#au final ce n'est jamais blanc ou noir
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Dans un monde où l'horreur défie l'entendement, où la violence touche même les plus innocents, je suis profondément ému. Les maux de notre société sont si accablants qu'ils nous incitent à commettre l'inconcevable, à combattre des ennemis extérieurs alors que le véritable affrontement se déroule en nous, contre notre ignorance et notre indifférence.
Nous sommes en quête de références, de modèles à suivre, qui éclairent le chemin obscurci par le voile épais de notre jugement. Ce voile, tissé de déni et d'imitation, dissimule la réalité d'une société malade. Pour trouver la guérison, nous devons chercher la lumière qui paraît de plus en plus faible sous le regard las de notre monde.
Je crois fermement en l'effort collectif, car il est essentiel. Jamais dans l'histoire de l'humanité n'avons-nous été autant confrontés à des horreurs aussi ardues à comprendre. N'est-ce pas là l'essence même de la terreur impensable et incompréhensible que Camus présageait ? Notre incapacité à rationaliser l'idée qu'un nourrisson puisse être violenté n'est-elle pas la pathologie sociale qui cristallise notre décadence ? Faut-il encore parler de cancer collectif, de marasme ou de gangrène, comme lors de la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il nous est inconcevable de saisir ce qui se passe ? Où sont nos Camus, Platon, Aristote, Michel de Montaigne, René Descartes, Gottfried Wilhelm Leibniz, Jean-Jacques Rousseau, Denis Diderot, Nietzsche ?
Peut-être est-ce là notre problème : nos incompréhensions globales, qui nous empêchent d'avoir une vision, des visionnaires. En fin de compte, je pense même que Camus n'aurait pas su comprendre et aider comme il l'a fait par le passé. Leila [s'efforce], Onfray [tente] aussi, un peu, oui, c'est vrai, mais ce ne sont que des débuts. Il est terrifiant d'assister au naufrage, terrifiant de considérer que, après avoir fait de mon mieux dans ma vie, je doive repenser et accepter que la seule solution serait de sombrer avec élégance...
Les guerres ne sont plus de simples affrontements entre armées, mais des conflits d'identités et d'individualismes. De plus en plus, ces conflits cherchent à faire oublier, à compenser des insécurités croissantes par un dogmatisme qui nous mène vers l'ignorance.
Après la peur, nous serons confrontés à la méfiance et à la suspicion, sentiments qui ont souvent permis à des individus de prendre le pouvoir. Plus que jamais, nous avons besoin de clarté et de vision pour faire face à l'obscurantisme. Ce n'est pas le nihilisme qui est notre pire ennemi, mais plutôt notre propre résignation face à ces défis.
Nous nous débattons avec la réticence à admettre que l'existence humaine est une perpétuelle oscillation entre la joie et la peine, que le même être qui nous arrache des larmes peut aussi nous offrir des éclats de rire. Nous avons du mal à accepter que la vie puisse être à la fois une vallée de larmes et une vallée de roses, que notre réalité est tissée de dualités. Notre résistance à l'équilibre se manifeste dans nos choix polarisés, dans les dynamiques et les émotions qui surpassent souvent la raison. Car, par définition, ce conflit intérieur naît de notre réticence à reconnaître que la beauté réside dans l'harmonie des contraires, et que s'enraciner dans un camp mène inévitablement à la frustration, à la recherche d'un exutoire pour notre colère, nos incompréhensions et nos craintes.
Le cosmos pourrait me juger pour ces paroles, mais l'acte barbare et inconcevable de faire du mal à un enfant innocent ne surgit pas du néant. Nous n'avons pas encore accepté qu'il faille embrasser le chaos interne pour enfanter une étoile dansante. Des figures comme Hitler ou Ismaël Haniyeh n'ont pas intégré cette nécessité. Il nous a fallu attendre 80 ans pour revoir les symboles haineux ressurgir dans le cœur de Paris, pour témoigner des larmes d'une vieille dame revivant les horreurs d'antan, comme si nous n'avions rien appris.
Je crains que le cycle ne s'arrête pas, que même armés de la leçon de l'histoire, sa compréhension nous échappe encore. Peut-être que certains rejettent cette compréhension, et bien que ces marginaux aient souvent été éclairés par notre lumière, je redoute que cette lumière pâlisse, que l'équilibre des forces s'effrite. Cependant, au fond de mon cœur, je sais que malgré tout, nous avons réussi la plus belle des choses : croire en des idéaux nobles et vertueux, même si nous ne les saisissons pas toujours pleinement.
#on a besoin du regard que porte François Cheng à Abd Al Malik#je ne crains que ceux qui me lisent en mettant en avant l'idée suivante “OUI MAIS IL Y A EUX AUSSI QUI SOUFFRENT” cette nécessité de camps#qui gangrène nos jugements...#au final ce n'est jamais blanc ou noir#blanc et noir#c'est tout à la fois aussi dur cela soi-il à accepter#accepter que l'on doive souffrir svp sinon la lumière se tarira ❤️#crois ce que tu ne comprends pas si tu penses que c'est nécessaire
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𝔻𝕚𝕝𝕦𝕔 | Sway
*↷◌ Info:
||Personnage : Diluc ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 3 560 ||Inspiration musicale : Sway de Michael Bubblé ||Synopsis : [T/P] est une chanteuse connu à Mondstadt, et performe régulièrement dans la taverne de Diluc. On dit que les deux sont de bon amis, mais n'entretiendraient-ils pas une relation plus intime lorsque les portes sont closes?
⁎↣♡↢⁎
Ce soir, à Angel's Share, taverne emblématique de Mondstadt, un évènement sortant de l'ordinaire allait prendre place à l'intérieur. Au rez-de-chaussée, une petite scène avait été installée, où quelques instruments reposaient dessus. Puis à l'avant, au centre, un micro solitaire. Cette petite mise en scène intriguait les nouveaux clients, se questionnant sur la raison de ce décor différent de l'habitude. Mais les habitués de la petite taverne savaient ce qui allait se passer. Un vendredi soir sur deux, une chanteuse à la voix mielleuse venait faire son spectacle, remplissant à l'occasion la taverne de client friand de son chant.
Pour Diluc, barman et propriétaire de ce repère chaleureux, la venue de cette chanteuse lui permettait de venir gonfler ses recettes si la semaine n'avait pas été assez florissante pour lui. Bien évidemment, ce n'était pas l'unique raison pour laquelle il appréciait particulièrement ces soirées. Mais étant fidèle à lui-même, Diluc n'admettrait jamais l'effet que cette présence féminine avait sur lui, tout du moins, pas en public. PDV [T/P] :
La taverne commençait petit à petit à se remplir, créant un brouhaha joyeux au sein de cette dernière. Diluc, lui, était au comptoir, nettoyant des verres ou servait des boissons. Son air sérieux même dans cette ambiance de fête me fit sourire. Rare sont les moments où j'ai pu le voir sourire, mais je les chéries comme rien au monde. Mon regard continua son chemin de son visage vers cette chevelure d'un rouge flamboyant, lui donnant un air sauvage et élégant en même temps. Puis mes yeux descendirent le long de sa nuque pour atteindre son torse musclé et pourtant, regorgeant de finesse. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette silhouette envoutante. « Arrête de le fixer comme ça, tu vas baver [T/P]. » dit l'un de mes musiciens en rigolant. Je me retournais en laissant échapper un léger soupir avant de lui répondre quelque peu blessée. « Ce n'est pas de ma faute s'il est bel homme! Comment ne pas vouloir admirer ce profil si charmant? » dis-je, un léger sourire sur les lèvres, jetant un dernier regard sur ce visage de marbre.
- Haha, non mais regardé moi ces yeux langoureux. Est-ce que notre cher [T/P] n'aurait pas un petit béguin pour le barman distant et mystérieux? » renchérit un autre musicien. Je fronçais les sourcils et regardais à l'opposé de Diluc en croisant les bras.
« Je ne vois pas ce qui te fait dire ça. Allez, trêve de bavardage, nous allons bientôt rentrer en scène! »
La petite troupe s'échangea quelques regards complices avant de rigoler. Un rictus se dessina sur mes lèvres avant que je ne prenne la poignée de la porte de derrière, nous faisant rentrer directement à côté de la petite scène. À peine avions-nous passé le pas de la porte que tous les regards de la taverne se dirigèrent vers nous, devenant le centre de l'attention. Il faut dire aussi que nous étions plutôt chics. Chacun des musiciens portaient un costume trois pièces blanc crème, le tout accompagné d'un nœud papillon rose pastel. De mon côté, j'avais opté pour une robe noire en satin avec un col bateau. Cette robe enveloppait mon corps délicatement, adoucissant les courbes de mon corps. Finalement, je portais des gants en dentelle rose pastel, remontant jusqu'au coude, rappelant le nœud papillon des musiciens. Le tout était assez minimaliste, tout en ayant de l'élégance.
Nous sourîmes à toute la salle, ravis de voir qu'il y a toujours autant de monde prêt à venir nous écouter; ça réchauffe le cœur. Pendant que les musiciens s'installaient, je pouvais entendre les murmures qui parcourraient la taverne à notre sujet. Des murmures d'excitation, de questionnement, d'appréhension. C'est alors que je me plaçais en face du micro, testais si le son fonctionnait, et la taverne devint silencieuse, impatience de savoir le déroulement de la soirée.
« Bonsoir à tous! Je vois que, ce soir encore, nous sommes nombreux et impatient que la soirée commence, n'est-ce pas? » dis-je dans le micro, le sourire aux lèvres à cause de l'excitation qui commençait à monter.
- OUAIS! » cria toute la taverne dans un élan de joie et de bonne humeur.
- Haha, bien bien. Je vois que tout le monde est en forme aussi encore ce soir. Eh bien, commençons sans plus tarder avec la première chanson qui est dédiée à la personne qui a su faire tambouriner mon cœur avec passion, qui a su faire frissonner ma peau de plaisir, et qui d'un simple toucher enflamma tout mon être du grand brasier qu'est l'amour. J'ai choisi la chanson Sway! »
Suite à cette déclamation, une vague de sifflement parcourut le public intrigué de savoir qui était cet heureux élu. J'en profitais d'ailleurs pour lancer un regard furtif dans la direction de Diluc. Ce dernier restait impassible devant le comptoir à s'occuper des clients; il ne daignait même pas m'adresser un regard. Mais je savais que mes dires ne l'avaient pas laissé si indifférent que cela, bien qu'il montrât le contraire. Le bout de ses oreilles ainsi que ses pommettes prirent une teinte légèrement rosée, un changement très discret, mais qui n'échappait pas à mes yeux. À la vue de cette réaction chez Diluc, je reportais mon attention face à la salle, un sourire satisfait scotcher aux lèvres.
« Musiciens! »
Ils s'échangèrent un regard, tous souriant et commencèrent aussitôt à jouer la mélodie. Je pris une grande inspiration et calmais ma respiration en fermant les yeux quelques secondes, avant de commencer à chanter de plus belle.
« . »
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
« . »
À la fin de ma performance, j'en profitais pour faire un petit clin d'œil dans la direction de Diluc, espérant cette fois une réaction plus prononcée chez le barman. Mais il n'en fut rien, malheureusement.
Après seulement une chanson, la taverne était déjà en ébullition et en redemandait. Mes compagnons et moi-même ne pouvions nous arrêter de sourire face à l'engouement du public. Je repris mon souffle avant de ne reprendre le micro dans mes mains.
« Vous en revoulez encore ? »
Un « Oui » unanime émergea dans toute la taverne, nous faisant comprendre que la soirée ne s'arrêterait pas en si bon chemin. C'est alors, qu'après deux trois gorgées d'eau, les musiciens se remirent à jouer, moi les accompagnant avec ma voix qui résonnait à travers tous les murs de la petite taverne.
PDV Diluc :
La première chanson venait à peine de finir, et pourtant, la salle en redemandait déjà encore. Du coin de l'œil je l'avais vu m'adresser un clin d'œil, mais je ne réagis pas. Du moins, je ne le montrais pas, car je savais très bien qu'au fond de moi, mon cœur battait légèrement plus rapidement contre ma cage thoracique simplement à cause de ce clin d'œil.
Je continuais ainsi de servir les clients qui se faisaient nombreux au comptoir. Evidemment, Venti était présent, mais je crains que les 10 bouteilles de vin n'aient eu raison de sa conscience. Je soupirais, découragé, de le voir ainsi avachi sur une table de ma taverne, encore une bouteille à la main et un sourire d'idiot accroché à ses lèvres. Parfois je me demande s'il est celui qu'il prétend vraiment être ; l'archon Anemo. Je secouais, désespéré, la tête de droite à gauche avant de reprendre la tâche que j'étais en train d'effectuer.
De l'autre côté de la salle, [T/P] continuait de chanter de plus belle, sans jamais s'arrêter. Je lançais de temps à autre quelques regards furtifs dans sa direction tout en restant le plus discret possible ne voulant éveiller quelques soupçons. Et pourtant, plus je la regardais, plus il m'était difficile de détacher mon regard de sa silhouette. Ce corps sublime devenait enivrant, et ce visage, un visage d'ange, qui transpire la tendresse et l'amour. Ses traits fins et délicats, ses yeux remplis d'un feu ardent de passion, ses lèvres légèrement rosées dues au rouge à lèvres les rendaient encore plus délicieuses. Et sa voix, comment ne pas en parler. Le timbre de sa voix pouvait être à la fois fort et doux, agressif et tendre, sensuel et délicat. Sa voix n'était comparable à rien en ce monde tellement elle était unique et envoutante. Et ce vibrato grave et lent qu'elle pouvait produire en allant chercher un son du plus profond de ses entrailles ; j'en avais des frissons d'excitation. C'est incroyable l'effet que [T/P] a sur moi.
Je souris tendrement en la regardant prendre plaisir à chanter devant cette foule en effervescence. Plongé dans mes pensées, je l'admirais paisiblement avant qu'une certaine voix un peu trop familière ne me sorte de mes songes.
« Elle est ravissante, tu ne trouves pas ? » dit-il avec un ton enjoué, les yeux rivés sur la silhouette de [T/P].
Pas besoin de relever la tête pour savoir à qui appartenait la voix. Je décidais simplement de continuer à effectuer mes différentes tâches sans lui prêter trop d'attention.
« N'as-tu donc rien d'autre à faire que de venir boire dans ma taverne ? »
« Hahaha, même rendre visite à mon frère m'est interdit désormais ? » dit-il un verre de liqueur à la main, son air espiègle ne quittant jamais son visage.
Je relevais la tête et le fixais du regard. Ne voulant pas envenimer la situation, je décidais simplement de le laisser faire, après tout, j'avais plus important à faire en ce moment.
« Eh bien reste, si cela te convient, mais tâche de boire raisonnablement dans mon établissement. Je n'ai pas envie de me retrouver à gérer un ivrogne de plus dans ma taverne. »
Il laissa échapper un petit ricanement avant d'acquiescer et de s'éloigner, son verre à la main.
PDV [T/P] :
La soirée commençait à toucher à sa fin et la taverne ne comptait plus que quelques clients en son sein. Épuisée de cette soirée de fête, je décidais d'aller me poser quelques instants au comptoir pour retrouver mon cher barman. Les musiciens, quant à eux, venaient de rentrer chez eux, tout aussi exténués de la soirée. Je m'assis sur une des chaises hautes du comptoir, et observais amoureusement le visage sérieux de Diluc, concentré sur une tâche à la fois. Il releva sa tête dans ma direction en me demandant ce que je voudrais prendre. A cet instant, mes lèvres s'étirèrent dans un sourire affectueux, n'ayant d'yeux que pour lui.
« Je vais vous prendre un verre de wiskey, mon cher. »
A peine ma commande énoncée qu'il se mit au travail pour finalement me servir mon verre quelques minutes plus tard. Je bus quelques gorgées de ma liqueur avant de reposer le verre sur le comptoir verni de la taverne. Je relevais yeux afin d'avoir son visage dans mon champ de vision.
« Alors, que penses-tu de la performance de ce soir ? » demandais-je intriguée de connaître son impression ce soir encore.
- On peut dire encore une fois qu'elle a été réussie vu le nombre de clients qui se sont attroupés autour de toi et de la scène. » me répondit-il, un air indifférent sur le visage. Un soupir s'échappa de mes lèvres, quelque peu déçue de ce manque de réaction. Mais bon, à quoi est-ce que je m'attendais, c'est de Diluc dont on parle. Et pourtant, c'est une des raisons pour lesquelles mon petit cœur a craqué pour lui.
- Toujours neutre à ce que je vois. Et qu'en est-il de ma première chanson ? A-t-elle fait frissonner ton cœur de passion ? » le questionnais-je à nouveau, cette fois un petit rictus espiègle au coin de la bouche. C'est à ce moment que je pus voir à nouveau le bout de ces oreilles ainsi que très légèrement ces pommettes prendre une teinte rosée. Mon sourire s'élargit, connaissant déjà la réponse à ma question, mais je voulais tout de même savoir quel commentaire désintéressé Diluc allait me fournir.
- Je ne vois pas pourquoi une chanson aurait un tel effet sur ma condition cardiaque [T/P]. Toute fois, il se fait tard, tu devrais rentrer pour te reposer. » son sérieux ne quittait jamais son visage.
- Roooohhh la la, toujours aussi pragmatique à ce que je vois. Tu pourrais au moins dire que tu as apprécié mon chant au lieu de faire des remarques désobligeantes. » Je soufflais avant de ne reprendre une gorgée de mon whisky, le terminant à la même occasion.
- Mais, est-ce que l'impassible barman de la taverne Angel's Share serait en train de s'inquiéter pour moi en me demandant de rentrer tôt ?
- Pas nécessairement. Je m'inquiète plus du fait de devoir faire encore des heures supplémentaires.
- Tu sais, ce n'est pas en restant aussi froid que tu vas réussir à gagner mon cœur. » répondis-je dramatiquement, exagérant la situation.
- Veux-tu donc bien arrêter ta comédie et rentrer à la maison s'il te plaît ? Nous sommes en public ici, dans la taverne. » dit-il doucement en jetant de furtifs regards à droite et à gauche pour savoir si un client n'écoutait pas silencieusement la conversation.
- Haha, aurais-tu peur que quelqu'un se méprenne sur notre relation ? Eh bien soit, je rentre. Je réchaufferais le lit en t'attendant, mon chou ~ »
Je lui susurrais les derniers mots à son oreille avant de me retourner pour sortir de la taverne. Du coin de l'œil, je le vis rougir me faisant sourire, satisfaite. Seulement, je ne me doutais pas qu'une certaine personne avait tout vu, et entendu qui plus ait.
« ... »
Lendemain matin
Les quelques rayons qui traversèrent le rideau de la chambre vinrent effleurer mon visage, me réveillant doucement. Tranquillement, j'ouvris les yeux, ne voulant pas me faire aveugler par la lumière matinale. J'étendis mon bras à côté de moi et tâtai le lit, mais rien. Je ne sentis que les résidus de chaleur de son corps, ainsi que les quelques effluves encore présentes de son odeur dans les draps. Je me redressais donc sur le lit avant d'en sortir.
Alors que je me dirigeais vers la cuisine, une douce odeur de nourriture vint remplir mes narines, me donnant l'eau à la bouche. J'accélérais le pas afin de me retrouver au plus vite dans la cuisine. Lorsque j'arrivais dans la pièce, je fus accueilli par un Diluc au fourneau, concentré sur chaque mouvement qu'il faisait. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je m'avançais vers lui.
« Bonjour Diluc. Alors, bien dormi ? » lui dis-je en faisant un petit clin d'œil.
Il releva la tête et posa son regard dans le mien, cette fois, je pouvais clairement voir la tendresse épouser les traits de son visage. Comme quoi, dans un endroit à l'abri des regards, même le plus désintéresser des barmans pouvait se révéler tendre et attentionné pour sa douce moitié. Il me sourit tendrement avant de déposer ce qu'il tenait dans les mains sur le comptoir pour se rapprocher de moi.
« Très bien, et toi mon amour ? »
Il glissa ses bras le long de ma taille me rapprochant de lui. Un rire étouffé sortit de ma bouche tandis que je le laissai faire.
« Pourquoi ne m'as-tu pas réveillée lorsque tu es rentré ? Je n'ai même pas pu te faire un bisou pour te souhaiter bonne nuit.
- Tu dormais si paisiblement. Et puis, tu sais qu'il n'est pas conseiller de réveiller un ange qui dort, surtout lorsque ce dernier s'appelle [T/P]. Mais tu peux toujours me faire un bisou pour me souhaiter une bonne journée. »
Il déposa un bref bisou sur mon front tout en resserrant l'étreinte. Cette fois, c'était à mon tour de rougir comme une tomate. Il a le don de, avec seulement quelques mots, me faire chavirer et perdre mes repères. J'enfouis mon visage dans son torse pour qu'il ne voit pas à quel point l'on pouvait me confondre avec sa chevelure d'un rouge flamboyant. Toutefois, il devait surement avoir remarqué ma timidité car, l'oreille contre son torse, j'entendis sa cage thoracique résonner dans un rire léger avant qu'il n'approche ses lèvres de mes oreilles pour venir me susurrer ces quelques mots
« Je t'aime, [T/P]. »
Ce par quoi je répondis évidemment par l'affirmative, un sourire enfantin sur le visage. Puis, je relevais la tête et plongeai mon regard dans le sien. Nous nous observions tous les deux amoureusement, aucun ne voulant briser l'étreinte. Mes yeux descendirent légèrement pour venir se poser sur ses lèvres rosées et fines ; si délicieuses qu'on avait envie de croquer dedans. Je plaçais mes mains sur chacune de ses joues, et sur la pointe des pieds, posais mes lèvres contre les siennes. Il m'embrassa passionnément, comme s'il s'agissait encore de la première fois. Ses bras se refermèrent davantage autour de ma silhouette ne laissant ainsi quasiment plus d'espace entre nos deux corps, tandis que nos lèvres dansaient à l'unisson suivant un rythme rapide. Hâtivement, ce baiser devint passionnel et remplit d'amour pour l'autre, tout en y gardant une forme de tendresse. Je profitais de cette intimité pour venir glisser ma main le long de son dos avant d'atteindre son fessier. Ma main le caressa avant de le prendre fermement, nous collant davantage. Face à cette initiative, Diluc eut le souffle coupé, visiblement surpris de cette action. Je pus même voir un Diluc rougissant, presque timide et embarrassé. Mais je dois le reconnaitre, le fait de voir Diluc dans cet état pour la première fois le rendait si mignon et sexy à la fois, me fit encore une fois tomber sous son charme.
« Diluc, je te cherchais justement pour te dire que- »
Soudain, on entendit une voix masculine résonner dans la pièce. Nous nous arrêtâmes net avant de tourner nos visages vers ladite voix. C'est alors qu'on vit un Kaeya, droit comme un i, trop choqué pour dire ou faire quoi que se soit. Un silence s'installa dans la cuisine, un long silence lourd de sens. Personne ne disait rien, mais tout le monde comprenait la situation.
« JE SAVAIS QUE TU AVAIS UNE AFFAIRE AVEC [T/P] ! »
Kaeya s'écria soudainement, nous faisant sursauter Diluc et moi. Puis, un autre silence avant que je n'éclate de rire. Seulement, Diluc, lui, ne trouvait pas la situation aussi drôle que moi. En un clin d'œil il avait repris son air sérieux et sévère en regardant son frère. Pour ma part, je ne pouvais m'arrêter de rire, tellement le comique de situation était parfait. Visiblement, même son propre frère n'était pas au courant de tout.
« Tu n'as même pas prévenu ton frère ? Hahaha, tu es vraiment sans cœur mon cher Diluc. »
Je me retournais dans la direction de Kaeya, un air perplexe au visage. J'essuyais quelques larmes de joie avant de reprendre.
« Nous sommes bien plus qu'une simple affaire, Kaeya. »
En disant cela, je lui montrais mon annulaire gauche ainsi que celui de Diluc, mettant à présent bien en évidence nos alliances. La réaction de Kaeya fut des plus divertissante. Ce dernier s'attendait à tout sauf à cette fin, je pense. Rien qu'à voir sa tête de six pieds de long sous l'effet du choc, il s'agissait de la dernière possibilité. Diluc, lui, ne paraissait pas très ravi que son frère apprenne la nouvelle. Je souris et embrassais brièvement Diluc avant de sortir de la cuisine pour leur laisser un petit moment d'explication.
« Bon, je pense que des explications doivent se faire, en attendant, je vais aller prendre une douche. »
-T'as intérêt à m'expliquer pourquoi je n'étais pas au courant Diluc. »
Alors que je m'éloignais tranquillement de la cuisine, je m'arrêtais avant d'intervenir une dernière fois.
« Ah, et pas de duel entre frères, hein, je compte sur toi mon chou ~ »
Je quittais finalement la salle, un air satisfait sur le visage.
Ne pas prévenir son frère d'un tel changement, il faut le faire quand même.
⁎↣♡↢⁎
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En voyant un de tes reblogs sur l'empire byzantin je me demandais si tu avais vu la série Netflix sur la Chute de Constantinople?
(oui sur une des posts il y a le Constantin de la série lol)
En un mot comme en cent, c'est franchement mauvais, il y a un gros biais pour faire passer Mehmet comme un super roi conquérant trop OP avec tout plein de prophéties, mais qui passe en réalité pour un charlot, et si Constantin passe pour quelqu'un de faible entouré d'incapables et de traîtres, mais qui reste courageux jusqu'à la fin.
Je ne sais pas si les costumes ou si les décors sont censés être assez fidèles à l'époque, mais si jamais tu veux regarder quelque chose de mauvais pour en rire, ben il y a ça sur Netflix!
(Même si le rôle de la mère de Mehmet est le rôle féminin le plus intéressant dans cette série qui n'en a aucun autre, dans le sens où elle essaie de freiner les renforts de son père qui veulent rouler sur les Ottomans pendant qu'il fait le pied de grue devant Constantinople - si tu peux faire abstraction du "mais 10 ans se sont passé, les hommes ont des barbes grises et quelques coups de crayon sur le visage, mais elle elle n'a pas changé d'un iota?" intrinsèquement lié aux adaptations télévisées).
J'en ai entendu parler mais je ne l'ai pas encore vue (mais j'ai reconnu le Constantin de la série car sa prestation a été visiblement très appréciée dans certains cercles). En général, je me méfie des productions turques à ce sujet, elles sont souvent bourrées de propagande, quand elles ne sont pas directement produites par des chaines appartenant à l'état.
Pour Constantin XI qui passe pour quelqu'un de faible...ce n'est pas complètement éloigné de la réalité. Malgré l'image dorée de martyr que lui a fait la postérité, ce n'était pas vraiment un bon général, ni un diplomate, ni un grand dirigeant quand on regarde l'ensemble de ses actions et de sa carrière. Il a quelques coups pas du tout reluisants à son actif. De plus, on ne sait au final pas vraiment comment se sont déroulés ses derniers instants. Bien sûr, je note aussi la situation impossible dans laquelle il se trouvait et sa détermination à se battre jusqu'au bout.
Je te conseille l'ouvrage de Marios Philippides à son sujet (on le trouve sur des sites qui hissent haut le jolly roger). Non seulement c'est un livre récent mais il s'appuie en plus de manière très rigoureuse sur les sources d'époque et il essaie de comprendre qui était l'homme derrière le mythe.
Mais bon, s'ils ont lavé Mehmed plus blanc que blanc, ils auraient pu aussi remonter le niveau pour Constantin XI. Parce que bon, d'après ce que j'ai compris, ça passe bien sous silence les massacres commis une fois la ville tombée. D'ailleurs si tu veux rigoler je te conseille de regarder la scène finale du film 1453 Fetih. On ne peut pas aller plus loin dans la UWUification de l'histoire.
J'ai aussi vu que Loukas Notaras joue le rôle du traitre et du méchant de service alors qu'en vrai sa position était beaucoup plus pragmatique, mais loin d'être un traitre, et que la postérité a contribué à lui donner une légende noire.
Je ne comprends aussi pas trop le délire d'avoir donné autant d'importance à Giovanni Giustiniani. De ce que j'en ai vu, ils montrent ça comme si la défense de Constantinople avait reposé sur lui seul ???
Et pour les décors bon...la ville et le palais étaient dans un certain état de pauvreté à cette époque et ça a l'air d'être ça (les empereurs n'avaient même plus de quoi se payer une vraie couronne). Pour les costumes c'est ok. Pas 100% fidèle, mais c'est bien mieux que ce qu'on a pu voir dans d'autres productions même s'il y a quand même du gros n'importe quoi (et puis c'est quoi ce délire avec les turcs en cuir noir ?). Mais le problème est que le niveau de base est très bas. Il n'y a qu'à voir l'immondice qu'une récente série sur les vikings nous a pondu.
Tant mieux si le rôle de Mara Branković reste intéressant vu que c'était un personnage très influent.
En tout cas, je sais quoi regarder si je veux rigoler !
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Vous vous souvenez de cette friandise qu'on appelait "la Tête-de-nègre"... Eh bien, devinez quoi? Maintenant, ils l'appellent la "Meringue chocolat" ou même "tête de choco". Étonnant, non?
Mais ce n'est pas tout. Vous savez, je me suis demandé si c'était vraiment approprié de déguster une "religieuse", un "Congolais", un "Jésuite", un "Diplomate" ou même un "Financier". Des noms de pâtisseries qui pourraient sembler étranges dans un autre contexte.
Et que dire de la fameuse Forêt Noire? Il semblerait qu'elle doive bientôt être rebaptisée "forêt sombre"! C'est incroyable de voir comment les choses évoluent, n'est-ce pas?
Je me demande ce qui nous attend à l'avenir.
J'imagine que la S.P.A finira par nous interdire de savourer des "langues de chats". Et les défenseurs de la lutte contre le tabac, eux, s'attaqueront aux "Cigarettes russes". On ne sait jamais ce qui pourrait arriver!
Et que dire de ces délicieux beignets appelés "Pets de nonne"? Est-ce un affront envers les bonnes soeurs aérophagiques?
J'ai du mal à croire que certains noms de pâtisseries ont pu survivre jusqu'à présent sans être modifiés.
Finalement, je me demande où s'arrêtera la bêtise humaine... Les gens savent-ils seulement que pour faire une tête de nègre, il faut battre les blancs au fouet? C'est ironique, n'est-ce pas?
En fin de compte, il y a une chose qui reste immuable : les têtes de cons... On peut toujours compter sur elles pour être là.
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Le chemin vers l'isolation (the path to isolation)
"It starts With the unexpected loss Of something dear The warmth That comforted and cradled Just disappears"
Aaravos avait perdu sa place parmi les siens, il a ressenti de la tristesse mais aussi de la colère. Pour ce peuple arrogant, il sera témoin, témoin de l'humanité capable de faire de la magie primale. Et si ceux d'en haut refusent de le voir, eh bien, il y a toujours une autre solution.
"And in its place there's nothing Just an endless empty hole The light that showed the way is gone And darkness takes control Bitterness and anger Are quick to fill the void The path to isolation Is littered with the dreams that lay destroyed"
Aaravos se sentait vide car bien qu'il était le sauveur de l'humanité, il n'avait vraiment personne à qui parler. C'est alors qu'il fit la rencontre d'une jeune fille, elle a la peau marron, les cheveux en dread marron foncé et ses yeux aussi. Portant une écharpe bleu et le reste de sa tenue est marron et blanc. La jeune fille était curieuse à son sujet, partageant une pomme avec lui, discutant de tout et de rien. Aaravos se sentait peu à peu attaché à elle, est ce que c'était ça l'amitié ? La jeune fille était une orpheline mais elle a survécu par sa volonté de survie et de caractère. Il la trouvait fascinante même si elle utilise pas la magie noire, elle trouvait toujours le moyen de se relever. Il espérait que cette amitié perdure encore longtemps !
"Enemies surround me but The worst appear as friends Liars and pretenders Only seek to reach their ends Everything is breaking Right before my eyes Looking in the mirror I see someone that I don't recognize"
Oui Aaravos avait ses ennemies mais ce n'était pas un problème, il était confiant. Il savait qu'il allait s'en sortir. Mais la dernière chose qu'il souhaitait c'était que son ami découvre ses machinations, elle avait fini par lui tourner le dos et ça été déchirant pour les deux amis ! Devant maintenant se battre l'un contre l'autre pour accomplir leurs propres objectifs.
"The joy That my heart used to know Is eluding me Removed And the one thing I feel is alone Memories escaping As my heart begins to drain Scars that cover wounds Can't hide the self-inflicted pain"
Le combat avait été rude et au final, c'est son ancienne amie qui avait gagné, les années passent, Aaravos ne supporte plus cette solitude, essayant tant bien que mal des solutions pour s'échapper. Mais est coincé ici pour l'éternité et le fait que le miroir, lui permettait de voir l'extérieur. Le faire languir pour quelque chose qu'il aura jamais, est d'une cruelle ironie.
"Mirror what's this thing I see? Who is staring back at me? A stranger to my heart has filled my mind Mirror Help me Who am I?"
Il y avait des jours où Aaravos oubliait qui il était avant de se rappeler quelques minutes après. Mais au fond, était il toujours le même ? Son ancienne ami lui manquait terriblement mais il se doutait que celle ci n'était plus de ce monde. C'est alors qu'il sentit quelque chose près du miroir, un homme assez âgé, il ne sait pas qui il est. Mais il n'arrêtait pas de regarder le miroir ou bien criant sa frustration. Ce qui agaçait Aaravos. Bien qu'il avait trouvé une opportunité pour enfin sortir d'ici. Lorsque les deux accomplissent le rituel et que la chenille est passé de l'autre côté du miroir. Aaravos peut enfin entendre une voix. Il va revenir, ce n'est qu'une question de temps.
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"It starts With the unexpected loss Of something dear The warmth That comforted and cradled Just disappears"
Aaravos had lost his place among his peers, and he felt both sadness and anger. To this arrogant people, he will be a witness, a witness to the humanity capable of primal magic. And if those above refuse to see it, well, there's always another way.
"And in its place there's nothing Just an endless empty hole The light that showed the way is gone And darkness takes control Bitterness and anger Are quick to fill the void The path to isolation Is littered with the dreams that lay destroyed"
Aaravos felt empty, for although he was the savior of humanity, he really had no one to talk to. Then he met a young girl with brown skin, dark brown dread hair and eyes. Wearing a blue scarf, the rest of her outfit is brown and white. The girl was curious about him, sharing an apple with him, chatting about anything and everything. Aaravos gradually felt attached to her, was this what friendship meant? The girl was an orphan, but she survived by her will to survive and her strong character. He found her fascinating, even if she didn't use dark magic, she always found a way to rise again. He hoped this friendship would continue for a long time to come!
"Enemies surround me but The worst appear as friends Liars and pretenders Only seek to reach their ends Everything is breaking Right before my eyes Looking in the mirror I see someone that I don't recognize"
Yes, Aaravos had his enemies, but that wasn't a problem. He was confident that he would get away with it. But the last thing he wanted was for his friend to find out about his schemes; she'd finally turned her back on him, and that was heartbreaking for both friends! Now they had to fight each other to achieve their own goals.
"The joy That my heart used to know Is eluding me Removed And the one thing I feel is alone Memories escaping As my heart begins to drain Scars that cover wounds Can't hide the self-inflicted pain"
It had been a tough battle, and in the end, it was his old friend who won. As the years went by, Aaravos could no longer stand the solitude, trying as best he could to escape. But he's stuck here for eternity, and the fact that the mirror allowed him to see outside. To make him long for something he'll never have is cruelly ironic.
"Mirror what's this thing I see? Who is staring back at me? A stranger to my heart has filled my mind Mirror Help me Who am I?"
There were days when Aaravos forgot who he was, only to remember a few minutes later. But deep down, was he still the same person? He missed his old friend terribly, but he suspected she was no longer with them. That's when he felt something near the mirror, an older man, he didn't know who he was. But he kept staring at the mirror or shouting his frustration. This annoyed Aaravos. Although he had found an opportunity to finally get out of here. When the two of them completed the ritual and the caterpillar was on the other side of the mirror. Aaravos can finally hear a voice. He'll be back, it's only a matter of time.
La chanson utilisé (the song that have been used)
youtube
#the dragon prince#tdp#tdp fic#one shot#aaravos#the orphan queen#I was listening to it and then thought it would be a good Aaravos song so here we go
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" Witch's Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Kamo Choso
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Choso est perdu dans ses pensées. Une bonne chose que sa petite amie n'est jamais très loin afin de lui remonter le moral.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : rien, sauf du spoil
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟓𝐤.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
« Tu t'en fais pour Yuji. »
Choso releva un regard surpris en direction de la silhouette qui le surplombait. Le fléau était assis sur un canapé, loin de toute l'agitation qui régnait depuis le retour de Gojo Satoru, et le début de l'entraînement de Yuji Itadori, son petit frère. Choso se tenait à l'écart, peu familier et mal à l'aise face à toutes ces nouvelles têtes.
« Où est-ce que tu étais partie ? » il demanda gentiment.
La demoiselle posa le poing sur sa hanche, elle accompagna son geste d'un petit clin d'œil. Choso sourit.
« Si je te le disais maintenant, ça serait pas drôle. » elle le taquina.
Choso tendit les paumes de sa main dans sa direction et, malgré son chapeau pointu cachant le reste de son visage et son immense robe, la jeune demoiselle n'eut aucun mal à s'avancer. Avec une confiance déconcertante, elle extirpa ses mains de ses très longues manches, pour ensuite, glisser la pulpe de ses doigts sur ses paumes. La sorcière sourit, charmée par la rugosité de son épiderme. Choso avait les mains dures et abîmées, une fierté selon lui : la preuve qu'il n'avait pas chômé en protégeant ses frères bien-aimés. Choso l'attira à lui. Elle marchait sur ses longues bottines remontant jusqu'à ses cuisses. Sa robe était longue au niveau des manches, mais très courte, elle s'arrêtait à quelques centimètres au dessus de ses chaussures, dévoilant ainsi une partie de son épiderme. Choso admira la manière dont le tissu se mouvait, ses manches fondirent sur leurs mains. Et la pointe de son chapeau retombait de manière presque comique sur le côté, il était froissé et grand, noir aussi, tout comme sa robe et le corset de cuir qui emprisonnait sa taille.
« Mei Mei s'occupe de lui. »
« Tu penses que j'ai bien fait de le laisser avec elle ? Elle a beau être une prof' de son école, jeᅳ »
En voyant l'état de panique dans lequel se trouvait le fléau, la jolie sorcière se mit à rire. Elle battit des cils, emprisonnant fermement ses mains dans les siennes, elle entremêla même leurs doigts ensemble et puis, finalement, elle s'assit à califourchon sur lui. Choso la regarda faire. Elle prit place sur ses cuisses, écrasant son gros pantalon blanc et frottant son nez contre le sien.
« Je t'accorde qu'elle est bizarre. » murmura-t-elle sur un ton doux. « Mais tu as vu à quel point ton frère est bien entouré, je ne doute pas que si il s'en est sorti jusque-là, c'est grâce à eux. Il est entre de bonnes mains, Choso. Relax. »
« Tu as raison. Désolé. »
C'était vrai, elle n'avait pas tort. Si Yuji avait survécu, ça n'était pas que grâce à lui, Gojo Satoru y était pour beaucoup, de même pour ce Megumi et cette mystérieuse Nobara. Yuji était assez protégé comme ça. Il n'était plus le frêle garçon qu'il avait rencontré autrefois. Choso noya brusquement son visage dans le décolleté en V de la demoiselle. Il poussa un gros soupir, secouant ainsi son torse de haut en bas et fermant ses yeux. La sorcière prit appuis sur leurs mains. Malgré son désir de caresser son visage, elle préféra garder leurs mains enlacées.
« Je m'en fais tellement pour lui, c'est tout. »
Dans un sourire charmeur, la demoiselle frotta sa joue à son crâne.
« Oui, je sais, mon amour. Tu es un bon grand frère, tu le sais ça, n'est-ce pas ? Le meilleur des meilleurs. »
Choso huma. Il était proche de ronronner, flatté par les avances de sa bien-aimée.
« Yuji a de la chance de t'avoir. » affirma-t-elle.
Il releva ses yeux dans sa direction.
« Tu le penses ? »
« Oh, bien évidemment. Qu'est-ce que tu penses ? »
La sorcière pencha la tête sur le côté, un sourire éclatant dispersé sur ses lèvres et un regard envoûteur dirigé droit sur lui. Elle était si heureuse de se tenir à ses côtés, son cœur battait bien vite. Elle n'était même plus capable de se séparer de lui. Choso l'apaisait. Il calmait les voix dans sa tête, il faisait éclore quelque chose de merveilleux au creux de son cœur. Il la contemplait avec tant de douceur et d'admiration, cela contrastait avec les regards dédaigneux et cruels qu'elle avait reçu tout au cours de son existence. Alors elle ne pouvait pas se retenir : elle se collait à lui, le touchait, elle le respirait et elle l'écoutait, quitte à tout oublier, jusqu'à sa propre identité.
« Je suis sûre que Yuji pense pareil. » reprit-elle rapidement. « Regarde le, il te connaît depuis peu, mais il a déjà tant de fois placé sa vie entre tes mains. Je le jalouse même un peu, je t'avoue. »
« Non, non. Il ne faut pas. »
Choso s'était empressé de parler, les yeux pétillant d'amour.
« Tu sais comment je suis... »
« Oui, j'en suis consciente. Je vous aime tous, toi et tes frères. »
Pour certains, cette déclaration aurait été la goutte de trop, frôlant le malsain. Pour Choso, c'était la déclaration ultime. Le Fœtus des Neuf phases sentit son cœur exploser dans sa poitrine, son cerveau palpiter et son bas ventre chauffer. C'était un zoo qui voyait le jour dans son corps, une panoplie de réactions sur différentes échelles. Choso n'avait vécu que pour ses frères, depuis le jour où il avait été créé, il aimait sa famille plus que tout au monde, ainsi, savoir que la fille dont il s'était épris les aimait tout autant le guidait au summum de l'extase. C'était magnifique.
Choso s'accrocha à ses mains.
« Je dois devenir plus fort. »
La sorcière se pinça les lèvres.
« Pour le protéger. Tous. »
« Devenons forts ensemble, toi et moi. » elle rajouta. « Par alliance, Yuji est mon petit frère et je refuse moi aussi qu'il lui arrive quoi que ce soit. Je ne me le pardonnerais jamais. »
Choso sourit.
Elle le regardait de haut, toujours confortablement installée sur ses cuisses, son menton baissé dans sa direction ᅳde cette manière elle pouvait mieux le regarder, et ses yeux plissés en une adorable moue. Jamais l'on avait posé un tel regard sur lui, jamais, on ne l'avait à ce point aimé. Tout cela lui était encore inconnu, et pourtant si délicieux. Choso n'arrivait pas à s'en lasser. Il en voulait plus. Il avait besoin de plus. La sorcière gloussa brusquement, amusée par l'expression hébétée installée sur le visage de son bien-aimé, et Choso rougit.
Ses joues rosirent de manière tout à fait maladroite, lui dévoilant ainsi son plus grand secret. Son plus terrible et humiliant secret. Un secret si terrible, qu'il aurait préféré l'emporter dans la tombe. C'était l'amour. L'amour qu'il lui portait. L'amour adolescent, passionné et inconditionnel qu'il lui vouait.
« Tu devrais aller le voir, tu sais. »
La sorcière embrassa sa joue.
« Je suis persuadée que Yuji sera heureux de voir son frère. Va le soutenir, ça lui donnera l'envie de se surpasser. »
« Tu penses ? »
« Mhh, pourquoi pas ? »
Choso détourna le regard.
« J'ai beau le consacrer comme mon frère, je ne pense pas queᅳ »
« Non. »
Un silence plein de surprise s'installa. Ce fut avec grand d'étonnement que le Fœtus des Neuf phases toisa la demoiselle, le ton de sa voix s'était fait sec, elle l'avait coupé et le regardait à présent avec colère.
« Yuji ne comprend pas, mais ça ne veut pas dire qu'il te rejette. » expliqua-t-elle. « Au fond de lui, il le sent. Vous êtes pareils. »
« Tu le crois sincèrement ? »
« Sur ma propre vie. »
Soudainement apaisé, Choso sentit les traits de son visage se détendre.
« C'est vrai, tu as raison. »
Il sépara doucement leurs mains entrelacées, dans de délicats mouvements, le fléau attrapa le visage de la sorcière en coupe. De ses jolies mains rugueuses, abîmées par le temps, il l'avait cueillie. Choso l'admira. Il la contempla avec amour. Passion même. Un éclat embrasé dansait dans ses beaux yeux fatigués, elle fondit dedans, comme brûlée vive sur un bûcher. Elle en sentit des papillons voltiger dans sa cage thoracique et son pauvre cœur s'emballer. Choso guida son front au sien, il les colla l'un contre l'autre avec tendresse.
« Tu es merveilleuse, ma douce. »
« Pas autant que toi, mon amour. » elle répondit en accrochant ses mains autour de ses poignets.
La tête du fléau se pencha sur sa gauche, de manière efficace, cela lui permit de l'embrasser. Leur bouche venaient de se rencontrer. Les jolies lèvres de velours de la sorcière entraient en contact avec celles rugueuses et sèches de Choso.
Elle frémit violemment. Plus que délicieux, ce contact réveilla d'une main de fer tous ses sens. Ses doigts pointus raffermirent leur prise sur ses poignets, ses narines inspirèrent d'un grand coup ce qui, en conséquence la forçait à expirer dans sa bouche. Choso grogna en guise de réponse. Il l'embrassa avec toute la passion et sensualité du monde. Il caressa son visage du bout de ses doigts, ses lèvres se mouvant contre les siennes et sa salive entrant en contact avec la sienne, donnant ainsi naissance à une mixture putride, repoussante et inhumaine. La sorcière s'en réjouit. Choso n'était pas particulièrement chaud, puisque cadavre, mais sa peau rebondissait de justesse et la force qu'il mettait à la maintenir en place suffit à la séduire.
Jamais l'on ne l'avait embrassée ainsi, aucun homme, aucune créature, ne l'avait faite se sentir aussi désirée et aimée. Choso était le seul.
À chaque fois qu'il la touchait, un sentiment d'extase explosait au sein de son cœur. Et, lorsqu'il l'embrassait, c'était comme si le sort de leur amour avait rayé de la carte la trentaine de kilomètres qui les entourait. Il n'y avait plus rien pour les empêcher de s'étreindre. Il n'y avait plus personne pour les ramener sur Terre. Choso et la sorcière flottaient sur un nuage, d'eux, émanait une aura, une sensation si forte, que quiconque aurait osé les interrompre, se serait vu détruit.
Choso l'embrassa à en perdre son souffle. Il s'accrocha à son divin visage, envoûté par le somptueux goût de sa salive mélangée à la sienne, affamé par l'idée de toucher davantage son petit muscle rose sensible. Sa langue taquinait la sienne à répétition. La jolie demoiselle n'osa pas. Elle savait qu'une fois leur langue entrées en contact, ils en perdraient la raison.
« Seigneur... »
Sans surprise, la sorcière s'était séparée de lui. Elle haletait. Elle força Choso à abaisser ses mains, incapable de contrôler la forme écarquillée de ses yeux et l'ouverture ainsi que fermeture de sa bouche. Ses poumons lui faisaient mal, ils étaient irrités, demandeurs de toujours plus d'air, comme si les grandes inspirations qu'elle était en train de prendre n'étaient pas suffisantes.
« Tu te sens bien ? »
La sorcière rit gentiment, son visage tomba brusquement contre l'épaule de Choso.
« Oui, ça va. Donne moi juste deux secondes, après je suis toute à toi. »
Leurs mains se séparèrent, la jeune femme relâcha ses poignets, permettant ainsi à Choso de venir cueillir son visage. Il recommençait, de ses deux mains. Il ne se lassait pas de cette vue, de cette position, de toutes ces sensations que cela provoquait en lui. Choso la contempla : la poitrine secouée, ses yeux grands ouverts, injectés de sang, ses pupilles dilatées et les petites plaintes qui s'échappaient à répétition de sa bouche. Il lui fallut peu de temps avant de récupérer, Choso ne s'était cependant pas ennuyé un seul instant de cette vue. Qu'elle était merveilleuse, et sienne.
« Allons voir Yuji. » proposa-t-elle finalement, après un instant passé dans le silence. « Allons-y. »
Elle se leva gentiment, ayant prit soin d'attraper une de ses mains au préalable, elle l'emmena ainsi avec elle. Choso se laissait faire. Il se leva et la suivit gentiment. Choso l'aurait suivie jusqu'au bout du monde, à vrai dire. La sorcière trottina avec hâte, elle sortit de la pièce, descendit, monta quelques escaliers, avant d'arriver dans la salle d'entraînement où s'était réfugié Yuji Itadori avec quelques autres exorcistes. Kusakabe, Mei Mei et Ui Ui étaient présents, s'assurant ainsi du bon déroulement de cet instant crucial.
Kusakabe était accroupi au sol, sérieusement blessé tandis que, devant lui, se dressait le corps de Yuji. Immédiatement, Choso le sentit. Jusque dans ses tripes, il sut que le Yuji devant lui n'était pas son petit frère. Son âme avait bougé. Choso n'eut pas le temps d'y songer bien longtemps car, une fois cette constatation vérifiée par ses pensées, un sentiment furieux s'empara de lui. L'on avait osé toucher à la chair de sa chair ? C'était inadmissible. Ils méritaient tous la mort. La vilane femme, son curieux frère et ce fichu Kusakabe. Tous. Tous allaient payer.
« Attends. »
Choso s'arrêta, forcé par la pression exercée sur son poignet. La sorcière sourit.
« Regarde les. » elle murmura, accompagnant le tout d'un signe de la tête. « Regarde les attentivement. »
« Ça m'a l'air d'être un bon échauffement. » parla le corps de Yuji. « C'est une question de temps avant que tu le maîtrises, Itadori. »
Kusakabe, toujours au sol, s'essuya le dessous de sa lèvre inférieure. Choso vit un éclat familier passer dans son regard, le faisant puissamment frissonner.
« Oui, m'sieur ! » répondit-il.
« On reprend, relève toi. »
« Oui, m'sieur ! »
Le corps de Kusakabe obéit, il se redressa, se mit en garde, caché derrière ses poings et, juste avant de s'avancer, jeta un regard par dessus son épaule. Il les avait senti. Il l'avait senti. Choso sentit son cœur rater un battement. Yuji le regardait, son petit frère le regardait. Ce fut avec émotion que le Fœtus des Neuf phases vit le regard de Kusakabe s'illuminer. Il leva la main, dans le but de les saluer tandis que leur prénom s'échappèrent de ses lèvres. Le corps de Kusakabe ne l'avait pas remarqué. Trop occupé à fixer les nouveaux arrivés, il ne sentit pas la main qui s'était approchée de lui.
« Reste concentré, abruti ! En garde ! »
« AaaAAAh ! »
Le corps de Kusakabe tomba dramatiquement au sol, faisant ricaner Meimei et pouffer la sorcière.
« Vous aussi, vous êtes venus observer ? » demanda l'exorciste indépendante.
La sorcière se pinça les lèvres, elle tira gentiment Choso avec elle, le forçant à contourner le tatami afin de rejoindre Meimei et Ui Ui alors que le fléau, lui, était bien trop occupé à dévisager son petit frère ᅳmais lequel, le corps ou l'âme ?ᅳ. Elle força Choso à s'assoir à côté d'elle. Tous les trois se trouvaient à présent sur le même banc.
« On est venus encourager Yuji. » déclara la demoiselle. « Il s'en sort ? »
Meimei esquissa un sourire mesquin.
« C'est un garçon plein de surprise. » murmura-t-elle. « N'est-ce pas Ui Ui ? »
Choso observait son petit frère se battre.
Les yeux plissés et broyant la main de sa bien-aimée entre ses doigts, il ne quitta pas les deux jeunes hommes du regard. Choso était absorbé. Il ne répondait plus. La sorcière posée à ses côtés sourit. Son cœur rata un battement. Qu'il était joli ainsi, plongé dans ses pensées, ne songeant qu'à sa famille... Elle en sentit ses joues chauffer. Son cœur pulsait dans sa poitrine, en conséquence, son corps entier commença à brûler. Elle admira Choso sans pouvoir se retenir de poser sa main libre sur la sienne. Ainsi, elle sandwicha sa main entre les siennes. Et elle s'en alla déposer sa tête contre son épaule, elle aussi désireuse de tomber dans cet état de concentration extrême à la vue de leur petit frère combattant. Car, à ses yeux, il n'y avait pas d'expérience plus enrichissante et réconfortante.
Ce fut ainsi donc sous les regards protecteurs et rêveurs de Choso et de sa petite amie que Yuji Itadori, ancien réceptacle de Sukuna, s'entraîna à se surpasser.
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01/01/2024
Cette fois on prends des résolutions et on s'y tiens. Je crois que j'ai jamais pris des résolutions. Les vrais. Celles qu'on écrit noir sur blanc. J'ai toujours pensé dans ma tête : « cette année je vais perdre du poids », « cette année j'aurais un copain ». L'un me semble toujours inatteignable et l'autre n'est plus du tout une priorité. Grâce à mes amis sans doute. Je devrais créer un blog pour ces écritures, ou quelque chose. Ça fait partie de mes résolutions : apprendre à coder ; ou au moins comprendre et pouvoir créer avec mon ordi autre chose que des documents papiers et des moodboards – même si j'adore ça, surtout sur Pinterest. C'est peut-être ce qui me sera le plus difficile, parce que je veux apprendre seule, en autodidacte. C'est pas la première lubie que j'ai de vouloir apprendre seule. Y a eu le piano que j'ai abandonné en deux jours et le kalimba aussi. Mais ça je veux vraiment l'apprendre parce que je sens que ça m'aidera à l'avenir.
Mes ongles sont si longs, ils se bloquent dans les touches du clavier quand je tape, c'est stressant.
C'est une nouvelle année dont je veux profiter parce que pour la première fois, je n'ai vraiment, vraiment pas de chemin dessiné, alors je peux faire ce que je veux. C'est effrayant mais aussi très exaltant. Il faut que je trouve un job, ça c'est sûr mais je n'ai plus peur de ça. Les jobs je les enchaîne, je suis doué pour ça et si ça me plaît pas je me barre.
Pour le CAP fleuriste, j'hésite encore. Alors ouais, ça me plaît, ce serait sûrement top de savoir travailler de mes mains et ça rassurait maman mais justement, est-ce que je fais pas ça pour éviter d'aller vers ce que je veux vraiment ? Et est-ce que c'est ce que je veux vraiment ou alors est-ce que je suis trop bornée pour abandonner ? C'est sûrement un mélange. En fait, la personne que ça affecte le plus c'est moi au final, pour une fois y a pas d'attente à mon propos, on ne me pousse pas à aller vers quelque chose que je ne veux pas. Il faut juste absolument que je finisse le montage de mon court-métrage dans les prochains jours où je vais vraiment être dans la merde.
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CINÉMA | Holy Spider (Les Nuits de Mashhad) 2022 : laisse dans un état vague, happant, sans concessions, ébranlé, complètement abasourdi !
réalisé par Ali ABBASI
★ 6 | L'impression d'être abasourdi, que ce monde pourtant si vaste où mille voyages puisses être parcourus et autant de visages confondues, que je ne me serai finalement égaré, qu'il n'y ai plus que Mashhad, endroit viscéral mais paradoxalement débarrassé, dépouillé de toute joie de vivre. Cet endroit m'enivre, son atmosphère, on se laisse volontiers autant s'enfoncer dans la nuit noire que dans la laideur du jour en espérant savoir peut-être ce qu'il s'y passe, maintenu en haleine par ce climat d'oppression qui n'a pas seulement l'odeur du soufre mais, celle aussi de la corruption, de la drogue, une odeur de crasse qui embaume les narines et qui serait sans cesse sur le point d'imploser mais qui resterait pourtant stable, maintenu en survie d'on ne sait quelle façon car surtout, le film nous demande de bien croire que les choses ne sont pas si simples qu'il n'y parait. Le souffle donc profond, c'est avec le visage pâle qu'on avance et qu'on languis impatiemment d'avoir à être plaqué au sol par la réalité, mais ce visage pâle c'est probablement tout ce que le film parvient à nous flanquer tout le long, entrant le ventre creux dans cette ville, comme si manger n'avait jamais été un besoin vitale, on se découvre comme privé de rêves pour la première fois, assistant à un monde froid, subissant ce qui serait la folie... déconcerté on ne saurait la définir exactement tant elle peut être protéiforme, mais le film ne faisant que la montrer dans son plus simple appareil qu'on s'y retrouve qu'uniquement confronté, ne sachant comment réagir, qui véritablement appeler au secours en ces lieux étriqués qui laisse à peine respirer, laissé donc à notre propre sort nous aussi. Figé, immobilisé là, au fond de notre siège, le film ne nous apprend rien, ce n'est pas son but, il reste silencieux, lancinant, la réalité on la connaissait dès le départ et il non, il ne nous donnera finalement satisfaction aucunement d'aucun fantasme moribonde gratuit pour esthétisé son œuvre ou scénarisé une surenchère de la violence pour gavé l'appétit d'une partie du public peut-être pistant les films gores pour quelques minutes d'extase. Non, il ne nous laissera rien d'autre que la réalité à avaler, sans artifice, nous laissant simplement repartir avec ce même ventre creux mais, happant, sa réalité ne nous quitte pas, on la ressasse, comme si elle prenait le pas sur tout le reste. Les mains dans les poches, on trace ensuite son chemin pour retourner chez soi, mais ce film reste dans ta tête, comme un bruit blanc où tu te demandes pourquoi est-ce que ce que tu viens de voir te donne l'impression d'avoir comme pris une cuite en pleine semaine et devoir reprendre le travail le lendemain, il est où le problème ? Réfléchir à tout ça devient comme être perdue dans un blizzard. Ce film c'est ça, il te laisse dans un état vague, ébranlé peu importe ce que tu peux croire, ne pas croire ou savoir, car même conscient de ça, des formes de violences qui sévissent dans le monde, il te happe, ne te ménage pas, et te laisse repartir les pieds sciés, te laissant te débrouiller pour refaire surface après ça... Seuls points négatif que je soulèverais avec ce film c'est son manque de subtilité à la fin et la façon dont la mise en scène peut être menée sur tout le long ressemblant trop aux thrillers américains (ex : musique oppressante lors des scènes avec le serial killer, manière de filmer la ville la nuit) et par conséquent, rendant le film trop prévisible, trop ordinaire, trop convenue, jamais on ne se sens vraiment dépaysé, c'est filmer comme si on était aux state dans les villes de l'Ouest alors qu'on est sensé être à l'Est au Moyen-Orient. C'est le seul bémol que j'y trouve pour ne pas le trouver réussit mais uniquement intéressant.
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Forum historique & racisme
Petit coup de gueule du soir.
Je trouve un forum assez sympathique. C'est un forum historique, 1815. Cool, j'adore les forums régence. Alors je me dis, pourquoi pas ? Pourquoi pas tenter ? Mais voilà, j'ai très envie de jouer Rege-Jean Page. Déjà je sens la couille arriver dans le potage parce que j'ai envie d'en faire un personnage noble. Et vous aussi vous sentez la couille arriver non ?
Je sais que historiquement parlant, ce ne serait pas EXACT, de faire un personnage noble noir, mais en vrai, pourquoi pas ? Il y a bien eu des enfants métisses dans la société anglaise, certes des bâtards (ou alors effectivement pas des nobles).
Je m'inscris donc, et commence à construire mon personnage en respectant au maximum à la fois le contexte logique de l’époque et les origines de l’acteur. Sa mère est une esclave américaine (je voulais la faire zimbabwéenne, mais à l’époque le Zimbabwe a viré les Portugais à coup d’arme de son territoire qu’ils occupaient depuis 100 ans, et les britanniques n’arriveront qu’en 1850 par là). Son père, un capitaine de navire blanc. Ce dernier vient d'une famille noble, mais il n'est que le second fils, raison pour laquelle il a rejoint l'armée (souvent les fils aînés étaient les héritiers donc ils apprenaient leur futur rôle, les seconds étaient souvent envoyés à l'armée pour se faire une situation, et les derniers se destinaient plus à l'église). J'ai hésité à faire du père de mon personnage un pasteur pour expliquer pourquoi il aurait pu potentiellement épouser une ancienne esclave de l'époque, mais non, capitaine de navire ça me semblait bien. Et puis les sentiments ça s'explique pas, il aurait épousé la femme qu'il aime, peu importe sa couleur, et ce en sachant très bien ce qui l'entendait en rentrant chez lui.
A cause du destin, mon personnage finit par hériter d'un titre de noblesse (parce que son oncle et ses cousins meurent, guerre napoléonienne tout ça). Et ça ne lui plaît pas. Ça ne lui plaît pas parce qu'il s'en prends déjà plein la tronche depuis son enfance. Mais j'étais prête à jouer tout ça, parce qu'après tout, c'est la réalité.
Certes ce n'est pas historique à 100%. Mais sur le forum (dans l'entête il y a marqué « Nous ne sommes en rien historiens et ne vous imposons, que ce qui touche en grande majorité à cette époque. »). Donc mon personnage tombe dans le on vous impose rien à part quelques trucs quand même. Et on me dit texto que bah non désolée, mon personne ne peut pas être noble parce qu'il est noir (il peut être que roturier, ou pourquoi pas esclave hein puisqu'il est noir -non ça c'est moi qui dit ça parce que je suis amère. Et puis en vrai non, tout esclave qui pose les pieds en Grande Bretagne est automatiquement libéré depuis 1772 mais dans les colonies l’esclavage ça gêne pas les anglais).
Alors sachez que ouais, à la vraie époque, ça aurait été chaud, il se serait fait bully comme tant d'autres mais, dans les lois anglaises, c'est pas la couleur de peau qui prime, c'est la naissance. Et si mon perso est légitime, bah il est légitime.
Bref, tout ça pour dire « ton perso peut pas être noble parce qu'il est noir sauf si tu es prêt à x x x » bah alors, oui je savais dans quoi je m'embarquais en créant ce perso (j’ai fait des études d’histoire, j’ai étudié la question du commerce triangulaire, de l’esclavage I KNOW) . Donc au final on me dit que je peux pas jouer un noir noble, ou alors que je peux mais que faut que je sache que mon personnage va se faire enfumer par tous les autres parce que la société de l'époque était pas assez ouverte et qu'il pourra jamais avoir de descendants ? J’étais prête à le jouer comme je l’avais dit (en espérant quand même au fond de moi que ça ne gêne pas grand monde que mon personnage soit métisse) mais bon s’entendre dire par le staff que oui je peux finalement le jouer mais qu’il va subir racisme, ignorance etc etc... CERISE SUR LE GÂTEAU.
Putain mais, où est la diversité ? Est-ce que c'est trop osé de rêver un petit peu ? (oui.)
Enfin bref, tout ça pour dire que je n'aime absolument pas ce genre de forum qui sous couvert d'être historique (je remet le « Nous ne sommes en rien historiens et ne vous imposons, que ce qui touche en grande majorité à cette époque. »), bah en fait c'est raciste. C'est raciste comme notre passé. Donc rien d'étonnant d'un côté étant donné que l’histoire est un dégueuli monstre d’horreur en tout genre envers les minorités mais je suis très très déçue qu'on me ressorte un commentaire de ce genre étant donné ce qui s'est passé sur les forums ces derniers temps. Prenez exemple sur Bridgerton, ok la série est pas bonne, mais au moins tout le monde dedans se fou de la couleur de peau des gens ET C’EST CA QU’ON VEUT SUR LES FORUMS MEME HISTORIQUE BORDEL. Ou alors la série Hollywood, oui les personnages racisés en chient plus que les autres (et ça c’est historique), et ce qui fait que la série est cool, c’est qu’ils réalisent quand même leurs rêves à la fin. C’est une révision de l’histoire, mais c’est ça la beauté de la chose. Parce que dans un monde idéal, la couleur de la peau ou la religion ne devrait avoir aucune importance. Mais dans le monde dans lequel on vit, dominé par les blancs (ou anciennement géographiquement -colonisation...-), et par le christianisme (merveilleuse religion -c’est ironique-) tout ce qu’on a su faire c’est réduire en esclavage et massacrer les “minorités” qui sont juste des peuples à la culture différente, à la langue différente, aux pratiques, aux mœurs différent. Des peuples considérés comme des sauvages parce qu’ils n’étaient pas “éduqués” mais c’est quoi l’éducation? Juste des idées qui diffèrent selon les pays, les peuples justement. Et ça ne justifiait en rien les atrocités commises. Mais bon c’est toujours facile de s’en prendre aux plus faibles physiquement et la technologie était plus élaborée chez les blancs. Et d'ailleurs aucun prétexte ne justifie ce qui a été fait. DONC. Nous avons notre merveilleuse histoire (non.) marquée par la violence, et la majorité des hommes au lieu d’apprendre des erreurs du passé ne fait que reproduire la même chose encore et encore.
Mon texte est pas construit, j'écris sous le coup de la colère un peu (et de la fatigue) donc désolée si je froisse des gens ou que j’ai des propos incorrects. Ce n’est pas le but.
En plus j’avais décidé de sortir de ma pause rpgique, et bah vous savez quoi, j’y retourne.
EDIT: on m’a fait remarquer que mon message aussi était problématique, je vous partage donc les reblogs/discussions parce que en fait, c’est vrai: https://atomic-m.tumblr.com/post/660868504454676480/victimes-de-racisme-par-procuration-cw
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Voici un autre bout de Moments oubliés. Nath est si beau dans son costume de futur marié que ça m'a donné envie d'écrire ce petit texte qui me trotte dans la tête depuis un moment.
Merci d'avance à celles qui me liront. Si vous pouvez me laisser un petit message pour me livrer votre ressenti ça serait génial car j'ai bientôt fini ces Moments oubliés et ça sera ma dernière histoire donc ça compte pas mal pour moi.
Bonne lecture!
Moments oubliés (suite)
Je regarde l'horloge et le constat ne change pas. Ma sœur est en retard. Je prends mon téléphone pour lui envoyer un message mais c'est à ce moment-la que la sonnerie de la porte de l'appartement retentit. Je vais ouvrir et elle me sourit avant de me prendre dans ses bras.
- Bonjour Ambre, toujours à l'heure à ce que je vois...
- Bonjour mon adorable frère qui remarque ce genre de choses immédiatement au lieu de me saluer chaleureusement après tant de temps sans se voir...
Je la regarde et j'ai envie de lui ébouriffer les cheveux. Elle devine mes pensées et fait un pas en arrière.
- Ah non Nath, pas touche à ma coiffure!
Je lève les yeux au ciel. Mais je sais bien que son apparence compte plus que tout pour elle, surtout depuis que sa carrière professionnelle dans le mannequinat se déroule bien. Je prends un moment pour l'observer. Bien coiffée et maquillée, vêtements tirés à quatre épingles... mais surtout...
- Tu as l'air en forme.
- Tu t'inquiètes toujours pour ma santé, n'est-ce pas?
- ...
- Eh bien tu peux être rassuré. J'ai même fait une prise de sang la semaine dernière et je vais très bien. A moins que tu ne préfères lancer une enquête sur moi...
Je suis intérieurement soulagé. Elle voyage beaucoup et on se donne peu de nouvelles. Je n'ai donc que rarement l'occasion de lui demander comment va sa santé. Elle croise les bras sur sa poitrine et fronce les sourcils.
- J'imagine que tu ne regardes même pas les photos que je fais pour certains magazines ?
- Huummm Ambre... tu fais surtout des photos pour de la lingerie alors j'ai pas tellement envie de voir ça...
- Ha! Idiot, je ne passe pas mon temps en petite tenue. Il y a différents styles de lingeries. Et certains magasines demandent de très belles photos.
Devant mon air blasé, elle secoue la tête. Passons à autre chose.
- Tu viens prendre un thé ? J'ai acheté celui dont tu m'as parlé.
- Ah ça fait plaisir de voir que tu m'écoutes de temps en temps.
Nous voilà vite installés devant nos thés. Je prends un autre petit instant pour l'observer pendant qu'elle caresse Blanche. Elle me fait penser à notre mère. Je dirais même qu'elle lui ressemble de plus en plus. Mais... je ne peux m'empêcher de sourire en réalisant que je la trouve plus... épanouie... Je suis vraiment soulagé que la ressemblance s'arrête à certains traits physiques. J'espère qu'elle ne sera jamais aigrie comme notre mère.
Blanche finit par s'en aller et Ambre se tourne vers moi.
- Tu as bonne mine toi aussi. Et comment va Su'?
- Elle aurait aimé être là mais elle recrute justement une nouvelle serveuse parce qu'elle a de plus en plus de travail et... on a aussi besoin de temps pour nous.
- Je suis contente que ça se passe bien pour vous. Alors...
Devant mon mutisme, elle soupire.
- Nath, j'ai bien compris par tes nombreux messages la semaine dernière que tu avais quelque chose d'important à me dire. Je me suis libérée rapidement pour ça. Ça n'a pas l'air d'être une mauvaise nouvelle alors j'attends que tu me dises de quoi il s'agit...
Elle n'a pas toujours été perspicace à mon sujet mais elle s'est améliorée avec le temps. Et comme je n'ai pas envie de tourner autour du pot...
- Je vais me marier l'an prochain. J'ai donc pensé que je devais te prévenir aussi vite que possible pour que tu me réserves une date dans ton emploi du temps bien rempli.
Elle ne bouge pas et me regarde fixement. Une seconde plus tard, sa tasse de thé manque de tomber alors qu'elle me saute dessus en criant.
- Mon petit frère va se marier !!!! Je...
- Tu quoi?
Elle me regarde, un peu gênée.
- Disons que j'avais des doutes sur ton envie de te marier un jour.
- Je ne peux pas te jeter la pierre à ce sujet, le mariage a longtemps fait partie des concepts qui ne me disaient rien. Et puis... c'est venu naturellement alors... pourquoi pas?
- Je suis si heureuse! Bon... je vais t'emmener faire les boutiques. Et je vais contacter quelques personnes qui ont des boutiques à l'étranger... j'ai travaillé avec des gens qui...
- Du calme, pas la peine d'appeler toute l'industrie du mariage !
Elle me regarde, sévère. J'ai compris, madame n'acceptera pas que son frère se marie avec un costume trouvé dans la boutique du coin.
- Nathaniel... j'ai très envie de t'apporter mon aide.
- Tu as surtout envie de me surveiller parce qu'il paraît que mon sens de l'habillement a toujours été questionnable...
Elle pince ses lèvres et finit par avoir un sourire en coin.
- Il est vrai que tu n'es pas particulièrement doué côté fringues. Mais là c'est différent. Mon petit frère se marie et j'ai envie que tu aies un costume qui te correspond. Et aussi pour que tu sois magnifique sur les photos.
Je secoue la tête, amusé. Elle se met à fouiller dans son téléphone.
- J'ai aussi de très bons contacts pour des robes de mariées...
- Su' a déjà des tonnes d'adresses à voir mais j'imagine que quelques unes en plus ne feront pas de mal.
Après une petite heure à parler tenues de mariage, ou plutôt à écouter Ambre parler de tenues qu'elle a vues de par le monde, elle finit par poser son téléphone. Son ton change et je sens qu'elle va aborder un sujet délicat.
- J'ai hâte de me trouver une superbe tenue. Il faudra voir si Su' a un code couleurs en tête pour sa famille et... Nath... tu comptes le dire aux...?
- Non.
Je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase. J'aurais même pu lui écrire une grande pancarte avec un gros NON marqué dessus avant même qu'elle ouvre la bouche.
Elle se mord la lèvre et cherche ses mots, sans parvenir à les trouver.
- Ambre, ma famille c'est toi. Je n'ai besoin de personne d'autre. Et je vais même aller plus loin. Je vais très bien en pensant à mon mariage sans nos parents. J'ai beaucoup travaillé sur mes sentiments à leur égard et... je n'ai plus cette colère aveuglante. Mais je suis arrivé à la conclusion que je n'avais pas envie de leur pardonner leurs erreurs. Et je n'ai pas envie qu'ils fassent partie de ma vie. Nous sommes assez grands pour savoir ce que l'on veut, qui l'ont veut avoir autour de soi. On me répète sans arrêt qu'on ne doit inviter à son mariage que les personnes que l'on veut vraiment voir. Se forcer à inviter des inconnus ou des membres de la famille lointaine n'est jamais une bonne idée. Je sais que tu trimballes dans ta tête tes rêves de gosse où nous sommes une gentille petite famille. Mais ma vision de la famille c'est ça; Toi. Et Su'. Et Blanche bien sûr.
Ambre sourit légèrement. Elle hoche la tête.
- Je comprends. Et tu as raison. Ce jour-là doit être fêté avec les personnes que tu souhaites voir. Je reste en ville jusqu'à la fin de la semaine. Je vais te trouver un beau costume.
- Tu sais qu'on a le temps...
- Oui mais si tu craques sur une tenue maintenant, ça sera déjà ça en moins à prévoir ! Tu as une préférence de couleur? Je dois peut-être voir avec Su'...
- Elle m'a dit de choisir parce que je suis "magnifique dans n'importe quel costume" et que ça doit d'abord me plaire à moi.
- Compte sur moi et tu seras encore mieux que "magnifique" !
Je suis content de la voir si motivée. Je n'en attendais pas moins d'elle. Ça me fait aussi plaisir de savoir que je vais passer un peu de temps avec elle.
- Demain, RDV à 10h pour aller dans la ville voisine pour un premier repérage. Et une autre boutique se trouve à une heure de route mais on va y passer aussi.
Hum... bon je vais peut-être un peu regretter de passer du temps avec elle au final. Elle va être sans pitié avec moi pour trouver la tenue parfaite.
Les mois ont passé et j'ai dû un peu calmer ma sœur niveau achats. Je sais que c'est mignon d'un côté, elle se donne à fond pour mon mariage mais elle est limite à vouloir me trouver un costume cousu au fil d'or.
Nous voilà devant une énième boutique. Ambre affiche une moue boudeuse.
- Nath, je ne connais pas cette boutique. Certes, on y trouve quelques marques de qualité mais...
- Mais quoi? Leigh a donné cette adresse car il connaît une vendeuse qui lui a dit avoir eu un bel arrivage. Il a un peu vu leur collection et il pense que ça pourrait me correspondre.
Elle hausse les épaules et nous rentrons dans la boutique. L'humeur maussade de ma sœur disparaît quand elle voit certains costumes et elle se met à parler frénétiquement avec une vendeuse. J'ai l'impression qu'elle m'a oublié... bah, autant que j'aille faire un petit tour pour voir ce que je trouve.
J'ai du mal à me projeter dans une tenue. J'ai l'impression que tous ces costumes feraient l'affaire. Est-ce vraiment si important d'en essayer une centaine pour en choisir un ? J'ai bien entendu envie que ma future épouse me trouve parfait pour cette journée spéciale...
Un coup d'œil rapide vers Ambre m'indique qu'elle a jeté son dévolu sur un costume noir et un autre blanc. Ce n'est pas la première fois que ça arrive, elle a du mal à se decider sur laquelle de ces deux couleurs m'irait le mieux. J'imagine que le moment des essayages va bientôt commencer.
Juste avant de faire marche arrière, un bout de tissu bleu clair attire mon attention. Je m'approche du mannequin qui porte le costume et...
- Nath, qu'est-ce que tu fais?
- La même chose que toi, je regarde ce qu'il y a d'intéressant et je trouvais cette couleur pas mal du tout.
Ambre hausse les sourcils. J'aurais juré qu'elle aurait rigolé en me disant que, évidemment, j'ai choisi du bleu, qui est une couleur que j'apprécie. Mais après tout pourquoi pas?
- J'ai déjà essayé un costume bleu nuit. Tu m'as dit que c'était trop sombre et que ça n'allait pas avec mes cheveux ou je ne sais plus quoi. Ce bleu me plaît bien.
- C'est la première fois qu'une tenue a l'air de te plaire. Ça vaut le coup d'essayer !
Ni une ni deux, elle fond sur une vendeuse qui va me chercher un costume à essayer.
Je me retrouve dans la cabine d'essayage, devant le miroir, à me regarder en tentant de deviner si Su' apprécierait de me voir ainsi habillé. C'est beaucoup moins classique que du noir ou du blanc. J'essaie même d'imaginer ma future épouse à mes côtés dans une belle robe mais l'exercice s'avère compliqué car je n'ai pas trop d'imagination à ce sujet. Elle sera superbe sans aucun doute.
- Naaaath tu es prêt ? Je peux voir? Qu'est-ce qui te prend autant de temps?
Décidément, la patience n'est pas une histoire de famille. Je sors pour me faire inspecter sous toutes les coutures par ma jumelle. Son visage est neutre pendant toute la durée de son inspection, qui semble ne pas finir. Elle finit par hocher la tête et me lance un énorme sourire.
- Ça te va vraiment très bien! Je pense qu'on touche au but! Il nous faut des chaussures claires et tu seras parfait. En tout cas tu as bien choisi, ton mauvais goût vestimentaire a su rester au placard pour l'occasion!
- ... C'est un compliment, ça? Je devrais peut-être demander à Su' ce qu'elle en pense...
- Tu n'as pas envie de lui faire la surprise ?
Je me regarde à nouveau dans le miroir. Je dois bien avouer que cette tenue me plaît. Je me tourne vers la vendeuse.
- Je pense qu'on a trouvé ce qu'on cherchait.
- Une minute, papillon! On doit prendre tes mesures pour que ce soit à ta taille. Puis vérifier que tout est raccord niveau couleur de la tête aux pieds.
- Ambre, je dois rentrer chez moi bosser sur un dossier...
Les mains sur les hanches, elle me regarde, sérieuse. La vendeuse qui se tient à côté se retient de rire. Il va me falloir encore un peu de courage.
Je rentre à l'appartement et m'effondre sur le canapé du salon. Su' émerge de la chambre.
- Bonjour mon chéri! Oh... tu reviens du boulot? Tu as l'air crevé, je croyais que tu étais avec Ambre.
- J'étais en effet avec la fashion police qui me sert de sœur et elle m'a lessivé.
Elle rigole et vient s'asseoir à côté de moi, m'invitant à poser ma tête sur ses cuisses. Ses mains se glissent dans mes cheveux et enfin je me sens me relaxer.
- Alors, ça a été dur?
- Oui et non. Prendre des mesures de la tête aux pieds, c'est pas ce que je préfère. Mais j'ai choisi un costume. Je peux officiellement dire que je suis habillé pour notre mariage.
- Oh mais c'est super! Je peux savoir ce que tu as pris?
- Hum...
Elle explose de rire. Ses doigts se promènent toujours entre mes cheveux.
- Ne t'en fais pas mon chéri, j'ai hâte de te voir dans ton costume mais ça ne me dérange pas que tu gardes la surprise. J'ai déjà ma petite idée sur la question.
- Ah bon?
- Connaissant Ambre, elle aura essayé de te trouver un élégant costume noir ou à l'opposé blanc, d'une marque qu'elle juge digne de sa confiance. Mais moi je te vois plutôt choisir du bleu, vu que c'est la couleur que tu affectionnes le plus.
Ma tête surprise la fait sourire. Je ne devrais peut-être pas être si surpris, après toutes ces années ensemble, on se connaît bien donc l'entendre si proche de ce qui s'est passé est plutôt normal. Je lui souris à mon tour.
- Future Madame Carello, vous êtes définitivement parfaite pour moi. Nous devrions nous marier sans plus attendre.
- On vérifie les prochains vols pour Las Vegas et on se marie dans la foulée puis on loue une voiture pour longer la côte ouest avant de partir sur la route 66?
- Tentant. Enfin, jusqu'à ce que ma sœur nous retrouve pour nous faire la scène du siècle.
- MIAOU?
- Ah... Blanche n'est pas d'accord en plus...
Je finis par me lever du canapé et tend pour main à Su' pour qu'elle se lève à son tour.
- Il se fait tard, on va se cuisiner un petit dîner ?
- Avec plaisir!
- Et toi côté robe de mariée, tu en es où ?
Elle hausse les sourcils.
- Inspecteur, vous n'avez pas le droit de mener cette enquête. Je ne répondrai à aucune question.
- Je suis sûr que je peux te faire craquer.
Un petit sourire en coin, elle me lance un défi du regard. La soirée ne fait que commencer.
#my candy love#mcl#mcl nathaniel#amour sucré nathaniel#amour sucre love life#amour sucré#amour sucre#fanfic
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Amertume.
Une fois de plus, l'aurore me surprend devant cette page blanche sur un ordinateur. Une fois de plus, mon cerveau subit une surcharge de mauvaises pensées, et j'imagine que je peux laisser tout le négatif dans un dossier sur ce pc. Et comme d'habitude, je suppose, je ne vais laisser que de l'amertume sous forme de caractères pixelisés noir sur blanc. Et pourtant, depuis un paquet d'années, c'est la meilleure thérapie que j'ai trouvé.
Parce que parler à des humains, qui jugent, qui comprennent mal, ça n'aide pas. Et c'est juste fatiguant d'avoir ces regards noirs qui me traversent, dès que j'ose parler d'un quelconque mal-être. Quoi, j'ai 22 ans et j'ai du mal à trouver un but. Apparemment c'est pas normal. Ma tête devrait être remplie de rêves et de projets, en théorie. Non. Ma tête est remplie de responsabilités vides de sens, et de colère injustifiée. De colère primale. C'est pas comme si je décidais d'être misérable, en fait. Il y a des jours sympas, des jours où je suis « ordinaire, classique », je parle aux gens, je souris, je chante, et je me fous de ce qu'on peut bien me dire.
Et puis il y a les autres jours. Ceux où peu importe la brillance du soleil et le soutien des gens, tout le négatif me rattrape et me tire vers le bas. Et peu importe le nombre de bons jours, un mauvais jour suffit à m'anéantir.
Quelques nuages à l'horizon, pour aujourd'hui. Peut-être un soleil timide, mais pas de chaleur. On n'est qu'en avril après tout. Mais je suppose que le mois importe peu quand les jours se succèdent en une longue série de levers de soleil que je ne vois jamais, parce que le sommeil me donne une raison d'échapper à tout ce merdier, malgré la perte de temps qu'il représente. Mais du temps pour quoi ? Faire de la musique ? Écrire ? Réfléchir ? La productivité n'a jamais été mon truc. Mais depuis le temps, je doute d'avoir vraiment un truc à moi.
Me plaindre, peut-être. Ou parler très fort. Apparemment, voici deux domaines dans lesquels j'excelle.
Et encore une fois, mes mots me perdent. J'ai déjà oublié la raison pour laquelle j'ai ouvert ce document. Peut-être que les mots écrits par mes doigts expriment la colère de mon cœur mieux que ceux qui sortent de ma bouche. Parce qu'écrire veut dire qu'on peut effacer les erreurs pour faire un texte parfait. L'oral ne permet pas ça. L'oral est brut, et trahit souvent. Et quand on éprouve de la colère, l'oral trahit systématiquement. Et induit des regrets. Beaucoup de regrets.
C'est pour ça que je fais du mal aux gens. Parce que je ne sais pas leur parler, sauf quand j'écris. Peut-être que je devrais être muet.te. On me lâcherait peut-être les baskets pour le volume et je ne ferais plus d'erreurs regrettables.
Ou alors, je fais du mal aux gens parce que je ne suis pas une bonne personne. Égoïste. Irritable. Brusque. Atone. Hystérique. Crédule. Stupide, également. Voire même profiteur.se, manipulateur.ice, colérique… Ça en fait, du négatif sur lequel cogiter quand je veux pas dormir.
Je crois que j'ai jamais été quelqu'un de très positif. Des pleurs incessants, de l'angoisse, puis l'adolescence, puis la vingtaine, puis des études, du travail… Et au final, je ne sais même pas qui je suis, ni ce qui me définit. Et m’appesantir sur ça ne ferait qu'accentuer mon égoïsme. Je ne veux pas passer des heures à me trouver des particularités. Parce que je n'en ai pas, et parce que tout le monde s'en fout.
Je suis juste une unité en plus, dans la masse de l'humanité. Une unité quelconque, qui ne laissera pas de trace, un visage qu'on croise et qu'on oublie dans la foulée. Pourquoi faire des vagues ? Pourquoi se donner à fond ? Pourquoi persévérer ?
Et pourtant, la prochaine fois qu'on aura besoin de moi, où que ce soit, j'irais à fond. Avec mes défauts, boostés au max. Et probablement une ou deux qualités, bien cachées. Je ne sais pas faire autrement. Je n'ai pas de demi-mesure. Je ne veux pas de demi-mesure. Si je ne laisse pas de trace, la poussière que je deviendrais, au moins, n'éprouvera pas de regrets. Et si il y a un autre monde après celui-ci, je ferais probablement la même chose. La même colère, les mêmes défauts, et le même investissement. La même unité quelconque, qui se posera les mêmes questions, et refera les mêmes erreurs.
Les erreurs, et les défauts sont ce qui me définit, en fin de compte. Les erreurs dont je dois tirer des leçons, et les défauts que je dois transformer en force. Et même si je n'y arrive pas tous les jours, je suppose que l'important est d'essayer, pour inverser la tendance des bons et des mauvais jours. Le soleil ne cesse jamais de se lever, et si je dois rater cet événement chaque jour, c'est pour assister à son coucher quelques heures plus tard. Et me rappeler, chaque soir, que j'ai fait de mon mieux. Voilà ce qui compte.
Le sommeil me rattrape gentiment, et je sais déjà mon cœur un peu plus léger maintenant qu'il y a une heure. Bonne thérapie, décidément. Au moins, j'aurais vu un lever de soleil.
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La Rédemption
Traduction du sermon du: 18 novembre 2018
Avant de parler de la façon dont on s'y prand pour l'obtention de la rédemption, nous devons d'abord comprendre ce qu'est la rédemption
Lorsque les gens parlent de rédemption, ils croient que c'est un sauveur, cela revient aux anciennes méthodes et est généralement pardonné par une puissance supérieure afin qu'il puissent s'élever dans le bon domaine de cette foi. Il est accompagné de mot durs et vendicatifs comme [péché], [hérésie], [non sauvé] dans des religions comme le christianisme où la rédemption est l'une des parties essentielles de leur religion.
Mais nous ne sommes pas en noir ou blanc nous ne sommes pas ces mesures absolues et nous ne le serons jamais parce que nous somme humains. Et c'est bien d'être humain nous somme devenus humains pour expérimenté Tous les limitations, les choix et les chemins infinis de la vie, pas pour lire un livre et le suivre comme un manuel d'instruction. Un jeu n'est pas amusant si le créateur donne a chacun un guide a travers tout cela. Bien sûr, les joueurs peuvent rester bloqués, puis ils s'adressent à d'autre joueurs qui sont passés par là pour obtenir de l'aide sur cette partie sur laquelle ils sont bloqués.
Nous sommes gris, et nous serons toujours gris, le gris est le noir et blanc, le gris est le juste milieu où vous n'êtes pas sur de votre place sur l'échelle parce que vous êtes gris comme tout le monde. Je veux dire c'c'est ce que nous devrions avoir raison, nous devrions voir tout le monde f'un gris égal, ils sont tout aussi gris que vous et vous êtes aussi gris qu'eux. Mais parfois les gens se peignentvplus blanc ou plus noir pour faire croire aux autre qu'il y a cette échelle de gris et vous commencer a douter de vous-même. Vous commencer à vous demander si vous devez plus blanc ou plus noir et les gens qui sesont peint eux-mêmes profiteront de cette opportunité pour vous convaincre qu'il existe des moyens d'être comme eux, ils vous diront d'acheter leur peinture, leur livre, de faire ceci, dede fait cela, de les rendre riches. Et il vous diront que se se que les divinité veule de vous
Au fils du temps, vous pouvez commencer à penser que vous voyez les différence entre différents nuence de gris. Suis-je plus clair ou plus sombre ? Vous pouvez commencer à penser que les autres personnes semblent si claires ou si sombre par rapport à vous, et vous cherchez des différences qui n'existe pas.
Mais vous êtes gris
Et quand vous mourrez, et quand cette personne qui v'est peint exprès meurt ont se rendra compte qu'ils sont gris. Et vous avez base tout votre vie sur le fait d'être une autre nuance et de convaincre les autres de cette conviction, sens savoir qui vous étiez et sens aprandre a aimé, vous avez juste fait en sorte que les personnes pense comme vous. Mais au final vous rester seul.
Alors qu'est-ce que la rédemption
La rédemption est personnelle, elle n'est pas apaisant pour faire croire au au autre que vous avez changé pour le mieux. Vous seul pouvez vous racheter, pas les Messies, pas nous, pas vos ami,pas la société et pas la couche de peinture qui vous permet de vous convaincre de votre changement
La foi est basée sur soi, la foi est basée sur votre cheminements dans la vie et quand vous mourrez, ce sera vous aussi, lorsque vous ferez face a la maison des miroir (house of mirror) ce sera vous, lorsque vous raconterai l'histoire de votre vie au Messies ce sera vous. Vous restez toujours vous même
Mais pour faire simple vous devez d'abord soigner l'intérieur avant l'extérieur. Si vous essayez de "guérir" le monde extérieur alors que vous ne vous êtes pas pardonner, il faut travailler et réfléchir sur vous même avant de vouloir le faire pour les autre
Juste pour que je ne me trompe pas accidentellement, la différence avec "être guérir" ne veut pas dire que vous n'avez plus de problème mais que vous ne vous trompé pas et que vous n'avez pas de fierté mal placée. Vous accepter que vous avez des problèmes et vous travaillez toujours dessus.
En guise de note finale, si vous avez mal agi, comme nous l'avons tous fait, que vous le savez et que vous y travaillez pour être meilleur vous ne verrez jamais le labyrinthe.
Ce Texte est une traduction du sermon du 18 novembre 2018
Et a été publié originalement par cirque-du-deux
#mirthful faithful#mirthful faith#cirque du deux#mirthful messiahnism#mirthful messiahs#dark carnival#mirthful duality
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Pourquoi certains maris veulent que leurs femmes blanches prennent des amants noirs
Dix raisons majeurs pour une femme blanche de prendre un amant noir
Il peut sembler étrange que le mari veule que sa femme ai un amant noir. Mais il y a des raisons bien établies. En voici dix. 1 Beaucoup d'hommes noirs sont athlétiques (probablement beaucoup plus que le mari de la femme blanche) et capable de sexe soutenu et très vigoureux, tout en maintenant une érection ferme. Il s'agit d'une stimulation sexuelle de plus, ce qui conduit à plus d'orgasmes. Comparativement et en règle générale la libido des hommes blancs baisse plus rapidement. Les maris trouvent que les hommes noirs peuvent mieux répondre adéquatement aux besoins sexuels de leurs femmes blanches sans le risque d'implication émotionnelle. Selon les mails reçus de nombreux maris estiment que leurs femmes, qui se sont habituées à un certain mode de vie social, culturel et économique, ne les laisseront pas pour un homme noir qui ne partage pas ces caractéristiques. 2 Les hommes blancs (après avoir vu trop de film porno de black-bull au sexe surdimensionné) souscrivent au fait selon lequel tous les hommes noirs ont de grands pénis et qu'une fois que leurs femmes (en particulier les jeunes femmes) s'habituent à ce qu'elles ne soient pas satisfaites sexuellement avec un amant blanc moins bien doté mais peut-être plus menaçant pour la solidité du couple. Cela semble être confirmé par des mails que nous recevons de femmes qui veulent que nous avertissons les lecteurs qu'après avoir eu des rapports sexuels réguliers avec un de ces amants noirs bien dotés, leurs maris (ou des hommes blancs en général) ne peuvent plus les satisfaire. Le mari peut aussi trouver un côté positif à ce sujet. Certaines femmes sont tellement serrées vaginalement qu'il est difficile ou inconfortable pour son mari de les pénétrer, surtout si ils ne sont plus capables d'une érection ferme. Après qu'elle se soit adaptée à un amant noir bien membré, son mari peut trouver plus facile de la pénétrer, en particulier juste après elle a eu des rapports sexuels avec son amant noir. Avoir des relations sexuelles avec elle pendant qu'elle est encore humide d'un amant est une satisfaction humiliante pour beaucoup de mari. De plus, une fois que le mari blanc a connaissance que sa femme blanche a un amant noir, beaucoup d'hommes blancs ne sont plus intéressés par le sexe avec leur épouse car ils ont compris ou sentent qu'ils ne peuvent pas rivaliser physiquement. Ils se contentent dorénavant de se masturber pendant que le Black Bull dominent leurs "salope à bites noirs" 3 Nous savons que le sexe noir sur blanche est l'une des catégories les plus populaires d'Internet et de nombreux maris blancs fantasment et se masturbent au sujet de leurs épouses ayant des rapports sexuels avec des hommes noirs. Dans le même temps, nous savons que beaucoup de femmes veulent faire l'expérience d’un amant noir virils, surtout quand le sexe a diminué ou même disparu dans leurs mariages. De notre courrier, nous savons que certains maris trouvent excitant de pousser leurs femmes à avoir des amants noirs, souvent ils aimeraient bien regarder leurs femmes dans cette situation. Cela peut leur rappeler le porno noir sur blanche et leurs fantasmes d'avoir une épouse qui est aussi désinhibée sexuellement que ces femmes semblent être. 4. Une femme blanche peut être attirée par un amant noir parce que c'est encore un peu tabou, et cela inclut un élément d'excitation sexuelle. Certaines femmes trouvent l'excitation de voir le contraste de couleur de peau pendant les rapports sexuels, ou céder à un homme qui est plus axée que leurs maris sur le sexe puissant et macho. Cela peut aussi plaire aux maris qui éprouvent de l'excitation de voir ou savoir que des hommes noirs éjaculent dans leurs épouses blanches. Le risque est connu pour augmenter l'excitation sexuelle. Cela peut inclure le risque de grossesse. Cela permet aux maris d'éprouver une excitation très intense de voir (ou de savoir que) des hommes noirs éjaculent dans leurs femmes blanches. Même avec une contraception efficace. 5. Cela peut être aussi pour l'épouse l'occasion de vantardise auprès des copines, avoir à son service un "étalon black". Parfois, les femmes se sentent un besoin de réaffirmer leur désirabilité sexuelle et d'émancipation sexuelle de cette façon. Ceci est connu pour avoir un effet rajeunissant et un retour à la confiance en soi sur certaines femmes. 6. Il semble que beaucoup d'hommes noirs sont beaucoup plus agressifs sexuellement que les hommes blancs pour pousser les femmes dans de nouvelles expériences. Cela peut inclure des choses comme le sexe oral (dont ils sont réticents faire avec leurs maris), le sexe en public et avec de multiples partenaires. Un amant noir qui amène une femme blanche dans un club échangiste noirs et lui dit d'enlever ses sous-vêtements. Bien que cela puisse sembler humiliant d'être "forcé" de le faire (et faire de la publicité à son accessibilité sexuelle devant d'autres blacks). Cela est une très grande source d'excitation par rapport à la vie de femme mariée, une éducation stricte avec sa pruderie et ses effets négatifs chez les femmes blanches. Ce a généré beaucoup de courrier de ce site.
Le fait que, selon notre courrier, dans notre société l'homme blanc est féminisé et après un certain nombre d'années de mariage certains maris blancs sont considérés par leurs femmes comme des "mauviettes", soumis à la volonté de leurs épouses. Bien que les femmes puissent avoir provoqué cela, elles se plaignent ensuite quand cela arrive. Cette situation peut déclencher chez les femmes une forte volonté d'être prise en charge par un homme noir dominant qui l'oblige à faire des choses qu'elle ne se faisait pas avant. Cela peut inclure des expériences sexuelles qu'elle ne ferait pas avec son mari (en supposant qu'il serait à même le lui proposer). Dans certains cas, pour prouver sa volonté son partenaire noir peut la partager avec certains de ses amis avec l'intention de la transformer en "une salope à bite noire", une femme blanche qui s'habitue et finalement préfère le sexe avec des hommes noirs. 7. Sur la base de certains courriers d'hommes noirs, il semble qu'il y ait un symbole de statut social d'être avec une femme blanche, en particulier une blonde. Si elle est mariée, il peut se vanter à ses amis qu'elle le préfère dans le lit de son mari. Dans le même temps, il peut aussi devenir possessif et protecteur, ce qui peut causer des problèmes majeurs. Souvent l'amant va exiger que le mari porte une cage de chasteté pour qu'il ne puisse plus avoir de relation sexuelle avec celle qu'il considère comme son bien propre. Quelques fois il peut même exiger de détenir la clé du cadenas. Dans ce genre de situation la femme se trouve fréquemment enceinte de son amant Black et le mari devra assumer l'enfant et cette situation humiliante.
Pour cette raison certains maris préfèrent embaucher des professionnels biens dotés pour leurs épouses, des hommes noirs qui sont sûrs et suivent un accord sur des règles de conduite." 8 L'humiliation pour l'homme et la femme. Être un mari cocu implique souvent un élément d'humiliation pour le mari. Avoir une femme qui préfère ouvertement les noirs peut répondre à ce besoin. Cependant, l'humiliation va aussi dans l'autre sens. Les femmes poussées ou non par le mari à se faire entretenir sexuellement par des mâles noirs biens dotés ne manquent pas d'humilier le mari sur son impuissance à les satisfaire et à comparer la différence de taille du pénis. Le mâle blanc va rapidement passer d'Alpha à Beta et l'amant Black va le remplacer en tant que mâle Alpha avec tous ce que cela implique. L'homme blanc et très profondément motivé par ce genre d'humiliation (et même des femmes). 9. Beaucoup d'hommes noirs sont très heureux d'avoir uniquement une liaison de sexe. Ainsi, la possibilité de l'implication émotionnelle avec ses nombreux problèmes sont minimisés. Certaines femmes blanches, surtout quand elles épousent des hommes plus âgés, veulent tout simplement un amant noir pour s'occuper d'elles régulièrement, surtout quand leurs maris ne sont plus aussi performants qu'au début. 10 Le point le plus important étant qu’une grande partie des femmes blanches peuvent plus facilement atteindre un orgasme avec des partenaires noirs. Bien que ceci soit basé sur des preuves anecdotiques, nous savons que les hommes bien membrés peuvent stimuler les femmes dans les zones vaginales plus importantes, ce qui facilite l'orgasme. C'est pour cela que certains maris croient (souvent avec raison) que les femmes peuvent devenir «accro» au sexe noir et devenir des " salopes à bite noir" avec des amants noirs qui poussent souvent les femmes blanches dans de nouvelles expériences sexuelles, des choses qu'elles n'ont jamais essayé avec leurs maris.
Résumé
Lorsque vous analyser tous les éléments développés ci-dessus, il n'est pas surprenant et cela aide à expliquer le grand nombre de femmes blanches qui se tournent vers des partenaires noirs, c'est maintenant commun, en particulier dans les zones urbaines.
Nous devons supposer que la tendance des femmes blanche vers le sexe noir continuera. Beaucoup de femmes blanches recherchent la stimulation supplémentaire et l'endurance que les hommes noirs peuvent fournir en même temps qu’un grand nombre d'éjaculation. Les hommes noirs préfèrent les femmes blanches pour le sexe.
Une fois que l'entourage sait qu'elle a des amants noirs, elle n'a rien à perdre en ne tient plus à la bienséance, elle s'habille sexy et agit d'une manière plus sexuelle. Dans certaines limites, un mari peut voir cette transition d'une femme qui n'était auparavant pas intéressés par le sexe. Enfin, alors que beaucoup de ce qui précède peut être vu par certains comme des éléments positifs dans les liaisons noir sur blanche, ils peuvent aussi être négatifs pour d'autres.
Grossesses Noirs / Blanches
Nous recevons de nombreuses lettres de femmes blanches et asiatiques enceintes, des femmes mariées à des blancs et qui disent que leurs amants noirs les ont intentionnellement mises enceintes en les poussant à avoir des relations sexuelles sans préservatif. Nous avons également obtenu des lettres d'hommes noirs qui admettent que c'était leur objectif, indiquant parfois, l'objectif à long terme " de se débarrasser de la race blanche".
L'autre côté de
la question
Certaines femmes blanches deviennent intentionnellement enceinte d’un amant noir parce qu'elles estiment que les bébés métis sont un mélange idéal. Elles savent que le père noir n’aura peu ou pas d'intérêt pour le bébé, mais elles sont prêtes à élever seul le bébé.
Parfois, un couple blanc décidera d'avoir un bébé mixte et la femme essayera volontairement de tomber enceinte avec un amant noir. Cela parce que la femme a été incapable de tomber enceinte avec son mari. On suppose qu'il est plus facile pour une femme blanche de tomber enceinte avec un homme noir. C'est souvent le cas.
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Après l’échec inévitable du progressisme… il restera quoi ?
Même si nombre d'entre nous refusent cette perspective, les jours heureux sont derrière nous.. ''Aveugles-par-construction'', nous sommes les témoins de la fin de l'ère d'une démocratie “apaisée”. Dans le “soft-goulag” (un de nos futurs les plus probables, l’autre étant une islamisation ''bessif'',) qui est déjà notre présent à cause du covid, il est interdit de dire que “c'était mieux, avant’‘ : les chiens de garde de la ’'pensée correcte” ont la morsure rapide, la haine virulente et des dialectiques mensongères à foison, et ils vous ostracisent ''complotiste'' tout en violant à chaque seconde leurs soi-disant principes --ces ''vertus chrétiennes devenues folles'' dont parlait Chesterton-- au nom de leur nouveau dieu : une tyrannie hygiéniste primaire qui ne peut mener à rien de favorable. Nous sommes ‘’en Marche’’ vers le pire...
J'ai souvent l'impression d'assister à la fin d'un monde, un monde que j'ai aimé, où le bonheur était une possibilité, plus beau que tous ceux qui l'avaient précédé, et que ceux qui pourraient lui succéder, tels qu'on les imaginait ou tels qu'on les redoute. Je me sens devenu prisonnier d'un système où la vérité est pourchassée, où la nostalgie est criminalisée, où la pensée clonée est si fort enfoncée dans l'inconscient collectif qu'il n'est plus possible de penser hors d'elle : le curseur est bloqué et la censure veille, refusant que puisse exister toute interprétation autre que ce qui est réputé ''correct'' (donc mensonger) sur tout ce qui concerne les hommes, les cultures, les religions, les civilisations, l'histoire, les rapports hommes/femmes, les races et le racisme, le CO², la vie sexuelle, les critères de filiation, la famille, la température dans les appartements, le nombre de fruits et légumes quotidiens, les modes de procréation, les conséquences de votre douche quotidienne sur le climat, ou encore les masques, les tests, les lits d'hôpital ou les vaccins ! Aujourd’hui, c'est l'âme elle-même de chacun d'entre nous qui est menacée dans son socle vital, l'âme de la Cité comme celle de chacun de ses composants. Il ne reste plus, à ceux qui se souviennent du monde d'avant, que de regarder s'éloigner à regrets le vieux rivage où je suis né, disait Chateaubriand.
Des gens que je croyais “pensants” et qui ne sont que “roseaux”, me disent : “Tu ne peux pas dire ça...”, ou “On ne peut pas penser ça, en 2021...”, comme si la date modifiait, par sa seule présence, la définition du mot “penser”, ou comme si “pour penser” on avait besoin d'une permission, comme on nous l'impose désormais pour vivre (survivre ?), respirer, bouger, aller ou venir (cette invention satanique se nomme, en patois ''novlangue'', une ''autorisation dérogatoire'', nécessaire pour arracher 135 € aux griffes de nos tortionnaires)... Marqueur de notre temps, la prétention orgueilleuse à ne croire que ce qu'on nous intime de voir, “hic et nunc”, prétend balayer toute l'expérience de l'humanité, tout ce qui nous a précédés, tout ce qui, avant nous, a pensé, réfléchi, cru, imaginé, découvert, pratiqué, aimé avec raison --ou même sans… Cette erreur grossière s'explique facilement : le monde a été privé d'âme, et le lien qui a toujours existé entre la Cité ou la Nation et les gens a été rompu, sans alternative et sans le moindre espoir, pour le moment. Car tous les ''progrès'' qui nous sont tombés dessus depuis 50 ans ont-ils rendu l'humanité plus heureuse ? La réponse est ''non'', collectivement et individuellement. Et ce n'est pas une bonne nouvelle. Des leaders (?) inconséquents ont concocté la fiction d'un monde qu'ils rêvent “ouvert”, sans différences, sans frontières, sans identité et sans cultures, un monde qui méprise le passé et le besoin d'enracinement qui sont ''de définition'' en tout être humain : on voudrait faire croire que puisque tout se vaut, rien ne vaut... Les humains (ou ce qu'il en reste) seraient donc, contre toute évidence, égaux au point d’être vus comme interchangeables, hommes et femmes, transgenres et bi-sexes (?), noirs, jaunes ou blancs… Et même les animaux se joignent à ce bal de la décadence. Tous, d'ailleurs, seront peu à peu remplacés par des cyborgs dits “trans-humains”, bardés de capteurs, nés d'un utérus artificiel, sans Père, bien sûr (et bientôt sans mère… car c'est inévitable, à terme --mais on ne l'a pas encore dit aux féministes enragées qui se rêvent victorieuses, les sottes !), condamnés à vivre cent, deux cents ans ou plus une vie d'insecte social, sélectionnés sur catalogue (ce qui est point très important les progressistes qui tiennent à la “PMA pour tous”). Et pour préparer cette catastrophe, nous sommes entrés dans le temps du “n'importe quoi, mais obligatoire pour tous” qui est un des marqueurs de la pensée de Gauche, collectiviste par système. C'est un cauchemar... mais tant pis pour l'humanité, qui aurait pu continuer à être heureuse (au moins un peu plus !).
Vous avez dit “progressisme’' ? Le sinistre (ce qui veut dire : ’'à gauche”!) Aurélien Taché, ce prototype de lui-même (donc de rien), répète cette définition du macronisme rétro-progressiste : “les conservateurs sont nos ennemis”… phrase idiote qui le condamne à subir à son tour le “du passé, faisons table rase…” qui a assuré l'échec de l'hydre communiste, ce qui n'est une surprise que pour ceux qui tiennent à garder les yeux grand-fermés. Finalement, on peut sérieusement se demander si c'est l'Islam qui constitue la pire menace pour l'humanité, ou si lui aussi ne devra pas s'effacer devant la “nécessité sacrée” (?) de suivre docilement un mouvement qui nous mène… là où il était vital que l'humanité ne mette jamais les pieds. Le choix n'est ni facile ni enthousiasmant, entre devenir une victime non-consentante de l'inhumaine charia'a... ou un robot “in-mourable” de moins en moins pensant ! Il risque pourtant d’être très bientôt le seul possible…
Mais l'humanité ne peut pas reposer indéfiniment que sur des mensonges, et nos faux gourous ont donc dû inventer une solution encore bien pire que le cauchemar : “changer l'Homme”, ou plutôt fabriquer une humanité sans êtres humains. Ils rêvent de nous faire gober qu'il suffirait que quelque chose soit techniquement possible pour être, ipso facto, humainement et socialement désirable, ce qui est un mensonge de plus. Sont-ils des cons, des salauds, des criminels, ou les trois à la fois ? Un monde sans frontières et sans interdits (donc sans sagesse) ne peut être qu'un monde d'anxiété et de peur, propice à l'éclosion de mille névroses... dont toutes celles de nos dirigeants indignes..
Mais quand on peut poser une bombe, insulter les femmes, voler des ‘’vieilles’’, “se payer” un pompier, “casser du flic’' en hurlant ''à la brutalité policière'', tuer des ''n'importe qui'', dans la rue, briser des vitrines, violer des églises, foutre le feu aux bagnoles ou piller pour piller sans rien risquer, simplement parce qu'on glapit ’'Allahou Akbar” (ce que ne fait pas le pauvre bougre qui pique une pointe de vitesse ‘’assassine’’ à 136 km/h : pour lui, pas de pitié !)... qui peut douter que les bornes de l'intolérable ont été franchies ? Liberté chérie, fraternité sans gestes anti-sociaux, respect de ''l'autre'', terrasses de café bondées, remonte-pentes qui remontent, bref arrêt de l'irruption tous azimuts de l'Etat dans nos vies qu'il ne sait que rendre invivables... quand retrouverons-nous enfin le droit de vivre et de mourir en paix ?. En français contemporain, on dirait quelque chose comme ''Lâchez-nous les baskets !'', et en bon français pompidolien, qui reste mon dialecte préféré de loin : ''Mais arrêtez donc d'emmerder les français !''.
H-Cl.
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"Ils ne parlent pas assez" dans la fiction (They don't talk enough in fiction)
Sur les séries que je regarde pas mal, j'entends souvent de personnes dirent "Pourquoi le perso ne dit rien ou refuse d'écouter l'autre ?! Ils devraient communiquer." Le truc c'est que plus facile à dire qu'à faire, par exemple le conflit entre Marinette et Adrien, Marinette se sent submergée par son rôle de gardien. Elle veut que tout soit parfait et pense que tout ira bien avec Chat Noir. Mais elle ne voit pas qu'elle fait du mal à Chat Noir sans le vouloir. Marinette veut aider les gens mais a du mal avec leurs réactions émotionnelles. Par exemple dans Reverser, elle aide Marc en les faisant se rencontrer pensant qu'ils pourraient s'entendre. Sauf que ça se passe pas comme prévu et Nathaniel pense qu'il s'est fait avoir. De plus une fois que Marinette a confessé qu'elle était Ladybug. Elle se sent un peu mieux !
Mais Alya n'aime pas garder autant de secrets, elle comprends pourquoi mais ça lui donne un tiraillement entre ce qu'elle doit faire et veut faire. Elle finit par révéler à Nino qu'elle est toujours Rena Rouge. Et c'est ce qui la différencie de Marinette qui veut tout régler toute seule alors qu'Alya fait confiance à Nino de garder le secret. Surtout que dans le finale de la saison 4, elle a failli mourir si Carapace ne l'avait pas protégé. D'ailleurs dans l'épisode de Rocketear, Nino dit qu'un couple n'a pas de secrets. Le truc c'est que si une personne cache des choses à son bien aimé, c'est pas parce qu'il a pas confiance à ce dernier. Mais c'est parce qu'elle se sent pas prête ou bien a peur de la réaction de l'être aimé. De plus Marinette n'a jamais dit que à Alya que Lila l'a menacé dans les toilettes. Car Marinette bien qu'elle est confiante, a peur de Lila car c'est comme quand Chloé l'a harcelait avant qu'elle devenait Ladybug. Sans compter qu'elle aime bien aider les autres mais quand il s'agit de ses problèmes personnelles, elle préfère les régler toute seule. Sans compter qu'elle n'a rien dit sur son trauma dans Chat Blanc. Elle intériorise de plus en plus jusqu'à ce que Felix a volé les miraculous, elle finit par craquer et dévoile ce qu'elle ressent. Elle se sent coupable et ne comprends pas pourquoi Chat Noir est là après tout ce qui s'est passé. Chat Noir reste en la rassurant qu'ils vont récupérer les miraculous un par un, il a été le soutien dont elle avait besoin pour faire face au Papillon.
Dans le prince des dragons, Rayla est revenu après être parti le jour de l'anniversaire de Callum. Alors on manque de contexte mais dans le comic through the moon. Elle laisse une lettre à Callum sur le pourquoi qu'elle s'en va pour traquer Viren et pensant qu'elle part pour le protèger. N'oublions pas que Rayla a vécu dans un village où les actes sont plus valorisés que les paroles. Sauf que ça reste assez vache, de plus même si Callum le sait, il a le droit d'être en colère contre elle ! Car elle est partie, leur mauvaise communication a du sens car Rayla essaie de réparer ce qui a été fait en espérant que les choses redeviendraient comme avant. Tandis que Callum n'est pas prêt à l'écouter et ça reste compréhensible. Surtout qu'avec Aaravos qui a prit contrôle de son corps pour rendre sa menace encore plus grande et les roaste sur leurs insécurités. Les sentiments de Callum sont confus, car d'un côté il est content qu'elle soit là mais de l'autre il est triste et colère. Ça fait beaucoup quand même ! Même quand Callum demande à Rayla de le tuer si Aaravos prend possession de son corps à nouveau elle refuse car elle ne veut pas tuer le garçon qu'elle aime. Quand elle voit Viren, elle lui dit qu'elle doit le poursuivre. Et Callum comprend, il a peur qu'elle l'abandonne à nouveau mais laisse ça de côté. Toutefois quand Rayla retrouve les pièces de ses parents, elle fait le choix de revenir auprès de ses amis. Elle aurait pu poursuivre Viren et les autres mais non elle a décidé de revenir auprès de Callum et les autres. Callum pensait qu'elle est morte et quand il la sort des gravas, il est rassurée de la voir en vie. Maintenant peut être que Callum est enfin prêt à parler Rayla.
Dans RWBY, Blake s'enfuit suite à la chute de Beacon laissant ses amis derrière elle. Elle pense qu'elles seront mieux sans elle. Jusqu'à ce que Sun lui dit qu'elle peut faire ses choix mais ceux des autres bon après il a un peu imposé sa présence à Blake mais elle avait besoin d'entendre ça. Car après l'attaque de sa maison, elle va se rendre à Mantle avec les autres faunus. Yang était triste que Blake soit parti à tel point qu'elle disait qu'elle s'en fichait de où elle était. Montrant à quel point elle était blessée par elle. Quand elle revient auprès d'elles, elles mettent du temps à se réconcilier vu que Yang a toujours son syndrome post traumatique à cause d'Adam. Elle essaie d'être à l'écoute mais Yang ne veut pas l'écouter. Elles finissent par se comprendre quand elles se battent contre Adam, la cause de tout leurs problèmes. Elle se protègent mutuellement et tuent Adam, j'aime bien comme la scène est présenté car Blake jette son arme ensanglanté, elle est dans tout ses états. Alors que Yang essaie de la consoler puis elles se sont réconciliés. Dans le volume 7, Blake et Yang ont un désaccord au sujet d'Ironwood et parle d'Adam, Yang dit qu'elles ont fait ce qui doit être fait. Quand à Blake, elle veut pas refaire cette erreur, ça a l'air horrible ce que dit Yang mais Adam est celui qui lui a coupé son bras et a fait fuir Blake. Donc le ressenti n'est pas le même.
Bref tout ça pour dire que oui il faut communiquer dans une relation romantique, platonique voir même familiale. Or il y a des raisons qui poussent les perso à ne pas en parler de tel ou tel chose et c'est compréhensible en soi. Souvent c'est pas parce que la personne n'a pas confiance à son interlocteur, c'est juste qu'il craint la réaction de ce dernier si il l'apprenait. Mais ils vont finir par en parler faut juste être patient.
On the series I watch a lot of people say "Why doesn't the character say anything or refuse to listen to the other?! They should communicate." The thing is, easier said than done, for example the conflict between Marinette and Adrien, Marinette feels overwhelmed by her role as guardian. She wants everything to be perfect and thinks that everything is fine with Chat Noir. But she doesn't see that she's unintentionally hurting Chat Noir. Marinette wants to help people, but has trouble with their emotional reactions. For example, in Reverser, she helps Marc by bringing them together, thinking they might get along. But things don't work out as planned, and Nathaniel thinks he's been had tricked. Once Marinette confesses that she's Ladybug to Alya. She feels a little better !
But Alya doesn't like keeping so many secrets, she understands why, but it gives her a tug-of-war between what she has to do and what she wants to do. She ends up revealing to Nino that she's still Rena Rouge. And that's what sets her apart from Marinette, who wants to sort everything out on her own, whereas Alya trusts Nino to keep the secret. Especially since in the season 4 finale, she almost died if Carapace hadn't protected her. Besides, in the Rocketear episode, Nino says that a couple has no secrets. The thing is, if a person hides things from their loved one, it's not because they don't trust them. It's because they don't feel ready or are afraid of their loved one's reaction. What's more, Marinette never told Alya that Lila threatened her in the bathroom. Because although Marinette is confident, she's afraid of Lila, just as she was when Chloé harassed her before she became Ladybug. Not to mention that she likes to help others, but when it comes to her own personal problems, she prefers to deal with them alone. Not to mention the fact that she never mentioned her trauma in Chat Blanc. She internalizes more and more, until when Felix steals the miraculous, she finally breaks down and reveals how she feels. She feels guilty and doesn't understand why Chat Noir is there after all that's happened. Chat Noir stays, reassuring her that they'll get the miraculous back one by one, and that he's been the support she needed to face the Hawmoth.
In The Dragon Prince, Rayla returned after leaving on Callum's birthday. So we lack context but in the through the moon comic. She leaves Callum a letter about why she's leaving to track down Viren and thinking she's leaving to protect him. Let's not forget that Rayla has lived in a village where actions are more valued than words. Except that it's still pretty dirty to do that, and even if Callum knows it, he has every right to be angry with her ! Because she's gone, their miscommunication makes sense, as Rayla tries to repair what's been done but hopes things will go back to the way they were. Callum, on the other hand, isn't ready to listen, and that's understandable. Especially with Aaravos taking control of his body to make his threat even greater and the roast on their insecurities. Callum's feelings are confused, because on the one hand he's happy she's here, but on the other he's sad and angry that she's here. That's a lot ! Even when Callum asks Rayla to kill him if Aaravos takes over his body, she refuses because she doesn't want to kill the boy she loves. When she sees Viren, she tells him she has to go after him. And Callum understands, he's afraid she'll abandon him again, but puts it aside. However, when Rayla finds her parents' pieces, she makes the choice to return to her friends. She could have gone after Viren and the others, but no, she decided to return to Callum and the others. Callum thought that she's dead, but when he pulls her out of the rubble, he's reassured to see her alive. Now maybe Callum is finally ready to talk to Rayla.
In RWBY, Blake flees after Beacon's fall, leaving her friends behind. She thinks they'll be better off without her. That is, until Sun tells her she can make her own choices, but not everyone else's. Well, he's kind of forced his presence on Blake, but she needed to hear that. Because after the attack on her house, she's going to Mantle with the other faunus. Yang was sad that Blake was gone, so much so that she said she didn't care where she was. Showing how hurt she was by her. When she returns to them, it takes a while for them to make up, as Yang still has post-traumatic stress disorder from Adam. She tries to be a good listener, but Yang won't listen. They finally understand each other when they fight Adam, the cause of all their problems. They protect each other and kill Adam. I like the way the scene is presented, as Blake throws away his bloody weapon, she's a mess. While Yang tries to console her, they make up. In Volume 7, Blake and Yang have a disagreement about Ironwood and Adam, with Yang saying they've done what needs to be done. As for Blake, she doesn't want to make that mistake again. Yang sounds horrible, but Adam is the one who cut off her arm and made Blake run away. So the feeling isn't the same.
All this to say that, yes, you have to communicate in a romantic, platonic or even family relationship. But there are reasons why people don't want to talk about this or that, and that's understandable in itself. Often it's not because the person doesn't trust the person they're talking to, it's just that they're afraid of the person's reaction if they find out. But they'll talk about it eventually, you just have to be patient.
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Falcon et le Soldat de l'Hiver 1x03 Saison 1 Épisode 3 streaming Série tv VF (français) complet gratuit
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Isaiah Bradley. Beaucoup de gens parlent de moments qui changent la donne, qu'ils le veuillent ou non, mais l'introduction d'Isaïe est vraiment un moment important au MCU. L'une des bandes dessinées que je voulais le plus voir terminée, Isaiah est l'un des soldats super noirs que le gouvernement américain a créés pendant le temps de Steve Rogers sur la glace et il était même au niveau de Bucky lorsque les deux se sont affrontés pendant la guerre de la Corée. Contrairement au vénérable Steve Rogers, il n'a jamais été acclamé et a en fait été emprisonné pendant 30 ans. Sa scène est un coup de poing dans l'estomac pour Sam, ainsi que pour tout le public, non seulement qu'il y avait un autre super soldat, mais qu'il était noir. Depuis la Panthère noire, le MCU a fait plus pour raconter des histoires sur la race qui ressemblent à notre monde d'aujourd'hui et Isaiah est une histoire très courante. C'était une très belle introduction au personnage et une merveilleuse performance de Carl Lumbly. Le seul succès impliqué dans cette histoire que je n'aimais pas était Bucky disant à Sam qu'il n'avait jamais dit à Steve parce qu'il semble peu probable dans le monde du MCU que Steve n'aurait pas découvert ce projet, puisqu'il a mis tous les fichiers SHIELD sur le Internet, et cela ressemble probablement à un secret dont ils ont connaissance. Il semble narrativement pratique de le faire de cette façon, d'autant plus que nous savons qu'avec le personnage de Steve, il aimerait probablement aider Isaiah d'une manière ou d'une autre. Cela touche en quelque sorte le plus gros problème; Steve Rogers est une ombre portée sur toute la série et sur de nombreux personnages, mais c'est la première fois que les lunettes roses sont effectivement retirées. Jusqu'à présent, dans le programme, ils se sont concentrés sur les menaces internationales, les menaces extraterrestres et les uns sur les autres (les trois vrais géants), mais ils n'ont pas systématiquement traité de l'histoire des États-Unis. Faire grandir Hydra au sein du SHIELD est une chose, mais cela montre activement au pays à quoi il ressemble. Je soupçonne que cela fera partie intégrante de la raison pour laquelle Sam arrache le bouclier. Nous sommes menés dans un voyage qui, je crois, se terminera par Sam voulant être un exemple de ce à quoi devrait ressembler Captain America. En parlant de cela, l'actuel porteur de manteau John Walker… bébé, depuis que Bakugou est apparu pour la première fois à l'écran, il y avait un personnage que je voulais battre davantage. Il ressemble à une personne décente, mais honnêtement, il n'y a rien de spécial à son sujet. Bon sang, il a même un ami noir (nom de code Battlestar). Chili, le gouvernement des États-Unis n'aurait pas pu être plus paresseux dans la recherche d'un nouveau plafond s'il avait essayé. John est une personne utile et son style de combat laisse clairement à désirer, car il ne peut faire plus que jeter le bouclier du point A au point B.Son erreur la plus flagrante dans cet épisode était de savoir comment il a répondu au désir de travailler avec Bucky. et Sam. Pour le sage, il n'est probablement pas judicieux de mentionner à deux personnes qui ont eu des problèmes avec le gouvernement que vous les traquez ET que vous appelez l'un d'entre eux le bras droit de Steve. Ces deux hommes sont des Avengers, ils ont combattu Thanos et ses sbires, John aurait dû venir d'une manière plus humble. En tant que tel, il semble que les deux groupes d'hommes vont avoir une grande confrontation. Finalement, Bucky a beaucoup de problèmes, mais je ne peux pas croire que le thérapeute l'a entendu dire à Sam que si Steve avait tort à propos de Sam, alors peut-être qu'il s'était trompé à propos de lui et juste ... Fille, c'est un excellent aveu de la part d'un gars qui n'admet à peine rien! Mon cœur s'est brisé quand j'ai entendu Bucky dire ça et j'espère que cet homme trouvera la paix.
Précédemment dans The Falcon And The Winter Soldier: Sam Wilson, alias "The Falcon", travaille à nouveau avec l'US Air Force et sauve l'un de ses membres: un capitaine de l'armée de l'air pris en otage par un groupe terroriste appelé LAF Il doit ensuite s'occuper de donner le bouclier de Captain America au gouvernement (ce qui lui dit que faire ainsi est la bonne décision) pour qu'il soit diffusé sur le Smithsonian, et pour aider sa sœur, Sarah, à maintenir son entreprise de pêche afin que le The le bateau familial n'a pas besoin d'être vendu. Bucky Barnes, qui a été gracié pour les crimes qu'il a commis lors du lavage de cerveau en tant que soldat de l'hiver, a participé à des séances de thérapie requises par le gouvernement (dans lesquelles il refuse d'admettre à son thérapeute qu'il fait toujours des cauchemars sur les crimes qu'il a commis pendant le lavage. en tant que soldat) et faire de son mieux pour se faire pardonner. Un groupe terroriste appelé Flag-Smashers, qui croit fermement que la vie était meilleure pendant The Blip The Snap sans frontières et sans ordre, et qui veut que le monde adopte à nouveau ce mode de vie. Et Sam apprend rapidement que la raison pour laquelle le gouvernement a dit que leur donner le bouclier était la bonne chose à faire était de pouvoir le donner au nouveau Captain America, qui est présenté au monde lors d'une conférence de presse. LES PUBLICITÉS L'HISTOIRE JUSQU'À MAINTENANT: Sam et Bucky se croisent une fois de plus lorsque Bucky confronte Sam à propos de son refus d'accepter le manteau de Captain America. Les deux se retrouvent dans un avion à destination de Munich, où Bucky accompagne Sam dans sa mission de suivre une cargaison de vaccins volée par les Flag Crushers. La tentative de Sam et Bucky de les arrêter n'est ni facile ni réussie, et cela n'aide pas lorsque John Walker (connu sous le nom de nouveau Captain America) se joint à la bataille pour essayer d'arrêter également les Flag Crushers. Bucky informe Sam d'un secret inquiétant sur l'histoire de Super-Soldier Serum, et comment lui et Steve Rogers n'étaient pas les premiers ou les seuls à le recevoir à ce moment-là. Captain America 2.0 se rend vite compte que Sam et Bucky n'ont aucun intérêt à travailler avec lui, et les Flag-Smashers sont bientôt pourchassés non seulement par les autorités, mais par un mystérieux individu connu sous le nom de The Power Broker. CE QUI EST BON DANS CET ÉPISODE?: Sam et Bucky apparaissent enfin ensemble à l'écran et se tordent comme eux seuls. Bucky essayant de sauver Karli Morgenthau (joué par Erin Kellyman, que certains d'entre vous reconnaîtront comme Enfys Nest dans Solo: A Star Wars Story) parce qu'il pense qu'elle est l'otage des Flag Crushers, seulement pour qu'elle dissipe cette confusion en lui donnant un coup de pied à quinze mètres de l'arrière d'un camion à dix-huit roues en mouvement. John Walker, également connu sous le nom de Captain America 2.0, se prépare à assumer la responsabilité de ce qui est à venir puis à être présenté au monde (avec ses compétences et ses qualifications) à travers un entretien individuel avec Good Morning America. La séquence de combat entre Sam et Bucky et Captain America 2.0 et Battlestar (également connu sous le nom de Lemar Hoskins, partenaire de Cap 2.0 et meilleur ami de Black) contre Karli et le reste des Flag-Smashers. Cap 2.0 et Battlestar font de leur mieux pour vaincre Sam et Bucky au début, pour dire les mauvaises choses et finir par échouer lamentablement. Sam et Bucky se rendent à Baltimore pour rencontrer Isaiah Bradley (joué par le légendaire acteur Carl Lumbly), un super soldat afro-américain qui a acquis ses compétences en 1942 après avoir été contraint de passer des tests dans lesquels le gouvernement américain a tenté de recréer le sérum de super-soldat. qui a été donné à Steve Rogers, et qui a combattu Bucky-as-the-Winter Soldier pendant la guerre de Corée en 1952 avant d'être envoyé en prison pendant trente ans et constamment expérimenté (même par des scientifiques d'HYDRA) pour plus de tentatives de recréer le sérum . Sam étant confronté à des flics blancs qui pensent qu'il est une menace pour Bucky jusqu'à ce qu'ils le reconnaissent et réalisent qui il est vraiment (et avant qu'ils ne mettent Bucky en état d'arrestation pour avoir raté son rendez-vous de thérapie, bien qu'ils soient toujours beaucoup plus gentils avec Bucky que cela ne l'était pour Sam).
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