#arrêter boulimie
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fitnessmith · 9 months ago
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Stopper les crises de boulimie ( ou d'hyperphagie )
NOUVEAU 👉 Stopper les crises de boulimie ( ou d'hyperphagie ). On va passer une heure ensemble pour en parler. Le lien est en bio @fitnessmith ou directement sur mon site. #tca #boulimie #hyperphagie #emotion #defusion #act
L’hyperphagie boulimique est un trouble des conduites alimentaires ( TCA ) . Il conduit à manger au-delà de sa faim, de manière compulsive et émotionnelle. On y ajoute la boulimie s’il y a une stratégie quelconque de compensation pour ne pas prendre de poids ( vomissement, sport à outrance, jeune, laxatif, etc. ). Il s’agit d’une forme de TCA qui nécessite l’aide d’un psychologue, d’un médecin ou…
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leleaulait · 8 months ago
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Moi : essaie de prendre soin de mon corps et de ma santé physique.
Mon corps en 1 mois : fait une infection urinaire et m'oblige à avoir 1 semaine d'antibiotiques. Chope 2 caries et potentiellement encore une rage de dent (parce que pas de rdv avant 1 mois) donc encore des antibios à prévoir. Mes intestins sont en arrêt depuis 2 semaines donc obligé de prendre un traitement de fond si je veux arrêter d'avoir mal au ventre. M'oblige à faire des prises de sang parce que la boulimie vomitive tout ça tout ça...
😑😑😑
Je signe où pour arrêter ?
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adamads · 1 year ago
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Un petit dessin relax parce que le mois est très chargé (y’a des suites de jours comme ça…). 
Inspirée du thème n°6 de l’inktober “doré”, voici Ambre Fairwood.
Je parlais dans un de mes précédents post de la difficulté pour moi de répondre à une question bête et méchante type “quelle est ta couleur préférée”.  
Plus j’avance dans la vie, plus je me rend compte de mon mode d’apprentissage et de découverte. 
C’est une thématique que j’avais vu lors d’une formation que j’ai suivie : nous avons tous un mode d’apprentissage. Certains apprennent majoritairement en entendant ou en lisant, d’autres apprennent par l’exemple, et d’autres encore par la pratique. 
En ce qui me concerne, j'ai toujours fait un blocage au niveau de l’apprentissage. 
Mon cerveau fonctionne en arborescence, ce qui m’oblige à traiter tellement d’informations à la fois que ça rend paradoxalement le processus d’apprentissage plutôt compliqué. 
Essayez donc de dessiner aussi vite que votre esprit souhaiterait que vous le fassiez. Et essayer de faire comprendre à cet imbécile qu’il doit se concentrer sur une chose à la fois s’il veut qu’on arrive à quelque chose. Lui qui ne sait pas fonctionner autrement qu’à 200 à l’heure avec 15 dossiers ouverts sur les genoux. 
Ma capacité à digresser commence à faire sens un peu, non ? Ajoutez à cela une boulimie d’informations, une empathie naturelle insupportable et une hypersensibilité parasite, et vous obtenez un cocktail d’épuisement parfait. 
ATTENTION, je vous vois venir à des kilomètres avec vos gros sabots de bois mal taillés ! Pour l’avoir entendu des milliers de fois (et chaque fois étant plus douloureuse que la précédente) : NON, il ne suffit pas d’ ”arrêter de trop réfléchir” ou  “se poser trop de questions”.  On ne choisit pas la façon dont son esprit fonctionne. Il n’y a pas de boutons pour arrêter tout ça. C’est un calvaire avec lequel on est né et contre lequel on ne peut rien. 
En revanche là où on peut agir, c’est sur les sources de perturbation. Couper les flux d’informations toxiques, s’isoler, s’éloigner des personnes qui nous font culpabiliser d’être qui on est et de ne pas fonctionner comme eux. 
Au moins le temps que les flots tumultueux de notre esprit si facile à tourmenter s’apaisent…suffisamment pour nous laisser nous reposer un peu. 
C’est seulement à ce moment-là, une fois les flots apaisés, que je peux apprendre. 
C’est pas génial comme fenêtre, mais on fait avec. 
Le rapport avec le fait d’avoir une couleur préférée, me direz-vous ? C’est le même processus. Je dois prendre le temps de me calmer et de tester pour aimer ce que je fais. 
Et ma foi, j’aime beaucoup travailler dans des couleurs dorées et orangées :) 
Ouais, tout ça pour ça ! ^^
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xtrathinbodygoal · 8 months ago
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J’aimerai juste mettre quelque chose au clair:
Dans le cadre de mon travail, je suis amenée à contrôler mon poids
Pour sortir de la boulimie (induite par des expériences de jeûne catastrophiques dont je vous parlerai sûrement ), j’ai du tout réapprendre
J’ai du soigner ma dysmorphie et arrêter de diaboliser des aliments
Aujourd’hui je me trouve très très très bien physiquement.
Cependant, je dois me remettre au travail. Je dois donc jongler entre ma santé mentale et de grosses exigences.
Point positif 1 : j’ai déjà fais toute les conneries du monde, je sais donc ce que je dois ABSOLUMENT éviter pour ne pas replonger
Point positif 2: je suis bien accompagnée et suivie
Après 1 an de traitement. Je peux me relancer sur des bases saines.
CEPENDANT: ces habitudes sont celle d’une personne qui dédie une grande partie de sa vie à son apparence. Enfaite, c’est même ma seule façon de gagner de l’argent.
Je ne vous invite en aucun cas à faire pareil, vous prendriez d’énormes risques…
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isauriedejuin · 10 months ago
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Les mots nous appartiennent
une partie de nous ils deviennent
Je lis, je bois, assoiffé de mots
les paroles sous l'eau
boulimie théorie
j'enregistre encore et encore
sans arrêter jusqu'à l'asphyxie
ces maux sont des trésors
de vie de souvenirs de sentiments
l'intime dévoiler délibérément
j'assouvis ce désir sans problèmes
je nourris mon âme en peine
je vénère l'abondance en emblème
je gratifie la beauté soudaine
le temps d'un jour découvrir
la plus pure forme d'art
je pourrais en mourir
cet amour ce départ
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nelltoo2 · 1 year ago
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Le mauvais rôle
Mardi 11 juillet 2023
Nell à elle-même : « faisons le point… j’ai 24 ans, je suis au chômage, je pèse 10kg de plus qu’au début de ce blog, c’est à dire que je suis passée de 68kg à 78kg en 5 ans environs, avec un poids qui joue au yo-yo.
J’ai vécu une « rupture amoureuse » avec le métier de mon rêve (psychologue), qui s’est étalée sur deux ans(2021 & 2022), ce qui a aggravé l’état anxieux et dépressif dans lequel j’étais depuis plus de 10 ans.
Actuellement en reconversion, vers un métier dans lequel la compétition est rude mais où j’espère m’épanouir (métier de la mode), même si le chemin semble instable et plus qu’incertain.
Voyez mon insécurité intérieure…
A coté, j’essaye d’aller mieux.
J’essaie de perdre du poids et les efforts se font voir : je suis passée de 85kg à 78kg en un mois et demi. Etant au chômage on ne s’autorise moins d’écarts, et l’été arrivant, je me suis attelée à une diète d’un repas par jour avec des fruits et légumes de saison. Pour moi, la solution est simple : pas d’activité physique veut dire qu’il faut réduire les apports caloriques. Ça n’a pas été facile étant donné que je ne mange que le midi et que Klaus mange aussi le soir. Le voir manger de la nourriture (souvent plus que calorique) était une torture et un défit à ma volonté.
A présent que je vois mes efforts récompensés, ma volonté ne fait qu’augmenter, je mange équilibré le midi et me permet un écart les week-ends. De plus, on m’encourage lorsqu’on voit mon changement corporel.
Mais retournement de situation !
Klaus n’est pas satisfait : il aimerait avoir « une vie normale de couple », sortir au restaurant et aller boire un coup au bar. C’est assez frustrant, surtout en pensant que monsieur ne me touche que max une fois tous les deux mois, parce que je suis devenu une grosse baleine, mais que je devrais arrêter mes efforts parce qu’il n’a pas pris la décision ou n’a volonté de faire des efforts. Le paradoxe est insupportable ! (Klaus n’a jamais dit que mon surpoids était la cause mais je sais que ça compte).
En plus de ça, je suis suivi par un psychiatre qui me fait des ordonnances, mais je ne peux pas vraiment dire si ce qu’il me prescrit et les changements réguliers de médicaments, sont là pour m’aider ou pour creuser encore plus le trous de la sécu.
Ma mère et Klaus n’approuvent pas que je prenne des antidépresseurs et anxiolytiques, mais j’aimerais bien leur dire que c’était AVANT qu’il fallait m’emmener en thérapie, dans la période où je subissais du harcèlement scolaires (qui a duré de la maternelle jusqu’au lycée). C’était AVANT qu’il fallait se préoccuper un minimum de mon état mental : quand je passait mes week-ends à me remplir de gâteaux, bonbons et sodas, que le soir en rentrant du collège ou du lycée je mangeais un pot entier d’olives ou une tablette entière de chocolat juste comme ça car je me sentais incomplète… vide. C’était AVANT… maintenant il ne reste plus qu’à regarder, en m’encourageant à aller mieux, parce que je fais vraiment des efforts, même si c’est peut-être fait avec des erreurs. N’est-ce pas le rôle de nos proche que de nous encourager à aller mieux ?
Finalement, mon rôle sera soit celui de la rabat joie qui retrouvera sa taille de guêpe et qui sera « baisable », a l’aise dans sa tête et son corps, soit celui de la baleine qui s’achètera un vibro et se replongera dans son trouble anxieux dépressif et sa boulimie à coups de chocolats et bonbons par paquet de 10, mais tant pis, se faire plaisir et ne rien faire c’est tellement plus facile. »
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amnesiepsychogene · 5 years ago
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3 juin 2019
Rendez-vous avec ma psychologue.
Je suis arrivée en pleurant à moitié. À cause de la vue d'une scène qui m'a choqué : un accident. Du sang, des pompiers, des couvertures de survie. Très peu agréable.
Au début de la séance, j'étais incapable de parler. Je n'arrivais pas à prononcer un seul mot, j'étais bloquée.
J'ai fini par lui expliquer que c'était difficile de parler de moi, de ce qui se passe pour moi indépendamment de la vie des uns et des autres.
Elle m'a regardé, mais n'a rien dit. Elle attendait que je me dévoile.
Alors j'ai fini par lui faire une tirade. Avec de longues pauses, mais elle ne rebondissait sur rien, alors je continuais à parler. Je pense qu'elle l'a fait exprès parce qu'elle le sent, quand j'ai besoin d'évacuer mais que je me "censure".
Je lui ai donc parlé un peu de l'opération, comment ça s'était passé, les quelques complications pendant l'opération mais également les quelques complications post-op.
Je lui ai parlé du retour des idées suicidaires, des crises d'angoisse très importantes la nuit, des problèmes alimentaires qui se sont accentués. Tout ça à cause de l'opération parce que trop de médicaments et d'anesthésie : j'ai l'impression que ce sont eux qui s'endorment et pas que je m'endors de moi-même donc je m'endors tendue et forcément ça entraîne les cauchemars et les crises ; et pour l'alimentation, trop de médicaments et substances sont entrées dans mon corps, j'ai l'impression que ça me rend sale alors je mange très peu pour compenser.
En premier lieu, elle s'est arrêtée sur l'alimentation. On aborde jamais ce sujet en détails, du moins jusqu'à présent. Je ne me sens pas légitime d'en parler. Et parfois j'ai l'impression qu'elle peut le prendre à la légère. Alors que ça m'est vraiment très handicapant au quotidien, autant sur le plan mental que physique.
Elle m'a posé beaucoup de questions. Ce que je mangeais, ou non, si je faisais des crises de boulimie, combien de temps je pouvais être en restriction, si je me faisais vomir, quand est-ce que s'est apparu, comment mes parents ont réagi quand ça a débuté à mes 8/9 ans, comment ils ont réagi par la suite quand ça s'est aggravé, etc etc.
Oui je fais des crises parfois, mais ça fait très longtemps que ça n'est pas arrivé, depuis début 2019 au minimum. Oui ça m'arrive de me faire vomir. Les périodes de restriction peuvent être de quelques jours comme de plusieurs mois. Mes parents, quand j'étais petite, se sont inquiétés car à ma naissance, les jours qui ont suivi j'avais perdu beaucoup de poids, je ne me nourrissais pas à cause de problèmes de santé, et forcément, étant leur premier enfant, ils avaient beaucoup angoissé. Par la suite, ils n'en ont plus rien eu à faire, à partir de mon entrée au collège. Juste des "tu as pris du poids" ou "tu as perdu du poids". Ils pensent que ce n'est qu'un caprice pour ne pas passer mes partiels, mon bac, ne pas aller en cours à l'époque du collège, etc. Ils ne veulent pas comprendre, ni voir l'ampleur du problème, comme pour tout le reste, sauf que pour ce sujet particulièrement leurs remarques sont extrêmement blessantes et s'enfoncent plus qu'autre chose alors je ne leur montre simplement plus rien, ne leur dis plus rien, leur mens, et malgré les transformations physiques ils ne réagissent pas.
"Vous trouverez votre équilibre quand vous aurez votre indépendance".
Je n'en suis pas sûre.
Il paraît que l'anorexie mentale est bien plus importante dans mon fonctionnement et mes comportements que la boulimie. Mais sur mon physique c'est l'inverse qui apparaît : je suis en surpoids. Alors que je fais même du sport et que j'ai beaucoup de comportements d'hyperactivité.
Il paraît que c'est le moyen que mon corps a de me protéger. Car si il avait perdu autant de poids qu'il aurait dû depuis ses 10/11 ans de troubles du comportements alimentaires, je serais déjà morte. Alors il stocke énormément, perds vite mais prends très vite aussi pour me protéger de la mort. Mais également pour me protéger du fait d'être attirante selon les codes de la société. Comme si je pensais qu'en étant grosse aucun homme ne pourrait me violer à nouveau. Or c'est faux, une femme en surpoids peut-être tout aussi attirante qu'une femme avec un imc normal. Mais probablement que j'ai essayé de me convaincre de ça pour trouver un moyen de défense. Et l'anorexie serait une volonté de pureté de mon corps mais également de disparaître, de devenir invisible.
Alors voilà, on a enclenché sur le fait que mon "anorexie" venait surtout du refus de faire entrer quelque chose dans mon corps pour ne pas me sentir à nouveau intrusée, violée. Et on a donc reparlé de l'anesthésie de l'opération, qui avait probablement redéclenché le mal-être et les idées suicidaires par le fait que je n'avais plus de contrôle sur mon corps, que quelque chose d'autre était à l'intérieur et le contrôlait et que ça m'a beaucoup perturbé.
D'ailleurs, peut-être que le fait que l'anesthésie n'ait pas marché au début puis "trop" par la suite était psychologique, comme si j'avais moi-même tout bloqué.
"Est-ce vous vous êtes sentie figée par la peur et toutes ces sensations, comme lors des agressions que vous avez subies ? Est-ce vous avez eu l'impression de revivre la même situation ?"
Oui et non. Oui car l'anesthésie provoque cette sensation que j'ai ressenti lors des agressions "je veux fuir mais je suis tellement paralysée que je ne peux pas bouger". Non parce que l'anesthésie ressentie à l'époque était liée à la peur de l'autre, de la violence ; celle de mon opération était juste due à la peur de perdre le contrôle sur mon corps, de ressentir des choses, je n'ai jamais imaginé à un moment que le chirurgien puisse tenter quoi que ce soit puisque c'était une anesthésie locale.
"Face à un trauma il y a trois réactions possibles : la fuite, l'attaque, ou la déconnexion. Vous ca a été la déconnexion et ça l'est encore à l'heure actuelle."
Avant les traumatismes comme elle dit, je n'avais jamais rien ressenti au niveau du corps. Enfin les blessures quand on tombe, etc, mais c'est très peu, car lorsque l'on est enfant on ne fait pas attention aux signaux que peut nous envoyer notre corps. On s'en fiche. Nous n'avons pas encore pleinement conscience de notre corps. J'étais trop jeune pour avoir ressentie quelque chose de vraiment concret.
Et après, inconsciemment j'ai directement déconnecté et tout bloqué. Alors je n'ai jamais rien ressenti au niveau de mon corps.
Pendant toutes les années où j'ai oublié ce que j'avais vécu, je n'ai rien ressenti dans mon corps.
Et quand c'est revenu, j'ai ressenti les douleurs de l'époque. J'ai été choqué. "Ah bon mon corps est capable de ressentir quelque chose ? Ah bon mon corps peut faire mal ?" Mais ça a été tellement violent et brutal que j'ai immédiatement tout rebloqué (ou le plus possible) car c'était le fonctionnement que je connaissais.
Elle m'a reparlé d'une activité physique pour renouer entre mon corps et mon esprit, quand je serais prête.
Elle a compris que je ne ressentais très peu les sensations de faim, de froid, de chaud, etc etc. Je les ressens, mais différemment. Je suis très souvent en pull même en été.
Ça me fait moins peur de tuer mon corps que d'affronter ce qu'ils peuvent ressentir.
"Mais vous ne pouvez pas être juste un esprit."
Puis, je ne sais plus trop comment on en est venues à cela, mais je lui ai exprimé que je ne me sentais pas moi-même, que j'avais l'impression que plusieurs personnalités se battaient en duel, et que j'étais constamment en train de switcher avec mes personnalités.
"On traverse tous des conflits internes mais chez vous il y a quelque chose de vraiment extrémiste, intense".
Elle me demande comment ça se manifeste. Je lui dis que ce sont pas forcément des personnalités à proprement parler mais que selon les personnes je ne vais pas avoir les mêmes réactions, les mêmes façons de m'exprimer, les mêmes attitudes générales.
On en a conclut que ça avait une fonction adaptative pour moi. Qu'à cause de mes traumas, de mon environnement familial, de mon propre fonctionnement à cause du fait que je sois précoce et donc hypersensible et bien je m'adapte à la personne en face pour me protéger 1) d'un potentiel danger, 2) des émotions de la personne pour ne pas me les prendre en plein face et qu'elles me submergent.
Puis on a parlé du fait que, par contre, quand il y a trop de personnes autour de moi je me coupe et devient totalement inexistante et effacée. Parce que c'est trop d'informations à traiter et parce que je ne me sens pas a l'aise d'exprimer des choses ou ma personnalité, j'ai l'impression d'une "surexposition" et j'ai tellement honte de ce que je suis que le montrer à une personne ça va, mais à plusieurs en même temps ça m'est littéralement impossible.
"Oui c'est typique de la précocité et de l'hypersensibilité. Il va falloir apprendre à vivre avec..."
Puis je lui ai dis que je me sentais vide. Que j'avais beau ressentir beaucoup de choses très intensément il y a toujours une part de moi qui se senti vide.
"Vous êtes tout sauf vide, je vous assure."
Je me sens en mille morceaux.
On a dû arrêter la séance là dessus, car elle m'avait déjà gardé 1h30 au lieu de 45 min, car elle n'avait pas de rendez-vous après moi, donc elle en a profité, mais par contre après elle en avait un.
Mais elle m'a dit qu'elle souhaitait qu'on reparle de ces mille morceaux. Alors probablement que ce sera le thème du prochain rendez-vous...
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histoire-de-vivre · 6 years ago
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05/12/19 : de l’autre côté des montagnes russes
PSSSST JOLIE COMÈTE Y A UN MESSAGE POUR TOI EN BAS Bon. Il s’est avéré que mon esprit me joue des tours et que la Comète ne voulait pas que je disparaisse de sa vie. Tant mieux, parce que si ça avait été le cas, je crois que je disparaissais tout court haha. On a pu parler. Elle a pu mieux m’expliquer ce fichu mail qui m’a fait si mal. Bon, j’exagère, ce n’est pas le mail qui m’a fait mal, mais c’est comment je l’ai interprété. Je me voyais déjà toute seule, entièrement seule, sans ami aucun, dégagée de la vie de la personne qui m’a fait découvrir ce qu’est la vraie amitié. Et, surtout, je me voyais comme un monstre qui lui a fait tant de mal qu’il fallait qu’elle s’en aille pour aller mieux. Et ça, un mois après les Anges, ça m’a fait tellement tellement mal ! Alors, je n’ai pas dormi, j’ai répondu un mail affreux, j’ai été incapable de rester en cours toute la journée. Montagnes russes, je disais ? Quand elle m’a dit qu’elle ne voulait pas que je dégage de sa vie mais qu’elle voulait seulement arrêter d’essayer de gérer mes angoisses/dépression/autres troubles, j’ai arrêté de respirer. Ma voix tremblait pas mal, j’ai mis toute mon énergie dans le fait de NE PAS PLEURER. Parce que je savais qu’elle allait craquer, je lui avais dit, et le voir confirmé comme ça à un moment où j’allais vraiment vraiment pas bien bah ça pique haha, mais d’un autre côté elle m’a affirmé encore et encore qu’elle voulait toujours bien que je sois son amie et ça m’a tellement soulagée ! J’avais tellement peur ! Parce que, pendant quelques heures, j’avais tout perdu. Et ça fait vraiment mal. J’ai été vraiment contente qu’elle veuille en parler. J’espère fort qu’elle ne s’est pas empêché de dire quoique ce soit sous le mauvais prétexte que ça me faisait mal, j’suis pas en sucre. En fait, c’est conversation m’a apaisée. Elle m’a permit d’assimiler ce qu’elle me disait sans le filtre horrible de mon cerveau qui retourne les mots pour me faire mal. Bon, ça a finit en boulimie parce que réconfort + angoisse = bordel j’vais me rendre malade avec tout ces gâteaux, mais hey, je me sentais mieux. Pour la première fois depuis des semaines, je me sens presque apaisée, et ça fait tellement de bien que j’en ai les larmes aux yeux ! J’ai même pu dormir un peu. Bon, en me réveillant mon esprit a encore fait de la merde et j’étais à 70% sûre que j’avais imaginé toute la conversation dans le train et que le mail me disait vraiment que je suis un monstre qui doit dégager... Je me sentirai toujours coupable de lui avoir fait tant de mal, d’être une aussi monstrueuse amie. Mais d’un autre côté, cette voix, ce n’est pas vraiment moi. Cette voix, elle veut me mettre dans le mur, et moi j’ai décidé que je ne voulais pas, na ! 
Alors, ça va être difficile. Je ne sais pas comment je vais faire pour suivre mes études tout en m’occupant de moi, mais je vais essayer. J’ai peur, parce que je ne sais pas ce qu’il va se passer et que ça va me demander des efforts dont je n’ai pas l’énergie. On verra. J’ai Marion, aka la Naine Blanche, qui est là. Et puis, mine de rien, je crois que la Comète ne va pas me laisser seule (psssst, on a un safeword “CONCOMBRE” pour si je vais trop loin, comme ça je m’empêche de lui faire mal, et c’est beaucoup trop drôle comme safeword alors il fallait que je le partage), c’est à elle maintenant de se protéger pour qu’elle se comporte en amie qui veut bien écouter de temps en temps et non en super-héroïne qui doit tout prendre sur elle. Parce que moi, tout ce que je voulais, c’était une amie, une vraie. Et j’essaye de ne pas lui parler de ce qu’il y a dans ma tête, mais ça me préoccupe tellement que je n’arrive pas à faire autrement. D’où le safeword, by the way. Bref. Ce soir, ça va. C’est bizarre, ouais, je sais. Mais j’ai envie de dire “tant mieux”, hein. Je vais lire un peu puis aller dormir.  PS : Jolie Comète, je sais que tu vas passer par là à un moment donné. Je m’excuse pour tout le mal que j’ai pu te faire. Je vais faire mon possible pour ne pas recommencer. N’hésite jamais à me dire quand je vais trop loin parce que je ne le verrai pas. Je sais que je dois faire attention, mais je ne suis pas sûre d’y arriver parce que je me sens vraiment seule, alors vraiment protège-toi, je t’en prie ! Je ne veux pas que tu aies mal. Je t’aime fort, tu es une amie merveilleuse, et les quelques jours où j’ai cru t’avoir perdu ont été les pires. Merci.
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it-shall-too-pass · 5 years ago
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Toc, toc toc,
Qui est-ce ?
Le passé qui revient frapper à la porte, la défoncer, la déblayer. Il est violent, noir, perturbant, il s’immisce dans mes pensées, je ne parviens pas à l’arrêter. Il se glisse lentement dans mon âme, infiltre toutes les expressions cellulaires, fait vaciller mes pulsations cardiaques, s’étend le long de mon échine, se repend sur toute ma peau. Il visite ma trachée que j’ai tantôt forcée, effleure mon avant-bras gauche et ma cuisse droite, s’invite dans mon intestin, frôle mon cuir chevelu. Il s’étend partout, il est là, il ne s’en ira pas.
Je ne sais pas ce qui me fait le plus peur entre la fragilité flagrante de mon équilibre présent et la sensibilité accrue à ce genre de problème.
La dépression d’autrui me transperce le cœur, la maladie psychologique d’autrui me perturbe profondément, mon rapport au suicide est exacerbée à outrance. Et si je n’étais pas guérie ? et si j’étais moi aussi en rémission ? Et si j’étais beaucoup plus fragile que j’aimerai le croire ?
Est-ce que ce qui me fait le plus mal quand quelqu’un me confie sa propre détresse psychologique est l’expression d’une profonde empathie et ainsi d’une inquiétude sincère ou est-ce l’inquiétude d’être encore fragile, touchée et touchable lorsque je ne parviens pas à hisser des remparts suffisants face à ce genre de situation ?
Pourquoi est-ce que je ne laisse presque personne rentrer dans ma bulle, être assez proche pour me toucher ? pourquoi est-ce que je me protège tout le temps autant d’autrui ?
Surement car je me sais inconsciemment pas assez solide pour porter qui que ce soit, y compris moi-même dans une moindre mesure
La dépression, le suicide, l’anorexie, la boulimie, la mutilation étaient des maux si familiers il y a quelques années. Peut-être ne sont-ils pas seulement aujourd’hui des mots comme j’aimerais tant le croire, peut-être sont-ils tout prêt, à guetter la moindre brèche, la moindre fêlure pour venir reconquérir leur territoire.
J’ai peur de n’être pas si forte, de n’être pas si armée pour résister aux chocs de la vie, de n’être pas si capable d’avoir la résilience que je m’étais promise.
Peut-être qu’être ambitieuse ne suffit pas pour échapper à ses démons. Il faut être drôle, belle, intelligente et sensible, il faut être cultivée sans trop le montrer, il faut être sociable, entourée, souriante ; il faut être autre.
Sauf que cette autre jamais je ne serais, toujours condamnée à rester soi, soi avec ses fêlures, ses cassures, ses brisures, faut-il oser parler de faille ou n’est-ce encore pas assez profond ?
Comment savoir si on est guéri ? comment savoir si l’on va bien, si on est capable de résister, de se sauver soi-même ? Comment sauver les autres ? a-t-on seulement la force de les sauver, peut-on même les écouter ?
Peut-être cela fait il trop mal, trop de souvenir, trop de douleur qui remonte à la surface. La période de la pomme trois fois par jour, la période des galettes de riz, la période où papa est partie, la période de la recherche des limites, la période où il fallait tout foutre en l’air à commencer par soi-même, la période de la suppression de soi. Est-ce que c’est périodes sont toutes proches, prêtes à survenir d’une minute à l’autre ou sont-elles loin et disparues à tout jamais ?
Ni l’un ni l’autre, mais il faudra apprendre à vivre avec, à les apprivoiser, à arrêter de rejeter ce passé qui pue, qui fait honte, qui est moche mais qui est quand même là. Il faudra l’accepter car ce serait sinon rejeter une partie de soi-même, il faudra apprendre à le traiter avec respect.
Et peut-être à ce moment là aura-t-on la force de se sentir suffisamment fort et de l’être réellement, peut-être pourra-t-on alors commencer à vivre pleinement et à ne pas se sentir ébranler par la douleur d’autrui, peut-être pourra-t-on seulement ne pas se sentir coupable de ne pas être assez fort pour pouvoir aider. Encore faut-il savoir s’aider soi-même, se guérir ; puis enfin aider les autres, réparer les vivants.
 Mais voir que le masque est si mince, le bonheur si fragile, peut-être si mensonger est incroyablement douloureux. Comment savoir si l’on va vraiment bien, si la maison ne va pas s’écrouler à cause de fondations délabrées ? Comment savoir si l’on ne se ment pas à soi-même depuis des années en prétextant que tout ça est loin derrière nous ? Comment comprendre pourquoi cela fait-il si mal cette détresse d’autrui ? Comment analyser pourquoi cela perturbe-t ’il autant ?
Comment comprendre et appréhender sa propre rémission ?
Personne ne m’a jamais dit que j’allais bien tout autant que personne n’a jamais décrété que j’allais mal, c’était une mouvance permanente et inaudible que tout le monde caché pour mieux dissimuler. C’était de l’ignorance, du mutisme, du refus de parler et de voir, du refus de prendre les choses en main, de mesurer l’ampleur des dégâts. Je reste toujours incapable de déterminer si c’était seulement un appel à l’aide ou une volonté profonde d’en finir, je reste toujours incapable d’arrêter de leur en vouloir. Ils m’ont laisser tomber, comment faire à jamais confiance ? comment croire dans le genre humain après un tel abandon ? comment ne pas douter constamment ?
Tu as abandonné deux fois papa, la première c’est cette claque que tu m’as mise le soir où tu as vu mes cicatrices puis ce silence radio à jamais comme si rien ne s’était passé, la deuxième c’est lorsque tu es parti et que tu es devenu autre. Je pense encore que la première m’a bien plus détruite que la deuxième.
Vous avez consenti à ma destruction, vous n’avez rien fait, vous ne m’avez pas sauvé. Comment voulez vous que je pense avoir une quelconque valeur ? comment voulez vous que je pense que ma vie mérite quelque chose ? comment voulez vous que je me sente légitime à vivre ? J’ai sans cesse besoin de le prouver, de me le prouver, de vous le prouver ; l’échec est ma plus grande peur car il me fait sentir misérable, indigne à être en vie.
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fitnessmith · 2 years ago
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TCA : La peur dans l'assiette
NOUVEAU : TCA : La peur dans l'assiette
La peur est dans l’assiette pour vous qui aimez le fitness et la musculation ? Peut-être que vous ne pouvez pas passer une journée sans traquer votre diète sur myfitnesspal ou autre. Si vous avez peur de redevenir comme avant ou bien de voiler votre physique avec une couche de graisse, alors ce contenu est fait pour vous. Vous allez savoir :  Pourquoi vous n’avez plus faim parfois Pourquoi vous…
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lerepondeurdesinsoumis · 5 years ago
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Vous remettez en cause les fondamentaux de notre protection sociale
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2020, était très attendu par les professionnels de santé et para médicaux mobilisés et en grève depuis six mois. Ils seront d'ailleurs à nouveau dans la rue le 14 novembre, avec mes collègues du groupe CRCE, nous serons à leurs côtés car leurs revendications sont légitimes.
Mais voilà madame la Ministre, vous refusez d'affronter Bercy, et vous refusez de changer de cap. Vous poursuivez les exonérations de cotisations et ainsi remettez en cause les fondamentaux de notre Protection sociale, née du Conseil National de la Résistance.
Nous craignions les attaques de la réforme des retraites, mais finalement vous n'en avez jamais assez, surtout quand il faut prendre aux familles, aux salariés, aux retraités, aux jeunes, aux plus fragilisés.
On pourrait parler de boulimie ! Vous avez décidé de vous attaquer comme jamais au secteur de la santé, bien que celui-ci ait déjà souffert ces dernières années. Là, pour 2020, c'est le coup de massue : l'hôpital public va servir d'ajustement à votre budget avec un objectif de croissance des dépenses d'assurance maladie (ONDAM) à 2,3% en 2020, alors que vous savez pertinemment que celui-ci devrait être à 4,5%.
Les services d'urgence traversent une grave crise, ils multiplient les grèves, les 4,2 milliards d'économie sont la goutte qui fait déborder le vase des personnels hospitaliers qui sont, et ils le disent, en souffrance dû au manque de moyens en personnel. Ils ne veulent plus travailler dans des conditions indignes pour eux-mêmes mais surtout pour la qualité des soins aux patients.
Et vous, Madame la Ministre, votre seule réponse est de mettre un ONDAM à 2,1%pour l'hôpital en dessous de l'évolution naturelle des dépenses de santé. Décidemment, « quand on veut noyer son chien, on dit qu'il a la rage ».
Et ce n'est pas votre réforme du financement des hôpitaux de proximité qui va changer la donne. Vous aurez beau jeu de déplacer les services pour mutualiser toujours davantage les moyens, les malades eux ne déménagent pas avec les hôpitaux.
Vous allez donc éloigner encore davantage les services de santé pour nos populations qui n'arrivent déjà plus à trouver un médecin de ville, et des médicaments. L'obligation pour les industriels de constituer un stock de sécurité de 2 à 4 mois sur les médicaments d'intérêt thérapeutique majeur et la création de sanctions contre les laboratoires pharmaceutiques, en cas de pénurie du médicament prévues par ce PLFSS vont dans le bon sens mais arrivent trop tardivement par rapport à la crise que connaissent tous les malades.
Il n'est pas normal qu'en France et en Europe, la puissance publique ne soit plus en capacité de produire des médicaments. D'autant que nous disposons actuellement des pharmacies des hôpitaux et notamment à l'AP-HP, d'un savoir-faire à valoriser. Les hôpitaux ont tendance à délaisser leurs pharmacies pour assurer d'autres financements essentiels comme les investissements et les travaux de rénovation.
Sur ce sujet, vous avez fait adopter à l'Assemblée nationale un amendement visant à offrir aux établissements de santé une visibilité pluriannuelle et non plus seulement annuelle sur l'évolution de leurs ressources financières mais si c'est pour leur dire que les caisses resteront vides pendant 3 ans ça ne sert à rien !
L'Etat doit arrêter de se défausser sur la Sécurité sociale et assumer les travaux de rénovation et de modernisation des hôpitaux publics. Ce n'est pas à la Sécu et aux assuré.e.s sociaux de payer mais à votre Gouvernement.
L'État doit également assumer ses dépenses lui-même ! Les Gilets Jaunes se sont mobilisés, exprimant la colère populaire et le ras-le-bol de la fin des services publics, des fins de mois difficiles et des petits salaires. Le Président Macron a fait des annonces et mis en place des aides d'urgence pour répondre à cette colère, mais ce n'est pas au budget de la Sécurité Sociale de les porter ! C'est au budget de l'État que doivent être portées les dépenses légitimes liées aux Gilets Jaunes.
Ce sont 3 milliards d'euros que vous prenez à tous les services de santé pour les donner aux autres salariés. La colère des uns ne peut pas se régler par un tour de passe-passe qui consiste à déshabiller les infirmiers, les aides à domicile, les retraités, tous en lutte pour habiller, très légèrement, certaines catégories de travailleurs pauvres.
Ce PLFSS est truffé de contradictions.
Alors que 60 000 femmes par an doivent faire plus de 45 minutes de trajet pour se rendre à la maternité, plutôt que de maintenir les maternités de proximité et les services de maternités dans les hôpitaux de proximité vous préférez éloigner davantage et payer l'hôtel pour les mères concernées.
Ce mécanisme est un non-sens pour les femmes enceintes, qui devront se rapprocher de la maternité quelques jours avant la date prévue de l'accouchement alors que nous savons toute que par nature, les accouchements ne se déclenchent pas quand on fait la réservation de sa chambre d'hôtel !
Autre contradiction de taille : Alors que vous revenez à l'article 24 sur la tarification à l'activité dont tout le monde dénoncé les conséquences délétères (que ce soit les professionnels de santé, les élus dont nous faisions partis et même la Cour des comptes), vous prévoyez à l'article 25 de réformer le financement de la psychiatrie et des soins de suite et de réadaptation en faisant quoi ? En insérant justement une modulation à l'activité de la dotation globale !
Ces contradictions sont trop nombreuses pour ne pas penser qu'il s'agit en réalité d'une volonté délibérée de faire des économies sur les plus précaires, en réduisant les Indemnités Journalières pour les parents de familles nombreuses par exemple, en refusant de ré-indexer les pensions de retraites de 4 millions de retraité.e.s qui dépassent 2 000 euros par mois, en revalorisant les prestations de seulement 0,3% en 2020 alors que l'inflation est de 1%, vous allez aggraver la situation des plus fragiles. D'autant que nous savons que vous préparez le prochain mauvais coup avec la réforme des retraites. Si le PLFSS 2020, ne prévoit finalement aucunes mesures s'y rapportant à la future réforme des retraites, la fusion des caisses au sein des URSSAFs s'apparente bien à un test pour préparer la fusion des régimes de retraites dans le système de retraites par points.
En attendant votre future loi sur la dépendance, dont nous ne connaissons même plus la date à force d'être reportée. Ce PLFSS prévoit pour 2020 une enveloppe de 405 millions d'euros pour les Ehpads. Je voudrai relativiser ces chiffres par rapport aux besoins actuels et à venir pour nos ainé.e.s.
Les établissements d'hébergement de personnes âgées dépendantes (Ehpad) vont bénéficier de 130 millions d'euros pour se rénover et se transformer alors que les estimations chiffrent à 15 milliards les besoins de rénovation de 3 000 Ehpads publics...
Le gouvernement prévoit 210 millions d'euros en 2020 pour recruter 5 000 postes et 240 millions en 2021 alors que la Fédération hospitalière de France estime qu'il faudrait créer 10 000 postes supplémentaires dès 2020 dans les Ehpad et structures d'aide à domicile quand l'Association des directeurs d'établissement au service des personnes âgées réclame 40 000 postes dès 2020.
En réalité il faudrait 1,5 milliards d'euros pour financer deux postes dans chaque maison de retraite et structure d'aide à domicile.
Concernant les services d'aide et d'accompagnement à domicile il y a urgence à revaloriser le tarif de l'aide à domicile avec un plancher garanti par l'Etat. Nous allons, durant ce débat, avoir des propositions alternatives construites avec nos collègues députés du groupe GDR, Communistes et Républicains. Nous avons déposé plusieurs dizaines d'amendements :
Suppression de la taxe sur les salaires ;
Instauration d'un moratoire sur les fermetures de lits, de services ;
Madame la Ministre,
En conclusion, votre projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2020 est très dangereux.
Vous faites le choix de l'austérité contre l'humain et la santé ;
Vous faites le choix du libéralisme contre celui du service public.
L'argent existe, vous le savez, il est dans la poche de ceux que vous avez décidé de privilégier, ceux à qui vous faites des cadeaux depuis plusieurs mois et qui n'ont nullement besoin de plus pour l'hôpital public puisqu'ils ne le fréquentent pas. En plus d'être en l'état dangereux, votre projet de loi n'est pas fiable. Surprise de dernière minute : vous annoncez vouloir présenter des mesures le 20 novembre qui ne figurent pas dans le projet de loi. Nous nous apprêtons donc à discuter un budget incertain et donc non sincère !
Pour toutes ces raisons, Madame la Ministre, nous ne voterons pas ce budget.
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coup-de-vent · 7 years ago
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Projets délaissés
Je m'étais fixé plusieurs objectifs pour me reprendre en mains :
- Reprendre le sport
- Faire attention à ce que je mange
- Aller en cours
- Réviser
- Arrêter de fumer
Pour le moment le seul objectif que je rempli c'est d'aller en cours, ce qui est déjà pas mal en soit, mais j'ai peur de bientôt craquer, de refaire une crise, pour le moment j'arrive à me contrôler mais ça va pas durer éternellement.
Ensuite les révisions...j'ai envie de bosser mais j'arrive pas à me concentrer plus de 10min donc je laisse tomber.
Pour ce qui en est du sport, je n'ai encore pas pu m'inscrire à la boxe car j'ai la flemme de me renseigner, et la musculation j'attend de voir avec des amis. Mais aujourd'hui j'ai eu course en sport, j'ai couru 10min comme tout le monde, je suis arrivée première des filles, mais à quel prix? J'ai les poumons en feu, je continue encore de tousser 4h plus tard. 10 min putain 10 MINUTES !
La nourriture j'en ai bien trop besoin je suis dans mes périodes de boulimie alors on va remettre ça à un peu plus tard.
Et enfin la clope.. je fume toujours autant et je compense en ne fumant pas certains jours. Je pourrais arrêter mais j'en ai trop besoin.
Et à côté de ça je vois ma première taule en maths arriver et mes kilos augmenter.
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christophe76460 · 6 years ago
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AT2V : Marie, à partir de quel moment as-tu fait attention à ce que tu mangeais ?
Marie : Vers l’âge de 19 ans, quand j’étais à la fac. Mais déjà pour mon bac, je mangeais moins quand je stressais. Et puis j’utilisais la nourriture comme « chantage » envers mes parents. J’avais remarqué que quand j’arrêtais de manger, ils faisaient plus attention à moi et me permettaient plus de choses (des sorties…). Au moment de l’entrée en fac, j’ai été submergée par les responsabilités (inscriptions diverses, se débrouiller seule…) ; j’ai commencé à paniquer, à avoir peur pour les examens et donc j’ai commencé à moins manger. Et puis ça restait un moyen d’attirer l’attention de mes parents (j’habitais toujours chez eux). Surtout celle de mon père : il s’intéressait plus à moi, me montrait plus ses sentiments quand il voyait que ça n’allait pas parce que je ne mangeais pas.
AT2V : Avec le recul, tu dis donc qu’en mangeant moins, tu recherchais en fait son affection dans tes moments d’insécurité ?
Oui. Mon père n’est pas froid, mais il montre très difficilement ses sentiments.
AT2V : Ça a duré longtemps ?
1 an. Et puis un jour, ça a été l’inverse : je suis devenue boulimique, c’est-à-dire que je mangeais plus que de raison. Et là, ça a été la descente aux enfers.
AT2V : Comment ça ?
Pendant mon anorexie, j’ai beaucoup maigri (j’ai perdu 17 kilos). J’étais fatiguée, mais j’arrivais quand même à suivre mes cours. C’était mon stress et mes crises d’angoisse qui m’embêtaient, pas mon poids. Alors que quand je suis devenue boulimique, la nourriture est devenue mon obsession. J’ai vidé mon compte en banque pour m’acheter à manger (alors que j’étais économe avant). Je mangeais des quantités faramineuses, sucrées, salées, peu importait. J’avais une sensation de trou dans le ventre qu’il fallait que je comble sans cesse. Je m’achetais à manger, puis je me faisais vomir, à la fac ou chez moi.
AT2V : Tu avais peur de grossir ?
Oui. Et puis j’étais mal. Je mangeais plus qu’un garçon en activité, et tout le temps, donc ça me rendait malade. J’en étais arrivée à vomir 6 à 7 fois par jour. Je passais mon temps à ça : manger -vomir ; manger -vomir… Du coup j’ai eu beaucoup de difficultés à suivre mes cours. A la fin, à force de vomir, je crachais du sang, j’avais la trachée tout abîmée, mes doigts étaient tout écorchés… L’horreur quoi. J’avais vraiment envie de mourir, je ne voyais pas d’autre issue.
AT2V : Tes parents ne s’en sont pas rendu compte ?
Non. Ça parait bizarre comme ça, mais en réalité peu de parents se rendent compte que leur fille est boulimique. D’abord, tous les parents ne sont pas au courant que cela existe et que c’est une maladie. Pour les miens, en tout cas, c’était le cas.
AT2V : Et tes copines, tes copains ?…
Non plus. En fait les gens ne comprennent pas. Quand j’étais anorexique, on m’a fait des réflexions du style : « ben mange, t’es pas malade quand même ». Pour une maladie comme le cancer ou autre, on sait qu’il y a une cause externe, et là les gens compatissent. Mais pour l’anorexie ou la boulimie, on te dit que c’est de ta faute, que tu n’as qu’à arrêter. On ne conçoit pas ça comme une maladie. Ou à l’inverse, quand tu es anorexique, le regard des gens change sur toi : ma famille proche avait plus d’intérêt, plus de délicatesse, d’attention pour moi. Et ça, ça procure un bon sentiment. Les gens te voient, te regardent, ce que tu ne ressentais pas avant. Mais ça n’arrange pas les choses : ça t’encourage à continuer de maigrir !
AT2V : A quoi était due cette sensation de « trou » insatiable ? Tu en as une idée ?
Maintenant, je sais que c’était un manque d’amour. J’avais faim d’amour, en fait. Mais à l’époque je n’en avais pas conscience et je répondais physiquement à ce que je ressentais. Je passais tout l’argent de ma bourse dans la nourriture. J’étais consciente que je n’allais pas bien, que j’étais déprimée (mon médecin généraliste m’a mise sous antidépresseur pendant longtemps). Mais je ne savais pas la cause de mon mal-être et le médicament n’a pas eu d’effet.
AT2V : Tu n’avais pas de questions existentielles ?
Non, pas spécialement. Je trouvais que ma vie était même bien. Mes parents m’ont bien éduquée, je n’étais pas malheureuse… Il y avait juste cette obsession de mon poids et de la nourriture…
AT2V : As-tu essayé d’aller voir un psychologue ou un psychiatre pour t’aider ?
Oui, plusieurs fois, mais pour moi ça n’a jamais marché. On m’a même proposé d’aller dans une clinique spécialisée, en m’expliquant les conséquences graves sur ma santé que l’anorexie/boulimie pouvait avoir : impossibilité d’avoir des enfants si l’aménorrhée dure trop longtemps (absence des règles), déchaussement des dents… On m’a dit qu’il fallait que je sois coupée de ma famille car les conditions familiales ont une part dans l’origine de l’anorexie et de la boulimie. Mais j’ai refusé. Pour moi ça signifiait aller en prison et je ne voulais pas.
AT2V : Mais alors, comment t’en es-tu sortie ?
Un jour, dans une librairie chrétienne, j’ai vu un tract pour une conférence sur les désordres alimentaires (troubles du comportement alimentaire). J’y suis allée. Et là, c’était super. La conférencière, directrice d’une clinique spécialisée, était elle-même passée par là et du coup je me sentais comprise. A cette conférence j’ai rencontré une médecin nutritionniste avec qui je me suis tout de suite entendue et qui a commencé à me suivre. Enfin, j’ai fait la connaissance d’une jeune fille très sympa, chrétienne, qui m’a invité à son groupe de jeunes. On m’accueillait de toute part… Tout ça fait que pour la première fois, j’entrevoyais une solution à mon problème !
Par la suite, je suis allée à l’église de ma nouvelle amie. Je dois avouer que les premiers temps je trouvais bizarres tous ces gens qui avaient l’air joyeux ; il y avait un groupe de musique le dimanche, les gens parlaient de Dieu ouvertement… J’étais croyante mais sans plus et je n’avais jamais vécu ça… Mais au groupe de jeunes, je m’y suis sentie bien : les jeunes étaient sympas ; ils parlaient de leurs soucis entre eux pour se soutenir. On ne se connaissaient pas mais ils m’ont acceptée et ont prié pour que je sois guérie de ma boulimie.
Parallèlement à ça, j’ai commencé mon suivi avec la médecin nutritionniste. Elle m’a réappris à manger et m’a aidé à avoir des repères par rapport à mon poids. Elle m’a donné un truc : quand je voyais une jolie femme dans la rue, j’allais lui demander sa taille et son poids. Et ça m’a surprise de découvrir que les femmes que je trouvais minces, élégantes, étaient si « grosses ». En fait elles étaient « normales », c’est moi qui pensais de travers : je ne me trouvais jamais assez maigre. En faisant cela, ça m’a réappris à voir juste. La médecin a su aussi expliquer à mes parents ce qu’il fallait qu’ils fassent pour m’encourager. Je suis passée de 7 crises de boulimie par jour à 3 puis à aucune en l’espace d’un mois !
AT2V : Ça s’est passé aussi vite ?
Je ne sais pas expliquer. J’y ai vu l’action de Dieu. Je n’ai plus eu de vide en moi ni de voix tyrannique qui me dominait. C’est un peu comme si Dieu avait comblé mon vide intérieur par sa présence réelle, par son amour. J’ai aussi été suivie par une conseillère en relation d’aide chrétienne (cela ressemble à un suivi psy interactif). Et ça aussi, ça m’a fait sortir de ma maladie. Car j’avais un vis-à-vis, quelqu’un qui m’a aidée à comprendre ce qui se jouait en moi et qui m’apportait des réponses concrètes. Cette personne a aussi vu mes parents, et a aidé mon père à me manifester son affection.
AT2V : Alors ça y est, maintenant tu es définitivement guérie ?
Attention, je suis guérie, mais ça reste difficile. Quand on est un ancien alcoolique, on supprime l’alcool et donc la tentation avec. Quand on est boulimique, on doit manger, voir de la nourriture, préparer des repas tous les jours. C’est pour ça que ça reste dur, car il faut continuer à manger correctement. Par exemple, quand j’ai été enceinte (je me suis mariée avec un jeune de l’église), ça a été très difficile parce qu’il a fallu que je réapprenne à vivre avec une nouvelle image de moi, un nouveau reflet dans le miroir. J’ai pris 14 kg pendant ma grossesse et pour moi c’était catastrophique. Mais heureusement j’avais maintenant des gens pour me soutenir, me comprendre, me réconforter dans mon image de moi : mon mari, mes parents, mes amis chrétiens. Ça rassure énormément quand quelqu’un nous dit : « tu es belle ».
AT2V : Est-ce que tu aurais des conseils à donner à nos lectrices pour éviter de tomber dans l’anorexie ou dans la boulimie ?
Je vois plusieurs choses : d’abord savoir et se dire que notre valeur n’est pas dans notre apparence physique ni dans notre poids, même si la société actuelle nous dit le contraire. Ensuite, si elles veulent faire des régimes d’été, qu’elles se fassent suivre par une nutritioniste, une diététicienne, mais qu’elles ne le fassent pas seules. Sinon c’est la porte ouverte à la domination du poids. Enfin, qu’elles se tournent vers Dieu. Il est vivant, il veut agir dans nos vies et il peut faire des miracles si on lui donne nos vies !
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mesillusionssousecstasy · 8 years ago
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Dix-sept ans de maux : Chéri/e, écoute, maman est devenue dépressive quand elle avait quatorze ans parce qu’elle était perdue comme toute adolescente, elle fantasmait sur un chanteur homosexuel qui vivait dans un monde inconditionnellement surréaliste, elle a grandi en l’écoutant et en s’inspirant de son monde, avec le temps elle a réalisé que c’était uniquement parce qu’elle manquait d’un modèle paternel, elle était tellement flippée de son avenir qu’elle n’a pas pu aller au cinéma pendant plus d’un an sans supposer que le film qu’elle regardait était son avenir, qu’elle refusait de savoir celui qu’elle s’était imaginée aux côtés de son artiste préféré. Maman a passé sa vie à haïr son père, parce que ton grand-père avait des problèmes, autant que grand-mère, tu sais. Parfois la nuit, maman pleure encore parce qu’elle n’a jamais su leur en vouloir suffisamment pour leur parler de son chagrin. Le bruit des verres de vin contre la table résonne dans son crâne à chaque fois qu’elle n’arrive pas à dormir, certains détestent la fourchette contre une assiette, elle, c’est ce bruit qu’elle déteste. Puis, maman grandissait, et elle avait besoin de s’attacher à la réalité. Elle avait quinze ans quand elle a cherché du secours auprès de son voisin de palier dont elle était amoureuse depuis qu’elle l’avait croisé pour la première fois un soir en cherchant une baguette. D’ailleurs, je suis certain que s’il sonnait à la porte de la maison, elle ferait ses valises et s’en irait avec lui. Il l’a beaucoup aidé, du moins c’est ce qu’elle pense, même si au fond d’elle elle sait que non. Elle a fait le grand pas, elle a vu quelqu’un. Tu sais, une psychologue, comme elle voulait être quelques années ensuite. Puis, maman a déconné, comme à chaque fois qu’elle est amoureuse, elle lui a laissé une lettre sous la porte, la lettre faisait trente pages. Maman n’avait que quinze ans. Maman touchait le fond, son voisin lui disait, qu’elle faisait une crise d’adolescence. Maman était au lycée, maman souffrait, de sa bêtise passée. L’année de ses quatorze ans, jamais elle n’oubliera, quand elle s’est amusée à mettre des somnifères dans les verres de ses amis à une soirée. Des amis qu’aujourd’hui, elle hait, elle avait tenté de les détruire autant qu’ils l’ont fait l’année d’après. Comme si elle avait su. Maman était devenue timide, elle ne parlait pas, demeurait silencieuse, la seule personne à qui elle s’ouvrait était ta marraine, ou son voisin. Le voisin a foutu le camp, il ne pouvait plus regarder ce désastre amoureux, elle se faufilait entre ses jambes comme Lolita de Nabokov. Maman avait seize ans, elle allait mieux. Maman commençait à tenir des cigarettes entre ses doigts frigorifiés. Maman souriait, maman parlait et de temps en temps elle pleurait. Maman s’accrochait, elle tenait des crayons autant que des cigarettes, des stylos et écrivait. Maman tombait amoureuse, maman avait des chagrins d’amour, maman rencontrait des garçons sur internet. Maman aimait la drogue, maman est allée à Londres, elle en est revenue défoncée en oubliant même la hauteur du Big Ben. Maman a rencontré un marin, une contrefaçon du voisin, une contrefaçon qu’elle chérit encore aujourd’hui, comme si Dieu lui avait enfin permis d’avoir un ami. Maman est tombée amoureuse, maman est tombée d’un escalier durant plus de six mois, quand elle est arrivée en bas, elle pleurait car jamais on ne lui avait dit je t’aime. Maman aimait partir en Pologne, elle aimait se couper du monde, elle a toujours aimé hiberner, comme si son entourage lui nuisait l’âme. Maman se faisait du mal, souvent elle refusait de dormir sur le ventre, ses cuisses étaient parfois en sang. Maman s’est perdue dans ses pensées, une nuit d’été, dans une ville qui lui avait été inconnue, elle a atterri à l’hôpital, le bras bandé, elle a parlé à quatre murs durant une heure, quand elle en est sortie, elle a souri. Maman avait seize ans quand on lui a dit qu’elle était borderline. Ce n’était qu’un mot pour décrire ses maux. Maman avait peur de l’abandon, Maman faisait des crises de nerfs, Maman était toujours en colère, Maman faisait de la boulimie, Maman haïssait son corps, Maman était accro à la cigarette, Maman était une fille facile. Maman a eu dix-sept ans, on lui a dit, je crois que tu guéries. Maman y a cru, parfois elle allait bien, parfois elle n’était pas là. Maman a aimé, Maman a beaucoup aimé, elle aurait aimé que lui aussi, Maman a aimé quand même, même quand il lui faisait mal. Maman allait chez un garçon, juste pour jouer, elle voulait connaître ce qu’elle n’avait jamais connu. Elle offrait son corps tandis que d’autres auraient dû lui offrir des fleurs. Maman souffrait du manque d’amour, Maman avait besoin d’une présence masculine. Les filles l’admiraient, les garçons ne la regardaient que pour jouer. Maman a commencé à prendre de la codéine. Maman écoutait la radio des nuits entières tout en fumant ses Marlboros, après avoir avalé trois ou quatre cachets. Maman écrivait beaucoup, Maman n’a jamais cessé de faire l’amour aux mots. Maman a toujours écrit, Maman a toujours laissé une trace de sa vie. Maman avait dix-sept ans et elle devait le stéréotype d’une débauchée. Maman perdait l’esprit, Maman pleurait la sienne. Maman faisait de son mieux, elle voulait oublier. Maman avait tellement souffert. Maman rencontra un garçon, il l’a rendu heureuse sept jours, autant de jours que Dieu a crée la terre, son Dieu a elle a détruit la sienne en autant de temps. Maman aimait tous les garçons, Maman voulait se faire aimer, Maman essayait, Maman n’avait toujours pas entendu je t’aime. Maman creusait son trou. Maman attendait. Maman a perdu sa virginité, alors qu’elle n’en avait pas envie. Maman a fermé les yeux et a attendu, allongée sur une table de cours. Maman pleure encore quand elle le revoit la regarder dans les yeux. Maman pleure encore la tendresse qu’elle n’a jamais reçue dans un tel acte. Maman a failli tomber enceinte. Maman a essayé de s’en remettre. Maman a essayé d’arrêter la codéine. Maman n’a pas réussi à arrêter de fumer. Maman s’est mise à réfléchir en faisant du vélo. Maman était une adepte des cafés en terrasse à Paris, les jours de pluie comme les jours ensoleillés. Maman ne connaît pas le reste de l’histoire mais Maman s’est battue avec la vie, Maman se bat, Maman n’arrêtera jamais de se battre.
Spleen-nocturne (Tumblr blog)
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payetonpsy-blog · 7 years ago
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Nan mais vous êtes homme ou femme, faut choisir, pareil, vos relations avec plusieurs mecs là, c’est une pute qui fait ça, choisissez-en un et arrêter-vous là... On ne peut aimer qu’une seule personne à la fois hein!!”
Il y a un peu plus de 2 ans, je suis allé·e voir un psychiatre parce que je n’étais vraiment pas bien dans ma peau. Il m’a prescrit des antidépresseurs (qui, je l’ai appris après, étaient extrêmement dangereux pour des adolescents en causant notamment des suicides). Je lui avais tout dit sur moi: ma non-binarité, le fait que je suis polyamoureux·se... tout. Quand je lui ai dit que les médocs me coupaient l’appétit, il a dit “pas grave, vous avez des réserves” en rigolant alors que je suis atteint·e de boulimie depuis des années et il le savait...
A cause des médocs, j’ai failli me suicider donc internement en HP. Le psy de l’HP me dit ceci. J’ai depuis perdu toute confiance en le système de santé et ne parvient pas à aller chez un psy alors que j’en ai besoin.
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votresante · 4 years ago
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11 Conseils pour Arrêter de la suralimentation compulsive
Vous souvenez-vous de la dernière fois que vous avez mangé tellement vous vous êtes senti malade? » Parfois empanturramos lors d’occasions spéciales, comme les anniversaires, les anniversaires, noël et le nouvel an, ou à tout moment de voeux, et c’est très bien.
Mais, si vous manger de façon compulsive souvent, après une dure journée, c’est peut-être temps pour vous de revoir vos habitudes alimentaires et de comprendre pourquoi nous mangeons dans l’excès de, vous allez être dans votre vie.
Beaucoup de gens qui veulent perdre du poids à souffrir d’un grave problème de manger de façon compulsive, et si vous décourager à la première rechute. Il peut même vous faire manger encore plus.
Ceux qui ne sont pas en mesure de contrôler le temps de manger, c’est à peine va atteindre d’excellents résultats dans la perte de poids et c’est pourquoi il est important pour vous de connaître quelques conseils pour arrêter de la suralimentation compulsive.
Pourquoi est-il que certaines personnes de manger de façon compulsive?
Depuis que nous sommes nés, de l’alimentation est étroitement liée à nos émotions. Nous avons créé un lien, téter, manger, célébrer, et même pour nous consoler dans toute la difficulté.
Cependant, ceux qui mangent de façon irrépressible d’avoir de la nourriture que leur seule sortie pour composer avec les émotions et les problèmes. En conséquence, ces personnes généralement le sentiment que leur alimentation est hors de contrôle et commencer à réfléchir trop sur la nourriture. Cela les conduit à avoir honte, et il peut même se sentir déprimé après avoir manger, et manger, c’est leur seule façon de traiter avec les mauvais sentiments, ils sont capables de manger plus.
C’est très différent de ce sentiment naturel qui nous avons, après les excès après le dîner de Noël, par exemple, que c’est une occasion spéciale qui est pratiquement tourne autour de la nourriture. Nous sommes désolés, mais nous ne nous sentons pas de honte, ou de nous déprimer par ce que nous avons fait.
La boulimie est un trouble de l’alimentation au sérieux, et qu’il est directement lié à notre état émotionnel, mais il ya des gens qui ne mangent que de façon impulsive, sans avoir ce problème.
Voir aussi:
De toute façon, manger trop peut causer beaucoup de dommages à notre corps et à notre estime de soi, et c’est pourquoi nous avons dans la police, et d’apprendre comment arrêter de manger de façon compulsive à se débarrasser de cette habitude qui est nuisible à notre santé.
Comme c’est l’habitude de trop manger, de démarrer?
Dans certains cas, les gens tout simplement ne se rendent pas compte qu’ils sont en train de manger dans une manière exagérée, ou est-ce parce qu’ils mangent distrait, et ne semblent pas réaliser que vous avez trop mangé, ou est-ce parce que vous êtes vraiment pas au courant du problème.
En général, les plus-manger peut être liée à une perception négative de leur propre corps. Inconsciemment, la personne que vous voyez dans un sens, c’est désagréable et vous ne vous sentez pas motivé pour manger moins de nourriture, d’aller manger à vous de plus en plus.
De nombreuses fois, c’est une habitude de la nourriture-compulsif (toc) peut commencer après une période de temps un régime est trop restrictif. Les Experts disent que les gens qui sont sur un régime alimentaire et vous n’êtes pas autorisé à manger parfois, les aliments que vous appréciez qui sont plus susceptibles de sortir de la ligne, et, depuis, il bousille votre régime alimentaire, seulement restreindre aussi, la création d’un cycle sans fin.
Est-il possible d’être accro à la nourriture?
Des études récentes suggèrent qu’il existe quelques types de nourriture qui peut être addictif, comme c’est le cas avec des aliments riches en matières grasses, le sucre et le sel au goût.
Ces ingrédients qui peuvent causer des effets néfastes sur le cerveau qui semblent être les effets causés par la drogue. Des études menées dans les laboratoires pour indiquer que le rat peut sentir les signes de l’addiction au sucre, et de manger de façon compulsive.
Conseils pour arrêter de la suralimentation compulsive
1. Vous devriez obtenir de l’aide
Il peut être très difficile d’arrêter de manger compulsivement, sans l’aide d’un professionnel, surtout si le problème a à voir avec la question à l’esprit. Avec l’aide d’un professionnel de la santé peut vous aider à déterminer quels sont les déclencheurs, et si vous mangez trop.
En plus de cela, un entretien avec un psychologue qui pourra vous aider à créer une image plus positive de vous-même et vous donner une augmentation de la motivation à manger plus sainement et avec modération.
2. La réponse est dans le régime alimentaire
Il ya une bonne chance que la boulimie a obtenu juste pour le plaisir d’une alimentation, un régime alimentaire différent ne va pas vous aider, et vous pouvez même obtenir de la manière.
Surtout dans le cas des régimes restrictifs où vous ne pouvez pas manger de toutes sortes de nourriture à manger, ou de manger dans de très petites quantités, il va vous donner encore plus de raisons de vouloir manger que les aliments interdits, et si vous le faites manger, il aura pour conséquence de vous motiver encore plus.
3. Manger plus lentement
Généralement, ceux qui mangent de façon compulsive ont également venir très vite. Une étude réalisée à l’Université de Floride a constaté que le cerveau d’une personne avec un corps maigre prend environ 12 minutes pour recevoir le premier signal de satiété, mais ce nombre est à 20 minutes, ou plus longtemps si la personne est obèse.
Quel que soit votre type de corps, en mangeant plus lentement, il faudra du temps pour votre corps à reconnaître que vous êtes en train de manger et vous donnera le signal de satiété, de sorte que vous ne mangez pas trop sans s’en rendre compte.
4. Manger dans des assiettes plus petites
Il ya quelques façons de manger moins sans s’en rendre compte par tromper votre cerveau. Lorsque vous mettez moins de nourriture dans un repas, le cerveau est capable d’identifier qu’un repas ne suffit pas, comme il a été beaucoup utilisé amplement à la plaque.
Si vous utilisez un plat plus petit, le même montant va paraitre beaucoup plus grand, et votre cerveau vous dira que vous avez besoin de manger plus.
5. Le choix de la nourriture plus satisfaisant
À partir des aliments que plein de calories, en petites quantités, c’est à dire tout les aliments avec trop de sucre ajouté ou de la graisse, comme la crème glacée, le lait au chocolat, les collations salées, entre autres.
Comme de plus en plus et plus de fibres et de protéines, il est dans ce que vous mangez, plus votre sentiment d’être complète sans avoir à manger plus que nous le devrions.
6. Avant de commencer à manger, tournez votre attention vers
Quand vous pensez que vous avez besoin de manger, prendre un moment pour réfléchir, honnêtement, si vous avez faim de la vérité. De nombreuses fois, les gens sont tellement concentrés sur ce qu’ils veulent manger, ils ne semblent pas comprendre qu’ils ne sont pas affamés, vraiment, mais ils ont juste envie de le manger.
C’est le meilleur signe que vous sont en train de manger de façon compulsive de manger sans avoir faim. Il est souvent lié à des problèmes émotionnels. Pour cette raison, afin d’arrêter de manger compulsivement, il est essentiel d’être conscient de pourquoi vous mangez chaque fois que vous mangez.
7. Le revenu d’un couple de testaments
Restreindre la consommation d’aliments ne faire que vous voulez encore plus, et dans le cas de quelqu’un d’autre que vous, vous essayez de le supprimer, le résultat est le même.
Laissez-vous faire plus de bien que de mal, pour sortir de la baie, mais pour le faire efficacement. Cela vous donnera plus de motivation pour continuer, et en même temps, ce qui peut réduire les signes de stress et d’anxiété.
8. Ne pas se concentrer autant sur la balance
Les personnes qui souffrent d’aucun trouble de l’alimentation ont tendance à peser plus souvent. Cela peut être décourageant, surtout si vous essayez d’arrêter de la suralimentation compulsive, et un suivi des habitudes alimentaires plus saines.
De se peser tout le temps, ça n’aide pas si votre problème est psychologique, il vous donnera envie de manger, quand vous remarquez que vous n’avez pas perdu le poids que vous voulez. Pour cette raison, tenir à l’écart de l’échelle pour un certain temps.
9. La nourriture peut être de carburant, mais il doit aussi être agréable
Habituellement, les gens dans le régime alimentaire allez commencer à voir les repas comme un moment d’être désagréable, car il est plus à l’aise que satisfait. C’est très intimidant.
Essayez de profiter de l’occasion pour essayer de nouvelles recettes pour les ingrédients que vous aimez, et ne pas manger des aliments que vous n’avez pas beaucoup de sympathie juste parce qu’ils sont en bonne santé pour le corps. En plus de cela, rester loin des aliments ou des produits qui promettent moins de calories que pour cette raison, qu’ils n’ont pas un goût de le bon, et le fait de manger d’entre eux ne va pas être agréable.
10. Venez fêter votre victoire et de garder un esprit positif
De nombreuses fois, lorsque nous sommes confrontés à un problème, on oublie de célébrer les petites victoires, réflexion sur les grands objectifs qui n’ont pas encore atteint. Pour être plus positif et de vous donner le crédit que vous méritez.
De la même manière, quand vous avez une rechute, ne pas avoir honte de cela. Vous comprenez que pour surmonter un trouble de l’alimentation d’arrêter de manger de façon compulsive n’est pas facile, et à cause de cela, vous devez être persistant et à l’assistance des personnes proches de vous, et, si possible, par un professionnel pour vous aider.
11. Pour se concentrer sur l’action
Tellement plus que est-à-dire, que voulez-vous arrêter de manger compulsivement, vous aurez besoin de prendre des mesures. Les actions seront beaucoup plus de valeur que de simples mots.
Lorsque vous allez à l’épicerie, acheter de la nourriture saine, et que vous serez satisfaits, qui est, les aliments qui sont riches en protéines et en fibres. Si vous le pouvez, s’impliquer dans le processus de la préparation des repas.
Moins d’aliments transformés et les aliments peu nutritifs dans votre maison, les chances sont que vous allez commencer une habitude d’une alimentation saine est la plus grande.
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Comme les conseils?
Avez-vous des difficultés à arrêter de manger compulsivement? Vous avez vraiment souffrir avec ce trouble de l’alimentation? Ce que nous avons essayé de faire pour le changer? S’il vous plaît commentaire ci-dessous.
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Cet article a été publié pour la première fois dans 11 Conseils pour Arrêter de la suralimentation compulsive
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