#claudeperron
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Snuffbox by Claude Perron via European Sculpture and Decorative Arts
Medium: Gold, enamel
Bequest of Catherine D. Wentworth, 1948 Metropolitan Museum of Art, New York, NY
http://www.metmuseum.org/art/collection/search/200409
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LA HORDE (2009) Parcours étrange et mauvaise réception pour LA HORDE, réalisé par Yannick Dahan et Benjamin Rocher: à la fois suite du court-métrage RIVOALLAN (2007) -polar efficace et ultra-violent- et film de zombies au budget costaud -2 millions d’euros, ce long-métrage de genre made in France a, à sa sortie, peu convaincu. Mal distribué dans les cinémas, je n’ai, à l’époque, pas pu aller voir LA HORDE, car le visionnage impliquait un déplacement de plusieurs centaines de kilomètres: j’aurais dû. Forcément trouvable sur le net quelques jours après, LA HORDE trouva son succès en Italie, Angleterre, et au Japon, où il se vendit très bien: je me rattrapai en achetant plus tard le blu-ray. Mais pourquoi tant de haine envers ce film, à qui l’on a accordé un budget qui avait tout pour se démarquer? L’ombre d’AVATAR (2009), sorti deux mois avant l’exploitation en salles de LA HORDE? Oui, ça et la distribution paresseuse, entre autres. Parce que LA HORDE est aussi un film de genre réalisé par des réalisateurs certes talentueux, mais fanboys avant tout: et c’est cet aspect précis du film qui semble gêner le public, qui réagit de façon négative. Motivés à faire le film de zombies français le plus badass possible, Dahan et Rocher axent leur histoire sur une violence expéditive, des dialogues vulgaires -au sens premier du terme-, et une classification -18 bienvenue, de par le gore évident de l’oeuvre en question. Pourtant bien entourés de par un casting assez prestigieux, la sauce ne prend pas, malgré les prestations excellentes de l’acteur sicilien/ThaÏ Boxeur Jo Prestia -un bad guy haineux qui se verra “détruit” physiquement à la IRRÉVERSIBLE (2002)-, la badass Claude Perron -protagoniste féminine forte qu’on avait découvert avec BERNIE en 1996-, et ô surprise, Monsieur Ives Pignot de la Comédie Française, ici défouraillant du zombie le pif plein de coke, mitrailleuse lourde en action -anciennement directeur de l’Ecole d’Art Dramatique de Paris, quand même-, prenant un pied pas possible dans son rôle. LA HORDE fournit bien des efforts, avec ses 300 figurants recrutés sur Internet pour l’incarner, et son ton à la fois brutal et rigolo, bien ancré dans cette déferlante de violence sans censure: alors oui, parfois, on sent que ça surjoue, que certains “merde” ou “putain” sont de trop, mais comment refuser l’énergie diffuse par Dahan et Rocher, qui tournaient déjà en HD, en ce temps où le blu-ray venait à peine d’émerger? Ce pitch de flics vengeurs qui amorce sa descente dans une tour abandonnée, en proie à la destruction dans le Nord de Paris, dégénère après leur capture par les dealers qu’ils étaient venus descendre: tout part en vrille lorsqu’un mort revient à la vie, hargneux et grognant. LA HORDE joue la carte du zombie vénère, agressif, celui qui court avec son casse-croûte encore en main, et hurle comme un damné: l’immeuble devient une véritable tour infernale -sans mauvais jeu de mots-, où chaque zone d’ombre rime avec danger, où traîtrise rime avec tranche-horaire, où les conflits sont autant nombreux que les intérêts. Et plus que ça, LA HORDE profite des profils sociaux, de l’Histoire, du conflit des générations, pour dresser un bilan évident de la France, centrant l’origine du problème sur autre chose que son sujet initial: une approche politique moins subtile mais bien présente, qui s’inscrit sur une démarche à la Romero... Mauvaise série policière pous les uns, oeuvre bourrine où gicle abondamment l’hémoglobine pour d’autres, LA HORDE divise, mais ne nous ment jamais: ce long-métrage est un défouloir créé par la passion et l’ambition, certes imparfait mais lourdement légitime, et plein de sens. Triste preuve que la France ne donnera jamais les moyens d’émancipation au film de genre, LA HORDE est un plaisir coupable du samedi soir, pour qui veut voir de la bidoche voler, de l’insulte fuser: punchy, le film est un coup de poing qui fait honneur à ses réalisateurs, et icônise au mieux chaque acteur/actrice par la joie de l’avoir acquis(e) au cast. Le dévouement total aux zombies, où la version UNCUT de 101 minutes -celle à voir, donc- noie toute forme de censure dans une mare de sang. Une bénédiction que l’on décèle sans mal, à travers cette narration un peu brouillonne et cet humour potache des fifties que beaucoup ont eu du mal à saisir. Donc oui, GRAVE (2017) et LA NUIT A DEVORE LE MONDE (2018), c’est d’la merde: alors que LA HORDE choque et fait beaucoup rire -positivement parlant-, encore aujourd’hui. PARIS ZOMBIES /20
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