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Il y a une douleur en moi, si intense qu’elle me brûle de l’intérieur. C’est comme un feu qui dévore tout sur son passage, mais que personne ne voit. Chaque jour, je me bats pour garder le masque, celui qui fait croire à tout le monde que je vais bien. Je fais semblant, parce que c’est ce qu’on attend de moi, parce que c’est ce que la vie exige. Mais à l’intérieur, je m’effondre.

Personne n’a réussi à voir ce que je cache au fond de moi. Ils ne perçoivent que ce que je leur laisse entrevoir, une version de moi filtrée et contrôlée. Ils ne voient pas la douleur qui m’étouffe, ni la peur qui grandit chaque jour. Une peur viscérale, une souffrance que je porte en silence, comme un fardeau trop lourd pour mes épaules.

Je me sens seule, terriblement seule, perdue dans mes pensées, noyée dans mes propres émotions. Je n’ose pas me plaindre, parce que je me dis qu’il y a sûrement pire ailleurs, que ma douleur n’est peut-être pas légitime. Mais malgré tout, j’ai besoin d’être vue, d’être reconnue. J’ai besoin qu’on me prenne dans ses bras, ne serait-ce qu’un instant, juste pour sentir que je ne suis pas invisible.

Je sens parfois que je perds pied, que ma tête vacille sous le poids de cette peine que je ne parviens pas à exprimer. J’ai envie de hurler, de tout laisser sortir, mais je reste silencieuse, prisonnière de cette souffrance.

Et je continue à avancer, à jouer ce rôle, à sourire, même quand chaque battement de mon cœur est une épreuve. Parce que c’est ça la vie, paraît-il. Mais moi, j’ai juste envie qu’on me voit, qu’on me comprenne, qu’on entende ce cri muet qui résonne en moi.

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Le deuil est une expérience profondément personnelle et bouleversante. Lorsqu’une personne traverse cette période, elle peut se sentir submergée par une palette d’émotions complexes. La douleur est souvent omniprésente, comme un poids invisible qui oppresse le cœur et rend chaque respiration plus lourde. Il y a un sentiment d’absence, un vide qui ne peut être comblé, et parfois même une sensation de désorientation, comme si le monde autour d'elle avait perdu ses repères.

La tristesse peut s’installer, envahissant chaque moment de la journée, transformant des souvenirs joyeux en un rappel constant de ce qui a été perdu. Parfois, cette tristesse est ponctuée de colère, une colère sourde contre l’injustice de la perte ou l’impuissance face à ce qui ne peut être changé. Il peut aussi y avoir de la culpabilité, un sentiment diffus que la personne endeuillée aurait pu faire ou dire quelque chose de plus avant la disparition.

Le deuil, c’est aussi cette étrange solitude, même entouré de monde. Il peut sembler que personne ne comprend vraiment la profondeur de ce qui est ressenti, car chacun vit cette épreuve différemment. On peut se sentir isolé dans sa peine, incapable de trouver les mots pour exprimer ce qui se passe à l’intérieur.

Avec le temps, le deuil ne disparaît pas, mais il évolue. La douleur ne s'eff

Je me surprends parfois à chercher des traces, des souvenirs, comme pour me rassurer que ce n'était pas un rêve. Mais le manque est là, bien réel. Je me sens seul, même quand je suis entouré de gens. C'est comme si personne ne pouvait vraiment comprendre ce que je traverse, même si je sais qu'ils essaient.

Il y a des jours où je me sens totalement épuisé, pas seulement physiquement, mais émotionnellement. Le simple fait de traverser la journée me demande une énergie que je ne pensais pas manquer. Parfois, je me demande si cette douleur va s'estomper, ou si elle restera gravée en moi pour toujours.

Et puis, il y a cette peur aussi, celle d'oublier avec le temps. J'ai peur que les souvenirs s'estompent, que la présence que j'ai perdue devienne plus floue dans mon esprit. Pourtant, malgré tout cela, je m'accroche, parce que je sais qu'il faut avancer, même si je ne sais pas encore comment.

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Palestinians perform prayers on the ruins of a Masjid in Rafah

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Aujourd'hui est un jour noir,où la bête cauchemardesque qui m'habite prend toute la place en moi. Elle m'envahit et m'entrave, m'empêchant même de bouger, et j'ai à nouveau ce nœud juste là, sous mon plexus solaire qui grossit grossit grossit me ronge et m'avale tout entière.J'ai envie de vomir, de pleurer, de crier m'enfermer, me cloîtrer, m'étouffer. Je ne suis pas censée le dire je n'en ai pas le droiton nous le fait tellement comprendre chaque jour mais à ce moment-là je vous assure je vous jure et je vous supplie de bien vouloir croire que je voudrais disparaître. Parfois, on fait face à des épreuves plus fortes que nous. On a mal, on titube, on tombe. La vérité, c'est qu'on s'écroule devant la hauteur de la vague qui nous submerge. Elle plonge notre tête sous l'eau, nous l'y maintient, nous écorche, et on est si faible qu'on devient incapable de nager vers la surface.

Pendant un temps, on essaye, on bat des jambes et des bras, du mieux qu'on peut, mais on finit par replonger plus bas qu'on ne l'était déjà. Alors on se laisse couler, lesté par ce poids devenu trop grand, trop important pour une seule personne. Les premières crises arrivent, on manque d'oxygène, on suffoque, et ça fait si mal de se sentir ainsi manquer d'air, de ne plus être capable de respirer normalement. C'est une descente infinie aux abysses, dans les profondeurs enfouies de l'océan, des trépas que personne ne souhaiterait un jour visiter de son plein gré, au risque d'être pris aux griffes avec des bêtes bien plus puissantes que soi. Mais il arrive un jour où l'une de nos trop nombreuses entailles se referme, et on se dit que peut-être les autres finiront aussi par cicatriser, avec le temps. Pris d'un élan d'espoir, on réalise que c'est peut-être possible, qu'il y a d'autres nageurs, comme nous, qui ont été renversés et qui ont coulé, d'autres, peut-être, qui ont côtoyé le fond de l'eau de si près qu'ils ont cru ne jamais pouvoir en revenir. Alors on cherche en soi tout ce qu'il nous reste et on nage, on nage de toutes nos forces pour remonter à la surface.

C'est compliqué, parfois très dur ou hasardeux, mais il y a un moment où tu sors enfin la tête de l'eau, et alors pour la première fois depuis longtemps tu respires, et tu te sens vivre. Finalement, ce n'est pas tant la raison pour laquelle la vague nous a engloutis qui importe, mais la volonté dont on fait preuve pour ne pas se noyer.

et ce soir de nouveau je craque parce que je n'oublie pas que le seul endroit où tu demeures encore est celui de mes souvenirs

« Vivre, c'est danser,j'aimerais mourir à bout de souffle, épuisée, à la fin d'une danse ou d'un refrain. »

J'ai appris à danser bien avant d'apprendre à vivre.Les premiers pas, la chute, et puis, le noir. Je pensais devoir attendre que le soleil revienne. Je l'espérais si fort que je l'ai même écrit. Puis j'ai compris qu'on ne pouvait pas passer sa vie à attendre.J'ai compris qu'il fallait vivre, malgré les intempéries. Vivre avec elles, les accepter et apprendre à les dompter, parce qu'il n'y a pas d'autre moyen de s'en sortir.

Alors, on se relève, on prend chacune de nos blessures par la main, on les embrasse et les assemble, mises bout à bout comme les pas de la plus résiliente des chorégraphies, et on danse. On danse pour résister. On danse pour s'affirmer. On danse pour se sauver.



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One of my favorite pieces of advice is to always be true to yourself. It's important to know who you are, what you believe in, and what you want out of life. When you're true to yourself, you'll be more confident, more fulfilled, and more likely to attract the right people and opportunities into your life. So always stay true to yourself, even when it's hard, and you'll be okay.

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You're going to meet people that are going to show up for you

You're going to meet people that are going to love you unconditionally

You're going to meet people that are going to notice when you're not yourself ... when you feel down and no one else notices... they're going to notice you.

They're going to see you

You're going to be seen in ways you never thought you would

All that bandage you've put over your wounds to cover up & pretend that they're not there and smile away into the world because why speak up when you've never been heard ?

You're going to meet people that are patient with you, gentle with you. People who will try to understand you even when you feel like you're not making sense

You deserve that, you deserve more than that and I hope you never sit in your sorrows thinking you won't receive those things, thinking you aren't worthy of it

You are.