#aoûtien
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blackswaneuroparedux · 1 year ago
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So recently I was listening to one of my favourite podcasts while on a business trip by train through the Swiss Alps to Zurich. 'The Rest Is History' hosted historians Dominic Sandbrook and Tom Holland were quite topical talking about France under de Gaulle and the student riots of 1968 as well as its legacy towards France’s current troubles with civil disorder.
The recent riots starting in Nanterre and beyond were troubling and significant. However outsiders not knowing the French or their culture and history thought it was either the fall of the Fifth Republic or start of the collapse of Western civilisation itself. It was nothing of the sort. For the most part the French think it healthy to blow off steam and have a jolly good riot in the same way people in England blow off steam by writing an angry letter to the editor of the Times. It’s just how things are. As predicted, things have gotten quiet now.
In their podcast Sandbrook and Holland cheekily suggested that the fizzling out of les evénéments – the student protests of 1968, during which it seemed that another of France’s periodic revolutions might ignite - had something to do with the Whitsun holidays. Realising that their Parisian parents were setting off for their holiday homes in the French countryside or the southern coast, the elitist student leaders put down their high minded revolutionary leftist philosophical slogans aside for the bourgeois comfort of vacances en famille. There is a lot of truth to that.
All this is to say les grandes vacancies have already begun in France. The grand vacation of July and August is an entrenched tradition in the French psyche. So ingrained is this tradition that until 2015 there were regulations still in place dating back to the French revolution that governed when bakers in Paris could take their holidays, so as not to deprive the city’s populace of their daily bread (not quite baguette, because that was invented later by the Austrians camped out in the Champs de Mars after the fall of Napoleon - but that’s another story).  
That France is in the middle of les grandes vacances can be seen here in Paris. Parisians are leaving their apartments and heading out to the countryside or down south to the Med - to be offfeeling handedly rude and entitled towards the locals. Schools have been closed since June. Many shops are closed or not nearly as crowded as usual, most of the people wandering the streets have cameras around their necks. Of course not everyone goes and those that stay can feel freer until the first glut of tourists arrive.
For many France in August is definitely their favourite time of the year. And every summer I’m reminded just how much French language and culture are inseparable by the fact that there are words for people who take their annual vacation in July, les juillettistes, or in August, les aoûtiens.
Most French people have 5 weeks of paid vacation per year, and some have even more time off with the inclusion of their RTTs (essentially, personal days) for those who work more than 35 hours per week. I work close to 80 hours a week, so I'm ready for my break from the corporate treadmill.
So my blog will be shut down for the rest of the summer as I go away on vacation. I’ll be back in early September.
I use this time to switch off my phone and strictly no social media as I go off grid. It's a question of valuing one's mental health. I hope you can do the same.
Thank you for following my blog and appreciating my eclectic posts.
I wish you all the best.
Have a great summer!
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adamads · 5 months ago
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Un petit dernier avant de prendre une petite pause estivale dans mes posts ! (Je vais profiter du mois d’août pour faire quelques petites études de dessin dans mon coin 😉)
Voici Loïz, un personnage dont j’avais déjà posté un portrait sur un ancien compte Facebook. Loïz m’a donné du fil à retordre, ce fut un de ces dessins à tourner en rond un moment, à changer ses tenues, sa pose, etc. avant de commencer à m’orienter vers quelque chose. 
Naviguer à vue en dessin c’est pas génial génial, c’est un truc à se perdre et à prendre le risque d’aboutir nulle part. Mieux vaut à minima se faire une vignette pour ne pas perdre le cap avant d’appareiller. 🧭⛵
Quoi qu’il en soit on se revoit en septembre avec du neuf ! 
Bonnes vacances aux aoûtiens, bon retour aux juilletistes ;) 
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claudehenrion · 1 year ago
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A la recherche de nouveaux faux problèmes...
Des ''savants'' (qu'il faut espérer un peu plus sérieux que les pantins qui attristent nos ''JT'' depuis qu'ils ont inventé le covid pour nous priver de nos libertés fondamentales et déglinguer tout le système économique qui servait de socle indirect à notre belle civilisation occidentale –la plus ''réussie'' pour l'Homme de tout ce qui a jamais existé) viennent de découvrir que les prémices d'humanité qui existaient il y a un petit million d'années ont failli sombrer et disparaître, par la faute d'une vague de froid qui aurait duré 100 000 ans. Le Giec, dit-on, en mourrait de jalousie !
Cette information, qui devrait calmer les mensonges les plus paniquants sur le climat, mérite deux explications et trois commentaires. Et d'abord sur le fond : deux équipes d'italiens et de chinois, auraient réussi par des calculs (du genre ''grosses-têtes + big data mélangés'') à ''démontrer'' que nos lointains ancêtres dits ''Erectus'' ont eu tellement froid tellement longtemps qu'ils sont tous morts : des algorithmes ''siouxx'' et des modèles ''komak'' expliquent que, partis 95 000 (NDLR : ce qui est à peine l'équivalent du débarquement sur nos côtes d'un trimestre de ''migrants'', ces envahisseurs potentiels rebaptisés dont la Gauche passe son temps à expliquer que c'est trois fois rien...), ces hominidés ont fini a moins de 1300 –ce qui, réparti sur toute la Terre, donne une densité dont rêveraient les aoûtiens migrant à Juan-les-Pins au mois d'août.
D'ailleurs, je mens : le chiffre auquel nos savants arrivent, c'est 1280, pas un de plus, pas un de moins. Comme cette petite aventure se serait passée il y a quelque 800 000 ans et se serait étendue pendant 100 000 ans plus ou moins l'épaisseur du trait, il faut admirer la précision indiscutable du chiffre : c'est pas 1281 ni 1279, c'est 1280, puisque les Experts vous le disent ! On ne peut qu'évoquer les sinistres litanies du non moins sinistre Jérôme Salomon d'aussi sinistre mémoire, qui égrenait chaque soir sur nos petite écrans la liste imaginaire de morts de n'importe quoi... qu'on décidait morts du covid, puisque c'était le meilleur moyen de nous terroriser sans raison et de nous faire faire, exactement, ''n'importe quoi'' : il avait cent ans ? Mort du covid ! Elle a été écrabouillée par un chauffard ? Morte du covid ! Les cancers généralisés, les maladies contagieuses, les ruptures d'anévrisme, etc ? Le covid, vous dis-je ! (Tout ceci est prouvé, vérifié, indéniable !).
Il faut dire que, entre les illusionnistes du covid, le bourrage de crâne du Giec et des sectateurs de Greta Thunberg, d'un côté, et de l'autre, les chantres de l'immigration ou de l'Ukraine et les affolés de la mort imminente de notre planète... le français moyen de 2023 (par exemple : moi !) est prêt à tout entendre, sinon –depuis peu-- tout accepter ! (NB : la liste complète des bobards que nos Puissants-du-jour nous ont fait et nous font encore avaler occuperait plusieurs ''éditos'' de ce Blog ! J'y ai renoncé, pour le moment)
Nous allons faire semblant de croire (NDLR : mais ''faire semblant'' seulement : les comploteurs officiels sont les seuls vrais ''complotistes'', alors que ce beau titre est réservé à ceux qui disent la vérité et qui dénoncent les énormes bobards de la communication ''venue d'en haut''...)-- à la fausse exactitude de cette réévaluation de notre passé : avec 1280 clampins –hirsutes comme un député de la ''Nupès'', et vêtus de peaux de bêtes et sentant vraisemblablement très mauvais comme quelques uns-- la science fait un grand pas vers l'histoire d'Adam et Eve qui auraient, à eux deux, peuplé les 5 continents à force d'être incontinents ! Nul doute que si notre grand la Fontaine avait connu cette histoire, il en aurait tiré des alexandrins merveilleux, où il aurait sans doute remarqué que nos pauvres ancêtres, grelottant dans leurs tanières, devaient amèrement regretter que leur descendance n'ait pas encore donné un bon coup de chauffe à la Terre en fabriquant des surplus de CO² --ce que la Bible appelait : bouffer un fruit défendu !
Ce qui me plaît dans cette publication-choc paruele 31 août dans la célèbre revue ''Science'' (il paraît que ça se dit ''saille-ènn-se'' : c'est de l'américain !), c'est que Céline Bon, grande manitoue (?) de la paléo-génétique (je vous expliquerai une autre fois à quoi ne sert pas ce truc inutile), au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris, fait le commentaire suivant, que j'ai relu à plusieurs reprises pour bien m'en imbiber : ''Dans les dates, il y a peut-être 200 000 ans en plus ou en moins....'', ce qui ramène la prévision à sa juste valeur : nous parlons ici , en gros, de 1280 gugusses poilus, comptés à 400 000 près, choux et carottes mélangés. Ça, au moins, c'est de la science (prononcé ''si-han-ce'', ici : c'est du français) ! Et on commence à se rassurer, tout en persistant, par pure charité chrétienne, dans notre regret profond qu'Eve n'ait pas eu le temps de réaliser un ''réchauffement climatique'' qui aurait empêché la perte de tant de nos chers anciens-ancêtres-même-pas-encore-gaulois, en commençant, bien sur, par ''les plus vulnérables d'entre eux''.
Moralité : lorsqu'on croit avoir fait le tour de tous les bobards possibles (ou de toutes les hypothèses à jamais invérifiables), il va toujours se trouver un esprit à peine plus tordu que les autres pour polariser notre attention sur autre chose que ''ce qui compte''. Cette anecdote a au moins le mérite d'attirer notre attention sur la tendance au ''toujours plus'' qui s'est emparé de la science ou de ce qu'elle est devenue, hélas par la faute de ce satané covid. Nous étudierons les conséquences de cette dérive dramatique dans les semaines qui viennent. En attendant, j'espère vous avoir fait sourire, avec ce petit saut dans notre Histoire commune et celle de nos ancêtres qui ''partirent 1280 mais par un prompt renfort, se retrouvent 8 milliards...prêts à se taper sur la gueule en permanence !'', et tous très occupés à polluer –à en croire certains !  Bonnes vacances de Toussaint.
H -Cl.
PS. n°1  : Car voici déjà revenu le temps des vacances. Que n'aurions-nous donné, dans ma génération, pour avoir de telles périodes sans école ! Mais il est trop tard pour se plaindre ! Je vous propose que nous nous retrouvions (sauf catastrophe absolue, qui justifierait une entorse à cette ''RTT'' si peu méritée) le mercredi 8 novembre au matin, si Dieu le veut... Je vous souhaite à tous de belles vacances, reposantes et régénératrices. (NDLR : évitez le cyclo-tourisme et le camping sauvage dans les pays arabes et surtout dans la bande de Gaza, de moins en moins ''bande-ante'', si j'ose !).
PS . n°2, à l'intention de anciens de la Promo '58 de l'ESSEC : je viens de passer mon après-midi au chevet de notre camarade de promotion Patrick Wauquiez.  Notre pauvre ami est en fin de course, et je l'ai quitté sans être certain de le revoir demain. Qu'il ait une fin de vie apaisée --ce qui n'était pas le cas aujourd'hui, malheureusement pour lui. Je suis bien triste.
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geipaf · 5 years ago
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Observation ASFA - Rambouillet, dans le tumulte du chassé croisé juilletistes/aoûtiens, un vol stationnaire sur voie ferrée. Fourchette de magnitude retenue -1.30 2.00 Azimut 68.19 #2018 #geipan #geipaf #ufo #ufaux #ovni (à Rambouillet, France) https://www.instagram.com/p/B1omfVZigZf/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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francepittoresque · 2 years ago
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ÉTYMOLOGIE | Juillettiste et aoûtien ➽ https://bit.ly/2ugsn2c Si nous avons la chance d’avoir des vacances, sommes-nous « juilletistes » ou « aoutiens » ? Et depuis quand ?
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Départ des aoûtiens
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idereahellyeah · 5 years ago
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Quand tu veux proposer une session ASK mais qu'il est 4h du matin et que tu es seule sur Tumblr.
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poemesdujour · 3 years ago
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Les jours d’été sont calmes, l’air doux
Juillet prend le thé chez septembre
Il y a un souffle d’air dans la ville
Les lacs sont loin, la mer est cachée
Au 11 rue Daval, on prend l’apéro au Tiny Café
Avec du vin rouge et du saucisson
Et le café de l’Industrie au 16 rue Saint-Sabin
A l’odeur du vingtième siècle
Parfois, le poème me laisse en paix
Et m’abandonne à des marches, des lectures, des musiques
Des nappes de temps
Plus grandes que lui
Parfois il toque, puis s’en va
Comme nous sonnions aux portes en pouffant de rire quand nous étions enfants
Parfois il revient, attendant
Que je ne l’attende plus
Il lui arrive de se moquer du vers
De se moquer du son
Il se passe de moi
Il se moque de moi
Il m’invite à prendre un verre
Au Tiny Café ou à l’Industrie
Je crois avoir compris
Que le poème s’en fout
Le poème est un trentenaire actif un vendredi soir de juillet en terrasse d’un bar branché
Le poème est un aoûtien bronzant nu dans les calanques des Goudes
Le poème passe sa journée devant Netflix
Et se lève à midi
Le poème n’est ni fin, ni grossier, ni court, ni long, ni beau, ni laid
Le poème est – qu’y puis-je ?
Dans cette nuit qui me tient lieu de jour
Chantent des mouettes, et des klaxons
De rares voix s’éteignent
Et les cafés, bientôt, s’endorment
Les faibles lueurs me chuchotent
Ce n’est pas si grave, un poème
Ce n’est pas si grave.
🌾 Poème du weekend du 18 juillet 2021 🌾
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lupitovi · 5 years ago
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Sans se concerter, onze millions de vacanciers décident de ne pas rentrer chez eux, ni de reprendre le travail ou l'école, à la fin du mois d'août. Ils expriment leur insatisfaction face à la crise, au terrorisme et à l'absentéisme électoral. Pendant que le gouvernement tente de trouver des solutions, les patrons menacent de licencier en masse et les banques de bloquer les comptes.
“ Le mois avançait et personne ne bougeait. C’était un mardi, le jour le plus redouté d’une semaine ordinaire, celui des banquières cassantes, des patrons irascibles, des fournisseurs mécontents, des clients énervés. Pourtant, Michel se sentait bien. Il venait de se reconnaître dans les Aoûtiens. Il n’était pas encore des leurs – il n’oubliait pas sa mission – mais il distinguait chez eux cette volonté de ralentir, de se poser, d’écouter, et maintenant de sortir du cadre, qui était depuis longtemps sa façon d’être au monde. Il n’en avait pas toujours eu conscience. “
Un hymne pour reprendre en main notre quotidien à se réapproprier ce qui est le plus précieux : Le temps de vivre.  
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2manyfandoms2count · 5 years ago
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#MarichatMay Day 21+22
Embracing the French culture today, I liked the challenge of making our two lovebirds kiss on Bastille Day rather than on New Year’s Eve (the only two moments we get fireworks in Paris)! I hope you like it, thanks for all the support! xxx
@marichatmay
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Day 21: Fireworks + Day 22: Kiss
There are two teams in Paris for Bastille Day: on the one hand, the people who go on holiday in July, shunning the famous Eiffel Tower fireworks for a less urban scenery, generally on one of France’s coasts where the heat is less oppressive. On the other hand, those who holiday in August, by choice or otherwise, or those who simply don’t, who take all the celebrations as a compensation for not being able to escape. 
Marinette Dupain-Cheng and Adrien Agreste were on the latter team. Due to the success of her parents’ bakery, Marinette generally only got away from the City of Lights for one week at the beginning of August, business being slower as the Juillettistes returned and the Aoûtiens left. As for Adrien, it had been a while since his father had taken a holiday; the only travelling any of them did was strictly for business, and generally never in Summer. They were virtually the only people in their class left in the capital. 
Although aware of the other’s presence in Paris, neither knew how to reach out to suggest spending time together. And with both of their main wing people, Alya and Nino, away, it seemed like contact wouldn’t be made anytime soon. Unbeknownst to the two teenagers, both had considered visiting the other as their alter ego, and had even tried. Marinette had chickened out when she’d seen him sitting at his desk, not knowing how to justify her presence, and fearing she might reveal herself if she spoke with him. Adrien had simply not found her as he repeatedly swung by her place right after patrol, hoping to bump into her. 
Having seen Chat Noir snoop around outside her room, obviously looking for her, several times in a row, having made it to her place before she could, Marinette decided maybe she should take action before Chat could connect the dots. Feigning something about relatives coming into town, Ladybug bailed on him for patrol on the 13th of July, and Marinette made sure to be obvious on her balcony. She didn’t know what he wanted with her, but knowing she would be seeing him made her feel all giddy inside. He was pretty much the only person she talked to in person these days, apart from her parents. They both seemed slightly reticent at the thought of leaving each other at the end of patrol, and the thought that she could get some extra time with her (male) best friend made her feel better.
“Well hello, there, Purr-incess!” Chat’s smile was as bright as sunshine as he landed next to her. “I was starting to lose hope that I’d see you before the end of the Summer!”
“Awe, that’s cute, you really came to check on me?” She opened her eyes wide, exaggerating her surprise. She liked playing slightly dumb with him, although the more time she spent with him, the less she was inclined to do it. Something about wanting to impress him somehow? Had she not been thinking about Adrien so much she might have started thinking she was developing feelings for her partner.
“Well, you know, the bakery’s open, things had moved in your room between the first and the second time I came around... Just thought you might be there.” He shrugged as he scratched the back of his head slightly sheepishly.
“You must have been around when I was visiting my grandfather.” She half-lied. She did see him every other day, but generally in the morning, to make pastries with him. “Had I known you’d be coming, I would have changed my schedule around, though, it’s not like much is happening right now.” She smiled tightly, her gaze falling on the empty street below them. There were usually a comfortable flow of passer-bys at this time of the evening.
“I know exactly what you mean.” Chat sighed, leaning his elbows on the railing, his back slightly slumped. “I miss school.”
“You don’t mean that!” She gasped. “They’ll hear you and give you holiday homework.” She half-whispered, suspiciously looking around them. It brought a smile to his previously pouting lips.
“What are you doing tomorrow night?” He turned around, the railing now against his back as he looked at her, affection seeping from his eyes.
“Tomorrow? For the Quatorze Juillet?” She tilted her head, pretending to think when she knew the plan would be the usual, staying in with her parents, and catching the fireworks from the exact place they were standing in later. “Nothing in particular, why?”
“Want to watch the fireworks from a rooftop claw-ser to the Eiffel Tower?” Chat Noir had intended to ask Ladybug that exact question, but it was her loss for not showing up tonight. And he wasn’t going to invite her along, he had some catching up to do with Marinette.
“Sounds great!” She grinned, her smile spreading to her pretty blue eyes. 
“I’ll pick you up at 7pm then?”
“Can’t wait!” 
Chat left with a slight spring in his step, excited to spend time with his good friend. And also imagining how pretty she would look in the dappled coloured light of fireworks. 
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He probably shouldn’t have been surprised by the fact she was carrying a basket full of provisions when they met up the next day. Leave it to her to think of all the little details that made events like this one perfect. His stomach rumbled at the thought of the T&S bakery quiche he could smell thanks to his excellent cat senses. He had reached for the basket (obviously to carry it for her, not to eat from it), but Marinette had flicked him lightly on the nose with a smirk at the sound, asking him to be patient.
Her confidence and playfulness had wavered slightly as they landed on top of the Agreste’s hôtel particulier. It was a prime spot to watch the show, being quite literally at the foot of the main attraction.
“Are you sure we can be here?” She asked, afraid to move too much. What if they were caught? What if Adrien caught them? 
“Paw-sitive. Adrien and his father are at an event tonight, no one’s Home.” Ha. She still looked slightly flustered at the thought of being in someone’s property, especially someone she knew. He wished he could tell her that actually Adrien was here, speaking to her, and that’s how he knew the others had a day off (Gorilla) or were in Tokyo (Gabriel and Nathalie). “I asked Adrien, don’t worry, he’s fine with us being here. And we agreed not to tell his father.”
The information seemed to appease her. Marinette smiled brightly at him and got the picnic supplies out, spreading a blanket at their feet to set their makeshift table on. He helped her lay out the food, amazed at the quantities contained in the basket. He couldn’t wait for the passion fuit macarons he’d spotted. 
They chatted as they ate, Chat happy to finally talk to someone about something else than his schedule and his piano rehearsals. He liked seeing Marinette so relaxed, and was glad the holidays helped her loosen up a bit. She always seemed quite stressed when they interacted at school, probably because of the amount of work they had. It checked out: Chat generally visited her at the weekend, when she had a little more time on her hands to unwind.
Marinette was happy to be with Chat Noir. She felt comfortable sitting close to him on the roof. The fact it was Adrien’s roof had quickly slipped her mind as he told her all about his adventures with Ladybug. She liked hearing him talk, he seemed so passionate and happy. Which wasn’t always the case when Ladybug met up with him.
The pair had shifted closer as the evening went by, to the point where they sat next to each other, facing the Eiffel Tower when the fireworks started. The sudden crackling, slightly deafening in contrast with the peaceful bird chirping and laughs that came from the nearby Champs de Mars, made Marinette jump and laugh in surprise, her shoulder now touching Chat’s arm due to their height difference. She instinctively leaned her head on his shoulder, marvelling at the light show. Chat’s arm automatically wrapped around her waist, as his head tilted to rest on top of hers.
“Do you know why the sound is delayed?” He whispered in her ear, bright colours erupting in the night sky before their associated ‘boom’ could be heard.
“No?” She answered, turning slightly towards him. His warm breath near her ear had sent butterflies flying in her stomach. Fireworks, she corrected herself, the innocent image of butterflies tarnished by Hawkmoth in her mind. 
“It’s because light travels faster than sound. So by the time sound reaches us, more lights have have had time to make it in the sky.” Said lights reflected very handsomely in his masked eyes.
“Interesting.” She smiled. Like the fact your lips look very kissable right now. She mentally shook her head at the thought. “You know, I never pegged you as a scientist, Kitty.”
“Physics is actually my favourite subject.” He smiled. 
“I guess there’s a lot I still don’t know about you.”
Their faces had inched closer as they spoke, not only because of the ambient noise.
“You know, I’d really love for you to know more about me.” Chat whispered, his lips mere centimetres from hers, taunting her. 
She gave in. 
It wasn’t much. Just a brush of their lips, really. But it caught both of them by surprise. Marinette felt frozen as she pulled away, her heart rate having risen far beyond what she thought was possible. She avoided his gaze, her cheeks burning. 
“I- I’m sorry, I don’t-”
Chat’s lips suddenly on hers interrupted her mid-sentence. His kiss was gentle, yet deep, tentative, yet just right. His hands, which had tilted her head up tenderly at first, now cupped her face, his gloves much softer than she would have expected against her skin. One of Marinette’s hands tangled in his hair at the nape of his neck, the other rested against his torso. She was glad to feel she wasn’t the only one whose heart had gone haywire. She smiled as his chest vibrated in a purr, momentarily masking his heart rate.
The fireworks around them were nothing compared to that inside of them. In fact, they didn’t even notice when the former stopped, too lost in their own bubble, on a Parisian roof on a hot Summer evening. 
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projet371 · 5 years ago
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Photo 322 - samedi 10 septembre 2016
Nous voyons un trottoir inondé de lumière.  
Sur la gauche, un énorme scooter noir et bleu métallisé, un poteau pour un panneau de sens interdit et un potelet en acier sur la droite. Et le temps de mettre au point la photo, est apparu cet homme bronzé, en t-shirt blanc et bermuda à carreaux, l’air soucieux de celui qui a perdu le chemin de la plage.
Début septembre, il n'est pas rare de croiser un homme bronzé, les vacances ne sont pas un si vieux souvenir surtout pour un ex aoûtien.
Pour ma part, je suis assis à la terrasse d'un café dans le quatorzième arrondissement. Il fait beau et encore chaud. On est samedi matin et tout va bien.
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sadie-lage-blog · 5 years ago
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J’ai une fois une mouette mangée, une petite mouette mangeait sa mouette. J’ai perdu la chance de mourir de la main de la mort. D’aimer de la main de la mort. Je crois que tu sens l’amour, et même si je me trompais en pensant que tu aimais les chats et jetais des choses aux gens, c’était de rapides inventions, je crois que tu sens l’amour. Et si tu es dans ta chance, ta chance, tu ne peux pas la perdre, puisqu’il faudrait te tuer, pour que tu ne sentes plus l’amour. Et cela n’arrivera pas. Si Août était un lieu et ses habitants appelés Aoûtiens, prends la campagne et les figuiers. Un jour je te montrerais le plus grand. À chaque fois que je te disais quelque chose, nous étions interrompus et tu te rappelais toujours à moi, demandant ce que je disais. Voir ce figuier et cette chaise blanche me fait penser aux chèvres. J’imagine comment elles s’autorisent à dormir pendant le jour sous l’arbre, puis elles se demandent ce qu’elles se racontaient. Leur sommeil interrompt leurs pensées. Et peut-être, une est insomniaque et pour cette raison elle ne parle pas. C’est une fille, je pense.  Elle n’est pas muette, elle peut parler mais elle ne veut pas. Je l’ai vu insomniaque et mutique, elle sait qu’elle ne serait jamais interrompue, ou que l’autre tombera dans le sommeil, la laissant seule. Elle a peur de commencer une discussion. Elle ne sait pas où ça va. Je suis dans une voiture dans une lande déserte. Pouvons-nous être deux chèvres sous un figuier, tu seras la jolie et je te laisserais la chaise. Une chèvre sur une chaise. Seras-tu celle qui ne dort ni ne parle ? Je pense que ce chapitre s’appelle “Cabra, interrupted.” Je me suis levé mais je marchais. Une soeur, et une femme. Elle n’est pas une femme. Elle n’est pas là. Elle est une femme. L’alphabet a inventé le miroir, ou le miroir inventa l’alphabet. Le miroir a inventé le reste du monde. Ta face qu’est-ce qu’elle demande ?  Ta face. Je veux l’étudier ou l’aimer.
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claudehenrion · 1 year ago
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Adieu, 2023 !
Une coutume bien ancrée veut que, chaque 31 décembre, la presse propose une espèce de ‘’revue’’ rétrospective des événements qui ont ou qui auraient –car les critères ne sont pas spécifiés– marqué l'année écoulée. Mais si on revisite ce petit jeu sur plusieurs années, on se rend compte qu'une année a vite fait de ressembler à une autre… Et comme il semble difficile que les événements se reproduisent, force est de déduire que ce sont les critères retenus qui créent cette impression de “déjà vu” : ''L'année A-1'' fut terrible. Unis, nous rendrons l'année A plus citoyenne (alternatives : plus démocratique, sociale, républicaine, etc..)''
Une année “normale” peut se résumer comme une succession de violences, de guerres (le plus souvent localisées), de conflits, de misères, de deuils, de catastrophes naturelles, de la disparition de gens plus ou moins célèbres, et de crises de toute sorte : politiques, civiles, financières, et depuis peu guerrières, migratoires et sanitaires… le tout étant émaillé, tout de même, de quelques bonnes nouvelles… dont la Presse en règle générale, parle très peu : personne ne s'intéresse aux trains qui arrivent à l'heure, aux avions qui ne s'écrasent pas ou aux étés où température, ensoleillement et hygrométrie se répartissent en sensations ‘’de rêve’’ pour les juillettistes, les aoûtiens… et les '' -bi'' et les ''trans''.
Même des événements exceptionnels ou d'une gravité extrême (le mur de Berlin, l'effondrement des Twin Towers de New York ou celui de la flèche de Notre-Dame, le Brexit, l'assassinat de Kennedy ou le tsunami de Thaïlande, pour en citer quelques uns) arrivent à s'inscrire dans cette logique répétitive : comme il y en a toujours au moins un chaque année, on tend à s'habituer et “ça” s'ajoute à notre liste de grands machins inoubliables. Dans le fond, ce dont on se rappelle, ce n'est pas tant “la chose” en elle-même que “ce que l'on faisait soi-même, à ce moment-là” ! Ecoutez les récits des témoins : Le tsunami de 2004 ? Je revenais de la plage quand…. La mort de Kennedy ? J'ai appelé ma fille, et je… Les Twin-Towers ? J'allais au supermarché en voiture, et… La mort de son Père ? Je rentrais dans sa chambre lorsque… Un événement réputé extérieur n'existerait-il donc qu'à travers, pour, dans et par “je” ?
Les souvenirs que laisse une année sont le plus souvent ressentis et vécus comme des saillies notables sur un continuum, comme un ''arrêt sur image'' dans un foisonnement… Des politiciens mentent, des princes se marient ( ou divorcent, ou décèdent), des guerriers (ou des drones, maintenant…) s'affrontent, là-bas, pendant qu'ici, des bandes et des gangs défigurent les rues de quartiers ruinés, enfoncés dans une peur latente de chaque instant… Sans cesse, des images –dont l'une remplace l'autre– de tremblements de terre, de tornades ou d'éruptions (en Indonésie ou en Islande) nous émeuvent un instant… mais rien de tout cela ne nous donne le moindre renseignement sur la vie quotidienne des hommes (sauf ceux qui sont directement frappés : quelques poignées !), sur les choses drôles, sur les sourires des enfants, sur les mariages heureux, sur les ‘’lotos-du-siècle’’, sur les joies et les peines de nos semblables et contemporains…
Au moment précis où j'écris ce “Billet” –ou lorsque vous le lisez– des milliers de gens sont en train de naître, mourir, chanter, rire, pleurer, bosser, avoir faim, être fatigués, boire un café… faire l'amour... ou une sieste bien méritée… en tout cas, rien qui pourra laisser une trace durable dans le Grand Livre du souvenir des hommes. La seule chose que nous puissions faire (à part “prier”, ce qui est réservé au tout petit nombre de ceux qui ont la chance d'espérer parce qu'ils croient, ou de croire parce qu'ils espèrent), c'est de souhaiter qu'aucune catastrophe majeure ne soit en cours juste là, qu'aucun cataclysme ne ravage des contrées lointaines, qu'aucune célébrité-que-j'aime ne soit en train de rendre son dernier soupir. En cet instant si court, des millions d'hommes prennent leur petit déjeuner, d'autres millions se préparent à s'endormir… et tous changeront de rôle dans quelques heures, pendant que des centaines tentent de se hisser dans des esquifs de (mauvaise) fortune pour fuir ce qu'ils vont trouver : la misère. Qui, dans ces rôles, est “en train d'écrire l'Histoire” ?
Et par dessus tout ces bruissements, ces brouhahas, ces joies et ces peines, le covid dont nos irresponsables n'arrivent pas à se guérir : ils l'ont inventé, fabriqué de toutes pièces, gonflé comme une outre, puis comme un Zeppelin, ils l'ont imposé au monde –qui n'en voulait pas et n'en avait pas besoin. Ce cavalier de l'Apocalypse pour les uns, qui est un moyen de pouvoir et de coercition pour d'autres, une source de terreur pour ceux qui les croient, une gerbe de profits pour quelques uns (selon Bloomberg, la fortune cumulée des 10 personnes les plus riches a augmenté cette année de 402 Mds$ –vous avez bien lu : ce ''402'' est bien ''en milliards de dollars''!), et la faillite, pour d'autres, un saturateur d'hôpitaux pour les soignants épuisés, un “bouche-trous” somptueux pour les journalistes ivres de bonheur de nous montrer à chaque “JT” des preuves de notre culpabilité ontologique d'hommes blancs… est ou sont tout autant d'outils de division des peuples pour les politicards (soi-disant au nom de leur rapprochement...) : c'est si grisant de fabriquer des sujets de discorde dans les familles et entre les générations, de dresser les uns contre les autres, d'ostraciser ceux qui ont le culot de ne pas applaudir la doxa du jour : ''Scrongneugneu ! J'veux voir qu'une seule tête’’ (chacun met sa satisfaction où il peut ! Demandez à notre Pape ce qu'il en pense !)… Nihil novi sub sole : René Girard l'avait compris : un désaccord devient vite un antagonisme, puis une antipathie, puis une inimitié.. qui entraîne la violence puis le besoin d'un bouc émissaire !
Quel souvenir laissera 2023 ? Cela dépendra, évidemment et comme toujours, de ’‘qui écrira l'Histoire”. Cependant, il est à craindre que 2023 ne reste pas comme un très bon millésime dans la mémoire profonde de l'Humanité. On peut même parier que les jugements qui seront portés sur nos grands événements du moment –tous factices, tous fabriqués, tous gonflés d'air comme des ballons de baudruche –ce qu'ils sont, exactement comme l'a été le soi-disant ''covid''--, porteront sur la guerre russo-ukrainienne, artificielle mais très laide, sur la mauvaise gestion de la situation au Moyen-Orient (tout aussi artificielle, et exactement aussi laide), et sur l'irréparable absurdité de la totalité des décisions qui les ont accompagnées, du blocus, ici, à l'aveuglement, là... et au retournement de veste, là-bas... Pour bien marquer vers qui portaient (ou pas...) leurs faveurs, nos nuls-au-pouvoir ont pris le risque de foutre en l'air l'économie du monde qui ne marchait pas si mal que ça, mais qui était fragile et qui n'avait pas besoin d'un blocus injustifié et inutile et d'un déversement permanent, absurde et gigantesque de sommes... dont ceux qui les distribuaient sans compter n'avaient pas le premier kopek – le toutpour sauver un régime qui n'avait aucun intérêt et peu de chances de l'être...
Je prends le pari que l'Histoire ne sera pas tendre avec les mensonges, les énormités soutenues sans se troubler par nos gouvernants (le ''porte-mensonges'' de notre gouvernement le tout premier, mais ses co-ministres pas très loin derrière... ), les affirmations sans fondement, les décisions perverses et intrinsèquement mauvaises, la violence (niée, mais réelle !), la contrainte (réelle, mais niée !) et le rabotage ininterrompu de nos libertés, en berne depuis Hollande, le tout sous couvert (Oh ! Le gros mensonge !) de ''justice sociale'' (sic ! Mais où ont-ils été chercher ce gros mot ?), de fausses affirmations soi-disant scientifiques, d'arguments qui hurlent leur mauvaise foi et de mesures inutiles qui rendent invivable le quotidien de bien des humains –et le nôtre, hélas ! Je crains pour eux –et je me réjouis pour la masse des ''braves gens'' que le jugement de l'Histoire ne soit pas tendre. Et ce ne sera que justice !
Mais comme je ne serai plus de ce monde depuis longtemps, le risque que je prends en pariant est très limité, et franchement, les jugements de l'Histoire, même celle qui mérite parfois un “H” majuscule, m'importent peu, avec l'âge ! En revanche, je ne prends pas un grand risque en souhaitant à chacun d'entre vous et du plus profond de mon cœur, une très Bonne, une heureuse Année 2024 !
H-Cl.
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breizhcom35 · 5 years ago
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Bonnes vacances à tous les aoûtiens et toutes les aoûtiennes 🌞⛵⚓ #bretagne #bretagnetourisme #igersbretagne #jaimelabretagne #destinationbretagne #bretagne_focus_on #fansdebretagne #bestofbretagne #labellebretagne #bretagnemylove #labretagnecavousgagne #bnw_bretagne #instabretagne #unlimitedbretagne #merveillesdebretagne #unjourenbretagne #fandebretagne #beautifulbretagne #bretagneforever #tourismebretagne #ObjectifBretagne #BreizhCom #Bretagneactu #MagnifiqueBretagne #MagnifiqueFrance (à Bretagne, France) https://www.instagram.com/p/B0nF3rJnTD2/?igshid=1ned7qjv00cm5
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francepittoresque · 6 years ago
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[ÉTYMOLOGIE] Juillettiste et aoûtien ► http://bit.ly/Juillettiste-Aoutien « Les castors emploient les mois de juillet et d’août à construire leurs digues et leur cabane », souligne Pierre Larousse en citant Buffon dans son Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle. Avouons qu’il reste cependant difficile de qualifier ces laborieux rongeurs de « juilletistes » ou d’ « aoûtiens »
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desviesennoiretblanc · 6 years ago
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Juilletistes et aoûtiens ont plié bagages. Juilletistes et aoûtiens ont repris leurs activités, nous voilà enfin en paix. Nous raffolons des vacances du mois de septembre, quand plus rien ne s'affole, où le temps (qui passe) s'écoule avec plus de lenteur, où le temps (qu'il fait) nous offre encore un peu de douceur. Pour nous, gens de septembre, il n'y a pas de nom, mais qu'importe ! Désormais, sur les plages, toute la place et tout le plaisir sont pour nous.
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