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Comment aménager son atelier de bricolage ?
Aménager un atelier de bricolage est une tâche passionnante et essentielle pour quiconque souhaite maximiser l'efficacité et le confort lors de ses projets. Que vous disposiez d'un grand garage ou d'un petit espace, l'agencement de votre atelier peut faire toute la différence. Voici quelques conseils pour créer un espace de travail fonctionnel, organisé et agréable.
1. Évaluer l'espace disponible
Avant de commencer l’aménagement, il est crucial de réévaluer l'espace disponible. Mesurez soigneusement votre atelier pour optimiser chaque mètre carré. Sous l'escalier, dans les combles ou même dans un petit appartement, chaque espace peut être transformé en un atelier de bricolage efficace avec les bonnes stratégies d'aménagement.
2. Planifier l'agencement du mobilier
Un plan de travail central est indispensable pour la plupart des projets de bricolage. Choisissez une table de travail robuste, avec des tiroirs et des étagères pour garder vos outils à portée de main. Utilisez des meubles modulables pour vous adapter aux besoins changeants de votre atelier. Les étagères murales et les placards permettent de gagner de la place en hauteur, tandis que les meubles de rangement peuvent être placés contre les murs pour libérer l'espace au sol.
3. Organiser les outils et fournitures
Pour éviter le bazar, il est important d’avoir un rangement bien organisé. Installez des étagères et des caissons pour les outils, avec des boîtes de rangement ou des paniers pour les petits objets comme les vis et les boulons. Les crochets et les rails de suspension sont idéaux pour accrocher des outils comme des scies et des perceuses, tout en libérant de l’espace sur le plan de travail.
4. Optimiser l'éclairage et la ventilation
Un bon éclairage est essentiel pour travailler confortablement et en toute sécurité. Éclairez votre espace avec des lampes LED ou des spots qui éclairent bien le plan de travail. Assurez-vous également d'avoir une bonne ventilation, surtout si vous utilisez des produits chimiques ou de la peinture. Un ventilateur ou une aération adéquate peut prévenir les problèmes de santé.
5. Choisir des rangements pratiques et adaptables
Optez pour des rangement astucieux comme des étagères coulissantes, des meubles de rangement avec des portes coulissantes, ou des armoires murales pour les outils et les matériaux. Les bacs et caissons modulables permettent de gagner de la place tout en offrant des solutions de rangement flexibles. Pensez à intégrer des roulettes sur certains meubles pour les déplacer facilement.
6. Créer des zones de travail spécialisées
Si votre atelier est assez grand, envisagez de délimiter des zones spécifiques pour différents types de travaux. Par exemple, une zone pour le travail du bois avec une scie circulaire, une autre pour la peinture, et une section pour le jardinage avec des pots et des outils de jardin. Cette organisation vous permettra de travailler plus efficacement et de réduire les risques d’encombrement.
7. Intégrer des éléments décoratifs et fonctionnels
N’oubliez pas que l’aménagement peut aussi être esthétique. Ajoutez des éléments décoratifs comme des étagères murales pour les objets déco ou des panneaux pour afficher vos projets en cours. Les meubles multifonctions ou les caissons avec des finishes décoratifs peuvent aussi contribuer à un espace à la fois fonctionnel et agréable.
Conclusion
Aménager votre atelier de bricolage avec soin permet de gagner de la place, d'optimiser l'espace disponible et d'améliorer votre efficacité. En utilisant des solutions de rangement pratiques, en planifiant l'agencement et en choisissant des meubles modulables, vous créerez un environnement propice à vos projets de bricolage. N'oubliez pas que chaque atelier est unique, et les meilleures solutions seront celles qui répondent à vos besoins spécifiques et s'adaptent à votre espace.
Avec ces conseils, vous êtes prêt à transformer votre espace de travail en un atelier parfaitement aménagé pour tous vos projets de bricolage.
FAQ(s)
1. Quels sont les éléments essentiels pour aménager un atelier de bricolage ? Pour aménager un atelier de bricolage fonctionnel, voici les éléments essentiels :
Plan de travail solide et spacieux
Étagères et meubles de rangement pour organiser les outils et matériaux
Éclairage adéquat pour travailler dans de bonnes conditions
Rangements modulables et solutions de stockage comme des boîtes, des bacs, et des crochets
Ventilation pour une bonne circulation de l'air
2. Comment optimiser l’espace dans un petit atelier de bricolage ? Dans un petit espace, il est crucial de maximiser chaque mètre carré. Voici quelques astuces :
Utilisez des étagères murales et des armoires murales pour libérer de l’espace au sol
Optez pour des meubles modulables et pliables qui se rangent facilement
Installez des rangement coulissants et des tiroirs sous le plan de travail
Exploitez les espaces perdus comme sous l’escalier ou dans les combles
3. Quels types de rangements sont les plus efficaces pour un atelier de bricolage ? Pour un atelier de bricolage bien organisé :
Les étagères murales et les armoires permettent de ranger les outils en hauteur
Les caissons et les bacs avec des étiquettes pour organiser les petites pièces
Les crochets et les rails de suspension pour accrocher des outils comme des scies ou des perceuses
Les tiroirs et les rangement coulissants pour un accès facile aux fournitures
4. Comment choisir le bon éclairage pour mon atelier de bricolage ? Un bon éclairage est crucial pour travailler en toute sécurité :
Utilisez des lampes LED ou des spots qui offrent une lumière vive et homogène
Assurez-vous que l’éclairage est bien réparti sur le plan de travail et les zones de travail spécifiques
Envisagez des luminaires réglables pour ajuster l’intensité de la lumière selon les besoins
5. Quelle est l’importance de la ventilation dans un atelier de bricolage ? La ventilation est essentielle pour :
Éviter l’accumulation de poussières, de fumées et de vapeurs nocives
Assurer une meilleure qualité de l’air, surtout si vous utilisez des produits chimiques ou de la peinture
Prévenir les risques de surchauffe des outils électriques
6. Comment intégrer des éléments décoratifs tout en restant fonctionnel ? Pour allier esthétique et fonctionnalité :
Choisissez des meubles de rangement avec des finishes décoratifs comme le chêne ou le laqué
Utilisez des étagères murales pour exposer des objets déco tout en offrant du rangement
Ajoutez des panneaux ou des tablettes pour afficher vos projets en cours de manière organisée
7. Quels sont les avantages des solutions de rangement modulables ? Les solutions de rangement modulables offrent plusieurs avantages :
Adaptabilité aux besoins changeants de votre atelier
Gain de place en permettant de réorganiser facilement l’espace
Possibilité de personnaliser les rangements en fonction des outils et matériaux que vous utilisez
8. Comment organiser un espace de travail multifonctionnel dans un atelier de bricolage ? Pour un espace de travail multifonctionnel :
Délimitez des zones spécifiques pour chaque type de travail (par exemple, une zone pour le travail du bois et une autre pour la peinture)
Utilisez des meubles multifonctions qui servent à la fois de rangement et de plan de travail
Intégrez des rangements escamotables pour libérer de l’espace lorsqu’ils ne sont pas utilisés
À voir aussi : Comment apprendre le bricolage ?
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Couverture #2 - D'une nuit à l'autre
Je réalise en sondant mon esprit pour écrire ces phrases que le premier thème, proposé par Emma parfaitement bourrée sur le retour du Sucre, rappelons-le, est bien plus profond et parlant que ce que je pensais initialement. Tant mieux, c’est exactement l’une des raisons pour lesquelles je voulais essayer ce concept. Sans creuser trop, voilà le constat qui sera mon guide : entre couverture d’hiver et couverture sociale, il n’y a qu’une plume.
C’est cette dualité effrayante entre l’âge enfant et l’âge adulte, que l’on s’entête à dissocier alors qu’elles sont deux phases coexistantes au sein d’une même âme.
C’est une nuit noire à Régnié, l’air froid de l’hiver qui passe au travers des fenêtres anciennes et grinçante et qui m’oblige à tirer à contre-cœur la vieille couverture rose pâle (délavé serait plus juste) sous mon menton, où la poussière incrustée dans la matière urticante me chatouille les narines. On a tous ces vieilles couvertures qui grattent à la maison, ou nichées confortablement aux creux de nos souvenirs. Et puis quelques nuits plus tard, peut-être deux ou six mille, mon Régnié est devenu une villa 5 étoiles aux fenêtres à triple-vitrage, où les couvertures sont sûrement parfaitement légères et lourdes à la fois, et sentent la lessive fraîche et pourquoi pas la lavande.
Encore quelques lunes s’enchaînent et me voilà à la capitale, épuisée par une nuit qui n'a jamais vraiment commencé, à regarder les prix des opérations d’urgence de l’Hôpital Saint-Antoine pour essayer de calculer combien mon tendre au bloc devra payer sans couverture sociale. C’est la même sensation dans les tripes que la vieille couverture sur le menton je crois, « ça va passer mais vraiment c’est pas ouf ».
En effet, ça passe.
Tout passe, ou presque. Ce qui reste avec certitude, c’est cette sensation inégalable de confort quand, nichée sous la couverture, j’ai l’impression d’avoir atteint l’exacte température du bonheur. Avec supplément tonnerre et pluie sur les fenêtres si le ciel le veut bien, mais là c’est tellement l’extase que c’en est presque interdit. Et que ce soit à 10 ans dans la chambre à trois lits, bercée par le chant bizarrement rassurant d’une chouette tout près des combles, ou à 25 ans dans mon appartement qui pue un peu la clope aux côtés de mon hibou des villes, la sensation est la même. Les refrains chaleureux de l’impermanence.
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Drôles de Dames PART III
A/N - I can’t find the request / comment where you asked for the part III of Drôles de Dames @immortal-velociraptor but don’t worry I saw it! And here is the next episode of Maggie’s, Y/N, Victor, Bruce, Selina, Alfred, Jim and Ed adventures.
Warning : Text in French, bad french words, violence, Gotham (yeah i’m still sure it can be a warning alone).
Word count : 4,851
I hope you’ll like it my dear! Take care.
Here are the :
PART 1
PART 2
Drôles de Dames III

Précédemment - ... “Puisque tu as trouvé Ed, si on faisait un petit tour, Jim ?” Demanda d’une voix faussement amicale Y/N en se tournant vers l’inspecteur du GCPD. “Je crois que nous avons beaucoup de choses à nous dire et potentiellement des intérêts en commun.” Clairement, il n’avait pas le choix.
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“...”. La seule parole intelligible qu’il lui était possible de formuler. Présentement assis dans un fauteuil au beau milieu d’un appartement situé en plein cœur de la ville, juste en face du pôle financier, Jim Gordon se sentait au comble du malaise. Ses mains, posées sur chacune de ses cuisses transpiraient abondamment tandis qu’il observait le surprenant trio qui lui faisait face.
Egalement assise dans un des fauteuils confortables, Y/N le scrutait comme un puma prêt à bondir sur sa proie et à la dépecer pour son propre amusement avant de tout simplement l’engloutir.
Juste à sa droite, assis sur le dossier du canapé, Victor le tenait en joue d’une main, la scène lui donnant un air de déjà vu particulièrement désagréable. Enfin, gravitant autour d’eux, Maggie s’activait à leur servir du thé, récoltant une oeillade incrédule de l’autre femme.
“Arrête, tu me files la chair de poule, on dirait la réincarnation de Liza”, frissonna-t-elle en grimaçant, récoltant un bref éclat de rire moqueur de son compagnon.
“Liza ?” Demanda Maggie tout en suspendant sa main tenant une tasse fumante au-dessus de la table. Y/N hocha la tête et soupira. “Une sorcière, cette gamine, tout droit évadée d’un livre de recette des années 50 de Carmine, crois moi ce n’était pas beau à voir.”
La fleuriste leva les yeux au ciel à son explication et dodelina de la tête avant de reprendre ce qu’elle était en train de faire. “Excuse moi d’être bien élevée et de proposer à ton invité quelque chose à boire. J’oubliais que, pour toi, la politesse se résume à un bonjour ou un sifflement, suivi d’une arme braquée sur la tempe.” Reprocha-t-elle en se redressant et en croisant les bras tout en la foudroyant du regard.
“HA !”, Ricana la plus âgée en extirpant de sa poche une fiole d’alcool qu’elle versa généreusement dans sa boisson sous son oeil noir. “Je me vois mal discuter du beau temps avec mes cibles et leur proposer une tasse de thé, Mags, ce ne serait plus de la politesse mais du sadisme pur à ce stade... attends... en fait l’idée me plaît. Il faut qu’on essaye la prochaine fois Dearest!” S’enjoua-t-elle en claquant des mains, récoltant un nouveau gloussement de Victor et une main fracassée contre son propre front pour Maggie.
“Où est Nygma ?” Parla enfin Jim, ne supportant plus ce faux tableau de normalité (autant qu’il était possible au sein de cette maudite ville). Son intervention eue le mérite d’attirer l’attention des trois autres. “Dans la salle de jeu”, répondit Victor, arborant un sourire tout sauf rassurant. “Il ne devrait pas tarder à se réveiller et à couiner comme un hamster apeuré”, ajouta-t-il.
Jim cligna des yeux stupidement avant de sentir tout son corps être secoué par un frisson d’horreur. Voulait-il savoir ce que l’autre homme entendait par salle de jeu ? Pas vraiment, il avait une bonne idée de ce à quoi elle pouvait bien ressembler, il lui suffisait de penser à Butch et à ce qu’il lui était arrivé pour cela.
L’inspecteur se racla la gorge et décida de tenter de dialoguer avec la seule personne qu’il estimait à priori saine d’esprit dans la pièce. “Pourquoi est-ce que je suis ici, Maggie. Est-ce que cela a un rapport avec Bruce et ce que vous faisiez dans les Narrows cet après-midi ?”
Il nota le regard que jeta la jeune femme au duo d’assassins, comme si elle attendait leur aval pour lui répondre. Un peu comme le ferait un enfant cherchant le soutien parental. Victor haussa les épaules, tout comme Y/N, qui lui fit un signe du menton qu’il supposait être un encouragement à lui répondre.
Ce constat le glaça autant qu’il l’enragea. Maggie était déjà bien trop impliquée dans l’underground. Et il ne supporterait pas d’être le témoin d’une nouvelle descente aux enfers, Barbara lui suffisait amplement, merci beaucoup.
“Bruce...” Commença finalement la fleuriste en s’asseyant dans un troisième fauteuil sur le côté, entre les canapés du duo et du sien. “... A besoin de nous pour une affaire concernant une organisation”, poursuivit-elle en le regardant intensément. Tellement, qu’il se redressa par réflexe, il avait l’impression d’être un suspect cuisiné par un de leur flics du GCPD.
“Comme tu as mentionné le fait que tu cherchais également des informations au sujet d’une organisation, nous supposions qu’il pourrait s’agir de la même”, termina la jeune femme avant de prendre une gorgée de son thé.
Il hocha la tête, signifiant ainsi qu’il comprenait son raisonnement, mais resta silencieux, tentant d’ignorer les regards toujours braqués sur lui. Le cuir du canapé où étaient assis Y/N et Victor couina lorsque la tueuse à gage s’avança jusqu’à venir poser des avants-bras sur ses genoux sans jamais le lâcher des yeux.
Il dû déglutir et se forcer à conserver une respiration normale malgré son coeur cognant contre sa cage thoracique. Lorsque le bruit de la sécurité de l’arme de Victor brisa le silence, il sentit une goutte de sueur glisser le long de sa tempe.
Il ne pouvait pas prendre le risque de dévoiler ce pourquoi il cherchait Nygma. Hos de question d’impliquer encore plus de personnes dans cet immense bourbier et en particulier des personnalités aussi volatiles que celles des deux tueurs.
Une nouvelle fois le cuir couina lorsqu’elle se pencha lentemennt vers lui, son buste jetant une ombre au-dessus de la table en verre et de leurs tasses. “Nerveux, Jimbo ? Pourquoi refuser de nous parler, aurais-tu peur d’y laisser des plumes?”
Son choix de mots était tout sauf anodin, il le savait mais ne pu s’empêcher de sursauter furieusement en entendant sa métaphore. Il se maudit mille fois pour sa réaction, en particulier lorsqu’il vit le sourire au comble de l’amusement de Y/N et, par dessus son épaule, celui mauvais de Victor.
Harvey avait sans doute raison lorsqu’il le traitait de livre ouvert. Il ferait décidément un bien piètre joueur de poker. Et, face à ces deux sadiques notoires, n’avait aucune chance de pouvoir espérer garder son secret bien longtemps. Maudits soient-ils!
“Jim?” Relança la voix curieuse de Maggie. Il n’y tint plus et laissa un lourd soupir s’échapper de sa bouche, tout en laissant ses mains frotter son visage, comme pour effacer la tension précédente. “La Cour des Hiboux.” Admit-il finalement. “J’ai entendu parler de leur existence et également du fait que Nygma avait réussi à les approcher. Son ridicule petit show à la télévision était un moyen de rentrer en contact avec eux.”
“Ridicule ? Brillant, tu veux dire ! Je suis le seul à avoir réussi là où vous avez tous échoué, bande de sombres crétins.” Résonna la voix un peu rauque d’Edward depuis l’entrée du salon.
“Tu es également le seul à avoir été assommé et à t’être réveillé en équilibre sur un cheval de bois BDSM, mon chou. Comme cela doit être jouissif d’être un pionnier quoi que l’on fasse.” Se moqua Y/N d’une voix bien trop plate tout en sirotant son thé alcoolisé comme si de rien n’était.
Sa remarque eue le mérite de faire retentir le rire de Maggie et celui maniaque de Victor qui, lorsqu’il se calma, pointa en direction du cou du brun. “Joli collier.” Le rouge sur les joues du Riddler se propagea sur l’intégralité de son visage à la mention du collier bâillon à boule qu’il avait réussi à retirer de celle-ci mais pas à enlever complètement.
“Donne moi la clé”, ordonna-t-il sombrement en tendant la main vers eux. Sa seule réponse fut le téléphone de Y/N et l’objectif de celui-ci braqué sur lui et le “clic” indiquant qu’une photographie venait d’être prise.
“Qu’est-ce que-...!” “Pour les longues soirées d’hiver d’Oswald, si tu refuses de nous dire tout ce que tu sais sur la Cour.” Répondit-elle en rangeant l’appareil, puis en reprenant la dégustation de sa boisson tout en laissant son dos s’appuyer contre le mollet de Victor et en croisant les jambes.
“Sale peste !” Vociféra Riddler en serrant les poings et les dents avant de prendre une longue inspiration et de se laisser tomber lourdement sur l’accoudoir du siège de Magnolia, jetant un regard circulaire à la pièce.
“Très bien. Mais tu dois me promettre de supprimer ça et de ne plus jamais en parler.” Lui dit-il. Y/N hocha la tête tout en lui tendant la clé, “tu as ma parole.” Il l’imita, avant de prendre une nouvelle inspiration et de retirer le collier.
“La Cour des Hiboux dirige Gotham depuis des décennies, ils sont Gotham. Lorsqu’ils m’ont enlevé et placé dans cette cage, j’ai pu entendre plusieurs choses très intéressantes.” Expliqua l’homme en vert en se pinçant l’arrête du nez.
“De ce que je sais, leur leader actuel est une femme appelée Kathryn, bien que je doute qu’elle soit le chef absolu d’une organisation aussi tentaculaire. Quoi qu’il en soit, pour l’heure, c’est elle qui donne les ordres et qui est venue à ma rencontre.”, Poursuivit Ed sous l’oeil attentif de son auditoire.
“La Cour est responsable des expérimentations qui ont été menées pendant des années sur des sujets humains accueillis dans des établissements financés par Wayne Enterprises. Après leur fermeture, ils ont réimplanté leurs laboratoires et repris leurs activités depuis Indian Hill, le sous-sol que j’ai pu découvrir pendant mon séjour à Arkham”, termina-t-il amèrement en foudroyant Jim du regard.
“Et il n’aurait jamais dû prendre fin, Nygma. Dois-je te rappeler tout ce que j’ai perdu à cause de toi ?!” Explosa Jim en se relevant furieusement de son fauteuil et déjà prêt à lui sauter à la gorge.
Le fracas sourd de vaisselle qui retentit fut la seule chose capable de tuer dans l’oeuf toute possible confrontation. Les deux hommes bondirent et se tournèrent d’une traite vers la table basse pour l’heure renversée sur le côté, entourée de verre et de porcelaine éclatée au sol.
“Y/N !” Cria Maggie en avisant le carnage ainsi que le bras toujours en l’air de la responsable, qui semblait au comble de l’ennui. “Si nous en revenions à ta petite histoire, Nygma. Vous pleurerez sur vos sorts respectifs et vos griefs plus tard”, suggéra froidement Victor, toujours derrière Y/N et d’ailleurs occupé à jouer avec une mèche de ses cheveux de sa main libre.
“Sweetness et moi avons un agenda à tenir”, continua-t-il, sa voix descendant de quelques octaves et son regard noir gagnant en intensité, leur arrachant un frisson désagréable.
“Les parents de Bruce étaient-ils au courant de ce que la Cour faisait de leurs locaux et de l’argent de leur fondation ?” Relança Magnolia à destination d’Edward qui eu un rictus moqueur.
“Bien évidemment que non, Magnolia. C’est d’ailleurs pour cela que Thomas Wayne a fait fermer tous les sites utilisés pour leurs expérimentations sitôt qu’il l’a appris. Et, je suppose que son opposition directe à cette femme, ainsi qu’au bon Dr Strange a été ce qui a signé l’arrêt de mort de sa femme et le sien.” Ricanna-t-il.
La fleuriste sentit son souffle se couper. Alors c’était cela la raison de la mort des parents de Bruce ? Le pauvre adolescent avait été laissé seul, heureusement sous la garde d’Alfred, mais seul à la tête de l’empire familial à cause de cette sordide organisation et de leurs expérimentations inhumaines.
Si même des personnes aussi puissantes que les Wayne n’avaient pu échapper à leur machinations, qu’est-ce qui garantissait à la jeune femme que Y/N et Victor allaient être capable de la protéger après ce qu’ils avaient prévus de faire ? Quid de Bruce ? Elle ne pouvait pas laisser le garçon se dépatouiller tout seul face à ces cinglés !
“Maggie. Non.” Claqua la voix glaciale de la tueuse depuis son siège, la faisant brutalement relever la tête et la regarder comme si elle était un monstre. “Mais. Y/N. Tu ne peux pas laisser Bruce-...” “Je peux, et je vais”, la coupa l’autre femme. “Bruce n’est pas mon client. Ne te méprends pas, je l’apprécie, il est intéressant, pour un hobbit. Mais, comme je le lui ai dit, je ne rentrerai pas en conflit frontal avec la Cour. Ce serait du suicide.” Ajouta-t-elle.
La fleuriste fit plusieurs fois “non” de la tête. “C’est un enfant Y/N, on ne peut pas le laisser seul face à ces adultes vicieux et armés jusqu’aux dents. Pour le coup, c’est lui qui court au suicide !” En entendant cela, Jim la saisit brusquement par les épaules et la secoua un peu rudement. “Qu’est-ce qu’il prévoit de faire, Maggie ! Dis le moi !”
La brune ignora le regard lourd de sens de l’autre femme lui indiquant de se taire et consentit à répondre à l’inspecteur, sa voix tremblante d’émotion. “Bruce a découvert une arme susceptible d’anéantir la Cour. Il a sollicité notre aide pour en savoir plus sur eux et éventuellement notre soutien pour sa future entreprise”, lui dit-elle.
“Y/N lui a promis de lui fournir du matériel et moi l’accès à mon magasin, celui-ci étant proche de l’endroit qu’ils prévoient de braquer avec Selina pour la récupérer. Mais... C’est tout ce que nous nous sommes engagés à faire, Y/N a refusé de participer à une attaque directe de l’organisation, arguant qu’ils seraient déjà suffisamment remontés par son acte de défiance”, termina-t-elle avec une petite voix et en baissant honteusement la tête.
Elle sentit Jim la relâcher tout aussi brutalement pour faire volte-face et hurler à pleins poumons sur la tueuse à gage. “Tu savais ce qu’était la Cour ?! Pourquoi ne l’as-tu pas dissuadé de faire une chose aussi stupide ?!”
Pas le moins du monde incommodée par ses hurlements, la brune posa sa main sur le baril de l’arme de Victor pour l’abaisser. L’assassin l’avait pointé sur Jim dès l’instant où il avait commencé à s’emporter contre sa femme.
“Aux dernières nouvelles, je n’ai pas de cheveux grisonnants, pas d’antécédents dans l’armée de la Reine et ne m’exprime pas avec un charmant accent anglais, Jim.” Répondit-elle. “Ce n’est pas à moi qu’il incombe de diriger le gosse. Il souhaitait faire une chose incroyablement stupide avec peu de chances de succès et j’ai fait ce qu’il y avait de mieux à faire : augmenter celles-ci.”
Il ne comprenait pas. Comment les deux femmes avaient-elles pu laisser le jeune Wayne se mettre autant en danger. Y/N, à la rigueur, il voulait bien le concevoir connaissant sa psychopathie. Mais Maggie ? Il se tourna vers elle lentement, ses épaules affaissées par le poids de sa déception. “Pourquoi n’as tu pas contacté le GCPD, Maggie ?”
La brune fronça les sourcils et s’outra de sa question, le regardant comme s’il eu été idiot. “Et alerter une des instances les plus corrompues de la ville ? Où ils ont plus que certainement des centaines de taupes à leur service ? Es-tu sérieux Jim ?!” Cria-t-elle à son tour. “Alors pourquoi ne m’as tu pas prévenu ?!” Cria-t-il également.
Le coup d’oeil furtif qu’elle jeta à Y/N répondit à sa question. Evidemment, l’autre femme le lui avait sans doute interdit. Il ferma fortement les yeux et pris une inspiration tremblante.
“Si vous avez terminé votre mélodrame, peut-être serez vous prêt à écouter ma proposition ?” S’éleva alors la voix toujours aussi plate de la tueuse à gage. Dieu qu’il avait envie de l’étrangler. “Eh bien vas-y, nous t’écoutons”, soupira-t-il en retournant s’asseoir dans son canapé, posant ses yeux à présent incroyablement fatigués sur elle.
Il la regarda juste à temps pour la voir lancer le collier BDSM en direction de Nygma qui s’était progressivement rapproché de la sortie de la pièce, probablement pour tenter de fuir pendant qu’ils étaient tous occupés à se crier dessus, faire du sarcasme ou à se menacer avec une arme.
“Mon plan te concerne aussi, Riddlie, revient poser ton joli petit cul vert sur ce canapé”, appela-t-elle, lui faisant faire volte face, le visage rouge écarlate après sa remarque sur son séant. “Ne peux-tu pas t’embêcher d’être vulgaire au moins une fois dans ta vie !” S’emporta-t-il en évitant soigneusement le regard noir de Victor et en retournant s’asseoir pour cacher à la vue de tous le postérieur précédemment mentionné.
Elle leva les yeux au ciel en soupirant. “Je préfère définitivement lorsque tu te tais, Ed”, lui dit elle avec un sourire narquois en zieutant le bâillon au sol. “Tu as promis de ne plus en parler.” Gronda le brun déjà prêt à l’accuser de ne pas tenir son engagement. Le rictus de Y/N s’étira sinistrement. “C’est toi qui viens de le faire, je n’ai jamais mentionné ce à quoi tu fais référence, pervers.”
Encore une fois, il était écarlate et cacha son visage dans ses mains. “Viens-en au fait”, grogna-t-il, dissipant ainsi le malaise et faisant se reconcentrer les regards des autres sur elle.
“Il y a bien un moyen, d’aider Bruce tout en garantissant notre sécurité à Victor, Maggie et moi.” Commença-t-elle. Jim fronça furieusement les sourcils. “Tu comptes donc sur moi pour faire le sale boulot et me retrouver à l’autre bout du bâton si quelque chose tourne mal”, cracha-t-il.
Elle haussa les épaules, “C’est ton truc de te jeter tête baissée dans les problèmes et de compter sur ton ange gardien sans doute dopé à la cocaïne pour sauver ta vie, Jimbo. Pas tout le monde dans cette pièce peut se vanter d’avoir le cul autant bordé de nouilles.” Face à sa mine renfrognée et à son silence, elle choisit de poursuivre.
“Bruce a la chance d’avoir cette petite chapardeuse de Selina avec lui, j’ai toute confiance en elle pour réussir à voler ce qu’ils cherchent. Ce dont ils ont besoin, c’est de temps. Pour ça, je propose d’attirer l’attention de la Cour autre part dans Gotham, idéalement dans plusieurs endroits en même temps sans que cela ne paraisse trop suspect et ne les force à augmenter la sécurité autour du bâtiment visé par les petits.”
Jim hocha la tête lentement, ça se tenait. “Comment fait-on cela ?” Demanda-t-il. La tueuse sortit de sa poche une cigarette qu’elle alluma avec un briquet qu’elle extirpa de la poche de Zsasz, dont le regard impassible resta braqué sur eux.“Barbs a déjà tenté de voler une cargaison dans le hangar 9C.” Rappela-t-elle.
Encore une fois, Jim hocha la tête. “Une livraison est prévue le jour du braquage, cette fois au 6F, juste à côté d’un marché noir d’armes. Il faut organiser une descente de police ce jour là, et boucler le périmètre, hangar compris. Ils seront obligés d’envoyer des hommes et probablement un émissaire, à moins que la vieille peau ne se déplace directement.” Expliqua-t-elle en posant son regard sur Edward cette fois.
“Ils tenteront d’abord d’appeler les agents présents à leur compte ou le commissaire pour faire lever le barrage, il nous faut créer des interferences et commencer au moins deux jours avant, pour que cela ne paraisse pas trop suspect. Je suppose que c’est dans tes cordes, n’est-ce pas, Riddl-Ed?” Le concerné croisa les bras et haussa un sourcil.
“Et je dois t’aider, parce que?” Elle lui sourit de toutes ses dents et il la vit à peine bouger avant d’entendre un *thud* retentir à quelques centimètres de son genou. En baissant les yeux, il loucha sur la lame solidement plantée dans le coussin du siège. “Sérieusement ?!” S’outra-t-il.
Elle ne pu retenir un petit rire avant de le pointer du doigt. “Tu vas m’aider, parce que la Cour est à tes trousses et que tu vas bénéficier du plan de Wayne pour qu’ils te lâchent la grappe. Tu le sais, je le sais, tu sais que je le sais et je sais que tu le sais. Inutile donc de bomber le torse et de jouer les difficiles Eddie.” Ronronna-t-elle moqueusement, récoltant une série de grommellements et de jurons étouffés à son encontre.
“Comment es tu au courant pour la livraison ?” Demanda Jim tout en jetant un regard à Magnolia qui semblait pendue aux lèvres de l’autre femme, clairement fascinée par ses capacités à comploter. “Je l’ai lu dans les feuilles de thé et les cartes”, se moqua Y/N, qui ne comptait certainement pas dévoiler au policier comment elle parvenait quasi systématiquement à posséder les bonnes informations au bon moment. “Ha-ha-ha”, rétorqua Jim, clairement agacé par sa réponse stupide.
“Quoi qu’il en soit”, reprit-elle, “cela ne suffira pas à donner assez de temps à Bruce et Selina. Il faut également prévoir une autre diversion. Cette fois, à Arkham. Juste au dessus d’Idian Hill. Jim, ça sera ta tâche principale, envoie Harvey s’occuper des docks, le vieux peut faire perdre un temps incroyable avec ses blablas et jouer les imbéciles heureux comme personne.” Expliqua-t-elle.
“Arkham ?!” Sursauta Jim en ouvrant déjà la bouche pour protester. “Oui, Arkham. Tu vas également y faire une descente mais pas pour une perquisition. Pour une évasion massive.” Confirma la tueuse à gage qui grimaça en entendant le hurlement étranglé poussé par Jim et l’éclat de rire franc d’Ed, qui en avait totalement oublié l’incident de la lame et la regardait avec un sourire sadique, ses mains jointes devant sa bouche comme un gosse devant un sapin de Noël.
“Oh, deux perquisitions seraient trop suspectes alors tu veux organiser une évasion pour faire paniquer Strange, rameuter la police et faire monter la pression à la Cour sachant qu’Indian Hill sera juste au-dessus de ce bazar.” Réfléchit Maggie à voix haute, récoltant un petit applaudissement de Y/N et un sourire à faire pâlir le soleil. “Bravo Mags, le métier rentre !” Félicita-t-elle sous le regard encore plus noir de Jim.
“C’est hors de question, Y/N ! Valeska est dans cet asyle, Tetch aussi au cas où tu l’aurais oublié, et Crane aussi par la même occasion !” Refusa-t-il, ses arguments se voyant balayés d’un geste de la main par la tueuse.
“Oh je t’en prie Jim, quoi qu’il en soit ce n’est qu’une question de temps avant que l’un d’entre eux ne sorte. Arkham est un gruyère, pourquoi crois-tu que tout le monde cherche à s’y faire interner lorsque les flics parviennent à les pincer ?” Ricana-t-elle.
Elle avait raison, pensa-t-il en grinçant des dents furieusement. Et il devait bien l’avouer, sa plus grande crainte, en tant que flic, était de voir le duo devant lui tout faire pour terminer là-bas si un jour il parvenait à les arrêter.
Ils seraient sans nul doute dehors deux jours plus tard, gambadant gaiement comme s’ils revenaient d’une cure de bien-être. Et, à en juger par le regard narquois de la concernée, elle en avait aussi parfaitement conscience. Elle était terrifiante.
“Comment vas-tu créer ton évasion ?” Grogna tout de même l’inspecteur, choisissant de se résigner plutôt que d’essayer de se battre contre des moulins. Une nouvelle fois, Y/N pointa Edward du doigt avec un sourire radieux. “Les cellules sont rattachées à un PC sécurité central et peuvent être ouvertes depuis celui-ci, il suffit de le pirater. Ed peut s’en occuper comme un grand.” Lui dit-elle.
“Et Victor, Maggie et toi ?” Demandèrent Jim et Riddler en même temps, faisant rire Maggie, qui se reconcentra sur l’autre femme bien vite, attendant sa réponse. “Je m’occupe de programmer le matériel qui sera utilisé dans la boutique de Maggie, Victor va m’aider à l’installer et à piéger les lieux en vue de recevoir nos invités de la Cour proprement lorsqu’ils viendront chercher d’autres indices sur les personnes impliquées dans le vol. Maggie restera avec les Zsaszettes pendant la préparation, au cas où la Cour nous prendrait, sans mauvais jeu de mots, de court en découvrant nos plans et en nous attaquant pendant cette phase du plan.”
La fleuriste ouvrit la bouche, sidérée. “Quoi ?! Tu vas détruire mon magasin ?! Et me confier aux filles de Victor, comme une gamine à ses nounous ?! Hors de question !” Cria-t-elle. Y/N leva les yeux au ciel et soupira, “ En me fichant de t’offenser, je te rappelle que tu n’es pas vraiment une as de la gachette ou la réincarnation de Bruce Lee, tu risques plus de nous gêner si ça doit finir en échanges de tirs”, lui rappela-t-elle tout en gloussant en voyant la plus jeune pincer ses lèvres dans une moue boudeuse et s’enfoncer dans son siège.
“Concernant ton magasin, relax Mags, on t’en construira un plus beau encore, papa et maman ont de quoi engager les meilleurs artisans et architectes pour qu’ils exhaucent tous tes caprices. Il sera exactement comme tu le souhaite, parole de scout.” Se moqua Y/N en portant une main solenelle à son coeur, tout en tapotant affectueusement l’avant bras de Victor qu’il avait posé sur son épaule pendant ses explications.
Son geste lui valu un baiser sur la tempe, juste avant que Zsasz n’adresse à la fleuriste un pouce levé vers le ciel. “J’enverrai les filles superviser les travaux si ça t’aide à mieux respirer chaton.” Se moqua-t-il également, avec un sourire volontairement idiot qui fit grogner Magnolia. “Non merci.” Bougonna-t-elle. “Tes...filles.... me filent la chair de poule.” L’homme ricana.
“Alors ?” Relança Y/N en regardant tour à tour chacun des protagonistes de son futur plan, s’arrêtant plus longuement sur Jim et sa mâchoire serrée, qui semblait préférer se défenestrer plutôt que de prendre part à pareille folie. “C’est toi qui voulait assurer la survie du gosse, Jimbo. Ne me dis pas qu’il s’agissait juste de jolis mots de flics lancés en l’air et laissés s’envoler aussitôt après ?” Provoqua l’assassin.
Il dû résister aussi fort qu’il le pouvait pour ne pas lui adresser un bon vieux doigt d’honneur. Elle était abjecte. Abjecte mais brillante, il se devait de le reconnaître. Son plan augmentait drastiquement les chances de succès de Bruce et ses chances de survie.
“Ok.” Cracha-t-il finalement en se levant et en tirant son portable de sa poche. “Je vais prévenir Harvey” Dit-il, avant d’être stoppé par Victor qui lui tendait un autre portable. “Avec celui-là. Le tien est sur écoute.”, indiqua-t-il sous son regard incrédule.
“Sois bref avec Bullock donne lui rendez-vous quelque part, raccroche et flanque le portable au micro-ondes. On ne peut pas prendre le risque qu’ils tracent l’appel.” Poursuivit Zsasz sans se départir de son visage éternellement neutre.
“C’est une blague...”, ne pu s’empêcher de souffler Jim en jetant un regard à son téléphone qui d’ici ce soir partirait à la casse. “Crois-moi, Sweetness et moi sommes très bons au petit jeu du traçage et de l’écoute des téléphones. Dis ce que tu as à dire en moins de 60 secondes.” Susurra Victor, agrandissant encore plus son rictus.
“Je donne rendez-vous à Alfred pour lui parler du plan”, décréta Y/N en se relevant et en quittant le salon pour passer elle aussi son appel. Jim partit après elle, se dirigeant dans le hall d’entrée et laissant Victor, Ed, Maggie dans le salon.
“Prête pour tes premiers premiers hauts faits de criminelle en tant que complice, chaton ?” Se moqua Victor en regardant Magnolia tortiller ses doigts sur le canapé, manquant le froncement agacé de Riddler provoqué par son tic nerveux. “Et si les choses ne se passent pas comme prévu ?” Couina la plus jeune en grimaçant, récoltant un rire des deux hommes présents.
“Rien ne se passe jamais comme prévu, Magnolia”, pointa Edward en dodelinant de la tête. “Mais comme Y/N et moi planchons sur ces plans, ils seront menés à bien d’une façon ou d’une autre, de ça tu peux en être certaine.” De son côté, Victor se releva et dégaina sa deuxième arme pour en inspecter la crosse. “Dans le pire des cas, il nous restera ‘the fun way’“, leur dit-il en chargeant ses armes avec un sourire particulièrement malsain. “Ma préférée.”
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A/N - Next chapter will be full action I swear! I hope you liked it my dear 🥰 Have a beautiful day/night and take care! 🤗💐
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If a large historic home gets too expensive to maintain, like this one in Amsterdam, the owners usually convert the attic into an apt. This contemporary renovation is stunning. Look at the shape of the ceiling and beams in the living room.

This home is a former rectory from 1890.



In terms of decoration, the owners have opted for a very contrasting decor that I could describe as “modern vintage,” in a current Nordic style, mixing vintage furniture, designer objects and contemporary tailor-made fittings, in a palette of materials and black and white tones.

Without altering the original structure too much, the architect just pitched the roof a bit. The orange line illustrates the part that is the attic apt., plus the separate, private entrance on the side.

A canopy was suspended from the beams in the bedroom.



The bathroom is unique- Have you ever seen a sink like that? The plumbing fixtures are vintage/industrial, and the original rectory window remains.


On the side of the house that is now part of the attic apt., is a studio.


This is the small foyer at the entrance.

And a small, private deck for the attic tenant.
https://www.turbulences-deco.fr/un-appartement-sous-les-combles-en-noir-et-blanc/2021/01/
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Hier on a visité un appart super sympa et mignon.
Les points coups de cœur :
Côté cosy de la chambre sous comble (même si peu aménageable)
La cheminé décorative en marbre
La cuisine neuve et équipée
Le balcon, large et peu profond avec une très belle vue sur le château.
#jezatalks#on espère l'avoir#on est les premiers à l'avoir visité sur 5#c'est le proprio qui fera le choix#on va prier mdr
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UN APPARTEMENT SOUS LES TOITS DE PARIS
Herbalover #13 : Margaux de Fouchier sur Herbarium
Il y a un moment j'avais écrit un article sur l'aménagement des combles : Vivre sous les toits, réhabiliter des combles. Je commençais ainsi, mon article : "Sous les toits de Paris", cela pourrait être le titre d’un film. Vivre sous les toits, que ce soit à Paris ou ailleurs en fait rêver plus d’un, j’en suis certaine.
Cet appartement en est la parfaite réalisation.
EN + : Aller découvrir le site de cette jeune femme inclassable aux talents multiples, ainsi que son compte Insta.
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Aider un camarade à déménager
« Quittez tout, vous trouverez tout. »
Saint François d’Assise
Il faut aller chercher une camionnette de déménagement à l'autre bout de la ville. On fraude un métro, on fraude un train, on marche longtemps dans un parking souterrain, voilà c'est ici. Le camarade fait un crochet par Quick pour prendre un menu à emporter et il s'éloigne sous la pluie et mes blâmes diététiques, pendant que je remplis en ligne les formulaires d'état des lieux du véhicule, déverrouille la portière avec un téléphone. Une camionnette louée avec un téléphone loué, c'est fou le commerce "interface-machine". Le pote revient et monte au volant, moi à droite, démarrage. Tout se passe bien. D'abord une petite marche arrière à l'aveugle pour se mettre en jambes, avec le levier de vitesse dans la main droite et un cheeseburger dans la main gauche, à hauteur du nez pour y faire un croc de temps en temps, et l'autoradio sur Nostalgie FM qui chantonne un morceau des Beach Boys Aruba, Jamaica, oh I want to take ya to Bermuda, Bahama, come on pretty mama. Des tas de voyants s'allument sur le tableau de bord, et une stridulation d'alarme retentit par-dessus la musique. C'est le frein à main qui n'est pas desserré voyons! Et paf tout de suite l'allure du véhicule augmente. Key Largo, Montego, baby why don't we go. C'est parti pour deux jours de déménagement de cinglé. Nous nous y sommes pris trop tard et c'est en catastrophe que nous accomplissons chaque geste, pressés par les échéances qui sont autant d'heure H et de couperets sur un billard: douze heures pour rendre un appartement vidé et récuré de fond en comble, vingt-quatre heures pour rendre ce véhicule.
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Adolescent je me promettais une fois adulte, de vivre dans la beauté, par et pour la beauté: j'aurai la verve d'Edouard Baer, l'ameublement Armani Casa, les vêtements hooligan chic, l'érudition de Pierre Grimal, le courage physique de Marcel Bigeard, le détachement de Sempé, et la France pour jardin semée de maisons de pierres blondes, de dentelures de feuilles de chênes qui se détachent sur un ciel de soir d’été et de clairières comme sur les tableaux d'Hubert Robert. Il n'y eut rien de tout cela et j'arrivai à la majorité dans un Grenoble abominable, dans le shit, le tam-tam et les dépressions.

Nous avons au préalable "fait les cartons" c'est à dire bourré des sacs de fortune avec toutes sortes de tableaux, de linges de maison, d'objets sortis d'héritages lointains et dont plus personne ne connaît la valeur. Les dentelles de Bruges, les écharpes de cachemire, les lustres du plafond, trésors des cristalleries européennes, emballés tous en vrac dans des journaux titrés "Alan Waquebaert quitte Namur", émergent ça et là d'un amoncellement de sacs, sachets, boîtes, paquets. Nous avons démonté des meubles, vidé le contenu des tiroirs à la verticale dans les poubelles, puis judicieusement entassé celles-ci sur le palier, palier dont les voisins d'en face se trouvent être les propriétaires d'ici.
Fracas dans la cuisine, le cache de porte du lave-vaisselle a frappé le carrelage. Catastrophe. Bientôt un réparateur bruxellois accourt, long et maigre, soixante-cinq ans, cheveux blancs jusqu'aux omoplates, gestes fébriles. Il se blesse au doigt en manipulant le cadre intérieur de la machine, toute de métal à bord tranchants, abominable. Du sang partout, des jurons, nous improvisons un pansement au sopalin et scotch et le congédions ; cette porte doit être réparée dans les dix heures prochaines et nous devons vider le chargement du véhicule d'ici une heure dans une maison des faubourgs de Charleroi, l'un des comptoirs du camarade.
En route il me semble soudain que ce n'est pas la grande forme. J'ai tous les symptômes d'un empoisonnement alimentaire passager et il va falloir rendre ce qui est de trop, tout en déchargeant des paquets dans un décor de briques et de désespoir wallon humide. Bientôt à Charleroi étalé sur un canapé, en proie aux joies des chauds et froids internes je rabat la capuche et médite un remède possible. Il me revient soudain que les Grecs recommandaient de traiter l'acidité par l'amertume et je progresse bientôt courbé en deux vers la cuisine, à la vitesse de 0,2 kilomètre par heure. En fouillant ici et là il s'avère possible de mêler dans une eau frémissante du thé vert et du curcuma en poudre. Un grand verre de ce mélange vous donne des frissons tellement c’est amer mais se révèle très vite constituer un baume souverain sur la douleur, et un fortifiant merveilleux. Me revoilà dispo et mon ami a dans l'intervalle terminé la manutention. Nous rentrons à Bruxelles. Tout s'arrange?
On bombarde sur l'autoroute. Des voyants s'allument sur le cadran de bord. Avant même de pouvoir y prêter attention un orage effroyable s'abat sur le pays, et l'autoroute devient un tobogan de parc aquatique. Le halo des phares ne porte plus qu'à trois mètres. Trente-cinq minutes de ce régime et nous arrivons, parquons le véhicule devant le logement à vider et mettons pied à terre. La portière latérale est grande ouverte. C’était pour ça les voyants allumés. Elle a été grande ouverte pendant trente-cinq minutes sous une averse de mer du nord. Bon, on ne dit rien. Un sac en toile que l'on avait bourré de paires de Crockett & Jones, trempé. On ouvre le sac pour vérifier les chaussures: miracle elles étaient cirées et fourrées d'embauchoir en pin, la pluie a glissé sur le cuir lorsque le bois sec ne l'a pas bue. L’averse a tourné au crachin. “La pluie tombait comme une aumône” dit quelque part Houellebecq dans un poème.

Avant de charger encore le véhicule il faut abandonner un bureau années 60 les quatre pieds en l'air sur un trottoir, sous la pluie, comme un bœuf abattu. Ces trucs sont invendables, les gens ne distinguent plus l’artisanat de la camelote, ne jurent que par Ikéa, les copeaux agglomérés sans style, sans race, sans passé. Signe des temps. Bientôt plus rien ne vaudra plus rien sur le marché, la beauté seule restera le critère inattaquable.
Il faudra beaucoup d'autres choses. Il faudra porter des tapis emballés dans des rideaux chouraves au logeur depuis la camionnette en triple file aux warnings dans un escalier branlant qui tient par miracle avec des poutrelles de soutènement jusqu'au 4ème étage chez des locataires ahuris et pas prévenus pendant qu'un GSM sonne pour la neuvième fois d'affilée dans une poche sans pouvoir l'éteindre (deux mains occupées). Mais qui appelle, bon sang? C'est un candidat Airbnb avec accent africain complètement paniqué qui a payé sa location et ne trouve pas la clé, normal nous sommes occupés à autre chose! Et puis le logement que tu as loué, mon petit père, a été vidé par nos soins et tu vas dormir par terre, ça te va comme ça? Et puis quoi, est-ce que nous sommes au service de ces fils d'ambassa-bassadeurs qui n'ont d'argent que par notre argent? De toute façon il patientera. Demain après l'état des lieux et la remise des clés, de ses clés à lui-aussi, il devra pour finir son séjour passer par la courette et grimper au logement par une échelle dissimulée sous une bâche dont lui indiquons l'emplacement, puis pousser la fenêtre de l'antichambre que nous aurons maintenu entrouverte au moyen d'un segment de carton astucieusement inséré entre le vantail ouvrant et le dormant précadre. Ce stratagème permet de sous-louer le bien au-delà de la fin du bail même après en avoir rendu les clés au logeur. Mais ce primitif à peine capable de saisir la complexité de phrases du genre de "clé sous paillasson" et qui téléphone 9 fois de suite pour se les faire répéter sera-t-il à même de suivre les directives évoquées ci-dessus? C'est le cadet de nos soucis.
On redescend, on remonte encore avec des tringles chargées de vêtements, des tapis, des trumeaux en marbre. Il reste un canapé à 40 euros et une armoire Ikéa. Ecœurés nous abandonnons ces marchandises sur le trottoir.

Mince, le lave-vaisselle cassé avec sa porte effondrée! Bim une idée, je me rappelle que nous avons un camarade menuisier dans un quartier tout proche. On l'appelle en catastrophe et le pressons de passer réparer d'ici une heure, il accepte. Réseau en béton, nous avons. Il arrive, pose des points de colle avec un pistolet à colle, compresse la porte... Ça tient. Merveilleux, on a presque fini. Dans douze heures il faudra avoir quitté les lieux.
Bientôt il y aura les effroyables négociations d'état des lieux, sous le regard furieux de propriétaires rêches comme des toiles de jute, dans une ambiance en bronze massif d'une pesanteur insoutenable, lorsque l'on compte les secondes et que ça ne finit jamais.
Nous sommes à jeun et j'aime extrêmement cette sensation lorsqu'on est au bout de ses forces et que l'on s'en découvre de nouvelles, insoupçonnées. Cette phrase dans les romans autobiographiques de Dostoïevski: "il n'avait rien mangé depuis trois jours", me porte et me transporte. Il y a une noblesse du jeûne et Paul Morand me comble avec son "J'aime manger, mais je n'aime pas avoir mangé". J'ouvre une porte d'armoire de cuisine pour vérifier que tout est vide et que voilà dedans? Bon sang un énorme lave-linge. Et par-dessus le mastodonte, quoi? Un sèche-linge rotatif. Je claque la porte écœuré et gueule des insultes à travers les pièces désertes à l'intention du camarade.
Il nous faut un "diable" pour bouger ces crasses, et un lieu de stockage. Oh ça c'est réglé: le gars fréquente une meuf actuellement qui a un logement avec cave dans le quartier européen, on lui fourguera le tout à cette eurocrate. Il reste juste le temps de foncer au grossiste de vin là-bas plus haut dans la rue, cinq minutes avant fermeture pour un mois, pour lui soutirer un petit peu son diable. Les heures suivantes sont brouillées, nous descendons et montons l'électroménager sur des escaliers, dans des camionnettes, dans des tunnels de cave, occupés que nous sommes à rentrer des lave-linges dans des caves, des sèche-linges dans des ascenseurs comme on fait rentrer des carrés dans des ronds, au forceps, au chausse-cube et au "han" de porteur d'eau avec la sueur qui perle au front. Mais tout s’arrange.
Le camarade m’offre un magnifique tapis, et un tableau splendide: le panthéon de Rome.

Je rentre écouter ceci. Bon, bon, je sais... Mais elle a une voix superbe.
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Avec Luc Bérimont, 2/4, Soleil
Jacques Layani, Léo Ferré études et propos : ...S’agissant de Bérimont, Ferré met en musique deux poésies, effectue les dépôts à la Sacem, publie les partitions, enregistre mais ne publie pas de disque, ce qui est étonnant. Il s’agit de Soleil et de Noël. Soleil est une poésie en fait intitulée Capri par son auteur, et publiée dans son recueil L’Herbe à tonnerre, qui obtiendra le prix Apollinaire. Au moment où Ferré compose sa musique, Capri (avant-dernière pièce du recueil) fait partie des plus récentes œuvres de Bérimont... ...Maurice Frot, donc, dessine la couverture du « petit format » de Soleil, à cette époque où Ferré les imprime lui-même, sous les combles de son appartement, 28, boulevard Pershing. Léo Ferré l’envoie à Bérimont, avec une lettre non datée : « Cher Luc, voici notre chef-d’œuvre 1959 ! Dûment édité… et imprimé au château Pershing ! Je te joins la feuille Sacem et la feuille SDRM. Celle-ci tu peux la signer et l’envoyer par la poste. Quant à celle de la Sacem je te demande d’y faire un saut s’il-te-plaît et déposer en même temps deux exemplaires (because édition et copyright). Je t’envoie des formats quand tu en auras besoin. Mille bonnes amitiés de nous deux. À bientôt. Léo Ferré ». Cette chanson, enregistrée le jeudi 30 avril 1959, est diffusée au moins une fois à la radio, le samedi 22 août 1959, dans l’émission La Maison de vos rêves réalisée par Pierre Lhoste, émission au cours de laquelle Luc Bérimont parle de son passé et de ses rêves... http://leoferre.hautetfort.com/archive/2006/11/19/avec-luc-berimont-2-4.html https://www.paroles.net/leo-ferre/paroles-soleil https://www.youtube.com/watch?v=EM77pgbQJFs ou https://www.youtube.com/watch?v=4EnYR042gu0
#léo ferré#luc bérimont#capri#soleil#jacques layani#maurice frot#pierre lhoste#la maison de vos rêves#noël
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La Liste Des Emplois Disponibles Dans L’industrie De Débarras De Maison
Comment Vider Une Maison Après Décès? La Solution Hexadebarras
Une estimation précise doit être faite sur l’ensemble des pièces du logement, notamment s’il existe des dépendances, une cave, un garage ou encore un grenier. Bien que ce ne soit pas la formule la plus courante, c’est une possibilité que vous avez. La revente des meubles et des différents objets de valeur sur la maison, permet d’offrir une seconde vie aux objets et d’avoir une tarification particulièrement alléchante.
Quand l’habitation comporte des biens de valeur, vous pouvez ainsi espérer bénéficier d’un débarras gratuit.
Si ces predicaments sont assez exceptionnelles, elles démontrent une fois de furthermore l’intérêt de faire appel à des professionnels du débarras pour vider votre maison.
Faire appel à une entreprise de débarras de maison ou d’appartement vous semble une Answer trop couteuse ?
Sachez que dans certains cas, la valeur des objets débarrassés, une fois estimée grâce à nos partenaires brocanteurs, peut couvrir tout ou partie des frais d’intervention.
Il seront capables de trier et de faire estimer les biens contenus dans le logement, le grenier ou autres locaux encombrés.
Sachez que trier le contenu d’un logement est un véritable supplice pour un non-habitué. En outre, cette opération implique que vous souleviez et portiez des objets lourds. Quant à l’entreprise spécialisée, elle dispose des ressources nécessaires (matérielles et humaines) qui lui permettent de débarrasser la maison convenablement. Ainsi, vous obtiendrez un résultat satisfaisant, et ce, en un temps history. Nous sommes une entreprise qui paie les déexpenses (déchetteries) et oui certains meubles ou objets n'ont moreover la cote, donc le coût du débarras, stockage, safety et mise en dépôt vente, n'est as well as envisageable et surtout rentable.
Remark débarrasser sa maison après un décès ou un déménagement en maison de retraite ? Besoin de faire débarrasser une maison Gratuitement et vendre vos meubles ne cherchez plus ! Notre société de Débarras Débarrasse votre maison rapidement et gratuitement suivant récupération dans le département 33 en Gironde. Ce groupe d’content de la même thématique ou thématiques complémentaires explique comment débarrasser une maison de tout son contenu. Faisant suite à un déménagement, une succession, un départ en maison de retraite, il est nécessaire d’intervenir pour vider entièrement une habitation de la cave au grenier. Le faire en famille ou déléguer ce travail à un professionnel de la brocante ou de l’antiquité telle est la concern.
Organiser Un Vide
Faire appel à une entreprise de débarras de maison ou d’appartement vous semble une Remedy trop couteuse ? Sachez que dans certains cas, la valeur des objets débarrassés, une fois estimée grâce à nos partenaires brocanteurs, peut couvrir tout ou partie des frais d’intervention. Quand l’habitation comporte des biens de valeur, vous pouvez ainsi espérer bénéficier d’un débarras gratuit. Si ces situations sont assez exceptionnelles, elles démontrent une fois de as well as l’intérêt de faire appel à des professionnels du débarras pour vider votre maison. Il seront capables de trier et de faire estimer les biens contenus dans le logement, le grenier ou autres locaux encombrés. C’est une prestation qui est de base payante, calculée avec précision par l’specialist au cours du Leading rendez-vous, le fait de vider appartement, maison, cave est notre métiers.
Légalement, en cas de décès, la loi oblige à un inventaire, spécialement si l’un des héritiers du défunt est absent, mineur ou sous tutelle. L’inventaire n’est pas uniquement réservé aux cas de vente, mais permet un usufruit cadré des meubles et objets décoratifs. L’inventaire permet de lister les biens et leur valeur afin d’éviter les problems entre héritiers.
Il s’agit en fait de l’organisation d’une vente privée à l’intérieur d’un domicile ou de son jardin. Si le vide-maison a pour avantage de ne pas avoir à transporter les biens à vendre, il demande en revanche une préparation minutieuse et il doit respecter certaines règles. Si vous souhaitez organiser un vide-maison, vous devez en effet avertir la mairie du lieu de l’habitation quinze jours avant la date prévue, soit par lettre recommandée, soit by using un formulaire remis directement à la mairie. Un justificatif de domicile et une pièce d’identité est desireé à l’organisateur du vide-maison. Une affiche placée devant la maison et des annonces sur des websites Online spécialisés permettent de faire connaître l’évènement au public.
Débarras À Proximité De Chez Vous
Diogène France, spécialiste du débarras de maison et du nettoyage extrême, intervient pour assainir et déblayer les logements encombrés ou insalubres ou les locaux ou entrepôts. Si vous cherchez une entreprise de débarrassage pour vider un appartement ou une maison et vous restituer des locaux propres et libérés de tout encombrement, Diogène France est l’interlocuteur qu’il vous faut. Notre société de débarrasseurs intervient à travers tout l’hexagone, à Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille ou ailleurs pour vider votre logement. Bien évidemment, si vous êtes soucieux des valeurs humanitaires et d’aider les personnes as well as démunis, sachez que notre support sera parfaitement cohérent avec cette eyesight des choses. Rien ne vous empêche de contacter directement une Affiliation pour effectuer le débarras d’une maison, mais celle-ci se concentra uniquement sur les objets qui les intéressent, vous laissant avec d’innombrables articles or blog posts sur le bras. Mais en faisant appel à notre société spécialisée dans le débarras et nettoyage après décès, vous aurez la certitude que tous les objets seront littéralement pris en cost.

Un vide-maison passe en amont par une huge advertising et le jour même une organisation sans faille. Dans le meilleur état de présentation attainable, les objets concernés doivent être valorisés et prédespatchedés à leur juste prix. Il est tout à fait naturel que les services d’une entreprise de débarras soient facturables. Pourtant, tout le monde n’a pas la possibilité d’engager un professionnel. C’est ce qui pousse les particuliers à vider leurs demeures ou appartements eux-mêmes.
Que Faire Du Contenu De La Maison Après Un Décès?
Faire débarrasser un grenier sur les Bouches du Rhône, avant de faire rénover un toit thirteen sur Marseille, demande un débarras full des combles. Avant de faire intervenir une entreprise de couverture 13 à Marseille, pour démolir et rénover votre charpente et couverture en tuile . Nous intervenons pour vider, déblayer, dégager vos combles et grenier à partir de ce second-là, l'intervention des couvreurs est réalisable, bien sur dans le cas où vous souhaiteriez faire rénover votre couverture de toiture. Il s’agit d’un système mis en spot par les entreprises spécialisées dans le domaine. Concrètement, elles se chargent du vidage de votre maison sans que vous ayez à payer la prestation. Il s’agit en effet d’un éalter de leurs companies contre quelques-uns de vos objets de valeur en bon état. Vous pouvez également décider de tout donner à l’entreprise en issue.
Il vous restera donc à vous débarrasser vous même du reliquat restant dans votre habitation. Le débarras payant d'une habitation, d'un objet ou mobilier encombrant, ou bien d'un community professionnel constitue la seule solution lorsque rien ou trop peu de mobiliers et objets sont récupérables. Il faut également tenir compte de la hardé d'accès qui peut nécessiter l'utilisation de monte-cost, ou encore le volume trop significant de déchets et encombrants à mettre en décharge. Nous assurons également le transportation d’objets en salle des ventes pour les mises aux enchères. En premier lieu, il existe des entreprises spécialisées dans le débarras, qui vous assureront de vous débarrasser (comme son nom l’indique) des meubles et objets dont vous ne voulez as well as, sans forcement passer par a la scenario “vide-maison” à proprement parlé. Oui, le rendez-vous devis débarras se fera sur spot, dans la du logement à débarrasser.
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Buzzwords, Débuzé : 10 Autres Façons De Dire Recyclage
Skilled Désencombrement Maison Et Appartement Particulier
Beaucoup de personnes peu entourées sont confrontées à ce cas de determine et, devant l’ampleur du travail à réaliser, elles ont naturellement tendance à se décourager. Pour autant, même si l’on ne connaît pas forcément d'amis susceptibles de venir donner un coup de most important, il est toujours envisageable de désencombrer ou vider un habitat, en s’organisant de façon progressive ou en demandant une aide extérieure. Le prix dépend du volume à débarrasser et du provider rendu, mais aussi de l’accessibilité du logement (stationnement, étage…), et de la concurrence locale. Certains prestataires se contenteront de tout porter à la déchetterie. Dans les faits, peu de prestataires acceptent de vendre le fonds puis de vous indemniser, motor vehicle un tel assistance exige du temps et une réelle compétence.
Après un décès, vider une maison ou un appartement n’est pas selected aisée.
Furthermore l’accumulation des objets de valeur augmente, in addition la tarification sera bien évidemment intéressante aboutissant cette fois-ci à un débarras maison gratuit voire même dans certaines situations indemnisées.
Effect émotionnel, distance géographique et challengingés matérielles ou logistiques rendent le débarrassage après succession difficile.
Notre entreprise intervient pour le débarras de maison ou d’appartement, mais aussi pour vider cave, débarrasser grenier, garage ou area professionnel.
Confier cette tâche à des videurs professionnels, c’est s’assurer un travail de déblaiement et de nettoyage rapide et complet.
Si vous n’entrez pas dans les deux premières catégories, vous serez orientés vers un vidage maison payant.
Si le logement dispose d’un jardin, faites-en votre première préprofession. Entretenez l’espace extérieur de façon à ce que les visiteurs tombent sous le charme de la maison dès leur arrivée. Nous vous proposons la prestation d’une équipe professionnelle dans la préparation d’une habitation à vendre après décès. Notre société de débarras de maison intervient dans l’entretien de l’espace vert, dans le débroussaillage, la tonte d'herbe et l’élagage d’arbres et toute autre opération de déblaiement. Nous nous occupons aussi de la mise en déchetterie, du tri des déchets vert etcetera. Notre société de débarrassage réalise et remplace les brocanteurs qui débarrassaient par le goé.
L’organisation prend véritablement tout son sens, moins les débarrasseurs passent du temps dans votre maison, moins la tarification sera élevée suivant le nettoyage après décès a éffectuer. C’est un fait absolument indéniable, mais l’expérience et la development de nos différents employés, joueront véritablement en votre faveur. De ce fait, lorsque vous décidez de prendre Speak to avec notre société spécialisée dans le débarras, celle-ci s’emploiera à vous remettre une première évaluation gratuite. C’est une sorte de devis sans engagement ou la tarification sera bien évidemment inscrite. Résultat, vous n’avez pas besoin de vous engager tout de suite si vous avez besoin d’un temps de réflexion. La revente permet aux héritiers de simplifier le partage des biens, notamment en ce qui concerne le mobilier ou les bijoux de famille.
Organiser Un Vide
Il est réalisé en 30 ou forty minutes, suivant l'entreprise que vous sélectionnerez ci-dessus. Le responsable devis, vous donnera alors oralement une fourchette de prix. Par la suite, récupérez gratuitement votre devis qui sera sans engagement par e-mail sous 48 heures environ, ou par courrier sous quelques jours. Le débarras gratuit arrive parfois et le moreover souvent, lorsque les héritiers décident de ne rien récupérer, ou presque. Dans ce cas généralement, le désencombrement complete peut être totalement gratuit, car les valeurs récupérables arrivent à la hauteur du prix du débarras, nettoyage et mise en décost des encombrants.
Quand on habite assez longtemps dans une maison, nos possessions augmentent en volume et encombrent l’espace. Rien de tel que de faire un bon débarras pour libérer un peu d’espace, jeter les objets inutiles et vendre ceux de valeur. Voulez-vous engager une entreprise de débarras de maison ou d’appartement sans devoir la payer ? C’est tout à fait possible selon les problems établies par la société en query. Ainsi, certains professionnels acceptent d’échanger le support contre quelques objets de valeur à débarrasser qui sont encore en parfait état.
Des milliers d’adeptes se sont déjà prêtés au jeu du ménage par le vide, cette pratique qui consiste à se débarrasser du superflu. Voici toutes nos astuces pour vider votre maison de façon intelligente. c'est aussi le nettoyage de vos locaux, la remise au propre de vos espaces débarrassés et vidés.
Jeunes : Trouvez Votre Logement

L’association viendra pour estimer les seules pièces, objets ou meubles les intéressant, afin de les récupérer pour les vendre et financer leurs steps sociales. Mais le reste des choses qui vous encombre, ne sera pas emporté, automobile les associations n’ont pas vocation à réaliser des débarras d’appartement intégral à proprement parlé.
Un vide-maison dans le même logement ne peut avoir lieu que deux fois par an, mais sa durée n’est en revanche pas Restrictée. Les brocanteurs ou les antiquaires sont des professionnels qui peuvent vous aider à vider la maison d’un proche en particulier s’il disposait d’objets de valeur. Avant de tout vendre, de jeter ou de donner, assurez-vous de la valeur des biens restants dans la maison. Si certains d’entre eux peuvent se vendre à un bon prix, ce qui peut permettre de participer au paiement d’une partie de la maison de retraite par exemple, vous pouvez vous adresser à des brocanteurs ou des antiquaires. Généralement, les brocanteurs ne font pas payer leur visite sur location, ils se rémunèrent avec les objets qu’ils vous achètent et qu’ils revendront ultérieurement.
Que Faire Du Contenu De La Maison Après Un Décès?
Faire débarrasser un grenier sur les Bouches du Rhône, avant de faire rénover un toit 13 sur Marseille, demande un débarras complete des combles. Avant de faire intervenir une entreprise de couverture 13 à Marseille, pour démolir et rénover votre charpente et couverture en tuile . Nous intervenons pour vider, déblayer, dégager vos combles et grenier à partir de ce minute-là, l'intervention des couvreurs est réalisable, bien sur dans le cas où vous souhaiteriez faire rénover votre couverture de toiture. Il s’agit d’un système mis en put par les entreprises spécialisées dans le domaine. Concrètement, elles se chargent du vidage de votre maison sans que vous ayez à payer la prestation. Il s’agit en effet d’un éalter de leurs companies contre quelques-uns de vos objets de valeur en bon état. Vous pouvez également décider de tout donner à l’entreprise en question.
Le rachat peut se faire par rapport aux devices de musique, des peintures, des bronzes, de l’électronique, des meubles anciens, de la vaisselle, des objets d’art, tout ce qu’il a de la valeur l'entreprise de débarras le reconnaît directement. Cela ne veut pas dire qu’il embarque uniquement les objets de valeur au cours d’une prestation de vider une maison après décès. Il embarque littéralement tous les objets présents en accordant une relevance très particulière sur un travail minutieux. Le tri et le recyclage sont des valeurs nécessaires, il ne faudra pas jeter une batterie de voiture dans une uncomplicated poubelle, mais au contraire prendre toutes les précautions nécessaires. Les entreprises de débarras et les brocanteurs sont dans l'obligation professionnelle de vous indiquer des objets ou meubles de grande valeur, sous peine de poursuites.
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 49]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48] Le jour 49, un ange passa. Le 2 mai en début de soirée, Jérôme, le vieil ami de Gustave, rentrait d’une promenade illégalement longue mais légitimement saine dans les forêts environnantes où il n’avait croisé aucun de ses semblables potentiellement dangereux. Au moment où il plaçait la clé dans la serrure de son appartement, il aperçut un papier blanc retenu par un coin du paillasson. Bizarre, bizarre – un voisin vigilant et généreux voulait-il lui fournir quelques attestations d’avance ? Peu probable. De ses mains caoutchoutées, il ramassa le papier : Être un ange gardien, c’est faire une photocopie d’attestation quand son voisin de dispose pas d’imprimante. Voilà l’une des bonnes œuvres dont tu as bénéficié, ô citoyen, durant ces dernières semaines. Son auteur a bien agi. Il en sera récompensé. Mais toi ? Écoute. Mai arrive. Ne te découvre pas d’un fil. Écoute : Le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, les étoiles tombèrent du ciel sur la terre comme un figuier secoué par grand vent jette ses figues, le ciel fut retiré comme un volume qu’on enroule, et toute montagne, toute île furent enlevées de leur lieu. Et voici un cheval verdâtre ; son cavalier se nommait la Mort, et l’Hadès le suivait. Et il leur fut donné pouvoir sur le quart de la terre de tuer par l’épée, par la famine, par la pestilence et par les bêtes sauvages de la terre. Écoute et, le 11 mai venu, chaque jour, répète ces mots le matin, le midi et le soir : Ange gardien, ami fidèle Sois près de nous à l’agonie : Alors surtout garde-nous bien ; Que nous sentions ta main bénie, Ange gardien ! Et le soir trois fois tu diras : Mon bon ange, compagnon, maître, gouverneur, seigneur, roi, prince chéri et bienfaisant, toi qui veilles sur moi avec tant de bonté, toi en qui j’ai tant de confiance et je n’en aurai jamais assez, toi qui me soutiens en tous les instants de la vie... Signé : la brigade d’anges gardiens 👼 👼 👼 Jérôme éprouva un vent glacial et glissa le papier entièrement sous le paillasson. De qui cela venait-il ? Qui était l’ange ? Habitait-il l’immeuble ? Quel étage ? Entrait-il comme le souffle de l’esprit par la lucarne des combles ? (À suivre).
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Fin juillet
24. Je me suis toujours demandé à quel point les lieux géographiques où je vivais, avec leurs chambres, leur maison, leurs paysages et places les plus fréquentées, imprimaient leurs traces sur mes lieux intérieurs. Je réalise que chacune de mes grandes périodes s’inscrivent dans un lieu précis et spécifique. Tous mes souvenirs, qui font celle que je suis aujourd’hui, et l’histoire que je me raconte, sont empreints de ces endroits.
Ma maison d’enfance, la Noé Sèche, vieille maison paysanne, gigantesque, avec ses grandes pièces, et sa froideur. Le mur bleu de ma chambre, peint par ma mère. C’étaient comme des nuages, et j’essayais d’y deviner des formes. Dans le grenier, les vieilles fenêtres pleines de toiles d’araignées, qu’il fallait soulever avec une longue tige métallique. Cette ancienne chambre qui donnait la chair de poule, sous les combles du grenier, un vieux sommier encore présent, au milieu des cartons. (...) Je repense à la ville de Brest, à la tristesse de ses rues, à son charme mélancolique. (...) Soudainement, j’étais propulsée dans une quantité folle de nouveaux endroits, tout en quittant les anciens. Ville, appartement, école, routes, bus, bars. Amis. Ca fait si peur, mais que c’est bon quand ça bouge. (...) Ayant plusieurs fois changé de ville et de foyer, je n’ai cessé de poser des repères, d’en quitter et d’en reposer des nouveaux. (...) Chaque relation, aussi, en elle-même, est un monde nouveau, et ses lieux à elles varient beaucoup (...)
Ces lieux ont incarné certaines de mes douleurs, certaines de mes joies. Ils m’ont réconforté, ou effrayé. Jusqu’ici, je n’avais vu qu’une partie de leurs fonctions.
Mes chers lieux, endroits de vie, ne m’étaient pas seulement des espaces pour m’exclure du monde, m’en isoler ; mais ces lieux-là étaient déjà un monde en soi. Comme une deuxième peau. Espaces intimes où je retire le masque.
25.
Quand tu pars en voyage
Tu ne sais jamais
Ni, ce que tu vas trouver
En allant
Ni, ce que tu vas retrouver
En revenant
J’ai autant d’identités que je connais de personnes. J’ai l’identité passée, présente, en voie d’éclosion. J’ai l’identité à laquelle je m’accroche, celle où je m’enferme, faute à mes vieilles représentations et à mes peurs. Et j’ai l’identité que je m’imagine, par plaisir, pour flatter l’ego.
Sur le réel, vient infailliblement se poser l’imaginaire. Et chaque imaginaire est relié à l’imaginaire d’un autre. On est véritablement le peuple de l’imaginaire. On se raconte à nous-même et aux autres des histoires. Nous sommes des récits vivants et autonomes (à demi, puisque nécessairement enfants d’autres récits). Où tout s’influence, sans cesse. Hommes entre hommes, hommes et animaux, paysages aussi.
Mercredi 4 août
Louise vient de partir. Je ne pensais pas que ça provoquerait autant d’émotions en moi. (...) C’est marrant, aussi, parce qu’on sait très bien dans cette coloc’ que, du fait de notre différence, on n’aurait jamais été amis, naturellement, dans la vie normale. Et, pourtant, il s’est créé quelque chose. Dans cette expérience partagée, dans cette colocation « forcée ». On est devenu amis. Des amis un peu particuliers, parce qu’à la base, on ne partageait pas grand-chose en commun. Mais, le temps passé, la dureté des épreuves traversées, la complicité se renforçant au fil du temps… ça nous a rendu incroyablement proches. Et on a été super important les uns pour les autres.
(...) Avec Louise, on a dansé. On s’est laissé aller, enfermés depuis des mois à la Roldos. Louise a pleuré dans mes bras. Louise a compris mes pleurs. On a pleuré ensemble en trouvant la vie un peu dégueulasse, une soirée, installées dans une maison de riche alors qu’on voyait la misère au quotidien.
Louise était un soleil, dans cette maison.
(...)
Mais je sens que ça vient signer la fin de quelque chose, la fin d’une ère. Une ère qui, d’un côté, j’avais hâte qu’elle se termine, parce que putain cette ère c’était sacrément difficile, j’en ai bavé, j’en bave encore. Mais en même temps, ça a été d’une beauté extrême. C’était tellement fort. C’était tellement beau.
Aussi, j’ai peur sans elle. Parce que, tous ensemble, dans le même bateau, on tenait le navire. On tenait les vagues. Dans ces marées super violentes, j’ai rencontré une amie au cœur d’or.
Mercredi 5 août 2020
J’ai l’impression de prendre des torrents de conscience dans la gueule ces derniers temps. Voici aussi pourquoi l’expérience est si violente. Tout change si vite. Pour moi, tout a changé si vite. Avec une rapidité inimaginable. La représentation que j’ai du monde, celle que j’ai de l’humain, et celle que j’ai de moi-même. Tout cela a basculé, s’est modifié. Tout mon système de représentation est en train de s’agrandir. J’ai l’impression qu’il y a des axes de conscience qui s’allument à l’intérieur de mon psychisme. En ce sens, peut-être, je me sens plus complète (j’allais écrire complexe, mais sûrement aussi). Car de nouveaux détails, ressentis, vécus, images se rajoutent à d’anciennes, mais sans être nécessairement homogènes aux dernières.
Il faut donc tout réinterroger.
Plus j’ai des réponses, plus j’ai des questions.
Car ces nouvelles réponses, sur le moment, pas mentalisées, pas suffisamment traversées pour y poser du sens, interrogent précisément cette absence de sens, momentané. Pourquoi ? Comment ?
Plus de questions, plus de questions. Eh, parfois, on y arrive ! On trouve un bout de réponse. Mais cela n’enferme pas. Tout le contraire. Cette réponse ouvre. Plus de possibles, de réalités, de champs du vivant. Et alors, affleure de nouvelles questions. Encore, encore.
C’est sans fin. D’où mon vertige.
Je n’y comprends plus rien, parce tout a bougé. Autour de moi. A l’intérieur, aussi, beaucoup. J’ai pourtant, plusieurs fois, bougé de contexte, villes, apparts, amis.
Mais celle-ci, je pense, change sur trop de facteurs, quasi du tout au tout.
Et, mon dieu, même si c’est dur, même si j’en chiale, parfois, je suis de plus en plus heureuse. Car je sens une joie profonde, tellement pure, tellement lumineuse, qui n’avait ni cette intensité ni cette profondeur ou épaisseur avant. J’ai l’impression que mon âme a été marquée au fer rouge. Mais, peut-être aussi, plus simplement, que c’est moi qui me suis ouverte à elle. Qu’on s’est rencontré, enfin.
Cette ouverture-là au monde, cette ouverture-là à moi-même, ça change une réalité entière. N’oublie pas l’autre, non, mais se superpose. Se poser après, derrière.
Mercredi 19 août
Thibault est parti. Hier. C’est quasi la même douleur que pour Louise. Ayant partagés des moments si forts, ensemble, j’ai l’impression que c’est une part de moi qui s’en va. Il me semble que c’est plus facile d’être celui qui part, que celui qui reste. Celui qui part, oui, perd quelque chose. Mais il part pour retrouver autre chose. Celui qui reste ne sent que la perte. Sans gagner autre chose.
On n’est plus que deux colocs à la maison. Et les prochains n’arriveront, peut-être, que fin septembre. Et je n’ai pas d’autres amis, ici.
Quelle épreuve en solitaire. Ces vagues d’épreuves, de face à moi-même, ne cessent de se répéter. Deviennent une certaine normalité.
Mais, en même temps, ça me donne de plus en plus envie de porter mon projet à bout. Celui de filmer les gens d’ici. De faire des portraits d’eux, qu’ils parlent.
(...) Si je ne me laisse pas aller à mes émotions négatives, à celles qui frottent, qui piquent, les désagréables, si je ne les laisse pas franchement me piquer, alors elles ne cessent de trainer dans le coin. Peut-être moins intensivement, mais plus longtemps. Alors je tente de m’y abandonner, quitte à me gratter, moi-même, contre elles. Et, souvent, alors, elles s’en vont. Et je retrouve ma joie profonde.
(...)
L’attente. J’attends. Que le temps passe. Je rêve avec sourire à mon avenir futur, à mon retour à Paris, aux retrouvailles qui seront si fortes, si précieuses, avec mes amis, ma famille. Avec ceux que j’aime tellement. Avec ceux que j’affectionne aussi, peut-être plus simplement, mais qui représentent ou ont représenté quelque chose pour moi. C’est beau comme la distance peut, paradoxalement, te permettre de reconnecter à des gens lointains. Dans une routine habituelle, on oublie, et on s’en fout, ou on se dit à plus tard. Quand on est loin, on veut que le plus tard soit le plus vite possible, car on réalise que c’est précieux. ô combien précieux.
Samedi 22 août
On est enfin parti en vacances. Et ça fait du bien, putain. Il faut se dire quand même que seulement deux mois et demi après mon arrivée en Equateur, nous étions confinés. Pendant 3 mois. Puis depuis, c’était hyper bloqué. Possibilité de voyager bien restreinte. Ca m’a laissé peu de temps et d’occasion pour visiter le pays. J’en avais même oublié que c’était un des avantages du voyage. Ca peut paraître contradictoire.
Lors de nos premiers jours, on s’est rendu à Otavalo, Antoine, Thibault et moi. (...) Durant les trois nuits, nous étions les seuls locataires de l’hôtel. C’était bizarre, déjà. Du toit, on avait une jolie vue sur une imposante montagne, très sombre, de couleur.
Les jours suivants, on a essayé de faire différentes excursions, lacs et cascades. On était trimballé à l’arrière d’une camionnette. J’adore ces camionnettes, parce que, bon, déjà on n’a pas ça en France et puis, en plus, on a accès à l’ensemble du paysage. Puis, dans ces instants, à l’arrière de celles-ci, on se sent vraiment voyageur. Ça peut paraître con, ça peut tenir à l’apparence, mais ça participe à la sensation. On se sent en voyage. Et puis, on s’est retrouvé, souvent, à la porte de, sans pouvoir franchir. Routes fermées, passages barrés. Toujours pas réouvert au tourisme et à la visite. Les gars étaient verts, surtout Thibault, lequel vivait ses derniers jours en Equateur. J’étais déçue, certes, mais en même temps la camionnette nous faisait déjà voir des supers paysages en soi, et je m’en contentais. On a réussi à voir un superbe lac. Il était magnifique. On le voyait de haut. C’était un ovale, et ses sentiers étaient remplis de végétations fournies, généreuses, et d’un vert incroyable. En son sein, au milieu, il y avait une petite île, elle-même remplie de végétations. A cet instant, je me suis vraiment sentie sur les terres de l’Amérique. Il y avait quelque chose d’incroyablement dépaysant.
La sensation vécue avec l’hôtel s’est répétée dans tous les restaurants où nous sommes allés. Chaque fois, nous étions les seuls, dans la salle. C’est étrange d’être entourés de tables vides. Ça nous rappelait sans cesse la situation, la maladie. Qu’est-ce qu’ils doivent en chier, ces commerçants qui ne vivent que grâce à cela. En tout cas, on a toujours croisé des gens incroyablement chaleureux, et heureux de voir qu’il y avait, au moins, 3 touristes.
On s’est promené autour du lac San Pablo. Thibault avait les jambes brûlées par le soleil. On ne pouvait pas contourner par le lac directement, s’éloignant plus vers la route. (...)
J’ai regardé. On est passé par des centaines d’habitations. Et c’était un petit joyau. Joyau par cette non-présence de touristes. Ça rendait tout le naturel à cet endroit. Il y avait parfois des moutons dans des champs, des poules… Je suis passée à côté d’un atelier, j’y ai vu un homme travailler le fer, avec son instrument qui fait des flammes. Il y avait un homme qui, avec une délicatesse si recherchée, étalait avec délicatesse du ciment sur un début de mur de briques. Un autre, plus tard, qui réparait sa voiture. Et puis, surtout, cette scène, magnifique. On est arrivé vers une rivière. En bas de celle-ci, un homme, accompagné de, je suppose, sa compagne, lavaient leurs vêtements dans l’eau. J’ai bien conscience de la pauvreté qui émerge de cette scène. Mais ce qui était beau, ce que je trouvais merveilleux là-dedans, c’était le réel de cette image. J’avais presque envie de sortir mon téléphone, pour prendre une photo. Mais ça me mettait mal à l’aise. Je ne voulais pas être la touriste blanche volant un bout d’instant parce que c’est « tropique », parce que c’est « exotique ». A la place, je me suis contentée de les regarder. L’homme m’a vu, et on s’est échangé un sourire, et un « buenas tardes », et ça valait bien mieux que la photo.
On a escaladé un chemin poussiéreux, arrivant à un tout petit village. Des gens, vieux surtout, assis au bord de leur maison, semblant attendre que le temps passe. Et la balade qui s’en est suivi, qui était magnifique. Ça m’a rappelé mes vacances étant enfant, avec mes parents, dans le sud de la France. On a croisé tout une bande d’enfants qui nous ont crié au loin « gringos » et « coronavirus », tout fiers, tout amusés.
Et puis, quelques jours plus tard, on s’est rendu à la plage, à Tan Supa. Parce que c’était la plus proche qui était ouverte. Après 7h dans le bus de nuit, sans dormir, on s’est fait agrippé à 6h du matin par plein de mecs qui voulaient absolument qu’on les prenne comme taxi.
Ce que j’en retiens, surtout, c’est cette longue promenade sur la plage, le premier jour, avec Thibault. A la recherche d’un spot de surf. Il n’y avait quasiment personne sur la plage, bien qu’on soit en plein été avec un beau soleil. En s’éloignant des premiers buildings, qui dénaturaient avec le paysage sauvage, on a vu de plus en plus de maisons à moitié détruites, ou pas construites, le long du banc de sable. On s’est posé à un endroit, en se demandant si, sans personnes autour, c’était pas dangereux. Derrière, pas loin, je voyais des gens au premier étage d’une maison, sans murs. Ils vivaient dans une maison sans murs à l’étage. Comme si de rien.
Mais, surtout, je me souviendrai de l’homme que l’on a rencontré en allant chercher à boire. Tous les bars étaient fermés, car la vente d’alcool était interdite. C’est sa femme qui tenait le petit stand de boissons au début. Elle semblait triste. Elle portait une mélancolie bien lourde dans ses yeux. Son mari, gérant du commerce, avait un produit bleu dans les cheveux. Il se faisait une coloration blonde. Puis, il est venu nous préparer le cocktail. Mais nous a demandé de rester discret. Pas le droit, normalement. On est resté assis là, à le regarder faire, partant en cuisine pour y glisser l’alcool. Le cocktail était magnifique, il l’avait orné de fruits. Et il est resté au stand, pendant qu’on le dégustait. Du coup, j’ai commencé à lui poser des questions. Il m’a dit qu’il tenait le restau depuis 15 jours seulement, mais que c’était super dur. Aucun touriste. En plus couvre-feu à 21h la semaine et à 19h le week-end, donc forcément, ce sont des heures auxquelles les gens viennent, normalement. Toute sa famille traînait autour. On a parlé de la corruption des présidents, des élections… Ils nous a dit qu’il avait appris à faire des cocktails sur la côte plus riche, située plus dans le sud. Il avait quelque chose d’incroyablement touchant, d’émouvant dans ses yeux. Et il est resté tout le long discuter avec nous. Il semblait en avoir envie, même s’il le montrait pas vraiment. Il était jeune, et beau. Il y avait ses bambins, qui venaient, parfois. Il semblait triste, lui aussi. Thibault m’a dit « j’ai l’impression qu’il a quelque chose à dire mais qu’il ose pas, on dirait qu’il a les larmes aux yeux ». Alors j’ai continué à lui poser des questions. Pour se débrouiller, ils vont beaucoup pêcher, ça leur permet de manger.
On a vu sa femme lui rincer les cheveux dans la rue, laissant couler le bleu des cheveux pour une coloration blonde.
(...) D’ailleurs, je faire faire le documentaire. Aujourd’hui c’est sûr. J’en ai parlé à Jovanna, qui tient une tienda juste à côté et avec qui je discute toujours un peu. Elle prend toujours de mes nouvelles quand j’y vais, me demandant « y que mas ? », souhaitant toujours en vouloir plus.
Je lui ai parlé de mon projet, et de mon envie de la filmer. Elle a eu quelque chose qui s’est allumé dans le regard. Elle m’a dit oui ! mais m’a demandé de la prévenir, pour qu’elle prépare sa maison, elle voulait que je la filme, j’ai trouvé ça super car j’avais même pas parlé de ça.
C’est une adaptation sans fin, il me paraît. Et en même temps ; c’est que je recherche. Ca me donne le vertige. Mais je veux ce vertige, je crois. Pourtant, je me croyais aimer le confort. La routine. D’une certaine manière, je l’aime. Quand elle peut s’installer, sinon j’ai la nausée. Mais j’aime cette routine dans un global qui bouge. des routines qui changent.
Dimanche 23 août
(...) Mon désir est ma boussole. Et mes sensations sont mes repères.
Et, bordel, qu’est-ce que j’ai gagné en liberté. J’ai tant gagné en liberté. Je me sens de plus en plus libre. C’est un bonheur.
Ce qui a changé, également, c’est que j’ai réalisé le miracle et la chance qu’est d’être en vie. J’imagine qu’avoir assisté à cette misère, ici, c’était réalisé le bonheur de la liberté et la joie d’être en vie. Et je prends conscience ô combien il faut vivre pour soi et selon soi. M’exclure de mon contexte m’a permis de prendre des distances avec mon rapport au groupe, au collectif. A ce que le collectif attend de moi.
Mercredi 26 août
L’ouverture au monde.
L’émancipation. L’individuation. La singularisation. Qui suis-je ? Qui ai-je envie d’être ? Qu’est-ce que, moi, je pense ? Quels sont mes idéaux, à moi ? Se détacher du discours parental et universitaire. Trouver son propre discours. Trouver sa propre voix. Et alors trouver sa voie.
Se laisser surprendre. Se détacher d’anciens schémas : schémas relationnels, modèles de personnes, modèles de vie. Accepter. Ouvrir ses représentations. Ouvrir ses émotions. Sensations. Ne plus croire, seulement vivre. Sentir.
Il y aurait donc tout là l’idée d’un voyage initiatique : d’une jeune fille à une femme. Vivre pour soi. Sortir de ce qui est attendu. Et aller se chercher ailleurs. En sortant de son contexte, on s’ouvre à autre chose en soi. On rajoute du nouveau et de l’inconnu.
Vendredi 28 août
Ce que je remarque c’est que les gens ont tellement tellement besoin d’amour. Et de reconnaissance. On a tellement besoin d’être accompagné, et reliés, dans la vie. Sinon on se fane. Vraiment, sans les autres, on se fane. Je le vois, intimement, dans tout ce qui m’aide et est bon pour moi quand quelqu’un est là. Quand quelqu’un prête attention à ce que je pense et ressens. Et je le vois, en l’offrant aux autres.
(...) Quand on souffre trop, il n’y a pas de sens, qu’on puisse franchement trouver à cette vie, alors misérable et pénible. Mais, quand on commence à découvrir, à quel point notre corps et notre esprit est désireux de sentir, de vivre, et que cela peut passer par des voies si folles de douceur, de joie, de bonheur, d’amour, alors c’est le feu.
A moi, en tout cas, ça me suffit, pour vivre. pour trouver de la légitimité à mon existence.
J’adore les personnes qui s’expriment, qui donnent d’eux. On reste tellement trop dans notre bulle, pensant soi que les autres s’en foutent, parfois, oui, c‘est vrai, parfois trop fermés pour souhaiter la connexion. J’ai l’impression, qu’avec le temps, la sensibilité prend plus de place, demande qu’on l’écoute, et permet un peu plus qu’on l’écoute. Et j’adore, peut-être, et sûrement, parce que je m’y retrouve, ces gens qui ne sont qu’en attente de lier, se relier.
(...) en vrai, c’est tellement fort cette expérience. ça dépayse tout,
comme je disais à Arnaud, ça dépayse même à l’intérieur de moi ce n’est plus, juste, l’extérieur, la communauté, le social, qui dépayse mais mes propres fondations sont dépayséés je n’ai plus aucune idée de ce qu’est le monde de ce que je suis de ce que je veux peut-être ne l’ai-je jamais vraiment su mais là j’en vois toute la raison et avec raisons quelle vie putain quelle vie
(...) Mais, parfois, ma réalité n’a plus aucun sens. car je me sens tellement seule. et ma réalité n’a plus de sens car elle a perdu tous ses repères. Les repères donnent du sens, donnent une continuité. là je sais plus. ça devait pas se passer comme ça, ça devait pas être aussi terrible. Pourquoi c’est aussi terrible ?
mais c’est tellement violent qu’une réalité change à ce point en si peu de temps pendant quasi 24 ans ma réalité = ça et en 6 mois c’est autre chose que veux-tu dire à ça
j’ai tellement hâte de rentrer et de les retrouver
bordel
Samedi 29 août
Boutique de Jovana.(...)
Jovana m’a parlé des hommes ici, pas mal machistes selon eux. Ils ne font pas la cuisine, faute aux mères qui ne veulent pas les laisser faire. Elles veulent tout offrir. Tout donner.
Ici, les gens vivent en famille. Les personnes vivant avec leurs amis sont vues comme des libertins. De plus, le premier but dans la vie est d’acheter une maison. C’est le point de départ de toute vie d’adulte. Il y a l’idée que c’est ta seule protection sur terre. S’il t’arrive quoi que ce soit, si tu n’as pas de maison, tu n’as rien. SI tu tombes malade, si tu te fais expulser, quoi que ce soit, ta seule garantie c’est une maison dont tu es propriétaire. Ils ont travaillé quasi toute leur vie pour arriver à celle qu’ils ont aujourd’hui. Arriver à cette maison. Ils ne comprennent pas qu’en France on n’achète pas plus tôt.
Elle m’a dit que si ses enfants ne vivaient pas avec elle ce serait la fin du monde pour elle.
Dimanche 30 août
C’est dur. Encore. Et je pense que peu peuvent le comprendre. Parce c’est tellement dans les tripes, c’est tellement dans l’immersion vive et prolongée qui appelle les tripes et s’y installe. Et le fait de ne pas avoir d’échappatoires possibles rend l’affrontement encore plus dur.
Dans la vie que je connais, dans sa société, je réalise que nous avons, à notre disposition, beaucoup d’échappatoire. On se bourre la gueule dans des bars, on part en week-end ou en vacances. On oublie, quelques instants. On trouve et prend à disposition différents moyens d’échapper à la vie très rythmée du « boulot dodo ». Ou, peut-être est-ce un peu trop radical ou vieux-jeu de voir ça comme des échappatoires. Ce n’est pas parce que ça a fonction de que c’est que ou surtout ça. Ces « échappatoires », moments « à côté de » boulot dodo, sont, à présent, faisant autant partie de notre quotidien que le reste.
Mais, dans cette vie-ci, que j’ai l’occasion de tester actuellement, en Equateur, ces « à côté » n’existe pas. Dans les quartiers pauvres, la majorité de l’existence se résume à boulot dodo. Du lundi au dimanche, du matin au soir, de janvier à décembre… et moi, qui me vois obligée de le « vivre » (c’est vraiment beaucoup dire car je ne travaille pas tant que ça), je trouve ça dur. Disons que, moi, je dois simplement vivre la suppression de ces luxes de plaisir : les sorties. Sortie dans un bar ou sortie à la mer. Toute sorte de sortie. La vie semble alors toujours la même.
Sans sortie, et sans issue.
Je ne me sens qu’à moitié complète là-dedans. Et à moitié vivante. J’ai perdu de ma joie. J’ai perdu de mon désir.
Je trouve que ce genre de vie demande une sacrée dose d’acceptation. De résignation. De renoncement. Et en même temps, c’est normal. Je ne sais pas s’ils réalisent ce que c’est la vie ailleurs. Je crois que, parfois, il ne vaut mieux pas savoir. Le décalage est si intense…
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Les images viennent si vite, si clairement, à la lecture de chaque livre. Mais l’effort d’en faire un film serait vain. Finalement, il est déjà là, projeté dans ma tête. A quoi bon en faire profiter tout le monde ?
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Quand j’ai eu 10 ans, mes parents ont voulu une maison. Alors on a quitté notre appartement au 4ème étage à Tours pour aller dans le Loir-et-Cher.
“A Tours”, quand mes parents disent ça, pour moi ça veut dire le balcon du salon. J’y passais mon temps quand il faisait assez bon, en essayant d’étendre les saisons : de mars à octobre. Je m’échappais de l’appartement trop petit, de la cage d’escalier trop bruyante qu’on entendait depuis toutes les pièces. En plus des quatre étages, on profitait d’une légère différence d’altitude qui faisait plonger la vue doucement vers les toits des bâtiments plus petits et plus chers, vers les parcs dont on voyait le sommet des arbres, et finalement vers la Loire, le centre-ville. En se penchant, par beau temps et avec un peu d’imagination, on voyait le clocher de la cathédrale Saint-Gatien, alors qu’on l’entendait à peine.
Je voyais certains voisins. J’inventais ceux que je ne voyais pas. J’imaginais mes camarades d’école, ceux que je ne connaissais que de vue. En faisant semblant de faire mes devoirs, mon regard se perdait dans une fenêtre au loin, et je voyais Camille de l’autre CM1. J’imaginais la tête de ses parents, une copie en plus abîmée, plus marquée, plus bizarre, comme chaque parent de chaque enfant à l’école. J’imaginais Camille qui prépare son cartable rouge, Camille devant son livre de maths, Camille qui joue aussi à Fortnite, Camille qui fait pipi assise. Les parents de Camille qui repassent les vêtements de Camille, qui cuisinent le repas de Camille, qui font un bisou de bonne nuit à Camille.
J’étais très enthousiaste, à l’idée de déménager. Une maison, un jardin, de nouveaux copains à l’école, de nouveaux copains à inventer.
Mais dès le premier jour, j’avais compris ce qui allait pas. C’était une maison toute plate sur un terrain presque plat. A chaque fois qu’il y avait des invités, mes parents vantaient la vue dégagée, l’absence de vis-à-vis. Moi, je trouvais justement que la vue était nulle. On ne voyait les arbres que d’en dessous, c’était la même pelouse à droite et à gauche. On apercevait une seule maison au loin, mais mes parents prévoyaient déjà une haie pour nous en séparer. J’avais l’impression d’habiter au sous-sol. Deux ou trois mètres de hauteur en plus auraient suffit à me faire respirer. Cette maison toute basse était comme une casquette qui annule la partie supérieure de notre champ de vision, et qu’on finit par oublier. (Mon père cherche tout le temps son chapeau, alors qu’il est sur sa tête.)
La deuxième année, mes parents ont fini par installer un velux dans les combles. Et c’est comme ça que je suis devenu quelqu’un de solitaire.
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Tous ces efforts, ces photos de moi, l’abonnement Tinder Gold, ces fringues qui ne me ressemblent pas, cette conversation merdique, s’intéresser à elle, se couper pour saluer un pote qui se retrouve par hasard dans le même bar, pour être cool, détendu, puis les sourires en coin, mentir chacun pour marcher encore un peu ensemble, les mains qui s’effleurent.
Tout ça pour avoir l’image la plus triste du monde dans ma rétine. Ma bite pressée dans du latex, viande sous vide, comme écrasée contre une baie vitrée. Et cette fille qui la travaille avec ses mains froides comme elle laverait un maquereau. Je suis tiède, vide de toute excitation. Malheureusement, je bande mécaniquement. Comment fuir ? Je vais être obligé d’y aller, ça me dégoûte. Peut-être juste couper net ?
-Allez, moi j’y vais.
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Une nouvelle expérience
nous sommes un jeune couple de 20 et 21 ans, très amoureux, et sexuellement très épanouis. Nous avons toujours su satisfaire l'autre en essayant de nouvelles choses. Depuis un petit moment déjà nous réfléchissons de quelle manière aller plus loin, voir les limites de notre plaisir, pas encore franchies malgré toutes ces expériences. La domination, dans des lieux publics, le romantique, tout avait été fait et refait. Même si l'excitation était la même à chaque fois, la routine s'installait. un jour d'été, je rentrais à mon appartement après les cours, et tu m'attendais sur le canapé comme tu en as l'habitude. La nuisette laissait suggéré la suite de la soirée, ô combien douce et ré-jouissante. je m'approche, commence à déboutonner ma chemise, et t'embrasse. Une fois torse nue, je commence à te caresser le bras, le ventre et la poitrine. J'enlève ma ceinture mais tu retiens mes mains à ce moment là. Tu me souris, te lève et me glisse à l'oreille "ce soir, c'est moi qui m'occupe de tout". Tu me pousses alors contre le canapé. je m'y assois. tu me bandes les yeux et m'attache les mains dans le dos. Je sens l'excitation monté en moi. Je sens quelques papouilles sur mon torse qui me montent au comble de l'excitation. Je te sens alors défaire ma braguette et enlevé mon pantalon ainsi que mon caleçon. Tu prends tout de suite mon membre en bouche. tu le sens grossir dans ta bouche. Ton application à la tache est remarquable. tu joues énormément avec ta langue sur mon gland. les petits va et viens de ta bouche, petits au début, se font de plus en plus ample. Je me sens monter. J'entends alors ta voix "tu prends du plaisir ?" pendant qu'une autre bouche est toujours occupé avec moi. Mais alors, à qui est cette bouche ? je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche que tu fais rencontrer ta langue avec la mienne. Puis une fois finie, je n'aie pas encore le temps de parler, que ton sexe est déjà placé sur mes lèvres, ne demandant que du plaisir de ma part. Tu es satisfaite de ton plan. Depuis longtemps tu voulais un plan à 3, tu arrives enfin à le réunir et à me faire adhérer à la supercherie. Tu vois que je prends énormément de plaisir, que je te rétribue par le contact de mes lèvres, sur les tiennes. Je m'applique énormément. Mes coups de langues sont précis, et visent en priorité ton clitoris déjà dure sous mes coups de langues. tu gémis. Au fur et à mesure que je monte, mes coups de langues se font plus forts et ton plaisir monte également. Au bout d'un temps, tu sens que j'arrive au bout de mes forces, et demande à arrêter de me sucer. La fameuse bouche si délicate se retire. ton sexe reste encore sur ma bouche. Je sens unde tes doigts rentré dans ton sexe et alors tu gémis fort,tu cries même. quelques gouttes de ton excitation me parviennent. tu retires alors ton sexe de ma bouche, les jambes un peu tremblantes du plaisir procuré. Tu retires alors mon bandeau, et je découvre alors un bel homme derrière toi, bien membré. Voilà la fameuse bouche. Bien que je ne sois pas particulièrement attiré par les hommes de base, celui-ci est très beau. tu te places debout entre moi et lui, puis tu te penches vers moi, lui accordant le plaisir de te pénétrer pour ton plus grand bonheur. Tu gémis un peu, bien qu'il n'aille pas si vite. Tu m'embrasses alors et me demandes "est-ce que tu m'en veux ?". "ça, tu le verras quand je me vengerai" te répondis-je, en arborant un grand sourire et en t'embrassant de plus belle. Bien sûr que non je ne t'en veux pas. Les coups de reins du bel homme se font plus forts. Tu gémis davantage. mon sexe a pu se reposer, et tu le vois. tu le prends alors en main avant de le mettre en bouche. Bien qu'il suce très bien, je n'ai pas pris autant de plaisir avec toi. Certainement ton plaisir oeuvre sur le mien. au fur et à mesure, ses coups de reins se font de plus en plus forts et je te vois prendre beaucoup de plaisir. Ton excitation monte davantage. Tu décides alors de me détacher les mains. Je me lève de suite. L'homme se retire, s'assoit sur le canapé. tu te mets à genou devant lui et commence à le sucer, tandis que je mets 2 ou 3 fessées avant d'entrer en toi. Mon excitation est trop, enfin la nôtre. Je commence tout de suite avec des coups de reins rapides. ton plaisir décuple alors. Tu as même du mal à te concentrer sur son membre. j'accélère encore mes coups et passe une de mes mains sur ton clitoris, déjà stimulé avec ma langue tout à l'heure. pendant que je te pénètre, ma main masse ce clitoris. Tu en cries de plaisir. L'excitation de l'homme est telle que le va et viens de ta bouche le fait venir et il éjacule dans ta bouche. Tu en prends une partie et recrache l'autre, et tu continues à le sucer un peu. Moi je n'en ai pas encore fini. Je te retourne et te mets sur le dos, les jambes écartées et je te pénètre de toute mes forces. tu me regardes, la bouche grande ouverte, haletante, les yeux pleins de désirs et de plaisirs. je t'embrasse. Je te sens monter jusqu'à ce que tu n'arrives quasiment plus à tenir en place. Dès lors je me retire, place ma bouche sur ton sexe et y fait pénétrer deux doigts. tu atteins alors un orgasme d'une trentaine de seconde. On l'entend par ta voix, on le sent par tes membres qui bougent, tes organes qui se resserrent et par le liquide qui s'y écoule. une fois un peu redescendue, je me mets au-dessus de ta tête. Tu me prends en bouche et fait des va et viens puissants avec ta bouche et en jouant avec ta langue, ce qui me fait venir très rapidement dans ta bouche. je me retire alorset me mets au-dessus de toi. Tu me regardes, avales et m'embrasses. après cette scène, le bel homme nous quitta, et on essaya de reprendre nos esprits.
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