dormirai, et je sais que ce sera mal vu… Comment faire comprendre que ne suis pas paresseuse ?
• soit c'est parce que je prends des médicaments et ça me fait dormir,
• soit c'est la maladie en elle-même qui me cause de grosses fatigues,
Je me bats contre la douleur, les problèmes de mobilité, la fatigue, la fatigue extrême.
La partie la plus frustrante, c'est que les gens me regardent et disent : "ça ne peut pas être si mal, si grave, tu vas bien", malgré le fait que mon corps ressent une douleur insupportable partout...
Mais je fais semblant de rien. Je veux être comme les autres. J'essaie de me voir toujours bien, d'ignorer les kilos de trop ou les tâches et les cernes.
Tout est vrai !
La mienne est une maladie #silencieuse
Cette maladie me frappe physiquement, mentalement et émotionnellement.
J 'ai besoin de votre soutien, PAS DE VOTRE JUGEMENT !
Si je tombe, je n'ai pas besoin que tu me relèves, j'ai besoin que tu te battes avec moi jusqu'à ce que j'aie la force, envie et courage pour avancer.
Pourquoi les maladies rares auto-immunes ne se voient pas... Elles se sentent.
Elles sont là, attaquantes, rongeantes, silencieuses, insidieuses, douloureuses en profondeur.
Je regarde ceux qui prennent le temps de lire ce post jusqu'à la fin. Avec ce post, la demande suivante arrive 🙂
S'il vous plaît, en l'honneur de quelqu'un qui se bat contre :
Le syndrome Arnold chiari et syringomiélie
La fybromialgie
Hypothyroïdie
Hyperthyroïdie
Syndrome d’ovaire polykystique
Le syndrome Ehlers Danlos / HSD
La recto collite ulcéreuse..
La maladie de Crohn
Spasmophilie & Spasmophilie
Polyarthrite rhumatoïde
Douleur chronique
Thrombopénie
Endométriose
Pancréatite
Sclérose en plaques
Myélome
Neuropathies évolutive
Myasthénie grave
Hypertension pulmonaire
Syndrome de fatigue chronique
Diabète
Spondylartrite Ankylosante
Épilepsie
Maladie Coeliaque
Anxiété et dépression
Fibromyalgie, Lupus
Raynaud et sclérodermie
maladie de Ménière
Syndromes d'Evans
Nevralgie du trijumeau.
Névralgie d'Arnold.
Névralgie cervico brachiale
Syndrome de Sjogren.
Syndrome de Nutcracker
Syndrome de Cokett
Insuffisance Rénale
Pince aorto mesenterique
Migraine Hémiplégique
BPCO
Syndrome de l’hyper ventilation
La maladie de Verneuil
La maladie de lyme
L'insuffisance cardiaque
¶ ... ou toute autre maladie, qu'on ne voit pas ...
Copiez et collez.
Écrivez "fait" dans les commentaires et merci pour votre soutien.
J'aimerais voir cinq de mes amis publier ce message, sans obligation(ne pas partager), pour montrer que vous êtes toujours là si quelqu'un doit parler.
Je soutiens #maladiesinvisibles .
Un combat à vie ❤️
0 notes
Text
C’est difficile de mettre des mots sur ce que je ressens en ce moment. Chaque jour, je me réveille avec cette immense passion, cette énergie débordante pour un projet qui représente tant pour moi. J’y ai investi des heures, des rêves, une part de mon âme. J’ai vu des gens y croire, même si ce n'était que pour un instant. Ils se sont joints à moi, captivés par cette vision, par cette étincelle d’espoir. Au début, nous étions unis, avançant ensemble, construisant quelque chose de beau et d’authentique. Mais petit à petit, la réalité a commencé à s’installer. Je les ai vus partir un par un, comme des feuilles emportées par le vent. Chaque départ me brise le cœur un peu plus. Je me demande sans cesse à quoi tout cela a servi. Était-ce juste une illusion ? Un rêve que j’ai chéri, mais qui n’a jamais vraiment pris vie ? Je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde tristesse en réalisant que, malgré tous mes efforts, cela n’a peut-être pas été suffisant pour les garder. Ces gens qui ont partagé des rires, des moments de complicité, des ambitions communes, semblent maintenant n’être que des souvenirs. J’ai toujours cru que nous bâtirions quelque chose d’extraordinaire ensemble. À présent, je me sens abandonné, laissé sur le carreau, tandis qu’eux poursuivent leur chemin, tissant de nouvelles amitiés et forgeant de nouveaux liens. Je me demande si c’est cela, finalement, le prix à payer pour croire en ses rêves.
Est-ce que j’ai seulement réussi à créer des amitiés pour eux, en leur offrant une parenthèse dans leur vie, tandis que moi, je reste là, avec mon projet qui semble s’évanouir ? J’éprouve un mélange de gratitude pour les moments passés ensemble et de douleur pour ceux qui me manquent désormais. Parfois, je me sens comme un bâtisseur d’espoir, mais je ne sais plus si cet espoir a encore sa place.
Chaque départ me pousse à remettre en question tout ce que j’ai construit. Qu'est-ce que cela signifie vraiment de croire en quelque chose, quand les gens qui te soutiennent ne sont là que temporairement ? Peut-être que ce projet était destiné à changer des vies, mais peut-être que la mienne en est restée immobile. Je cherche des réponses dans ce chaos, dans cette solitude qui pèse sur mes épaules. Je me bats pour trouver un sens à tout cela, pour comprendre si le chemin parcouru en valait la peine.
Je souhaite simplement retrouver cette flamme qui m’animait au départ, même si je sais que le chemin sera semé d’embûches. Peut-être que, d'une manière ou d'une autre, je dois apprendre à avancer seul, à reconstruire cet espoir qui semble s'être éteint. Et malgré cette douleur, je crois encore que quelque chose de beau peut en surgir.
1 note
·
View note
Text
Il y a une douleur en moi, si intense qu’elle me brûle de l’intérieur. C’est comme un feu qui dévore tout sur son passage, mais que personne ne voit. Chaque jour, je me bats pour garder le masque, celui qui fait croire à tout le monde que je vais bien. Je fais semblant, parce que c’est ce qu’on attend de moi, parce que c’est ce que la vie exige. Mais à l’intérieur, je m’effondre.
Personne n’a réussi à voir ce que je cache au fond de moi. Ils ne perçoivent que ce que je leur laisse entrevoir, une version de moi filtrée et contrôlée. Ils ne voient pas la douleur qui m’étouffe, ni la peur qui grandit chaque jour. Une peur viscérale, une souffrance que je porte en silence, comme un fardeau trop lourd pour mes épaules.
Je me sens seule, terriblement seule, perdue dans mes pensées, noyée dans mes propres émotions. Je n’ose pas me plaindre, parce que je me dis qu’il y a sûrement pire ailleurs, que ma douleur n’est peut-être pas légitime. Mais malgré tout, j’ai besoin d’être vue, d’être reconnue. J’ai besoin qu’on me prenne dans ses bras, ne serait-ce qu’un instant, juste pour sentir que je ne suis pas invisible.
Je sens parfois que je perds pied, que ma tête vacille sous le poids de cette peine que je ne parviens pas à exprimer. J’ai envie de hurler, de tout laisser sortir, mais je reste silencieuse, prisonnière de cette souffrance.
Et je continue à avancer, à jouer ce rôle, à sourire, même quand chaque battement de mon cœur est une épreuve. Parce que c’est ça la vie, paraît-il. Mais moi, j’ai juste envie qu’on me voit, qu’on me comprenne, qu’on entende ce cri muet qui résonne en moi.
0 notes
Text
Letter to my Soul ties
J'aimerai que tu saches que tu es une des personnes avec qui je me sens le plus à l'aise.
Tu as une personnalité exceptionnelle
Tu es tellement joyeuse, gentille, aimante et disponible
J'ai rarement rencontré une personne avec un aussi bon cœur.
Tu réussis à rendre les gens autour de toi heureux,
Tu es une oreille attentive, tu essaies toujours d'apporter ta contribution pour que je me sorte de mes difficultés.
Je tiens encore à te remercier pour tout, Le temps que tu m'accordes, Les longues heures au téléphone, Les nuits à discuter, les choses inavouables que tu fais pour que je me sente mieux.
Tu es la 1ere personne qui m'a faite sentir que mon bien être lui importait Pour ça je te remercie encore 1000x,
Tu as les mots qu'il faut,
Tu sais parler à mon âme
Je te suis tellement reconnaissant de t'avoir dans ma vie,
Pour rien au monde je n'échangerai cela.
Malgré tous ce qui a pu se passer,
Je n'ai ni l'envie, ni la force de me priver d'une si belle âme!
Tu es la femme que tout homme rêve d'avoir !
Je sais que tout n'est pas facile, simple et que tu as tes épreuves comme chacun de nous, Mais je voudrai que tu sache que tu pourras toujours compter sur moi, et je serai toujours présent pour toi même si cela me demande d'aller au de la de mes capacités !
Merci pour tout, Les leçons, les expériences, les sourires, les fous rires, les larmes, la tendresse , l'amour, l'affection, Tu me permets encore de croire en la bonté des humains !
Tu représentes tellment de choses pour moi 💜💜
Si je devrais résumer notre relation ça serait "soul ties"
Je ne pensais jamais expérimenter cela, mais tu as gravé mon âme de ta personnalité !
C'est le sentiment le plus intense que j'ai pu expérimenter de toute ma vie !
J'ai tellment d'éloges à faire à ton sujet que je pourrai écrire des lignes à ne plus en finir !
Tu es exceptionnelle à mes yeux,
Il y'a une phrase que j'aime bien qui dit "we all broke our rules for someone"
You are someone to me🥰
Tu as tellement marqué mon âme qu' aucun jour ne passe sans que je ne pense à toi !
Tu es dans toutes mes pensées des plus saines aux plus inappropriées !
Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve,
Je te souhaite d'être épanouie, de continuer à être une personne joyeuse et positive,
Ne te laisse pas affaiblir par la vie,
C'est normal d'avoir des baisse d'énergie mais faut aussi se baser sur ce qui nous permet d'être la meilleure version de nous même !
N'hésite pas à te reconnecter à ce qui a fait de toi cette superbe personne sociable, appréciée de tous ses amis et mêmes des gens qui ne fréquentent pas !
C'est la base de ta personnalité et à mon avis c'est la ou on trouve la force de continuer à avancer et pour suivre notre chemin sur terre.
J'aimerai tellement qu'on discute de ce que tu ressens au fond de toi, de tes craintes, tu es une personne assez discrète sur tes émotions et ressenties,
J'ai peur que cela te consume à petit feu,
Je ne suis peut être pas la personne la plus adaptée pour discuter de cela... Mais donne toi le droit d'être vulnérable envers tes proches. Dieu met des gens dans notre vie pour ns aider à porter nos douleurs et nos peines, pas uniquement pour partager nos réussites et nos joies.
Je t'écris tour cela parce que moi même cela me fait du bien de te dire enfin tout le bien que je pense de toi,
Et de l'importance que tu as dans ma vie,
Peu importe ce que la vie nous réserve, si jamais un jour on venait à ne plus être en contact
Sache que ces mots sont sincères et viennent du fin fond de mon cœur,
J'ai déversé tout ce que je pense de toi,
Je ne sais pas pas si je serai encore capable de le faire un jour 😅
J'espère que ces lignes pourront te redonner de l'énergie, de la force et le morale. Tu peux toujours faire sonner mon tel pour discuter, pour qu'on prenne un verre, pour me parler de tes joies et tes peines. Pour vider ton sac, pour évoquer tes peines !
J'aimerai être une safe place pour toi comme tu l' es pour moi !
Du plus profond de mo cœur,
! Still Love You
0 notes
Text
Entre ombre et lumière - Claude Sterlin Rozema
Ainsi va la vie,entre ombre et lumière,entre douleur et joie. Chaque instant:une danse fragileentre la vie et la mort,entre l’amour et la peur. Malgré toutes les épreuvesque nous devons affronter,nous continuons à avancer,portés par la force de nos convictionset le désir ardentde trouver notre chemindans ce monde incertain.
0 notes
Text
PROBLEMATIC SEASON 4
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults and fictional, names are used for a face and don’t represent anybody.
FR FANFIC
——-
Episode 2 : Dying light
Heeseung regarde les étoiles et se retourne vers Chae.
Il aperçoit qu’elle grelotte légèrement sous sa couverture de survie.
Il se lève et pose la sienne sur elle.
« Merci Hee » répond Chae, celui ci hoche la tête et va marcher sur le bord de la plage, trouver des morceaux de bois afin de maintenir le feu en vie.
Alors que Chae se rendort, épuisée par les événements, Heeseung se lève discrètement et se dirige vers le bord de la plage.
La lueur de la lune éclaire son chemin alors qu'il avance sur le sable froid, ses pieds laissant des empreintes éphémères derrière lui.
Le bruit des vagues qui se brisent contre le rivage accompagne ses pas. Il se met à chercher des morceaux de bois flotté, les ramassant un par un et les empilant dans ses bras.
L'air marin est frais et vivifiant, mais Heeseung reste concentré sur sa tache.
Son esprit est envahi par le crash, la mort de ses amis et son frère, une douleur sourde qui ne le quitte pas.
Il serre la mâchoire, refoulant ses larmes, et prend une grande inspiration, l'air salé lui piquant les narines. Ses mains tremblent légèrement alors qu'il continue de ramasser du bois, chaque morceau lui rappelant l'absence de son frère.
Mais il ne peut pas se permettre de s'effondrer maintenant. Heeseung se redresse, les bras chargés de bois, il relève le regard.
La perte de ses proches le hante, mais il sait qu'il doit rester fort pour Chae. Chaque morceau de bois qu'il ramasse devient une promesse silencieuse de protection.
Il serre les poings, baisse la tête, une larme coule sur sa joue alors qu’il murmure « Pourquoi ai-je survécu et pas lui… »
Sa respiration se stabilise, et une résolution froide envahit ses traits. Il doit protéger Chae, coûte que coûte. Sa mission n'est plus simplement de survivre, mais de s'assurer que Chae reste en sécurité, peu importe les dangers qui les attendent.
Heeseung revient à l'abri, les bras chargés de morceaux de bois. En silence, il les ajoute au feu crépitant, veillant à ce que les flammes restent vives. Une fois satisfait de la chaleur et de la lumière, il s'étend près de Chae, les yeux fixés sur les étoiles.
Malgré la fatigue, son esprit reste en alerte, prêt à réagir à la moindre menace. Il se couche, le corps épuisé mais l'esprit résolu à veiller sur Chae jusqu'à l'aube.
Heeseung, alors qu'il somnolait, est brusquement tiré de son sommeil par une sirène lointaine.
Le son résonne dans sa tête alors qu'il s'assoit brusquement, cherchant à identifier la source de ce bruit perturbateur. Son esprit encore embrumé tente de démêler les sons, essayant de comprendre ce qui se passe autour de lui.
La sirène, persistante et assourdissante, le remplit d'une inquiétude grandissante.
« Qu’est ce que c’est ? » demande Chae en se retournant vers Heeseung.
« J’en ai aucune idée Chae » répond Heeseung.
.- POV JANG -
Une sensation dans sa nuque la réveille doucement.
San, dans le lit de Jang, collé contre son dos, dépose de tendres baisers sur sa nuque.
Il murmure doucement à son oreille, sa voix chaude et rassurante, "Bonjour princesse." Jang frissonne légèrement sous ses lèvres, un sourire naissant sur son visage alors qu'elle s'éveille lentement à cette douce attention.
« Bonjour San » répond elle en se retournant et l’embrassant.
Soudain, elle se retourne et attrape son téléphone portable, voir si elle a des nouvelles de la situation.
San s'adosse contre la tête de lit, ses abdos saillants et ses pectoraux musclés captant les premiers rayons de soleil qui filtrent à travers les rideaux. Il se passe la main sur le visage, tentant de chasser les derniers vestiges de sommeil, son expression affichant une détermination tranquille.
Jang s’assoit sur le rebord du lit et se redresse en mettant sa main sur sa bouche en lisant l’article avant de le lire à voix haute.
« Crash du vol 707 : échanges depuis la tour de contrôle, les dernières communications laissent entendre que personne n’a survécu ».
Jang montre son écran de téléphone à San.
« Les secours seront envoyés d’ici 72h… QUELLE BANDE D’ABRUTIS » s’exclame Jang en se levant du lit.
« Détends toi, ils ont retrouvé l’avion et vont envoyer des secouristes » répond San en cherchant du regard son caleçon sur le sol.
« CHOI SAN JE VAIS PAS ME CALMER BORDEL, s’il y a des survivants, ils ont besoin de soins IMMÉDIATEMENT, pas dans 72h alors que le crash a eu lieu hier soir !! » hurle Jang dans sa chambre.
« S’il envoient les secours dans 72h c’est qu’il ne peuvent pas faire autrement Jang, arrête de tout vouloir contrôler » répond San en enfilant son caleçon et un t-shirt.
« Et toi, arrête de minimiser la chose San, c’est de nos amis qu’on parle là ? » continue Jang.
« Nos amis sont potentiellement décédés Jang, il faut faire face à la réalité, tu as tout comme moi, lu l’article, personne n’aurait pu survive à ça, du moins, sans blessures graves » répond San en fronçant les sourcils et serrant sa mâchoire.
« VA TE FAIRE FOUTRE SAN » hurle Jang en lançant son téléphone portable sur lui.
Il attrape le téléphone en plein vol, le pose sur le lit et sort de la chambre en soupirant.
Jang souffle un coup, déterminée, attrape son téléphone portable sur le lit et décide de passer un coup de fil.
« bip »
« bip »
« bip »
« Allô ? »
« Gehlee ? C’est Jang, il me faut un hélicoptère au plus vite ».
.- POV PP -
Tu te retournes et observes la tempête prendre place.
D'épais nuages noirs envahissent le ciel, tourbillonnant avec une intensité menaçante. Le vent souffle en rafales, réduisant la visibilité. Des éclairs zèbrent le ciel, illuminant brièvement le paysage tropical.
« Et bah putain au moins on va pas pleurer pour une douche » marmonne Natty.
« Pourtant ça te ferait pas de mal » répond Youngseo en regardant Natty.
« Me fais pas regretter de t’avoir sauvée » répond Natty d’un ton ironique.
Tu pousse une palette contre la porte afin de sécuriser l’entrée.
« Viens m’aider Natty » tu lui demandes.
Natty s’approche et t’aide à pousser la palette.
Vous retournez vous asseoir près de Youngseo, qui semble s'endormir malgré la douleur.
Vous veillez sur elle, essayant de lui apporter un peu de réconfort dans cette situation.
« Tu penses pas qu’on devrait faire un feu ? » tu demandes à Natty.
« Tu sais allumer un feu miss Los Angeles ? » elle te demande en levant un sourcil.
Elle continue « C’est pas parce que j’ai habité au bronx et que ma sœur a brûlé des voitures que je sais allumer un feu hein »
Tu regardes ailleurs pour éviter de rire.
« Je vais chercher de quoi faire un feu » répond Natty en se levant et avançant dans un couloir.
Tu te relèves également et essaie de savoir quel est le bâtiment dans lequel vous vous êtes réfugiées.
Tu tentes d'ouvrir une porte fermée, mais comme prévu, elle ne bouge pas d'un pouce.
Tu continues d’errer dans les couloirs et aperçois un plan d’évacuation du bâtiment.
En scrutant attentivement le plan du bâtiment abandonné, tu remarques que celui-ci semble être un laboratoire scientifique, probablement abandonné depuis longtemps.
Le bâtiment est composé de plusieurs étages, avec des salles de taille variée et des couloirs labyrinthiques. Au sous-sol, tu distingues une zone étendue, deux fois plus grande que le bâtiment principal, ce qui laisse supposer l'existence de vastes installations souterraines.
La disposition complexe et la taille de ces infrastructures soulèvent des questions sur les activités qui ont pu s'y dérouler par le passé.
« Bordel qu’est ce que c’est que ça » tu marmonnes avant d’entendre un bruit suivi d’un autre bruit au sol dans la direction que Natty a prise.
Prenant instinctivement la direction du bruit, tu te précipites vers l'endroit d'où il provient.
À ta grande consternation, tu découvres le corps de Natty, gisant inconsciente sur le sol. Son visage pâle et son immobilité témoignent de la gravité de la situation.
Devant elle, dans le noir, une silhouette armée d’une barre en fer s’accroupi au dessus de natty et analyse son visage.
« Natty ?! » s’éxclame la silhouette.
Tu t’approches, la silhouette relève la tête.
« Ahyeon ?! » tu t’exclames à ton tour.
« FAIS CHIER » répond Ahyeon.
Elle continue « J’ai paniqué je pensais que j’étais la seule survivante ».
Tu t’approches et réponds « Si tu nous frappe toutes avec ta barre en fer tu risques d’être la seule survivante oui ».
Natty reprends doucement connaissance.
« Pourquoi tu m’a frappée sale conne » marmonne Natty en se tenant la tête.
« Tu m’as surprise Nat » répond Ahyeon.
« T’as de la chance qu’on soit pas a la Fac sinon je t’aurais rendu ton coup en 10 fois plus fort pétasse » répond Natty.
Ahyeon se redresse et te demande « Attends tu a dit ‘toutes’ donc il y a d’autres survivants ? »
« Youngseo est plus loin là bas, on est 4 pour le moment… ça va toi ? t’as pas de blessures suite au crash ? » tu demandes à Ahyeon.
Elle montre ses différents bandages sur les bras et jambes avant de répondre « a part ça ? ça peut aller, quelqu’un a amorti ma chute si je puis dire ».
Natty se relève et vous allez en direction de Youngseo.
Alors que vous retournez vers elle, tu remarques que Youngseo dort paisiblement, semblant ignorant de la tension et du chaos environnants.
Son visage serein contraste avec l'agitation qui règne autour, apportant un peu de calme dans cette situation troublante.
Vous allumez un feu difficilement avec les morceaux de palette et une jerricane d’essence que Ahyeon avait trouvé plus loin.
« On doit sûrement pouvoir remettre un peu de courant ici, il y a pas un générateur de secours ? » demande Ahyeon.
« Et on est censé avoir la réponse, c’est vrai qu’on habite ici sherlock » répond Natty en se tenant le crâne.
Ahyeon regarde par la fenêtre et vous signale qu’il y a des câbles électriques encore reliés au bâtiment.
« Elle a peut-être raison la bimbo » répond Natty.
« Si vous voulez aller jeter un coup d’œil vous pouvez, moi je reste avec Youngseo » tu réponds aux filles.
Ahyeon arrache un morceau de palette et le donne à Natty.
« Prends ça, on est jamais trop prudentes » dit Ahyeon en tendant le morceau de palette à Natty.
« Oui, si jamais t’essaie de me frapper à nouveau je t’éclaterai la gueule cette fois » réponds Natty.
« Même pas cap » répond Ahyeon en riant.
Tu soupires avant de dire « Ne vous entretuez pas et faites attention où vous marchez, j’ai vu un plan tout à l’heure, le bâtiment est immense et le sous sol aussi ».
« T’inquiète, si la lumière se rallume c’est qu’on a réussi, avec de la lumière on pourra montrer qu’on est là aux secours » répond Ahyeon.
Natty fabrique une torche avec un morceau de palette, de l’essence et du tissu.
Les filles s’éloignent dans le couloir jusqu’à ce que tu ne puisses plus voir la lumière de la torche de Natty.
-POV Natty-
Natty et Ahyeon avancent prudemment dans les couloirs sombres et abandonnés, leurs pas résonnant sur le sol poussiéreux.
Après avoir progressé un moment, elles parviennent enfin à atteindre le plan du bâtiment, éclairées par la faible lueur de la torche.
« Putain elle blaguait pas, c’est immense la dedans » dit Natty.
Ahyeon regarde le plan d’un peu plus près « Y’a des ascenseurs, donc y’a forcément du courant…. ICI » dit-elle en pointant du doigt la salle de transformation électrique.
«… deuxième étage, salle 308. » répond Natty en regardant le plan à son tour.
« aide moi » dit Ahyeon en essayant d’arracher la protection plastique du mur pour prendre le plan avec elle.
Natty pose la torche prudemment avant d’aider à arracher le plastique.
Les filles continuent à avancer dans les couloirs labyrinthiques du bâtiment abandonné, scrutant chaque recoin avec attention.
Le silence pesant qui règne dans les lieux ajoute à leur anxiété alors qu'elles cherchent un moyen de s'échapper ou de trouver de l'aide.
« Les escaliers sont i… » commence Ahyeon avant de se faire interrompre par Natty « écroules en effet ».
« Merde » marmonne Ahyeon.
Les filles font demi tour en cherchant un autre moyen de monter à l’étage.
Soudain, Ahyeon s’exclame « LES ASCENSEURS ! »
« Y’a pas de courant ma belle » répond Natty en toisant Ahyeon.
« On peut essayer de remonter par les câbles » réponds Natty en avançant vers les ascenseurs.
« Et maintenant » demande Natty en regardant les deux ascenseurs fermés.
« On en ouvre un » répond Ahyeon avant d’enfoncer sa barre en fer dans la fente de la porte de l’ascenseur.
Natty s’approcher et aide à pousser la barre, ce qui entrouvre les portes de l’ascenseur.
« Putain mais ça a combien d’années » demande Natty.
« Probablement abandonné dans les années 90 » répond Ahyeon avant de jeter un coup d’œil dans le couloir d’ascenseur.
« Ok, l’ascenseur est au deuxième, il faut qu’on remonte depuis les câbles du deuxième, je n’arrive pas à le voir donc il nous bloquera pas dans l’ascension » dit Ahyeon a Natty.
« Moi qui pensait que tu étais une fille bête » dit Natty.
« Et qu’est ce qui te faisait croire ça ? » répond Ahyeon en enfonçant sa barre dans les portes du deuxième ascenseur.
« T’es amie avec Chaewon non ? » répond Natty en commençant à ricanner.
« T’es amie avec Jang et c’est pas pour ça que t’es bien élevée » répond Ahyeon en ouvrant les portes.
Natty se tait.
« T’es bonne en sports ou j’y vais ? » demande Ahyeon.
« Comment ça ? » demande Natty.
« Il faut remonter le câble comme du monter de corde » répond Ahyeon.
« Je vais surveiller ici » répond Natty.
« Ok, j’en ai pour 30 secondes » dit Ahyeon.
Ahyeon s'accroche fermement au câble de l'ascenseur et commence à remonter, faisant appel à toute sa force pour progresser.
Avec chaque tiraillement du câble, elle avance, grimpant de plus en plus haut, jusqu'à atteindre la deuxième cage d'ascenseur.
Une fois à son niveau, elle cherche un moyen d'accéder à l'intérieur pour poursuivre leur exploration ou trouver un moyen de sortir de ce bâtiment sinistre.
« Je vois pas de trappe » crie Ahyeon.
« Ni en dessous ni au dessus ? » demande Natty.
« Je vais voir au dessus » répond Ahyeon.
Une fois sur la cage d’ascenseur, Ahyeon s’exclame « Il y a bien une trappe mais elle est bloquée, je vais avoir besoin que tu montes ».
« Fais chier » répond Natty avant de grimper à son tour.
Ahyeon et Natty examinent la trappe de l'ascenseur, cherchant des moyens de l'ouvrir.
Elles tâtent les bords, vérifient s'il y a un mécanisme ou un loquet, et essaient de soulever la trappe avec leurs mains.
« On va devoir y aller à la manière forte » répond Natty.
« Doucement, les câbles n’ont pas été entretenus depuis des année, on sait pas si ça peut tenir le choc » répond Ahyeon.
Natty et Ahyeon échangent des regards déterminés alors qu'elles frappent la trappe de l'ascenseur avec force.
Chaque coup résonne dans le couloir vide, amplifiant le sentiment de tension qui règne dans l'air. Les battements deviennent de plus en plus forts.
Ahyeon tombe dans l'ascenseur avec un cri étouffé alors que la trappe s'ouvre brusquement sous les coups.
La chute d'Ahyeon dans l'ascenseur déclenche une réaction en chaîne, mettant l'ascenseur en péril.
Des grincements sinistres résonnent à travers le conduit métallique, accompagnés de craquements inquiétants. Les câbles se tendent et se relâchent sous la tension, menaçant de rompre à tout moment.
Natty se penche au-dessus de la trappe ouverte, le cœur battant, cherchant à apercevoir Ahyeon dans l'obscurité de l'ascenseur.
Elle entend un léger gémissement et voit Ahyeon se redresser, se tenant la cheville avec une grimace de douleur.
« Je t’en supplie me dit pas que tu t’es cassé la cheville » dit Natty.
« Non, ça m’a un peu secouée, toi aussi t’as ressenti la secousse ? » demande Ahyeon effrayée.
« Oui, t’avais raison à propos de la vétusté » répond Natty en regardant plus haut.
« On va se dépêcher d’ouvrir cette porte avant que ça ne s’effondre alors » répond Ahyeon en se relevant.
Elle enfonce la barre en fer dans la porte et essaie de l’ouvrir.
« Faut que tu descendes m’aider Natty je vais pas y arriver seule » dit Ahyeon en tirant sur la barre en fer.
« Si je descend, l’ascenseur va lâcher Ahyeon » répond Natty.
La structure métallique semble sur le point de céder, plongeant Natty dans une panique palpable alors qu'elle se rend compte du danger imminent.
Les deux filles s’échangent un regard inquiet alors qu’Ahyeon tire sur la barre en fer pour ouvrir les portes de l’ascenseur.
Elle entrouvre l’ascenseur suffisamment pour passer.
« Vas-y d’abord » dit Natty depuis le dessus de la cage d’ascenseur.
En relâchant légèrement la barre, les portes se referment brutalement, projetant Ahyeon contre une paroi de l’ascenseur et envoyant une nouvelle secousse.
L'ascenseur grince et vacille de plus en plus, les câbles craquent sous la pression croissante.
Des bruits métalliques stridents résonnent dans l'espace confiné, amplifiant la tension déjà palpable.
Natty ressent le sol trembler sous ses pieds alors que la menace d'un effondrement imminent plane dans l'air. Chaque seconde qui passe semble prolonger l'agonie, faisant monter l'anxiété à son paroxysme alors que l'ascenseur menace de lâcher à tout moment.
« SORS DE LA DEDANS AHYEON DÉPÊCHE TOI » hurle Natty.
Ahyeon attrape à nouveau la barre et coulisse les portes avec ses jambes avant de passer en sécurité sur le sol du deuxième étage.
Un claquement assourdissant retentit alors que les portes de l'ascenseur se referment avec violence, envoyant une nouvelle secousse à travers la cabine déjà instable.
Dans un instant de terreur, l'ascenseur lâche, entraînant Natty dans sa chute vertigineuse.
Le sol semble se dérober sous ses pieds alors que l'obscurité l'engloutit dans une descente effrénée.
La sensation de chute libre est accompagnée du vacillement et des craquements sinistres de la structure métallique en désintégration, créant un tableau terrifiant d'impuissance face à la gravité implacable.
« NATTY » hurle Ahyeon.
Ahyeon se penche au-dessus du vide, impuissante, son cœur se serrant d'angoisse alors qu'elle assiste à la scène terrifiante de Natty chutant dans l'obscurité abyssale de l'ascenseur défaillant.
Son visage pâlit devant la gravité de la situation, une bouffée d'adrénaline lui parcourant le corps alors qu'elle réalise l'ampleur du danger.
Le bruit assourdissant résonne dans tout le bâtiment, envahissant chaque recoin de l'enceinte déserte.
C'est comme si le son de la destruction s'étendait jusqu'aux tréfonds du sous-sol, annonçant la chute brutale de la cage d'ascenseur.
Une onde de choc se propage à travers les murs, témoignant de la violence de l'impact et de l'effondrement imminent de la structure métallique.
C'est un son sinistre, empreint de danger et de désolation, qui hante l'atmosphère déjà lourde de tension et de mystère qui règne dans le bâtiment abandonné.
« NATTY RÉPONDS MOI JE T’EN SUPPLIE » continue Ahyeon.
Alors que les yeux d’Ahyeon se remplissent de larmes, elle aperçoit Natty remonter le câble avec difficulté.
Chaque mouvement de sa camarade semble empreint d'une lutte acharnée contre la gravité et la peur qui les assaille.
La tension dans l'air est palpable, alors que chaque instant semble être une lutte pour la survie.
Dans le silence oppressant qui suit le bruit sourd de l'effondrement, le courage de Natty brille comme un phare d'espoir dans l'obscurité croissante qui les entoure.
Les larmes d'Ahyeon sont le reflet de ses propres craintes et de son impuissance face à la situation, mais aussi de sa gratitude envers Natty pour sa détermination et sa force dans l'adversité.
Natty arrive à hauteur de Ahyeon alors que celle ci lui tend la main.
« Saute je suis là » réponds Ahyeon en essuyant ses larmes.
Dans un geste de courage, Natty saute et attrape la main d'Ahyeon, qui lui offre son aide pour remonter. Leurs doigts se serrent dans un élan de solidarité et de détermination, alors qu'elles luttent ensemble.
Leurs respirations s'entremêlent dans l'air chargé d'émotions alors qu'elles se soutiennent mutuellement dans ce moment critique.
Natty se couche par terre.
« Putain j’ai failli y rester » soupire Natty avant de continuer « j’ai bien fait de me rattraper au câble sinon j’aurai finie en bouillie, par contre j’ai fait tomber la torche pendant la chute ».
« J’ai eu peur » réponds Ahyeon.
« Tu chialais ? C’est pas toi qui voulais me tuer tout à l’heure ? » réponds Natty en regardant Ahyeon d’un air moqueur.
« Ouais, ça m’aurait embêté qu’un stupide ascenseur te tue avant moi » répond t’elle en rigolant.
Ahyeon sort le plan de sa poche.
« La salle 307 est au fond à droite, on y est presque ».
Les filles avancent avec précaution dans les couloirs déserts, leur regard scrutant chaque recoin à la recherche de la salle 307.
« Et sinon, tu viens d’où, tu fais quoi… tout ça quoi » demande Natty alors que les deux filles cherchent la salle d’entretien technique.
« Je viens de Los Angeles, comme 90% des étudiants de notre fac, et je fais des études d’architecture, ce qui est un peu utile dans notre cas en l’occurrence » répond Ahyeon.
« Et genre.. chae tu l’aimes bien ? t’es vraiment amie avec elle ? » demande Natty.
« Je pense pas que ce soit le moment pour les ragots » réponds Ahyeon.
Après quelques instants de recherche tendue, elles repèrent enfin la salle 307.
« On y est enfin, j’espère qu’on a pas fait tout ça pour rien » s’exclame Ahyeon.
Natty s’avance pour ouvrir la porte.
« Évidemment elle est fermée » répond Natty.
Ahyeon regarde le plan.
« Non par contre pas de détour mortel encore une fois » continue Natty.
« Bouge pas, je suis là dans 2 minutes » répond Ahyeon en entrant dans une pièce accolée.
Natty patiente et en profite pour se ré-attacher les cheveux.
Soudain, un bruit de bris de vitre retentit.
Natty cherche d’où ça peut venir.
La porte de la salle 307 s’ouvre sous la stupéfaction de Natty.
« Comment t’as fais ? » demande Natty alors que Ahyeon lui tient la porte.
Ahyeon se décale et laisse Natty voir la fenêtre brisée.
« T’as escaladé ? » demande Natty.
« Il y avait un rebord entre les deux salles donc je suis passé et j’ai cassé la fenêtre » répond Ahyeon en souriant.
« Trop forte » marmonne Natty.
Natty et Ahyeon pénètrent prudemment dans la salle 307, leurs yeux balayant rapidement l'environnement à la recherche d'un générateur.
La pièce est sombre, éclairée seulement par la lumière filtrant des fenêtres couvertes de poussière. Elles distinguent quelques meubles recouverts de draps blancs et des étagères poussiéreuses, mais aucun signe évident de générateur.
Elles échangent un regard anxieux, réalisant que leur quête pour rétablir l'électricité dans le bâtiment pourrait s'avérer plus difficile que prévu.
« OH OUI » s’exclame Ahyeon devant le disjoncteur.
Ahyeon remet le courant.
Une sirène assourdissante résonne dans tout le bâtiment, remplissant chaque coin de l'espace de son son strident.
Son hurlement retentit comme un avertissement, faisant vibrer les murs et faisant frémir ceux qui l'entendent.
Le bruit déchirant coupe à travers l'air, créant une atmosphère oppressante et chaotique dans le laboratoire abandonné.
Les battements de cœur s'accélèrent alors que chacun se demande ce qui pourrait déclencher une alarme si redoutable dans un lieu aussi isolé.
Ahyeon abaisse l’un des disjoncteur coupant la sirène.
« Et la lumière fut » dit Natty, retirant les mains de sur ses oreilles alors que le bâtiment s’illumine petit à petit.
« Comment est-ce possible qu’un bâtiment abandonné depuis si longtemps ait encore l’électricité, et une si grosse sirène ? » se questionne Ahyeon.
« Aucune idée, allons retrouver les filles » réponds Natty.
Ahyeon regarde autour d’elle, pleins de documents éparpillés.
« Tu viens Ahyeon ? » demande Natty.
« Oui » répond Ahyeon en quittant la pièce.
Elles se retrouvent toutes les deux devant la porte d’ascenseur.
« Y’a aucun moyen de descendre, sauf si on fait du rappel en câble d’ascenseur » dit Natty.
« On risque rien d’autre » répond Ahyeon.
Avec détermination, Ahyeon prend de l'élan et saute vers le câble d'ascenseur qui pend dans le vide.
Ses doigts s'accrochent fermement au métal froid alors qu'elle se balance dans le vide, ses pieds cherchant désespérément un appui.
Elle parvient finalement à s'agripper au câble, ses muscles tendus sous l'effort.
Se tenant fermement, elle commence à descendre lentement, centimètre par centimètre, vers le niveau inférieur.
Elle se balance et atteint le rez de chaussé.
« À ton tour Fiona » ricanne Ahyeon.
« ATTENDS QUE JE DESCENDE TOI » crie Natty avant de descendre.
Les deux filles rigolent en avançant dans le couloir.
« T’aurais vu ta tête quand t’as cru que j’étais tombée » lance Natty.
« C’était des larmes de joie » tacle Ahyeon.
Natty lui donne un coup dans l’épaule avant de répondre « Je t’aime bien toi ».
Alors que les filles se rapprochent du lieu où elles ont laissé les autres filles, elles n’y voient personne.
« Elles sont parties sans nous les salopes ? » demande Natty.
Natty se rapproche d’un petit mot laissé par les filles.
« On est descendues au sous sol chercher des médicaments pour Youngseo »
« Mais quoi ? sans lumière ? » demande Ahyeon.
« Elles ont peut être fait une torche avant de partir » réponds Natty.
« Le feu est éteint, elles ont du partir il y a un moment déjà » répond Ahyeon.
Natty se fait une torche avant de repartir.
« Bon bah on y va » réponds Natty avant que les deux filles ne partent en direction du sous sol.
« Elles sont passées par où ? » demande Natty en regardant l’escalier effondré.
Ahyeon sort le plan et le regarde d’un peu plus près.
« Sois disant il y aurait un autre escalier qui mène au sous terrain dans le bâtiment B, on a juste à longer le bâtiment » continue Ahyeon.
Natty et Ahyeon s’enfoncent dans le bâtiment, leurs pas résonnant dans les couloirs sombres et silencieux.
La lumière éclaire à peine leur chemin, révélant des murs décrépis et des portes métalliques rouillées.
Elles avancent prudemment, jetant des coups d’œil rapides autour d'elles, leur souffle court et nerveux.
L'odeur de moisi et de renfermé emplit l'air, rendant l'atmosphère encore plus oppressante. Après plusieurs minutes de marche, elles atteignent enfin l'escalier.
« Elles sont vraiment descendues là dedans ? » demande Ahyeon écœurée.
« Probablement, allons y » répond Natty.
-POV HEESEUNG-
Heeseung se leva, essayant de savoir d’où venait la sirène.
Chae se lève à son tour.
« Des gens ont survécu ? » commence Chae.
« Arrête tes bêtises » répond Heeseung en fronçant les sourcils, le regard noir.
Chae baisse les yeux.
« Désolé » commence Hee, « Je pense qu’il y a des gens sur cette île ».
Heeseung attrape une machette laissée sur le côté de l’abri et s’adresse à Chae « Tu viens avec moi, on va se sortir d’ici ».
Chae se place aux côtés d’Heeseung alors qu’ils s’enfoncent dans la forêt.
« Une sirène ? sur une île perdue ? » se questionne Heeseung.
« C’est peut être une sirène de secouristes » répond Chae.
« Les secouristes ne peuvent pas être déjà là, le crash a eu lieu il n’y a que quelques heures » répond Heeseung.
Heeseung et Chae, se frayant un chemin à travers les arbres de la dense forêt, avancent avec détermination malgré l'obscurité grandissante.
Leurs pas résonnent sur le sol recouvert de feuilles mortes, créant un écho dans le silence oppressant de la nuit. Les ombres mouvantes des arbres semblent les guider.
Chae, sa main serrée dans celle de Heeseung, le regarde avec une confiance silencieuse, trouvant du réconfort dans sa présence alors qu'ils s'aventurent plus profondément dans l'inconnu.
« Lâche pas ma main » lui dit Heeseung en la regardant.
« T’en fais pas je te lâche pas » répond Chae.
Ils tombent tous deux sur un morceau de carcasse de l’avion.
« Reste la et garde moi ça, je vais voir si il y a des trousses de soin ou des bouteilles d’eau » dit Heeseung en laissant sa machette à Chae.
Chae l’écoute et s’assoit par terre.
Heeseung fouille frénétiquement les débris d'avion, espérant trouver quelque chose d'utile.
Il scrute chaque recoin, déplaçant les débris avec précipitation, cherchant des indices qui pourraient les aider, lui et Chae, à trouver de l'aide ou un moyen de sortir de cette situation désespérée.
Ses mains fouillent rapidement les débris, espérant trouver une lueur d'espoir parmi les ruines du crash.
Il trouva une petite bouteille d’eau.
« Chae regarde ! » s’exclama t’il en lui montrant la bouteille d’eau, tout fier et souriant.
Elle applaudit en souriant.
Le sourire de Chae s'effaça brusquement alors qu'une silhouette sombre surgit soudainement derrière Heeseung, lui assénant un violent coup à l'arrière de la tête.
Le corps inanimé de Heeseung s'effondra au sol, laissant Chae seule.
« HEESEUNG » hurla Chaewon avant de se couvrir la bouche.
Son visage se figea dans une expression de choc et de peur tandis qu'elle observait la scène avec horreur, réalisant que leur situation venait de prendre un tournant sombre et menaçant.
FIN DE L’ÉPISODE 2.
1 note
·
View note