#aux yeux bleus
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Un touriste français, célibataire, séjourne au Portugal. Un soir, il se rend dans un bordel et demande à la tauliÚre : - Je voudrais une fille blonde, aux yeux bleus, et qu' elle soit bien épilée. - Oui, monchieur, une fille blonde aux chyeux bleus et bien épilée, vous challez chambre dix-chuit. Le gars entre dans la chambre 18 et voit une fille toute nue sur le lit. Mais elle est brune, elle a des yeux foncés et une épaisse toison entre les jambes. Alors, il retourne à l'accueil et dit : - Ca ne va pas. Chambre 18, la fille est tout le contraire de ce que je voulais. - Ma non, monchieur. Che viens avec vous. Ils entrent tous les deux chambre 18 et le client dit : - Regardez, elle est brune. - Maria, enlÚve ta perruque ! La fille s'exécute, et elle a de beaux cheveux blonds. - Oui, mais elle n'a pas les yeux bleus. - Maria, enlÚve tes lentilles de contact ! La fille fait ce qu'on lui dit, et elle a de beaux yeux bleus. - Oui, mais elle n'est pas épilée. - Maria, bouche un peu, pour chacher les mouches !
#Un touriste français#célibataire#séjourne au Portugal. Un soir#il se rend dans un bordel et demande à la tauliÚre :#- Je voudrais une fille blonde#aux yeux bleus#et qu' elle soit bien épilée.#- Oui#monchieur#une fille blonde aux chyeux bleus et bien épilée#vous challez chambre dix-chuit.#il retourne à l'accueil et dit :#- Ca ne va pas. Chambre 18#la fille est tout le contraire de ce que je voulais.#- Ma non#monchieur. Che viens avec vous.#Ils entrent tous les deux chambre 18 et le client dit :#- Regardez#elle est brune.#- Maria#enlÚve ta perruque !#La fille s'exécute#et elle a de beaux cheveux blonds.#mais elle n'a pas les yeux bleus.#enlÚve tes lentilles de contact !#La fille fait ce qu'on lui dit#et elle a de beaux yeux bleus.#mais elle n'est pas épilée.#bouche un peu#pour chacher les mouches !
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JOUNAL2 Coste hubert red chaussee AIDANT POUR ME LANGER jour nuit M'insaller dans mon fauteuil recherchent amis daddys AIME ETRE LANGER ET CUOTTE C1OCHOU
RAP RIMES PROSES REFRAINS
#lucien#depatement franche comte bourgogne dijon cartier de la fontaine ouche 21OOODIJON PAYS FRANCE NE LE 3 JUIN 6 1955#ARTISTE IMC HANDICAPE MOTEUR EDDIER ROMAN ST HONNORE LIBRAIRIE PARIS LA LOUVE AUX YEUX BLEUS#VOUE POUVEZ COMMANDE MES HUMBLES GOSPELS POEMES CONTE MAIL#JE COMPOSE POEMES SUR PORTRAIT PHOTOS DE PERSONNES VIVANTES SUR CERTAINS YABLSAUX DE PEINTRES DANS LA NATURE#COMPOSE DU RAP PROSES RIMES
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Good Golden morning for Anthony
The next morning, at exactly 7am, Anthony is woken from his sleep by a notification on his phone. A message from Waltergold containing a video. Still half asleep, he unlocks his phone and opens the video. The screen flickers with a strange mix of white and Gold lights, hypnotic. The soundtrack, a low, repetitive melody, fills his ears as he instinctively puts on his headphones.
He hesitates for a moment. He knows the video is an hour long, but he can't help but stare at the screen, fascinated by the Golden sparkles dancing before him. "It's just a video," he tells himself. Yet something about the flicker captivates him more than he would like. Gradually, his eyelids become heavy, and his mind blurs, as if he's dissolving into the Golden flow.
Lorsquâil cligne enfin des yeux, une heure sâest Ă©coulĂ©e sans quâil ne sâen aperçoive. Il regarde lâhorloge de son tĂ©lĂ©phone, incrĂ©dule. Il est 8h15. « Merde, je suis en retard ! » Son cĆur sâemballe. Il sursaute, se prĂ©cipite vers la salle de bain. Sous la douche, une pensĂ©e Ă©trange lui traverse lâesprit. Il se souvient dâun dĂ©tail presque oubliĂ© ; lors de son entretien dâembauche, son patron avait Ă©voquĂ© un code vestimentaire au travail. Ă lâĂ©poque, Anthony nây avait pas prĂȘtĂ© attention, prĂ©fĂ©rant ses vĂȘtements dĂ©contractĂ©s. Mais aujourdâhui, pour une raison quâil nâarrive pas Ă expliquer, cette rĂšgle lui paraĂźt soudain indispensable.
En sortant de la douche, ses mains s'attardent plus longtemps que d'habitude sur son visage, son menton, ses cheveux. Il se sent Ă©trangement prĂ©occupĂ© par son apparence. Il ouvre son placard et, au lieu de prendre sa tenue dĂ©contractĂ©e habituelle, il se retrouve Ă chercher des vĂȘtements plus formels. Son esprit est embrumĂ©, mais une certitude Ă©merge : il doit se conformer. C'est comme si une voix intĂ©rieure lui disait que suivre les rĂšgles est la seule option.
Il sort une chemise en coton blanc immaculĂ©. La matiĂšre est douce, presque soyeuse sous ses doigts. Il la fait glisser sur son torse, ajustant chaque bouton avec une prĂ©cision mĂ©ticuleuse. Puis, il attrape un pantalon gris anthracite, en laine lĂ©gĂšre. Il ne se souvient mĂȘme plus pourquoi il a ce pantalon, mais il le trouve parfait aujourd'hui. Enfilant de fines chaussettes noires et des chaussures de ville en cuir noir brillant, il est surpris par la sensation du cuir sur sa peau, raide et structurĂ©e, Ă l'opposĂ© du confort de ses baskets habituelles.
Devant le miroir, il hĂ©site avant dâajouter une cravate bleu marine, Ă peine texturĂ©e. Il lâenroule autour de son cou, serrant le nĆud avec une prĂ©cision surprenante pour quelquâun qui en a Ă peine portĂ© une. La soie de la cravate glisse doucement entre ses doigts, et il ajuste le nĆud jusquâĂ ce quâil soit parfaitement centrĂ© et serrĂ©. Un dernier dĂ©tail saute aux yeux : ses cheveux. Il ramasse un pot de gel qui traĂźnait dans son tiroir, se demandant briĂšvement pourquoi il fait ça, puis lâapplique gĂ©nĂ©reusement, en peignant ses cheveux sur le cĂŽtĂ© avec une raie parfaitement visible. Le gel brille Ă la lumiĂšre, fixant ses cheveux impeccablement. En voyant son reflet, il se sent Ă la fois Ă©trangement satisfait et troublĂ©. Pourquoi cette obsession soudaine ?
As he leaves for the office, a feeling of absolute control washes over him. The tight, well-fitting clothes reinforce a sense of discipline he has never felt before. The wool of the pants gently rubs against his legs with each step, the collar of his shirt is slightly tight around his neck, and the knot of his tie exerts a constant, almost reassuring pressure.
At the office, reactions are quick to come. As soon as he walks through the door, his colleagues look up, surprised. This sudden change in style does not go unnoticed.
âWow, Anthony, this is the first time Iâve seen you dressed so smartly!â exclaims one of his colleagues.
âDo you have an interview with the bosses or something?â jokes another.
Anthony sketches an awkward smile, his cheeks slightly red, not really knowing what to say. He shrugs, mumbling something unintelligible about a âchange of moodâ. But thatâs not the real reason. He knows it. Thereâs this inner voice, this impulse that pushed him to put on these formal clothes. He has a hard time understanding it, but itâs there, still echoing in his head.
Throughout the day, he receives compliments on his appearance. He finds himself enjoying the admiring glances. Yet, every chance he gets near a mirror, he canât help but check his hair, running his hand through the gel to make sure his parting is still well defined. His tie knot becomes a silent obsession, which he adjusts constantly, even when no one is looking.
Despite the remarks and questions, Anthony easily focuses on his work. His thoughts also often drift to that morning video, to that strange feeling of obedience that now seems anchored in him. A part of him still resists, trying to understand what is happening, but another part, deeper, feels good in this new version of himself, more disciplined, more compliant.
The day finally ends. Anthony quickly greets his colleagues, escaping their curious glances, and goes home. He breathes a sigh of relief as he closes the door to his apartment behind him, but even at home, he cannot get rid of this strange feeling of discomfort and satisfaction mixed together.
(End of Part 3)
(Part 2)
#preppification#conformity#golden army#gold#ai generated#hypnotized#brainwashing#preppy#suit and tie#join us#gay men
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nsdp 73 le sorcier aux yeux bleus 1973
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saga : Soumission & Domination 379
Dernier trimestre à Berkeley - Mexique Cancun + Grégoire
De retour en Californie, la vie reprend son cours. Mes amĂ©ricains se font questionner sur la façon qu'on les Français de fĂȘter la fin d'annĂ©e. Ils restent discrets mĂȘme Duke avec ses potes de sexe. Ils restent sur le registre gastronomique et expliquent ce qu'ils ont mangĂ©s de spĂ©cial.
Quand les parents de Max arrivent avec mes beaux-parents, avec Dan je leur fait visiter tout San Francisco. Ils apprécient l'origine de la ville avec le monastÚre mais aussi Castro le cartier gay et ses maisons victorienne de toutes les couleurs. On ne s'affranchi pas des Pink Ladies pas plus que du quai aux phoques. Ils hallucinent devant la carte de chez Dotties. Nous les lùchons aprÚs 3 jours en leur répétant de bien respecter le code de la route local alors qu'ils vont faire quelques parcs nationaux. Ils repartent ravis de leur séjour. J'ai encore marqué quelques points avec ce cadeau de Noël.
Pendant ce temps l'exploitation était aux mains de CÎme aidé d'un premiÚre année de son école d'ingénieur agro. Appel de CÎme avant la fin du séjour de ses parents aux USA, il voulait savoir s'il pouvait présenter sa recrue de premiÚre année à Jona pour un recrutement parmi mes escorts. Il m'envoie les tofs du jeune mec. Ok, il a tout pour lui. Grand brun aux yeux bleus avec des épaules larges, bassin étroit mais cul trÚs rond, deux jambes musclées mais le tout un peu trop poilu. CÎme me dit qu'il lui avait déjà parlé de ce détail et que c'était pas un problÚme pour lui de passer à l'épilation.
Il m'explique comment il en est arrivé là .
Quand il a pris l'exploitation de ses parents en charge alors que ces derniers étaient avec moi, il s'est vite aperçu que le gamin n'était pas farouche et qu'il tombait facilement la cote et le t-shirt quand il travaillait dans les bùtiments.
Comme il sait que j'ai besoin réguliÚrement de " nouveauté " pour ma société, il avait tùté le terrain (littéralement parlant) en prenant une douche à ses cÎtés dans le studio dédié aux stagiaires. Là , le gamin s'est montré trÚs entreprenant puisque c'est lui qui n'a pas hésité à proposer ses services pour laver le dos de CÎme.  De son dos il a glissé entre ses jambes et lui a savonné l'entrejambe jusqu'à ce qu'il bande ferme. CÎme le laissant faire, il s'est agenouillé pour rendre hommage à la saine réaction de mon beau-frÚre par une pipe bien menée.
CĂŽme le voyant se mettre des doigts dans le cul lui a proposĂ© de le dĂ©panner par une bonne saillie. Pas de refus du gamin qui s'est aussitĂŽt retournĂ© et pliĂ© en deux. Le temps de prendre une kpote, de l'enfiler et mon CĂŽme lui remplissait le boyau. Prise de plaisir conjointe et cela s'est rĂ©pĂ©tĂ© tous les jours et parfois 2, 3 fois. GrĂ©goire (le gamin, 18 ans quand mĂȘme) lui a expliquĂ© qu'il se savait attirĂ© par les mecs depuis quelques annĂ©es et qu'il ne s'Ă©tait pas privĂ© de tester ce penchant. Qu'il Ă©tait sain mĂȘme s'il n'Ă©tait pas puceau car il faisait attention avec qui il sortait et que la kpote Ă©tait obligatoire pour entrer dans son cul et de mĂȘme en situation inverse.
à la question sur l'utilisation de sa généreuse bite (20x5), sa réponse a été qu'il s'en servait sans problÚme sur les culs plus jeunes que le sien mais avait du mal avec les mecs plus ùgés. Avec eux il se sentait mieux en position passive. Probablement une conséquence de son dépucelage par un stagiaire de son pÚre (exploitant agricole aussi) de 4 ans son ainé.
En attendant, avec un tel parcours et physique je donne mon accord pour qu'il aille voir Jona et j'envoie Ă ce dernier les instructions le concernant.
Une semaine plus tard, nouvelles photos dont l'officielle en maillot Aussiebum, bien ! L'épilation laisse ressortir sa masse musculaire qui ne demande qu'à prendre encore un peu de développement avec nos séances sportives, une coupe de cheveux plus dans l'Úre du temps et il rejoint les canons de ma boite (aprÚs analyses médicales bien sûr).
En Californie, mes amis ont dĂ©cidĂ© de fĂȘter ma rĂ©ussite Ă l'examen que j'ai passĂ© par une semaine Ă Cancun (Mexique). Nous faisons une premiĂšre Ă©tape chez les parents d'un des participants Ă Los Angeles puis en avion nous traversons le Mexique.
0n pourrait croire que nous sommes encore aux USA vu la population si cette derniÚre n'était pas aussi alcoolisée.
On se pose dans un grand hĂŽtel avec piscines et nous prenons 4 suites contigĂŒes. Pour faire notre " marchĂ© ", entre la plage et les terrasses de bars ou de piscines d'hĂŽtels (et pas que le nĂŽtre), ce n'est pas le choix qui manque. Toutes les teintes de cheveux et de peau sont prĂ©sentes.
On se challenge à qui ramÚnera la plus belle " salope " à baiser. Le top sera celui qui se fera baiser par tous les trous et par tout notre groupe. Les deux premiers jours, passent entre baiser à couilles rabattues et repérage de cette perle. La plus part sont hétéro mais, avec un coup dans l'aile, ils se laissent persuader assez facilement de tester le rapport gay.
Je trouve ce que j'espĂšre ĂȘtre le choix du roi dans l'hĂŽtel d'Ă cĂŽtĂ© du notre.
Le mec : blanc mais bronzĂ©, dans les 1m80 musclĂ© mais moins que nous, blond imberbe avec un visage d'ange et des yeux bleus Ă se noyer dedans. Le maillot qu'il porte lacet desserrĂ© semble tirĂ© vers le bas par un outillage de bonnes dimensions ses fesses bien rondes l'empĂȘchant de glisser Ă ses genoux. C'est dĂ©cidĂ© c'est lui que je ramĂšne !
Il est avec un groupe de pote de 2/3 ans de moins que nous. Je demande à Dan de m'aider. Je suis à son hÎtel et quand on le repÚre prÚs de la piscine, je me hùte de grimper au 2Úme étage. Trouver une chambre ouverte me permettant d'accéder à un balcon est chose facile. De là , je plonge dans le bassin au plus prÚs du groupe. Dan se charge d'ameuter sur ma prestation. C'est lui aussi qui encourage ma proie à m'aider à sortir de l'eau.
Donc le mec me tend le bras. J'hĂ©site entre le faire tomber Ă l'eau en l'attirant Ă moi ou une fois sorti, le coller. Je choisi la deuxiĂšme option.  Quand il me tire de l'eau, je me colle Ă lui en faisant semblant d'ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©. Il me prend dans ses bras et je fais de mĂȘme. Ma bouche se pose comme par hasard sur les siennes. Il ne me repousse pas dans l'eau. Je passe mon bras derriĂšre son cou et ouvre la bouche pour un patin. Il met quelques secondes avant d'ouvrir la sienne en essayant de reculer sa tĂȘte pour parler je pense. Ma langue qui pĂ©nĂštre rencontre la sienne. Là ça devient magique. Dans un film, il y aurait eu plein d'effets spĂ©ciaux autour de nos deux corps collĂ©s.
Là , je ressens juste qu'il ne cherche plus à s'écarter de moi et que son maillot gonfle contre ma cuisse. J'entends les sifflements de ses potes, ce qui semble lui échapper. Il bande franchement et maintenant il hésite à s'écarter, car ce n'est franchement plus trÚs discret !
Je dĂ©colle mes lĂšvres de siennes et lui propose de continuer sa journĂ©e avec moi. Il est ok avec cette idĂ©e. C'est ça qui est bien dans ce genre de dĂ©lire, tous les participants sont prĂȘt Ă tout !!
Je passe mes mains entre nos deux corps et remet sa queue dans son maillot et noue le lacet pour Ă©viter qu'elle sorte Ă nouveau. Il se tourne Ă peine vers ses potes et leur dit qu'il les retrouvera plus tard.
On part Ă 4 de l'hĂŽtel pour rejoindre une fĂȘte organisĂ©e sur la plage. Dan n'avait pas perdu de temps et s'Ă©tait trouvĂ© lui aussi un petit mec en attendant que je fasse mon affaire. Mignon mais moins que le mien ! Le fait que je n'ai pas cherchĂ© Ă lui sauter dessus tout de suite a rassurĂ© ma proie. Nous passons quelques heures Ă danser, boire, se frotter (il y a trop de monde pour ne rĂ©ussir qu'Ă se frĂŽler !). Mon petit mec a passĂ© plus de temps la queue raide collĂ© contre moi que mou. Comme avec les potes nous avions dĂ©cidĂ© de faire un point vers les 18h tous Ă notre hĂŽtel, nous rentrons. Brad, ma conquĂȘte, est rassurĂ© de nous savoir voisins. Par contre quand nous arrivons Ă nos suites et qu'entre les 4 navigue un vĂ©ritable ballet de beaux mecs qui ne se gĂȘnent pas pour s'embrasser et plus, il me dit qu'il va y aller.
Je l'attrape par la taille et le colle Ă moi. Une nouvelle pelle bien appuyĂ©e oĂč je mets toute ma science du sujet lui ĂŽte cette idĂ©e de la tĂȘte. Ăa plus ma main qui est venu attraper sa bite par-dessus le maillot et qui serre un morceau bien raide et circoncis.
Timidement je sens ses mains parcourir mon corps et se fixer, elles aussi, sur ma bite. Je bande comme un Ăąne et mon gland est sorti de mon trunk Aussiebum. Ma main droite sur sa nuque l'invite Ă descendre me tailler une pipe. Il rĂ©siste, tourne la tĂȘte vers moi et me dit ne plus ĂȘtre trop sĂ»r de vouloir aller plus loin. Avant qu'il ne se ravise complĂštement, je tombe Ă ses genoux et embouche sa queue jusqu'Ă la garde. Quand son gland pĂ©nĂštre ma gorge, il a un sursaut mais je l'entends gĂ©mir malgrĂ© la musique forte qui baigne tout l'hĂŽtel en provenance de la piscine. Ses mains se posent sur ma tĂȘte et me maintiennent. J'ai gagnĂ© je le sens ! Quand je me redresse, il me rend la pareille Ă genoux devant moi. Ăa commence assez dĂ©sordonnĂ© mais avec quelques conseils il s'amĂ©liore rapidement. Pour les gorges profondes, il s'y essaye mais s'Ă©trangle vite.  Je le tire par les Ă©paule et collĂ©s on se re-roule un patin. LĂ , plus de retenue du tout, il lance sa langue dans ma bouche Ă la recherche de la mienne, quand je l'enfonce dans sa bouche, il me la tĂȘte, j'adore !
A nos cotĂ© ça commence Ă baiser aussi. Je profite de notre diffĂ©rence de format et de muscles pour l'attraper par les hanches et le basculer tĂȘte en bas. Ses mains l'assurent en Ă©quilibre du coup j'ai sa rondelle sous mes yeux. Vu sa forme, je suis sĂ»r qu'elle n'as pas dĂ» servir souvent dans le sens inverse de sa fonction. Petite trĂšs plissĂ©es et ronde, j'en suis mĂȘme Ă me demander s'il n'est pas vierge du cul. Comme elle est bien propre je la lui enduis de salive et coinçant son bassin contre mes pecs, use de mes doigts pour la faire pĂ©nĂ©trer au-delĂ du premier sphincter.
Il ne peut se dĂ©fendre, occupĂ© Ă garder son Ă©quilibre. J'assouplis donc son petit oignon qui gentiment s'ouvre. Ses " no, no " du dĂ©but laissent place Ă un silence qui me fait penser qu'il y trouve son compte. Quand je lui mets mes deux index ensemble sans refus exprimĂ©, j'estime qu'il est temps de passer Ă la vitesse supĂ©rieure et d'user de la partie de mon anatomie prĂ©vue pour cela. Je le redresse, et lui roule Ă nouveau une pelle. Ne pas le laisser penser qu'il peut en ĂȘtre autrement que mon dĂ©sir de l'enculer. Il ne rechigne pas Ă se mettre Ă 4 pattes comme quelques-uns autour de nous. Je me kpote, ajoute une couche de gel bien Ă©paisse et autant dans sa fente et je le monte.
Petit coup sec pour faire pénétrer mon gland. LégÚre douleur, premier gémissement. J'appuis et grùce au gel m'enfonce sans qu'il ne puisse résister. Impression géante, ma bite est compressée sur la totalité de ses 20cm. Pour lui aussi l'impression est spéciale et vu comme il gémit, plutÎt pas si mal !
J'y vais doucement, je veux que tous les deux on prenne du plaisir il se cambre et tend sa tĂȘte vers moi. Je me penche un peu et nos langues se touchent, se collent, se battent alors que ma bite agit comme un piston dans son cul. Il commence a bien y prendre goĂ»t ce petit amĂ©ricain !! Dans la suite, ça bouge, les plans Ă©voluent autour de nous. Moi je reste sur mon plan. Par contre de la levrette, nous passons Ă une position face Ă face. Alors que je suis toujours dans son cul, je le regarde. Ses yeux son fermĂ©, il est Ă l'Ă©coute des sensations que son corps lui remonte. Plus je le lime plus son sourire s'Ă©largit. Ses lĂšvres pleines m'attirent et je pose les miennes dessus en attendant sa rĂ©action. Il les entrouvre lĂ©gĂšrement et sort un petit bout de langue. La mienne vient au contact. Et s'est reparti. Je m'Ă©crase contre lui, ses cuisses s'Ă©cartent pour faire place Ă mon bassin. Je sens une lĂ©gĂšre grimace mais le contact est plus " intime ". Je m'active Ă perforer sa rondelle avec toute la science que j'ai pu accumuler. Ses gĂ©missements montent crescendos et sans prĂ©venir je sens couler son jus entres nos abdos collĂ©s. Au mĂȘme moment sa rondelle se contracte spasmodiquement et ce con, il me fait juter aussi.
Comme je me retire avant d'ĂȘtre complĂštement dĂ©bandĂ© et de perdre ma kpote dans son cul, je me fais remplacer par un de mes potes. Ma recrue n'as pas le temps de protester que la bite XL de mon remplaçant lui dĂ©fonce le cul.
Il va pour protester que c'est pour moi qu'il Ă©tait venu, je lui clous le bec d'une pelle et lui dis que ça me fait plaisir qu'il fasse celui de mes amis. Il accepte mais bien pour me faire plaisir, c'est tout ce que je demande ! Â
Cette touze sera la plus rĂ©ussie de notre sĂ©jour au Mexique. GrĂące Ă mes amis, j'y aurai baisĂ© les 12 mecs que nous avions ramenĂ©s. Aucun n'aura eu la saveur de celui que j'avais rapportĂ© moi-mĂȘme. Quand nous l'avons laissĂ© rejoindre son propre groupe de potes, il m'a dit qu'il ne m'en voulait pas mĂȘme si je lui avais quand mĂȘme un peu forcĂ© la main.
Jardinier
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"My Dear Puppet"
FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
⊠âŠÂ âŠÂ âŠÂ ⊠âŠÂ
Unity laisse Ă©chapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite piĂšce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutĂŽt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Ătonnant quand on sait oĂč elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les Ă©gouts plus prĂ©cisĂ©ment.
On lui a prĂ©parĂ© spĂ©cialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y ĂȘtre. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvĂ©s dans les rues que les tagueurs utilisĂ©s pour marquer leur prĂ©sence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ăa change encore de l'idĂ©e qu'elle se faisait d'un mur d'Ă©gouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putrĂ©faction quelconque ou d'eau croupie lĂ depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato Ă©tait facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il Ă©tait donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensĂ© qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complĂštement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait dĂ©jĂ dĂ©cider de la ramener a peine avait-elle posĂ© les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas acceptĂ© de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frĂšre, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais mĂȘme si elle Ă©tait devenue une otage, le but Ă©tait d'arriver ici, et elle avait rĂ©ussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donnĂ© : "Unity". Ătonnant qu'ils n'aient pas rĂ©agi Ă un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnĂ©e de te voir rĂ©ussir aussi facilement alors que mes autres petits laquĂ©s n'avaient mĂȘme pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. RĂ©pond Unity avec un ton sans joie ni mĂȘme fiertĂ©.
-Ah ah ah! Bien sĂ»r! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut ĂȘtre l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi Ă prĂ©sent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amÚnerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boßte noire.
-Oh! Ce doit ĂȘtre le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission premiÚre.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait dĂ©glutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? MĂȘme s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... GĂ©nĂ©reux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermĂ©. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle rĂ©flĂ©chit a comment faire alors qu'elle est toujours au tĂ©lĂ©phone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là , je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complÚtement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lÚvres, une pression disparaßt avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de DamoclÚs.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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Spend an afternoon with Hedwig, GN reader
Split headcanon
notes : j'avais vraiment envie d'Ă©crire quelque chose de doux sur Hedwig parce qu'il est tellement touchant <3
no spoiler
â ïž warning : aucun
2 512 mots
- Description Ă la deuxiĂšme personne
Vous vous connaissez depuis plusieurs annĂ©es dĂ©jĂ , ou plutĂŽt tu connais certains alters depuis plusieurs annĂ©es. Dennis, Hedwig, Barry et Patricia ont Ă©tĂ© les premiers Ă se prĂ©senter Ă toi. Jade, Orwell, Mary et Kevin se sont ensuite exposĂ©s, mais il reste encore beaucoup dâalters mĂ©connus. Barry a expliquĂ© les principaux traits de caractĂšres de ces inconnus pour que tu puisses ainsi te les reprĂ©senter et mĂȘme parfois les reconnaĂźtre lorsquâils prennent la lumiĂšre. Tu as exprimĂ© beaucoup de reconnaissance pour ça, car il arrive quelquefois que tu te retrouves face Ă une personne que tu ne connais absolument pas. Barry a aussi expliquĂ© que ces alters ne prennent que trĂšs rarement la lumiĂšre et que par consĂ©quent ils sont toujours un peu perdus ou inquiets lorsque ça arrive. Heureusement quâHedwig est lĂ pour reprendre le front et ainsi les soulager.
Quoiquâil en soit, on peut dire que tu tâentends assez bien avec tous les principaux alters. Certains ont des caractĂšres bien spĂ©ciaux mais tu apprĂ©cies ce dĂ©tail, ça leur donne un charme.
Patricia fait partie de ces alters. Les femmes sont peu nombreuses dans leur systĂšme comparĂ©es aux hommes, mais elles ont pour la plupart un fort caractĂšre. Et dans ce lot, Patricia est certainement la plus complexe. Tu as mis beaucoup de temps Ă tâhabituer Ă sa prĂ©sence. Elle dĂ©gage quelque chose, une aura pesante. Elle a cette façon de parler sereine et douce qui au dĂ©but tâeffrayait Ă©normĂ©ment. Lorsquâelle a pour la premiĂšre fois proposĂ© une discussion autour d'un thĂ©, elle s'est mise Ă raconter Ă quel point les kilos de viandes quâun lion peut manger sont impressionnants, et alors tu as imaginĂ© beaucoup de scĂ©narios oĂč tu finissais en morceaux dans une cage Ă fĂ©lins. Mais Ă prĂ©sent les choses se sont calmĂ©es pour toi, enfin la plupart du temps. Patricia tâa bien fait comprendre quâelle nâavait aucune mauvaise intention envers toi, mais tu ne peux pas empĂȘcher les frissons dans ta nuque lorsquâelle passe un peu trop prĂšs de toi. Mais au fond de toi, tu sais trĂšs bien que ces rĂ©actions ne sont plus vraiment dues Ă la peur.
â nouveau message de : Avengers
Ton attention lùche le plat de pùtes encore tout chaud que tu viens de commencer pour plutÎt attraper ton téléphone portable. Un sourire illumine ton visage en voyant le destinateur.
âAvengers
- cc !!
- tu peut venir Ă la maison ????? stp stp stp
Lorsque, plusieurs annĂ©es en arriĂšre, Dennis t'a donnĂ© leur numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, tu as dĂ©sepĂ©rĂ© devant lâoption ânom du contactâ. Tu ne pouvais pas mettre le prĂ©nom dâun des alters puisque câĂ©tait leur numĂ©ro Ă tous, et ils n'avaient pas de nom global pour leur systĂšme. Finalement tu as eu un souvenir de lâobsession pour les Marvels quâavait dĂ©veloppĂ© Hedwig lorsque tu lui as parlĂ© dâIron Man, puis de la façon avec laquelle Dennis et Patricia ont des paillettes dans les yeux lorsque tu leur dis quâils sont extraordinaires. Par consĂ©quent tu as dĂ©cidĂ© de les surnommer les Avengers, parce quâils ont tous des supers pouvoirs Ă leurs maniĂšres.
âVous
- coucou Hedwig
- oui je peux venir si tu veux ! Dâici environ trente minutes je peux ĂȘtre lĂ , nâoublies pas de mâouvrir le portail ;)
âAvengers
- trop cool !!!
- mademoisele patricia a achetté un truc pour moi !
Tout en finissant rapidement ton plat, tu te diriges vers la salle de bain afin de préparer tes affaires pour gagner du temps.
âVous
- vraiment ? GĂ©nial et quâest ce que câest ?
âAvengers
- plein de jouets animaux !
Un Ă©niĂšme sourire Ă©tire tes lĂšvres au message alors que tu dĂ©poses lâassiette vide dans lâĂ©vier de la cuisine.
âVous
- wow plein ? On va pouvoir tous les essayer alors ;)
âAvengers
- ouiiiii
- ah !!
- tu prend les bonbons bleus ???
âVous
- dâaccord, mais je te prĂ©viens je te laisserais pas manger tout le paquet Hedwig
âAvengers
- oui oui
- tfk ???????????
Tu poses ton tĂ©lĂ©phone contre le lit le temps dâattraper deux ou trois bagues, un collier et des vĂȘtements propres.
âVous
- je tâai dĂ©jĂ dis que câĂ©tait pas bon dâĂ©crire comme ça, tu oublies les vrais mots Ă force
âAvengers
- pardon !
- tu fais quoi ?????????????????
âVous
- je vais aller me laver puis je vais partir pour te rejoindre
- et toi ?
En tournant le robinet de la douche vers la gauche, tu commences Ă retirer tes chaussettes et ton pantalon. Lâeau chaude a toujours pris beaucoup de temps pour arriver, mais comme ça tu peux continuer de rĂ©pondre Ă Hedwig.
âAvengers
- jâai trouver des vieux dessins de barry
- ils sont beaux
- mais je dessines mieux !!
âVous
- fais attention Ă ne pas les abĂźmer, sinon il risque de bouder pour un long moment
- vous dessinez tous les deux de maniÚre différente, et elles sont toutes les deux trÚs belles ;)
AprĂšs avoir passĂ© ta main sous lâeau pour voir la tempĂ©rature de cette derniĂšre, tu reprends une derniĂšre fois ton portable.
âAvengers
- tâs toujours trop cool !!!
- mademoiselle patricia elle a dis quâelle aime bien ça et moi aussi jâaime bien ça
- et monsier dennis il penses que câest rare dâĂȘtre comme toi
- je suis dâaccord moi persone Ă jamais Ă©tĂ© cool comme toi avant
âVous
- oh câest adorable Hedwig, mais cette gentillesse vous la mĂ©ritez tous
- en tout cas ça me touche beaucoup que les autres pensent ça de moi ! Tu pourras leur dire merci de ma part <3
- je suis désolé il faut que je te laisse si je veux pas arriver trop tard
âAvengers
- derien !!!!
- dâaccord Ă tt !
Une fois que tu as la certitude quâil ne va pas envoyer dâautres messages, tu dĂ©poses ton tĂ©lĂ©phone sous ta pile de vĂȘtements et finis de te dĂ©shabiller. Tu aurais trĂšs bien pu le faire tout en lui parlant mais il y a quelque chose de dĂ©rangeant dans le fait de se dĂ©vĂȘtir en discutant avec Hedwig, ce n'est pas la mĂȘme chose avec Dennis ou Mary par exemple. Il est dĂ©jĂ arrivĂ© que vous parliez par messages pendant que tu te changeais ou mĂȘme que vous soyez au tĂ©lĂ©phone lors de ton bain, et ce nâĂ©tait vraiment pas la mĂȘme chose.
Comme prĂ©vu, tu te dĂ©pĂȘches de prendre ta douche et de tâhabiller de nouveau. Tu enfiles les quelques bijoux que tu as pris prĂ©cĂ©demment et aprĂšs avoir vĂ©rifiĂ© que tu nâas rien oubliĂ©, tu quittes ton chez toi. Heureusement pour toi, tu nâhabites vraiment pas loin du zoo, et donc de leur appartement. GrĂące aux nombreuses annĂ©es Ă travailler lĂ -bas, ils ont obtenu un logement de fonction dans la mĂȘme rue que le parc animalier. Le seul problĂšme est que cet appartement est assez petit, du moins trop petit pour avoir vingt-trois chambres, mĂȘme sâils nâont pas rĂ©ellement besoin dâautant de chambres. Mais par exemple Hedwig aime avoir sa propre piĂšce, oĂč il peut afficher tous ses dessins et Ă©couter de la musique, Dennis a besoin dâun endroit qui lui est totalement rĂ©servĂ©, Barry aussi et encore dâautres. Ils nâont pas tous besoin dâune chambre, mais les plus rĂ©guliers prĂ©fĂšrent en avoir une. Malheureusement cet appartement ne contient que deux chambres, une a alors Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e pour Patricia et lâautre pour Dennis. Hedwig, Barry, Orwell et dâautres ont les leurs ailleurs. Encore une fois, grĂące aux annĂ©es passĂ©es Ă travailler dans ce zoo, ils ont eu lâautorisation d'avoir une sorte de grand sous-sol rien que pour eux. Ce nâest clairement pas lâendroit le plus accueillant Ă premiĂšre vue mais sâacheter une grande villa nâest absolument pas dans leurs moyens, et puis ils lâont assez bien amĂ©nagĂ©. Les murs restent rugueux et les lumiĂšres peu nombreuses, mais il y a malgrĂ© tout quelque chose d'apaisant lĂ -bas. Leurs prĂ©sences sont Ă©talĂ©es dans chaque piĂšce, et câest presque poĂ©tique de voir la façon dont ils doivent organiser la salle de bain ou la cuisine pour convenir aux envies de chaque alter.
Par automatisme, tu appuies sur lâinterphone et fais dĂ©filer les noms jusquâĂ trouver celui qui tâintĂ©resse : Crumb. Sans avoir besoin de parler, la porte de lâimmeuble sâouvre devant toi et tu peux avancer vers l'ascenseur. Puisque cet immeuble est principalement occupĂ© par des employĂ©s du zoo, ils ont fait installer un portail qui ne peut ĂȘtre ouvert quâavec un badge ou un bouton chez les locataires, ça permet de limiter les squatteurs ou voleurs. Mais Ă cause de ça, tu dois attendre quâHedwig ou un autre alter tâouvre ce quâils font toujours, sauf lorsquâil y a un problĂšme. Il est dĂ©jĂ arrivĂ© quâun alter âmĂ©connuâ prenne la lumiĂšre et dans ces cas-lĂ il ne tâouvrira pas le portail puisquâil ne sait mĂȘme pas ce quâil fait ici. Pour cette raison, Barry a demandĂ© un doublon de leur badge, prĂ©tendant que lâautre ne fonctionnait plus, et comme ça tu as toujours la possibilitĂ© de venir si jamais un problĂšme survient.
Deux petits coups Ă la porte et Hedwig apparaĂźt tout souriant devant toi.
« Câest trop bien que tu viennes ! Dit-il en te tirant par le bras vers le salon, les autres ont dit que je pouvais rester dans la lumiĂšre tout lâaprĂšs-midi »
Sa façon de parler trĂšs atypique te rĂ©chauffe le cĆur tandis que tu enlĂšves tes chaussures et les dĂ©pose avec soin sur un petit chiffon placĂ© dans un coin de la piĂšce. Dennis a beau ne pas ĂȘtre dans la lumiĂšre, tu prĂ©fĂšres respecter ses tocs.
« Tâas pris les bonbons ? Te demande le jeune garçon en se mettant assis par terre »
Dâun hochement de tĂȘte tu lui souris et sors le prĂ©cieux trĂ©sor de ton sac Ă dos. AussitĂŽt, Hedwig se jette dramatiquement dessus, se mettant presque ventre contre le sol pour attraper le paquet de bonbons.
« Wow génial je vois qui tu préfÚres ici, déclares-tu en riant »
Le garçon te lance un regard avant de prendre trois sucreries dans sa bouche et de se tourner sur le dos pour te voir Ă lâenvers. Son rire rĂ©sonne faiblement dans la piĂšce alors quâune conversation commence entre vous deux.
Hedwig est sĂ»rement lâalter avec lequel tu peux le plus rire, il dit constamment tout ce quâil pense, mĂȘme si ça nâa aucun rapport avec votre conversation actuelle. Câest quelque chose qui manque dans beaucoup de relations Ă tes yeux, pas avec eux, mais avec dâautres personnes. Lorsque tu rencontres quelquâun il y a toujours un moment de gĂȘne, une envie de vite sâenfuir et de rentrer chez toi. Ce nâest pas toujours le cas, mais ça lâest presque toujours. Tu as du mal Ă tâintĂ©grer dans le mode de fonctionnement des autres, leur façon de parler sur le dos de leurs amis et leurs obsessions pour la politique, ce nâest pas toi ça. Tu aimes tourner les mauvais Ă©vĂ©nements au comique et admirer ce papillon qui se pose dans lâherbe. Les personnes que tu rencontres ramĂšnent toujours le nĂ©gatif au centre de la conversation, câest mentalement Ă©puisant de penser au rĂ©chauffement climatique et Ă la montĂ©e des impĂŽts. Tu trouves ça dommage de revenir aux informations que les mĂ©dias mettent dĂ©jĂ au centre de lâattention, pourquoi ne pas juste profiter du soleil dehors et du vent frais ? Bien sĂ»r quâil se passe des choses horribles dans le monde, mais y penser constamment ne les fera pas disparaĂźtre. Et Hedwig pense aussi comme ça, parce que câest un enfant de neuf ans et quâil a encore la chance de voir les beaux aspects de ce monde. Ăa te fait vraiment du bien de passer du temps avec lui, il est ressourçant. Et mĂȘme lorsquâil Ă©voque la mort, il le fait avec une façon tellement directe, sans pincette, que ça en devient rassurant. Ce qui le rend heureux câest dessiner et danser, quoi de mieux pour oublier une mauvaise journĂ©e ?
« Elle est jolie ta bague, câest un serpent ? »
Tu relĂšves la tĂȘte du livre que vous Ă©tiez en train de feuilleter pour regarder le jeune garçon et ses grands yeux bleus.
« Oh celle-ci ? RĂ©ponds-tu en levant ton index oĂč se trouve le bijoux, je pense quâon peut dire que câest une sorte de serpent oui »
Tu lâas trouvĂ©e lors dâune brocante il y a plusieurs annĂ©es de ça, la forme originale a tout de suite attirĂ© ton Ćil et au faible prix auquel elle Ă©tait tu nâas pas vraiment hĂ©sitĂ© pour lâacheter.
« Moi jâaime trop les tigres, ils sont super grands et forts, explique Hedwig en tournant les pages de son livre dâillustration, il sâarrĂȘte sur un dessin de tigre et passe son doigt dessus, regarde ils sont genre mĂ©ga costauds »
Ton regard dĂ©taille lâillustration et ses traits trĂšs simples. Hedwig est le seul dans leur systĂšme qui fĂȘte son anniversaire, mĂȘme sâil ne prend pas en Ăąge. Alors lâannĂ©e derniĂšre, tu lui as offert une dizaine de livres, parce quâil aime beaucoup ça. Tu as pris un peu de tout, de courts romans comme des livres Ă illustrations comme celui-ci. Un sourire prend place sur ton visage lorsque tu repenses Ă cette journĂ©e, Dennis faisait tout pour garder Hedwig loin de la lumiĂšre pendant que Jade et toi vous occupiez de faire le gĂąteau. Lorsque lâenfant parvenait Ă passer au front, il posait mille et une questions Ă la seconde alors que tu essayais dĂ©sespĂ©rĂ©ment dâĂ©viter quâil dĂ©couvre la surprise. Finalement toi et les autres alters ĂȘtes parvenus Ă tout organiser sans quâil ne dĂ©couvre la vĂ©ritĂ©, et tu te souviens encore de ses yeux larmoyants lorsquâil a vu le salon dĂ©corĂ© ainsi que la pile de cadeaux qui l'attendait.
« Pourquoi tu viens ici ? Demande soudainement Hedwig, tâas pas des amis ? »
La question pouvait ĂȘtre mal interprĂ©tĂ©e, mais heureusement, tu arrives Ă comprendre le fond de sa pensĂ©e.
« Jâaime venir ici tu sais, passer du temps avec toi et les autres »
« Oui mais tâes tout le temps disponible pour venir, enfin sauf quand tu travailles »
Tes doigts passent contre les pages colorées du livre alors que le garçon allongé à cÎté te regarde avec insistance.
« HonnĂȘtement Ă part vous je nâai pas grand monde, dis-tu en dĂ©viant tes yeux vers Hedwig, tu sais que je nâai pas vraiment de famille et puis- je crois que jâai un peu de mal Ă faire des rencontres, crĂ©er de nouvelles relations et tout ça, câest compliquĂ© pour moi »
Le jeune garçon fronce pendant quelques secondes ses sourcils avant de faire rouler son corps sur son dos et tourner de nouveau la tĂȘte pour te regarder.
« Moi non plus jâai pas dâautres amis, avoue-t-il, les gens ils me trouvent bĂȘte je crois et ils se moquent de moi »
Un pincement au cĆur, tu dĂ©laisses le livre en face de toi pour poser ta tĂȘte dans ta paume de main.
« Les gens ont du mal Ă comprendre les personnes comme nous, mais câest pas grave parce que ça veut dire quâon est spĂ©cial tu vois ? Eux ils peuvent pas ĂȘtre aussi gĂ©niaux que toi, câest pour ça quâils sont jaloux »
« Alors câest comme un super pouvoir ? »
De nouveau, ton cĆur se rĂ©chauffe en voyant le sourire sur le visage du garçon.
« Exactement, le super pouvoir dâĂȘtre extraordinaire »
° split masterlist
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Karel Appel - La Maman aux Yeux Bleus (Mother with Blue Eyes)
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The seducer's of the little Italy !
Avertissement : Contenu +18, personnage X Female-reader, propos grossier, relation sexuel, jeux de séduction.
Synopsis : Tu est une touriste qui visite la Canada, tu te rend dans un quartier nommé « Little Italy » .
Tu marchait dans les rues de la petite Italie, sous la chaleur du mois de Juillet. Une légÚre brise glissait sur tes chevilles dévoilé, alors que tu te diriger vers une grande rue pleine de terrasses de restaurants. Tu sentit ton ventre crier famine, il faut dire qu'il était 12H46 et que tu visiter ce magnifique petit quartier depuis plus de deux heures.
Ton attention se porta sur une odeur forte de pizza et tu vis deux pizzeria à t'a droite, instinctivement, tu te rendit dans la pizzeria nommé « chez Luigi », puis tu t'installa à la table du fond.
Tu entendait les rires, à la fois des clients mais aussi du personnel en cuisine qui rigolait et chanté
tout semble si paisible ici... pensai-tu, le sourire aux lĂšvres. Soudain une voix masculine, parlant en italien vient te sortir de t'a rĂȘverie.
« Buongiorno Signora ! » Tu releva la tĂȘte pour voir un beau jeune homme aux yeux bleu et aux cheveux brun, svelte un tablier autour de la taille. Quel charme... pensai-tu.
« Bonjour... Hm... j'aimerais une pizza. »
Il te regarda de ses beaux yeux, examinant ton visage, il se mit Ă rire doucement, et penchĂąt la tĂȘte sur le cotĂ©.
« Vous ĂȘtes dans une pizzeria demoiselle, votre choix ne me surprend pas. Mais, avant de vous l'apporter, j'aimerais vous donner un conseil, permettez moi de vous changez de table. Il y a une table libre sur la terrasse se serait dommage de ne pas profiter d'une si belle journĂ©e. »
« Oui je n'y avais pas pensĂ©, merci » dis-tu l'air toujours troublĂ©, tu te leva de t'as chaise et l'observa se diriger lentement vers les cuisines ou il commença Ă prĂ©parer t'as pizza. Tu ne put t'empĂȘcher de continuer Ă l'observer, et au bout de presque une minute tu rĂ©ussi a dĂ©crocher ton regard du bel homme pour rejoindre la terrasse et prendre place Ă l'une des tables libre.
Il apparut une pizza chaude Ă la main.
« VoilĂ pour vous mademoiselle ! Je ne vous ait jamais vu ici, vous ĂȘtes nouvelle ? »
« Non je suis en vacance. »
Il se rapprocha de toi, la main droite posé sur le dossier de la chaise libre en face de toi.
« Et puis-je connaßtre votre prénom Signora... ? »
Tu te mit Ă rougir.
« Y/N, et toi comment tu t'appelle ? »
« Léo » répondit-il.
« La pizza est trÚs bonne Léo merci. »
Il rit et s'installa avec vous.
« Il ne t'attendent pas en cuisine, je ne veux pas t'empĂȘcher de travailler. »
« Oh non ne t'en fais pas, je travaille ici avec ma famille, je peux prendre mon aprÚs midi, mes parents arrive à se débrouiller. »
Vous discutiez comme ça pendant une heure peut-ĂȘtres deux heures, discutant de vos vie, de vos envies, de votre travail... Plus vous discutiez, et plus tu tomber sous son charme. Son parfum t'enivrait, ses yeux devenez de plus en plus beau Ă chaque fois que tu croisait son regard, tu sentit une chaleur montĂ© en toi tandis que LĂ©o se rapprochait de toi. Il Ă©tait si proche de toi maintenant, tu respirait fort.
« Tu veux venir chez moi ? » Demanda Léo.
« Heu... Oui ça me plairait bien. »
« Super ! Je pourrais te faire goûter à ma sauce tomate basilic maison ! »
Il monta sur sa moto et te tendit un casque, t'invitant Ă monter derriĂšre lui.
Une fois arrivé à son appartement, tu observa son salon, en prenant place sur le sofa. Tu sentit ton corps tremblant de désir, Léo est si sexy, si doux...
Il déboutonna deux ou trois boutons supérieur de sa chemise, dévoilant d'avantage son corps, il restait debout te fixant un sourire de défi accrocher aux lÚvres.
« Alors Y/N, tu n'a pas trop chaud » il se rapprochait de toi, d'une démarche élégante.
« Si, d'ailleurs j'aimerais bien me rinçait un peu le visage, ou est la salle de bain ? »
« Dans ma chambre, la porte à droite. »
Tu te levait et remarqua que LĂ©o te suivait tranquillement.
Arrivait dans la salle de bain, tu te passais de l'eau froide sur le visage mais sentait toujours une chaleur brûlante entre t'es cuisses, tu te retournais vers Léo qui était debout prÚs de son lit.
« Tu permet que je me mette Ă l'aise Y/N » dit-il, tandis qu'il commençait Ă dĂ©boutonner doucement sa chemise. Il enleva sa chemise et il ne restait plus que son T-shirt vert kaki oĂč l'on pouvait voir des aurĂ©oles de transpiration. Tu t'approchĂąt de lui.
« Vient ma belle, met toi à l'aise »
Tu t'assois sur son lit, à ses cÎtes tandis qu'il commençait à t'embrasser, sa langue léchùt t'es fines lÚvres pour demander l'accÚs à t'as bouche et tu lui en donna l'autorisation.
Sa main caressa t'es cuisses, et un frisson parcourut tout ton corps, tel une décharge électrique.
Il rompit le baiser, pour se mettre à genoux devant toi, baissant t'as culotte il se mit à léchait t'as chatte humide de toute cette excitation.
« Hmmm ! »
« Tu aime bien Y/N ? »
« Oui surtout ne t'arrĂȘte pas ! »
Il continua, passe sa langue de haut en bas, et quelque fois, il introduisait sa langue dans t'as chatte.
Tu gĂ©missait de plaisir, t'es yeux fermĂ©, au bord de la jouissance il s'arrĂȘte, et se relĂšve face Ă toi.
« Tu aimerais me faire plaisir à ton tour, ma douce ?
« Oui bien sûr Léo. »
Il baissa son pantalon, puis son caleçon, laissant apparaßtre sa bite épaisse et poilu, une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire au bout de sa longueur dur.
Tu commençait par sucer le bout de sa queue, le stimulant avec le bout de t'as langue.
« Oh putain, que c'est bon ! Continu. »
Tu continu, faisant des va et vient avec t'as bouche et léchant le dessous de sa bite. Il te redressa.
« Passons à l'étape supérieur ma joli. »
Tu t'étendit sur le lit, et il vient entre t'es jambe, ses mains caressait t'es seins, puis il te pénétra doucement, tu gémis fort à l'intrusion de sa bite en toi, et il posa un baiser sur t'es lÚvres.
« T'as chatte est si chaude, Y/N ! je pourrais la baisé toute la nuit ! »
Il fit des vas et viens un peu plus rapide, léchant désormais t'es seins.
Il est si parfait, il si prend comme un Dieu, un autres pourra-t-il me faire ressentir la mĂȘme chose que lui...
« Plus fort Léo, Plus fort... Encore ! » Tu te mit à le supplier et au vu de son expression ça lui à plus.
« Comme tu veux ma belle, tu es si intense, t'as chatte est si humide, je la sens se serrer autour de ma bite de plus en plus fort... J'aime tellement ça ! »
« Oh ! Je... Vais... »
« Oui moi aussi ma douce, ne t'inquiÚte pas. »
Léo joui à l'intérieure de t'as chatte tandis que tu gémit encore plus fort, ton orgasme était tellement fort, l'un des meilleur de t'as vie, un moment inoubliable.
Tandis que Léo partit se laver dans la salle de bain, une pensée te traversa l'esprit. Ce mec est tellement parfait, pourquoi faut-il que je parte est qu'il habite aussi loin de chez moi...
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Moi, la guerre, je lâai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de sâen foutre que jâaffiche toujours du coin de mon Ćil bleu, les gens se disent en le dĂ©couvrant que je dois ĂȘtre un fieffĂ© malin, peut-ĂȘtre mĂȘme un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. Jâai pas survĂ©cu Ă la mitraille, Ă la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas lâun dâeux ne trouvera grĂące Ă mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti Ă lâĂ©glise le dimanche, ni le tchĂ©kiste restĂ© Ă encenser son grand Staline dans une rĂ©union de quartier. Les deux me font chier â et savez-vous pourquoi jâentretiens Ă leur endroit une haine parfaitement Ă©galitaire ? Mais parce quâils sont jumeaux, sortis du mĂȘme ventre flasque de la RĂ©volution, de la mĂȘme fente puante, matrice qui dĂ©gueule son trop plein dâhumanitĂ© fĂ©roce, foetus aux dents acĂ©rĂ©es, dĂ©voreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dĂ©gueulasseries biologiques conçues pour anĂ©antir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-lĂ , jâen ai croisĂ© sur le front. Jamais en premiĂšre ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce quâil faut. Se chiant dessus Ă la premiĂšre dĂ©flagration, mĂȘme lointaine, mĂȘme tĂ©nue. TerrorisĂ©s Ă lâidĂ©e dâune baĂŻonnette boche sâenfonçant dans leur sale bide tout gonflĂ© de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la mĂȘme pĂ©toche minable, incapables de transcender leur peur de mammifĂšre absurde, condamnĂ©s Ă baisser la tĂȘte, Ă lever les bras, Ă Ă©carter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-lĂ , faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. âAllez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitiĂ© dâun quart de soupe... AllezâŠâ Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculĂ©s de frais. âVa chier avec ton quart, sale rat !â, que je leur gueulais. âQuand il fallait monter lâĂ©chelle tout Ă lâheure, tâĂ©tais oĂč, hein, mon salaud ?â GĂ©nĂ©ralement, ils baissaient la tĂȘte ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans lâabri dâĂ -cĂŽtĂ©. Mendigoter un quignon ou une tige Ă de bonnes Ăąmes qui ne les avaient pas vu sâaffaler au signal de lâassaut. Les mĂȘmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillĂ©s pour survivre Ă tout, coĂ»te que coĂ»te, dussent-ils se faire cracher Ă la gueule pour lâĂ©ternitĂ© des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe sâĂ©talait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps Ă crever ! Jâaurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Quâon nâavait pas peur nous autres ? Quâon ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des Ă©clairs qui hurlaient la mort ? Que lâon se prenait pour des CroisĂ©s ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous nâĂ©tions plus rien ! Et câest bien Ă cause de cela quâon se redressait et quâon y allait. Parce que je vais vous dire, moi, lâidĂ©e de crever recroquevillĂ© comme un cafard, ça mâa toujours Ă©tĂ© insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. Ă ma gauche, jâavais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. Ă ma droite, jâavais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, pĂšre de quatre marmots Ă pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom Ă rallonge incroyable, quâon appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchĂ©e tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, jâĂ©tais le seul en vie, coincĂ© dans un trou peu profond, avec un Ă©clat boche calĂ© dans la cuisse. Les autres Ă©taient partis en poussiĂšre, pulvĂ©risĂ©s par un obus fabriquĂ© avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du cĂŽtĂ© de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de lâĆil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangĂ©es de barbelĂ©s avec, calĂ© dans la molletiĂšre, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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Transe aux yeux bleus perçant sur Montargis 45200
Je cherche un homme de 35 ans et moins. J'ai 19 ans et je vis sur Montargis 45200 dans le Loiret. J'ai peu d'expĂ©rience en amour, mais je veux apprendre. Peut-ĂȘtre commencer par une amourette estivale et voir pour du plus sĂ©rieux par aprĂšs ?
Discuter avec Océane
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nsdp 73 le sorcier aux yeux bleus 1973
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saga: Soumission & Domination 363
L'effervescence rÚgne à la villa. On se prépare pour la soirée. Epilation toute fraiche, massage respectifs de nos corps avec un hydratant qui nous laisse la peau soyeuse, rasage pour ceux qui en ont besoin, bref on se fait tous beaux.
Marc et HervĂ© nous regardent d'un oeil goguenard. Jusqu'Ă ce qu'on s'occupe de leurs cas !  SĂ©parĂ©s en deux groupes, nous leur sautons dessus et les immobilisons. LĂ , ils ont droit Ă la mĂȘme prĂ©paration que nous, pipe en plus (histoire de se faire pardonner). Au sortir du mĂȘme rĂ©gime, ils nous paraissent encore plus canon nos deux quadras. C'est tout juste s'ils font la 30aine dĂ©passĂ©e.
Le plus dur, les vĂȘtements. Paco qui connait bien la boite nous dit que nous serons en maillot de bain trĂšs vite surtout avec nos physiques de bogosses.
A lui aussi je demande de se prĂ©parer car y'a pas de raison qu'il ne nous accompagne pas lui aussi. Dans un premier temps il refuse, argumente qu'il aura plein de rangements Ă faire aprĂšs le diner. J'envoie Jesus lui faire des yeux de chat malheureux pour avoir son acceptation. Donc retour au choix des maillots. Pour moi ce sera un Aussiebum un " Lowrider Flower Power ". L'Ă©lasthanne prĂ©sent Ă©pouse bien la forme de mon paquet et il est trĂšs " court " sur les fesses ! PH et Ludovic optent pour  un ES " Barcelona marin " rouge pour l'un et bleu pour l'autre. Ernesto se prend un Addicted de la derniĂšre collection un " sport sailor " pour ĂȘtre en accord avec mes deux autres amours, auquel il a enlevĂ© le mĂ©canisme pack up, ses 24x6 mĂȘme au repos restent trĂšs " visibles " ! La triplette opte pour le mĂȘme maillot Aussiebum le " League 15 " blanc. Les autres s'Ă©quipent aussi " cute ", mĂȘme nos deux ainĂ©s qui enfilent un boxer.
Un jeans plus un marcel et nous descendons Ă pied. La station est plein de beaux mecs. Notre groupe se fait siffler plus d'une fois avant que nous arrivions Ă la boite. A la porte un des mecs qui nous avaient " racolĂ©s " sur la plage est au tri ! Il nous repĂšre mĂȘme si nous sommes plus nombreux. Il nous laisse entrer et fait un signe de tĂȘte Ă Paco quand ce dernier passe devant lui. Il me dira plus tard (le mec de la boite) que Paco Ă©tait assez connu sur la place ! Nous laissons tomber trĂšs vite les t-shirt et torses nus, nous nous jetons dans la foule de mec en train de danser. La musique est forte, l'ambiance chaude. Je mate autour de moi. En dehors de la " villa ", il n'y a que du beau mec ! Physiquement pas plus de 30ans musclĂ©s bronzĂ©, avec ou sans barbe mais tous baisables !! Les pantalons tombent des fesses mĂȘme s'ils n'en cachaient pas grand-chose dĂ©jĂ . Les maillots sont pleins et certains ont du mal Ă tout retenir de ce que leurs propriĂ©taires veulent cacher. Nos deux ibĂšres sont dans cet Ă©tat. Moi je me retiens encore malgrĂ© les nombreuses mains sur mes fesses qui essayent de baisser mon jeans ! Ludovic et Enguerrand sont quand mĂȘme les plus canons et eux aussi sont collĂ©s et apprĂ©ciĂ©s Ă leurs justes valeurs. Ernesto comme PH et nos deux ainĂ©s surveillent notre triplette. Pas question que leur " fraĂźcheur" ne soit exploitĂ©e.
Paco vient me voir alors que je suis en " surveillance " de mon petit monde pour me prĂ©venir qu'il a fait ce qu'il fallait pour que nos jeunes soient en sĂ©curitĂ©. Comme je ne comprends pas, il me dit qu'il a fait passer le mot aux mecs de la sĂ©curitĂ© pour qu'ils ne leur arrivent rien de fĂącheux. Il me dĂ©signe discrĂštement les types. A part les " officiels " reconnaissable, il m'en montre une demi-douzaine d'autre qu'on aurait pu prendre pour des usagers. Un qui me voit en train de parler avec Paco me fait un signe de tĂȘte.
Du coup je me lĂąche. Je rentre dans la mĂȘlĂ©e joue des coudes pour m'installer et danse. Mes amours me rejoignent et dans l'ambiance nous n'hĂ©sitons pas Ă nous rouler des pelles. Quand je jette un coup d'oeil panoramique, je vois Marc coller un petit mec mimi tout comme HervĂ©. Les petits sont toujours ensemble et s'Ă©clatent Ă l'autre bout de la piste. Alors que je vais pour repartir dans mon trip, j'aperçois un des " sĂ©curitĂ©s " en civil (cĂ d en maillot de bain) choper un mec plus ĂągĂ© qui collait un peu trop nos jeunes et le dĂ©gager.
En attendant moi je me fais draguer par un mec qu'on croirait sorti d'un film de BelAmi type Kris Evans. Grand, gueule carrĂ©e, musclĂ©, imberbe avec un maillot dĂ©formĂ© par un paquet volumineux et pesant. Tentant non ?! Ben oui, je suis humain et je me laisse tenter. Ernesto me voit partir avec le mec vers des fauteuils. Il tombe dessus et m'entraine avec lui. J'essaye de me retenir mais je glisse et lui tombe tout cru dans les bras. Pelle ! Langue encore fraĂźche, impĂ©rieuse dans sa façon de vouloir enrouler la mienne. Je ne me laisse pas faire, on est du mĂȘme gabarit ! Mes mains palpent ses pecs qu'il contracte. Belles masses aux gros tĂ©tons sensibles. Comme je suis couchĂ© sur lui, mes abdos m'annoncent son Ă©rection et l'amplitude de cette derniĂšre. A vue de " peau ", il doit faire dans les 21/22 bien larges au moins 6 ! Tout ce que j'aime chez un type avec qui baiser !! Mais c'est encore un peu tĂŽt. On retourne sur la piste et nous dansons collĂ©s, trĂšs collĂ©s. De nos bouches grandes ouvertes afin de pouvoir gouter la langue de l'autre jusqu'Ă nos cuisses, on n'aurait pas pu glisser entre nous une feuille de papier Ă cigarette !! Caliente !! Il connait bien la boite et nous isole dans un recoin. Nos bites en profitent pour sortir de leurs Ă©crins et c'est lui le premier Ă s'accroupir pour me la bouffer. Il devait ĂȘtre affamĂ©, quoi qu'avec son physique je ne vois pas comment ça se pourrait, car il me l'avale jusqu'aux couilles. Il me donne l'effet d'un mort de faim tellement il met de l'entrain Ă me bouffer la queue. Mon gland ne sort de sa gorge que pour les respirations que je trouve trĂšs espacĂ©es ! Mes mains se posent naturellement sur ses Ă©paules et massent ses trapĂšzes balĂšzes et descendent titiller ses tĂ©tons sĂ»rement travaillĂ© vu leurs tailles. En pinçant les deux " boutons ", je le tire vers le haut et on repart en pelle juste le temps que j'attrape sa bite et ses couilles. A la base ma main ne fait que la moitiĂ© du tour ! Et j'ai beau serrer, je ne progresse pas vu la raideur de l'engin.
A mon tour de lui gober le gland. Je lui dĂ©montre qu'il n'est pas le seul Ă savoir faire des gorges profondes !! Ă'est lui qui me redresse avec la mĂȘme technique que moi. On se roule des pelles pendant que nos deux bites s'apprivoisent.
Nous sommes interrompus par l'arrivée d'Enguerrand. Il me parait tout chafouin !
Sans trop me décoller de ma trouvaille, (faudrait pas qu'il prenne la tangente), je lui demande ce qui se passe. Il me dit qu'ils sont tellement surveillés qu'ils vont rentrer bredouille de la soirée.
Je ne rĂ©flĂ©chis pas, je le glisse entre nous deux, dos contre mon torse. Il ne s'y trompe pas et entreprend ma " conquĂȘte ".
L'autre se laisse faire. Le roulage de pelle qu'ils se font ne le fait pas dĂ©bander et je descends avec son short le maillot d'Enguerrand qui commençait Ă ĂȘtre trop petit.
Je glisse sur le cÎté et nous pouvons nous lécher le museau à trois. Je garde une main sur le cul d'Enguerrand afin de prévenir toute velléité d'envahissement sauvage, l'autre est occupée à tester la rondelle de l'indigÚne.
Pas de réticence à la progression de mes doigts de fée vers puis dans le cul de mon " BelAmi ". De l'autre cÎté, je sens sa main rejoindre la mienne et me demander le passage. Je vérifie que c'est bien la sienne avant de le laisser passer.
Le doigt qu'il enfile dans mon petit beau-frĂšre fait bander encore plus fort ce dernier.
On est bien chauds. J'attrape 2 kpotes dans mon jeans et en tends une Ă l'inconnu. J'enfile l'autre.
Debout, Enguerrand plaquĂ© contre le mur se prend les 21x6 dĂ»ment recouverts alors que j'enfile ma bite dans son enculeur. Trop bon ! Je suis hyper serrĂ© et le mec en rajoute en comprimant sa rondelle. Je vois qu'Enguerrand aussi prend du plaisir. La joue Ă©crasĂ©e contre le mur, les yeux fermĂ©s, il halĂšte sous le labourage en rĂšgle de son intimitĂ©. Je m'accroche Ă ses Ă©paules et bascule mon bassin violemment en avant pour prendre et lui faire prendre son pied. C'est chose faite 10mn plus tard. Lui mordant l'Ă©paule pour Ă©viter que je hurle, je rempli ma kpote dans un dernier coup de rein qui l'Ă©crase sur Enguerrand. Aux spasmes qui agitent sa rondelle je conclu qu'il fait de mĂȘme bien au fond du trou d'Enguerrand. Je rĂ©cupĂšre au creux de ma main le sperme de ce dernier pour qu'il ne marque pas son territoire avec ses gĂšnes. Sans que je lui dise, il vient lĂ©cher sa production pour me nettoyer les doigts.
Notre inconnu le regarde puis me remercie d'avoir partagé ma " salope " avec lui. Quand je lui dis que c'est mon " Ermanastro ", il s'interloque avant d'éclater de rire et de me dire que j'avais trouvé la famille idéale. Il comprend d'autant mieux que Ludovic nous a, à ce moment-là , retrouvé.
Il ne s'Ă©loigne pas alors que je me fais gentiment remonter les bretelles par Ludo qui me dit, en reluquant l'ibĂšre de la tĂȘte aux pieds, que je ne pense qu'Ă moi.
Je me défends que j'aie partagé avec Enguerrand. La confirmation de ce dernier me sauve quelques instants. On se réajuste et j'entraine mes deux partenaires sexuels et mon mec vers le bar nous rafraichir.
Malgré la musique, on en apprend un peu plus sur le mec. Il se nomme Felipe, il est madrilÚne et en congés. Avec une demi-douzaine de potes, ils ont loués une villa un peu en extérieur avec piscine. 5 mn plus tard il nous invitait tous les trois à passer les voir. Ses potes étant comme lui, homos et pas trop mal foutus.
Dos contre le bar, il les cherche du regard et nous les montre. Je lui dis que nous c'est pareil sauf qu'on est un peu plus nombreux. J'arrive Ă retrouver la bande sauf Marc qui doit se faire plaisir avec un petit mec dans un coin. A mon tour je les montrer du doigt (je sais, c'est pas poli mais difficile de faire autrement !).
Avec amusement nous voyons nos amis respectifs opĂ©rer un mouvement vers nous et nous finissons ensemble. PrĂ©sentations, amusement de la similitude de nos situations, surtout quand nous leur donnons notre adresse et qu'elle se situe Ă une rue de la leur ! Ses amis sont du mĂȘme type que lui, sportifs et musclĂ©s imberbes et bien montĂ©s (vu les maillots bien remplis).
Quand Marc nous rejoint enfin, on décide que la nuit est assez avancée pour que nous rentrions.
Comme leur villa est sur notre chemin, nous nous y arrĂȘtons.
Plus petite que la nĂŽtre elle aussi est tout confort avec piscine et jacuzzi. Felipe sort les bouteilles du frigo. Vodka, gin, whisky... le choix est vaste et les doses servies consĂ©quentes. Auraient-ils comme des envies d'abuser de nous ?? En attendant ils sont sympathiques et les maillots volent au moment de nous jeter dans l'eau. Quand nous y sommes tous, impossible de nager !! Mais je crois que c'Ă©tait pas trop le but non plus ! Les corps se frottent les muscles gonflent et les bites entrent toutes en Ă©rection. Je laisse Felipe que je connais dĂ©jĂ pour ses potes. Notamment le plus jeune et aussi le plus " dĂ©veloppĂ© " cotĂ© musculature. Quand j'empoigne ses bijoux de famille, de ce cĂŽtĂ© lĂ aussi il n'a pas Ă©tĂ© laissĂ© pour compte. Bonne queue raide accompagnĂ©e d'une paire de couilles glabres d'un beau volume aussi. Nos tĂ©tons se collent alors que je lui roule un patin. Sa langue goĂ»te encore la vodka qu'il s'est enfilĂ©e tout comme moi. Ouf ! On ne va pas faire de mĂ©lange d'alcool qui nous donnerait mal Ă la tĂȘte au rĂ©veil (lol) ! Sa bite passe sous mes couilles et dans l'eau je m'assois dessus. Elle me tente et j'ai envie de connaitre sa dextĂ©ritĂ© Ă s'en servir. Je sors de l'eau et d'un coup de rein, le tire du bassin. Il m'entraine dans la villa. Je n'avais pas fait attention mais plusieurs mecs Ă©taient dĂ©jĂ partis sur des plans " particuliers ". Du coup, on a un peu de mal Ă trouver oĂč nous poser. On finit par revenir sur la terrasse et on se met au " travail ". On doit avoir le mĂȘme Ăąge et son physique est nickel. Brun de poil mais totalement imberbe ou Ă©pilĂ© sauf la touffe, il est bronzĂ© avec marque de maillot. Ce qui me fait kiffer grave. Sa belle queue rose pĂąle arbore un gland bien violet et dĂ©couvert. On passe un bon moment Ă se caresser, se lĂ©cher, s'embrasser (avec la langue Ă©videmment), Ă se travailler les tĂ©tons aux doigts puis avec les dents. Nos bites et couilles ne sont pas de reste puisque souvent nous alternons le reste avec de bons pompages en profondeur. J'aime qu'il prenne mes 20cm sans haut-le-coeur lui non plus. J'aime sa langue inquisitrice. Elle se coule sous mon prĂ©puce pour aller titiller mon gland, elle s'enfonce dans ma rondelle, poussant sa salive dans mes profondeurs pour prĂ©parer l'assaut prochain. De mon cĂŽtĂ© je pompe en fond de gorge ce gland qui va bientĂŽt tester l'autre extrĂ©mitĂ© de mon tube digestif. Quand je me sens prĂȘt, je lui enfile une kpote, le plaque dos sur la terrasse et enjambe son bassin pour venir m'assoir sur son mat.
Rhh ! Le bien que ça fait !! Il a l'air Ă©tonnĂ© que je m'enfonce en une seule fois la totalitĂ© de ses 21cm mais quand mes fesses touchent ses cuisses, il en ferme les yeux de plaisir ! Je savoure cet envahissement de mon corps avant de chevaucher mon nouvel ami. Ses mains venues se poser sur mes hanches modĂšre ma fougue. Il en libĂšre une pour venir la poser sur mon cou et attirer ma tĂȘte vers la sienne. Je lui roule un patin mais c'Ă©tait pour me dire quelque que chose qu'il m'avait penchĂ©.
Il voulait juste me dire que j'avais un cul divin et une rondelle parfaite ! Pour ça il n'était pas obligé de chuchoter ! Je me redresse et fort, je crie à ceux qui veulent l'entendre que sa bite est une merveille et qu'elle me rend fou. Il me rattrape et me dis qu'ils ont des voisins !!
Je lui réponds que jusque-là c'était flatteur pour lui ! Il rit et me fait taire avec sa langue. Pour me laisser moins de choix, il se redresse me bascule sur le dos et tenant par les chevilles mes jambes écartées, s'ingénie à me limer la rondelle avec science. Il me fait décoller grave !
Il alterne quelques positions autres avant de remplir sa kpote au bout de sa rĂ©sistance. Un petit coup de sa langue sur mon gland et je lui tapisse le visage de mon sperme. Juste la force de se trainer Ă l'intĂ©rieur pour trouver un coin de matelas et je tombe de sommeil. Il est midi quand j'Ă©merge ! A peu prĂšs en mĂȘme temps que tous les autres sauf Paco qui, en bon cuisinier, finissait de mettre en place le " petit dĂ©jeuner ".
Les invitants sont surpris mais apprĂ©cient l'attention. Comme ils s'Ă©tonnent de certains plats, Paco leur avoue avoir dĂ» faire un saut chez nous.        On dĂ©jeune tous dans une bonne ambiance, les autres habitants de la maison ont trouvĂ© eux aussi leur plaisir dans notre touze improvisĂ©e de la veille et matin. Felipe est collĂ© de notre trio ce qui semble lui aller tout Ă fait. Quand j'Ă©clairci les donnĂ©es, il me dit que ces trois jeunes lui ont assĂ©chĂ© les couilles comme jamais encore ça lui Ă©tait arrivĂ© !!On rentre chez nous avec leur promesse de nous rejoindre Ă notre villa vers les 20h       Â
Jardinier
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25 books for 2025
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soooo do i have a list ? clearly not, but am i gonna improvise and say i do ? yes i am
Moi ce que j'aime c'est les monstres, tome deux (gifted for my birthday)
femme vie liberté (gifted for my birthday)
across the language glass (borrowed from the library)
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Le prix Ă payer (gifted for my birthday)
L'art de ne rien dire (gifted for my birthday)
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Le Premier DĂ©fi de Mathieu Hidalf (borrowing from @miguya-stuff)
Mathieu Hidalf et la Foudre fantĂŽme (borrowing from said friend)
Pageboy : a memoir (borrowing from @learning-to-think) (this is where i'm starting to not know what to add, but no pressure)
Le portrait de Dorian Gray (that is the favorite book of two of my friends and I never opened so time to change this)
Thorgal (cheating a little because it's a saga but I want to re read it so, fight me)
La déferlante (kinda cheating again because it's a magazine, but i'd really like to read at least one or two because they are so interesting
Un reflet de lune (I read the first book like 3 years ago and loved it, I just didn't take the time to open the second one, woups)
VipĂšre au poing
à l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie
Galatea
PriĂšre pour les cimes timides
Perks of being a wallflower (I loved this book so much I just want to take the time to reread it)
the song of achilles (I started this book so long ago it's ridiculous I didn't finish it yet
Dune (same)
Le grand livre des robots (saaaame)
La fille du train
Une fille aux yeux bleus (spent too long not reading mystery/murder stuff)
Le nom de la rose (I can't keep on yapping how much I love Umberto Eco and not read this book it's criminal)
Soooo here we go ! I will probably read so much that is not on this list but hey.
@anyonewhoreadsthis it's your turn now !
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