Tumgik
#autotune vie
thedamso · 1 year
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« Sais-tu seulement à quel point tu ne sais pas? »
– Damso, Autotune 
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thoughts while listening to hmhas
this is mostly assigning marauder things/ships/people to the songs btw
warning: this contains spoilers for all of the songs so if you want that it's below the cut ;)
SKINNY: "fell in love for the first time, with a friend it's a good sign" okay wolfstar also "twenty-one took a lifetime time, people say I look happy, just because I got skinny" plus size Lily Evans??
favorite line, "twenty-one took a lifetime time, people say I look happy, just because i got skinny"
LUNCH: love this one so much!! it's giving Marlene and flirty her self ;) and as a general song i love this one, it's more upbeat than billie's past songs and i love that.
favorite line, the whole beginning because i can't even pick just one lmao
CHIHRO: (translation: month) this song is just so much fun to vibe and listen to, and that's just amazing lol
favorite line, "I was waitin', in the garden, contemplatin', beg your pardon, but there's a part of me that recognizes you, do you feel it too?"
BIRDS OF A FEATHER: this one is so rosekiller-coded to me. like the you die i die vibe? that's so them! "it might be long but baby I, don't wanna say goodbye" like brooo.
favorite line, "I love you, don't act so surprised"
WILDFLOWER: i've never read ATYD but based on posts i've seen this is a very Grant singing about Remus and Sirius, " 'cause she (Sirius) couldn't be, more different than me, happy and free in leather" like like do you see the vision? and when the prank and Grant and Remus become closer? idk but i think it's cute/sad.
favorite line "but every time you touch me, I just wonder how she felt, Valentines Day, crying in the hotel, I know you didn't mean to hurt me so I kept it to myself""
THE GREATEST: if this song isn't James Fleamont Potter, I don't know what is!! "I'm trying my best to keep you satisfied, let you get your rest, while I stayed up all night, and you don't wanna know how alone I've been" like wtaf?!? "all my love and patience, unappreciated," dudee
favorite line, "you said your heart was jaded, you couldn't even break it, I shouldn't have to say it, you could've been the greatest"
L'AMOUR DE MA VIE: (translation: Love Of My Life) this one is so good! like not much more to say lmao, but i absolutely love the change-up like with the autotune(i think that's what that was, not positive though) i was not expecting that lol. though i do think it might be like a sad/bitter mary or regulus watching jily from the sides. made myself sad with that idea :( lol
favorite line, "but I need to confess I told you a lie, when I said you, you were the love of my life"
THE DINER: this song is so goddamn good (yes i know i've said that for almost every other song, they're all just so good!!) this song is honestly giving the Slytherin Skittles, like the rhythm, vibe, the whole thing except for the end which i kinda see as possessive rosekiller "I saw you in the car with someone else and couldn't sleep, if somethin' happens to him, you can bet that it was me" and i honestly love that for them lol. also if you dial the number at the end of the song you can get a text? (based on a google search/reddit) i haven't gotten it yet but i'll probably update if/when i do
favorite line, "the cops around the corner stopped me when I tried to leave, they told me I was crazy and they knocked me off my feet, they came in through the kitchen lookin' for something discrete"
BITTERSUITE: honestly regulus when he first crushes on james? " 'cause I can't fall in love with you, no matter how bad I want to" and "it's so romanticized, if this is how I die, that's alright" also love the ending, it's really trippy and cool :)
favorite line, "we can be discrete, but I've been overseas, and I've been havin' dreams, l'amour de ma vie"
Blue: all these songs are so amazing i can't get over ittt!!! "you were born reaching for your mother's hands, victim of your father's plans to rule the world, too afraid to step outside, paranoid and petrified of what you've heard, but they could say the same 'bout me" that and "and I could say the same 'bout you, born blameless, grew up famous" is just so Black-family. like Narcissa, Andromeda, Bellatrix, Sirius, and Regulus, this song is about them honestly.
favorite line, "I try to live in black and white, but I'm so blue, I'd like to mean it when I say I'm over you"
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fred-the-curator · 3 months
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Benny The Butcher OT The Real Fuego Base - Battle Scars (Official Video)
Benny The Butcher, OT The Real, Fuego Base - Battle Scars (Official Video)   Salut les aficionados du rap hardcore ! Aujourd'hui, on plonge dans l'univers de "Battle Scars", un morceau qui réunit trois poids lourds du game : Benny The Butcher, OT The Real et Fuego Base. Accrochez-vous, ça va être un voyage dans les ruelles sombres du hip-hop !   Commençons par Benny The Butcher. Ce gars-là, c'est comme un bon steak saignant : brut, savoureux et pas pour les estomacs sensibles. Originaire de Buffalo, Benny balance des rimes tranchantes comme son surnom l'indique. Il pourrait probablement vous raconter l'histoire du crime organisé en alexandrins, tellement son flow est affûté.   Ensuite, on a OT The Real. Ce Philadelphien, c'est le genre de rappeur qui te fait sentir la crasse sous tes ongles rien qu'en l'écoutant. Avec ses lyrics qui sentent le bitume et l'expérience de la rue, OT apporte une authenticité qui ne s'invente pas.  Et pour compléter ce trio de choc, Fuego Base. Ce producteur, c'est comme le chef cuisinier qui sait exactement quels ingrédients mélanger pour créer un plat qui te fait dire "Mamma mia, c'est bon ça !". Il pose les bases d'un son qui te donne envie de rouler les vitres baissées dans les quartiers chauds.   Dans "Battle Scars", ces trois-là nous servent un morceau qui claque plus fort qu'une porte de cellule. C'est du rap qui te prend aux tripes, qui raconte la vraie vie sans filtre ni autotune. via Blogger https://ift.tt/F6esQHV July 01, 2024 at 02:00PM
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lignes2frappe · 1 year
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MAIS DE QUOI PARLE PNL DANS « DANS LA LÉGENDE » ?
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Troisième projet en deux ans d'Ademo et N.O.S. après la mixtape Que La Famille et l'album Le Monde Chico, en 2016, Dans La Légende parfait la formule qui a fait leur succès – pour aller vite, l'esthétique du deal et de la tristesse rappé sous autotune.
Là où certains critiques ont pu regretter une forme de pilotage automatique, le public lui n'a pas fait dans la dentelle : écoulé à plus d'un million d'exemplaires, DLL est l'album qui contient le plus de singles de platine et de singles de diamant de toute l'histoire du rap de France.
Sept ans après ce raz de marée, penchons-nous, non pas sur les chiffres, mais sur ses textes.
Si ce genre d'analyse à froid ne leur rend pas nécessairement justice, elle permet de cerner plus en profondeur la personnalité des deux frangins.
Entre hargne et candeur.
Mowgli
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La ref’ ? : « Igo, y a Mowgli dans l’arène », « Mowgli n'aime pas qu'on lui dise ‘T'es célèbre’ », « J'suis Mowgli, j'suis Simba, animal, ça s'entend » et « On enverra Mowgli chercher médaille », rien que sur DA
Dire de PNL qu’ils s’identifient au héros du Livre de la Jungle relève de l’euphémisme tant ce dernier est omniprésent dans leur discographie, de leur morceau éponyme de 2014, à la dizaine de références que compte Dans La Légende.
Plus encore que Tarzan et Simba du Roi Lion que l’on croise eux aussi au détour d’un couplet, on peut supposer que « le petit d’homme » incarne à leurs yeux une forme d’innocence en milieu sauvage – tout comme le thème de l’enfance, l'allégorie entre la jungle et la banlieue est chez eux récurrente.
Leur père, René Andrieu
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La ref’ ? : Surnommé ‘Baba’, il est mentionné tout au long de l’album (« Comme Baba, j'veux qu'ils nous craignent » sur Uranus, « Baba m'a dit faut du douze » sur Jusqu'au dernier gramme, « Baba t'inquiète pas j'les baise l'amour des miens me rend sauvage » sur J’t’haine...)
Pied noir d’origine corse, dans sa jeunesse, il purge huit années de prison à la centrale de Poissy pour braquage. Libéré en 1985, il devient père de trois fils (Tarik, né en 1986, et Nabil, né en 1989, ont également un jeune frère, Yanis), dont il s’occupe seul suite au départ de leur mère.
Figure du 91, il fonde en 1994 l’association Tarterêts 2000 dont le but est officiellement de venir en aide aux jeunes en difficulté. Agissant en réalité en sous-main pour le compte du richissime industriel Serge Dassault (à gauche sur la photo), président-directeur général du groupe aéronautique et d’armement Dassault Aviation, il « contribue » à le faire élire maire de Corbeil-Essonnes en 1995 sous l’étiquette divers droite – comprendre : clientélisme, achats de votes et valises de billets.
N’ayant toutefois pas complètement couper les ponts avec son ancienne vie, René Andrieu est cette même année arrêté pour détention de plusieurs kilos de cannabis.
Reconverti en éducateur, en 2001, il déménage avec ses fils à Brive-la-Gaillarde en Corrèze.
De retour dans l’Essonne en 2009, sa route croise à nouveau celle de Serge Dassault, entretemps devenu sénateur. Leurs relations s’enveniment et, en novembre 2012, il s’en va lui réclamer de l’argent pour avoir « prêté main forte » à Jean-Pierre Bechter, l'homme lige qui lui a succédé en 2010 à la mairie – une vidéo de cette rencontre fuite alors dans les médias et fait grand bruit.
Hasard ou coïncidence, trois mois plus tard, André Rieu essuie des coups de feu tandis qu’il roule en voiture en plein Corbeil-Essonnes. S’il s’en sort indemne, l’ancien boxeur Fatah Hou avec qui il faisait équipe prend une balle dans le dos.
L’auteur des tirs, Younès Bounouara, est un proche de Serge Dassault. Écroué pour tentative d’assassinat, la cour d'assises d'Évry le condamne en 2016 à 15 ans de réclusion criminelle.
Bien que Serge Dassault ait toujours nié la moindre implication dans cette affaire, Tarik et Nabil ont gardé la dent dure à son égard.
Cf. « Chez moi le maire est le nerf de la guerre » sur Uranus ou « Igo on veut la ville, boire le sang du maire » sur Dans la légende
Sagat de Street Fighter
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La ref’ ? : « J'suis d'l'époque d'la Sega, j'm'entraîne à frapper comme Sagat » sur DA
Ni plus, ni moins, « l’empereur du Muay Thai ».
Personnage présent dès la première version du jeu, un temps garde du corps personnel de M. Bison, membre des quatre boss orignaux, il n’est pas de ceux que l’on amuse à tester, d’autant que du haut de ses 2m24 son high kick dégage la puissance d’un missile.
Douce hérésie pour qui a été adolescent dans les années 90, Ademo, fan de « Sega-Sega », concède jouer à Street Fighter II sur Mega Drive, et non sur Super Nintendo...
Eva Mendes
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La ref’ ? : « Avant j'étais moche dans la tess, Aujourd'hui, j'plais à Eva Mendes » sur DA
Propulsée en 2001 meuf la plus sexy de la planète grâce à ses quelques scènes dans le rôle de la maîtresse de Denzel Washington dans Training Day, elle n’a par la suite pas vraiment confirmé, quand bien même tout n’est pas à jeter dans sa filmographie (Hitch, La Nuit nous appartient de James Gray, The Place Beyond the Pines...).
En couple avec Ryan Gosling depuis une dizaine d’années avec qui elle a eu deux petits garçons (déso Ademo), toujours aussi resplendissante à 49 ans, elle s’est reconvertie dans le business des éponges à vaisselle.
La sape de luxe
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La ref’ ? : « J'veux du L, j'veux du V, j'veux du G » sur Naha et sur Cramé
Matrixés par Louis Vuitton, Gucci & Co., le duo reprend là une de leur punchline fétiche, entendue deux fois sur leur mixtape Que La Famille (PNL et Je vis, je visser) et à l’entame de leur premier album Le monde chico (la toute première ligne de Le monde ou rien).
Apôtre d’un style vestimentaire à la croisée des chemins du street wear et du luxury wear, Ademo et N.O.S. aiment combiner Air Max, maillots de foot thaïlandais et bas de survêt’ avec polos, jeans déchirés et lunettes de soleil à trois zéros.
Sans être fondamentalement novatrice (en 1991, NTM clippait Le Monde de demain en Jean Paul Gautier), à une époque où le rap français n’avait pas encore pleinement embrassé les voies de l’apprêtement, la formule a grandement participé à les distinguer de la concurrence.
Phillip Plein
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La ref’ ? : « Le cœur vide, sapé en Plein » sur Humain
Un name dropping qui n’a pas spécialement bien vieilli.
Un temps sponsor officieux des rappeurs, clubbers et footballeurs, à trop jouer la carte de la surenchère, PP a pris le chemin des Von Ducth, Juicy et autre Ed Hardy, alias ces marques autrefois au sommet du toboggan de la hype devenues symboles du ringard de leur temps.
Le parc national d’Etosha
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La ref’ ? : « J'crame une gainz au milieu d'Etosha » sur Naha, le clip de La vie est belle tourné sur place
Alternant visuels à leur QG des Tarterêts et en terres exotiques (Islande, Japon, Mexique...), pour le premier single de l’album, nos deux lascars sont allés poser leurs valises en Namibie, à 450 kilomètres de la capitale Windhoek.
En mode safari, ils nous font visiter joint à la main cette immense réserve naturelle peuplée d’éléphants, de zèbres, de girafes, de lions et d’oryx.
Créé en 1907 du temps de la colonisation allemande, Etosha était à l’origine un domaine réservé à la chasse s’étalant sur plus de 90 000 kilomètres carrés (!). Les guerres et les sécheresses ont entretemps divisé sa superficie par trois.
Attraction touristique phare du pays, le parc attire chaque année 200 000 visiteurs.
Raí
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La ref’ ? : « Une légende comme Raí sur le terrain » sur Naha
Amateur de ballon rond, si PNL cite des footeux de tous horizons (l’Argentin Gabriel Batistuta, l’Italien Roberto Baggio, le Chilien Zamorano, la gloire nationale Jean Pierre Papin...), leur préférence va sans conteste à la seleção.
Rivaldo, Denilson, Bebeto, Romário... les ambassadeurs du jeu à la brésilienne, de celui où l’adversaire « ne touche pas la balle » pour reprendre le refrain de Bené, ont la part belle.
Parmi eux, Raí Souza Vieira de Oliveira.
Milieu offensif du Paris Saint-Germain de David Ginola de 1993 à 1998, au cours de ses cinq saisons sur les bords de la Seine, il a remporté une Coupe des Coupes, un championnat de France, deux Coupes de France et deux Coupes de la Ligue.
Mais plus encore que son palmarès ou que ses 66 buts inscrits en 201 matchs, il a su marquer les esprits par sa classe sur et en dehors des terrains, lui qui à ses heures perdues suivaient des cours de philosophie et de civilisation française à la Sorbonne.
Idole du Parc des Princes, en 2020, il a été élu meilleur joueur de l’histoire du club.
Les pélicans de Scarface
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La ref’ ? : « Mira, mira, mira petit pélican » sur Mira
Une ligne qui paraphrase l’une des scènes les plus célèbres du film de Brian De Palma.
Vautré dans la baignoire qui trône au beau milieu de son salon (!?), Tony Montana feint de s’intéresser à un documentaire animalier passant à la télévision pour se moquer d’Elvira.
Pas de chance pour lui, les oiseaux à l'écran sont en réalité des flamants roses.
Manolo Ribera
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La ref’ ? : « Mes rêves se rhabillent, Manny » sur Naha, « Manny, bientôt les poches pleines » sur Tu sais pas, « J'tire toujours ma langue, toujours comme Manny » sur Sheita, « J'tire ma langue comme Manny, Manny » sur Cramé
Non, Tony n’est pas le personnage préféré de Scarface des deux frangins. Cet honneur revient à l’homme à « la langue de lézard », l’homme qui « aime les femmes plus que l’argent », l’homme qui « rêve d’avoir sa marque de blue jeans pour que son nom apparaisse sur le cul de toutes les filles ».
Kratos
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La ref’ ? : Le morceau éponyme
Divinité personnifiant la force et la puissance dans la mythologie grecque, il est le héros God of War, une série de jeux vidéo réputée ultra-violente.
Sous l’emprise du dieu de la guerre Arès à qui il a vendu son âme en échange de la gloire sur le camp de bataille, il tue par erreur sa femme et sa fille. S’abandonnant alors entièrement à la vengeance, il sombre dans une folie meurtrière.
De base « paix et argent », Ademo et N.O.S. préviennent ici que face à quiconque qui ferait offense à leur famille, ils sont prêts à commettre le pire.
Soit on est QLF, soit on ne l'est pas.
Bené de La Cité de Dieu
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La ref’ ? : « Bené Bené, Bené Bené, Bené Bené, Bené Bené, Bené Bené, Bené Bené, Bené Bené, Bené Bené » sur Bené
« Le voyou le plus intelligent, le plus calculateur de la cité » dixit Buscapé.
Le plus cool aussi, lui qui après avoir fait son argent, ambitionne de quitter la favela pour aller vivre dans une ferme afin de passer ses journées à fumer de l’herbe et à écouter du rock avec sa go.
Malheureusement pour lui, la vie qu’il a choisie l’a condamné à ne pas dépasser la vingtaine.
Onizuka
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La ref’ ? : Le morceau du même nom
Sorte de Cercle des poètes disparus au pays du Soleil levant, le manga/animé GTO (Great Teacher Onizuka) mettait en scène à la fin des années 90 Eikichi Onizuka, un jeune prof de 22 ans aux méthodes bien à lui et au passé trouble (« Oni », « démon » en japonais).
Proche des yakuzas, clopeur invétéré, cet ex-chef d’un gang de motards était parfois aperçu « faire le tour d’la ville » au guidon de sa Kawasaki Z2 750 – un modèle de 1973, jamais commercialisé en dehors du Japon.
Les fesses de Jennifer Lopez
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La ref’ ? : « Elle l’a plus gros que J-LO » sur Onizuka
Au top du game depuis That's the Way Love Goes de Janet Jackson en 1993 (oui, cela fait 30 ans au top du game), la bombe latine n’est peut-être pas la plus douée des chanteuses ou des actrices (franchement, à part ses duos avec des rappeurs et son rôle dans Hors d’atteinte...), mais, Jésus Marie Joseph, quelle chute de reins.
Plutôt consciente de la chose, elle capitalise à fond sur ce beau (et gros) cadeau de la Providence.
« Relou. Vraiment relou. »
Le Nutella
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La ref’ ? : « Mes tartines et mon Nutella-tella» sur Cramé
Incontournable dans le PNL universe, la pâte à tartiner chocolat noisette bourrée d’huile de palme est régulièrement mentionnée dans leurs lyrics (« Il m'faut mon soleil, mes tartines et mon Nutella » sur Je vis, Je visser), quand elle n’apparaît pas dans leur clip (J’suis PNL).
S’en est à se demander comment N.O.S. arrive à conserver ses abdos.
Coca
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La ref’ ? : Le méchant de la trilogie de clips Naha/Bené/Onizuka
Interprété par Omar Soumare, le chef de bande dont tout le monde a très vite oublié qu’il s’appelait Macha Django, s’est retrouvé au cœur de la campagne marketing de DLL.
D’une part, parce que l’acteur s’est montré tellement convaincant dans son rôle, que certains auraient confondu fiction et réalité en le menaçant sur les réseaux (ce qui a opportunément généré bon nombre d’articles de presse), et de l’autre, parce qu’en amont de la sortie du visuel de Bené, des avis de recherche à son effigie ont été placardés sur les murs des Tarterêts (spoiler : le numéro de téléphone renvoyait à la musique de Bené).
L’enfer islamique
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La ref’ ? : Mentionné directement ou indirectement une piste sur deux dans DLL
Et si le spleen qui affecte tant les frères Andrieu trouvait sa source, non pas dans les vicissitudes du quotidien, mais dans le destin qui leur est promis après la mort ?
Conscients de leurs pêchés (« J'suis d'la pire espèce » sur Naha, « J'suis le djinn de mon djinn » sur Uranus...), résignés à accepter la sentence (« J'f'rai les frais de c'que l'Très-Haut décidera » sur La vie est belle), plus ils se rapprochent du sommet, plus ils entendent « le ciel qui gronde » (Onizuka).
À leur décharge, ce « détestable avenir » (sourate 3, verset 162) réserve aux pêcheurs un sort peu enviable : visages brûlés, chair dévorée et squelettes rongés, sans oublier cette chaîne qui leur sera « introduite dans l’anus et leur sortira par la bouche ».
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tenebreuseclique · 8 years
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Laylow, mégalomanie dépressive et autotune
Je devrais être en train de taffer les tops 2016. 
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Ouais. MAIS. Laylow. Un rappeur qui arrive à faire cracher un morceau de qualité à Sneazzy mérite son propre article, c'est certain. Alors, Laylow, c'est qui, c'est quoi? 
C'est un OVNI. Littéralement. J’ai commencé à m’interesser à lui après une suggestion youtube, déjà ça part mal, et juste après un titre de Triplego. Passer après ces derniers étant plutôt compliqué, on peut se mettre d'accord sur la difficulté de sa position. Mais là, révélation. Incompréhension totale. La production noie encore plus tout que chez Triplego, par moments, le mélange de prod hyper en avant, distordue, de pistes de back et de sa voix, plus pimpée que l'intégralité du parc automobile d'Atlanta. Pour un gars qui vient du metal extrême, c'est aussi agréable que surprenant de retrouver des vrais magmas sonores dans un genre qui ne contient pas vraiment de guitares. Mais la prod ne suffit pas à faire un truc fort. 
Dans son dernier épisode, Maskey (s/o à lui) se "plaint" des rappeurs qui chialent et du rap laissant une place toujours plus grande aux backs, Laylow fait les deux. Beaucoup de backs totalement improbables tout le temps, des envolées ultra aiguës à faire passer Og da Juiceman pour un ténor suivies d'un retour à une voix normale. Je ne sais pas si on parle de polyvalente ou de schizophrénie à ce niveau. 
Quand bien même elles sont difficiles à entendre, les paroles sont très bien écrites, de nombreuses petites phrases de ci de la qui rappellent que, contrairement à la pensée populaire, faire de la trap ne veux pas dire être mongole. Laylow aborde des thèmes devenus communs, les femmes, l'argent, l'autodestruction, mais de manière ultra personnelle, sans jamais essayer de se faire passer pour un autre, sauf peut être pendant ses egotrip, mais c'est l'exercice qui veut ça. Une line a particulièrement retenu mon attention : "ton sourire est faux il est presque inutile / du rouge à lèvres pour embrasser le pire", 
En résumé, Laylow, c'est l'enfant illégitime de Jorrdee et d'un trappeur très énervé, qui se serait mis à écrire du screamo. 
Will.I.Hram
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vhagarswattle · 3 years
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Can you perform the emotional labour of recommending me a couple of Lucy Dacus songs that you love? I'm going to see her in March with the bestie and I haven't really listened to her yet.
Bestie. Nothing in the world would make me happier.
From her debut No Burden:
I don't want to be funny anymore. this is the first ever lucy dacus I heard and i was like damn! ok! and then didn't listen to her for years.
map on a wall. i mean. just listen to when it gets to the part where she puts like those drums or sth in there?? what the fuck
direct address. i don't have to tell you why this is good.
From Historian:
Night shift. probably her biggest song? good to listen considering she will absolutely play it AND it has the greatest opening line of all time
Body to flame. NUTS. a friend told her that he was going to light himself on fire and she wrote this song about it. some of her most beautiful singing.
Yours & mine. she's a fucking rock star.
From Home Video:
Hot & Heavy. i think every one of my mutuals had this in their top ten of 2021.
Brando. every line hits. she's an incredible lyricist and its like. lucy let me kiss you
Partner in crime. autotune!!!!!!!!!! bop and a half.
Triple dog dare. a song that i will listen to on repeat. 7 minutes that i would not sacrifice one second of.
Thumbs. i couldn't NOT put this on here but also. whew. listen to the song exploder episode about this one
From her EP:
fools gold. i wanted to include an original from the ep & this is my favorite.
dancing in the dark. unbelievably sexy of her. i'm seeing her at the stone pony and i KNOW she's going to play it and i'm going to be even more of a lost cause than i already am
la vie en rose. hot!
boygenius
bite the hand. the best of the boygenius songs in my humblr opinion.
so i made this into a playlist for you. https://open.spotify.com/playlist/17c9w01FVN3vqjTWkOngWw?si=397fd19fd6e04d37
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cursedcleopatra · 3 years
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A while back you posted a song ‘Unfold’ by Alina Baraz and I’ve loved it ever since, even added it to my playlist ❣️ Do you have any other recommendations or songs you’ve been enjoying lately? Thanks angel 💋
Aww I’m really happy you liked it! 🥰 and ofc cutie here are some of my favs recently:
Gentleman - Gallant
Bad Boy - Yseult
Basta Ya - The Marías
Tú - Maye
Lavender and Velvet - Alina Baraz
Lightyear - Kyle Lux
Warm on a Cold Night - HONNE
VERTIGO - Reaper
Autotune (Damso) - La Belle Vie
Sink into the Floor - Feng Suave
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edgelarks · 6 years
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About Recording 
‘We’re rolling…”
Mark’s voice comes from the corner. Phil catches my gaze; I say, “1, 2”, and silently mouth the “3”, so the word doesn’t make it onto the recording. And we’re away.
We’re enveloped in the warmth of Mark Tucker's studio, The Green Room, deep in the Blackdown Hills on the Devon / Somerset border. Phil and I sit facing one another, from either side of a thrumming wood burner, each surrounded by microphones. Phil has his family of guitars ranged around him; I alternate for these first songs between banjo and tenor guitar. The violins and harmonicas are waiting in the wings. Everything has been restrung, we have spent an intense week preparing, and it feels a relief to finally be here, getting on with it.
This morning we drove the 40-ish minutes from our home in Exmouth, the road sweeping up across the winter common, estuary and sea falling away to the sides; then racing along the a30 and delving deep into lanes to the studio. I watched a buzzard tumble upward towards us as we negotiated the treacherous driveway, a steep ramble down from the nearest road. Mark’s place feels satisfyingly far from the world.  An ever evolving project that has grown from a single small space, to a large and beautiful live room - and forthcoming building work will add further recording space, control rooms, and accommodation. Yet, despite these variations in the layout, the atmosphere remains the same. A space away from distractions, where you can find the thread of your song, and follow the singing of it to where it needs to go.  
The room we are in is large, and full of music. Mark’s wife Michelle has an unerring eye for design, and so both the house and studio are immediately inspiring places. Embraced by deep red walls, the studio matches rich velvets to Indian throws, patterned rugs rest under vintage amps. Books on tube amps and Bob Dylan vie for space with the shelves of records that have been made here. Fairy lights gently illuminate the instruments hung across the back wall. Animals come and go. Ned, the dog, is far too naughty for admittance; and Cookie the black and white cat is sometimes so enthusiastic about pursuing a career in music production (aka joining in) that he has to be ejected; but Mushka is a constant and mysterious presence, napping somewhere warm, dreaming of his adventures as Macavity the Mystery Cat.  
There are as many approaches to recording as there are songs to record. Between our own albums, various sessions and other projects, we have tried many different things, and worked in many wonderful studios. Layering, multitracking, infinitely dissecting. The old ways, of recording everything mostly live to wonderful warm tape, have generally ceded to a million variations of digital. Usually this means multi tracking - each part recorded separately, achieving maximum control and editing possibilities. Individual notes can be tuned, moulded, cut out entirely. Takes can be spliced together to get the best version. Rhythmic cohesion is ensured by playing along to a click track.  
Of course, this level of detail makes perfection not only achievable, but expected. However, we have found that the best producers know when to draw a line during editing. Perfection is not a human characteristic, and while you may nudge and autotune and shape a piece infinitely, you may in the process remove that indefinable something, the music itself. The warmth and life of band recordings from the 1960s and 70s are testament to this. Sadly, with few major label funded album sessions, it is an impossibility for most bands to take time in a studio to experiment, write, and record live (let alone to tape, which is now very expensive). This, plus the modern ease of home recording, has evolved the common approach to album making. For me and Phil, on previous projects, we have meticulously planned and drafted at home. We have imagined whole landscapes of sound, making the most of our (ever growing!) instrument collection, layering dobros and harmonicas, fiddles and banjos.  
But for Feather, we began to talk of a different approach. Something that would capture the energy of our live show; a directness that people instinctively respond to. Arrangements that would reflect what we do live - plenty of multitasking, but still achievable between two people. Harking back to those classic records from the 60s and 70s.  
We are lucky to know Mark. He has accumulated a deep, deep well of knowledge through recording and producing many varied musicians and working widely across the industry. He hears sound in a truly remarkable way, considering elements of tone and range that to most people belong in the realm of bats. He doesn’t just have an extensive collection of gear - common to many audiophiles - he really knows how to use it! The exact spot to place a mic, the exact right mic to use, how to process the sound in exactly the right way. He is a precision craftsman of sound, but also brings the artists ear, knowing the aesthetic importance of his choices, as well as the technical value.  
And he was excited about our project. The atmosphere his studio would generate around the music was just right. He had ideas for reverbs, for how to approach recording the core of each track ‘live’. We would decide what lay at the heart of each piece - what was playing the chords, the backbone - and record those instruments simultaneously. Keeping lines of sight clear, just as we would at a show, to signal to each other, and retain the improvised element. Some vocals would be live, some would be overdubbed, to get the sound just so. Minimal editing - and no click tracks. 
We were nervous as our studio time approached. Never had we felt so unprepared to go and record. Yes, the songs were there, they had grown strong and we were happy with them - but. It was a big risk. We had chosen to risk in order to experiment, to go in while the songs still felt wild under our fingers, rather than over rehearsed and tired. One of the most important things I have learnt about recording is that you should not embark on an impossible quest for the perfect take - it will very swiftly descend into red light fever and endless frustration. Instead, you must accept that, as with a live show, this is simply the record of a moment, of one (good, admittedly!) instance of your playing. There will be other records, other moments. Letting go in this way allows freedom and humanity back into your playing.  
And the first week of recording has been magic. It feels like the perfect place, the perfect time, to hunker down and make. We sit opposite each other, finding the right chords, taking our time. We eat vegetable soup, pasties; occasionally someone puts another log on the burner. Cookie takes part as much as he is allowed to. Mainly we listen, and listen again, feel our way through the maze of the song.  
Crows wheel aimlessly in a dirty white sky. The trees look cold without their leaves. It is Midwinter, and we are here, mining for warmth, holding out for hope. 
Support Edgelarks' crowdfunder to make Feather at www.indiegogo.com/projects/feather-a-new-album-by-edgelarks
Mark Tucker's studio is The Green Room - https://www.facebook.com/themarktucker/
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Oneohtrix Point Never - Age Of (Warp, 2018)
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Je sais pas si vous vous rappelez aussi bien que moi du précédent, Garden Of Delete. De ces intros délicates avec un son rappelant le clavecin. Sur Animals par exemple, ou Sticky Drama. Ce nouvel album commence pareil. Clavecin, juno tubulaire, style baroque du futur. Je vois la tête du François 1er du futur. Qui arrive après le moyen âge du futur, celui que nous sommes en train de mettre en place aujourd'hui, lentement mais avec méthode et application.
Second morceau : c'est presque du Kanye West. Un individu parle à Babylone. Comme si c'était une personne. C'est une chanson étrange, elle est un peu mélancolique, avec une sorte d'autotune, formes mouvantes, ambiance urbaine d'altitude, à la Blade Runner, nuages de pollution, voitures volantes, sérénité maximum. Histoire de dire : c'était ça la civilisation à son apogée, un truc beau mais pollué, et comme pourri de l'intérieur. Un truc qu'on peut aimer et regretter, mais dont la disparition était inéluctable. C'est une tragédie à l'échelle de l'Histoire. Donc au ralenti, pas vraiment de quoi pleurer. C'est comme ça. C'est une mélancolie agréable.
La suite : pas trop de paroles. On est entre les vieux OPN des années 00, et les choses plus plastiques et futuristes d'aujourd'hui. C'est plutôt calme et bref.
Ensuite : encore du Kanye West qui parle d'une station qui brûle suite à une infestation. Un peu de romantisme à bord, de la harpe, des cordes, c'est délicat mais pas trop quand même (c’est de la musique pour les robots hein). Ce disque reste dans la retenue. Le précédent était rebelle, punk, marginal. Celui-ci, c'est l'album moyen tiède, représentatif. Il décrit quelque chose du point de vue de la classe moyenne du futur. Ces gens qui n'aiment pas trop ce qui est rugueux et bruyant. Ils savent apprécier la beauté, mais la beauté douce et consensuelle. Bon ok, les standards auront un peu évolué dans le futur, parce que les gens auront le nez dans la merde, encore plus qu’aujourd’hui, Daniel l'anticipe, c'est pour ça que cette musique peut choquer un peu les oreilles du citoyen moyen version 2018, celui qui écoute Virgin Radio. Mais patientez un peu vous verrez. Lopatin sera sur la FM dans quelques années.
Bref. C'est un disque un peu défaitiste. On ne sent plus l'envie de se battre. Plutôt, la contemplation, teintée de mélancolie, de ce que nous sommes en train de perdre : une belle planète, la richesse et la subtilité des émotions humaines, la vie sans robots. Les machines du futur seront obsédées par les hommes. Elles voudront leur ressembler. De toutes leurs forces. Ce sera leur principale source de névrose robotique, comme la peur de la mort est la nôtre. Eux, c'est la peur d'être déjà mort qui les plongera dans la dépression.
AUtotune encore, la chanson s'appelle Black Snow. Minimaliste : une basse faussement acoustique, des snaps sur les temps pairs, une voix filtrée de toutes ses basses, quelques petits bruits marrants. Du bruit blanc. Cette chanson prend le point de vue d'un témoin de l’holocauste. La neige noire en est le signe visible. On nous intime de mettre tout ce qu'on peut à l'abri : des graines. Pour que les choses puissent repartir ensuite, pour qu"un petit bout de l'ancien monde survive. On en est là. Vous avez déjà entendu parler de la Réserve mondiale de semences du Svalbard ? Il parait qu'elle est déjà en danger, à cause du réchauffement climatique. Autrement dit : il y a du boulot.
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Un instrumental ensuite. Avec des voix hachées, des cris, un peu de saturation, du verre qui se brise. et presque pour unique parole : WARNING WARNING WARNING etc... C'est un avertissement mais pourquoi le placer après Black Snow, qui acte la fin du monde, je sais pas. Peut-être pour nous signifier que c'est déjà trop tard, comme le disent tout un tas d'experts qui me paraissent assez compétents et raisonnables.
Bon la suite, c'est le monde d'après, les ruines, les T-1000 qui avancent lentement mais sûrement parmi les décombres, les tas de crânes qui s'amoncèlent au fond des cratères, la violence, le chaos, l'absence de vie ou presque. Terminator 2, c'est un très grand film.
Ensuite il y a cette chanson un peu plus symphonique qui s'appelle Same. Qui contient les lignes suivantes : "Undo Us", "same above, fool to dream machine to dust". C'est court et je comprends pas exactement mais je crois que c'est Anohni qui chante. D'ailleurs, je crois que cette personne a eu une influence déterminante sur cet album. Son côté désespéré et catastrophiste et inquiet.
Bon, ensuite, des trucs japonais du futur, classique OPN version 2. Très classe. L'équivalent lopatinesque de la fin de Alone in Kyoto du groupe Air. Salon bien rangé, meubles et objets de designers minimalistes, ambiance japonisante, fenêtre qui donne sur l'océan. Vous savez pourquoi les cyber punks et autres futurologues pop s’intéressent autant à l’Asie ? C’est parce que les gens là bas sont plus pragmatiques, s’adaptent mieux au réel et survivront plus longtemps que nous autres occidentaux illuminés. Un jour bientôt, le centre du monde sera la mer de Chine. C’est tout. 
Grand blanc, cassure, pause, puis dernier acte, on retourne à la chanson autotunée. Celle ci est un peu jazzy, avec une caisse claire caressée par un balais, et tout. Bon. Ces arpèges de harpe, encore et toujours. Plus le juno en onde carrée. Au moins, on peut dire que le disque est très homogène. C'EST bien ça fait sérieux. Daniel avait un objectif, un programme, il s'y est tenu. C'est un disque d'adulte conscient, concerné et concentré. Il va nous faire une belle carrière à la Peter Gabriel ou toutes ces pop stars très intelligentes qui ont quelque chose à dire sur l'état du monde et qui donnent des concerts où on se sent presque tenu de venir en costume. D'ailleurs, Barak Obama traine souvent dans le coin. Brian Eno, un peu jaloux, se contente de regarder le concert sur Youtube. Comme d'autres ont vu le concert de Jon Hassell au World Trade Center en VHS. 
Bref. C'est pas ton disque préféré. C'est pas le disque qui te met à genoux en pleurant. C'est le disque que tu vas mettre en fond en faisant la cuisine, ou éventuellement quand tu reçois des amis un peu cultivés et sophistiqués, avec qui tu pourras parler de ce bouquin de Pablo Servigne et Raphael Stevens. Evidemment, tu peux aussi l'écouter lors d'une session champis (ça reste du Dan Lopatin). Personnellement, je regrette le côté cyberpunk adolescent de Garden Of Delete, cette célébration des mutants et des laissés pour compte qui bouillonnait et grouillait d'excroissances crasseuses. Mais bon. L'heure n'est plus à la célébration. Comme je le disais, Daniel a pris conscience des événements catastrophiques qui se profilent pour l'humanité, grâce à son amie Anohni avec qui il a eu de sérieuses discussions sur l'état de la planète. Je le sais parce que je l'ai lu dans une interview. Lisez Noise Magazine, c'est bien. Mais si vous êtes sur mon blog, vous connaissez sûrement Noise. Alors voyez ceci comme un rappel : il faut acheter et lire Noise. (non je ne travaille pas pour ce journal).
Sacré Daniel. C'est un bon gars.
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DANG!!! Fanny is *still* better than the overproduced, autotuned I'd give almost anything to be this young, this foolish, and having this much fun again. Being that young, and that idealistic...we were gonna change the world!! (Sorry, class of 2020, we kinda screwed it up [!]... as did every generation before us.) Please do better than we did, 'mkay? Sigh...
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Then again, if you "remember" the 70s, you weren't really there...we ALL inhaled... When I was graduating HS in 1970 the era was such a gas! Ideas were flourishing. I was tooling down the road in my black/plum crazy Charger R/T (with that lovely, deep, throaty purr of a blown tri-carb, and gasoline was $.38/gallon (and drop to $.25/gal within 2 years 🤑😖🤯.) Music was like no other time before, books were no longer hidden behind closed, locked doors.
Ah, the good old days. We were young & reckless ("Summer of '69" Bryan Adams), full of piss & vinegar, felt indestructible & were incredibly naive about the world that we faced. *C'est la vie.*
But...man, didn't we have a groovy, trippy fun run!! 🙃😬😊
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libert-art · 5 years
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Autotune : Révolution dans le monde de la musique
La musique est un art, une activité culturelle qui existe depuis la nuit des temps. Elle peut-être l’expression artistique d’un individu, une source de rassemblement ou même le symbole d’une communauté. Le 4ème art est comme toutes formes d’art en constante évolution. L’essor des techniques numériques de ces dernières années a aussi eu un impact sur le monde de la musique. Il a permis à la musique de s’adapté à l’ère du numérique notamment avec la création de logiciel comme Audacity, FL Studio et bien d’autres. Focus aujourd’hui sur Autotune, un logiciel qui a marqué à tout jamais de son empreinte la conception de la musique.
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Autotune est un logiciel correcteur de voix, fréquemment utilisé dans le monde de la musique. Cependant, de nombreuses critiques sont faîtes à son sujet. Les dénigreurs de ce logiciel lui reprochent souvent qu’il dénaturalise la voix de l’artiste et que son utilisation réduit la part de contribution du talent dans une œuvre musicale. Je vais tenter de prouver du mieux que je peux que toutes ses critiques sont infondées et que ce logiciel apporte une réelle plus-value dans le développement de l’expression artistique. Pour cela, dans un premier temps, je vais essayer de résumer brièvement l’histoire du logiciel en parlant de sa genèse et de l’évolution de son utilisation dans le temps. Et dans un second temps, je traiterai plus de son impact sur une œuvre, son apport dans l’univers d’un artiste.
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En 1997, la société Antares Audio Technologies a mis au point Autotune, un logiciel conçu pour rectifier les fausses notes dans une chanson. Elle permet ainsi à l’artiste qui l’utilise de créer cette impression de chanter juste. Son utilisation était quasi-indétectable vue qu’elle permet de préserver un effet naturel de la voix. Mais en poussant les réglages à l’extrême, l’aspect naturel de la voix peut disparaître pour prendre un caractère plus artificiel. Ces réglages permettent ainsi d’instrumentaliser la voix. Cette nouvelle utilisation du logiciel verra le jour pour la première fois en 1998, avec l’artiste Cher et son tube Believe dans lequel elle donne à sa voix un effet « robotique ».
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Cette technique d’instrumentalisation de la voix va par la suite tomber dans les oubliettes. Elle refera surface en 2003 grâce au rappeur T-Pain et ses nombreux hits fait en utilisant ces réglages sur Autotune. Tandis qu’en France, le rappeur nommé Booba sera le précurseur de son utilisation en France avec notamment son album 0.9 en 2008.
Cette utilisation du logiciel va prendre par la suite de plus en plus d’ampleur. Un bon grand nombre d’artistes vont le populariser, des artistes comme PNL en France.
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Ou encore Travis Scott aux États-Unis. Le nom du logiciel est même devenu un terme général pour qualifier tous les programmes qui modifient la voix.
L’autotune apporte une nouvelle façon d’exprimer les émotions dans une œuvre musicale. C’est dans cette optique que le rappeur Kanye West va sortir le morceau Love Lockdown. Un single dans lequel il se livre sur ses relations amoureuses avec un « flow autotuné » qui accentue la portée émotionnelle du son.
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Ou encore PNL avec leur single La vie est belle, extrait de leur album Dans la légende. Une chanson où ils utilisent l’autotune pour nous montrer que malgré le fait que leurs conflits intérieurs sont en train de les ronger, comme nous pouvons le constater avec leurs lyrics, ils arrivent tout de même à vivre en harmonie avec la nature et par extension avec le monde extérieur comme nous le montre leurs « flows autotunés » qui instaurent une ambiance plutôt paisible.
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L’autotune ne permet pas à n’importe qui de chanter correctement. Il offre seulement un accès à une grosses palette de mélodies qui sont impossible à reproduire juste à l’aide de nos cordes vocales à un chanteur plus ou moins confirmé. De plus, l’autotune permet d’ajouter de la musicalité à un titre et il peut aussi aider un artiste à créer un univers propre à lui en dehors d’un simple univers visuel.
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Prenons l’exemple de Travis Scott, il a réussit à se créer un univers visuel notamment avec les effets psychédéliques qui sont présents dans la plupart de ses clips. Mais aussi un univers musical, surtout à l’aide de ses vocals (ses « yeah » autotunés et bien d’autres gimmicks du genre). Ce qui fait que dès que l’on voit un de ses éléments dans un clip, on va se mettre à penser qu’il est inspiré des clips de Travis Scott tout simplement. L’autotune permet ainsi de se créer une « signature musicale ».
En conclusion, je pense que l’autotune est une invention qui a changé la conception de la musique. C’est grâce à ce logiciel qu’on a des artistes comme PNL, Damso et bien d’autres qui sont en train de faire des musiques qui brisent les barrières et qui rendent floue peu à peu les frontières entre les différents genres de musiques. Elle a permis à la musique de parfaitement s’intégrer à l’ère du numérique. Ceux qui dénigrent ce logiciel doivent pas être au courant que la majorité des artistes actuels l’utilisent. L’autotune est devenu une norme dans le monde de la musique car il est une garantie de la bonne qualité sonore d’un titre durant le mixage. Il faut accepter le fait qu’il a révolutionné la musique de manière irréversible et que c’est un instrument à part entière qui offre des possibilités infinies.
Bibliographie :
-        Cher - Believe
-        PNL – Au DD
-        Kanye West – Love Lockdown
-        PNL – La vie est belle
-        Travis Scott – BUTTERFLY EFFECT
-        https://www.redbull.com/ca-en/history-of-auto-tune-in-seven-songs
-        https://www.youtube.com/watch?v=TH-rw8xrAoI
-        https://www.youtube.com/watch?v=3UpiyVzxhu4
Kanna RAMANOUDJAME
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bboongobbang · 8 years
Note
Hello new blog~! Can I request​ for RFA + V an Saeran reactions on MC being a piano prodigy? Thanks in advance! /huggeu
Hello!! *hugs u back*
JAEHEE:
She thinks your piano playing is beautiful, asks you to play for her after a stressful day
You sit down at the piano, fingers poised over the keys
“What should I play, Jaehee?”
Usually she’ll ask for something slow
Moonlight Sonata and Clair de Lune are her favorites
But instead she comes up behind you on the piano bench and wraps her arms around you from behind
She leans her head on your shoulder, lips grazing the outside of your ear
“Surprise me.”
You look down at the expanse of ebony and ivory before you, and then
You close your eyes
You start off with one note
And then an arpeggio in that scale
And you build based on that- the movement of your fingers simply second nature to you as you focus on the movement of Jaehee’s breathing against you
You’re no longer in control of this piece- the notes dance to the tune of Jaehee that is playing in your mind
And when your improvisation trails off, Jaehee sleepily nuzzles your cheek
“What was that one called, MC?”
“I think I’m going to call it ‘Jaehee.’”
YOOSUNG:
He took piano lessons as a kid, just like all korean kids do
But it was always for a recital or a specific performance of some kind
It always felt very strict to him
So he’s blown away by the way you play, the way you feel the music and the way you play like the music is a part of you
His eyes are wide whenever he watches you play for him
which is all the time, at his request
He doesn’t really care much for classical music, because it’s all stuff he had to learn how to play
But he loves it when you play contemporary themes
He didn’t realize the piano was such a versatile instrument
He shyly asks you if you can teach him how to play again
You sit him down on the piano bench and sit down behind him, legs on either side of him
He automatically goes into the rigid playing position from all his piano lessons
You put your hands over his, fixing his pose
“Relax, Yoosung. Why are you so stiff?”
You eventually get his fingers to relax and you flip to the page for one of his favorite songs
You help him play at half speed, as he still remembers the notes and he is a very skilled player, if a rigid one
“Okay. Now I want you to do that all again, but close your eyes.”
“What??”
“Close your eyes. I’ll help you play the notes, but I want you to feel it.”
You guide him through the blind session, your hands over his the whole time, and you can feel him start to melt into the melody
He can feel the difference too, and he’s eager to try again
JUMIN:
When he comes back to the penthouse and finds you missing, he’s not extremely worried
You were, after all, free to the premises of the entire building
And you were often gone to the gym or to the cafe downstairs
But after checking all of the usual places and finding you nowhere, he gets a little nervous
He hadn’t even bothered to ask his security chief about your whereabouts, but he turns to him now
“She said she was going to the orchestra hall, Mr. Han.”
He approaches the empty hall, slightly skeptical until he hears the sound of beautiful piano music coming from inside
He enters the hall as quietly as he can, standing against the back wall with a smile slowly growing on his face
The stage and the stands are both empty, but you’re seated at the piano, eyes closed as you play one of your favorite songs, Yiruma’s River Flows in You
He can’t believe he never knew this about you, and he can’t tear his eyes away from that look of absolute peace on your face
When your song draws to a close his applause rings out through the hall
Embarrassed, you start to move away from the piano as he walks towards you
“No, love, please stay. Play another for me.”
He’s amazed when you can play any classical piece that he requests
And even more amazed when you confess that you usually visit the hall when it’s empty to play the piano
He immediately orders a grand piano for the penthouse so you don’t have to play in an empty hall
707: 
He saw your piano videos a long time ago 
But he doesn’t bring it up until all the Saeran issues have been solved and you two move in together
But he surprises you one day
With a keyboard that he built himself
It has the full piano range and three working pedals
But it has literal thousands of instrument capabilities
Including one that is just Saeyoung screaming at different pitches
You two mess around with it for hours, laughing at some of the more ridiculous ones
Elizabeth the 3rd’s meow autotuned to the whole range
Car horns
He asks you to play something serious
So you straighten up into proper posture
Fingers over the keys and feet flat on the floor
And play Etude No. 3 in a soundfont of Vanderwood’s disinterested (and heavily autotuned) “Ya…”
Saeyoung is losing his shit as you continue to play as if you were in front of a crowd in an orchestra hall
And you solemnly stand up and bow when you’re finished
He wipes tears of laughter from his eyes and switches it back to the default piano setting
“Baby I’m sorry I couldn’t finish this sooner. You must’ve been so sad, with no piano in the apartment”
He doesn’t answer when you ask him how he knew to get a piano for you
ZEN:
OH BOIIII
DUETS DUETS DUETS
ACCOMPANIMENTS ACCOMPANIMENTS ACCOMPANIMENTS
Literally he is OVERJOYED when you first play for him
He brings you with him to the practice room for the first time
And you light up when you see the piano there- it’s been months since you’ve been able to play
When you tell him you can play he’s excited 
But he sure as hell wasn’t expecting you to tap out a full-on 5 minute jazz improvisation
“Babe, how are you so perfect for me??”
He gives you the piano music for the musical he’s rehearsing for
It’s easy compared to the pieces you usually play, but you help him practice for as long at he needs to
Once his self-allotted time is over, though, he leans over the piano to kiss you on the nose
“Okay, I’m done~~ So show off for me now, okay?”
You’re happy to oblige
His face lights up when he recognizes the opening of “Think of Me” from Phantom of the Opera
And you swear you see stars shining in his crimson eyes when you start to sing Christine’s part
He’s the only one in the room but he makes you feel like you’re playing for the real opera with the undivided attention he gives you
He comes in perfectly with Raoul’s verse, and nearly reels back in shock when you nail the high note in the ending
As soon as you’re done he’s all over you with kisses
“Why didn’t you tell me you were so talented?? You have to perform for the director, he has to give you a part”
He bugs and bugs you to audition with him, and he’s super determined to get you on stage
SAERAN:
He’s been living with Seven for a few months now, but recovering from a traumatic experience like Mint Eye takes a lot more than months
So he still has a lot of sleepless nights
He’ll call you often, and you do your best to talk him to sleep
But it’s been bad lately
So when you offer to let him sleep at your place for a few nights he definitely accepts
You wake up in the middle of the night to find that he’s not there
So you shuffle out of bed and into the living room
Saeran is sitting on the couch, staring out the window
You sit down next to him, curling into his side
“I’m sorry I couldn’t help.”
“No, no, it’s not your fault. I’m sorry I woke you.”
“I don’t want you to spend all night here alone. Want me to play some music for you?”
He’s heard you play before, but usually only scales or pop songs
So when you sit down at your piano and weave a soft melody out of thin air he’s taken aback
But the lull of the notes instills in him a sense of comfort that he realizes he’s been missing these past few nights
He can’t tell if it’s the music or the person playing it
And it could very well be both
But he finds his eyelids drooping, his mind finally able to feel the fatigue of his body
When you realize he’s asleep you stop playing and pull a blanket over him
It’s the best sleep he’s had in years
V:
Oh boy he loves you even more for it
The two of you are at one of V’s friends’ exhibitions at a local cafe
It’s very artsy kind of place, with a grand piano that is free for the public to use
And when you arrive someone is currently seated at it
But once they leave V turns to the now-empty piano
“I remember when my mom had me taking piano lessons. I wonder if I even remember anything from it.”
“Oh, I still play,” you say with a laugh, trying to downplay it
“You do?”
V’s face lights up, and you realize too late the mistake you just made
“Can you play something for me?”
He’s already ushering you to the piano before you can protest
And as you sit down you think about what kind of song V would like
You settle on a piano version of La Vie en Rose, with arpeggios and fills
V is rendered speechless while you play, and he hugs you afterwards
“MC, I had no idea!”
“Oh, it’s nothing really...”
Won’t stop giving you praises
sorry these are so late!! i’ve only been back a week but it’s been a rough week T_T i’ll try to update more....
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lignes2frappe · 6 years
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LES 10 MOMENTS LES PLUS GÊNANTS DU RAP US EN 2018
« Gênant » ne voulant malheureusement pas dire ici « marrant »...
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Cette année, comme toutes les années, le rap américain ne s’est pas fait avare en parties de rigolade.
De l’escapade de Jay Z en jet-ski, à l’attaque de clown dont Puff Daddy a été la cible, en passant par le meme de Lil Durk et Young Thug en studio, ou encore la vidéo de Kodak Black filmé par un plat micro-ondes, il y avait de quoi loler de janvier à décembre.
De l’autre côté du spectre, si certains faits divers ont pu sur l'instant faire sourire les masses, ils n'en ont pas moins pour des raisons différentes provoqué un très palpable sentiment de malaise.
Les voici classés 1 un à 10.
10. Kylie Jenner et Travis Scott qui donnent l’impression de s’être rencontrés la veille
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Photogéniques en diable sur papier glacé, la benjamine du clan Kardashian et l’ami Cactus Jack forment clairement le couple le plus successful de l’année (un bébé né en février, madame presque milliardaire en dollars, monsieur qui a écoulé son dernier album par millions...).
Quoi de plus naturel donc pour nos tourtereaux qui vivent dans un monde où la vie privée est publique que de se mettre en scène façon Les Z’amours pour le magazine GQ ?
Kylie J. pose ainsi 23 question sur sa petite personne à son boyfriend qui pour le coup fait ici l’effort de prononcer deux phrases d’affilée sans autotune.
Toujours est-il que passé le côté gentiment mimi de l’exercice, très vite la séquence se révèle des plus pénibles à regarder, et pas seulement parce que le vocabulaire employé de part et d’autre ne dépasse pas le nombre de mots d’un refrain écrit par Soulja Boy.
Candidate au titre de meuf la plus nombriliste de la planète, la petite sœur de Kendall qui a 21 ans affiche un visage qui jamais ne bouge d’un millimètre résume sa personnalité à la couleur de sa brosse à dents ou à l’endroit où elle range son mascara, tandis que Scott qui semble tout juste se relever d’un knockout de boxe anglaise connaît toutes les peines du monde à répondre aux questions les plus basiques (nom des parents de sa meuf, nom de ses chiens, nombre de ses tatouages…).
Bref ça sent le couple bien fake qui ne se voit au mieux qu’entre deux avions et ne s'aime qu'en fonction de l'image que l'autre renvoie. De quoi (presque) vous faire passer l’envie d’être rich & famous.
[Une petite pensée pour Tyga que l’on imagine s’être époumoné les réponses devant son écran d’ordinateur.]
9. Floyd Mayweather qui met la fessée à 50 Cent
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Rien de tel que les anciens amis pour ressortir de vieux dossiers à la face du monde.
Copains comme cochons lorsqu’il s’agissait d’aller faire pleuvoir les billets de banque dans les clubs de strip-tease, depuis ce jour de 2012 où Fiddy s’est lancé dans la promotion de combats de boxe dans le dos de Money, les deux hommes s’envoient régulièrement des piques sur les réseaux sociaux.
Si d’ordinaire les échanges restent un minimum « courtois », l’ex roi de la discorde du rap a fini par excéder l’ancien champion du monde en se moquant une énième fois de son illettrisme.
Conséquence, ce dernier a sorti les kalach’ sans crier gare, révélant tour à tour sur le Gram que Curtis vit désormais dans un appart’, qu’il lui a emprunté deux millions de dollars pour s’acheter des bijoux et qu’il ne les lui a jamais rendus, que son propre fils Marquise refuse d’avoir quoique ce soit à voir avec lui, que son fameux deal de 2007 avec Coca-Cola c’était du flan, qu’il est une balance certifiée…
Cerise sur le gâteau, emporté par sa fougue Floyd a même balancé le fait que son ex lui a refilé de l’herpès.
Ouch’.
8. Nicki Minaj qui joue à la mauvaise perdante
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Ce devait être l’album de la consécration. L’album qui devait remettre l’ordre cosmique du rap US à l’endroit après une absence de quatre longues années. L’album qui devait clouer le bec de toutes celles et ceux qui lorgnaient d’un peu trop près sur son trône.
Au final Queen n’aura été rien de tout ça.
Musicalement décevant (mais bon, quel cador n’a pas sorti un bide en 2018 ?), commercialement le disque s’en tire avec les honneurs, à ceci près que les 185 000 exemplaires écoulées en première semaine ne lui suffisent pas à grimper sur la première marche du podium.
Sorti sept jours plus tôt, Astroworld de Travis Scott lui chipe en effet la médaille d’or avec 200 000 ventes – tout cela sans oublier qu'à titre de comparaison le Privacy de sa rivale Cardi B avait lui franchi le cap des 250 000.
Ni très sport, ni très royale, Minaj commence à s’en prendre à Scott qui vivait sa meilleure vie dans son coin et s’embarque dans des envolées Twitter dignes de Kanye West qui ont du faire suer à grosses gouttes son CM.
Tout d’abord traité de tous les noms (« hoe nigga of the week », « cocksucker of the day »…), La Flame se voit ensuite accusé pêle-mêle d’avoir profité de la renommée de sa compagne Kylie et de leur fille Stormi, d’avoir artificiellement fait gonfler ses chiffres en les couplant à ceux de son merchandising, mais aussi et surtout, d’être de mèche dans le complot ourdi par Spotify pour plomber les artistes trop « real » (???).
Comble de l’ironie, Nicki est pourtant des deux celle qui a tenté un coup de Trafalgar en ajoutant in extremis à la playlist de Queen le single FEFE sur lequel l’avait invité 6ix9ine afin de faire grimper ses chiffres du streaming…
Vous voyez ce moment où vous vous dites que celui qui fut votre emcee préféré commence à paraître sérieusement hors du coup et qu’il ou elle ne reviendra pas ? À 36 ans, voilà peut-être ce qui vient d’arriver à Nicki Minaj.
7. Pusha T qui s’accroche à toutes les branches pour clasher Drake
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En bisbilles depuis de longues années, la moitié des Clipse et le Champagne Papi ont fini par crever l’abcès sur la place publique au mois de mai dernier.
Bien que tout avait commencé le plus gentiment du monde (traditionnelles accusations de ghostwriting d’un côté, moqueries sur un pseudo passé de dealeur de l’autre), Pusha T a ensuite pris la mouche comme rarement on aura vu un rappeur prendre la mouche avec son brûlot The Story of Adidon.
Loin de se contenter d’attaques ad hominem, le poto de Pharrell et Kanye s’en prend nommément aux parents de son adversaire, se moque ouvertement de la sclérose en plaque dont souffre son ami 40 et révèle au monde l'existence de son fils caché.
De mémoire d’auditeur, depuis le Hit’em Up de 2Pac en 1996 (dans lequel le Californien menaçait directement de mort ses ennemis et riait de la maladie génétique de Prodigy des Mobb Deep), on n’avait pas connu une telle fureur.
Certes, question impact Pusha a plus que réussi son coup en laissant là Drake le souffle coupé, mais question déontologie cette victoire s'accompagne d'un goût amer pour peu que l’on considère que tous les coups ne sont pas permis.
6. Cardi B qui s'empêtre dans les accusations d’homophobie
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Si en 2018 tout le monde aime Cardi/Bardi, il faut bien avouer qu’elle a parfois des jours sans (genre ce jour où elle a découvert que Childish Gambino et Donal Glover formaient en réalité une seule et même personne).
Début janvier, la Nabilla du rap US se prenait ainsi les pieds le tapis en allant défendre son mec d’alors Offset critiqué pour avoir utilisé le mot « queer » dans le morceau Boss Life. Son argument ? Feindre de ne pas savoir que le terme était connoté de manière péjorative.
Cinq mois plus tard, rebelote lorsqu’elle participe au single Girls de Rita Ora. En perte de buzz, la chanteuse nous fait le coup du coming out goudou, toujours un excellent moyen d’aller ratisser de la couverture médiatique à moindre frais auprès des médias modernes et bien-pensants.
Manque de chance, souhaitant doubler la mise avec des paroles se confondant avec l’imaginaire que se fait l’hétéro bien binaires et bien genré du lesbian love, Ora se voit accusée de racolage.
Prise dans la polémique, Cardi est elle pointée du doigt pour son utilisation du mot « dyke » (« gouine »). Sa ligne de défense ? Elle ignorait qu’il s’agissait d’une insulte.
Dis-donc Lefa Cardi tu nous prendrais pas un peu pour des jambons ?
5. Juelz Santana arrêté de la manière la plus stupide qui soit
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Au départ, c’était un fait divers des plus whatthefuck comme il en arrive régulièrement dans le rap : au mois de mars dernier, pour une raison qui seule le regarde, le Diplomat décide de prendre l’avion un gun dans son sac.
Chopé sans surprise à la douane de l’aéroport du New Jersey, Santana pique alors un sprint et saute dans le premier taxi qui passe par là. Pas de bol pour lui, dans la précipitation il laisse derrière lui son permis de conduire et sa carte d’embarquement.
Officiellement en cavale, il revient à la raison dès le lendemain et décide de se rendre de lui-même aux autorités.
Si l’anecdote prête dans un premier temps à sourire (la simple idée de monter dans un avion armé défiant quand même tout principe de rationalité), elle n’est à la revoyure pas des plus funs.
De un parce que son coup de sang s’explique par ses addictions à diverses drogues qui le rongent depuis quelques années déjà, et de deux parce que la justice s’est montrée intraitable avec lui sur cette affaire.
Sommé de choisir entre un plaidé coupable et un procès, Juelz a accepté d’écoper d’une peine comprise entre 27 et 37 mois fermes plutôt que de risquer plus.
Outre le fait qu’à 36 ans bien sonnés il vient probablement là de planter le dernier clou à sa carrière de rappeur, il laisse sans père ses trois enfants âgés respectivement de 6, 8 et 15 ans.
4. La condescendance de Drake dans le clip de God’s Plan
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Dix ans déjà que le Canadien nous refourgue à échéances régulières les deux, trois mêmes morceaux.
Alors que la ficelle commence à se faire de plus en grosse artistiquement, quoi de mieux pour cacher la misère que d’assortir ses singles d’un clip événement ? Très souvent ça marche (Started From the Bottom, Hotline Bling…), d’autres fois ça donne God’s Plan.
Le pitch ? 5 minutes 57 durant l’ami Drizzy se balade dans les rues de Miami et distribue la main sur le cœur près d’un million de dollos aux gens du petit peuple, le tout sous l’œil d’une caméra qui ne manque pas de filmer la moindre larme de remerciement.
Face A, on ne peut évidemment que se réjouir de voir des jouets distribués à des enfants, un chèque adressé à un foyer de sans-abris ou encore des courses offertes à tous les clients d’un supermarché. Certes le tout sent un peu la com’ et la pornographie philanthropique, mais après tout où est le mal ?
Face B, on peut aussi se dire que niveau indécence un cap a été franchi tant cette ambiance « coucou les pauvres » respire l’autoglorification. Et ce n’est pas jouer aux cyniques que de se sentir gêné devant les réactions (sincères) de gens dans le besoin qui ne servent ici que de pâture à une mise en scène de télé réalité.
Tout ça sans oublier que dès le prochain clip Drake retournera faire baver les foules en allant chanter les vertus du matérialisme et de la vie facile.
Enfin bon, God’s Plan ayant presque atteint le milliard de vues sur Youtube et étant devenu le temps d’un été l'hymne des filles du moove qui lip sync sur Snapchat, tout le monde s'en tire ici avec la conscience tranquille.
3. Kanye West et son soutien acharné à Donald Trump
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Entendons-nous bien : rappeur ou pas rappeur, chacun est autorisé à avoir son propre opinion sur les questions politiques, et le cas échéant, il n’y a rien de choquant à vouloir défendre ses idées.
Et qu’un type qui vit désormais à plein temps dans la banlieue hyper-huppée-hyper-friquée de Calabasas vote pour un candidat représentant d’une certaine façon les intérêts de sa classe n’a au fond rien d’étonnant.
Ce qui dérange en revanche avec toute la campagne pro-Trump de Ye, c’est que jamais il n’a fait valoir le moindre début d’argument en faveur de la politique de son président préféré.
Sa gestion des relations internationales ? Ses positions sur l'immigration ? Ses mesures de relance économique ? Rien de tout cela n’intéresse le mari de Kim K. qui préfère louer casquette moche sur la tête l’amour qu’il porte à son « bro » et donner dans le hors sujet permanent.
Au final l’impression qui se dégage c’est celle d’un type qui sous couvert d’une pseudo-liberté de penser se complaît dans une posture sans fond par simple plaisir de la provocation.
Dans ce contexte, ses propos à l’emporte-pièce sur « l’esclavage qui serait un choix » ressemblent au mieux à ceux d’un pilier de comptoir racontant ce qui lui passe par la tête histoire d’attirer l’attention sur lui pendant cinq minutes.
« Scoop-diddy-whoop ? »
2. Les réactions sur les réseaux sociaux suite aux décès de rappeurs
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Xxxtentacion, Craig Mack, Jimmy Wopo, Fredo Santana, Mac Miller… c’est peu dire que les douze derniers mois ont été meurtriers pour le rap US.
S’il est toujours triste de voir disparaître légendes et jeunes talents, il est quand même curieux d’observer à chaque fois la course au pathos à laquelle se livrent personnalités et anonymes sur Instagram, Twitter & Co.
Pour les premiers il s’agit de s'empresser de poster une photo d’eux à côté d’un type qui d’un coup d’un seul serait devenu l’un de leurs plus proches amis, pour les seconds il s’agit d’étaler un amour jusque-là insoupçonné de leurs discographies.
En vrai ce déluge d'émojis un peu trop attrape-likes pour être sincères manque clairement de sobriété.
Ça, et puis aussi le fait que quelques semaines après, ces mêmes personnes seront passées à autre chose comme si de rien n’était… ce qui ne les empêchera absolument pas de recommencer leurs simagrées à l’identique à la prochaine tragédie.
C’est beau la compassion 2.0.
1. 6ix9ine qui à trop vivre par l’internet a péri par l’internet
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L'histoire de Daniel Hernandez c’est l’histoire d’un ado pitchounet qui voulait faire rappeur dans la vie, et qui pour atteindre cet objectif a repris tous les codes de la scène mainstream en les poussant au max (le look, les gimmick, le marketing…).
Cartoonesque et divertissant, à défaut de sortir le moindre son vraiment marquant, il a cependant réussi à devenir en quelques mois le héros d’une nouvelle génération qui décidément n’a plus grand-chose à voir avec le rap de ses grands frères.
Oui mais voilà, tout virtuose qu’il est du buzz permanent (un simple coup d’œil à son fil d’actualité suffit pour s’en convaincre), à trop vouloir la jouer thug face caméra il a fini par tomber du côté où il penchait en se faisant alpaguer par la justice fédérale américaine.
Soupçonné d’être IRL de mèche avec le gang des Bloods (port d’armes, association de malfaiteurs, racket…), lui qui dédicaçait les Rouges à tue-tête à coup de shootouts « TreyWay » s’est vu jeté en prison quelques jours avant de la sortie de son tout premier album Dummy Boy.
Si la fin de l’histoire n’est pas encore écrite (son procès au cours duquel il risque la perpétuité et pour lequel il plaidera non-coupable se tiendra en septembre prochain), 6ix9ine n’en incarne pas moins une sorte de dindon de la farce d’un système qui amalgame célébrité et popularité, buzz et actualité, curiosité et indiscrétion.
Un système dont médias et public se délectent et dont il arrive parfois aux artistes d'être les premières victimes.
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lavila27 · 8 years
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Beauty & the Beast- a movie review by Lauren Avila
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I’ve just returned from seeing the live action remake of Beauty & the Beast for the 2nd time within a week. I have so many thoughts about this movie but in a nutshell: I LOVED IT!!
Let me begin by saying that I’m extremely biased because I’ve been a lifelong fan of this movie. I was born in ‘89 and this movie came out in ‘91. We haven’t long existed without each other. As a child, this was the first obsession I ever had. Obviously, I’ve since become obsessed w/ many movies, tv shows, books, places, people, and yes, ships. It all started with B&TB though. I could go into greater detail about all the merchandise, the endless hours of rewatching, the pic of little Lauren w/ the characters, etc. but I think you get it. I love this movie. So I’ll move on. Regardless of my favoritism, I tried to watch this movie with a clear head. I would be lying if I said that I didn’t have high expectations. I’m really not kidding when I say that I’ve had the countdown on my phone for the release of this movie for 900 days or so. In all that time, I’ve had my fair share of ideas and fantasies of how this could turn out. I had high hopes right from the beginning.
While driving to the theater on the night of March 16th, my sister asked me: Are you nervous? And I said “No, I’m excited. Unless they stray 100% from the animation, I know I won’t be disappointed.” I was right. It was basically impossible for me to be disappointed. In fact, even though it turned out quite different than I imagined, I was very pleased with it. Having said that, I would like to discuss the movie in my honest opinion. I could fangirl all over it and say that it was the best thing I’ve ever seen. However, I do have some slightly critical things to say. So let’s start.
***SPOILERS AHEAD***
The moment the movie started with that iconic opening music, I swear I stopped breathing for about a minute and a half. I appreciated that it began with the castle, the rose, and the first few lines that we know from the animated classic. The changes started right away. I didn’t mind this Prologue at all though. It thoroughly explained the Beast’s curse and even gave us the first step into greater detail than the cartoon did by mentioning the memory curse. I love that this version gave so many direct nods to the animation. Just to name a few: scratching out the Prince’s face, the opening of Belle, Belle about to leave after the Wolf scene, the Transformation, etc.
For some reason, there’s something about the village scene that bothers me. I’m not sure if it’s the ensemble that just seems like an under-rehearsed community theater group. Or if it’s that the library has like twelve books inside. Or if it’s because Emma Watson’s voice is dripping w/ autotune. It’s really too bad because I can tell that Emma’s voice is just fine the way it is. But I’ll discuss this more later. Anyway, I really adore all the costumes in the film. Belle’s blue dress looked great to me. It really suited the provincial look and Belle’s simple style.
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Now would be a good time to talk about Luke Evans. When I heard the casting as each member came onboard, Luke was one of the few I had never heard of. Oh my goodness though, he really makes Gaston his own in an impressive performance. Plus, his singing is fantastic! He is arguably the best singer in the whole cast. But that is seriously up for debate. Of course I should also mention the perfect casting of Josh Gad as Lefou. I mean, perfect casting. That’s all I can really say. While on the subject of casting though, should we discuss the equal opportunity employing going on with the horse. 90’s kids know that Philippe is famously played by a brown horse and is now played by a white horse. I’m just going to leave it at that.
Back on subject, I want to note some more changes in the movie. They planted the seeds of a deeper back story for Maurice and Belle by bringing up her mother right away. Maurice sings a tender, new song while creating a music box as a tribute to his late wife. I got emotional quickly as this scene began because I didn’t realize how much I wanted to hear about Belle’s mother until this scene was unfolding in front of me. When Belle asks, “Please, just tell me one more thing about her.” It cuts like a knife. You’re reminded that Belle knows as little about her as we, the audience, does. “She was fearless” seems to have a great weight to it in a foreshadowing kind of way.
This version had all the beloved songs from the animation, but sadly no songs from the stage musical. That’s alright though because they added a few really lovely, new songs. I did notice that they hinted at songs from the musical here and there. The first scene between Belle and her father had the exact setup of “No Matter What” but no song. Later, in “Days in the Sun,” Belle sings a line “a change in me.” She also refers to the castle as home when they leave Paris. This, I think, is a shout out to “Home.” I believe there was one other reference in the movie but I can’t recall it right now. I also noticed that a few songs had been altered and musically rearranged as well. “Gaston,” “Be Our Guest,” and “The Mob Song” had lyric changes and additions. I really love the new songs but my favorite is probably “Evermore.” I’ll talk more about it soon.
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Kevin Kline as Maurice was excellent. He was funny and endearing. The bond that Kevin and Emma had was very believable. I like the way they changed Belle’s sacrifice. It seemed that the Beast was kind of impressed with her decision to take her father’s place. Quite the opposite however, I did not like that they had Lumiere and Cogsworth give Belle a bedroom. That’s the first bit of kindness the Beast shows Belle in the ‘91 movie. It plants a seed in their relationship. Not only this but they took away another opportunity too. When the Beast gifts Belle his library in the animation, he knows how much it will mean to her. In this version though, it’s so blase. He’s so passive about giving it to her. I don’t know. It takes a little getting use to.
Sidenote: I’m sorry but I couldn’t help but get a few Harry Potter feelings during the movie. Yes, I know Emma is not eternally Hermione but Belle is very similar: smart, strong, and compassionate. The villager who couldn’t remember what he forgot. Gaston’s dark magic reference. And something about that crazy wardrobe makeover in Belle’s room reminded me of a Potter movie. Belle’s parents’ apartment reminded me of the Shrieking Shack. And also of apparating. Emma Thompson working with Emma Watson. I don’t know. An HP fan’s mind can never roam too far away from the movies.
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Be Our Guest was quite the number. At first I wasn’t a fan of it. I suppose I was expecting something really big and stunning. I still feel like something is lacking a little but I did enjoy it much more the second time. I expect it will appear better and better every subsequent time. My first impression was that the singing was flat, the set was underwhelming and the mix between real and computer animated objects was distracting. I know it’s hard to live up to a cartoon that has spoons swimming, candlesticks bending in line, and forks doing a kick line but what can I say? I’m a huge fan of this scene. Upon seeing this scene again though, I warmed to it pretty quickly actually. With a new perspective, I decided I really like the new arrangement of the song and some elements of the “show.” I’ll definitely say it’s exciting and doesn’t disappoint in the end. In fact, I’m the one who led the applause on opening night right after the number. The whole theater joined in too! I just wish I could put my finger on what’s missing though. Oh well. C’est la vie.
Let’s talk about another dance number. “Gaston” turned out great. Yes, they changed a bunch of lyrics but overall I was happy with it. You ain’t seen nothing like the stage version but I digress. I thought that the added elements were funny such as the “I just realized I’m illiterate and never had to spell it before” line from Lefou at the end of the song. Luke Evans’ Gaston had a certain charm to him. Even though he was doing horrible things, he was so set in his own convictions, it didn’t seem to bother him. The whole audience I was with at the opening gasped when he punched Maurice and left him for wolf bait in the woods.
The wolves were great by the way. The whole battle with the wolves seemed so real. I also really liked that when Belle went to help the Beast she said, “I need your help. You have to stand.” (Or something like that.) It indicated that they can help each other through teamwork and must literally lean on each other. It was the first time they connected. He saved her life. She tended to him and showed him compassion. It broke down their barriers. I’m so happy they kept their little spat intact. You know the whole, “You should learn to control your temper” talk. This scene also lended itself more toward backstory. We learn that the Beast lost his mother as a child and his father twisted him into a selfish prince. I thoroughly enjoy little details. At the very beginning of “Days in the Sun” we see that the Beast has a tear or two in his eyes after dreaming of his mother. I really like the whole song. Furthermore, I love the side of the Beast we begin to see when he heals. The Shakespeare conversation they have and then the “Some of them are in Greek” joke in the library… so adorable. It’s also really sweet that he wants to sit by her during “Something There.”
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The addition of the magic book from the Sorceress was an unexpected but pleasant surprise. It was a heartbreaking scene but I think it was a great investment in Belle’s emotional journey. However, I feel it opened an unnecessary window into a whole chapter we will never know more about. Granted it answered a question that the character of Belle had, it created an added element that felt like a bit of a tease. We only got a few minutes with this magical book and know so little about it. I almost feel like there could be a whole other movie about it. I love the symbolism behind it but I can’t help but feel so curious about it. Can they still use this book now that the curse has been broken? Where would the Beast like to go to? So can it transport in time? If so, did the Beast use it to see his mother? Did Belle ever use it without the Beast? Could she have potentially used it to visit her father? Can the Enchanted Objects use it too?
Moving on. Let’s talk about Belle’s iconic yellow dress. I’ve heard many people say that they’re not a fan of it and I can understand why. Surprisingly, I really love it. Even when I saw the trailers for the movie, I didn’t hate it. I was cautiously optimistic. Then I saw the movie and fell in love with the soft and romantic look of it. It floats gracefully when Belle moves and dances. I love the layers, the glimmers of gold, the simple but beautiful style especially keeping in mind that this is probably the prettiest thing that this poor village girl has ever seen. I adored her hair, her jewelry, and I’m sure her shoes were great too but we didn’t see them. I loved the whole look and would definitely wear it myself. I could practically feel the fabric through the screen. I may be the only person to defend her dress, but I give it my stamp of approval.
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The dancing scene was perfect! Both times I’ve seen it, I’ve cried. I’m so thankful for all the moments they kept from the movie especially the camera pan up to the ceiling (loved the instruments playing!) and down to the Beast spinning Belle to the side. I also really enjoyed the bit where he picks her up and spins her amidst twinkling lights. Have I mentioned yet that adding the organ sound of Cadenza to lots of pieces of the score was an awesome decision?! I really loved this ballroom scene and felt the love for the project, the love between the characters, and the love toward the original creation all oozing out of this scene.
Coming out of the movie, I think the part that I can’t stop thinking about is “Evermore.” I am obsessed with the new song and I’m so in love with this scene. It completely gutted me both times. The lyrics and melancholy yet so beautiful. Dan Stevens, ladies and gentlemen. First of all, I am fascinated with his Beast talking voice but his singing voice has captivated my B&TB-loving heart. He sings with such passion, I was surprised to find out that he “learned” to sing for this movie. I would’ve guessed he had a prior career in the West End. But I’ll stop gushing now. Bravo to all involved in the making of that scene including the brilliance of Alan Menken and Tim Rice!
I dare say I loved “The Mob Song” more in this film than I did in the animation. I’ve already mentioned how impressed I was by Luke Evans but it’s worth noting again. There was something about this scene that really felt right. The singing was on point and they added a fantastic new line for Lefou too! He says that there is definitely a beast but the wrong monster has been released. Awesome addition! It’s probably just the Menken Maniac in me but it had an epic parallel to “Savages” from Pocahontas. By the way, did you all catch the Darth Vader theme in the battle scene in the castle? Am I mistaken?
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Boy was the finale dramatic! Gaston shot the Beast three times. Three! Belle’s wrestling w/ Gaston’s gun. Everyone’s making risky jumps on the rooftops of the castle. You’re on the edge of your seat the whole time. My favorite part of all this was the line, “I am NOT a beast.” Too bad Gaston couldn’t leave well enough alone. It’s doom and gloom for him. Speaking of gloom, the transformation of all the Enchanted Objects into ordinary objects was the saddest scene in the whole movie. I cried both times. It had such hopeless finality to it. You would have to have a heart of stone to not feel something.
No matter what form I see the end in: animation, stage, live action, I just love Belle and the Beast’s tearful goodbye and new beginning. Emma did a phenomenal performance as she said “No! Please don’t leave me. I love you.” Tears falling out of her eyes and her pleading voice… oh my goodness. I couldn’t handle it. Then the beautiful and goosebump-inducing transformation. It was exactly like the animation and I loved that!! Although I was hoping to hear Belle say “It is you,” this wordless scene still left me completely satisfied. Dan and Emma have wonderful chemistry. Not many couples could pull off a vital scene without dialogue. Fortunately, Dan and Emma conveyed so much with their eyes and expressions… and lips.
I was very happy with the end including the choreography of the dancing, the lovely Audra McDonald singing, the beastly beard joke, and especially with Belle’s white dress. Gorgeous!! The Prince looked quite handsome as well. I even liked the credits. Both times I’ve seen the movie, I’ve stayed for the entire thing. It’s wonderful to hear Celine Dion sing in B&TB credits again. I’m really happy with the way John Legend and Ariana Grande sang the title song too. I’m a longtime fan of Josh Groban so to hear his version of “Evermore” just adds a cherry on the sundae. Though I must say, I think I prefer Dan Stevens’ emotional rendition of the song. Visually the cast credits are well done too.
If you’ve read this far, thank you for your patience. Obviously, I have a lot of thoughts on the movie. I hope to go see it again before it leaves theaters. So I think that goes to show that overall I really loved it. There were a few things I’d tweak a bit but again, I’m generally happy with the whole film. I was pleased to see it at my Cinemark theater that has comfortable reclining loungers. They also had souvenir popcorn tubs and cups. I just had to get those too. And so readers, I would most definitely recommend Disney’s 2017 live action Beauty and the Beast! Now playing in theaters nationwide. And once you get your B&TB movie fix, maybe venture to some chain stores that are currently selling fun movie merchandise. Plus, Disney Parks are promoting the movie pretty heavily these days as well. I might just check it out. Stay tuned for more!
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direct-actu · 5 years
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Redemption – Raven Tree Ouvrir un mail avec la promesse d'aucun autotune et découvrir ce titre rock, puissant et qui transmet un message de prévention contre le suicide au sein des vétérans américains qui ont du mal à se réinsérer dans la vie civile. SVP écoutez le message à la fin de la vidéo.
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levoleurdimages · 5 years
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