#Yannick Dahan
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Under Paris Trailer
Haven't these people seen Jaws? You need a bigger boat...or at the very least stay out of the water when a killer shark is around.
A large shark has found itself in the River Seine ahead of Paris hosting the World Triathlon Championships.
Under Paris stars Bérénice Bejo, Nassim Lyes, Léa Léviant, Iñaki Lartigue, and José Antonio Pedrosa Moreno. The film is directed by Xavier Gens from a screenplay by Gens, Yaël Langmann, Yannick Dahan, and Maud Heywang.
Under Paris hits Netflix on June 5, 2024.
#under paris#berenice bejo#nassim lyes#lea leviant#inaki lartigue#jose antonio pedrosa moreno#xavier gens#yael langmann#yannick dahan#maud heywang#netflix#TGCLiz#Youtube
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Under Paris (2024) Movie Review
Under Paris – Movie Review Director: Xavier Gens Writer: Yannick Dahan, Xavier Gens, Maud Heywang, Yael Langmann, Olivier Torres  (Screenplay) Cast Bérénice Bejo (Final Cut) Nassim Lyes (Mayhem!) Anaïs Parello (Offensive) Iñaki Lartique (Plus belle la vie, encore plus belle) Plot: Sophia, a brilliant scientist comes to know that a large shark is swimming deep in the river. Runtime: 1…
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DVDvision - La Collection Épisode 8
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 8 de la série, quand le rédac-chef se retrouve à travailler 24h/24 pour sauver le DVD de Crying Freeman, et est trop épuisé pour signer l'édito !
NumĂ©ro 8 - Janvier 2001 -Â
116 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : VĂ©ronique PoirierÂ
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Guillaume Delbos, Gael Golhen.
Sommaire : Gladiator making of DVD, Films ados, DVD en séries.
DVD : Le Pacte des Loups, Les Rivières Pourpres.
Notes : Ce numĂ©ro fut le plus vendu de DVDvision, montant Ă 34 000 exemplaires. Nous venons alors d'embaucher Ă temps plein Benjamin Rozovas, qui prend en charge le cahier multimĂ©dia, et grâce Ă ma rencontre avec Nicolas de La Mothe, qui dirige alors les projets Ă Gaumont Columbia Tri-Star, je signe le dossier de couverture sur Gladiator, qui est une vĂ©ritable plongĂ©e dans les coulisses de l'adaptation d'un blockbuster amĂ©ricain en DVD Zone 2. C'est donc la deuxième fois en 8 numĂ©ros qu'un film de Ridley Scott fait notre couverture. LiĂ© au DVD, Le Pacte des Loups, forcĂ©ment très racoleur, et Ă la superbe couverture retravaillĂ©e par Joel Casano, ce numĂ©ro tombe Ă point.Â
Il correspond aussi Ă une Ă©norme pĂ©riode d'effervescence pendant laquelle je me retrouve Ă travailler littĂ©ralement jour et nuit, ce qui explique que Leonard Haddad signe le très drĂ´le Ă©ditorial de ce numĂ©ro. Bien que prĂ©sent quand il l'a rĂ©digĂ©, je n'avais ce soir lĂ plus la force d'Ă©crire, donc je l'ai laissĂ© Ă mon ordinateur le faire Ă ma place.Â
La raison ? Alors que la date de sortie du Pacte des Loups de Christophe Gans approche, l'odyssée du DVD Crying Freeman, commencée en 1999, sur lequel je donne un coup de main au concepteur Sébastien Prangère (également le monteur du Pacte des Loups) prend une tournure surréaliste.
Au cours de la conception, j'ai dĂ©cidĂ© de mon propre chef, au vu de l'abondance de matĂ©riel, que le collector serait un double DVD-9, alors qu'Ă l'origine, le produit Ă©tait budgĂ©tisĂ© pour un DVD-10 (double face). Ce qui, en plein milieu du bouclage du magazine, me vaut d'ĂŞtre convoquĂ© en compagnie de SĂ©bastien Prangère dans le bureau de Victor Hadida, qui m'incendie Ă juste titre, (après tout, c'est son argent que je suis en train de dĂ©penser). Les ventes sont alors estimĂ©es Ă 5000 ex., et faire deux DVD-9 risque de rĂ©duire fortement les bĂ©nĂ©fices possibles du projet. Je dĂ©fend mon choix avec une Ă©norme mauvaise foi, argumentant des raisons techniques, et Victor fini par valider Ă contre-coeur.Â
Après avoir reporté la sortie une première fois pour refaire le master en HD, (sur lequel j'ai supervisé l'étalonnage qui ensuite a été approuvé par Christophe), nous ratons la nouvelle date de sortie, quand la compagnie chargée du transfert HD nous livre un DVD master dans lequel il manque environ 40 secondes de film ! Elles étaient pourtant présentes sur la copie interpositive que nous avons remasterisée. Il faut donc tout refaire ! Et pour couronner le tout, malgré nos efforts et nos nuit blanches passées à les aider, la compagnie chargée des menus est incapable de nous livrer un produit fini qui correspond à nos attentes sur le deuxième disque des suppléments.
Le coffret Crying Freeman de 2001, originellement estimé à 5000 ventes, est monté à 100 000 exemplaires à sa sortie.
Pendant ce temps, une fois les bons de prĂ©commande envoyĂ©s aux magasins, et après que j'ai organisĂ© une dĂ©mo de prĂ©sentation pour la presse avec un avant/après, pendant laquelle tous les journalistes sont devenus fous en voyant la qualitĂ© du transfert HD du film, la hype monte. Très, très haut. L'Ă©diteur a commencĂ© Ă faire imprimer le coffret emballage. Qui passe d'un pressage de 6000 ex, initialement prĂ©vu, Ă 12000. Puis, deux jours après, nous apprenons qu'il y a 18000 prĂ©commandes. Nous renvoyons donc au calage le coffret, pour 24000 exemplaires. Mais la semaine suivante, on nous informe qu'il y a 32000 prĂ©commandes ! Le coffret va ĂŞtre remis au calage au moins quatre fois, pour un total de 80000 exemplaires, du dĂ©lire total. Seul problème, si l'emballage est prĂŞt, le DVD ne l'est pas !Â
Alors qu'il a vent des chiffres de prĂ©commandes, je devient le meilleur ami de Victor Hadida, qui convoque un meeting au sommet avec son frère Samuel, Christophe Gans et SĂ©bastien Prangère, oĂą nous dĂ©cidons tous que vu l'attente, il est hors de question de sortir le disque tel qu'il est finalisĂ© par la compagnie d'authoring. Victor va alors empoigner son tĂ©lĂ©phone, et sauver le projet, en embauchant TOUT le staff d'une autre compagnie d'authoring pour refaire le disque... en une semaine, sous la supervision de SĂ©bastien et moi. Il paie donc littĂ©ralement cette sociĂ©tĂ©, pour que tous leur travaux en cours s'arretent, et que 100% de leur Ă©quipe travaille sur le DVD Crying Freeman 24h/24 !Â
Je me retrouve donc à travailler la journée au journal, et la nuit chez la nouvelle compagnie d'authoring, dormant dans la chambre d'amis de Sébastien Prangère entre 4 heures et 8 heures du matin, avant de reprendre le chemin du journal. En 5 jours, nous reprenons tout à zéro, reconcevant le menu, le disque de suppléments, refaisant tous les graphismes, ajoutant des bonus de dernière minute, et refaisant même deux fois la compression du film, après que Christophe réalise sur son téléviseur qu'une étrange teinte verte a fait virer inexplicablement les couleurs du master. (En vérité, on le découvrira des années plus tard, les tubes cathodiques de cette époque, différents du moniteur HD sur lequel nous avions validé le film, viraient au vert. Ils nécessitaient donc une teinte rouge dominante afin de rééquilibrer l'image, ce qui explique que tous les masters des années 90 à 2005 ont un "red push" donnant sur les écrans d'aujourd'hui une apparence rosée).
Pour passer le temps en attendant que les graphistes nous envoient les nouveaux menus sur internet la nuit, nous jouons Ă la Dreamcast Ă SoulCalibur avec Sebastien (et oui, nous sommes encore en 1801) !
Une fois le travail terminé, Sébastien a dormi pendant 4 jours, sans qu'il ait été possible de le joindre au téléphone... Une fois le DVD sorti, il sera regardé comme l'un des meilleurs jamais édité sur le marché, un exemple à suivre, qui atteindra les 100 000 exemplaires de vente au total, en pleine post-effervescence Pacte des Loups, un happy-end inespéré.
Qui a dit que la vie d'un rĂ©dac-chef Ă©tait de tout repos ? Il s'est assurĂ©ment trompĂ©.Â
La citation de ce numéro : "David, mon ami !" (Victor Hadida - janvier 2001)
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Under Paris: piĂą che un film, uno spot per Parigi
Uno squalo, la Senna e un didascalico messaggio ambientalista: Under Paris di Xavier Gens spreca la buona idea, incastrandosi in un film che sembra una pubblicitĂ in occasione delle Olimpiadi 2024. Su Netflix.
Ragionandoci su, c'era da aspettarselo che, ad un certo punto, sarebbero entrate in scena le Olimpiadi di Parigi. All'inizio del film, disponibile su Netflix, non potevamo certo mettere in correlazione l'evento scatenante del plot con l'appuntamento sportivo dell'estate 2024. Eppure, scorrendo, il parallelo ha una sua logicitĂ , nonostante l'opera sia qualcosa di diametralmente opposto alla razionalitĂ . Ecco, Under Paris, diretto da Xavier Gens, asciuga ogni sospensione dell'incredulitĂ , trasportandoci in un thriller che, al netto della buona idea, ha di contro un'eccessiva seriositĂ che sfilaccia l'assurditĂ del plot.
Bèrènice Bejo, protagonista del film
Under Paris, co-produzione franco-belga sembra infatti sia stato pensato per anticipare e accompagnare le Olimpiadi parigine, portandoci a scoprire la capitale francese da un'altra prospettiva (cartolina cine-turistica? Sì, siamo da quelle parti). Chiaro, la realtà e la credibilità non vanno ricercate certo in un film, tuttavia quello di Gens non riesce (quasi mai) a farci sospendere l'incredulità , puntando fin dalla scena iniziale - lunghissima - ad un effetto artificialmente costruito, che confluirà in una parte centrale in cui si mischia tutto: action, survival, tematiche green e ambientaliste, fino alla disobbedienza sociale come legittima presa di posizione contro il potere.
Under Paris: c'è uno squalo nella Senna?!
Studiando gli squali
Tra l'altro, la storia di Under Paris (firmata dal regista insieme a ben altri quattro autori, Yannick Dahan, Maud Heywang, Yael Langmann) potrebbe essere tecnicamente riassunta in mezza riga: uno squalo si aggira tra i fondali della Senna. Il punto è: come ci è arrivato uno squalo, nella Senna? Scopriamo che il carcarodonte parigino fa parte di un gruppo di esemplari già seguiti e studiati dalla dottoressa Sophia (Bérénice Bejo), prima che divorasse la sua squadra di studio, in un incidente nel bel mezzo del Pacifico. Sophia, che ha mollato le ricerche in mare lavorando in un acquario, capisce che l'enorme carcarodonte potrebbe essersi incredibilmente adattato, trovando rifugio nei canali subacquei della Catacombe di Parigi. Ad aiutare Sophia nelle ricerche c'è Adil (Nassim Lyes) della polizia fluviale, inizialmente scettico. Oltre le rimostranze degli ambientalisti, i due si troveranno ad affrontare una corsa contro il tempo: catturare lo squalo prima delle prove del triathlon delle Olimpiadi, che si terranno proprio nelle acque della Senna.
Uno spot per Parigi 2024?
GiĂą nelle catacombe
Se solo l'idea di nuotare in uno dei fiumi meno limpidi d'Europa (per usare un eufemismo) può farvi accapponare la pelle, va detto che lo squalo è, da sempre, simbolo di un certo cinema ad effetto (inutile stare a ricordare Spielberg, o il trash dichiarato di Sharkando), suscitando un concettuale interesse anche in un contesto d'acqua dolce. Ciononostante, Under Paris prosegue mettendo in serie una sequela di momenti auto-compiaciuti (mostrando e dimostrando i quasi 20 milioni di budget), che girano su sé stessi, senza far progredire a dovere quello che poteva essere uno spassionato guilty pleasure. Invece, c'è un'atmosfera sussiegosa che depotenzia il film di Xavier Gens, generando un cortocircuito tra intenzioni, aspettative e risultato finale.
A spasso per la Senna
La tensione, di conseguenza, è palesemente artificiale, e poco incline ad una malleabilità narrativamente adattiva. Tra l'altro, sembra un pretesto la sfumatura ambientalista, per una backstory popolata da ragazzine con zuccotto e capelli colorati. Una sfumatura narrativa che, purtroppo, ragiona per didascalia piuttosto che per sostanza. Chiaro, ogni opera va contestualizzata (e quella di Gens rientra nel classico film-in-streaming da vedere senza impegni), ciononostante Under Paris pare addirittura sfuggire alla sua mission (sottintesa, e goffamente nascosta) votata all'intrattenimento, pendendo per una formalità scritta e pensata solo per illuminare la Senna di Parigi, come se fosse il pitch di uno spot pubblicitario.
Conclusioni
Uno squalo che nuota nella Senna? Possibile in Under Paris. Forte di un'idea interessante, il prodotto però si incastra in una sorta di approccio cine-turistico, anticipando le Olimpiadi 2024 per un pretesto narrativo che sembra essere più vicino alla spot. L'atmosfera seriosa e il messaggio ambientalista, didascalico e svogliato, non aiutano. Peccato. Una domanda sorge spontanea chissà se lo squalo ha visto dove è caduta la fede di Tamberi?
👍🏻
La buona idea di partenza.
Gli scenari parigini…
👎🏻
…Ripresi come se fossero uno spot.
Il pretesto delle Olimpiadi 2024 sembra un traino pubblicitario.
Il messaggio ambientalista, didascalico e artificiale.
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CALIFICACIĂ“N PERSONAL: 6.5 / 10
TĂtulo Original: La horde
Año: 2009
DuraciĂłn: 90 min
PaĂs: Francia
DirecciĂłn: Yannick Dahan, Benjamin Rocher
Guion: Arnaud Bordas, Yannick Dahan, Stéphane Moïssakis, Nicolas Peufaillit, Benjamin Rocher
MĂşsica: Christopher Lennertz
FotografĂa: Julien Meurice
Reparto: Claude Perron, Jean-Pierre Martins, Aurélien Recoing, Eriq Ebouaney, Jo Prestia
Productora: Capture The Flag Films
GĂ©nero: Action; Horror
TRAILER:
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UNDER PARIS Xavier Gens' Netflix shark attack movie - now with trailer
Under Paris is a 2024 French action horror film about a large shark prowling the River Seine for human flesh. The movie is being touted as an “ambitious elevated genre film.” Directed by Xavier Gens (Mayhem!; The Crucifixion; Cold Skin; The Divide; The ABCs of Death, segment “X Is for XXL”; Hitman; Frontier(s)) from a screenplay written by Yannick Dahan, Maud Heywang and Olivier Torres. The Let…
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#2024#action horror#Anaïs Parello#Bérénice Bejo#Iñaki Lartigue#movie film#Nassim Lyes#Netflix#Sans la Seine#sharks#trailer#Under Paris#Xavier Gens
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La Horde - Yannick Dahan & Benjamin Rocher 2009
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La Horde (2009) dir. Yannick Dahan, Benjamin Rocher
#la horde#horroredit#userhorroredits#filmedit#filmgifs#doyouevenfilm#fyeahmovies#moviegifs#cinemapix#dailyflicks#chewieblog#userel#userbrittany#classichorrorblog#userksusha#userk8#mikaeled#usercarlos#userleo#usercandy#kane52630#gifs#00s#flashing gif
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Movies watched in February, 2022
FIRST VISIONS:
Twins (1988). Directed by Ivan Reitman
Rec 4 (2014). Directed by Jaume BalaguerĂł
Easy Street (1917). Directed by Charlie Chaplin
The Gorilla (1939). Directed by Allan Dwan
Horrors of Spider Island (1960). Directed by Fritz Böttger
Spider Baby (1967). Directed by Jack Hill
Grandma's House (1988). Directed by Peter Rader
Dream Demon (1988). Directed by Harley Cokeliss
Goodfellas (1990). Directed by Martin Scorsese
Kill Bill: Volume 2 (2004). Directed by Quentin Tarantino
Deux hommes dans la ville (aka: "Two Men in Town"), (1973). Directed by José Giovanni
The Deer Hunter (1978). Directed by Michael Cimino
Area 407 (2012). Directed by Dale Fabrigar & Everette Wallin
Dead in Tombstone (2013). Directed by Roel Reiné
Johnny Mnemonic (1995). Directed by Robert Longo
The Horde (2009). Directed by Yannick Dahan & Benjamin Rocher
Hannibal (2001). Directed by Ridley Scott
Hannibal Rising (2007). Directed by Peter Webber
Body Armour (2007). Directed by Gerry Lively
Vanishing on 7th Street (2010). Directed by Brad Anderson
Gangsters, Guns and Zombies (2012). Directed by Matt Mitchell
The Carillon (2018). Directed by John Real
Isolerad (aka: "Corridor"), (2010). Directed by Johan Lundborg & Johan Storm
Public Enemies (2009). Directed by Michael Mann
Shock (1977). Directed by Mario Bava
La bambola di Satana (aka: "The Doll of Satan"), (1969). Directed by Ferruccio Casapinta
I tre volti della paura (aka: "Black Sabbath" - "The Three Faces of Fear"), (1963). Directed by Mario Bava
Hostel (2005). Directed by Eli Roth
Hostel: Part II (2007). Directed by Eli Roth
Tenebrae (1982). Directed by Dario Argento
Una farfalla con le ali insanguinate (aka: "The Bloodstained Butterfly"), (1971). Directed by Duccio Tessari
Hostel: Part III (2011). Directed by Scott Spiegel
Strangers on a Train (1951). Directed by Alfred Hitchcock
The Expendables (2010). Directed by Sylvester Stallone
Play Misty for Me (1971). Directed by Clint Eastwood
The Beguiled (1971). Directed by Don Siegel
The Way Back (2010). Directed by Peter Weir
Gemini Man (2019). Directed by Ang Lee
Fitzcarraldo (1982). Directed by Werner Herzog
Monster Man (2003). Directed by Michael Davis
Southbound (2015). Directed by R. Benjamin, M. Bettinelli-Olpin, etc.
Space Jam: A New Legacy (2021). Directed by Malcolm D. Lee
REWATCHED:
Moby Dick (1956). Directed by John Huston
The Blues Brothers (1980). Directed by John Landis
Kill Bill: Volume I (2003). Directed by Quentin Tarantino
Jesus Christ Superstar (1973). Directed by Norman Jewison
The Legend of Al, John & Jack (2002). Directed by A. Baglio, G. Poretti & G. Storti
Small Soldiers (1998). Directed by Joe Dante
Memento (2000). Directed by Christopher Nolan
Dead Silence (2007). Directed by James Wan
Mindhunters (2004). Directed by Renny Harlin
SHOWS:
Drag Race Italia (2021)
Biography: WWE Legends (2021)
TV SERIES:
CHiPs (1977 - 1983)
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Horror Movie Review: The Horde (2009)
What The Horde lacks in originality, it makes up for in gritty zombie horror. Considering the year this was released, it really should have gotten more attention for making the living dead scary again.
The Horde (French: La Horde) is a French horror film co-written and directed by Yannick Dahan and Benjamin Rocher. It stars Claude Perron, Jean-Pierre Martins, Eriq Ebouaney and Aurélien Recoing. Set predominantly in a condemned and dilapidated high-rise apartment block, The Horde is famous for switching tones in surprising fashion. Going from a cop-vengeance action/drama to a full-on zombie…
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Juliette Baumard
- La horde, dir. Benjamin Rocher and Yannick Dahan, 2009.
#Juliette Baumard#la horde#Benjamin Rocher#yannick dahan#script supervisor#scripte#continuity#continuité#on set#behind the scenes#behindthescenes#movie set#film making#film set
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French cinema #13 : horror
Les Rivières pourpres, Mathieu Kassovitz, 2000.Â
Two French policemen, one investigating a grisly murder at a remote mountain college, the other working on the desecration of a young girl’s grave by skinheads, are brought together by the clues from their respective cases. Soon after they start working together, more murders are committed, and the pair begin to discover just what dark secrets are behind the killings.
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Martyrs, Pascal Laugier, 2008.Â
Years after she escaped from an icy torture chamber in an abandoned slaughterhouse, Lucie enlists the help of her closest friend, Anna, to track down the family who tormented her and exact her revenge. But when Lucie and Anna investigate further, they discover that they've only scratched the surface of an unspeakably vile secret organization.
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Ils, David Morceau + Xavier Palud, 2006.Â
Clémentine, a teacher in a French School in Bucharest, lives with her husband, Lucas, in a remote real estate in Snagov. During the night, Clémentine is woken by weird noises outside their house, and Lucas sees their car being stolen. The lights are turned off, the phones are disconnected and they see that they are no longer alone. When weird lights appear outside, they hide in the cellar and try to ask for help from what could be a dreadful night of pure terror...
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Frontière(s), Xavier Gens, 2007.Â
The banlieues of Paris are burning, and as a young girl from the slums attempts to elude police by hiding out at a sprawling inn near the Luxembourg border she becomes locked in a vicious battle for survival against a group of Neo-Nazi fanatics intent on using her to start a new Aryan brotherhood. As the votes cast in the latest election are tallied, it quickly becomes apparent that an extreme right-wing party has been elected into power by a wide margin. In the aftermath of the announcement, the streets fill with protestors and riots erupt all throughout the country.
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La Horde, Yannick Dahan + Benjamin Rocher, 2009.Â
A group of Parisian policemen who embark on a mission of vengeance after one of their colleagues dies at the hands of a notorious drug dealer holed up inside a condemned high-rise in the heart of a derelict and corrupt Paris neighborhood. They storm the social housing complex with the intent of taking him down, but the operation is a failure and the team is captured. Suddenly, both sides find themselves confronted by an altogether different opponent, zombies. Cops and criminals must now forge an uneasy alliance to defeat the undead.
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More horror movies.
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DVDvision - La Collection Épisode 9
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 9 de la série, quand HK intègre DVDvision, et le magazine devient mensuel !
NumĂ©ro 9 - Mars 2001 -Â
132 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : VĂ©ronique PoirierÂ
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Gael Golhen.
Sommaire : Kubrick, X-Men, Les Rivières Pourpres, Versions Longues.
DVD : Kubrick, Les Rivières Pourpres, Bandes-Annonces.
Notes : Un numéro très solide, le dernier bimestriel, et réalisé dans une ambiance cool à mon retour du Japon, où j'ai pu voir au cinéma "Bruce Lee in G.O.D." après un périple épique dans les rues de Shibuya raconté dans les pages du supplément HK.
Cette arrivée du cahier HK, dirigé par David Martinez (déjà rédacteur en chef du magazine culte de Christophe Gans), est la grande nouveauté de ce numéro. Il est vrai que la disparition de HK, juste au moment ou le cinéma asiatique explosait dans le "mainstream", avait laissé un grand vide, vide que Gans a proposé à l'éditeur de combler, en lui suggérant son intégration dans DVDvision, au cours d'une réunion concernant le lancement des premiers DVD HK.
Gans dĂ©boule quelque temps plus tard dans mon bureau les mains dans les poches, très embĂŞtĂ© d'avoir proposĂ© quand mĂŞme un gros changement pour le magazine Ă notre Ă©diteur en mon absence. J'accueille bien entendu sa proposition Ă bras ouverts. Ce fut mĂŞme un honneur de continuer HK dans DVDvision.Â
On nous a parfois accusé de copinage avec Christophe, mais si il fut la personne qui a permis à ce magazine d'exister, en me faisant rencontrer l'éditeur, il nous a ensuite laissé dans l'arène, sans jamais intervenir, et cette instance fut la seule où il influa sur un élément important du mag. Le reste du temps, ses interventions se résumaient à des discussions de geeks, autour de la machine à café. Son regard sur le magazine, dans lequel il ne pouvait forcément pas intervenir en profondeur au vu de ses occupations de cinéaste, était très acéré, souvent je pense affuté par le fait qu'il n'était que le spectateur de sa fabrication, et surtout qu'il était un fan absolu du format DVD. Malgré son passage "de l'autre côté", il est clair que le journalisme continuait toujours à le fasciner.
Avec HK intégrant DVDvision donc, nous solidifions la structure de la rédaction. David Martinez est seul responsable du cahier HK, tandis que Leonard Haddad devient provisoirement rédacteur en chef adjoint, le temps de faire la transition, puisque nous passons mensuel à partir de ce numéro.
Couverture alternative par Joel Casano.
Je pensais à l'époque, et encore aujourd'hui, que le passage au mensuel était une erreur. En l'espace de 3 numéros, nous sommes passés de 100 à 116 pages, puis ici, 132 pages. Nous nous sommes retrouvés à la merci de l'actualité du mois en cours, alors que le rythme bimestriel nous permettait de choisir les sujets à traiter, en faisant l'impasse sur les DVD ratés, et de maintenir un très haut niveau de qualité éditoriale. A partir de ce numéro, pour maintenir le niveau, il a fallu travailler double. C'était d'autant plus compliqué qu'il fallait en plus produire un DVD et ses bonus dans chaque numéro, chaque mois. On s'est retrouvé à être obligé de traiter les DVD ratés, ce qui a déclenché de nombreuses frictions avec les éditeurs puisque nous étions très critiques. En même temps, le DVD prenait son envol, et nous sommes devenus avec Les Années Laser les magazines de référence, les deux étant complémentaires.
La bonne relation que j'entretiens alors avec Gaumont nous permet de scooper Les Rivières Pourpres, premier DVD agréé THX en France, et j'interviewe Richard Dean, contrôleur en chef. Je vais cependant créer la sensation dans les locaux d'authoring, en découvrant 2 images pixelisées sur le master définitif du film, pourtant validé par THX, lors d'une projection test du produit final, après leur départ ! Un incident que je vais passer sous silence sur demande du dirigeant de la société (mais aujourd'hui, il y a prescription), qui montre que le sceau qualité du label commençait déjà à craqueler. Je me souviendrais toujours du silence de mort, quand j'ai demandé à faire repasser la scène de l'avalanche, devant l'équipe entière du studio, puis ralentir le master jusque au moment où mon œil avait décelé quelque chose de furtif, mais anormal. Et de l'étonnement dans la salle, quand le technicien en charge de la compression s'est aperçu que la pixelisation n'était que sur deux images ("comment tu as fais pour voir ça ?!"). Il est reparti tout penaud, pour refaire la compression du bloc en entier. Il faut dire que travailler sur le DVD de Crying Freeman m'avais mis dans une forme olympique sur le sujet.
Avec son point signé David Martinez sur les DVD Kubrick (nous sommes en 2001), le superbe article de Leonard Haddad sur les versions longues de films, le dossier sur le DVD de Terminator par Sandy Gillet, le DVD X-Men chroniqué par Yannick Dahan, la section HK et les news de Williams Fiovarenti, je pense que le mag prend vraiment à ce moment là sa vitesse de croisière.
La couverture en haut de ce billet est tirĂ©e de l'image originale signĂ©e Joel Casano, celle en dessous est une version que nous avons mise de cĂ´tĂ©, parce-que les tons ressemblaient trop Ă la couverture Gladiator, et que nous ne voulions pas que les acheteurs croient qu'il s'agit du mĂŞme numĂ©ro, perdu au milieu des autres magazines dans les kiosques. C'est dommage, elle Ă©tait très rĂ©ussie.Â
La citation de ce numéro : "Tu me colles une sale réputation, en disant dans ton édito que tous les DVD X disparaissent dans mon sac !" (Benjamin Rozovas - mars 2001)
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LA HORDE (2009) Parcours étrange et mauvaise réception pour LA HORDE, réalisé par Yannick Dahan et Benjamin Rocher: à la fois suite du court-métrage RIVOALLAN (2007) -polar efficace et ultra-violent- et film de zombies au budget costaud -2 millions d’euros, ce long-métrage de genre made in France a, à sa sortie, peu convaincu. Mal distribué dans les cinémas, je n’ai, à l’époque, pas pu aller voir LA HORDE, car le visionnage impliquait un déplacement de plusieurs centaines de kilomètres: j’aurais dû. Forcément trouvable sur le net quelques jours après, LA HORDE trouva son succès en Italie, Angleterre, et au Japon, où il se vendit très bien: je me rattrapai en achetant plus tard le blu-ray. Mais pourquoi tant de haine envers ce film, à qui l’on a accordé un budget qui avait tout pour se démarquer? L’ombre d’AVATAR (2009), sorti deux mois avant l’exploitation en salles de LA HORDE? Oui, ça et la distribution paresseuse, entre autres. Parce que LA HORDE est aussi un film de genre réalisé par des réalisateurs certes talentueux, mais fanboys avant tout: et c’est cet aspect précis du film qui semble gêner le public, qui réagit de façon négative. Motivés à faire le film de zombies français le plus badass possible, Dahan et Rocher axent leur histoire sur une violence expéditive, des dialogues vulgaires -au sens premier du terme-, et une classification -18 bienvenue, de par le gore évident de l’oeuvre en question. Pourtant bien entourés de par un casting assez prestigieux, la sauce ne prend pas, malgré les prestations excellentes de l’acteur sicilien/ThaÏ Boxeur Jo Prestia -un bad guy haineux qui se verra “détruit” physiquement à la IRRÉVERSIBLE (2002)-, la badass Claude Perron -protagoniste féminine forte qu’on avait découvert avec BERNIE en 1996-, et ô surprise, Monsieur Ives Pignot de la Comédie Française, ici défouraillant du zombie le pif plein de coke, mitrailleuse lourde en action -anciennement directeur de l’Ecole d’Art Dramatique de Paris, quand même-, prenant un pied pas possible dans son rôle. LA HORDE fournit bien des efforts, avec ses 300 figurants recrutés sur Internet pour l’incarner, et son ton à la fois brutal et rigolo, bien ancré dans cette déferlante de violence sans censure: alors oui, parfois, on sent que ça surjoue, que certains “merde” ou “putain” sont de trop, mais comment refuser l’énergie diffuse par Dahan et Rocher, qui tournaient déjà en HD, en ce temps où le blu-ray venait à peine d’émerger? Ce pitch de flics vengeurs qui amorce sa descente dans une tour abandonnée, en proie à la destruction dans le Nord de Paris, dégénère après leur capture par les dealers qu’ils étaient venus descendre: tout part en vrille lorsqu’un mort revient à la vie, hargneux et grognant. LA HORDE joue la carte du zombie vénère, agressif, celui qui court avec son casse-croûte encore en main, et hurle comme un damné: l’immeuble devient une véritable tour infernale -sans mauvais jeu de mots-, où chaque zone d’ombre rime avec danger, où traîtrise rime avec tranche-horaire, où les conflits sont autant nombreux que les intérêts. Et plus que ça, LA HORDE profite des profils sociaux, de l’Histoire, du conflit des générations, pour dresser un bilan évident de la France, centrant l’origine du problème sur autre chose que son sujet initial: une approche politique moins subtile mais bien présente, qui s’inscrit sur une démarche à la Romero... Mauvaise série policière pous les uns, oeuvre bourrine où gicle abondamment l’hémoglobine pour d’autres, LA HORDE divise, mais ne nous ment jamais: ce long-métrage est un défouloir créé par la passion et l’ambition, certes imparfait mais lourdement légitime, et plein de sens. Triste preuve que la France ne donnera jamais les moyens d’émancipation au film de genre, LA HORDE est un plaisir coupable du samedi soir, pour qui veut voir de la bidoche voler, de l’insulte fuser: punchy, le film est un coup de poing qui fait honneur à ses réalisateurs, et icônise au mieux chaque acteur/actrice par la joie de l’avoir acquis(e) au cast. Le dévouement total aux zombies, où la version UNCUT de 101 minutes -celle à voir, donc- noie toute forme de censure dans une mare de sang. Une bénédiction que l’on décèle sans mal, à travers cette narration un peu brouillonne et cet humour potache des fifties que beaucoup ont eu du mal à saisir. Donc oui, GRAVE (2017) et LA NUIT A DEVORE LE MONDE (2018), c’est d’la merde: alors que LA HORDE choque et fait beaucoup rire -positivement parlant-, encore aujourd’hui. PARIS ZOMBIES /20
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UNDER PARIS (2024) Xavier Gens shark attack movie - preview
Under Paris is a 2024 French action horror film about a large shark prowling the River Seine for human flesh. The movie is being touted as an “ambitious elevated genre film.” Also announced as Sharks Directed by Xavier Gens (Mayhem; The Crucifixion; Cold Skin; Mayhem; Frontiers) from a screenplay written by Yannick Dahan, Maud Heywang and Olivier Torres. The Let Me Be production stars Bérénice…
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#2024#action horror#Anaïs Parello#Bérénice Bejo#Iñaki Lartigue#movie film#Nassim Lyes#Netflix#preview#sharks#Under Paris#Xavier Gens
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Aujourd'hui, on assiste Ă la table ronde "Jeux video et cinĂ©ma, une histoire de contaminations" au @Forumdesimages Avec StĂ©phane MoĂŻssakis (auteur), Raoul Barbet (crĂ©ateur de "Life is Strange" et co-fondateur de Capsule Animation Studio), Yannick Dahan (journaliste) et ClĂ©mence Gueidan (chroniqueuse Agence tous Geeks.) ModĂ©ration : Rafik Djoumi (journaliste)Â
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