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Posture dominante, manger du chocolat et s'entraîner pour demain
NOUVEAU PODCAST 👉 Posture dominante, manger du chocolat et s'entraîner pour demain. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #musculation #podcast #fitnessmotivation #gym #abs #shredded #minceur #regime #nutrition #dietetique #alimentation #alimentationsaine #keto #cetogene #vegan #vegetarien #carnivore #workout #france #sante
Dans ce podcast, nous allons parler de muscler sa dominance, de manger du chocolat et faire du sport pour aller mieux demain. Nouveau ! Les bienfaits cachés de la mélatonine Sommaire du podcast : Ta séance d’aujourd’hui t’aidera jusqu’à demain Une nouvelle étude de l’Université de Londres révèle que l’effet positif de l’exercice sur la mémoire persiste jusqu’au lendemain. Les personnes…
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Le sport booste la mémoire jusqu’à 24 heures après la séance - nouvelle recherche
Des travaux menés chez des personnes âgées de 50 à 83 ans ont montré que la pratique d’une activité physique améliore les performances cognitives. La qualité du sommeil joue également un rôle.
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Enfant en situation de handicap : inclusion, droits et solutions

Accompagner un enfant en situation de handicap est un enjeu majeur pour garantir son développement, son bien-être et son inclusion dans la société. Chaque enfant étant unique, son accompagnement nécessite une approche individualisée, alliant bienveillance, expertise et adaptation aux besoins spécifiques. Dans un contexte où l’accessibilité et l’inclusion sont au cœur des préoccupations éducatives et sociales, il est important de comprendre les dispositifs existants et les bonnes pratiques à mettre en place pour favoriser l'épanouissement des enfants.
Qu'est-ce qu’une situation de handicap ?
La définition légale et médicale du handicap chez l’enfant La définition du handicap s’inscrit dans un cadre législatif et médical précis. Selon la loi du 11 février 2005 sur l’égalité des droits et des chances, est considéré comme en situation de handicap toute personne dont les fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques sont altérées de manière durable et significative, entraînant des difficultés dans l’accomplissement des activités quotidiennes et la participation sociale. Appliquée aux enfants, cette définition souligne l’importance d’une prise en charge spécifique permettant de réduire ces limitations et de leur offrir les mêmes opportunités d’apprentissage, d’épanouissement et d’intégration que les autres. Il ne s’agit pas seulement d’une condition médicale, mais bien d’une interaction entre un enfant et un environnement qui peut être plus ou moins inclusif et facilitateur. Les différentes formes de handicap chez l’enfant Le handicap chez l’enfant peut prendre différentes formes, chacune ayant ses spécificités et nécessitant un accompagnement adapté. On distingue généralement plusieurs grandes catégories : - Le handicap moteur : il concerne les limitations physiques qui entravent les déplacements, la motricité fine ou l’autonomie. Il peut être causé par des maladies neuromusculaires, des lésions cérébrales ou des malformations congénitales. - Le handicap sensoriel : il regroupe les déficiences visuelles et auditives qui affectent la perception de l’environnement et nécessitent souvent des aides techniques, comme des appareils auditifs ou des dispositifs en braille. - Le handicap cognitif : il se caractérise par des troubles du développement intellectuel affectant les capacités d’apprentissage, la mémoire, la compréhension et l’adaptation aux situations nouvelles. Il est notamment observé chez les enfants porteurs de trisomie 21 ou de troubles du spectre autistique (TSA). - Le handicap mental : il englobe les déficiences intellectuelles plus sévères, entraînant des difficultés importantes dans la communication, l’autonomie et l’intégration sociale. - Le handicap psychique : bien qu’il soit souvent confondu avec le handicap mental, il concerne plutôt des troubles affectant le comportement, les émotions et les relations sociales, comme les troubles anxieux sévères ou la schizophrénie infantile. - Le polyhandicap : il associe plusieurs déficiences, souvent motrices et intellectuelles, rendant l’accompagnement plus complexe et nécessitant une prise en charge multidisciplinaire. L'impact du handicap sur le développement et le quotidien de l’enfant Un enfant en situation de handicap fait face à des défis quotidiens qui varient selon la nature et la sévérité de son handicap. Ces défis ne se limitent pas aux difficultés physiques ou cognitives ; ils touchent également son interaction avec les autres, son autonomie et son accès à l’éducation. Sur le plan scolaire : Ces enfants peuvent rencontrer des obstacles liés à l’accessibilité des supports pédagogiques, à la compréhension des consignes ou à la gestion du temps d’apprentissage. L’aménagement des espaces, la présence d’un accompagnant et l’adaptation des méthodes d’enseignement sont alors des éléments déterminants pour favoriser leur inclusion. Dans la sphère sociale : L’acceptation par les autres enfants et la sensibilisation à la diversité jouent un rôle crucial. L’isolement, souvent causé par un manque de compréhension ou par des infrastructures inadaptées, peut avoir des répercussions sur l’estime de soi et l’épanouissement de l’enfant. Enfin, au sein du cadre familial : La prise en charge d’un enfant en situation de handicap représente un investissement émotionnel et organisationnel important pour les parents. L’accès aux soins, aux aides financières et aux accompagnements spécialisés constitue un enjeu central pour garantir le bien-être de l’enfant et de son entourage.
Quels sont les droits et dispositifs d’accompagnement pour un enfant en situation de handicap ?
Un cadre législatif garantissant l’inclusion et l’égalité des chances Comme précédemment cité plus haut, la loi handicap du 11 février 2005 constitue le texte de référence en matière d’accompagnement des personnes en situation de handicap. Elle pose le principe fondamental du droit à l’accessibilité, à la compensation et à l’inclusion dans la société. Cette loi impose notamment aux établissements scolaires, aux structures d’accueil de la petite enfance et aux entreprises de mettre en place des aménagements raisonnables afin de garantir l’égalité des chances pour chaque enfant. Cette législation affirme également le droit à une scolarisation en milieu ordinaire, privilégiant autant que possible l’inclusion des enfants en situation de handicap dans les écoles classiques. Lorsqu’une inclusion totale n’est pas envisageable, des dispositifs spécifiques comme les Unités Localisées pour l’Inclusion Scolaire (ULIS) ou les Instituts Médico-Éducatifs (IME) permettent d’assurer une éducation adaptée. La Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) : un guichet unique pour les familles La Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) est l’organisme central chargé d’orienter et d’accompagner les familles dans l’ensemble des démarches administratives liées au handicap. Présente dans chaque département, elle joue un rôle clé dans l’évaluation des besoins de l’enfant et l’attribution des aides. Elle est chargée d’instruire les demandes de Projet Personnalisé de Scolarisation (PPS), qui définissent les adaptations pédagogiques et les aménagements nécessaires pour assurer une scolarité adaptée à l’enfant. Elle coordonne également l’attribution des Auxiliaires de Vie Scolaire (AVS/AESH) et des aides techniques facilitant l’apprentissage. Les familles peuvent y déposer un dossier de reconnaissance du handicap, qui permet d’accéder aux différentes prestations compensatoires, aux allocations et aux orientations vers des structures spécialisées. Ce guichet unique vise ainsi à simplifier les démarches et à garantir un accompagnement cohérent tout au long du parcours de l’enfant. Les aides financières et humaines pour soutenir les familles L’accompagnement d’un enfant en situation de handicap représente souvent un coût important pour les familles. Afin d’atténuer cette charge, plusieurs aides financières sont accessibles selon les besoins de l’enfant et la situation de la famille. L’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé (AEEH) : Il s'agit de la principale aide financière destinée aux parents. Versée par la CAF, elle vise à compenser les dépenses liées au handicap et peut être complétée par des compléments en fonction du niveau de dépendance de l’enfant. La Prestation de Compensation du Handicap (PCH) : Cette aide permet quant à elle de financer les aides humaines, techniques ou matérielles nécessaires à l’autonomie de l’enfant. Elle couvre notamment l’intervention d’un Auxiliaire de Vie Scolaire (AVS/AESH), l’aménagement du logement ou l’acquisition de matériel spécialisé. Les familles peuvent également solliciter des aides spécifiques pour la prise en charge des frais de transport, de soins et d’accompagnement en structures adaptées. Ces prestations, bien que parfois complexes à obtenir en raison des démarches administratives, sont essentielles pour garantir une prise en charge optimale de l’enfant. Les structures et dispositifs d’accueil adaptés aux enfants en situation de handicap Les crèches et assistantes maternelles inclusives : Elles accueillent de plus en plus d’enfants en situation de handicap, avec un personnel formé pour adapter les activités et favoriser l’éveil dans un cadre bienveillant. Certaines structures bénéficient d’un soutien de professionnels du secteur médico-social afin d’adapter les pratiques pédagogiques et les équipements. Le système scolaire : Pilier de l'éducation, il propose plusieurs dispositifs d’inclusion selon les capacités et les besoins de l’enfant. L’accueil en milieu ordinaire est privilégié lorsque cela est possible, avec des aménagements spécifiques tels que l’attribution d’un Accompagnant des Élèves en Situation de Handicap (AESH) et l’adaptation des supports d’apprentissage. Les classes ULIS offrent quant à elles une prise en charge individualisée au sein d’un établissement scolaire classique. Les Instituts Médico-Éducatifs (IME) et les Services d’Éducation Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD) : Lorsque la scolarisation en milieu ordinaire n’est pas envisageable, ces instituts constituent des alternatives adaptées. Les IME assurent une éducation et un suivi thérapeutique intensif, tandis que les SESSAD accompagnent les enfants à domicile ou en milieu scolaire pour favoriser leur développement et leur autonomie.
Comment adapter l’environnement et les pratiques pour accompagner un enfant en situation de handicap ?
Aménager l’espace pour favoriser l’accessibilité et l’autonomie Un enfant en situation de handicap doit évoluer dans un cadre qui facilite ses déplacements et ses interactions avec son environnement. L’accessibilité ne se résume pas à l’adaptation des infrastructures pour les enfants ayant un handicap moteur, elle concerne également les enfants ayant des déficiences sensorielles, cognitives ou psychiques. L’organisation des espaces doit être pensée pour permettre à l’enfant de se repérer facilement et d’agir en autonomie. Un mobilier ergonomique et modulable, une signalétique claire et des zones de transition bien définies facilitent sa prise d’initiative et sa sécurité. Pour un enfant ayant des troubles sensoriels, il est pertinent de créer des espaces calmes et de limiter les sources de stimulation excessive. La mise en place de repères visuels, comme des pictogrammes ou des codes couleurs, permet d’aider les enfants ayant des difficultés de compréhension à mieux s’orienter et à anticiper leurs actions. Communiquer avec bienveillance et favoriser l’autonomie La communication joue un rôle fondamental dans l’accompagnement d’un enfant en situation de handicap. Adapter son langage, être attentif aux signaux non verbaux et encourager les échanges sont autant de stratégies permettant de renforcer la confiance et la compréhension mutuelle. Les enfants ayant des troubles de la communication bénéficient de méthodes alternatives comme la Communication Alternative et Augmentée (CAA), qui regroupe divers outils allant des pictogrammes aux applications de synthèse vocale. L’objectif est de leur offrir des moyens d’exprimer leurs besoins et de participer pleinement aux interactions sociales. L’attitude des accompagnants est tout aussi importante que les outils utilisés. Parler de manière posée, utiliser des phrases courtes et claires, reformuler les consignes si nécessaire et valoriser chaque effort contribuent à créer un climat de confiance et d’encouragement. L’enfant doit se sentir compris et soutenu, sans être infantilisé ni mis à l’écart.

Impliquer les familles et les professionnels pour une prise en charge cohérente L’accompagnement d’un enfant en situation de handicap ne repose pas uniquement sur les structures éducatives et sociales. Il nécessite une implication conjointe des familles et des professionnels pour assurer une continuité dans l’adaptation de son environnement et de ses apprentissages. Les parents jouent un rôle central dans le développement de l’enfant et doivent être considérés comme des partenaires à part entière. Leur expérience et leur connaissance des besoins spécifiques de leur enfant permettent d’orienter les pratiques et d’assurer une cohérence entre les différents lieux de vie. Maintenir un dialogue régulier entre les familles, les enseignants, les éducateurs et les professionnels de santé est essentiel pour ajuster l’accompagnement et éviter les ruptures dans le suivi. La formation des professionnels de la petite enfance Les formations et les sensibilisations aux différentes formes de handicap sont également indispensables pour les professionnels de la petite enfance et de l’éducation. Mieux comprendre les spécificités de chaque enfant permet d’adapter plus efficacement les pratiques et d’adopter une posture bienveillante et inclusive.
Le rôle des professionnels dans l’accompagnement d’un enfant en situation de handicap
Les professionnels de la petite enfance, premiers acteurs de l’inclusion Les structures d’accueil de la petite enfance, telles que les crèches, les haltes-garderies et les assistantes maternelles, jouent un rôle fondamental dans le développement des jeunes enfants en situation de handicap. Dès les premiers mois de vie, ces professionnels sont amenés à identifier les besoins spécifiques de chaque enfant et à adapter l’environnement et les interactions en conséquence. Les éducateurs de jeunes enfants, auxiliaires de puériculture et assistantes maternelles peuvent être formés à l’accompagnement des enfants présentant des particularités de développement. Leur rôle consiste à proposer des activités adaptées, à favoriser la socialisation et à encourager l’autonomie tout en assurant un cadre bienveillant et sécurisé. La mise en place d’aménagements sensoriels et d’outils de communication alternatifs permet de faciliter l’accueil des enfants ayant des troubles du langage, des difficultés motrices ou des hypersensibilités sensorielles. Les professionnels de santé et du médico-social pour une prise en charge globale Le suivi médical et paramédical d’un enfant en situation de handicap est essentiel pour assurer son bien-être et optimiser ses capacités. Les professionnels de santé interviennent en complément des éducateurs et des enseignants pour répondre aux besoins thérapeutiques et améliorer l’autonomie de l’enfant. Plusieurs spécialistes participent à cette prise en charge : - Les psychomotriciens travaillent sur la coordination motrice, la perception corporelle et l’équilibre, permettant à l’enfant de mieux appréhender son environnement et de développer ses habiletés motrices. - Les orthophonistes interviennent en cas de troubles du langage et de la communication, en mettant en place des stratégies adaptées pour améliorer l’expression orale, la compréhension et l’utilisation des outils de communication alternative. - Les ergothérapeutes aident à l’adaptation des gestes du quotidien et à l’utilisation d’aides techniques facilitant l’autonomie, notamment pour l’écriture, l’habillage ou l’alimentation. - Les psychologues et neuropsychologues accompagnent l’enfant dans la gestion de ses émotions, des troubles du comportement ou des difficultés cognitives. Leur intervention permet d’optimiser les capacités de l’enfant et de soutenir son épanouissement affectif. - Les médecins spécialisés, tels que les neuropédiatres et les pédopsychiatres, assurent un suivi médical global et prescrivent les interventions thérapeutiques adaptées aux besoins de l’enfant.
Inclusion et socialisation : comment favoriser l’épanouissement d’un enfant en situation de handicap ?
Créer un environnement inclusif dès le plus jeune âge L’inclusion ne se limite pas à la simple présence d’un enfant en situation de handicap dans un groupe, elle implique une réelle prise en compte de ses besoins et un aménagement des interactions pour qu’il puisse participer pleinement. Dès la petite enfance, l’intégration dans des structures d’accueil inclusives permet de poser les bases d’une socialisation réussie. Les crèches et écoles maternelles jouent un rôle clé dans ce processus. L’adaptation des espaces et des activités, l’utilisation d’outils de communication adaptés et la mise en place d’un accompagnement individualisé sont autant de leviers favorisant son intégration. Plus tôt l’enfant est exposé à des environnements inclusifs, plus il développe des compétences sociales et une autonomie qui l’aideront à interagir avec les autres. Encourager les interactions et les relations sociales Le développement des compétences sociales passe par des interactions régulières et valorisantes avec les autres enfants. Pour un enfant en situation de handicap, ces interactions peuvent être entravées par des barrières physiques, cognitives ou comportementales, rendant nécessaire la mise en place de méthodes adaptées. Les activités collectives sont de puissants leviers d’inclusion. Qu’il s’agisse d’ateliers artistiques, de jeux coopératifs ou d’activités sportives adaptées, ces moments permettent à l’enfant de tisser des liens, de s’exprimer et de se sentir pleinement acteur du groupe. L’objectif est d’éviter toute forme d’isolement en l’intégrant naturellement aux dynamiques collectives, sans qu’il se sente mis à l’écart ou traité différemment. La sensibilisation des autres enfants est une étape essentielle pour garantir une inclusion réussie. Leur expliquer le handicap avec des mots simples, répondre à leurs questions et encourager l’entraide permet de déconstruire les stéréotypes et de favoriser un climat d’acceptation. Lorsque les enfants comprennent les différences, ils sont plus enclins à interagir naturellement et à intégrer leurs camarades en situation de handicap dans leurs jeux et leurs activités. Renforcer la confiance en soi et l’estime de soi Un enfant en situation de handicap peut parfois ressentir une différence qui l’amène à douter de ses capacités ou à développer une forme de retrait social. Pour prévenir ce sentiment, il est essentiel de renforcer sa confiance en lui en valorisant ses réussites et en mettant en lumière ses compétences. L’encouragement joue un rôle central dans ce processus. Read the full article
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Le vieillissement du cerveau : comprendre et agir
Notre cerveau, cet organe complexe et fascinant, subit au fil du temps les effets du vieillissement. Bien que ces changements soient inévitables, il est possible de les ralentir et de préserver au mieux ses fonctions cognitives.

Les mécanismes du vieillissement cérébral
Le vieillissement cérébral se manifeste par plusieurs phénomènes :
Diminution du volume cérébral: Le cerveau perd progressivement des neurones et des connexions synaptiques.
Ralentissement des fonctions cognitives: La mémoire, l'attention, la vitesse de traitement de l'information et la capacité à apprendre de nouvelles choses peuvent être affectées.
Modifications des neurotransmetteurs: Les substances chimiques qui permettent la communication entre les neurones sont moins efficaces.
Les facteurs influençant le vieillissement cérébral
L'âge: Le vieillissement est le facteur le plus important, mais il n'est pas le seul.
La génétique: Certains gènes peuvent prédisposer à un vieillissement cérébral plus rapide.
Le mode de vie: L'alimentation, l'activité physique, le sommeil, le stress et les stimulations cognitives jouent un rôle crucial.
Les maladies: Certaines maladies, comme l'hypertension, le diabète ou les maladies cardiovasculaires, peuvent accélérer le vieillissement cérébral.
Les conséquences du vieillissement cérébral
Le vieillissement cérébral peut entraîner :
Des difficultés de mémoire: Oublis plus fréquents, difficultés à se concentrer.
Des troubles de l'apprentissage: Plus de difficultés à acquérir de nouvelles compétences.
Des problèmes de langage: Difficultés à trouver les mots justes, à comprendre des conversations complexes.
Des troubles de l'humeur: Anxiété, dépression.
Comment préserver son cerveau ?
Bien que le vieillissement soit inévitable, il est possible de le ralentir et de préserver ses fonctions cognitives en adoptant un mode de vie sain :
Une alimentation équilibrée: Privilégiez les fruits, les légumes, les poissons gras et les aliments riches en antioxydants.
Une activité physique régulière: L'exercice physique stimule la production de nouvelles cellules nerveuses et améliore la circulation sanguine dans le cerveau.
Un sommeil de qualité: Le sommeil est essentiel pour la consolidation de la mémoire et la récupération cérébrale.
Des stimulations cognitives: Apprenez de nouvelles choses, lisez, jouez à des jeux de réflexion, participez à des activités sociales.
La gestion du stress: Le stress chronique peut endommager les neurones. Pratiquez des techniques de relaxation comme la méditation ou le yoga.
Des contrôles médicaux réguliers: Surveillez votre tension artérielle, votre cholestérol et votre glycémie.
En conclusion, le vieillissement du cerveau est un processus naturel, mais il est possible d'en ralentir les effets et de préserver ses capacités cognitives en adoptant un mode de vie sain et en stimulant régulièrement son cerveau.
Aller plus loin
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CHP 1 : Qui suis je?
Ce fût long avant de mettre en place la chambre noir dans laquelle j’allais me perdre. Un espace idéal pour moi qui suis aveugle du temps et dont le besoin de nouveaux plans d’expérimentations est devenu une drogue à laquelle je suis définitivement dépendant. J’avais dans les sept ans quand je suis rentré dans un labo photo pour la première fois, si j’avais su alors que cette expérience serait déterminante, j’y aurais certainement prêté davantage d’attention. Bien que l’enthousiasme qui était le mien à l'époque ait laissé une empreinte très profonde, j’ai mis à distance cette pratique pour me consacrer à autre chose. À la vie en premier, celle qui nécessite d’entrer en activité, quelle qu'en soit la forme, me permettant de me loger, manger et acquérir tout le confort nécessaire à une normalité. Cependant ma nature profonde n’a jamais cessé d’exister, s’affirmant dès que l’occasion se présentait. Elle a fini par prendre le dessus, malgré le danger de perdre ce confort durement acquis, me tirant de plus en plus vers de nouvelles expériences, rencontres et découvertes.
Alors que le temps est mien, j'explore la peinture, la musique, le cinéma, les techniques multimédias, la sculpture et toutes formes d’installations artistiques. La photographie n’est jamais très loin, elle documente, capture pour l’après sans jamais être le sujet. En écrivant ces lignes je m'aperçois que je l’ai mis dans la position dans laquelle j’étais au sein de ma famille, c'est-à-dire, en retrait, comme un observateur. Ma mère a eu cette excellente idée de me mettre un boîtier argentique entre les mains dès mon plus jeune âge. Il lui a semblé naturel que je sois le photographe de la famille, même si à cause de cela je n’apparaît que très rarement dans les albums photos, toujours là mais invisible, comme pour la photographie dans mes projets artistiques et maintenant que j’y pense, tout au long de mon adolescence où je capturerai mon quotidien de skater, sans être moi même sur les images.
Je sais aujourd'hui pourquoi il en était ainsi.
C’est à cause de ma pudeur, ce matériel intime devait le rester, il était impensable pour moi de me tenir nu devant vous. Pourtant quoi que je fasse, c’est une part de moi même que j’expose, autant l’assumer, en me référant avec joie à Minor White qui disait : "Toute photographie est le portrait de celui qui la prend.”
C’est donc une porte qui s’ouvre , comme un passage obligé vers une introspection nécessaire à me rapprocher d’une œuvre sincère. Jusqu’alors je cherchais la justesse, peaufinant mes gestes jusqu’à ne plus y penser, laissant mes mémoires successives s’emparer des sujets du moment pour les transformer en un autre langage, celui qui dépasse le mot et la matérialité. Nous y voici, là où ma pensée ne suffit plus, là où le savoir permet de trouver des indices inexplicables, de fonder des théories indicibles et de construire un monde sans bords.
Un espace intangible pour nos esprits abreuvés de réalité concrète et de concepts physiques, dans lequel je cherche des passerelles vers nos perceptions.
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France, Conseil d'État, 7ème - 2ème chambres réunies, 29 novembre 2024, 497463
https://justifiable.fr/?p=2022 https://justifiable.fr/?p=2022 #2ème #7ème #chambres #Conseil #dÉtat #France #novembre #réunies Vu la procédure suivante : Le service territorial d’incendie et de secours de la Martinique, en défense à la demande présentée par M. A… B… devant le tribunal administratif de la Martinique tendant à l’annulation pour excès de pouvoir de l’arrêté du 27 mars 2024 par lequel le préfet de la Martinique et le président du conseil d’administration du service territorial d’incendie et de secours de la Martinique ont abrogé, à compter du 1er octobre 2024, l’arrêté du 31 décembre 2020 le maintenant en activité, a produit un mémoire, enregistré le 23 juillet 2024 au greffe de ce tribunal, en application de l’article 23-1 de l’ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958, par lequel il soulève une question prioritaire de constitutionnalité. Par une ordonnance n° 2400284 du 2 septembre 2024, enregistrée le 3 septembre 2024 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, le président du tribunal administratif de la Martinique, avant qu’il soit statué sur la requête de M. B…, a décidé, par application des dispositions de l’article 23-2 de l’ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958, de transmettre au Conseil d’Etat la question de la conformité aux droits et libertés garantis par la Constitution de l’article L. 556-7 du code général de la fonction publique. Par la question prioritaire de constitutionnalité transmise et un nouveau mémoire, enregistré le 30 octobre 2024 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, le service territorial d’incendie et de secours de la Martinique soutient que les dispositions de l’article L. 556-7 du code général de la fonction publique, applicables au litige et qui n’ont pas déjà été déclarées conformes à la Constitution, méconnaissent le principe de libre administration des collectivités territoriales, garanti par les articles 34 et 72 de la Constitution, le principe d’égalité, garanti par l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, et le principe de continuité du service public. Vu les autres pièces du dossier ; Vu : – la Constitution, notamment son Préambule et ses articles 34, 61-1 et 72 ; – l’ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 ; – le code général de la fonction publique ; – la loi n° 2008-1330 du 17 décembre 2008 ; – le code de justice administrative ; Après avoir entendu en séance publique : – le rapport de M. Hervé Cassara, maître des requêtes, – les conclusions de M. Marc Pichon de Vendeuil, rapporteur public ; 1. Il résulte des dispositions de l’article 23-4 de l’ordonnance du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel que, lorsqu’une juridiction relevant du Conseil d’Etat a transmis à ce dernier, en application de l’article 23-2 de cette même ordonnance, la question de la conformité à la Constitution d’une disposition législative, le Conseil constitutionnel est saisi de cette question de constitutionnalité à la triple condition que la disposition contestée soit applicable au litige ou à la procédure, qu’elle n’ait pas déjà été déclarée conforme à la Constitution dans les motifs et le dispositif d’une décision du Conseil constitutionnel, sauf changement des circonstances, et que la question soit nouvelle ou présente un caractère sérieux. 2. Eu égard à l’argumentation du service territorial d’incendie et de secours de la Martinique, la question prioritaire de constitutionnalité qu’il soulève doit être regardée comme dirigée contre les dispositions du premier alinéa de l’article L. 556-7 du code général de la fonction publique qui dispose, dans sa rédaction applicable au litige, que : » Le fonctionnaire appartenant à un corps ou à un cadre d’emplois dont la limite d’âge est inférieure à celle fixée au 1° de l’article L. 556-1 bénéficie, à sa demande et sous réserve de son aptitude physique, d’une prolongation d’activité jusqu’à l’âge fixé au même 1° « . 3. Il résulte de ces dispositions, éclairées par les travaux parlementaires préalables à l’adoption de l’article 93 de la loi du 17 décembre 2008 de financement de la sécurité sociale pour 2009 dont elles sont issues, que le bénéfice, pour un fonctionnaire entrant dans leur champ, d’une prolongation d’activité sur leur fondement est subordonné à la seule condition de son aptitude physique, sans qu’un refus puisse être opposé à sa demande pour un motif tiré de l’intérêt du service. Le service territorial d’incendie et de secours de la Martinique soutient que ces dispositions, ainsi interprétées, méconnaissent le principe de libre administration des collectivités territoriales, garanti par les articles 34 et 72 de la Constitution, le principe de continuité du service public ainsi que le principe d’égalité, garanti par l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. 4. En premier lieu, si les dispositions contestées sont susceptibles de restreindre la liberté des employeurs publics dans la gestion de leur personnel, elles ne sauraient en tout état de cause être regardées, eu égard à la portée réduite des limitations qu’elles imposent et à l’objectif d’intérêt général qu’elles poursuivent, comme méconnaissant le principe de libre administration des collectivités territoriales ou comme portant atteinte à la continuité du service public. 5. En second lieu, aux termes de l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, la loi » doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse « . Le principe d’égalité ne s’oppose ni à ce que le législateur règle de façon différente des situations différentes, ni à ce qu’il déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que, dans l’un et l’autre cas, la différence de traitement qui en résulte soit en rapport direct avec l’objet de la loi qui l’établit. Le principe d’égalité de traitement dans le déroulement de la carrière des fonctionnaires n’est susceptible de s’appliquer qu’entre les agents appartenant à un même corps ou cadre d’emplois. 6. Aux termes du premier alinéa de l’article L. 556-5 du code général de la fonction publique : » Le fonctionnaire dont la durée des services liquidables est inférieure à celle définie à l’article L. 13 du code des pensions civiles et militaires de retraite peut, sur sa demande, lorsqu’il atteint la limite d’âge qui lui est applicable dans le corps ou le cadre d’emplois auquel il appartient, bénéficier d’une prolongation d’activité, sous réserve de l’intérêt du service et de son aptitude physique « . Le deuxième alinéa de l’article L. 556-7 du même code prévoit que la prolongation d’activité prévue par le premier alinéa de cet article, cité au point 2, » (…) intervient, le cas échéant, sous réserve des possibilités de recul de la limite d’âge prévues aux articles L. 556-2, L. 556-3 et L. 556-5 « . 7. Le service territorial d’incendie et de secours de la Martinique soutient que les dispositions qu’il conteste méconnaissent le principe d’égalité de traitement entre les fonctionnaires appartenant à un même corps ou cadre d’emplois en ce qu’elles ne subordonnent pas le bénéfice de la prolongation d’activité qu’elles prévoient à l’intérêt du service tandis qu’est soumise à cette condition la prolongation d’activité prévue à l’article L. 556-5 du même code en faveur des fonctionnaires qui atteignent la limite d’âge après une carrière incomplète. Toutefois, ces deux dispositions concernent des fonctionnaires qui sont placés, eu égard à la limite d’âge qui leur est applicable ou à leur durée de cotisation, dans des situations différentes et la différence de traitement qui résulte de l’application des dispositions des articles L. 556-5 et L. 556-7 est en rapport direct avec leur objet respectif. En outre, dès lors qu’il résulte des dispositions citées aux points 2 et 6 que la prolongation d’activité prévue par l’article L. 556-7 intervient, le cas échéant, sous réserve de celle prévue à l’article L. 556-5, le fonctionnaire dont la limite d’âge est inférieure à celle fixée au 1° de l’article L. 556-1 et qui atteint cette limite d’âge sans avoir bénéficié d’une carrière complète peut, s’il s’est vu refuser une prolongation au titre de l’article L. 556-5, prétendre à celle prévue à l’article L. 556-7. Par suite, le grief n’est pas sérieux. 8. Il résulte de ce qui précède que la question soulevée, qui n’est pas nouvelle, ne présente pas un caractère sérieux. Il n’y a donc pas lieu de la renvoyer au Conseil constitutionnel. D E C I D E : ————– Article 1er : Il n’y a pas lieu de renvoyer au Conseil constitutionnel la question prioritaire de constitutionnalité soulevée par le service territorial d’incendie et de secours de la Martinique. Article 2 : La présente décision sera notifiée au service territorial d’incendie et de secours de la Martinique, à M. A… B… et au ministre de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’action publique. Copie en sera adressée au Conseil constitutionnel, au Premier ministre, au ministre de l’intérieur, au ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et au tribunal administratif de la Martinique. Source link JUSTIFIABLE : Indexation des Jurisprudences depuis le 1er novembre 2024 JUSTIFIABLE enrichit son offre en indexant désormais les différentes jurisprudences publiées depuis le 1er novembre 2024. Cette nouvelle fonctionnalité couvre les décisions rendues par les juridictions françaises, offrant un accès rapide et structuré à une base de données constamment mise à jour. Ce service vise à faciliter la recherche juridique et à garantir aux professionnels du droit, étudiants, et particuliers un accès clair et précis à l’évolution des décisions judiciaires en France. Explorez dès maintenant cette catégorie et restez informés des derniers développements juridiques.
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Les Activités Saines pour les Ados : Un Moyens de Garder les Jeunes en Action
Les adolescents traversent une période cruciale de développement physique et mental, et il est essentiel de les encourager à adopter des activités saines qui favorisent leur bien-être. Que ce soit pour gérer le stress, améliorer leur condition physique ou renforcer leur confiance en eux, les ados en action bénéficient grandement des activités qui allient plaisir, mouvement et sociabilité. Découvrez comment certaines pratiques peuvent transformer leur quotidien et les aider à évoluer positivement dans un environnement de plus en plus connecté.
1. L'Importance des Activités Saines pour les Adolescents
La période de l'adolescence est marquée par de nombreux changements. Les jeunes font face à des défis personnels, scolaires et sociaux qui peuvent influencer leur santé mentale et physique. Dans ce contexte, l'activité physique devient un outil indispensable pour maintenir un équilibre. Les activités saines telles que le sport, les jeux en plein air, ou même des activités de groupe, permettent aux adolescents de libérer l'énergie accumulée, de réduire leur niveau de stress et d’améliorer leur humeur.
Les jeunes sont souvent confrontés à des pressions externes qui peuvent nuire à leur santé mentale. En intégrant des activités physiques dans leur routine, ils peuvent mieux gérer leur anxiété, renforcer leur estime de soi et améliorer leur qualité de vie. Ces activités leur offrent aussi l'opportunité de développer des compétences sociales importantes et de se sentir plus connectés à leur entourage.
2. Les Activités Sportives : Un Moyen de Stimuler la Confiance des Ados
Parmi les activités saines, les sports collectifs et individuels occupent une place primordiale. Les sports comme le football, le basketball, le volleyball ou encore les arts martiaux sont parfaits pour renforcer les liens sociaux et encourager les adolescents à travailler en équipe. Participer à un sport de groupe permet aux jeunes de développer des compétences en communication et en collaboration, tout en apprenant à gérer la compétition de manière saine.
Les ados en action qui s’engagent dans des sports individuels, tels que la course à pied, la natation ou le tennis, bénéficient de leur propre rythme et d'une concentration accrue sur leurs objectifs personnels. Ces sports permettent également de renforcer la discipline et la résilience, tout en offrant une occasion de se surpasser.
3. Activités Physiques en Plein Air : Un Excellent Antidote au Stress
En dehors des murs des gymnases ou des terrains de sport, les activités saines pratiquées en plein air sont d'une importance capitale pour les adolescents. Les balades à vélo, les randonnées, le skate, ou même la simple promenade dans un parc sont des activités simples et accessibles qui permettent aux jeunes de respirer de l'air frais tout en faisant travailler leur corps.
Les recherches montrent que passer du temps en pleine nature améliore la concentration, réduit les symptômes de la dépression et de l'anxiété, et renforce la mémoire et la créativité. Les ados en action, qui choisissent de sortir et de bouger dans un environnement naturel, peuvent ainsi s’offrir une véritable déconnexion, loin des écrans et du stress quotidien.
4. La Méditation et le Yoga : Des Pratiques Apaisantes pour le Corps et l'Esprit
Les activités saines ne sont pas seulement physiques. Le yoga et la méditation, bien que plus doux, offrent des bienfaits considérables pour les adolescents. Ces pratiques contribuent à une gestion plus efficace du stress et favorisent la relaxation. Le yoga, par exemple, améliore la flexibilité, renforce les muscles et aide les adolescents à se concentrer sur leur respiration, ce qui a un impact direct sur leur gestion des émotions.
Les ados en action qui intègrent des exercices de respiration et des postures de yoga dans leur routine quotidienne peuvent améliorer leur équilibre mental et émotionnel. Ces pratiques apportent également des bénéfices en termes de bien-être général, en créant une pause dans un quotidien souvent surchargé.
5. Les Activités Artistiques : Libérer la Créativité des Jeunes
La créativité joue un rôle clé dans l'expression de soi, et les activités saines ne se limitent pas à l'exercice physique. Les activités artistiques, telles que la danse, la musique ou même le dessin, permettent aux adolescents de canaliser leur énergie de manière constructive tout en développant leur potentiel créatif.
Les arts offrent aux ados en action un moyen de s'exprimer, de comprendre leurs émotions et d'améliorer leur estime de soi. La danse, par exemple, peut être une activité physique ludique qui permet de se libérer des tensions accumulées tout en favorisant la coordination et l'endurance. La musique, quant à elle, permet de se connecter à des émotions profondes et de stimuler la concentration.
6. L'Influence des Technologies sur les Activités Saines des Adolescents
Dans un monde où les écrans occupent une place centrale, il est essentiel de trouver un équilibre. Cependant, les technologies peuvent également être utilisées pour encourager des activités saines. Par exemple, des applications de fitness, des vidéos de yoga ou des jeux interactifs qui encouragent à bouger peuvent motiver les adolescents à rester actifs.
Les ados en action peuvent aussi utiliser des plateformes sociales pour se fixer des objectifs de remise en forme, partager leurs progrès avec leurs amis et se soutenir mutuellement. Toutefois, il est crucial que les jeunes équilibrent leurs activités en ligne avec des moments dédiés à des exercices physiques ou à des activités de groupe.
7. Créer des Espaces Sécurisés pour Encourager les Activités Physiques
Afin d'encourager les adolescents à pratiquer des activités saines, il est important de leur offrir des espaces adaptés à leurs besoins. Les parcs, les aires de jeux, les centres communautaires et les clubs de sport locaux sont des endroits où les jeunes peuvent se retrouver pour partager des moments d'activités physiques. Ces lieux permettent aussi aux ados en action de rencontrer de nouveaux amis, d'échanger et de renforcer leurs compétences sociales.
Conclusion : Encouragez Vos Enfants à Bouger pour Leur Bien-Être
Il est essentiel de rappeler que les activités saines ne doivent pas seulement être perçues comme un moyen d'améliorer la condition physique, mais aussi comme un outil de développement personnel. Les adolescents, grâce à ces pratiques, peuvent mieux gérer leur stress, améliorer leur bien-être mental et se construire une estime de soi solide. En les encourageant à pratiquer des activités physiques adaptées à leurs préférences, nous leur offrons la possibilité de devenir des adultes équilibrés et épanouis.
En tant que parents, éducateurs ou mentors, il est de notre responsabilité d'inspirer les ados en action et de les soutenir dans leurs choix d’activités. Que ce soit à travers le sport, l’art ou d’autres formes d'expression, chaque activité contribue à leur bien-être global et à leur épanouissement personnel.
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Le Yoga sur Chaise : Un Voyage de Bien-Être Accessible à Toutes
Introduction au Yoga sur Chaise
Le yoga sur chaise, c’est un peu comme une étreinte douce dans un monde qui va souvent trop vite. C’est une pratique qui nous invite à ralentir, à revenir à l’essentiel, sans la pression de se plier en deux ou de réaliser des postures acrobatiques. Imaginez une pause bien-être qui ne demande rien de plus qu’une chaise, un peu de temps, et l’envie de se reconnecter à soi-même. Dans cette simplicité, il y a une profondeur immense : celle de s’offrir un espace de respiration, d’acceptation, et de douceur.
En France, le yoga sur chaise trouve sa place dans des lieux inattendus, loin des studios classiques : des hôpitaux, des IME, des entreprises, des écoles, et même des Maisons Pour Tous. En tant que professeure de yoga, ce que j’aime dans le yoga sur chaise, c’est son universalité. Il n’a pas de barrière, il s’adapte à tous les corps et à toutes les histoires, créant des ponts de bienveillance et de connexion là où on en a le plus besoin.
J'aime ce côté social et accessible si loin de ce que l'on voit dans les RSS.
Pourquoi le Yoga sur Chaise est Adapté aux Femmes
Pour les femmes, souvent prises dans le tourbillon des responsabilités, le yoga sur chaise est comme un refuge. C’est un rappel que nous pouvons, et devons, nous offrir des moments pour nous-mêmes, pour respirer et relâcher les épaules trop souvent crispées par le poids du quotidien. Pour les futures mamans, il devient un allié précieux, soulageant les tensions du dos, apaisant les esprits anxieux, et offrant une pause pour se connecter à ce petit être qui grandit en elles. Pour celles en pleine ménopause, il est une douce invitation à accepter et honorer son corps avec bienveillance.
Et puis, il y a toutes les autres, celles qui jonglent entre le travail, la maison, les projets personnels. Celles qui, parfois, oublient de s’accorder une pause. Le yoga sur chaise leur rappelle qu’elles sont dignes de ces moments de répit, et qu’un simple mouvement, même assise, peut redonner du souffle à une journée bien remplie.
Le Yoga sur Chaise en France : Un Soutien pour Tous
Depuis cinq ans, j’ai eu l’immense privilège de proposer le yoga sur chaise dans divers lieux autour d’Aix-en-Provence et Marseille. Chaque rencontre, chaque visage rencontré m’a rappelé que le yoga sur chaise dépasse de loin les simples mouvements : c’est une invitation à se reconnecter à soi-même, un espace pour tisser des liens, et une parenthèse de douceur dans le tumulte de la vie quotidienne.
Yoga sur Chaise dans un IME près d’Aix-en-Provence : Offrir un Nouveau Langage
Dans un IME situé non loin d’Aix, j’ai découvert une communauté incroyable de jeunes, chacun avec ses propres défis mais aussi une résilience et une joie de vivre contagieuses. Le yoga sur chaise, dans cet environnement, est rapidement devenu plus qu’une simple activité physique : c’était un langage universel de mouvement et de présence. Chaque séance était un moment où ces jeunes pouvaient explorer leur corps autrement, sans pression ni jugement.
Parmi eux, il y avait Nathalie, une patiente adulte avec des troubles moteurs importants qui limitaient sa mobilité au quotidien. Lors des premières séances, Nathalie restait souvent en retrait, observant discrètement sans vraiment participer. Elle semblait hésitante, comme si chaque mouvement était un défi insurmontable. Mais avec des encouragements doux et un rythme adapté, quelque chose a commencé à changer.
Peu à peu, Nathalie a commencé à s’engager dans les mouvements simples que je proposais. Au début, c’était de petits gestes : lever les bras doucement, inspirer profondément. Puis, un jour, après plusieurs tentatives, elle a réussi à étendre ses bras vers le ciel tout en suivant une respiration profonde. Le sourire qui a illuminé son visage à ce moment-là reste gravé dans ma mémoire : c’était comme assister à une petite victoire, un instant de pure libération. Les thérapeutes qui l’accompagnaient ont remarqué que ces séances l’aidaient non seulement à améliorer sa coordination, mais aussi à mieux gérer son anxiété, lui offrant une nouvelle forme de confiance en elle-même.
Pour Nathalie, comme pour beaucoup d’autres, le yoga sur chaise est devenu bien plus qu’un simple exercice : c’est un catalyseur de confiance et de moments précieux où l’on se surprend à découvrir que, malgré les limitations, le corps et l’esprit peuvent encore se connecter et s’épanouir.
Yoga sur Chaise en Oncologie à La Timone et au CHU d’Aix-en-Provence : Des Bulles de Paix dans la Tempête
Dans les services d’oncologie pédiatrique et pour femmes à La Timone et au CHU d’Aix-en-Provence, j’ai découvert à quel point le yoga sur chaise pouvait offrir une bulle de répit au milieu des épreuves. Ces hôpitaux, bien que débordants de soin et de dévouement, sont aussi des lieux où le stress, la peur et l’épuisement sont omniprésents. Le yoga sur chaise devient alors une bouée, un moment où l’on peut poser les armes et simplement respirer.
Je me souviens de Manon, une adolescente de quatorze ans en traitement pour un cancer. Lors de notre première rencontre, elle était renfermée, visiblement fatiguée des rendez-vous médicaux et des traitements lourds. Elle n’avait jamais pratiqué le yoga auparavant, mais dès que nous avons commencé à bouger doucement sur la chaise, quelque chose s’est allégé. Chaque petit étirement, chaque respiration profonde la ramenait à une sensation de contrôle sur son propre corps, malgré la maladie. À la fin d’une séance, elle m’a confié : « Quand je suis sur cette chaise, j’oublie presque que je suis malade. » C’est dans ces moments-là que j’ai réalisé la puissance de cette pratique pour apporter un peu de lumière dans des journées souvent grises.
À Aix, j’ai également travaillé avec des femmes en oncologie. Certaines étaient en phase de rémission, d’autres en plein combat contre la maladie. Leurs parcours étaient tous différents, mais la chaise de yoga devenait pour chacune un refuge, un lieu où elles pouvaient relâcher les tensions et se reconnecter à leur féminité, à leur force intérieure. L’une des patientes, Mireille, une femme pleine de vie malgré son diagnostic difficile, a commencé à partager nos séances avec d’autres patientes. Elle disait souvent : « Si je peux respirer ici, je peux respirer partout. » Ce simple mantra, répété comme un fil rouge à chaque séance, était bien plus qu’une affirmation : c’était un acte de résistance face à la maladie, un rappel que même dans les moments les plus sombres, il reste des espaces de lumière à cultiver.
Mireille transformait chaque séance en un moment de solidarité, de partage, et de douce rébellion contre la douleur. Son enthousiasme contagieux et sa capacité à transformer une salle d’hôpital en un sanctuaire de bienveillance ont profondément touché non seulement les autres patientes, mais aussi les équipes médicales qui assistaient à ces petites victoires quotidiennes.
Yoga sur Chaise en Entreprise : Reconnecter les Équipes Stressées de Marseille
Les entreprises à Marseille ne sont pas exemptes du stress typique des grandes villes. Dans un monde où tout va vite, où les délais sont serrés et où les réunions s’enchaînent, le yoga sur chaise a trouvé sa place comme une pause bienvenue. Travailler avec une entreprise de nettoyageau 14 émé a été l’une de mes expériences les plus enrichissantes. J’ai proposé des séances de yoga sur chaise en plein milieu de la journée, entre deux réunions stratégiques, et ce qui au départ était accueilli avec scepticisme est vite devenu un rendez-vous attendu.
Céline, une cadre dynamique, m’a confié qu’elle avait du mal à décrocher, même pendant ses pauses déjeuner. « J’ai l’impression de courir après le temps en permanence », m’a-t-elle dit lors de notre première séance. Mais en intégrant le yoga sur chaise à son quotidien, elle a découvert qu’en seulement quinze minutes, elle pouvait relâcher la pression accumulée. Les torsions douces et les exercices de respiration l’ont aidée à mieux gérer le stress et à améliorer sa concentration. Rapidement, ses collègues ont suivi, et les séances sont devenues un moment de cohésion d’équipe. Rires, soupirs de soulagement, et parfois même des discussions personnelles autour d’un thé après la séance. Le yoga sur chaise avait réussi à transformer un environnement souvent stressant en un espace de partage et de détente.
Yoga sur Chaise dans les MPT : Créer des Liens à Marseille
Dans les Maisons Pour Tous (MPT) de Marseille, le yoga sur chaise a pris une dimension communautaire que je n’aurais jamais imaginée. Ces lieux sont souvent des refuges pour les habitants du quartier, des espaces où l’on peut venir apprendre, partager, et simplement être soi-même. J’ai eu la chance d’y proposer des cours de yoga sur chaise pour des groupes variés : des seniors, des mères de famille, des jeunes en quête de repères.
Une des histoires qui me tient particulièrement à cœur est celle de Fatima, une mère célibataire qui jonglait entre son travail, ses enfants et les défis du quotidien. Elle est venue un jour avec l’air épuisé, presque au bord des larmes. « Je suis venue parce que j’ai entendu dire que ça aidait à se détendre, et Dieu sait que j’en ai besoin », a-t-elle avoué avec un sourire désolé. À la fin de la séance, après avoir simplement respiré profondément et fait quelques étirements, elle m’a remerciée les larmes aux yeux, disant que c’était la première fois depuis longtemps qu’elle se sentait vraiment en paix.
Conclusion
Ces expériences à Aix et Marseille m’ont appris que le yoga sur chaise n’est pas seulement une pratique physique : c’est un espace d’espoir, de réconfort, et de reconnexion. Que ce soit pour des enfants qui découvrent le mouvement sous un jour nouveau dans un IME ou des patients qui naviguent à travers les incertitudes de la maladie à l’hôpital, chaque séance est un rappel puissant et universel que nous avons tous en nous des ressources insoupçonnées pour trouver un peu de paix, un souffle à la fois.
Le yoga sur chaise invite à poser les fardeaux, à respirer dans les moments où le poids de la vie semble trop lourd. Il nous rappelle que, peu importe où l’on se trouve ou ce que l’on traverse, il existe toujours un espace pour soi—un instant suspendu où l’on peut se reconnecter à l’essentiel. Il y a une beauté inouïe dans ces moments de silence partagé, où les respirations s’harmonisent et où les cœurs, même fatigués, trouvent la force de battre un peu plus doucement, un peu plus calmement.
Pour moi, enseigner le yoga sur chaise dans ces lieux divers et souvent imprégnés d’émotions intenses a été bien plus qu’un travail : c’est une vocation, un appel à semer des graines de sérénité là où elles sont le plus nécessaires. Et chaque sourire, chaque soupir de soulagement, chaque posture réussie me rappelle pourquoi je suis là : pour offrir ce petit espace de magie, de résilience, et d’humanité.
Que ce soit dans une salle d’hôpital, un centre éducatif, une entreprise ou une MPT, le yoga sur chaise est une invitation à redécouvrir la force du corps et de l’esprit, à ouvrir une fenêtre même là où les murs semblent trop épais. Il nous enseigne que, malgré tout, la paix et la beauté peuvent être trouvées dans les moments les plus simples—un étirement, une respiration, un regard bienveillant. C’est un voyage de retour vers soi-même, un souffle à la fois, et une promesse que l’on peut toujours trouver un peu de clarté, même dans les moments de brouillard.
Pour ces raisons je propose des Formations de spécialisation pour les profs de yoga, thérapeutes, enseignants, soignants, qui veulent connaître cette méthode simple et efficace. Chez Yoga du Sud, en ligne ou en présence, nous vous invitons à faire arriver le Yoga partout et pour tous.
Rosa Aguilera

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Comprendre le monde geek : mode, accessoires, et style de vie
Les geeks sont partout et leur influence sur la culture populaire ne fait que croître. Que vous soyez un geek passionné ou simplement curieux, ce guide vous aidera à comprendre ce mode de vie unique. Découvrez comment les geeks allient passion, santé et style pour enrichir leur quotidien.
Qu'est-ce qu'un geek ?
Le terme "geek" a évolué au fil des années. Autrefois perçu comme péjoratif, il désigne désormais des personnes passionnées par la technologie, les jeux vidéo, les bandes dessinées, et bien plus encore. Les geeks sont souvent à la pointe des nouvelles tendances et apprécient la profondeur et la complexité des univers qu'ils explorent.
Les bienfaits de la passion geek sur la santé
Vous vous demandez peut-être comment une passion pour les jeux vidéo ou les bandes dessinées peut avoir des effets positifs sur la santé. En réalité, le monde geek offre de nombreuses opportunités pour améliorer son bien-être.
Réduction du stress
S'immerger dans un jeu vidéo ou une série de bandes dessinées peut aider à oublier les soucis du quotidien et à se détendre. Ces activités permettent de se déconnecter et de réduire le stress.
Stimulation cognitive
Les jeux vidéo, en particulier ceux qui nécessitent stratégie et réflexion, peuvent améliorer les capacités cognitives. Ils stimulent la mémoire, la prise de décision et la résolution de problèmes.
Socialisation
Contrairement aux idées reçues, les geeks sont souvent très sociables. Les conventions, les forums en ligne et les soirées de jeux permettent de rencontrer des personnes partageant les mêmes passions et de tisser des liens solides.
Pour en savoir plus sur la manière d'allier passion geek et bien-être, consultez cet article complet ici.
Comment adopter un look geek unique
Le style geek est devenu une véritable tendance. Que vous souhaitiez afficher fièrement vos passions ou simplement adopter un look original, voici quelques conseils pour vous créer un style geek unique.
Choisir les bons vêtements
Les vêtements geeks vont bien au-delà des simples tee-shirts à l'effigie de vos héros préférés. Pensez aux pulls Marvel, aux chaussettes Star Wars, et même aux vestes inspirées de films cultes. L'important est de choisir des pièces de qualité qui reflètent vos goûts tout en étant confortables.
Accessoiriser avec goût
Les accessoires sont indispensables pour parfaire votre look. Des montres Marvel aux porte-clés geek, ils permettent de personnaliser votre style. Pour trouver les meilleurs accessoires geeks pour améliorer votre quotidien, consultez cet article ici.
Assumer son style
Le plus important est d'assumer et de porter vos vêtements avec confiance. Un vrai geek ne se soucie pas du regard des autres, il vit sa passion pleinement et l'affiche fièrement.
Intégrer la culture geek dans son quotidien
Vivre sa passion geek ne se limite pas à la mode. Intégrer la culture geek dans son quotidien peut se faire de nombreuses façons, que ce soit par la décoration intérieure ou les loisirs.
Décorer son espace de vie
Transformez votre maison en véritable temple geek avec des objets de décoration. Posters, lampes, figurines... les possibilités sont infinies pour créer un environnement qui vous ressemble. Consultez les meilleures idées de décoration geek pour 2024 dans cet article.
Participer à des événements geeks
Les conventions et les festivals geeks sont des occasions idéales pour rencontrer d'autres passionnés et découvrir les dernières nouveautés. Que ce soit pour assister à des conférences, participer à des concours de cosplay ou simplement explorer les stands, ces événements sont incontournables.
Pratiquer des activités physiques
Être geek ne signifie pas être sédentaire. De nombreux geeks pratiquent des activités physiques en lien avec leurs passions, comme le Quidditch pour les fans de Harry Potter ou les arts martiaux pour les amateurs de mangas.
Conclusion & Avis
Le monde geek est riche et varié, offrant de nombreuses possibilités d'expression et de bien-être. Que vous soyez un passionné de longue date ou un novice curieux, il y a toujours quelque chose à découvrir. Alors, prêt à plonger dans l'univers geek et à vivre votre passion pleinement ?
Pour plus d'inspiration et de conseils, n'hésitez pas à consulter nos articles et à rejoindre la communauté des geeks. Ensemble, faisons de chaque jour une aventure passionnante et stylée.
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Les signes d'une déshydratation à ne pas ignorer

L'hydratation joue un rôle fondamental dans le maintien de notre santé. Chaque cellule, tissu et organe de notre corps nécessite de l'eau pour fonctionner correctement. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur l'importance de l'hydratation, ses bienfaits sur notre santé et les meilleures pratiques pour rester bien hydraté.
Si vous souhaitez en savoir plus, visitez → L’importance de l’hydratation pour votre santé
Pourquoi l’hydratation est essentielle
L’eau est le constituant principal de notre corps, représentant environ 60 % de notre poids corporel. Elle est impliquée dans une multitude de fonctions vitales :
Transport des nutriments et de l’oxygène : L’eau est le principal moyen de transport des nutriments et de l’oxygène vers les cellules. Sans une hydratation adéquate, ces processus vitaux ralentissent.
Élimination des déchets : L'eau permet aux reins de filtrer les déchets et de les évacuer sous forme d'urine.
Régulation de la température corporelle : Grâce à la transpiration et à la respiration, l’eau aide à maintenir une température corporelle stable.
Lubrification des articulations : Les articulations et les yeux dépendent d’un bon niveau d’hydratation pour fonctionner correctement.
Les signes de déshydratation
La déshydratation peut entraîner des complications graves si elle n’est pas traitée rapidement. Voici quelques signes indiquant que votre corps manque d’eau :
Soif excessive : Le premier et le plus évident des signes.
Urine foncée : Une urine de couleur foncée est un signe que votre corps conserve l’eau.
Fatigue : La déshydratation peut provoquer une baisse significative d'énergie.
Vertiges et étourdissements : Un manque d'eau affecte directement votre circulation sanguine et votre tension artérielle.
Peau sèche : Une peau sèche et élastique indique souvent un manque d’hydratation.
Les bienfaits d’une bonne hydratation
Maintenir une bonne hydratation apporte de nombreux bienfaits à notre santé globale :
Amélioration des performances physiques
Pendant une activité physique, le corps perd une grande quantité d’eau par la transpiration. Une bonne hydratation permet de :
Optimiser les performances : Une hydratation adéquate aide à maintenir la force, l'endurance et la concentration.
Prévenir les crampes : L’eau aide à maintenir un bon équilibre électrolytique, réduisant ainsi le risque de crampes musculaires.
Fonction cognitive et humeur
L’eau a un impact direct sur le cerveau :
Amélioration de la concentration : Une hydratation suffisante améliore les fonctions cognitives et la mémoire.
Stabilité de l’humeur : Le cerveau bien hydraté est moins susceptible aux fluctuations d’humeur et aux symptômes de l’anxiété.
Soutien à la digestion
Une bonne hydratation est essentielle pour un système digestif sain :
Prévention de la constipation : L’eau aide à ramollir les selles, facilitant leur passage.
Équilibre du microbiome intestinal : Une bonne hydratation aide à maintenir un microbiome intestinal sain, crucial pour la digestion et l'absorption des nutriments.
Santé de la peau
L'eau est un allié pour la santé de la peau :
Hydratation de l’épiderme : Une consommation d’eau adéquate maintient la peau hydratée et souple.
Réduction des signes du vieillissement : L’eau aide à réduire les rides et les ridules, donnant à la peau un aspect plus jeune et frais.
Comment maintenir une bonne hydratation
Quantité d’eau recommandée
Les besoins en eau varient selon les individus, mais en général, il est recommandé de boire environ 2 litres d'eau par jour pour les femmes et 2,5 litres pour les hommes. Cependant, ces besoins peuvent augmenter en fonction de divers facteurs comme l’activité physique, le climat et l’état de santé.
Sources d’hydratation
L’eau n’est pas la seule source d’hydratation. Vous pouvez également vous hydrater en consommant :
Fruits et légumes : Les aliments comme les concombres, les pastèques, les oranges et les fraises sont riches en eau.
Boissons non sucrées : Les tisanes, le lait et les jus de fruits naturels contribuent également à votre apport hydrique quotidien.
Soupes et bouillons : Ces plats sont excellents pour augmenter votre consommation d’eau.
Astuces pour rester hydraté
Porter une bouteille d'eau : Ayez toujours une bouteille d’eau à portée de main.
Boire avant d’avoir soif : Ne pas attendre la sensation de soif pour boire.
Établir des rappels : Utilisez des rappels sur votre téléphone ou des applications dédiées pour vous souvenir de boire régulièrement.
Les erreurs à éviter
Consommation excessive de café et d’alcool : Ces boissons peuvent avoir un effet diurétique, augmentant la perte d'eau.
Boissons sucrées : Elles peuvent apporter des calories supplémentaires non nécessaires et ne sont pas aussi hydratantes que l’eau pure.
Conclusion
L’hydratation est un élément clé de notre santé globale. En comprenant son importance et en adoptant des habitudes pour rester bien hydraté, nous pouvons améliorer notre bien-être quotidien. N'oubliez pas que l'eau est un élément vital qui soutient presque toutes les fonctions corporelles.
Si vous souhaitez en savoir plus, visitez → L’importance de l’hydratation pour votre santé
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Qu'est-ce que la fatigue mentale ?

Qu'est-ce que la fatigue mentale ?
La fatigue mentale est un état d'épuisement psychologique qui résulte d'une sollicitation prolongée des capacités cognitives et émotionnelles. Elle se manifeste par une sensation de lassitude, de manque de motivation, et une diminution des performances intellectuelles. Contrairement à la fatigue physique, qui survient après un effort corporel, la fatigue mentale est liée à des activités impliquant une concentration intense, la prise de décisions, la résolution de problèmes, et la gestion des émotions.
Causes de la fatigue mentale:
Plusieurs facteurs peuvent contribuer à l'apparition de la fatigue mentale : Stress chronique : Une exposition prolongée à des situations stressantes peut épuiser les ressources mentales. Le stress peut provenir du travail, des responsabilités familiales, des problèmes financiers, ou d'autres aspects de la vie quotidienne. Surcharge cognitive : Travailler sur des tâches complexes et demandant une attention soutenue pendant de longues périodes sans pauses adéquates peut entraîner une fatigue mentale. Par exemple, les étudiants en période d'examens ou les professionnels en phase de projet intense. Manque de sommeil : Un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité affecte la capacité du cerveau à se reposer et à se régénérer, augmentant ainsi la susceptibilité à la fatigue mentale. Émotions négatives : Les émotions telles que l'anxiété, la tristesse, ou la colère consomment beaucoup d'énergie mentale. La gestion continue de ces émotions peut épuiser les réserves psychologiques. Symptômes de la fatigue mentale La fatigue mentale peut se manifester par divers symptômes, qui peuvent varier d'une personne à l'autre. Voici quelques signes courants : Diminution de la concentration : Difficulté à se focaliser sur des tâches ou à suivre une conversation. Troubles de la mémoire : Oublis fréquents ou difficulté à se souvenir d'informations récentes. Irritabilité : Réactions émotionnelles disproportionnées face à des situations banales. Baisse de motivation : Perte d'intérêt pour des activités habituellement plaisantes ou importantes. Sensation de lourdeur mentale : Sentiment d'avoir l'esprit "embrumé" ou ralenti. Troubles du sommeil : Difficultés à s'endormir, sommeil agité ou réveils fréquents. Conséquences de la fatigue mentale Si elle n'est pas traitée, la fatigue mentale peut avoir des répercussions importantes sur la santé globale et le bien-être. Elle peut conduire à : Burnout : Un état d'épuisement physique, émotionnel et mental sévère souvent lié au stress professionnel. Dépression et anxiété : La fatigue mentale chronique peut augmenter le risque de développer des troubles de l'humeur. Diminution de la performance : Impact sur la productivité au travail ou les performances académiques. Problèmes de santé physique : La fatigue mentale peut affaiblir le système immunitaire et augmenter la susceptibilité aux maladies. Prévention et gestion de la fatigue mentale Il est essentiel de prendre des mesures pour prévenir et gérer la fatigue mentale afin de maintenir une bonne santé psychologique. Voici quelques stratégies efficaces : Prendre des pauses régulières : Inclure des pauses fréquentes dans les périodes de travail ou d'étude pour permettre au cerveau de se reposer. Maintenir une hygiène de vie saine : Avoir une alimentation équilibrée, faire de l'exercice régulièrement et assurer un sommeil de qualité. Gérer le stress : Pratiquer des techniques de relaxation telles que la méditation, le yoga, ou la respiration profonde. Organiser son temps : Établir des priorités, déléguer des tâches et éviter la surcharge de travail. Chercher du soutien : Parler de ses sentiments et de ses préoccupations avec des amis, des membres de la famille ou un professionnel de la santé mentale. Conclusion La fatigue mentale est un phénomène courant dans notre société moderne, souvent liée à des rythmes de vie intenses et à des sollicitations constantes. Reconnaître les signes de la fatigue mentale et prendre des mesures pour la prévenir et la gérer est crucial pour maintenir une bonne santé mentale et une qualité de vie optimale. Il est important de se rappeler que demander de l'aide et prendre soin de soi sont des démarches essentielles pour préserver son bien-être psychologique. Read the full article
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Le muscle gras, 5 minutes de sport et mémoire du sportif
NOUVEAU PODCAST 👉 Du gras dans le muscle, 5 minutes de sport et mémoire du sportif. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #musculation #podcast #fitnessmotivation #gym #abs #shredded #minceur #regime #nutrition #dietetique #alimentation #alimentationsaine #keto #cetogene #vegan #vegetarien #carnivore #workout #france #sante
Dans ce podcast, nous allons parler de graisse dans les muscles, 5 minutes de sport et de mémoire de travail. Nouveau ! Exerkines : la raison n°1 de t’entraîner Sommaire du podcast : Aliments ultra-transformés : un impact discret mais sérieux sur les muscles Une nouvelle étude révèle que consommer des aliments ultra-transformés est lié à une accumulation accrue de graisse dans les muscles…
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Résidence pour personnes âgées Terrebonne : un havre de paix pour personnes âgées
À mesure que la population de personnes âgées continue de croître, la demande en résidences pour personnes âgées de qualité devient de plus en plus importante. Terrebonne, une communauté charmante et dynamique du Québec, Canada, offre une excellente solution pour les personnes âgées à la recherche d'un milieu de vie paisible et solidaire. La Résidence Personnes Âgées Terrebonne est une communauté de résidences pour personnes âgées de premier ordre conçue pour offrir confort, soins et sentiment d'appartenance à ses résidents. Cet article approfondit les caractéristiques, les avantages et les services offerts par la Résidence pour personnes âgées Terrebonne, ce qui en fait un choix idéal pour les aînés et leurs familles.
Un environnement accueillant et sécuritaire La Résidence Personnes Âgées Terrebonne est située dans un quartier serein, offrant une atmosphère tranquille qui favorise la détente et le bien-être. La communauté est soigneusement conçue pour assurer la sûreté et la sécurité de ses résidents, avec des systèmes de sécurité de pointe, une surveillance 24 heures sur 24 et un personnel qualifié disponible à tout moment. L'établissement est également équipé d'équipements modernes pour garantir une expérience de vie confortable et agréable.
Soins et soutien complets L'un des avantages les plus marquants de la Résidence pour personnes âgées Terrebonne réside dans les services complets de soins et de soutien offerts à ses résidents. L'établissement propose différents niveaux de soins, adaptés pour répondre aux besoins individuels de chaque résident. Qu'une personne âgée ait besoin d'une résidence-services, de soins de mémoire ou d'une vie autonome, la Résidence pour personnes âgées Terrebonne propose des plans de soins personnalisés pour garantir que chaque résident reçoive l'attention et le soutien dont il a besoin.
Le personnel compétent et compatissant de la Résidence pour personnes âgées Terrebonne est formé pour relever les défis uniques auxquels les personnes âgées peuvent être confrontées, notamment les besoins médicaux, les problèmes de mobilité et les déficiences cognitives. Des évaluations de santé régulières, une gestion des médicaments et une aide aux activités quotidiennes ne sont que quelques-uns des services disponibles pour assurer le bien-être et la tranquillité d'esprit des résidents.
Activités engageantes et opportunités sociales Rester actif et engagé socialement est essentiel pour maintenir un mode de vie sain et épanouissant, en particulier pour les personnes âgées. La Résidence pour personnes âgées Terrebonne offre une vaste gamme d'activités et de programmes conçus pour favoriser le bien-être physique, mental et social. Des cours de conditionnement physique aux clubs de loisirs en passant par les événements et sorties culturels, les résidents ont de nombreuses occasions de se connecter avec les autres, de poursuivre leurs intérêts et de vivre de nouvelles expériences.
La communauté dispose également de magnifiques jardins paysagers, de sentiers pédestres et d'espaces communs où les résidents peuvent socialiser, se détendre et profiter du plein air. Ces commodités encouragent un sentiment de communauté et favorisent des relations significatives entre les résidents, créant ainsi un environnement chaleureux et accueillant.
Repas nutritifs et excellence culinaire La nutrition joue un rôle essentiel dans le maintien de la santé globale, en particulier chez les personnes âgées. La Résidence Personnes Âgées Terrebonne met fortement l'accent sur l'offre de repas délicieux et nutritifs préparés par des chefs expérimentés. L'expérience culinaire est conçue pour répondre aux divers besoins et préférences alimentaires, garantissant que chaque résident bénéficie d'une alimentation satisfaisante et équilibrée.
Les résidents peuvent savourer leurs repas dans une salle à manger de style restaurant ou opter pour un repas dans la chambre s'ils préfèrent. Des besoins alimentaires particuliers, tels que des repas faibles en sodium ou adaptés aux diabétiques, sont également pris en compte, reflétant l'engagement de l'établissement à promouvoir la santé et le bien-être de ses résidents.
Implication familiale et communication La Résidence Aînés Terrebonne comprend l'importance de l'implication familiale dans la vie des aînés. L'établissement encourage une communication ouverte et une collaboration avec les familles des résidents pour créer un environnement de vie favorable et harmonieux. Des événements familiaux, des réunions et des mises à jour régulières garantissent que les membres de la famille sont informés et impliqués dans les soins et le bien-être de leurs proches.
L'établissement offre également divers canaux de communication permettant aux familles de rester en contact avec leurs proches, même s'ils se trouvent à des kilomètres. Les appels vidéo, les mises à jour sur les réseaux sociaux et les newsletters ne sont que quelques-uns des moyens par lesquels la Résidence pour personnes âgées Terrebonne maintient les familles engagées et informées.
Une communauté où l'on se sent comme chez soi Choisir une résidence pour personnes âgées est une décision importante, et la Résidence Personnes Âgées Terrebonne s'efforce de rendre cette transition aussi douce et positive que possible. L'engagement de l'établissement à fournir des soins exceptionnels, un environnement social dynamique et un sentiment d'appartenance en fait un choix de premier ordre pour les personnes âgées à la recherche d'un nouveau logement.
Pour plus d'informations:-
Residence Personne Agee Terrebonne
Logement a Louer Lachenaie
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Impact des écrans sur les enfants : sommeil, langage, attention… quels effets ?

L’usage des écrans chez les jeunes enfants est un sujet de préoccupation croissante pour les professionnels de la petite enfance. Dès les premiers mois, l’exposition aux écrans peut influencer le développement cognitif, émotionnel et social. Les études scientifiques alertent sur les risques d’un usage excessif : retard de langage, troubles de l’attention, perturbation du sommeil. Pourtant, les écrans font partie du quotidien des familles, rendant indispensable une réflexion sur les limites à poser. Quels sont les dangers réels pour les enfants de 0 à 3 ans ? Comment encadrer leur utilisation ?
Pourquoi faut-il limiter l'exposition aux écrans chez les enfants de 0 à 3 ans ?
Une influence négative sur le développement cérébral et cognitif Durant les trois premières années de vie, le cerveau des enfants connaît une phase de plasticité extrême. C’est une période cruciale où les connexions neuronales se multiplient à une vitesse fulgurante, façonnées par les expériences sensorielles et les interactions avec l’environnement. Les écrans, en proposant des stimulations visuelles et auditives passives, ne favorisent pas cet apprentissage naturel et freinent la construction des circuits cérébraux. Les recherches en neurosciences ont démontré qu’une exposition excessive aux écrans chez les enfants en bas âge pouvait entraîner des retards dans le développement du langage. L’acquisition de la parole repose en grande partie sur l’interaction humaine, le contact visuel et les échanges verbaux avec les parents et les professionnels de la petite enfance. Un enfant qui passe trop de temps devant un écran voit ces interactions diminuées, ce qui nuit directement à son apprentissage du vocabulaire et à sa capacité à formuler des phrases. De plus, les écrans captent l’attention de manière passive, sans solliciter l’effort de concentration nécessaire à l’éveil intellectuel. Ce mode de stimulation rapide et constant entraîne un déficit d’attention chez certains enfants, les habituant à une gratification immédiate et réduisant leur patience face aux activités nécessitant réflexion et persévérance. Un impact préoccupant sur la santé physique des tout-petits L’exposition précoce aux écrans ne se limite pas à des conséquences sur le développement cognitif. Elle affecte également la santé physique des jeunes enfants en modifiant leurs comportements et en réduisant leurs besoins essentiels en matière de sommeil et d’activité motrice. Le sommeil joue un rôle clé dans la maturation du cerveau, la consolidation de la mémoire et la régulation des émotions. Or, l’utilisation des écrans, en particulier avant le coucher, perturbe profondément l’endormissement des enfants. La lumière bleue émise par les écrans freine la production de mélatonine, l’hormone du sommeil, retardant ainsi l’heure d’endormissement et réduisant la qualité du repos nocturne. Des nuits écourtées ou entrecoupées entraînent fatigue, irritabilité et troubles de l’humeur dès le plus jeune âge. Le problème de la sédentarité Par ailleurs, l’usage excessif des écrans favorise la sédentarité. À un âge où le développement moteur repose sur l’exploration et le mouvement, un enfant qui passe du temps devant un écran réduit naturellement son activité physique. Or, le développement de la motricité globale – apprentissage de la marche, équilibre, coordination – nécessite des interactions avec l’environnement réel. Une diminution de ces expériences peut engendrer des retards dans l’acquisition de certaines compétences motrices essentielles. Enfin, les études démontrent un lien entre l’augmentation du temps d’écran et le risque d’obésité infantile. Un enfant qui reste assis de longues heures devant un écran est moins enclin à jouer, courir et explorer son environnement, ce qui limite la dépense énergétique et favorise la prise de poids. L’association avec une alimentation déséquilibrée, souvent renforcée par les publicités alimentaires diffusées sur les écrans, accentue encore ce phénomène. Des conséquences sur les émotions et les capacités relationnelles Le développement émotionnel des jeunes enfants repose en grande partie sur les interactions sociales et l’apprentissage de la régulation des émotions par l’imitation. Lorsqu’un enfant est exposé à des écrans de manière excessive, il est privé d’expériences relationnelles essentielles à la compréhension des signaux émotionnels et à la construction de son intelligence sociale. Un des effets les plus préoccupants concerne l’empathie et la capacité de gestion des émotions. Un enfant en bas âge apprend à reconnaître les émotions sur les visages de ses parents et des personnes qui l’entourent. Ce processus, indispensable à la construction des compétences sociales, est limité lorsque l’enfant passe trop de temps devant un écran au lieu d’observer et d’interagir avec des êtres humains réels. Certains chercheurs évoquent même un lien entre la surexposition aux écrans et des comportements agressifs ou impulsifs liés à une difficulté à comprendre et exprimer ses émotions correctement. Les écrans peuvent aussi amplifier le stress et l’anxiété des enfants. Les contenus, même adaptés à leur âge, peuvent générer une surstimulation sensorielle qui rend plus difficile l’apaisement naturel du système nerveux. Une consommation excessive d’images rapides et bruyantes entraîne une excitation prolongée du cerveau, rendant l’enfant plus irritable et plus enclin aux crises émotionnelles. Résumé des principaux effets négatifs d’une exposition précoce aux écrans Pour mieux comprendre l’ampleur du problème, voici un récapitulatif des principaux effets néfastes des écrans chez les enfants de 0 à 3 ans : - Retard dans le développement du langage : Moins d’interactions verbales avec les adultes, freinant l’acquisition du vocabulaire et la construction des phrases. - Troubles de l’attention : Habituation à une stimulation immédiate et rapide, entraînant une difficulté à se concentrer sur des activités nécessitant un effort soutenu. - Dérèglement du sommeil : Exposition à la lumière bleue des écrans perturbant la production de mélatonine et réduisant la qualité du repos nocturne. - Réduction de l’activité physique : Moins de temps consacré aux jeux moteurs, à l’exploration et aux mouvements essentiels au développement moteur. - Problèmes émotionnels et relationnels : Diminution des interactions humaines, freinant l’apprentissage de l’empathie et la gestion des émotions. - Augmentation du stress et de l’irritabilité : Surstimulation sensorielle rendant plus difficile la régulation des émotions et favorisant les crises émotionnelles.
Quelle exposition aux écrans est acceptable pour un enfant en bas âge ?
Les recommandations des pédiatres et des spécialistes Les instances de santé publique, dont l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Académie américaine de pédiatrie (AAP), sont unanimes : avant l’âge de deux ans, les écrans devraient être totalement évités. Durant cette période clé du développement, les apprentissages passent par l’expérience sensorielle, les interactions sociales et la motricité. Or, les écrans, même utilisés de manière passive, entravent ces processus fondamentaux. Regarder un écran n’apporte aucune stimulation bénéfique au cerveau immature d’un enfant et remplace du temps qui pourrait être consacré à des activités essentielles comme l’exploration de son environnement, la manipulation d’objets ou les échanges verbaux avec les adultes. À partir de deux ans, une introduction progressive des écrans peut être envisagée sous conditions. Le temps d’écran ne doit pas dépasser une durée maximale de 30 minutes à une heure par jour, et toujours sous la supervision d’un adulte. Les contenus proposés doivent être adaptés au développement de l’enfant, favorisant l’apprentissage interactif plutôt qu’une consommation passive d’images. Un visionnage actif, où le parent ou l’éducateur commente et interagit avec l’enfant face aux images, est fortement recommandé pour limiter les effets négatifs sur l’attention et favoriser un apprentissage encadré. L’importance de différencier les types de contenus Tous les écrans ne se valent pas, et l’impact sur l’enfant dépend en grande partie de la qualité du contenu visionné. Il est essentiel d’établir une distinction entre les écrans dits passifs, tels que la télévision et les vidéos en streaming, et les écrans interactifs, comme certaines applications éducatives adaptées à l’âge de l’enfant. Les écrans passifs, en particulier les programmes diffusés à la télévision, présentent peu d’intérêt pour le développement des tout-petits. Ils limitent les interactions et n’encouragent pas l’engagement actif de l’enfant dans son apprentissage. Les images s’enchaînent à un rythme rapide, habituant le cerveau à une surstimulation qui peut nuire à la concentration et à la patience face aux activités nécessitant un effort cognitif plus soutenu. Les écrans interactifs, lorsqu’ils sont bien sélectionnés, peuvent en revanche proposer des contenus adaptés au développement de l’enfant. Certaines applications, conçues en collaboration avec des experts de la petite enfance, encouragent la manipulation, la découverte et l’apprentissage du langage. Toutefois, leur utilisation doit rester encadrée, avec une implication directe du parent ou du professionnel pour enrichir l’expérience et éviter que l’écran ne devienne un simple outil de divertissement solitaire.

Encadrer l’usage des écrans en fonction de l’environnement L’exposition aux écrans ne se limite pas au temps passé devant un dispositif numérique. L’environnement dans lequel ils sont utilisés et les habitudes qui en découlent jouent un rôle déterminant sur l’impact qu’ils peuvent avoir sur les jeunes enfants. Il est donc indispensable de poser des repères clairs afin de préserver un équilibre sain entre le temps d’écran et les activités essentielles à leur développement. Certaines règles de base permettent d’encadrer leur usage de manière efficace : - Limiter le temps d’écran quotidien en respectant les recommandations d’âge et en veillant à ne pas dépasser une durée maximale adaptée à l’enfant. - Favoriser un usage accompagné, où le parent ou l’éducateur interagit avec l’enfant en commentant les images et en l’aidant à comprendre le contenu visionné. - Éviter les écrans avant le coucher, afin de préserver un sommeil de qualité et de ne pas perturber le rythme circadien par l’exposition à la lumière bleue. - Interdire les écrans pendant les repas, moment clé pour le développement du langage et les échanges familiaux. - Privilégier des contenus adaptés, en sélectionnant des programmes ou applications qui stimulent l’apprentissage et la réflexion plutôt qu’un visionnage passif. - Instaurer des temps sans écran, en encourageant des activités alternatives comme la lecture, les jeux créatifs et les interactions sociales.
Comment poser des limites aux écrans et favoriser d’autres activités ?
Mettre en place des règles claires et un cadre rassurant Les enfants en bas âge ont besoin d’un cadre structurant pour comprendre ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas. L’instauration de règles précises concernant l’usage des écrans permet d’éviter les excès tout en apportant un repère stable pour l’enfant. Ces règles doivent être simples, adaptées à l’âge et appliquées de manière constante pour qu’elles soient comprises et respectées. Il est essentiel de définir des moments où les écrans sont interdits afin de préserver des temps dédiés aux interactions familiales et aux apprentissages essentiels. Les repas doivent rester des instants privilégiés d’échange et de communication, sans distraction numérique. De même, l’heure du coucher ne doit pas être perturbée par l’usage des écrans, qui nuisent à l’endormissement et altèrent la qualité du sommeil. Fixer un temps d’écran maximal par jour permet également d’éviter les excès. Selon les recommandations des experts, les enfants de moins de trois ans ne devraient pas dépasser une durée de 30 minutes à une heure par jour, et toujours sous la supervision d’un adulte. L’idée n’est pas seulement de limiter l’accès aux écrans, mais surtout d’en faire un usage encadré et réfléchi, où l’enfant reste actif dans son apprentissage plutôt que spectateur passif. Proposer des alternatives aux écrans pour stimuler l’éveil Limiter l’usage des écrans ne suffit pas : il est tout aussi important de proposer des activités alternatives adaptées aux besoins des jeunes enfants. À cet âge, le développement passe par l’expérimentation, le mouvement et les interactions sociales. En diversifiant les activités, on évite que l’enfant ne réclame systématiquement un écran par manque de stimulation. Les jeux sensoriels sont particulièrement recommandés pour les tout-petits. La manipulation de matières comme le sable, l’eau ou la pâte à modeler favorise le développement moteur et sensoriel. Les livres, même avant l’acquisition du langage, constituent une alternative précieuse aux écrans en stimulant l’imagination et en renforçant le lien parent-enfant à travers la lecture partagée. Les activités en extérieur jouent un rôle clé dans l’équilibre des jeunes enfants. Courir, grimper, toucher l’herbe ou observer les éléments naturels contribuent au développement moteur et cognitif tout en offrant une dépense énergétique bénéfique. Le jeu libre, sans directive imposée par un adulte ou un support numérique, permet à l’enfant de développer sa créativité et son autonomie. Les interactions sociales doivent être encouragées dès le plus jeune âge. Les échanges avec les parents, les frères et sœurs ou d’autres enfants favorisent l’apprentissage du langage, la gestion des émotions et la compréhension des règles de vie en groupe. Loin d’être anodins, ces moments de jeu et de communication sont essentiels pour l’acquisition de compétences relationnelles durables. Sensibiliser les parents et les professionnels de la petite enfance L’éducation aux écrans ne concerne pas uniquement les enfants : les adultes doivent eux aussi être sensibilisés à leur propre usage du numérique. Les jeunes enfants imitent naturellement les comportements des adultes qui les entourent. Un parent qui passe de longues heures sur son téléphone sans interagir avec son enfant envoie un message contradictoire sur l’importance des échanges humains. Il est donc essentiel que les parents et les professionnels de la petite enfance prennent conscience de leur rôle de modèle. Éviter d’utiliser son téléphone pendant les repas, privilégier des moments de jeu sans écran et montrer l’exemple en pratiquant des activités non numériques permettent d’ancrer de bonnes habitudes dès le plus jeune âge. Les crèches et structures d’accueil jouent un rôle clé dans cette sensibilisation. Former les professionnels aux impacts des écrans et aux alternatives éducatives leur permet d’accompagner au mieux les familles et de leur fournir des conseils adaptés. Des ateliers de sensibilisation destinés aux parents peuvent être mis en place pour leur donner des clés concrètes afin de gérer l’usage des écrans à la maison et de proposer des alternatives enrichissantes. Conclusion L’impact des écrans sur les enfants de 0 à 3 ans ne doit pas être sous-estimé. S’ils font partie du quotidien des familles, leur usage doit être encadré pour préserver le développement cognitif, émotionnel et moteur des tout-petits. En fixant des limites claires et en proposant des alternatives adaptées, parents et professionnels de la petite enfance jouent un rôle essentiel dans l’apprentissage d’un usage raisonné du numérique. Les formations du jour - Les dernières connaissances sur le développement du cerveau des enfants - Idées d'activités pour les enfants selon l'âge - Comprendre l'impact des écrans Les questions courantes sur le sujet À partir de quel âge un enfant peut-il regarder un écran ? Les experts recommandent d’éviter totalement l’exposition aux écrans avant l’âge de 2 ans. Avant cet âge, le cerveau de l’enfant est en pleine construction et a besoin d’interactions réelles pour se développer correctement. À partir de 2 ans, un usage limité et accompagné par un adulte peut être envisagé, sans dépasser 30 minutes à 1 heure par jour. Quels sont les effets des écrans sur le développement des jeunes enfants ? Une exposition excessive aux écrans peut entraîner des retards dans le développement du langage, une diminution de l’attention, des troubles du sommeil et une baisse des interactions sociales. Les écrans remplacent des expériences essentielles à l’apprentissage, comme le jeu, les échanges avec les parents et la manipulation d’objets. Pourquoi les écrans nuisent-ils au sommeil des enfants ? La lumière bleue émise par les écrans perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil, retardant l’endormissement et altérant la qualité du repos. Regarder un écran avant de dormir maintient également le cerveau en état de stimulation, ce qui empêche l’enfant de se calmer naturellement pour s’endormir. Comment limiter l’usage des écrans chez un enfant de moins de 3 ans ? Il est essentiel de fixer des règles claires, comme interdire les écrans pendant les repas et avant le coucher, privilégier un usage accompagné et proposer des alternatives comme la lecture, les jeux sensoriels et les activités motrices. L’exemplarité des parents joue aussi un rôle clé dans la gestion des écrans au sein du foyer. Quels sont les signes indiquant que mon enfant passe trop de temps devant les écrans ? Un enfant surexposé aux écrans peut montrer des difficultés à se concentrer, une moindre capacité à interagir avec les autres, une irritabilité accrue, des troubles du sommeil ou encore un retard dans l’apprentissage du langage. Read the full article
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La psychomotricité en gériatrie : une approche globale pour le bien-être des seniors
La psychomotricité en gériatrie est une approche thérapeutique qui utilise le mouvement et le corps comme outils pour améliorer la qualité de vie des personnes âgées. Elle va bien au-delà de simples exercices physiques, en considérant la personne dans sa globalité, en tenant compte de ses émotions, de ses cognitions et de ses sensations corporelles.

Quels sont les objectifs de la psychomotricité en gériatrie ?
Les objectifs de la psychomotricité en gériatrie sont multiples :
Maintenir ou restaurer l'autonomie : En travaillant sur la coordination, l'équilibre, la force musculaire et la souplesse, la psychomotricité aide les personnes âgées à conserver leur indépendance dans les activités de la vie quotidienne.
Améliorer la qualité de vie : En réduisant les douleurs, en augmentant la mobilité, en favorisant les interactions sociales et en renforçant l'estime de soi, la psychomotricité contribue à un mieux-être global.
Prévenir les chutes : En travaillant sur l'équilibre, la proprioception et la perception de l'espace, la psychomotricité permet de réduire le risque de chutes, qui sont une source importante de blessures chez les personnes âgées.
Lutter contre l'isolement social : Les activités psychomotrices favorisent les échanges, les interactions sociales et créent du lien, ce qui est essentiel pour le bien-être psychologique des personnes âgées.
Améliorer la communication : Le corps étant un langage universel, la psychomotricité permet d'exprimer des émotions et des besoins qui peuvent être difficiles à verbaliser, notamment en cas de troubles cognitifs.
Quelles sont les techniques utilisées en psychomotricité gériatrique ?
Les techniques utilisées sont variées et adaptées à chaque personne :
Exercices psychomoteurs : Ils sollicitent la coordination, l'équilibre, la force et la souplesse, tels que les marches, les sauts, les jonglages, etc.
Relaxation : Techniques de respiration, de visualisation, de méditation pour favoriser le calme et la détente.
Activités manuelles : Modelage, peinture, travaux manuels pour stimuler la motricité fine et la créativité.
Jeux et activités de groupe : Pour favoriser les interactions sociales et le plaisir.
Techniques corporelles : Massages, étirements, pour détendre les muscles et améliorer la conscience corporelle.
Utilisation d'objets : Ballons, foulards, etc., pour stimuler les sens et la motricité fine.
Danse et musique : Pour favoriser l'expression corporelle et le plaisir, tout en améliorant la coordination et le rythme.
Quels sont les bénéfices de la psychomotricité en gériatrie ?
Les bénéfices de la psychomotricité en gériatrie sont nombreux et touchent à différents niveaux :
Physique : Amélioration de la force musculaire, de la mobilité, de l'équilibre, réduction des douleurs, meilleure posture.
Psychologique : Amélioration de l'humeur, réduction de l'anxiété et de la dépression, renforcement de l'estime de soi, meilleure image de soi.
Social : Facilitation des interactions sociales, lutte contre l'isolement, développement du lien social.
Cognitif : Amélioration de la concentration, de la mémoire, des fonctions exécutives et de la stimulation cognitive.
À qui s'adresse la psychomotricité en gériatrie ?
La psychomotricité en gériatrie s'adresse à un public varié :
Personnes âgées autonomes souhaitant maintenir leur forme physique et cognitive.
Personnes âgées dépendantes ou semi-dépendantes nécessitant un accompagnement personnalisé.
Personnes âgées souffrant de maladies neurodégénératives (maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson).
Personnes âgées ayant subi un accident vasculaire cérébral (AVC).
En conclusion, la psychomotricité en gériatrie est une approche thérapeutique globale qui permet d'améliorer la qualité de vie des personnes âgées en agissant sur les plans physique, psychologique et social. Elle est complémentaire aux autres soins et peut être pratiquée en individuel ou en groupe.
Aller plus loin
#vieillissement actif#bien-être senior#rééducation fonctionnelle#troubles cognitifs#santé mentale#prévention des chutes#accompagnement personnalisé
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Dans notre quête incessante de bien-être mental et de performances cognitives optimales, nous cherchons souvent des moyens efficaces pour booster notre cerveau et améliorer notre santé psychique. Il existe une multitude d'activités recommandées par les experts, mais une se distingue particulièrement par ses bénéfices prouvés scientifiquement. L'Activité Idéale : L'Exercice Physique Régulier Pourquoi l'Exercice Physique est-il si Bénéfique ? L'exercice physique n'est pas seulement crucial pour la santé physique, mais il joue également un rôle essentiel dans le maintien et l'amélioration de notre santé mentale. Plusieurs études ont démontré que l'activité physique régulière peut réduire les symptômes de la dépression, de l'anxiété, et améliorer l'humeur générale. Les Effets Positifs sur le Cerveau Augmentation des Endorphines : L'exercice libère des endorphines, souvent appelées "hormones du bonheur", qui procurent une sensation de bien-être et de plaisir. Réduction du Stress : L'activité physique aide à réduire les niveaux de cortisol, l'hormone du stress, contribuant ainsi à une meilleure gestion du stress. Amélioration de la Fonction Cognitive : L'exercice améliore la circulation sanguine vers le cerveau, favorisant ainsi une meilleure concentration, une mémoire améliorée, et une plus grande capacité d'apprentissage. Prévention des Troubles Mentaux : Des études montrent que l'exercice régulier peut prévenir le déclin cognitif et diminuer le risque de maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer. Les Types d'Exercices les Plus Efficaces Cardio : La course à pied, le vélo, et la natation sont excellents pour améliorer l'endurance cardiovasculaire et booster la santé mentale. Yoga et Méditation : Combinant l'exercice physique avec des techniques de relaxation, ces activités sont parfaites pour réduire le stress et améliorer la santé psychique. Entraînement en Résistance : Les exercices de musculation augmentent non seulement la force physique mais également la confiance en soi et la résilience mentale. Comment Intégrer l'Exercice dans votre Vie Quotidienne Planification : Inscrivez des séances d'exercice dans votre agenda comme des rendez-vous incontournables. Objectifs Réalistes : Commencez par des objectifs réalisables et augmentez progressivement l'intensité et la durée de vos séances. Variété : Alternez entre différents types d'exercices pour éviter la monotonie et maintenir votre motivation. L'exercice physique est sans aucun doute l'une des meilleures activités pour booster le cerveau et améliorer la santé psychique. En l'intégrant régulièrement dans votre routine, vous pourrez non seulement améliorer votre bien-être mental mais aussi vivre une vie plus équilibrée et épanouie. Rejoignez-nous N'attendez plus ! Enfilez vos baskets, trouvez une activité physique qui vous plaît et commencez dès aujourd'hui à récolter les bénéfices pour votre cerveau et votre santé psychique. https://savoirentreprendre.net/?p=14466&feed_id=8872
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