#VIABILITÉ
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Avant de vous lancer à fond dans la création de votre startup, il est essentiel de valider votre idée pour vous assurer qu'elle répond à un besoin réel et qu'elle a le potentiel de réussir. Tester la viabilité de votre idée peut vous faire économiser du temps, de l'argent et des efforts. Voici cinq stratégies efficaces pour tester la viabilité de votre idée de startup. 1. Effectuez une Étude de Marché Approfondie Description : L'étude de marché est la première étape pour comprendre si votre idée répond à un besoin réel sur le marché. Explication : Analysez votre marché cible en termes de taille, de demande, de concurrence, et de tendances. Identifiez vos clients potentiels et leurs besoins, ainsi que les solutions existantes sur le marché. Vous pouvez utiliser des sondages, des interviews, et des outils d'analyse pour recueillir des données précieuses. Cette recherche vous aidera à affiner votre idée et à déterminer si elle a un potentiel commercial. 2. Créez un Prototype ou un Minimum Viable Product (MVP) Description : Un prototype ou un MVP est une version simplifiée de votre produit ou service qui inclut les fonctionnalités essentielles. Explication : Développez un prototype ou un MVP pour tester votre idée auprès de vos premiers utilisateurs. Cela vous permet de recueillir des retours d'expérience réels et d'ajuster votre produit en fonction des besoins du marché. L'objectif est de valider votre concept avant d'investir davantage de ressources dans son développement. Des outils comme Lean Startup et Agile peuvent être très utiles pour cette phase. 3. Lancez une Campagne de Prévente ou de Crowdfunding Description : Une campagne de prévente ou de crowdfunding vous permet de tester la demande pour votre produit avant même qu'il ne soit complètement développé. Explication : Utilisez des plateformes comme Kickstarter, Indiegogo ou même votre propre site web pour proposer votre produit en prévente. Cela vous permet de mesurer l'intérêt du marché et de collecter des fonds pour développer votre idée. Si les gens sont prêts à payer pour votre produit avant qu'il ne soit disponible, cela indique que votre idée a du potentiel. 4. Testez votre Idée sur un Marché Restreint Description : Plutôt que de lancer immédiatement votre produit à grande échelle, commencez par un marché restreint ou un groupe de clients spécifique. Explication : Identifiez une niche de marché ou une région géographique limitée où vous pouvez lancer votre produit à petite échelle. Ce test vous permettra de recueillir des données réelles sur les performances de votre produit et sur l'accueil du marché. Vous pourrez ensuite ajuster votre stratégie avant un lancement plus large. 5. Analysez les Données et Affinez votre Proposition de Valeur Description : Utilisez les données collectées lors de vos tests pour affiner votre proposition de valeur. Explication : Examinez les retours d'expérience de vos utilisateurs, les taux de conversion, les comportements d'achat, et d'autres indicateurs clés pour évaluer la performance de votre idée. Ajustez votre produit, votre positionnement, et votre stratégie de marketing en fonction de ces insights pour mieux répondre aux attentes du marché. Une idée de startup est rarement parfaite dès le départ, mais l'itération basée sur des données réelles peut faire toute la différence. Tester la viabilité de votre idée de startup est une étape cruciale pour minimiser les risques et maximiser vos chances de succès. En suivant ces cinq stratégies, vous pouvez valider votre concept, recueillir des retours précieux, et affiner votre produit avant de passer à une phase de développement plus poussée. Le succès d'une startup repose souvent sur la capacité à s'adapter et à répondre aux besoins du marché, alors ne négligez pas cette étape clé. https://savoirentreprendre.net/?p=15702&feed_id=12966
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Les étapes incontournables pour un business plan réussi
Les étapes incontournables pour un business plan réussi
https://nf-avocats.fr/les-etapes-incontournables-pour-un-business-plan-reussi/
#AnalyseDeMarché, #BusinessPlan, #CréationDEntreprise, #Entrepreneuriat, #ÉtapesDuBusinessPlan, #Financement, #GestionDEntreprise, #ModèleDAffaires, #ObjectifsDEntreprise, #PlanDAction, #Planification, #StratégieDEntreprise, #SuccèsEntrepreneurial, #ViabilitéFinancière
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75 years ago, the NATO "Defensive" alliance was created to counter a perceived fear of communist expansion into Europe. Regardless of the fact that there was no plausible evidence that the Soviets ever planned to invade "Europe," When the Soviet Union ceased to exist, so did NATO's marginal rationale for existence. However, the "defensive" alliance kept expanding against the advice of many western voices and those of the Russians. These protests and warnings were, of course, ignored as the Alliance continued to peddle a North American world view to Europe and its expanding Eastern European membership. NATO today has proved itself to be a fractious weapons sales scam and political platform, not a military alliance. It has energetically participated in numerous illegal and brutal unilateral military actions serving the political rationale of the Washington, London, and Brussels elite. From Belgrade to Tripoli, NATO has delivered its brand of "freedom" by bombing civilians, their homes, and societies. The coming collapse of the Ukrainian misadventure represents such an existential threat to the viability of this paper tiger that it will contemplate almost any avenue other than acceptance of failure. Rather than defending Europe from War, NATO looks destined to become part of a self designed self-fulfilling prophecy of War and destruction. Rember, nothing of the Machine ever works against the machine, and NATO is, despite what we are told, a giant profit Mill and ponzi scheme, peddling fear to sell weapons while the citizens of Europe face poverty and societal discontent. Russia and the Russians have no designs or desire for a War with NATO, no serious academic or political analysts outside of the echo chamber of Atlantasist fantasy believes that. Remember, if there's a people on earth that understand the devastation of war, it's the Russians. If you actually want to examine the engine of the Ukraine war (and all other post WW2 conflicts) and any conflict thay flows from it, lift the bonnet on the Washington and London elites and their greasy association with the corporations profiting from the War. Neither they nor their bureaucratic appointees will see their children, brothers, or fathers doe in a War with Russia or indeed wIth China. That is an honour they will bestow on the ordinary taxpayers of the EU and US, and while they're at it, they'll also convince you to pay for it all too.
Il y a 75 ans l’OTAN était créée pour contrer la peur perçue d’une expansion communiste en Europe. Indépendamment du fait qu’il n’existait aucune preuve plausible que les Soviétiques envisageaient d’envahir « l’Europe », lorsque l’Union soviétique a cessé d’exister, la justification marginale de l’existence de l’OTAN a également disparu. Cependant, l’alliance « défensive » a continué à s’étendre contre l’avis de nombreuses voix occidentales et contre l’avis des Russes. Ces protestations et avertissements ont bien sûr été ignorés alors que l’Alliance a continué à colporter une vision nord-américaine du monde à l’Europe et à son adhésion croissante à l’Europe de l’Est. Aujourd’hui, l’OTAN s’est révélée être une escroquerie de vente d’armes et une plate-forme politique, et non une alliance militaire. Il a participé énergiquement à de nombreuses actions militaires unilatérales illégales et brutales servant la logique politique des élites de Washington, de Londres et de Bruxelles. De Belgrade à Tripoli, l’OTAN a défendu sa « liberté » en bombardant les civils, leurs maisons et leurs sociétés. L’effondrement prochain de la mésaventure ukrainienne représente une telle menace existentielle pour la viabilité de ce tigre de papier qu’il envisagera presque toutes les voies autres que l’acceptation de l’échec. Plutôt que de défendre l’Europe contre la guerre, l’OTAN semble destinée à faire partie d’une prophétie auto-réalisatrice de guerre et de destruction. N’oubliez pas que rien de la Machine ne fonctionne jamais contre la machine, et que l’OTAN est, malgré ce qu’on nous dit, une gigantesque usine à profit et une chaîne de Ponzi, colportant la peur pour vendre des armes alors que les citoyens européens sont confrontés à la pauvreté et au mécontentement sociétal. La Russie et les Russes n’ont ni l’intention ni le désir d’une guerre avec l’OTAN, aucun analyste universitaire ou politique sérieux en dehors de la chambre d’écho du fantasme atlantasiste ne le croit. N’oubliez pas que s’il y a un peuple sur terre qui comprend les ravages de la guerre, c’est bien les Russes. Si vous voulez réellement examiner le moteur de la guerre en Ukraine (et tous les autres conflits de l’après-Seconde Guerre mondiale) et tout conflit qui en découle, levez le chapeau sur les élites de Washington et de Londres et leur association graisseuse avec les entreprises qui profitent de la guerre. Ni eux ni leurs représentants bureaucratiques ne verront leurs enfants, leurs frères ou leurs pères participer à une guerre avec la Russie ou même avec la Chine. C’est un honneur qu’ils accorderont aux contribuables ordinaires de l’UE et des États-Unis, et pendant qu’ils y seront, ils vous convaincront également de payer pour tout cela également.
Otan = Organisation du traité de l'Atlantique nord
Nato = National Association of Theatre Owners
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Comment élaborer un business plan ? Guide pratique pour réussir
Élaborer un business plan est une étape cruciale lorsque tu souhaites créer un business. C’est le document qui va structurer ton projet de création et convaincre les investisseurs ou les banquiers de te soutenir. Si tu te demandes comment élaborer un business plan, voici un guide concis pour te guider à travers ce processus.
1. Définir les grandes lignes de ton projet
Avant de te lancer dans la rédaction, il est important de clarifier les objectifs fixés pour ton projet d’entreprise. Tu dois :
Déterminer ton modèle économique : comment ton entreprise générera-t-elle des revenus ?
Identifier ta proposition de valeur : quel est l’avantage concurrentiel de ton business ?
Analyser le marché : qui sont tes clients potentiels et concurrents ?
2. Rédiger une description claire du business
Commence par une description détaillée de ton entreprise :
Présentation de l’entreprise : mission, vision, et objectifs.
Produits ou services proposés : caractéristiques, avantages, et différenciation.
Analyse du marché : taille, tendances, et segments de marché visés.
3. Construire un modèle économique solide
Le business model doit montrer comment ton entreprise va gagner de l’argent. Inclue :
La stratégie commerciale : méthodes de vente et de distribution.
Les sources de revenus : prix des produits, abonnements, services complémentaires.
La structure des coûts : coûts fixes et variables.
4. Élaborer le plan financier
Le volet financier est crucial pour démontrer la viabilité de ton projet. Assure-toi d’inclure :
Les prévisions financières : budget prévisionnel, compte de résultat prévisionnel, et bilan prévisionnel.
Le plan de trésorerie : pour gérer les flux de trésorerie et le fonds de roulement.
Le plan de financement : sources de financement, apports personnels, et besoins de financement externe.
5. Développer une stratégie marketing efficace
Pour attirer et fidéliser tes futurs clients, tu dois définir :
La stratégie marketing : canaux de communication, promotions, et campagnes publicitaires.
Le plan d’action : étapes pour atteindre tes objectifs de vente et de croissance.
Le plan de développement : comment tu prévois d’étendre ton business dans le futur.
6. Préparer une analyse des risques
Tout projet comporte des risques, il est donc important d’identifier et de planifier :
Les risques financiers : fluctuation des revenus, imprévus de trésorerie.
Les risques opérationnels : problèmes d'approvisionnement, de production.
Les risques de marché : changements dans la demande, arrivée de nouveaux concurrents.
7. Mettre en forme et présenter le business plan
Une fois que toutes les sections sont rédigées, il est temps de :
Structurer ton document de manière claire et logique.
Présenter les sections clés : résumé exécutif, analyse de marché, stratégie marketing, plan financier.
Faire relire par des experts comptables ou des mentors pour garantir la qualité du contenu.
Astuces bonus pour un business plan réussi
Sois réaliste dans tes prévisions et évite les chiffres trop optimistes.
Utilise des graphiques et des tableaux pour illustrer les données financières et rendre le plan plus visuel.
Teste ton business plan auprès de personnes extérieures à ton projet pour obtenir des retours constructifs.
Conclusion
Élaborer un business plan détaillé et bien structuré est essentiel pour réussir ton projet entrepreneurial. En suivant ces étapes et en prenant le temps de préparer un document complet, tu augmentes considérablement tes chances de convaincre les investisseurs et de lancer ton entreprise avec succès. Alors, prends le temps nécessaire pour rédiger un business plan solide, et n’hésite pas à faire appel à des experts pour t’aider dans cette démarche.
Si tu as d’autres questions ou besoin de précisions supplémentaires sur la manière de rédiger un business plan, je suis là pour t’aider ! Bonne chance avec ton projet de création d’entreprise.
FAQ : Comment élaborer un business plan ?
1. Qu'est-ce qu'un business plan et pourquoi est-il important ?
Réponse : Un business plan est un document détaillé qui décrit ton projet de création, ton modèle économique, et comment tu prévois de réaliser tes objectifs. Il est crucial pour convaincre les investisseurs, obtenir des financements, et structurer ton projet d'entreprise. Il te permet également de prévoir les étapes clés et d’anticiper les défis.
2. Quels sont les éléments essentiels à inclure dans un business plan ?
Réponse : Un business plan complet doit inclure :
Le résumé exécutif : présentation succincte de ton projet.
La description de l'entreprise : mission, vision, et produits ou services.
L'analyse de marché : étude de marché, concurrence, et clients potentiels.
Le business model : comment tu vas générer des revenus.
Le plan financier : prévisions financières, compte de résultat prévisionnel, et plan de trésorerie.
La stratégie marketing : comment tu comptes attirer et fidéliser les clients.
Les risques et opportunités : identification des risques et des opportunités.
3. Comment réaliser une étude de marché efficace pour mon business plan ?
Réponse : Pour réaliser une étude de marché efficace :
Analyse les tendances du secteur et les besoins des consommateurs.
Identifie tes principaux concurrents et évalue leurs forces et faiblesses.
Interroge des clients potentiels pour comprendre leurs attentes et préférences.
Collecte des données quantitatives et qualitatives pour soutenir tes prévisions.
4. Comment déterminer les prévisions financières de mon business plan ?
Réponse : Les prévisions financières incluent :
Le budget prévisionnel : estimation des coûts et des revenus.
Le compte de résultat prévisionnel : projection des bénéfices et des pertes.
Le bilan prévisionnel : estimation des actifs, passifs, et capitaux propres.
Le plan de trésorerie : gestion des flux de trésorerie et du fonds de roulement.
Assure-toi que tes projections sont réalistes et basées sur des données solides.
5. Quel est le rôle du résumé exécutif dans un business plan ?
Réponse : Le résumé exécutif est une vue d'ensemble de ton projet. Il doit capturer l'essence de ton business plan en quelques pages, en mettant en avant :
La mission et vision de l'entreprise.
Les objectifs principaux et les valeurs ajoutées de ton produit ou service.
Le besoin en financement et comment tu prévois de l'utiliser.
Ce résumé est souvent le premier élément lu, donc il doit être convaincant et clair.
6. Quelle est l'importance du plan de financement dans un business plan ?
Réponse : Le plan de financement montre comment tu vas lever des fonds et gérer les financements nécessaires pour ton projet de création. Il doit inclure :
Les sources de financement : apports personnels, prêts bancaires, crowdfunding, etc.
Les besoins de financement : montant total nécessaire et utilisation des fonds.
Les conditions de remboursement et les garanties offertes.
7. Comment évaluer la viabilité de mon projet dans le business plan ?
Réponse : Pour évaluer la viabilité de ton projet :
Fais une analyse SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces).
Évalue le seuil de rentabilité pour déterminer le volume de ventes nécessaire pour couvrir les coûts.
Analyse la demande du marché et assure-toi que ton business model est solide et adaptable.
8. Quels sont les pièges courants à éviter lors de la rédaction d'un business plan ?
Réponse : Voici quelques pièges à éviter :
Sous-estimer les coûts ou surrévaluer les revenus.
Manquer de détails dans les prévisions financières ou la stratégie marketing.
Ignorer les risques et ne pas prévoir de solutions pour les atténuer.
Ne pas adapter le business plan en fonction du public cible, que ce soit pour des investisseurs, des banques, ou des partenaires.
9. Quand devrais-je réviser mon business plan ?
Réponse : Révise ton business plan :
Avant le lancement de l’entreprise pour t’assurer que tout est en place.
Après des changements significatifs dans le marché ou dans ton entreprise (par exemple, nouvelle stratégie, modification du modèle économique).
Périodiquement pour ajuster les prévisions financières et la stratégie en fonction de l’évolution du marché et des performances de l’entreprise.
10. Où puis-je obtenir de l'aide pour rédiger mon business plan ?
Réponse : Tu peux obtenir de l’aide auprès de :
Experts comptables pour les aspects financiers.
Incubateurs et pépinières d’entreprises pour des conseils et un accompagnement.
Chambres de commerce (CCI) pour des ressources et des formations.
Mentors et réseaux d’entrepreneurs pour des retours d’expérience et des conseils pratiques.
À voir aussi : Comment lancer un business ?
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Aux trois questions qui sous-tendent les demandes du sujet en analyse:
•pouvoir aimer et être aimé,
•l’authenticité,
•l’indépendance,
c’est le deuxième point sur lequel nous voudrions attirer l’attention aujourd’hui, à savoir l’authenticité, pour essayer de dissiper un contresens massif, que Freud dénonce avec la plus grande force dans son Malaise dans la civilisation, et sur lequel Lacan revient pour y insister dans L’éthique... il s’agit du statut des "émotions".
Le discours dominant exalte le culte des émotions.
En témoigne l’aura du signifiant «émotion» dans les médias où la viabilité d’une émission (et même d’une information) se juge au degré d'émotion qu’elle est susceptible de susciter.
Cette dérive s’est propagée jusque dans l'enseignement où "l'émotion" des élèves est valorisée au détriment de leurs connaissances: "ce n'est pas ce que je ressens" est une objection qui autorise désormais l'élève à contredire son prof de philo...
C’est ainsi que par une curieuse rétroversion qui prend le contrepied d’un aboutissement logique de trente siècles de civilisation, on dit désormais se croire vivant "parce qu’on ressent", alors qu’il est connu depuis la haute antiquité que "le ressenti ment" et que les sensations manifestent, par leur fixation dans une signification, un etat de mort psychique, dû au fait que l’é-motion est "status", un mouvement immobilisé, qui s’oppose à la pensée logique, dialectique qui, elle, reste du côté du mouvement, du jeu incessant des métamorphoses et de la vie.
Si l’émotion est devenue à ce point un signifiant-phare du capitalisme de la bien-pensance, c’est que la communion par «les émotions» est ce qui vient se substituer à l’absence de lien social, et si des matchs de football ou des obsèques de vedettes de variétés suscitent tant de ferveur, c’est par l’illusion que ces "événements" montés en épingle nourrissent chez le spectateur l’illusion d’appartenir de plein droit à une communauté organique, le rassurant sur son "identité" toujours en souffrance...
Freud, qui dès L’esquisse (Entwurf) en 1895 décrivait avec précision la topologie de la subjectivité en tant qu’appareil neuronique soumis au principe de plaisir et au principe de réalité (processus primaire et processus secondaire), n’a jamais varié sur ce point: les émotions masquent au sujet la vérité de son désir, là où se joue le théâtre vrai qui déroule les fils de sa destinée.
Toutes les émotions sont menteuses (sauf l’angoisse, qui est un affect qui ne ment pas...), qu’est ce que ça veut dire?
Laissons la parole à Lacan, dans L’éthique..: "Je dirai, le Chœur, ce sont les gens qui s’émeuvent.
Donc, regardez-y à deux fois avant de vous dire que c’est vos émotions qui sont en jeu dans cette purification.
Elles sont en jeu quant à la fin, à savoir que non seulement elles, mais bien d’autres, doivent être par quelque artifice apaisées, mais ce n’est pas pour autant qu’elles sont plus ou moins directement mises en jeu.
Elles y sont sans aucun doute, vous êtes là à l’état - en principe - de matière disponible, mais d’un autre côté aussi, de matière tout à fait indifférente.
Quand vous êtes le soir au théâtre, vous pensez à vos petites affaires, au stylo que vous avez perdu dans la journée et au chèque que vous aurez à signer le lendemain.
Ne nous faisons donc pas trop de crédit.
Vos émotions sont prises en charge dans une saine disposition de la scène.
C’est le Chœur qui s’en charge.
Le commentaire émotionnel est fait, c’est ce qui fait la plus grande chance de survie de la tragédie antique.
Il est fait, il est juste ce qu’il faut bêta, il n’est pas sans fermeté non plus, il est bien humain.
Vous êtes donc délivrés de tous soucis."
Et encore:
"Quand Freud est en cours de son auto-analyse, il écrit, dans une courte lettre, la lettre 73 [lettre 144, 31 Oct. 1897, p. 349, PUF 2006.] :
«Meine Analyse geht weiter. Mon analyse se poursuit, elle reste mon intérêt principal. Tout en restant encore obscurs, certains problèmes appellent, mais le problème dont il s’agit met là-dessus quelque chose, un sentiment de confortable.
C’est - dit-il - comme si on avait à prendre, à puiser dans une chambre à provision, et à en tirer des choses, ce dont on a besoin.
Le désagréable - dit-il - ce sont die Stimmungen».
[À savoir les états - au sens le plus général que nous pouvons donner à ce mot qui a sa résonance spéciale en allemand - les états d’humeur.
Il s’agit à proprement parler des sentiments, des états de sentiment qui de leur nature, essentiellement, couvrent, cachent - quoi ? - die Wirklichkeit, la réalité.
C’est en termes d’interrogation sur cette Wirklichkeit, sur cette réalité, que Freud interroge ce qui se présente à lui comme Stimmung.
Et la Stimmung, de par sa nature, est ce qui lui dévoile ce ce qu’il a là dans son auto-analyse à chercher."
Le recours aux émotions laisse croire à une vérité d’ordre supérieur qui serait contenue dans la spontanéité, associée à l’authenticité, qui prendrait le pas sur la réflexion et sur la pensée, or ce qui dans nos sociétés infantilisées, se couvre sous le nom trompeur de "spontanéité" n'est en vérité rien d'autre que la propension infantile à se laisser aller à ses impulsions immédiates...
Pour Kant, "se laisser aller à ses impulsions immédiates" est l'indice que nous ne sommes pas libres mais enchaînés au lien causal qui nous relie à la chaîne des causes et des effets.
La spontanéité authentique, telle qu'elle fut redéfinie par l'idéalisme allemand, ne peut pas avoir lieu sans un moment de réflexivité: ce qui semble me venir de l'extérieur ne me détermine que dans la mesure où je l'aurai toujours déjà fait mien, autrement dit les raisons externes (les prétextes à mes actes) ne comptent que si je les "accepte déjà comme miennes", ainsi la détermination de mon sujet par autre chose (cause), que je présente comme extérieure («ce n’est pas de ma faute,,,») est toujours déjà une autodétermination de mon sujet lui-même.
C'est ainsi que toute référence à ma nature immédiate («je suis comme ça, qu'y puis-je...».) est fausse, mon rapport à mes propres impulsions ne me détermine que dans la mesure où je les ai déjà reconnues comme miennes, où je les assume comme miennes, voilà pourquoi je suis entièrement responsable de mes actes (et de mes paroles) même si je ne peux jamais en connaître, à l'avance, les conséquences...
Les émotions, comme les sensations, les sentiments, les affects, les perceptions... restent donc à interpréter, de la même manière qu’on interprète un rêve, grâce aux procédés mis à jour par Freud du déplacement, de la condensation, de l’inversion, car si les «émotions» nous trompent, c’est en nous masquant la réalité en tant que Wirklichkeit, en constituant une échappatoire commode, rationnalisante et cependant imaginaire, de ce qui est réellement en jeu à ce moment-là dans le Symbolique, la logique des pensées qui s’enchaînent dans l’inconscient...
Si l'esclavage antique tenait sa main d’œuvre avec de vraies chaînes, le servage avec l'impossibilité d’accéder à la propriété, la "démocratie" du capitalisme de la bien-pensance tient son peuple à l’aide de ses propres "émotions", car l'émotion est aujourd’hui la plus sûre garantie contre la pensée de l’inconscient...
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La clé pour protéger votre entreprise : assurance pour petite entreprise, assurance responsabilité entreprise, et assurance tous risques d'On Parle Assurance
Protéger son entreprise est essentiel pour assurer sa pérennité et sa réussite à long terme. Que vous soyez un entrepreneur débutant ou que vous gériez une entreprise en pleine croissance, les risques auxquels vous êtes confrontés sont nombreux et variés. Il est donc crucial de souscrire aux bonnes polices d'assurance afin de protéger vos biens, vos employés, ainsi que votre responsabilité juridique. On Parle Assurance offre des solutions d’assurance adaptées à toutes les entreprises, en particulier l’assurance pour petite entreprise, l’assurance responsabilité entreprise et l’assurance tous risques. Ces couvertures sont la clé pour garantir la tranquillité d’esprit de l’entrepreneur tout en préservant la viabilité de son activité.
L’assurance pour petite entreprise : une protection essentielle Les petites entreprises, bien que cruciales pour l’économie québécoise, sont souvent plus vulnérables aux risques que les grandes corporations. Un accident, un vol ou une erreur humaine peut entraîner des conséquences financières graves pour une petite entreprise. L'assurance pour petite entreprise permet de réduire ces risques en offrant une couverture adaptée à la taille et aux besoins spécifiques de l'entreprise.
On Parle Assurance propose des polices d'assurance pour petite entreprise qui couvrent les dommages aux biens de l’entreprise, les pertes de revenus dues à une interruption des activités, ainsi que les dommages causés à des tiers. Ces couvertures sont conçues pour offrir aux petites entreprises une protection contre des événements imprévus qui pourraient mettre en péril leur activité. De plus, elles sont modulables selon les besoins spécifiques de chaque entreprise, qu’il s’agisse d’une entreprise en ligne, d’une entreprise locale ou d’un commerce de détail.
L’assurance pour petite entreprise d'On Parle Assurance prend en compte différents aspects comme les locaux, l’équipement, les stocks, ainsi que les risques liés aux employés. Cette flexibilité permet à chaque entrepreneur de souscrire une assurance qui correspond à son modèle d’affaires, garantissant ainsi une couverture adéquate sans surpayer des éléments non nécessaires.
L’assurance responsabilité entreprise : se protéger contre les poursuites L’assurance responsabilité entreprise est un autre élément clé dans la protection d’une entreprise. Cette couverture est essentielle pour se prémunir contre les poursuites juridiques qui peuvent survenir en raison d’accidents, d’erreurs ou de négligence dans le cadre des activités commerciales. Si un client, un fournisseur ou un tiers subit un préjudice lié à l’exploitation de votre entreprise, l’assurance responsabilité entreprise vous protège en prenant en charge les frais juridiques et les indemnités éventuelles.
On Parle Assurance offre des solutions complètes d'assurance responsabilité entreprise qui couvrent une gamme étendue de risques, incluant les accidents survenus dans vos locaux, les erreurs professionnelles, ainsi que les dommages causés à des biens ou à des personnes. Cela permet à l’entrepreneur de se concentrer sur ses activités sans craindre des conséquences financières lourdes en cas de litige.
L’assurance responsabilité entreprise d’On Parle Assurance est particulièrement importante pour les entreprises de services, les consultants, ainsi que pour celles qui sont en contact direct avec des clients ou des produits. En cas de réclamation ou de poursuite, cette assurance peut prendre en charge les frais légaux, les dommages et intérêts, et même les coûts de règlement à l’amiable, évitant ainsi une perte financière importante pour l’entreprise.
L’assurance tous risques : une couverture maximale L’assurance tous risques est une option très populaire pour les entreprises qui souhaitent une couverture complète contre une large gamme de risques. Contrairement aux assurances standard qui ne couvrent que des risques spécifiques, l'assurance tous risques d'On Parle Assurance offre une protection étendue pour presque tous les types de sinistres, sauf les exclusions spécifiées dans le contrat.
Une assurance tous risques couvre les dommages matériels, mais aussi les pertes financières indirectes, telles que la perte de revenus due à une interruption des activités. Par exemple, si un incendie détruit vos locaux ou si un vol important survient dans votre entreprise, l’assurance tous risques d'On Parle Assurance peut compenser les pertes et aider à la reconstruction rapide de votre entreprise.
De plus, l'assurance tous risques inclut souvent des garanties supplémentaires comme la couverture des équipements électroniques, des véhicules de l’entreprise, ainsi que des accidents liés à la responsabilité civile. Elle constitue une protection robuste pour toute entreprise qui cherche à se prémunir contre des événements imprévus et à minimiser les risques financiers.
Pourquoi choisir On Parle Assurance ? On Parle Assurance se distingue par son approche personnalisée et son expertise en matière d'assurances pour entreprises. L’entreprise offre une gamme complète de produits d'assurance adaptés aux besoins spécifiques des entrepreneurs québécois. En choisissant On Parle Assurance pour votre assurance pour petite entreprise, assurance responsabilité entreprise et assurance tous risques, vous bénéficiez de plusieurs avantages.
Expertise locale et conseils personnalisés : On Parle Assurance connaît bien les défis uniques auxquels les entreprises québécoises sont confrontées. Leur équipe d’experts peut vous guider dans le choix des polices les plus adaptées à votre type d’entreprise et vous fournir des conseils pour optimiser vos couvertures.
Flexibilité des produits : Que vous soyez un propriétaire d'entreprise de taille petite ou moyenne, On Parle Assurance propose des solutions modulables pour répondre à vos besoins spécifiques. Vous pouvez ajuster vos couvertures en fonction de l’évolution de votre activité.
Protection complète : Grâce à l’assurance pour petite entreprise, l’assurance responsabilité entreprise, et l’assurance tous risques, vous avez accès à une protection complète qui couvre tous les aspects de votre entreprise. Cela vous permet de vous concentrer sur la croissance de votre entreprise sans vous soucier des risques imprévus.
Service client de qualité : On Parle Assurance offre un excellent service client avec des équipes prêtes à répondre à vos questions et à vous aider en cas de réclamation. Leur objectif est de rendre le processus d’assurance aussi simple et transparent que possible.
Conclusion Que vous soyez une petite entreprise ou une entreprise en pleine expansion, la protection de votre entreprise est primordiale pour garantir sa réussite à long terme. Les polices d'assurance pour petite entreprise, d'assurance responsabilité entreprise et d'assurance tous risques d’On Parle Assurance sont conçues pour offrir une couverture optimale contre une multitude de risques. Ces solutions complètes vous permettent de protéger vos biens, vos employés et votre réputation, tout en réduisant les conséquences financières des imprévus.
En choisissant On Parle Assurance, vous faites le choix de la tranquillité d'esprit, de la flexibilité et de la protection maximale pour votre entreprise. N'attendez plus, contactez On Parle Assurance dès aujourd’hui pour obtenir une consultation personnalisée et assurer l’avenir de votre entreprise avec des couvertures d’assurance adaptées à vos besoins spécifiques.
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Le Service de Recouvrement Amiable par Calliope Services : Une Solution Professionnelle pour Gérer vos Impayés
ans le monde des affaires, les impayés représentent un véritable fléau pour les entreprises de toutes tailles. Ils affectent directement la trésorerie, compliquent la gestion financière et peuvent même mettre en danger la viabilité d'une organisation.
Dans le monde des affaires, les impayés représentent un véritable fléau pour les entreprises de toutes tailles. Ils affectent directement la trésorerie, compliquent la gestion financière et peuvent même mettre en danger la viabilité d’une organisation. Conscient de ces enjeux, Calliope Services propose un Service de Recouvrement Amiable personnalisé et efficace, spécialement conçu pour les…
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#Timbres-poste et #colis : Augmentation des #tarifs dès le 1er janvier #2025
À partir du 1er janvier 2025, bpost ajustera les tarifs de ses timbres-poste et de ses colis afin de continuer à compenser l’augmentation des coûts due à l’inflation, à la hausse des coûts salariaux et à la diminution des volumes de courrier. Ces ajustements tarifaires sont essentiels pour maintenir un service postal de qualité tout en garantissant sa viabilité économique face aux défis du marché…
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Les cartes de crédit sont devenues un pilier central du système financier moderne, facilitant les transactions quotidiennes et influençant les comportements de consommation à l'échelle mondiale. Leur développement s'étend sur plus d'un siècle, marqué par des innovations technologiques, des changements réglementaires et des adaptations aux besoins des consommateurs. Voici une exploration approfondie de l'histoire des cartes de crédit.
1. Les premières idées de crédit : avant le 20e siècle
Avant l'émergence des cartes de crédit telles que nous les connaissons aujourd'hui, des formes primitives de crédit existaient déjà, facilitant les échanges commerciaux et le commerce local.
Comptes de crédit locaux (18e-19e siècle) :
Dans les villes et villages, les commerçants offraient des comptes de crédit à leurs clients fidèles. Par exemple, les boulangeries, épiceries et autres commerces de proximité permettaient aux clients de régler leurs achats ultérieurement.
Ces arrangements reposaient sur la confiance personnelle et des registres manuscrits pour suivre les dettes et les paiements.
Jetons et plaques de crédit (fin 19e - début 20e siècle) :
Certains commerces, notamment les grands magasins et les stations-service, utilisaient des jetons en métal ou des plaques gravées comme preuves de crédit.
Ces jetons étaient souvent échangeables contre des biens ou services spécifiques, servant de précurseurs aux cartes de fidélité modernes.
Cartes de charge des magasins :
Au début du 20e siècle, des grands magasins comme Sears aux États-Unis ont introduit des cartes de charge permettant aux clients d'acheter des articles à crédit, favorisant ainsi la fidélité et les achats répétés.
2. Les premières cartes de crédit : 1920s-1940s
Les premières tentatives de créer des systèmes de cartes de crédit universelles ont émergé au cours de cette période, bien que limitées en portée et en acceptation.
Cartes de fidélité des années 1920 :
Les compagnies pétrolières comme la Dinshawji Ratanji Petit ont lancé des programmes de cartes de fidélité pour récompenser les clients réguliers.
Ces cartes permettaient des remises ou des crédits spécifiques au sein d'un réseau restreint de commerçants.
1934 : American Airlines et le programme de fidélité :
American Airlines a lancé le premier programme de carte de fidélité pour ses voyageurs fréquents, connu sous le nom de AAdvantage. Bien que ce ne soit pas une carte de crédit au sens moderne, c'était une étape précoce vers l'utilisation des cartes pour fidéliser la clientèle.
Limitations des premières cartes :
Ces cartes étaient généralement acceptées uniquement au sein d'un réseau restreint de commerçants, limitant leur utilité et leur adoption généralisée.
Elles ne permettaient pas de crédit renouvelable et dépendaient souvent du paiement en fin de mois ou après une période déterminée.
3. Les cartes modernes : 1950s
Les années 1950 marquent un tournant décisif avec l'émergence des premières cartes de crédit universelles, dotées de fonctionnalités semblables à celles que nous utilisons aujourd'hui.
1950 : La Diners Club Card
Frank McNamara, un restaurateur new-yorkais, invente la Diners Club Card après avoir oublié son portefeuille lors d'un dîner d'affaires. Cette expérience lui inspire la création d'une carte permettant de régler des dépenses dans plusieurs restaurants.
La carte, initialement en papier, permettait aux membres de payer à la fin du mois. Elle est rapidement adoptée par des professionnels et des voyageurs, devenant la première carte de crédit universelle.
Impact : La Diners Club Card a démontré la viabilité d'un système de crédit centralisé et a inspiré d'autres institutions financières à développer leurs propres cartes.
1958 : American Express en plastique
American Express lance sa carte en plastique, offrant une meilleure durabilité et acceptation plus large. Cette transition du papier au plastique a contribué à standardiser le format des cartes de crédit.
Caractéristiques : La carte permet des transactions plus sûres et facilite l'acceptation par un plus grand nombre de commerçants.
1958 : BankAmericard (devenue Visa)
Bank of America introduit la BankAmericard en Californie, la première carte de crédit offrant un crédit renouvelable, permettant aux utilisateurs de reporter leurs paiements d'un mois à l'autre.
Innovation : Cette flexibilité dans le paiement a rendu la carte plus attrayante pour les consommateurs, favorisant son adoption rapide.
Évolution : BankAmericard évolue pour devenir Visa, l'un des plus grands réseaux de cartes de crédit au monde.
4. Expansion mondiale : 1960s-1980s
Durant cette période, les cartes de crédit connaissent une expansion rapide à l'international, soutenue par des alliances stratégiques et des avancées technologiques.
1966 : Création de l'Interbank Card Association (MasterCard)
Un consortium de banques américaines forme l'Interbank Card Association, destinée à concurrencer BankAmericard.
Cette association évolue pour devenir MasterCard, un des principaux réseaux de cartes de crédit mondiaux.
Stratégie : La collaboration entre plusieurs banques permet une plus grande acceptation et une infrastructure plus robuste.
1970s : Internationalisation des cartes de crédit
Les réseaux Visa et MasterCard étendent leur présence en Europe, en Asie et dans d'autres régions, facilitant les voyages internationaux et les transactions transfrontalières.
Adaptations locales : Les réseaux adaptent leurs services aux réglementations et aux préférences locales, renforçant leur compétitivité.
1980s : Avancées technologiques et sécurité
L'introduction des systèmes informatiques permet de gérer les transactions de manière plus efficace et sécurisée.
Automatisation : Les transactions électroniques deviennent courantes, réduisant les risques de fraude et accélérant le processus de paiement.
Innovation : Développement des terminaux de paiement électroniques (POS), facilitant l'acceptation des cartes dans les commerces de détail.
5. La révolution numérique : 1990s à aujourd’hui
L'ère numérique transforme radicalement les cartes de crédit, introduisant de nouvelles technologies et répondant aux besoins changeants des consommateurs.
1990s : L'avènement d'Internet et des paiements en ligne
Commerce électronique : L'émergence de sites comme Amazon et eBay nécessite des solutions de paiement sécurisées, propulsant l'utilisation des cartes de crédit en ligne.
Sécurité : Introduction des protocoles de sécurité tels que SSL pour protéger les informations sensibles lors des transactions en ligne.
2000s : Adoption des puces EMV
EMV (Europay, MasterCard, Visa) : Introduction des puces intégrées dans les cartes de crédit, améliorant la sécurité des transactions physiques en rendant les cartes plus résistantes à la contrefaçon et en réduisant les fraudes par clonage.
Transition mondiale : Adoption progressive des puces EMV dans le monde entier, souvent accompagnée de campagnes de sensibilisation et de mises à jour des infrastructures de paiement.
2010s : L'essor des cartes sans contact
Technologie NFC (Near Field Communication) : Permet des paiements rapides et sécurisés en approchant simplement la carte du terminal de paiement.
Adoption massive : Les cartes sans contact gagnent en popularité grâce à leur commodité, notamment dans les transactions de faible montant.
2020s : Intégration des paiements mobiles et innovations écologiques
Paiements mobiles : Les services comme Apple Pay, Google Pay et Samsung Pay permettent aux utilisateurs d'effectuer des paiements via leurs smartphones ou montres connectées, souvent en synchronisation avec leurs cartes de crédit existantes.
Innovations écologiques : Certaines institutions financières développent des cartes fabriquées à partir de matériaux recyclés ou durables, répondant à la demande croissante pour des produits respectueux de l'environnement.
Sécurité avancée : Introduction de technologies telles que l'authentification biométrique (empreintes digitales, reconnaissance faciale) pour renforcer la sécurité des transactions.
6. Impact économique et culturel
Les cartes de crédit ont eu une influence profonde sur l'économie mondiale et les comportements culturels, apportant à la fois des avantages et des défis.
Consommation de masse :
Accès au crédit : Les cartes de crédit permettent aux consommateurs d'accéder instantanément à des fonds, stimulant les dépenses et la consommation.
Croissance économique : L'augmentation des dépenses des consommateurs contribue à la croissance économique, en particulier dans les secteurs du commerce de détail et des services.
Gestion financière personnelle :
Flexibilité : Les cartes offrent une flexibilité dans la gestion des finances personnelles, permettant de répartir les paiements sur plusieurs mois.
Risque de surendettement : L'accès facile au crédit peut également mener à des dettes importantes si les utilisateurs ne gèrent pas correctement leurs dépenses.
Innovation dans les services financiers :
Programmes de fidélité et récompenses : Les émetteurs de cartes ont développé des programmes attractifs pour fidéliser les clients, offrant des points, des remises en argent, des miles aériens et d'autres incitations.
Assurances et protections : De nombreuses cartes offrent des assurances voyage, des protections d'achat, et d'autres avantages, augmentant leur valeur perçue.
Transformation des habitudes de consommation :
Commodité : Les cartes de crédit ont simplifié les transactions, éliminant le besoin de transporter de grandes quantités d'argent liquide.
Globalisation : Elles ont facilité les voyages internationaux et les achats transfrontaliers, intégrant davantage les économies mondiales.
Réglementation et protection des consommateurs :
Législation : Des lois comme la Truth in Lending Act aux États-Unis ont été mises en place pour protéger les consommateurs, en imposant la transparence sur les taux d'intérêt et les conditions de crédit.
Sécurité des données : Les régulations ont évolué pour renforcer la sécurité des informations financières, notamment avec la mise en œuvre des normes PCI DSS (Payment Card Industry Data Security Standard).
Conclusion
L'histoire des cartes de crédit est une saga d'innovation et d'adaptation, reflétant les évolutions technologiques, économiques et sociales de plus d'un siècle. De leurs humbles débuts en tant qu'outils de fidélisation locaux à leur statut actuel de leviers financiers globaux, les cartes de crédit ont profondément transformé la manière dont nous consommons, économisons et interagissons avec le monde financier. Alors que nous avançons dans l'ère numérique, les cartes de crédit continuent d'évoluer, intégrant de nouvelles technologies et répondant aux défis contemporains, tout en restant un élément essentiel de la vie économique moderne.
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Aujourdhui les priorités du Maroc ne sont pas dans l'agriculture, elles sont ailleurs, dans le développement durable du pays par le biais de la remise a niveau infrastructurelle, ainsi que la valorisation immobilière du tissu urbain du pays
Nous n’arrêtons pas les priorités du pays, dont le gouvernement est élu, nous arrêtons nos propres priorités, et cette introduction n'est pas non plus un long discours
Dans les perspectives que nous avons mentionné le FNI en partenariat avec ONEE propose le financement intégral pour la construction de 260 chateaux d'eau dans les villes du Royaume
D'une capacité de 600T chacune elles représentent un volume cumulé de 156000T d'eau potable, en milieu urbain
Les priorités du FNI outre l'aspect infrastructurel important de ce projet, sont de rassurer la population quant a la viabilité des villes qui sont touchées par le stress hydrique
Dans le fait qu'il ne s'agit plus pour ONEE de déverser depuis des barrages arrivés a plein capacité mais de reverser dans le réseau d'eau potable donc cette capacité de stockage additionnelle
Et dans le fait de pouvoir conduire le tourisme entant qu'activité économique d'une manière sereine
Rain Veil est un projet de remise a niveau d'un chateau d'eau existant a Seoul par l'architecte environnementaliste Ned Kahn, d'une hauteur de 32m il est possible d'en visiter la base a l'intérieur de son manteau constitué de 330000 pièces de Durabio
Elles sont apparemment éclairées de l'intérieur, possiblement a couleurs changeantes, d’où l'importance du choix des sites en milieu urbain versus que nous apportent quelques immeubles de plus surtout si ils sont vétustes
Et cela c'est un très travail conséquent de diminuer la densité urbaine de créer des perspectives et d'implémenter des parcs, qui ne sont pas immenses biensur, au lieu de béton partout et pour tout
Comme c'est compliqué a faire, c'est le travail de la CDG, l'AGR étant en appui quant au choix de ces sites, les stations de raccordement de l'ONEE étant en sous sol
Il existe une opportunité supplémentaire considérable pour la CDG, dans le fait de proposer des logements de moyenne gamme aux propriétaires ou locataires des immeubles concernés
Le fameux tarwid au mètre carré n'est pas forcément a verser en numéraire et peux modérer le prix d'un autre appartement, neuf, mieux construit, mieux, peut être un peu plus loin
Merci d'avoir suivi
En aparté, nous avons tendance a voir cette période de sécheresse comme une catastrophe irréparable, ce qu'elle devient uniquement si nous concevons le Maroc comme étant a moteur unique
Le FNI conçoit cette période comme étant l'opportunité de développer les infrastructures et le tissu urbain des villes, qui est un autre moteur économique tout a fait adéquat, nécessaire et utile
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Faune sauvage. Une expertise nationale favorable à de nouvelles réintroductions de lynx dans les Vosges
Rendu public mercredi, le rapport du Museum national d’histoire naturelle et de l’Office français de la biodiversité sur la viabilité de
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Comment bâtir un business plan qui séduira les investisseurs
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Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, communique : "Mme Géraldine Grangier appelle l'attention de Mme la Ministre de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt sur les retards dans la gestion et le versement des aides européennes du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) en Bourgogne-Franche-Comté. La gestion des fonds FEADER dans la région Bourgogne-Franche-Comté connaît actuellement des retards massifs et inacceptables qui menacent gravement la viabilité de nombreuses exploitations agricoles. Ce dysfonctionnement, qui se distingue par son ampleur par rapport aux autres régions françaises, met en lumière des faiblesses de gestion régionales mais aussi des lacunes dans l'accompagnement de l'État dans la transition de la gestion de ces fonds européens aux autorités locales. Plus de 3 500 dossiers seraient encore en attente de traitement en 2024, alors même que ces aides sont cruciales pour assurer la modernisation des infrastructures agricoles, le soutien aux jeunes agriculteurs et la transition écologique de l'agriculture française. La situation en Bourgogne-Franche-Comté est particulièrement alarmante et il convient de rappeler que cette région bénéficie d'une enveloppe de 254 millions d'euros sur la période 2021-2027, soit une augmentation de 28 % par rapport à la période précédente, ce qui devrait permettre de répondre à des besoins de financement cruciaux dans des secteurs en crise. Or le transfert de gestion des dossiers du FEADER des services de l'État à la région, effectif depuis le 1er janvier 2023, semble s'être accompagné de nombreux dysfonctionnements, allant de la mauvaise anticipation des besoins en ressources humaines à des lourdeurs administratives paralysant le traitement des dossiers. Dans cette perspective, il est nécessaire de replacer la Bourgogne Franche-Comté dans un cadre comparatif avec les autres régions françaises et européennes afin de mieux comprendre les causes de ce blocage spécifique et d'en tirer les leçons pour l'avenir. Dans d'autres régions françaises, la gestion des fonds FEADER semble mieux maîtrisée. On peut prendre l'exemple de la Bretagne, une région à forte dominante agricole, où la transition s'est opérée avec beaucoup plus de fluidité. Bien que des ajustements aient été nécessaires, les retards sont restés modérés et l'instruction des dossiers n'a pas connu d'engorgement comparable à celui observé en Bourgogne-Franche-Comté. De la même manière, en Normandie, autre région agricole de premier plan, les autorités régionales ont mis en place une collaboration étroite avec les chambres d'agriculture afin d'accélérer le traitement des dossiers et éviter des retards de paiement, en particulier pour les jeunes agriculteurs, un segment de population particulièrement vulnérable dans le contexte actuel. En comparaison, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, une gestion proactive et un renforcement des moyens administratifs ont permis de maintenir un flux constant de traitement des dossiers. Une étude comparative des performances régionales en matière de gestion des fonds européens pourrait permettre de dégager des pistes d'amélioration pour la Bourgogne-Franche-Comté, en s'inspirant des bonnes pratiques mises en place dans ces autres régions. Au niveau européen, certains pays comme l'Allemagne ou les Pays-Bas se sont montrés particulièrement performants dans la gestion des fonds agricoles européens. En Allemagne, la coordination entre les Länder et l'État fédéral a permis d'éviter les lourdeurs bureaucratiques qui pèsent actuellement sur la Bourgogne-Franche-Comté. En effet, la mise en place d'outils numériques centralisés, associée à une meilleure anticipation des besoins administratifs, a permis d'assurer un traitement rapide et efficace des dossiers. De même, aux Pays-Bas, l'accent est mis sur la simplification des procédures administratives, avec une répartition claire des rôles entre l'administration centrale et les autorités locales, ce qui évite des engorgements tels que ceux observés en Bourgogne-Franche-Comté. Ces exemples étrangers montrent qu'une gestion décentralisée des fonds européens peut être efficace à condition qu'elle s'accompagne de moyens techniques et humains adaptés et d'une coordination efficiente entre les différents niveaux de gouvernance. L'impact des retards de versement des aides FEADER sur les agriculteurs de Bourgogne-Franche-Comté est immense. Les aides financières de ce fonds ne sont pas un luxe, mais une nécessité absolue pour maintenir la compétitivité des exploitations agricoles, souvent confrontées à des marges réduites et à des défis environnementaux de plus en plus complexes. Le manque de ressources pour moderniser les infrastructures, acheter de nouveaux équipements ou mettre en place des pratiques agricoles plus durables risque de pénaliser durablement le secteur, aggravant encore la précarité de certains agriculteurs déjà en grande difficulté. Cela est d'autant plus vrai pour les jeunes agriculteurs, qui comptent sur ces aides pour s'installer et développer des projets viables. Les retards dans le versement des fonds créent une situation d'insécurité économique qui pourrait conduire certaines exploitations au bord de la faillite. Les manifestations récentes des syndicats agricoles, dont la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles (FRSEA) et les Jeunes Agriculteurs (JA), témoignent du climat de tension croissant dans le monde agricole. Cette situation est d'autant plus incompréhensible que les fonds sont disponibles et que les besoins sont urgents. L'inaction prolongée pourrait aussi avoir un effet domino sur l'ensemble de l'économie rurale, qui repose en grande partie sur la bonne santé des exploitations agricoles. Des retards dans le traitement des dossiers, à ce stade critique, risquent d'entraîner une perte de confiance entre les agriculteurs et les autorités publiques, ce qui est préjudiciable à la mise en œuvre des politiques agricoles futures. Dans ce contexte, il apparaît nécessaire que l'État reprenne en main la gestion de ces dossiers, en coordination avec les autorités régionales. Une intervention directe de l'État pourrait permettre de mobiliser des moyens supplémentaires, notamment en matière de ressources humaines, pour accélérer l'instruction des dossiers et rétablir un dialogue constructif avec les représentants du monde agricole. Mme la ministre va-t-elle impliquer l'État pour pallier à ces manquements ? De plus, des solutions temporaires, telles que la mise en place d'avances sur les aides FEADER en attente, pourraient être envisagées pour soulager les agriculteurs les plus en difficulté, en particulier ceux qui comptaient sur ces fonds pour investir dans des projets cruciaux pour la survie de leur exploitation. Elle lui demande si elle va appliquer des avances d'urgence et si elle compte demander une enquête approfondie pour identifier les causes exactes des dysfonctionnements observés en Bourgogne-Franche-Comté". Read the full article
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Opportunités d'investissement foncier de premier ordre dans le Grand Abidjan
Le dynamisme économique d'Abidjan en fait un lieu idéal pour des investissements fonciers de qualité en Côte d'Ivoire. Découvrez des opportunités d'investissement foncier de premier ordre dans le grand Abidjan, des zones en pleine expansion avec un fort potentiel de valorisation. Nos terrains dans ces localités bénéficient d'une excellente accessibilité et d'un développement urbain rapide, offrant des perspectives de rentabilité et de croissance patrimoniale sur le long terme.
Pourquoi Yopougon est-il qualifié de hotspot immobilier en plein essor ?
Yopougon est qualifié de hotspot immobilier en plein essor en raison de sa forte croissance démographique, de son urbanisation rapide, et de ses projets d'infrastructures en développement, tels que les nouvelles routes et équipements publics. Située à Abidjan, cette commune dynamique et la porte d’entrée nord et ouest de la ville d’Abidjan. Elle attire de plus en plus d'investisseurs pour son accessibilité et son potentiel de valorisation, offrant des opportunités de logements au loyers abordables, des commerces de qualité et de services dans un marché immobilier en constante demande.
L'importance de l'emplacement dans l'investissement résidentiel
Dans le secteur immobilier en Côte d'Ivoire, l'emplacement est un facteur clé pour maximiser les investissements. Un bon emplacement, avec des infrastructures de transport, des services publics et des commodités à proximité, attire plus facilement locataires et acheteurs potentiels. Il garantit également une valorisation à long terme, augmentant les rendements de l'investissement et facilitant la revente ou la location.
Éléments à prendre en compte avant d'acheter un terrain
Avant d'acheter un terrain, il est essentiel de prendre en compte les éléments suivants :
Conformité légale : Vérifiez la validité des titres fonciers, comme l’ACD ou les attestations villageoises, pour éviter tout risque de litige.
Emplacement : L’accessibilité, la proximité des infrastructures (routes, écoles, commerces) et le potentiel de développement de la zone sont déterminants pour la valorisation du terrain.
Zonage et utilisations autorisées : Assurez-vous que le terrain est conforme aux règles de zonage et permet les constructions souhaitées (résidentiel, commercial, etc.)
Coûts associés : Prenez en compte les coûts d'aménagement, de raccordement aux services publics (eau, électricité) et les taxes foncières pour éviter les surprises budgétaires.
Qualité du sol : Une analyse du sol peut révéler des contraintes techniques ou géologiques, importantes pour la viabilité et le coût des constructions.
Potentiel de revente : Évaluez la demande immobilière dans la zone pour assurer une bonne rentabilité et facilité de revente à long terme.
Prospectus d'investissement foncier futur en Côte d'Ivoire
La Côte d'Ivoire est un marché immobilier en plein essor, soutenu par une forte croissance économique, des projets d'infrastructures en développement et une urbanisation rapide. L'investissement foncier en Côte d'Ivoire représente une opportunité stratégique, avec des rendements à long terme soutenus par une demande croissante de logements, de terrains commerciaux et de projets industriels.
Grand Abidjan : Avec des communes comme Cocody, Yopougon, et Abobo en forte expansion, Abidjan reste le cœur économique du pays. L'urbanisation, les infrastructures et les projets de modernisation ouvrent d’innombrables possibilités d'investissement résidentiels et commerciaux. Les nouvelles zones de développement foncier et immobilier dans le grand Abidjan (MOTOBÉ, MOHAMÉ, ASSOUINDÉ, MEMNI, ALÉPÉ, JACQUEVILLE, SONGON…)
San Pedro et Yamoussoukro : Ces villes secondaires connaissent également un développement significatif, attirant de plus en plus d’investisseurs à la recherche de terrains à fort potentiel de valorisation.
Zones rurales stratégiques : Des villes comme Jacqueville, Bassam, et Assinie bénéficient de l’extension des zones urbaines, avec un potentiel de revente élevé pour les investisseurs à la recherche de terrains avec ACD ou lotis.
Avantages d'un investissement précoce dans les zones en développement
Cout d’acquisition des parcelles : Le coût varie en fonction de l'emplacement, du type de titre foncier (ACD, attestation villageoise), et des infrastructures environnantes. Les terrains dans des zones urbaines comme Abidjan sont plus onéreux, tandis que ceux en périphérie offrent des prix plus accessibles, bien que les frais administratifs et fiscaux s'ajoutent au coût total.
Croissance démographique et urbaine : Avec une population en constante augmentation, l’urbanisation rapide soutient la demande en terrains, surtout dans les zones périphériques d’Abidjan.
Projets d’infrastructure en cours : Les travaux d’aménagements routiers, de construction de logements sociaux et d’équipements publics assurent une augmentation de la valeur foncière dans les zones en développement.
Politiques favorables à l'investissement : Le gouvernement ivoirien met en place des politiques favorables à l’investissement, avec des incitations fiscales et des projets d’aménagement qui boostent la rentabilité des investissements fonciers.
Le rôle du gouvernement dans l'augmentation de la valeur résidentielle
Infrastructures et aménagements : La construction de routes, de ponts, de réseaux d'eau et d'électricité dans des zones résidentielles en développement améliore l'accessibilité et la qualité de vie, ce qui augmente la demande pour ces zones et, par conséquent, leur valeur résidentielle.
Projets urbains et programmes de logements : Le soutien gouvernemental à des projets d'aménagement urbain et de construction de logements sociaux et privés permet de répondre à la demande croissante de logements, ce qui dynamise le marché immobilier.
Politiques fiscales incitatives : Le gouvernement met en place des mesures fiscales pour encourager les investisseurs, tels que des exonérations fiscales, des réductions de taxes sur les matériaux de construction et des incitations pour les promoteurs immobiliers. Ces politiques stimulent l'investissement dans le secteur résidentiel, contribuant ainsi à l'augmentation de la valeur des propriétés.
Sécurisation foncière : La mise en place de mécanismes légaux solides, comme l'Arrêté de Concession Définitive (ACD) et la dématérialisation des procédures foncières, offre une garantie de sécurité juridique pour les transactions immobilières, ce qui renforce la confiance des investisseurs et contribue à la stabilité et à la hausse des prix des terrains et propriétés résidentielles.
Développement des zones périphériques : En créant des pôles de développement en dehors des grandes agglomérations comme Abidjan, le gouvernement encourage les investissements dans des zones moins urbanisées, augmentant ainsi leur attractivité et leur valeur résidentielle à mesure que l'urbanisation progresse.
Remarque :
L'investissement foncier en Côte d'Ivoire offre une occasion en or pour les investisseurs à la recherche de rentabilité et de valorisation à long terme. Avec un environnement économique dynamique, des projets d’infrastructure massifs et un marché en pleine croissance, investir en terrain foncier en Côte d'Ivoire est une décision stratégique pour l'avenir.
Pour explorer ces opportunités et bénéficier de conseils professionnels, visitez www.oe-ebusiness.com . Vous y trouverez des informations détaillées sur les terrains accessibles et des conseils adaptés pour maximiser votre investissement en Côte d'Ivoire
pour plus d'informations:
Société de BTP Côte d´Ivoire
Offre de terrains avec ACD
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Pour augmenter vos chances d'obtenir un crédit en Suisse, il est essentiel de préparer soigneusement votre dossier et de comprendre les critères utilisés par les institutions financières. Voici des conseils pratiques pour améliorer vos chances :
1. Améliorer son profil financier
Stabilité des revenus : Assurez-vous d'avoir des revenus réguliers et stables. Les prêteurs préfèrent des emprunteurs qui ont un emploi permanent ou des sources de revenus fiables.
Ratio d'endettement : Maintenez un ratio d'endettement (rapport entre vos dettes et vos revenus) bas. Un ratio inférieur à 33 % est généralement considéré comme acceptable.
Économies et actifs : La possession d'actifs (comme des biens immobiliers ou des placements financiers) renforce votre solvabilité aux yeux des prêteurs.
2. Préparer un dossier de demande solide
Documents nécessaires : Préparez à l'avance les documents tels que les relevés bancaires, les fiches de salaire, les déclarations fiscales, et toute autre preuve de revenus. Si vous êtes indépendant, présentez vos bilans comptables.
Plan d'utilisation des fonds : Expliquez clairement pourquoi vous avez besoin du crédit et comment vous comptez l'utiliser. Un plan détaillé rassure la banque sur votre capacité à rembourser.
Antécédents de crédit : Un bon historique de remboursement de dettes montre que vous êtes un emprunteur responsable.
3. Améliorer sa cote de crédit
Paiements à temps : Payez toutes vos factures (prêts, cartes de crédit, etc.) à temps pour améliorer votre score de crédit.
Limiter les crédits existants : Réduisez ou clôturez les lignes de crédit inutilisées qui pourraient affecter négativement votre ratio d'endettement.
Vérifier son historique de crédit : Obtenez une copie de votre dossier de crédit pour vérifier qu’il ne contient pas d’erreurs qui pourraient nuire à votre cote.
4. Choisir le bon type de crédit
Adaptez la demande : Choisissez un type de crédit qui correspond à votre situation. Les prêts personnels, hypothécaires ou professionnels ont chacun des critères spécifiques.
Prêts garantis : Si possible, envisagez de demander un crédit garanti par un actif (par exemple, une hypothèque). Les banques sont plus enclines à accorder des prêts garantis, car ils présentent moins de risques.
5. Présenter des garanties
Garantie réelle : Offrir un bien en garantie (comme un bien immobilier) augmente vos chances d'approbation, car cela rassure la banque sur sa capacité à récupérer les fonds en cas de défaut de paiement.
Cautionnaire : Avoir une personne avec un bon profil financier qui se porte garant de votre prêt peut également accroître vos chances.
6. Travailler avec un conseiller financier
Conseil personnalisé : Un conseiller financier peut vous aider à préparer votre demande et à choisir l’institution financière la mieux adaptée à votre profil.
Optimisation fiscale : Certains conseillers peuvent suggérer des stratégies pour optimiser vos finances avant la demande de crédit.
7. Comparer les offres de crédit
Faire jouer la concurrence : Comparez les offres de plusieurs banques et institutions financières. Certaines banques sont plus flexibles que d'autres, notamment pour les personnes ayant des revenus atypiques.
Négociation des conditions : N’hésitez pas à négocier les conditions du prêt (taux d’intérêt, durée, etc.) pour obtenir l’offre la plus avantageuse.
8. Présenter un bon projet professionnel (pour les crédits aux entreprises)
Plan d'affaires solide : Pour un crédit professionnel, un plan d'affaires détaillé qui montre la viabilité de votre projet et vos prévisions financières est crucial.
Réputation de l’entreprise : Une entreprise ayant de bons antécédents de gestion et une bonne réputation aura plus de chances d’obtenir un prêt.
En suivant ces conseils, vous augmenterez vos chances d'obtenir un crédit en Suisse, que ce soit pour un besoin personnel, professionnel ou hypothécaire.
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Aux trois questions qui sous-tendent les demandes du sujet en analyse:
•pouvoir aimer et être aimé,
•l’authenticité,
•l’indépendance,
c’est le deuxième point sur lequel nous voudrions attirer l’attention aujourd’hui, à savoir l’authenticité, pour essayer de dissiper un contresens massif, que Freud dénonce avec la plus grande force dans son Malaise dans la civilisation, et sur lequel Lacan revient pour y insister dans L’éthique... il s’agit du statut des "émotions".
Le discours dominant exalte le culte des émotions.
En témoigne l’aura du signifiant «émotion» dans les médias où la viabilité d’une émission (et même d’une information) se juge au degré d'émotion qu’elle est susceptible de susciter.
Cette dérive s’est propagée jusque dans l'enseignement où "l'émotion" des élèves est valorisée au détriment de leurs connaissances: "ce n'est pas ce que je ressens" est une objection qui autorise désormais l'élève à contredire son prof de philo...
C’est ainsi que par une curieuse rétroversion qui prend le contrepied d’un aboutissement logique de trente siècles de civilisation, on dit désormais se croire vivant "parce qu’on ressent", alors qu’il est connu depuis la haute antiquité que "le ressenti ment" et que les sensations manifestent, par leur fixation dans une signification, un etat de mort psychique, dû au fait que l’é-motion est "status", un mouvement immobilisé, qui s’oppose à la pensée logique, dialectique qui, elle, reste du côté du mouvement, du jeu incessant des métamorphoses et de la vie.
Si l’émotion est devenue à ce point un signifiant-phare du capitalisme de la bien-pensance, c’est que la communion par «les émotions» est ce qui vient se substituer à l’absence de lien social, et si des matchs de football ou des obsèques de vedettes de variétés suscitent tant de ferveur, c’est par l’illusion que ces "événements" montés en épingle nourrissent chez le spectateur l’illusion d’appartenir de plein droit à une communauté organique, le rassurant sur son "identité" toujours en souffrance...
Freud, qui dès L’esquisse (Entwurf) en 1895 décrivait avec précision la topologie de la subjectivité en tant qu’appareil neuronique soumis au principe de plaisir et au principe de réalité (processus primaire et processus secondaire), n’a jamais varié sur ce point: les émotions masquent au sujet la vérité de son désir, là où se joue le théâtre vrai qui déroule les fils de sa destinée.
Toutes les émotions sont menteuses (sauf l’angoisse, qui est un affect qui ne ment pas...), qu’est ce que ça veut dire?
Laissons la parole à Lacan, dans L’éthique..: "Je dirai, le Chœur, ce sont les gens qui s’émeuvent.
Donc, regardez-y à deux fois avant de vous dire que c’est vos émotions qui sont en jeu dans cette purification.
Elles sont en jeu quant à la fin, à savoir que non seulement elles, mais bien d’autres, doivent être par quelque artifice apaisées, mais ce n’est pas pour autant qu’elles sont plus ou moins directement mises en jeu.
Elles y sont sans aucun doute, vous êtes là à l’état - en principe - de matière disponible, mais d’un autre côté aussi, de matière tout à fait indifférente.
Quand vous êtes le soir au théâtre, vous pensez à vos petites affaires, au stylo que vous avez perdu dans la journée et au chèque que vous aurez à signer le lendemain.
Ne nous faisons donc pas trop de crédit.
Vos émotions sont prises en charge dans une saine disposition de la scène.
C’est le Chœur qui s’en charge.
Le commentaire émotionnel est fait, c’est ce qui fait la plus grande chance de survie de la tragédie antique.
Il est fait, il est juste ce qu’il faut bêta, il n’est pas sans fermeté non plus, il est bien humain.
Vous êtes donc délivrés de tous soucis."
Et encore:
"Quand Freud est en cours de son auto-analyse, il écrit, dans une courte lettre, la lettre 73 [lettre 144, 31 Oct. 1897, p. 349, PUF 2006.] :
«Meine Analyse geht weiter. Mon analyse se poursuit, elle reste mon intérêt principal. Tout en restant encore obscurs,
certains problèmes appellent, mais le problème dont il s’agit met là-dessus quelque chose, un sentiment de confortable.
C’est - dit-il - comme si on avait à prendre, à puiser dans une chambre à provision, et à en tirer des choses, ce dont on a besoin.
Le désagréable - dit-il - ce sont die Stimmungen».
[À savoir les états - au sens le plus général que nous pouvons donner à ce mot qui a sa résonance spéciale en allemand - les états d’humeur.
Il s’agit à proprement parler des sentiments, des états de sentiment qui de leur nature, essentiellement, couvrent, cachent - quoi ? - die Wirklichkeit, la réalité.
C’est en termes d’interrogation sur cette Wirklichkeit, sur cette réalité, que Freud interroge
ce qui se présente à lui comme Stimmung.
Et la Stimmung, de par sa nature, est ce qui lui dévoile ce ce qu’il a là dans son auto-analyse à chercher."
Le recours aux émotions laisse croire à une vérité d’ordre supérieur qui serait contenue dans la spontanéité, associée à l’authenticité, qui prendrait le pas sur la réflexion et sur la pensée, or ce qui dans nos sociétés infantilisées, se couvre sous le nom trompeur de "spontanéité" n'est en vérité rien d'autre que la propension infantile à se laisser aller à ses impulsions immédiates...
Pour Kant, "se laisser aller à ses impulsions immédiates" est l'indice que nous ne sommes pas libres mais enchaînés au lien causal qui nous relie à la chaîne des causes et des effets.
La spontanéité authentique, telle qu'elle fut redéfinie par l'idéalisme allemand, ne peut pas avoir lieu sans un moment de réflexivité: ce qui semble me venir de l'extérieur ne me détermine que dans la mesure où je l'aurai toujours déjà fait mien, autrement dit les raisons externes (les prétextes à mes actes) ne comptent que si je les "accepte déjà comme miennes", ainsi la détermination de mon sujet par autre chose (cause), que je présente comme extérieure («ce n’est pas de ma faute,,,») est toujours déjà une autodétermination de mon sujet lui-même.
C'est ainsi que toute référence à ma nature immédiate («je suis comme ça, qu'y puis-je...».) est fausse, mon rapport à mes propres impulsions ne me détermine que dans la mesure où je les ai déjà reconnues comme miennes, où je les assume comme miennes, voilà pourquoi je suis entièrement responsable de mes actes (et de mes paroles) même si je ne peux jamais en connaître, à l'avance, les conséquences...
Les émotions, comme les sensations, les sentiments, les affects, les perceptions... restent donc à interpréter, de la même manière qu’on interprète un rêve, grâce aux procédés mis à jour par Freud du déplacement, de la condensation, de l’inversion, car si les «émotions» nous trompent, c’est en nous masquant la réalité en tant que Wirklichkeit, en constituant une échappatoire commode, rationnalisante et cependant imaginaire, de ce qui est réellement en jeu à ce moment-là dans le Symbolique, la logique des pensées qui s’enchaînent dans l’inconscient...
Si l'esclavage antique tenait sa main d’œuvre avec de vraies chaînes, le servage avec l'impossibilité d’accéder à la propriété, la "démocratie" du capitalisme de la bien-pensance tient son peuple à l’aide de ses propres "émotions", car l'émotion est aujourd’hui la plus sûre garantie contre la pensée de l’inconscient...
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