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je réalise aujourd'hui avec du recul que je n'ai jamais vraiment su aimer les gens stables, épanouis, sans démons. chaque fois que mon cœur est tombé pour quiconque ici-bas, c'était pour des âmes bien trop torturées, des cœurs abîmés parfois même brisés, des esprits épuisés, des écorchés vifs, des êtres humains aux multiples sentiments meurtris. il faut croire que j'ai toujours trouvé de la beauté à la souffrance.
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Je tourne en rond, ces images tournent en boucle dans ma tête, je voudrais être ailleurs, ma tête est ailleurs.
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J'ai la joie de dire que ce jour est arrivé, 2ans plus tard je l'ai oublié.
Un jour je l'oublierai je me le promets. Un matin je me réveillerai et je n'y penserais plus, quand je marcherai dans la rue plus rien ne me rappellera nos discussions ou son visage, lorsque j'entendrais son prénom je ne me retournerai plus dans l'espoir de l'apercevoir. Un jour je l'aurais oublié et je referais ma vie.
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Souvenir
Ma tête posée près de son cou, La chaleur de sa peau contre ma joue.
Le bruit des vagues, Soudain je divague.
Mon souffle s'arrête, Elle a tourné la tête.
Une brise m'ennivre de son parfum, Contre la mienne je sens sa main.
Mon coeur rate un battement, Je souris bêtement.
Je l'écoute parler, Complètement subjuguée.
Je vois ses lèvres, sa bouche, J'aimerais que les miennes la touche.
Un fragment de bonheur, Soudainement j'ai peur.
Je grave ce moment dans ma mémoire, Je sais que je ne vais pas la revoir.
Le temps s'est arrêté, Je veux rester là pour l'éternité.
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Ça fait bientôt 7 ans que mes parents sont divorcés. 5ans que je vis seule avec mon frère. 7 ans que mon frère est en dépression. 7ans que ma mère affirme, sans même me poser la question, que je vais bien, parce que toute l'attention est portée aux "problèmes" de mon frère et que si j'osais aller mal alors le monde s'écroulerait. 7ans que je suis enfermée dans ce rôle dans sa tête. 7ans que je peux pas me plaindre, que j'ai pas le droit à l'échec, que je dois correspondre aux attentes de tout le monde. 7ans que je me retiens d'exploser parce que je sais qu'elle ne s'en remettrait pas si elle entendait tout ce que j'ai à lui dire. Alors je reste là, à endurer ses crises existencielles, à entendre ses reproches sur le fait que je ne suis pas respectueuse de "tout ce qu'elle fait pour moi". 7ans que les rôles sont inversés et j'en ai marre.
Parfois j'aimerais pouvoir en parler à quelqu'un, mais j'aime pas que les gens sachent ce genre de détails, alors ça restera entre toi et moi tumblr.
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La mémoire de ses yeux qui me collent à la peau.
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11:37
Faut que j'arrête de boire aussi souvent là, il y a trop d'alcool dans mon sang ces derniers temps
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Elle me manque un peu. Ça me manque de pas lui parler.
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Le barrage.
J'ai l'impression d'être comme un barrage fissuré. La première fissure on la camoufle. La seconde pareil. Et ainsi de suite. Mais une fois qu'il y a trop de fissures, que le barrage est fragilisé, la pression augmente, jusqu'à devenir incontrôlable. Puis le barrage explose pour la faire redescendre. Seulement je sais pas trop quand est-ce que la pression deviendra trop grande pour être camouflée, je sais pas quand est-ce que je vais exploser, ni la quantité d'eau qui devra s'écouler pour que la pression retombe. En attendant de savoir, je continue de mettre du scotch sur les fissures pour essayer de faire tenir le barrage.
Ps : si vous connaissez une bonne marque de scotch, je suis preneuse.
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I don’t wanna be your friend.
I wanna kiss your lips.
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“Quelqu'un vous manque n'est-ce pas ? C'est écrit en gros caractères dans vos yeux.”
— Marc Levy (via sombreputance)
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J'ai rêvé d'elle cette nuit. La revoir, en détails, sa voix, son parfum, son regard posé sur moi. Me fera-t-elle toujours autant d'effet?
Elle me manque tellement...
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quand tu as cessé de partager mon quotidien, la douleur était partout. elle me collait à la peau, ne me lâchait pas, elle accompagnait mes nuits, chacune de mes insomnies. je rêvais de pouvoir t'occulter de ma mémoire, effacer chaque trace de ton passage dans ma vie, simplement t'oublier.
puis le temps est passé et j'ai réalisé que cela était impossible. tu n'étais plus là physiquement mais c'était tout comme. je te voyais dans certains sourires, dans certains regards, dans certaines démarches. je te ressentais dans certains romans, certaines musiques, certains tableaux. tu réapparaissais dans certaines manies que tu m'avais laissé, dans certains mots que tu avais tant répété qu'ils ne pouvaient pas être prononcés sans que je t'y assimile. chaque détail de l'Univers me ramenait un peu à toi. et ce n'était pas triste, ni vraiment douloureux au final. nous nous étions aimés, et puis la vie nous a séparé, comme grand nombre de destins autrefois liés. cependant, que tu sois là ou non, tu avais laissé ta marque, ton empreinte dans ma mémoire et dans mon cœur. et ça c'était beau, car bordel, l'amour est précieux et si rare. je ne pouvais pas me permettre d'oublier l'avoir un jour ressentis au plus profond de mon être.
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