#Universalité.
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coursdefrancais · 1 year ago
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yod-studio · 2 months ago
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🗒 [#InstantQuote]
Citation philosophique !
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lebasempire · 10 months ago
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De la dignité
La psychologie positive, le développement personnel, le coaching de vie et autres fariboles du vaste monde du bonheur en kit, bras armé du capitalisme le plus débridé, n'ont pour seule injonction que le "tu peux être heureux" ! Répété comme un mantra puisant ses sources dans la méthode coué elle n'en reste pas moins qu'une chimère dangereuse. Chimère car il est vain de croire que le bonheur (si tant est qu'il peut exister de façon durable) ne peut dépendre que de nous, oubliant par là même les structures sociales, politiques, culturelles et économiques à l'oeuvre, qui façonnent de manière non négligeable nos expériences de vie. Dangereuse car à se préoccuper de notre seul nombril, oubliant de contester les injustices, de lutter contre les tyrannies nous délaissons la sphère politique et permettons toutes les dérives. Logique ! Si le bonheur ne dépend que de nous, à quoi bon s'échiner contre les oppressions ?
Aux prises avec ce "problème" depuis des années c'est finalement la lecture d'Emmanuel Kant qui met à mon avis le coup de grâce à ces sphères du "happiness" comme on les appelle, laissant finalement à la philosophie la plus authentique le soin de déconstruire en un trait de plume des décennies d'impostures à la mode zenitude. Loin de délaisser la question du bonheur qu'il juge quasiment impossible à atteindre Kant nous invite à "faire ce qui rend digne d'être heureux". Par ce seul mot, "digne", Kant réhabilite toute la majesté à ce que "heureux" peut signifier potentiellement. Le développement personnel aura ainsi omis un pan tout entier de la dimension humaine: la morale. Sans morale, et je ne parle pas ici du mot dans sa dimension moralisante du "c'est pas bien" mais au sens kantien, à savoir "ce qui doit être fait", c'est le risque de voir toute la civilisation, le vivre ensemble des Hommes, s'étioler et sombrer. Il n'y a de moral, d'après Kant, que l'acte qui vise l'universel. Un projet bien plus vaste et épanouissant, au demeurant, que les élucubrations bien planes des théories du bonheur.
Romain Ferrara
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padrebaldo · 1 year ago
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Pourquoi Jésus fait-il tomber son mur et son refus d'aider la femme cananéenne seulement après la 3ème phrase ? Pourquoi Jésus n'a-t-il pas chassé le diable de sa fille mais elle l'a chassé selon son désir ? Pourquoi les disciples ne veulent-ils pas que Jésus l'entende ? Quelle leçon l'Evangile nous donne-t-il ? Y a-t-il un salut pour les païens qui ne sont pas dans l'Église ? Doivent-ils se convertir à Jésus pour être sauvés ?
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dixvinsblog · 1 year ago
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" L'au delà " : comprendre l'universalité des peuples " Carmen montet
L’au-delà et l’origine du monde  Tous les peuples de la terre croient aux mêmes choses, ont construit les mêmes monuments gigantesques, menhirs dolmens, pyramides… ont les mêmes rites, partagent les mêmes angoisses, besoins. Surprenant ?  Non !  I)  Un Dieu ou les Dieux pour tous ! Après avoir parcouru de nombreux ouvrages de nombreuses civilisations antiques, après des recherches ces…
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aurevoirmonty · 1 month ago
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« La "catholicité", ou universalité chrétienne, n’est qu’un synonyme de vulgarité. La haine des premiers chrétiens pour la sagesse, la science et la moralité des classes païennes supérieures a le même sens que la haine bolchévique pour les "intellectuels". Cette intolérance démagogique se perpétue à travers le dogme qui identifie la morale supérieure à une morale diabolique, faisant du type de l’initié et du magicien un "ennemi de Dieu" et marquant les qualités d’autosuffisance, de calme et de force consciente pour la réalisation de soi du stigmate de l’orgueil luciférien, de la tentation satanique.
C’est la même signification, la même volonté obscure, dans le domaine spirituel, que celle qui, dans le domaine pratique, a engendré le mal démocratique et le despotisme collectif des sociétés européennes. »
Julius Evola
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lounesdarbois · 9 months ago
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Avec sa gamme de vêtements de sport et sa gamme de vêtements de ville, Lacoste est la seule firme qui ait le potentiel de concurrencer les marques italiennes de sport d’un côté, et les marques anglo-saxonnes de ville de l’autre côté. Lacoste est la seule firme qui détienne en propre le savoir-faire des deux branches complémentaires du casual, le casual-sport et le casual-chic, totalité que les italiens et les anglo-américains maîtrisent de manière parcellaire. En effet un client a le choix entre le vêtement de sport italien de Sergio Tacchini, Fila, Ellesse, Diadora, CP Company… ou le style anglais smart de Fred Perry, Hackett, Ben Sherman, Barbour, Aquascutum, Hilfiger et Façonnable. Mais c’est l’un ou l’autre. Ellesse ne produit pas d’imperméables et Barbour ne produit pas de survêtement. Cette continuité du casual n’est disponible que chez Lacoste dont le catalogue couvre l’intégralité du spectre casual. On pourra objecter que Fred Perry couvre aussi tout le panel, du survêtement au butcher coat. Vrai. Toutefois la marque Fred Perry, issue du mouvement skin, très ancrée dans les sous-cultures du rock, n’a jamais réussi à englober les nouveaux publics rap émergeant à partir des années 90. Seul Lacoste a su le faire et vendre tant à Dave Hewitson qu’à Clint Eastwood, à Damon Albarn qu’à Arsenik, mais encore à Jacques Chirac, à Richard Nixon, à Michel Audiard, à Hunter S. Thompson, à Dominique Venner, Marcel Bigeard, Lino Ventura, Bourvil, Liam Gallagher… En 1995, on pouvait voir les fameux survêtements portés tant par les personnages du film La Haine que par Jean-Marie Le Pen.
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Lacoste est porté par des notaires et par des dealers, par des hipsters et par des hooligans, par des yuppies et des tradis, par des enfants et des patriarches. Lacoste est plébiscité dans le monde mais sous-évalué dans son propre pays, paradoxe typique d’une universalité toute française dont d’autres gloires nationales ont souffert dans le passé : la diplomatie parallèle de Philippe Berthelot, les intuitions algébriques de Poincaré, les principes économiques de Frédéric Bastiat et de Pierre-Joseph Proudhon, les trucages graphiques de Georges Méliès… nul n’est prophète en son pays.
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raisongardee · 1 year ago
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"Les droits de l’homme sont un concept selon lequel tout être humain possède des droits universels et inaliénables, quelle que soit sa nationalité, son ethnie ou sa religion. Ces droits, qui visent à protéger la dignité de l’individu, sont opposables en toutes circonstances à la société et à l’Etat. Mais l’origine, la validité et le contenu des droits de l’homme sont un sujet permanent de débats. Les personnalités et les auteurs les plus divers, Bentham, Burke, Marx, ou les papes qui précédèrent Jean XXIII et Paul VI, pour ne citer qu’eux, ont souligné leur caractère spécieux, irréalisable, contradictoire, ethnocentrique et utopique. Des légions d’historiens, de théologiens et de philosophes du droit ont critiqué leur prétendue universalité et leur caractère idéologique. Ils ont montré que, sous couvert d’accorder à tous des satisfactions infinies, le système joue exclusivement pour l’avantage de quelques-uns."
Arnaud Imatz, Résister au dénialisme en histoire. Jalons pour un savoir non contaminé par l’idéologie mondialiste, 2022.
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codumofr · 4 months ago
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Globe Terrestre du bijoutier Erik August Kollin (1836-1901) datant de 1896. Erik August Kollin travaillera pour la maison Russe de Fabergé à Saint-Petersbourg et sera spécialisé dans la fabrication d'articles et d'objets faits en or et en argent pour ses derniers. L'histoire du globe terrestre est assez vaste et daterait de l'antiquité avec la mention de ses derniers par Strabon (An -60 à An -20) et par Ptolémée (An 100 à An 168). Toutefois, seul un globe de Martin Behaim de 51cm de diamètre et qui sera nommé "Erdapfel", il sera réalisé à Nuremberg en 1492, année de la découverte de l'Amérique qui, ainsi, ne représentera pas ce continent et ne représentera pas l'Australie. C'est en 1507 que les cartes de Waldseemüller seront adapté aux besoins des fabricants de globes grâce à l'imprimerie. Jusqu'à Waldseemüller, les globes seront toujours faits à la main, peints et unique. Elles seront aussi les premières à porter l'inscription "America". Vient ensuite le Globus Jagellonicus daté de 1510 et qui est actuellement exposé dans les locaux du Collegium Maius de l'université de Kagellone à Cracovie. Le nombre de globes commercialisé à cette période sera important, surtout aux Pays-Bas, mais malheureusement, aujourd'hui, il ne nous en reste aucun exemplaire. Les globes terrestres imprimés les plus anciens nous étant parvenus sont les productions du néerlandais Gemma Frisius (1508-1555). Nous pouvons aussi nommé Gerard Mercator qui travaillera sur la gravure des globes de 1536 à 1537.
Le Globe est donc connu depuis plusieurs millénaires, au point que l'Empereur Auguste (An -27 à l'An 19) fera du globe terrestre un symbole impérial. Ils seront un symbole et des roi, lorsqu'ils s'attribueront l'image de globe, auront une image d'apothéose et de la délégation du pouvoir divin sur terre, ainsi, une image de glorification et de divinité du roi et de son règne. Sa symbolique change à partir du XVIe siècle, époque de guerre de religion, le globe sera associé à l'instabilité du monde et ça sera un renvoi de l'image de la folie du monde qui donnera l'expression "Le monde à l'envers". La Renaissance sera un vecteur des nouvelles connaissances astronomiques et géographiques tout en devenant un symbole du savoir érudit. Il représentera toutefois la vanité du monde et des accomplissements humains, connu pour leurs caractères éphémères. De notre jour, il est vu comme universalité et mondialisation, expansion mondiale de l'économies et des entreprisses ainsi qu'une diffusion planétaire des connaissances et autre.
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detournementsmineurs · 2 years ago
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Le résistant communiste et d'origine arménienne de la Seconde Guerre Mondiale Missak Manouchian (1906-1944) et son épouse Mélinée (1913-1989) entreront au Panthéon l'année prochaine pour exprimer une certaine universalité de la résistance républicaine ^^)
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jloisse · 2 years ago
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Les peuples européens ont édifié une civilisation unique dans l'histoire. Son pouvoir créateur, malgré les millénaires, ne s'est pas tari. Ceux-là mêmes qui s'en déclarent ennemis reconnaissent implicitement son universalité.
Dominique Venner - Pour une critique positive.
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mmepastel · 2 years ago
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Cette chronique va sûrement être confuse.
Et pourtant ce roman est limpide, d’une beauté grave et intemporelle.
Mais le fait est que je ne connaissais quasiment rien du Sri Lanka dont il est question puisque le jeune romancier est originaire de ce pays complexe, récemment ravagé par une guerre civile meurtrière.
En fait, c’est le style qui m’a happée et envoûtée. J’ai lu les premières pages et j’étais cuite. C’est étrange car j’ai ressenti de l’admiration mais aussi une forme de surprise bête : quoi ? Dans l’Asie profonde on peut écrire comme Proust ? Terrible constat de ma naïveté occidentale, de mon autocentrisme suffisant. On est si ignorant du lointain. J’ai en effet, à ma plus grande honte, été surprise de la qualité de pensée et d’écriture de ce jeune homme sri lankais, uniquement par ignorance.
Son livre est somptueux. Ne vous fiez pas au résumé rébarbatif de l’éditeur. Le roman a une beauté spirituelle et sensible qui transcendent toute narration. Oui, il s’agit d’une histoire de deuils. Deuil de la jeunesse, deuil de milliers de sri lankais lors de la guerre civile (dont les motifs profonds m’échappent), deuil de Rani, une vieille dame traumatisée par le deuil de ses deux fils et qui s’était occupée de la grand-mère quasi sénile de Krishan, le narrateur. Deuil d’un amour aussi, tumultueux et incandescent, de Krishan et de Anjum.
Krishan, au fond, souffre du symptôme du survivant. Il a survécu à la guerre civile, il en était même assez éloigné, parfois géographiquement. Faisant des études en Inde ou vivant ses débuts amoureux, il n’avait qu’internet pour connaître ce qui se passait au nord de l’île, des violences ignobles des cinghalais qui décimaient son peuple, les Tamouls. Il se sentait coupable d’être ainsi épargné. A travers la figure de Rani, vieille dame croisée dans un hôpital psychiatrique recrutée pour s’occuper de sa grand-mère vieillissante, il fait la rencontre réelle de la souffrance concrète. Or celle-ci meurt -étrangement- à son tour, le voilà en route pour ses obsèques, au nord du pays, là où les conflits ont été les plus sévères. En allant sur ces lieux, solitaire, il revoit son passé récent, sa passion interrompue pour Anjun, activiste, et ses rêves. Dans une prose mesurée et infiniment subtile, Anuk Arudpragasam fait le récit de sa pensée, complexe et tortueuse, qui revoit les événements du passé à l’aune de ce décès inattendu et de ces fins non souhaitées. Il revisite son rapport au mythe bouddhiste, et réfléchit avec philosophie à la formation de sa personnalité et de sa sensibilité. Il raconte son amour pour la belle et indépendante Anjum, son affection impuissante pour Rani, sa culpabilité permanente.
La faculté de l’auteur pour être sensible, subtil, profond, pour embrasser cas individuel et universalité m’a évoqué Proust. Il me semble qu’il y a quelque chose de commun dans la grandeur du livre, dans sa capacité à parler à n’importe quel humain doué du pouvoir d’introspection. Son voyage vers le nord (en train - je me souviens avec émotion des pages de Proust sur les voyages en train) est tout autant géographique (retour vers le coeur du conflit) qu’intérieur. Une maturation accélérée en somme ; et les funérailles de Rani, au bout du voyage, prennent l’allure d’expiation au regard d’un conflit auquel il lui semble avoir injustement échappé. Être là pour Rani, c’est être là pour toutes les victimes tamoules, c’est effectuer son devoir de mémoire, intimement et collectivement.
Un très grand livre.
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aramielles · 2 years ago
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Quand Proust a écrit :
Et tandis que la vue purement charnelle qu'il avait eue de cette femme, en renouvelant perpétuellement ses doutes sur la qualité de son visage, de son corps, de toute sa beauté, affaiblissait son amour, ces doutes furent détruits, cet amour assuré quand il eut à la place pour base les données d'une esthétique certaine; sans compter que le baiser et la possession qui semblaient naturels et médiocres s'ils lui étaient accordés par une chair abîmée, venant couronner l’adoration d'une pièce de musée, lui parurent devoir être surnaturels et délicieux.
Mais quand elle lisait dans les Lettres ces mots : « ma fille », elle croyait entendre sa mère lui parler.
Il avait dû être bien beau en ces dernières heures. Lui qui toujours dans cette vie avait semblé, même assis, même marchant dans un salon, contenir l’élan d’une charge, en dissimulant d’un sourire la volonté indomptable qu’il y avait dans sa tête triangulaire, enfin il avait changé.
D’ailleurs, que nous occupions une place sans cesse accrue dans le Temps, tout le monde le sent, et cette universalité ne pouvait que me réjouir puisque c’est la vérité, la vérité soupçonnée par chacun, que je devais chercher à élucider. Non seulement tout le monde sent que nous occupons une place dans le Temps, mais cette place, le plus simple la mesure approximativement comme il mesurerait celle que nous occupons dans l’espace, puisque des gens sans perspicacité spéciale, voyant deux hommes qu’ils ne connaissent pas, tous deux à moustaches noires ou tout rasés, disent que ce sont deux hommes l’un d’une vingtaine, l’autre d’une quarantaine d’années.
Quand elle avait tinté j’existais déjà, et depuis pour que j’entendisse encore ce tintentement, il fallait qu’il n’y eût pas eu discontinuité, que je n’eusse pas un instant cessé, pris le repos de ne pas exister, de ne pas penser, de ne pas avoir conscience de moi, puisque cet instant ancien tenait encore à moi, que je pouvais encore le retrouver en moi. Et c’est parce qu’ils contiennent ainsi les heures du passé que les corps humains peuvent faire tant de mal à ceux qui les aiment, parce qu’ils contiennent tant de souvenirs de joie et de désirs déjà effacés pour eux, mais de si cruels pour celui qui contemple et prolonge dans l’ordre du temps le corps chéri dont il est jaloux, jaloux jusqu’à en souhaiter la destruction.
Et quand Stendhal a écrit :
Je deviens fou et injuste, se dit Julien en se frappant le front. Je suis isolé ici dans ce cachot ; mais je n’ai pas vécu isolé sur la terre ; j’avais la puissante idée du devoir. Le devoir que je m’étais prescrit, à tort ou à raison… a été comme le tronc d’un arbre solide auquel je m’appuyais pendant l’orage ; je vacillais, j’étais agité. Après tout, je n’étais qu’un homme… mais je n’étais pas emporté.
Et quand Tchekov a écrit :
Dans deux ou trois cents ans la vie sur la terre sera inimaginablement belle, étonnante. L’homme a besoin de cette vie-là et si elle n’existe pas encore, il doit la pressentir, l’attendre, y rêver, se préparer à la recevoir, et pour cela, voir et connaître plus que n’ont vu et connu son grand-père et père.
Quand vous verrez Trigorine, ne lui dites rien. Je l’aime. Je l’aime même plus fort qu’avant… Sujet pour un petit conte… Je l’aime, je l’aime passionnément, je l’aime jusqu’au désespoir.
Et quans Frank Wesekind a écrit :
… et si quelque jour je deviens un vieil homme à cheveux gris, alors, peut-être, tu me seras plus proche encore qu’autour de moi tous les vivants.
Maintenant je suis assis, la tête sous le bras. La lune couvre son visage, reparaît sans voile, sans être un grain plus sage. Et puis je m’en retourne à ma petite place, redresser ma croix que cet insensé, étourdiment, m’a piétinée, et quand tout est dans l’ordre, je me recouche sur le dos, je me réchauffe à la pourriture, je souris.
Et quand Byron a écrit :
My breast has been all weakness, is so yet;
But still I think I can collect my mind;
My blood still rushes where my spirit 's set,
As roll the waves before the settled wind;
My heart is feminine, nor can forget—
To all, except one image, madly blind;
So shakes the needle, and so stands the pole,
As vibrates my fond heart to my fix'd soul.
Which best is to encounter, ghost or none,
'Twere difficult to say, but Juan looked
As if he had combated with more than one,
Being wan and worn, with eyes that hardly brooked
The light that through the Gothic windows shone.
Her Grace too had a sort of air rebuked,
Seemed pale and shivered, as if she had kept
A vigil or dreamt rather more than slept.
Et quand Jane Austen a écrit :
You pierce my soul. I am half agony, half hope… I have loved none but you. Tell me not that I am too late, that such precious feelings are gone for ever. I offer myself to you again with a heart even more your own than when you almost broke it, eight years and a half ago.
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christophe76460 · 2 days ago
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La justification par la foi est un concept central dans la théologie chrétienne, particulièrement développé par l'apôtre Paul. Cela signifie que nous sommes déclarés justes aux yeux de Dieu, non pas en raison de nos bonnes œuvres ou de notre obéissance à la loi, mais par la foi que nous plaçons en Jésus-Christ.
A retenir :
* Grâce divine : La justification est un don gratuit de Dieu, une expression de sa grâce envers l'humanité pécheresse.
* Foi en Christ : La foi en Jésus-Christ comme Sauveur est le seul moyen d'obtenir cette justification.
* Mort et résurrection de Jésus : C'est par la mort et la résurrection de Jésus que la réconciliation entre Dieu et l'humanité a été rendue possible.
* Nouvelle vie : Être justifié, c'est être introduit dans une nouvelle vie, une vie en communion avec Dieu.
Implications de ce concept :
* Universalité du salut : Tous les êtres humains, quelles que soient leurs origines ou leurs œuvres, peuvent être sauvés par la foi en Jésus-Christ.
* Transformation personnelle : La justification par la foi entraîne une transformation profonde de la vie du croyant, qui est appelé à vivre conformément à la nouvelle vie qu'il a reçue.
* Importance de l'Église : L'Église est le lieu où les croyants expriment leur foi et vivent ensemble en communauté.
En résumé :
La justification par la foi est un concept qui souligne la souveraineté de Dieu dans le salut et l'importance de la relation personnelle avec Jésus-Christ. Elle offre une perspective libératrice et encourageante sur la condition humaine.
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sneakersculture · 8 days ago
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Du mouvement pour la distribution US de Reebok
Depuis son départ du giron de adidas, Reebok cherche encore le bon modèle pour son développement. Et Authentic Brand, qui a racheté la marque, vient de choisir un nouveau distributeur aux États-Unis. Galaxy Universal comme nouveau distributeur Et ce sera donc Galaxy Universalité, qui distribue déjà les marques Tony Hawkbet surtout And1, qui va se charger de distribuer Reebok aux…
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actu-juridique · 2 months ago
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La civilisation des procédures civiles d’exécution : universalité ou variabilité ?
https://justifiable.fr/?p=1278 https://justifiable.fr/?p=1278 #civiles #civilisation #des #dexécution #procédures #universalité #variabilité Présentation Organisées par les pouvoirs publics, destinées à rendre concret, à sécuriser et réaliser le droit du créancier, manifestation de l’imperium, glaive ultime frappant le débiteur, les procédures civiles d’exécution constituent par nature une discipline intimement liée au Droit des obligations, à la procédure civile ou encore au Droit des sûretés. Elles s’arriment également sur la discipline qui régit la créance à exécuter. C’est ainsi que certaines procédures civiles d’exécution restent encore abritées par le Code régissant la créance (Code du travail, Code de la propriété intellectuelle, Code des transports…). Indéniablement, consubstantiellement, le Droit des procédures civiles d’exécution d’une part se nourrit, d’autre part constitue le prolongement des Droits substantiels. Par ailleurs, le tournant pris par le Droit des procédures civiles d’exécution à partir de la réforme du 9 juillet 1991 a permis de mettre en exergue l’idée de civilisation, caractérisant la matière de manière pleinement originale. « C’est la recherche d’un juste équilibre qui peut être qualifiée de civilisation. Pourquoi ? Car la civilisation est une notion consubstantielle à l’idée de progrès pour tous. Rapportée à l’exécution forcée, elle implique la prise en considération non seulement des intérêts du débiteur par une humanisation des procédures, mais aussi de ceux du créancier par un renforcement de leur efficacité. La civilisation peut ainsi se concevoir, en la matière, comme une équation mettant en balance ces deux exigences opposées mais non irréductibles, qu’il faut soigneusement soupeser à tous les stades de la procédure pour trouver le juste équilibre recherché ». Derrière le glaive, demeure ainsi toujours la balance mais une balance normative et non judiciaire. La civilisation des procédures civiles d’exécution est un phénomène indéniable, facteur tant de paix sociale que de développement du crédit et donc de l’économie. Il reste à savoir comment ce trait saillant contemporain s’intègre au caractère par nature perméable des procédures civiles d’exécution aux autres Droits. La montée en puissance des droits fondamentaux (garantis par la Constitution et par la ConvEDH) est-elle de nature à conforter le phénomène de civilisation ou au contraire à l’éroder ? Par ailleurs, le subtil équilibre à trouver par le Droit des procédures civiles d’exécution est-il influencé par la discipline régissant la créance à exécuter ? Ce juste équilibre existe-t-il de manière générale, pour toutes les procédures civiles d’exécution ? S’il existe, n’est-il pas tout de même variable ? Selon les disciplines traversées par le Droit des procédures civiles d’exécution, le curseur est-il orienté tantôt plus vers l’efficacité de la procédure, au service du créancier tantôt plus vers la sauvegarde des droits du débiteur ? En bref, la civilisation des procédures civiles d’exécution est-elle renforcée par l’interaction avec certaines branches du droit, atténuée par l’interaction avec d’autres ? C’est ce que le présent Colloque ambitionne de découvrir, en confrontant les procédures civiles d’exécution instaurées à d’autres branches du Droit. L »idée de civilisation des procédures civiles d’exécution avait été défendue par le professeur Philippe Hoonakker en ces termes : « C’est la recherche d’un juste équilibre qui peut être qualifiée de civilisation. Pourquoi ? Car la civilisation est une notion consubstantielle à l’idée de progrès pour tous. Rapportée à l’exécution forcée, elle implique la prise en considération non seulement des intérêts du débiteur par une humanisation des procédures, mais aussi de ceux du créancier par un renforcement de leur efficacité. La civilisation peut ainsi se concevoir, en la matière, comme une équation mettant en balance ces deux exigences opposées mais non irréductibles, qu’il faut soigneusement soupeser à tous les stades de la procédure pour trouver le juste équilibre recherché ». L’objectif de ce colloque est de vérifier si la civilisation des procédures civiles d’exécution se trouve renforcée par l’interaction avec certaines branches du droit ou atténuée par l’interaction avec d’autres dans la recherche d’un équilibre entre des intérêts antagonistes. La civilisation des procédures civiles d’exécution : universalité ou variabilité ? Une approche combinée droit de l’exécution et droits substantiels.   Programme 8h45 | Accueil des participants 9h00 | Discours institutionnels 9h10 | Propos introductifs : l’idée de civilisation des voies d’exécutionSâmi Hazoug, Nathalie Pierre, Sylvie Pierre-Maurice   Présidence : Natalie Fricero, Professeure des Universités, membre du Conseil national de la médiation, ancien membre du Conseil supérieur de la magistrature   Premier champ de réflexions : La civilisation des procédures civiles d’exécution est-elle influencée par l’environnement juridique ? L’environnement spatial 9h30 | Voies d’exécution et droit localSâmi Hazoug, Maître de conférences, Université de Franche-Comté   L’environnement supralégal 10h00 | Voies d’exécution et CEDHNatalie Fricero, Professeure des Universités, Université de Nice-Côte d’Azur 10h30 | Voies d’exécution et droit constitutionnelGuillaume Payan, Professeur des Universités, Université de Toulon 11h00-11h15 | Pause-café   Second champ de réflexions : La civilisation des procédures civiles d’exécution est-elle influencée par les droits substantiels régissant la créance ? Les droits substantiels dérogatoires au droit commun en raison de la personne assujettie 11h15 | Voies d’exécution et droit publicNicolas Chifflot, Professeur des Universités, Université de Strasbourg 11h45 | Voies d’exécution et droit de la consommationJean-Denis Pellier, Professeur des Universités, Université de Rouen 12h15 | Discussion avec la salle 12h35 | Pause déjeuner     Présidence : Guillaume Payan, Professeur des Universités, Université de Toulon Poursuite du second champ de réflexions : La civilisation des procédures civiles d’exécution est-elle influencée par les droits substantiels régissant la créance ? 14h30 | Voies d’exécution et procédures collectivesChristine Lebel, Maître de conférences-HDR, Université de Franche-Comté 15h | Voies d’exécution et droit de la copropriété et du bailNathalie Pierre, Maître de conférences, Université de Grenoble-Alpes 15h30 | Voies d’exécution et droit de la familleCatherine Tirvaudey, Professeure des Universités, Université de Franche-Comté 16h | Discussion avec la salle 16h15 | Pause-café 16h30 | Propos conclusifsSylvie Pierre-Maurice, Maître de conférences-HDR, Université de Strasbourg 17h | Fin du colloque Colloque organisé à la Faculté de droit de Strasbourg, sous la direction de Sâmi Hazoug, Nathalie Pierre et Sylvie Pierre-Maurice. Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
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