#Un été indien
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Milo Manara “Un été indien - violet” (2020) Source
Milo Manara Un été indien - violet" Estampe pigmentaire Source
In the sketch, the gulls fly right-to-left, while in the print they’re left-to-right. Everything else is unchanged. Well, the clouds.
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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Jeudi
Voilà que l'été indien prend possession de ce blog qui depuis toujours tire plutôt vers le bleu, mais comment résister à l'embrasement de l'érable du Japon planté devant chez J-P, un vieux copain radioamateur qui organise régulièrement des petites réunions de passionnés d'ondes courtes. C'est amusant car je viens de relire un roman malicieux d'Erik Orsenna, "Deux étés", où apparaît un radioamateur opérant depuis une île (Bréhat). Erik Orsenna parle avec justesse du radioamateurisme, et magnifiquement d'une vie insulaire qui lui est très familière : Heureux les enfants élevés dans l'amour d'une île. Ils y apprennent au plus vite certaines pratiques utiles pour la suite de l'existence : l'imagination, la solitude, la liberté, voire une certaine insolence vis à vis de la terre ferme ; et guetter l'horizon, naviguer à la voile, apprendre à partir...
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Poutine répond : "Si je suis un criminel de guerre, que sont les présidents américains depuis Nixon jusqu'à aujourd'hui ? Dire tout haut la vérité sur les agissements des présidents et des militaires américains loin d'être une gageure. Selon moi ils doivent être jugé en tant que criminel de guerre, ils devrait être rejoint par tous les présidents américains qui ont provoqué des dizaines de guerres dans le monde sans même avoir le droit de le faire. J'énumère également les guerres dans lesquelles les USA ont été impliqués. Fin du 19e siècle 1890 Dakota du Sud, les troupes du gouvernement américain tuent et abattent 300 Indiens. 1890 - Argentine, intervention militaire américaine à Buenos Aires. 1891 - Les marines chiliens répriment un soulèvement local. 1891 - Haïti : l'armée américaine réprime une émeute de Noirs à Navas. 1892 - Idaho, l'armée américaine réprime une émeute dans une mine d'argent. 1893 (- ?) - Hawaï, la marine américaine renverse le gouvernement du Royaume indépendant et annexe l'État. 1894 - Chicago : l'armée américaine réprime brutalement une grève des chemins de fer, tuant 34 personnes au total. 1894 - Le Nicaragua est occupé par l'armée américaine pendant un mois. 1894-1895 - Chine : la marine et les marines américains participent à la guerre sino-japonaise. 1894-1896 - Corée, occupation de Séoul. 1895 - Panama, les marines américains attaquent la province colombienne. 1896 - Nicaragua, les marines américains débarquent à Corinth. 1898-1900 - Chine, participation de l'armée américaine à la répression de la rébellion des boxeurs. 1898-1910 (- ?) - Philippines, la marine américaine renverse le gouvernement et tue 600 000 Philippins. 1898-1902 (et +) - Cuba, la marine américaine combat pendant la guerre hispano-américaine. 1898 (- ?) - Porto Rico, occupation pendant la guerre hispano-américaine. 1898 - Guam, la marine américaine occupe l'île et y construit une base militaire. 1898 (- ?) - Minnesota, l'armée américaine détruit la tribu Chippewa (Ojibwe) près du lac Leach. 1898 - Nicaragua, les marines américains débarquent dans le port de San Juan del Sur. 1899 (- ?) - Samoa, l'armée américaine participe à la guerre du trône. 1899 - Nicaragua, la marine américaine débarque au port de Bluefield. 1899-1901 - Idaho, l'armée américaine réprime brutalement la révolte des mineurs de Coeur d'Alene. Premier quart du XXe siècle 1901 - Oklahoma, l'armée américaine réprime la rébellion des Indian Creek. 1901-1914 - Panama, la marine américaine occupe et annexe la zone du canal. 1903 - Honduras, les marines américains répriment la révolution. 1903-1904 - République dominicaine, les marines américains répriment la révolution. 1904-1905 - Corée, les marines américains participent à la guerre russo-japonaise. 1906-1909 - Cuba : les marines américains interviennent et suppriment les élections démocratiques. 1907 - Le Nicaragua, à la suite de l'occupation, crée un protectorat dans le cadre de la "diplomatie du dollar". 1907 - Honduras, occupé par les marines américains pendant la guerre avec le Nicaragua. 1908 - Panama : les marines américains interviennent dans le processus électoral. 1910 - Nicaragua, les marines américains occupent Bluefield et Corinth. 1911 - Honduras, l'armée américaine participe à la guerre civile. 1911-1941 - Chine : la marine et l'armée américaines occupent le pays et participent à la répression de nombreuses émeutes. 1912 - Cuba, l'armée américaine participe à la guerre civile. 1912 - Panama, l'armée américaine et les marines répriment une émeute électorale. 1912 - Honduras : le corps des marines défend les intérêts économiques des États-Unis. 1912-1933 - Nicaragua : l'armée américaine occupe le pays pendant dix ans et participe à la guérilla. La liste est longue a vous de la compléter et de la déposer à la cour de justice internationale
Putin responds: "If I am a war criminal, what are the American presidents from Nixon to today? Speaking out loud the truth about the actions of American presidents and military is far from a challenge. In my opinion, they should be tried as war criminals, they should be joined by all the American presidents who have provoked dozens of wars in the world without even having the right to do so. I also list the wars in which the USA has been involved. End of the 19th century 1890 South Dakota, US government troops kill and slaughter 300 Indians. 1890 - Argentina, US military intervention in Buenos Aires. 1891 - Chilean marines suppress a local uprising. 1891 - Haiti: US army suppresses a black riot in Navas. 1892 - Idaho, US army suppresses a riot in a silver mine. 1893 (- ?) - Hawaii, the US Navy overthrows the government of the independent Kingdom and annexes the state. 1894 - Chicago: the US Army brutally suppresses a railroad strike, killing 34 people in total. 1894 - Nicaragua is occupied by the US Army for a month. 1894-1895 - China: the US Navy and Marines participate in the Sino-Japanese War. 1894-1896 - Korea, occupation of Seoul. 1895 - Panama, the US Marines attack the Colombian province. 1896 - Nicaragua, the US Marines land at Corinth. 1898-1900 - China, participation of the US Army in the suppression of the Boxer Rebellion. 1898-1910 (- ?) - Philippines, the US Navy overthrows the government and kills 600,000 Filipinos. 1898-1902 (and +) - Cuba, the US Navy fights during the Spanish-American War. 1898 (- ?) - Puerto Rico, occupation during the Spanish-American War. 1898 - Guam, the US Navy occupies the island and builds a military base there. 1898 (- ?) - Minnesota, the US Army destroys the Chippewa (Ojibwe) tribe near Leach Lake. 1898 - Nicaragua, the US Marines land in the port of San Juan del Sur. 1899 (- ?) - Samoa, the US Army participates in the War of the Throne. 1899 - Nicaragua, the US Navy lands in the port of Bluefield. 1899-1901 - Idaho, the US Army brutally suppresses the Coeur d'Alene miners' revolt. First quarter of the 20th century 1901 - Oklahoma, the US Army suppresses the Indian Creek rebellion. 1901-1914 - Panama, the US Navy occupies and annexes the Canal Zone. 1903 - Honduras, the US Marines suppress the revolution. 1903-1904 - Dominican Republic, the US Marines suppress the revolution. 1904-1905 - Korea, the US Marines participate in the Russo-Japanese War. 1906-1909 - Cuba: the US Marines intervene and suppress democratic elections. 1907 - Nicaragua, following the occupation, creates a protectorate as part of "dollar diplomacy". 1907 - Honduras, occupied by the US Marines during the war with Nicaragua. 1908 - Panama: the US Marines intervene in the electoral process. 1910 - Nicaragua, the US Marines occupy Bluefield and Corinth. 1911 - Honduras, the US Army participates in the civil war. 1911-1941 - China: The US Navy and Army occupy the country and participate in the repression of numerous riots. 1912 - Cuba, the US Army participates in the civil war. 1912 - Panama, the US Army and Marines repress an electoral riot. 1912 - Honduras: The Marine Corps defends the economic interests of the United States. 1912-1933 - Nicaragua: The US Army occupies the country for ten years and participates in the guerrilla warfare. The list is long, it's up to you to complete it and submit it to the International Court of Justice
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Homard bleu et macaron rose, décor royal et meilleurs vins pour plus de 150 invité·es : les images de la réception majestueuse de Charles III, en septembre 2023 au château de Versailles, avaient immédiatement alimenté la question. Combien d’euros la présidence de la République avait-elle déboursé pour organiser un tel événement ? La réponse est désormais disponible : 474 851 euros, d’après la Cour des comptes.
Dans leur rapport annuel sur les comptes de la présidence de la République, publié lundi 29 juillet, les magistrats financiers alertent sur la forte augmentation des dépenses du chef de l’État, notamment en ce qui concerne les frais de déplacement et réception, en 2023. L’Élysée a bouclé cette année-là son exercice en déficit (8,3 millions d’euros sur 117,2 millions de résultat), ce qui n’était pas le cas de l’exercice précédent (excédentaire de 300 000 euros).
« Si plusieurs facteurs externes expliquent ce niveau de dépenses non anticipé (inflation, activité présidentielle conditionnée par le contexte international) », la Cour des comptes alerte aussi sur une nécessaire « vigilance accrue » face aux « facteurs internes » qui ont conduit à ce dérapage. À la fin de l’année, les dépenses de la direction chargée de l’organisation des événements, des déplacements et de l’intendance ont été supérieures de 7 millions d’euros par rapport au budget prévisionnel.
Le choix d’organiser le « dîner d’État » en l’honneur de Charles III au château de Versailles a fortement pesé dans la balance, la présidence de la République ayant dû externaliser de nombreuses prestations : traiteur extérieur (et non cuisines de l’Élysée) pour 166 193 euros, « extras » embauchés pour le service pour 100 428 euros, scénographie et montage pour 42 720 euros, ou encore 42 515 euros de vins, champagne et autres boissons.
Le coût total de la soirée (474 851 euros) ne prend pas en compte les autres dépenses liées à la « visite d’État » – le plus haut rang protocolaire – organisée pour la venue pendant trois jours du souverain britannique en France, ni les frais d’annulation (80 000 euros) de la première visite, repoussée en raison des mobilisations contre la réforme des retraites. « La France entretient des relations diplomatiques soutenues avec de très nombreux pays qui organisent des événements équivalents lorsqu’ils reçoivent le chef de l’État », se défend la présidence de la République.
Des déplacements de plus en plus onéreux
Un autre « dîner d’État » a coûté près d’un demi-million d’euros : celui en l’honneur du premier ministre indien Narendra Modi, le 14 juillet 2023, au musée du Louvre. Là encore, le choix de la présidence d’organiser le repas en dehors du palais de l’Élysée – à l’inverse des réceptions du président américain Joe Biden ou de l’émir du Qatar en 2024 – a coûté cher : près de 173 000 euros de traiteur, 72 000 euros d’« extras », etc. Pour une note globale de 412 366 euros.
À titre de comparaison, deux autres réceptions organisées à l’Élysée – le dîner d’État pour le président mongol et celui pour le Forum de Paris sur la paix – ont coûté 62 000 et 67 000 euros. « Cette comparaison entre les dîners souligne le rôle majeur du choix du lieu dans le coût total de chaque événement », relève la Cour dans son rapport.
Plus encore que les réceptions, ce sont les déplacements d’Emmanuel Macron qui grèvent le budget. Dans son rapport, la Cour des comptes interroge un paradoxe : le président de la République ne se déplace pas beaucoup plus qu’avant mais ses déplacements coûtent de plus en plus cher au contribuable. À titre d’exemple, le coût moyen des déplacements nationaux du chef de l’État a quasiment doublé depuis 2018, culminant l’année dernière à 60 462 euros.
À une échelle plus large, l’évolution des dépenses donne même le vertige. En 2016, pour la dernière année pleine de son quinquennat, François Hollande s’est déplacé 142 fois, pour un budget global de 17,7 millions d’euros. En 2023, Emmanuel Macron a effectué 112 déplacements qui ont coûté 23,2 millions d’euros. Autrement dit, le coût moyen d’un déplacement présidentiel est passé de 125 000 à 207 000 euros en sept ans.
Comment expliquer une telle hausse ? Sans nier le poids de l’inflation sur certaines lignes de dépense, l’institution de la rue Cambon charge lourdement le fonctionnement de l’Élysée, soulignant « le nombre de déplacements, l’évolution de leur structure et la taille des délégations », mais aussi « des problèmes d’organisation interne ».
L’explosion des frais de déplacement résulte directement des choix politiques opérés à l’époque par Emmanuel Macron. Après un premier trimestre passé cloîtré à l’Élysée, en proie à un mouvement social massif contre la réforme des retraites, le chef de l’État avait fait de sa capacité à occuper l’espace un enjeu politique central : il s’agissait de montrer qu’il n’était pas empêché, malgré l’impopularité de sa réforme, et de reprendre la main d’un quinquennat considérablement embourbé.
Une tournée en Océanie à 3 millions d’euros
« Je dois me réengager dans le débat public », avait-il prévenu fin avril. La suite avait été à l’avenant : en quelques semaines, le président de la République était allé discuter déserts médicaux dans le Loir-et-Cher, lycée professionnel en Charente-Maritime, reconquête industrielle dans le Nord, attractivité de la France dans les Yvelines, souveraineté industrielle en Ardèche ou encore transport aérien en Seine-et-Marne.
Fin juin, il avait tenu à passer trois jours à Marseille (Bouches-du-Rhône) pour balayer les dossiers de la cité phocéenne. Le déplacement a coûté 342 828 euros à l’État, un budget « particulièrement onéreux » selon la Cour des comptes.
Laquelle critique également le prix excessif de deux autres visites officielles, en Corse en septembre (278 209 euros) et à Toulouse (Haute-Garonne) en décembre, pour visiter le siège d’Airbus (205 022 euros). La tournée en Océanie (Nouvelle-Calédonie, Vanuatu, Papouasi), au cœur de l’été, bat des records (3,1 millions d’euros), talonnée par celle en Afrique (1,9 million) au printemps.
En plus de leur nombre, c’est le faste et la dimension des déplacements que l’institution place dans son viseur. Pour la visite d’État d’Emmanuel Macron en Chine, en avril 2023, l’Élysée a affrété deux avions A330 pour transporter une délégation pléthorique, où figuraient notamment l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, grand ami de la Chine, ou l’ancien ministre socialiste Jean-Marie Le Guen, membre du conseil d’administration de l’entreprise Huawei. À l’arrivée, en plus de la voiture présidentielle transportée sur place, cinquante véhicules avaient été loués pour déplacer le convoi présidentiel.
Avec le transport et l’hébergement, plusieurs frais annexes sont venus alourdir la facture de cette visite, à l’instar des prestations audiovisuelles confiées à des sociétés privées (55 084 euros). Au total, l’escapade chinoise a coûté 1,8 million d’euros, révèle la Cour des comptes, qui pointe au passage le décalage entre le budget prévisionnel et le coût réel du voyage. Une hausse de 40 %, selon l’instance, traduite par un surcoût imprévu de 520 000 euros.
Une différence loin d’être anecdotique, aux dires de l’institution administrative. Le rapport pointe ainsi à plusieurs reprises les « problèmes d’organisation interne » à l’Élysée, évoquant par exemple les multiples annulations et reprogrammations de dernière minute. « Bien qu’il existe des contraintes spécifiques à l’activité présidentielle, il ressort que les arbitrages à différents niveaux sont souvent rendus tardivement, ce qui ne permet pas de respecter le processus défini et contraint à un fonctionnement dans l’urgence », souligne la Cour des comptes.
Annulations et reprogrammations
La multiplication des annulations n’est pas que le fait du président de la République : elle découle aussi, pour l’année 2023, de son impopularité. Le mouvement social contre la réforme des retraites a poussé l’Élysée à annuler plusieurs déplacements et voyages prévus. Elle ne saurait toutefois être résumée à ce contexte. Depuis son élection en 2017, Emmanuel Macron a habitué ses interlocuteurs, partenaires et collaborateurs à une instabilité permanente. Plusieurs ministres ont ainsi raconté à Mediapart, ces dernières années, leur lassitude face aux contre-ordres de dernière minute venus de l’Élysée.
En tout, douze déplacements ont été annulés en 2023, un record si l’on excepte l’année 2020 rendue exceptionnelle par le contexte sanitaire. Sans entrer dans ces considérations, la Cour des comptes rappelle un fait : ce fonctionnement a un coût pour le contribuable, 832 328 euros de pertes pour l’année 2023. À elle seule, l’annulation du voyage prévu en Allemagne en juillet 2023 a coûté 429 100 euros à l’État, celle de la visite en Suède en février, 180 150 euros.
En guise de préconisations pour l’avenir, la Cour des comptes suggère à l’Élysée, entre autres, de mieux anticiper l’agenda présidentiel et de plafonner la taille des délégations. Elle encourage aussi la présidence à modérer le recours aux missions préparatoires, ces voyages de collaborateurs d’Emmanuel Macron destinés à « tâter le terrain » et à préparer sa venue.
Car ces missions coûtent cher, soulève le rapport. Avant de se rendre au Brésil, cette année, Emmanuel Macron a envoyé quatre équipes différentes préparer les quatre étapes de son périple. Trop souvent décidées au dernier moment, ces missions préparatoires ont un prix, encore plus lorsque les conseillers présidentiels décident de prendre l’avion pour gagner du temps.
Ainsi de celle censée préparer l’hommage rendu à Roubaix (Nord), en mai 2023, à trois policiers tués par un automobiliste. « En dépit d’une règle édictée d’effectuer en train les trajets inférieurs à quatre heures », l’équipe d’Emmanuel Macron a pris un vol commercial pour atteindre la ville nordiste. La présidence « tiendra compte des remarques de la Cour pour améliorer son organisation et ses dispositifs internes », a répondu l’Élysée, assurant être « mobilisée pour gérer avec efficacité son budget dans un contexte d’une part inflationniste et d’autre part géopolitique et politique qui influence l’agenda de l’exécutif ».
Ilyes Ramdani et Antton Rouget
#ça coupe le budget de tous les ministères essentiels et ça serre la ceinture aux pauvres mais en attendant c'est Versailles pour lui...#connard#emmanuel macron#french#article copié en entier car réservé aux abonnés#upthebaguette#french side of tumblr#en français#bee tries to talk
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Arapahos
Les Arapahos sont une nation autochtone originaire de la vallée de la rivière Rouge, dans les actuels Manitoba (Canada) et Minnesota (États-Unis). Ils migrèrent vers le sud au début du XVIIIe siècle et s'établirent dans les régions actuelles du Colorado, du Montana, du Nebraska, du Wyoming et dans d'autres régions du sud. Ils sont associés à la culture des Indiens des plaines et ont longtemps été les alliés des Cheyennes.
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👽 -✨ZARBVILLE | EARLY STRANGETOWN✨- 👽
Quartier parfait créé par @gutosimmer ! 💖 ↓ Mes plans diaboliques ↓ (màj le 05/06/24)
Commencer Zarbville 🛸 (Early Strangetown _ Gutosimmer)
Ajouter Montsimpa 🏡 (Early Pleasantview _ Gutosimmer)
Ajouter Veronaville ⚜️ (J'aimerais tellement la version de Gutosimmer mais malheureusement, pas de nouvelles.. 🤞🥹 / Donc peut-être la version de veronavillequiltingbee qui à l'air d'avoir été bichonnée 🥰)
? Ajouter les 2 quartiers de Sokisims qui pourraient parfaitement se marier avec Zarbville - surtout Service Area qui serait vraiment la continuation de ces deux légendaires Routes de Nul Part - mais j'ai peur que ça me fasse déjà beaucoup trop trop de rotations... Peut-être entre l'ajout de Montsimpa et Veronaville ?
? Ajouter tous les autres quartiers originaux 🤨 ? - On a le temps avant d'arriver là...
🕊️ Oh ! Et j'ai décidé de laisser certains prénoms dans leur version original parce que Pépéroni et Tomatéa c'est rigolo, mais transformer un Björn en Bébert en français... C'est toujours rigolo parce que j'ai l'humour facile, mais j'préfère varié les origines et m'imaginer des sims de l'est ou indien etc...
Le vrai plan, franchement? Essayer de tenir ce blog ? Réussir à aller au bout de l'histoire ? Partager les histoires qui se font dans ma tête ? Partager un peu de moi et mon amour pour les sims. Tant pis, je ferais quand et comme j'en ai envie, même si ça doit finir en bazar (comme d'habitude).
*J'avais même fait une sorte de BA pour ma chaine youtube abandonnée si t'es arrivé jusqu'ici... 🤫*
✨ Sul! Sul! ✨
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Marc Bohan for Christian Dior Haute Couture Spring/Summer 1965 Collection. Simone d'Aillencourt wears a white linen dress by Moreau, black leather belt, Indian pink straw hat. Pattern #1485 in Vogue Paris 1965.
Marc Bohan pour Christian Dior Collection Haute Couture Printemps/Été 1965. Simone d'Aillencourt porte une robe en toile de lin blanche de Moreau, ceinture en cuir noir, chapeau en paille rose indien. Patron #1485 dans Vogue Paris 1965.
#haute couture#marc bohan#christian dior#fashion 60s#1965#spring/summer#printemps/été#vogue paris#simone d'aillencourt#vogue patterns#patron vogue#vintage fashion
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Le Sitar est un instrument de musique typique des musiques Hindoustanie (style de musique phare indienne avec la musique Carnatique.) l’invention viendrait du XIIIe siècle et aurait été inventée par le musicien Amir Khusrau. Il est à l’époque un simple instrument à cordes dérivé du Tambur perse et sera modifié lentement au cours des siècles. Tandis qu'il évolue petit à petit au fil des siècles pour devenir sa version actuelle vers le XIXe siècle, il sera abondamment utilisé notamment par des musiciens dans la culture musicale Hindoustanie. Instrument à cordes de la famille des luths, il mesure 1.2 m de longueur et possède une caisse de résonance piriforme (en forme de poire.) profonde, faite de bois et de calebasse, d’un manche en bois long, assez large et évidé, ainsi que des chevilles frontales et latérales et vingt frettes arquées et qui sont mobiles. Généralement muni d’entre deux à cinq cordes servant pour les variations rythmique, puis de neuf à treize cordes métalliques placées sous les frettes tout en étant accordées sur les notes du Rāga (cadre mélodique de la musique classique indienne) et qui sont placée donc directement sous les frettes, dans le manche. Les frettes qui sont convexes, sont fixés par des liens tendus le long du manche, permettant ainsi le déplacement de ces dernières en fonction des besoins. Bien que les origines de l’instrument sont controversées, oscillant entre un descendant des luths à long manche en provenance d’Asie Central ou bien issue d’une variation du Vînâ à trois cordes de l’Inde du Sud, on peut situer que son nom en lui-même, le “Sitar” provient du persan “Sihtar” qui signifie “À trois cordes”. l’Âge d’or du Sitar se situe entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle, tandis que sa forme actuelle date elle du XVIIIe siècle. Il est aujourd’hui l’instrument dominant la musique dans l’Inde du Nord et est utilisé comme un instrument soliste accompagnée Tambura (Luth à bourdon) ainsi que les tambours Tabla, mais aussi dans des ensembles pour les drames dansés nommée “Kathak”, issue aussi de l’Inde du Nord. Ainsi, pour le Sitar, il existe deux écoles modernes situées en Inde : Celle de Ravi Shankar, Sitariste et Compositeur Indien ayant vécu de 1920 à 2012 et celle de Vilayat Khan, Sitariste Indien ayant vécu de 1928 à 2004. Chacune de ses écoles possède son propre style de jeu, de type de Sitar (qui se résume par une taille, une forme et un nombre de cordes différentes) ainsi que le même système d’accord. Mais comment joue t’on du Sitar ? L’instrument est joué en étant assis en tailleur par terre et calé sous le coude droit et reposant sur le pied. Tenu de façon oblique comme la Guitare Flamenco et non pas de façon droite ou couché comme le Tampura, le sitariste use d’un onglet de métal du nom de Mezrab mis sur l’index droit pour pincer les cordes. Puis dans un mouvement de va-et-vient, comme dans la manière de jouer du le Setar, l'ancêtre du Sitar. Il y joue alternativement les cordes principales et rythmiques. L’utilisation dans la culture populaire se développe dans les années 1960 en piquant l’intérêt des Occidentaux dans les domaines de la spiritualité et de la musique Indienne. C’est avec le mouvement psychédélique en particulier que des sonorités asiatiques, ainsi que le sitar sont intégrées et font leur apparition dans la musique populaire, notamment chez les Beatles. On peut aussi nommer George Harrison qui sera l’élève de Ravi Shankar en 1966, puis son ami et l’utilisera dans de nombreux titres des Beatles tels que Norwegian Wood (1965), Love You To (1966), Withing You Without You (1966) ou encore The Inner Light (1968).
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Le sommet des BRICS en Russie vient de se terminer.
Le Nouveau Système de paiement BRICS bouleverse l'ordre monétaire et financier mondial : 159 pays sur 195, soit plus des 3/4 du monde, s’adaptent au système de paiement des BRICS… !!!
Le bloc BRICS a annoncé la création d’une plateforme de paiement basée sur la blockchain. Elle devrait redéfinir la position économique globale du groupe. De plus, elle concurrencerait certains des plus grands systèmes de paiement au monde, dont le système SWIFT, dominé par l’Occident.
Le Premier ministre indien a rencontré le nouveau président iranien pour discuter des relations et des affaires mondiales. Cela survient au moment même où l’Inde fournit des drones, des armes et des explosifs à Israël.
Le Premier ministre indien Modi a également rencontré le président russe Poutine. Lors de cette rencontre, il a promis d’aider la Russie à mettre fin à sa guerre avec l’Ukraine.
L’ensemble des BRICS ont collectivement condamné Israël et appelé à un cessez-le-feu.
Pour la première fois depuis cinq ans, l’Inde et la Chine ont tenu une réunion bilatérale. Cette annonce intervient un jour après l'annonce d'un accord historique entre les deux pays, visant à mettre fin à leur conflit frontalier.
Le prince héritier saoudien n’a pas assisté au sommet des BRICS, bien qu’il y ait été invité. Au lieu de cela, il a eu une réunion avec le secrétaire d’État américain, Anthony Blinken.
Poutine a annoncé que l’Iran était « devenu un membre à part entière des BRICS ».
L'un des points les plus importants : Lors du sommet, Poutine s'est vu remettre une maquette du « projet de loi BRICS ».
Les BRICS ont officiellement ajouté 13 nouvelles nations à l’alliance en tant que pays partenaires (pas membres à part entière) :
Algérie
Biélorussie
Cuba
Indonésie
Malaisie
Nigeria
Turquie
Ouganda
Ouzbékistan
Le président russe Poutine propose un plan visant à créer une bourse des céréales basée sur les BRICS. « Plusieurs pays BRICS comptent parmi les plus grands producteurs mondiaux de céréales, de légumes et d’oléagineux. Nous proposons d’ouvrir une bourse aux céréales des BRICS.
Cela permettrait de disposer d’indicateurs de prix prévisibles pour les produits et les matières premières, en tenant compte de leur rôle particulier dans la garantie de la sécurité alimentaire. »
Poutine a annoncé qu’il annulait son voyage au Brésil pour le sommet du G20, le mois prochain.
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"Oui, c'est bien ce que je pensais que l'âge adulte m'apporterait, une sorte de long été indien, un état de quiétude, d'incuriosité paisible, totalement purgé des impatiences tout juste supportables de l'enfance, où tout ce qui m'avait intrigué autrefois était enfin réglé, tous les mystères révélés, toutes les questions résolues et où les moments s'écoulaient un à un, presque à mon insu, goutte d'or après goutte d'or, en attendant, à mon insu ou presque, l'ultime coup de grâce." John Banville
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Pologne catholique ultra basée : multiplication par 5 de l’immigration du tiers-monde en 5 ans, plus de 2 millions d’immigrés depuis depuis 2011
Nous l’avions annoncé, c’est désormais officiel : la Pologne est condamnée à devenir un pays marron à moyenne échéance.
TVP :
Selon l’agence pour l’emploi EWL Group et le Centre d’études est-européennes de l’université de Varsovie, qui ont mené l’enquête, la barrière de la langue et les formalités administratives fastidieuses ne découragent pas les personnes qui cherchent un emploi dans le pays. Leur nombre (les migrants d’Asie et d’Amérique latine) s’est démultiplié au cours des cinq dernières années », révèle l’étude, intitulée « La Pologne dans une lutte mondiale pour les talents d’Asie et d’Amérique latine« .
Les talents d’Asie et d’Amérique latine :
En 2019, le nombre de permis de travail accordés aux employés originaires d’Asie et d’Amérique latine s’élevait à moins de 55 000, alors qu’en 2023, ce chiffre atteindra 275 000, soit une multiplication par cinq. Jan Malicki, directeur du Centre d’études est-européennes, a souligné lors de la présentation des résultats de l’enquête lundi qu’en 2011, la Pologne accueillait environ 110 000 ressortissants étrangers et que ce nombre était passé à plus de 2 millions dix ans plus tard.
La Pologne catholique basée importe désormais trois millions de métèques tous les dix ans, à peine moins que la France.
D’ici 20 ans, le pays sera pratiquement aussi défigurée par l’immigration du tiers-monde que la France ou presque.
Mais au moins la Pologne ne parlera pas allemand (ni russe) et n’acceptera pas de musulmans !
Les chercheurs ont constaté que dans le cas des travailleurs migrants latino-américains, la dynamique de croissance avait été multipliée par plus de 20 entre 2019 et 2023. « Il y a eu un changement complet de tendance », a déclaré M. Malicki. « Sous nos yeux, la Pologne est passée d’un pays d’émigration à un pays d’immigration. » Il a ajouté que cette tendance devrait se poursuivre. « Actuellement, Varsovie retrouve la beauté, la majesté qu’elle avait dans les années 1930 », a poursuivi M. Malicki. « Il a donc fallu 90 ans – c’est ce que la destruction allemande, la destruction de Varsovie par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et les gouvernements communistes imposés par Moscou ont coûté à la Pologne, à Varsovie, notre capitale. » M. Malicki a également déclaré que la seule menace qui pèse sur la croissance continue de la tendance à l’immigration est la guerre.
Ha !
« Varsovie sera peuplée par le sous-continent indien et les favelas brésiliennes, mais au moins les murs seront beaux et on aura fait la nique aux Nazis ! »
– Jan Malicki
Le président du groupe EWL, Andrzek Korkus, a attribué l’attrait de la Pologne en partie à son faible taux de chômage record, malgré le ralentissement économique. « Nous avons un faible taux de chômage record, un nombre record de personnes travaillant dans l’économie polonaise, et en outre, l’année dernière, nous avons eu une croissance économique record, donc malgré sa faiblesse, notre économie, notre marché du travail, est exubérant », a-t-il déclaré. Parmi les nouveaux arrivants étrangers en Pologne, 75 % sont des hommes dont l’âge moyen est de 35 ans, selon l’étude. Ils travaillent principalement dans les secteurs de la production industrielle, de l’agriculture et de la construction.
Vous connaissez la suite, il suffit de se balader dans les rues françaises.
J’en reviens à l’axe que nous développons ici et qui est très impopulaire à l’extrême-droite : sans liquider le système capitaliste au profit d’un système national-socialiste dans lequel l’économie est mise au service du peuple, le capital et la bourgeoisie dicteront la politique migratoire de remplacement.
C’est la convergence létale entre la mise au travail des femmes, dictée par le capital, et l’inévitable effondrement démographique qu’elle entraîne. Le capital exige l’importation de larbins pour son économie de service, mais aussi pour procéder à un dumping social désormais planétaire.
On ne peut pas résoudre un problème de cette nature sans remettre en cause la sainte croissante du PIB que le capitalisme atlantiste inscrit dans la démocratie de marché. Même la Pologne communiste était moins toxique pour le peuple polonais que la démocratie capitaliste.
Mais c’est bien le féminisme qui pose le plus grave problème : les hommes féministes préfèrent encore voir leur pays enseveli sous l’immigration du tiers-monde plutôt que de mettre les femmes au foyer et d’interdire l’anarchisme sexuel.
Et c’est exactement ce qui se passe : l’ensevelissement.
Il s’agit de @szymon_holownia le président du Parlement polonais (Sejm). Il se réjouit d’accueillir des réfugiés et des migrants en Pologne.
Vous n’imaginez pas à quel point vous allez le regretter.
Démocratie Participative
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Traditionnellement, les cheveux longs étaient toujours un symbole de masculinité. Tous les grands guerriers de l'histoire avaient les cheveux longs, des Grecs qui écrivaient des odes aux cheveux de leurs héros aux nordiques, des Indiens américains célèbres pour leurs longs cheveux brillants aux Japonais. Et plus les cheveux étaient longs et beaux, plus le guerrier était considéré comme viril. Les Vikings ont exhibé leurs tresses et les samouraïs portaient leurs cheveux longs comme un symbole de leur honneur ils coupaient leur tresse quand ils perdent l'honneur. Quand un guerrier a été capturé, sa crinière a été coupée pour l'humilier, pour lui enlever sa beauté. Cette coutume a repris dans ce qui est aujourd'hui le service militaire. Les nouveaux soldats entrant à l'école de recrues avant de commencer leur entraînement, la première chose qu'ils font est de se couper les cheveux pour saper leur estime de soi, les rendre soumis. Les Romains portaient les cheveux courts, entre le 1er et le 5ème siècle après JC. Dans les batailles, ils croyaient que cela leur donnait des avantages défensifs, puisque leurs adversaires ne pouvaient pas les attraper par les cheveux. Cela les a aussi aidés à se reconnaître mutuellement sur le champ de bataille. Nous voyons souvent des hommes être humiliés, parfois appelés gay pour avoir porté les cheveux longs, sans savoir que les cheveux courts sont en fait l'anti-masculin et qu'ils sont une imposition sociale répressive, tandis que les cheveux longs symbolisent la liberté
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LÉGENDES DU JAZZ
BUD POWELL, LA DESCENTE AUX ENFERS D’UN GÉNIE DU JAZZ ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.”
- Sonny Rollins
Né le 27 septembre 1924 à Harlem, Earl Rudolph ‘’Bud’’ Powell était le fils de William Powell Sr., un pianiste de stride, trompettiste et joueur de trombone, et de Pearl Young, une violoniste. Powell avait deux frères, William (né le 15 mars 1923) et Richard Bertram (né le 5 septembre 1931).
Powell était issu d’une famille musicale. e frère aîné de Powell, William, jouait de la trompette et du violon. Le plus jeune frère de Powell, Richie, était aussi un pianiste de bop réputé.
Powell, qui avait seulement cinq ans au moment de la mort de son père, avait été élevé par sa mère avec ses frères.
À l’âge de cinq ans, Bud avait commencé à apprendre le piano d’un professeur indien appelé Rawlins. Deux ans plus tard, il avait été initié à la musique classique en jouant à l’église et dans les chorales de son école.
Bud avait fait sa première apparition publique dans un party où il avait imité le pianiste Fats Waller. La première pièce de jazz que Powell avait interprétée était ‘’Carolina Stout’’ de James P. Johnson.
Au printemps 1940, à l’âge de quinze ans, Powell s’était joint au groupe de son frère, les Skeets Powell and Hill Jolly Swingers. C’est probablement à cette époque que Powell s’était lié d’amitié avec un autre pianiste, Allen Tinney. Entre 1940 et 1942, avec Tinney et un autre pianiste, Gerald Wiggins, Powell avait commencé à fréquenter les clubs de Harlem, où il avait lancé des défis à d’autres pianistes.
D’abord influencé par la musique classique, Powell avait commencé à étudier le jazz à l’âge de douze ans. Ses premières influences en jazz avaient été les pianistes Fats Waller, Earl Hines, Jelly Roll Morton, Thelonious Monk et Art Tatum.
Après avoir entendu Art Tatum à la radio, Powell avait tenté d’imiter sa technique.
Après avoir étudié à la Wendell Phillips Academy, où il avait pris des leçons avec le docteur John DeMarco, Powell avait fréquenté le Conservatoire de Musique de Chicago. En 1935, alors qu’il avait treize ans, la mère de Bud lui avait offert un piano. À l’époque, Bud étudiait la musique classique au New York Conservatory of Music.
En 1938, à l’âge de seulement quinze ans, Powell était entré à la Juilliard School of Music, où il avait étudié la composition, l’harmonie, le contrepoint et l’orchestration sous la direction de Lennie Tristano.
Après avoir décroché son diplôme, Powell avait continué d’étudier avec Tristano durant sept ans. CARRIÈRE PROFESSIONNELLE Dans sa jeunesse, Powell avait assisté à des concerts à l’Uptown House, un club situé près de chez de lui, où il allait souvent voir jouer Charlie Parker et Thelonious Monk.
Powell avait amorcé sa carrière professionnelle comme membre de l’orchestre d’Artie Shaw en 1940. C’est là qu’il avait rencontré Charlie Parker qui était rapidement devenu son mentor et l’avait invité à venir jouer avec son groupe. Powell était demeuré trois ans avec Parker avant de se joindre aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1941. Lorsque Monk avait rencontré Powell pour la première fois à l’automne 1942, il avait été tellement impressionné par le jeune pianiste qu’il avait décidé de le présenter à ses musiciens du Minton’s Playhouse. Monk, qui avait vite pris Powell sous son aile, avait d’ailleurs composé une pièce en son honneur intitulée ‘’In Walked Bud.’’ Mais si Monk avait tendance à se servir du piano comme instrument de percussion, Powell se servait plutôt du piano comme un instrument à vent et tentait d’imiter les saxophonistes et les trompettistes qu’il admirait. Son style était une combinaison de musique classique et d’improvisation.
Au printemps 1943, le contrebassiste Jimmy Butts avait proposé la candidature de Powell pour jouer dans le Sunset Royals Orchestra, un groupe de danse dirigé par Doc Wheeler. Powell s’était rapidement lié d’amitié avec un des trompettistes de l’orchestre, George Treadwell.
Entre l’été et l’automne de 1943, Treadwell, qui était conscient que le talent de Powell était sous-exploité, avait décidé de quitter les Sunset Royals pour former son propre groupe avec Powell. Le trompettiste Cootie Williams, qui dirigeait son propre orchestre de danse, avait vu le groupe de Treadwell à l’oeuvre, et avait décidé par la suite d’engager plusieurs de ses musiciens, dont Powell.
À la fin de l’année 1943, on avait proposé à Powell de jouer avec le quintet d’Oscar Pettiford et de Dizzy Gillespie, mais, comme le groupe se produisait dans un club de nuit, la mère de Bud avait décidé qu’il était préférable que son fils continue d’occuper un emploi plus stable dans l’orchestre de Williams.
La décision de la mère de Powell était tout à fait pertinente car l’année suivante, Powell avait participé à quelques sessions d’enregistrement avec Williams. L’une d’entre elles comprenait le premier enregistrement de l’histoire de la pièce ‘’Round Midnight’’ de Monk. Le contrat de Powell avec Williams avait pris fin à Philadelphie en janvier 1945. Après le concert, Powell se trouvait près de Broad Street Station lorsqu’il avait été arrêté dans un état d’intoxication avancé par la police du chemin de fer. Un des policiers l’avait d’ailleurs frappé durement à la tête après qu’il ait résisté à son arrestation. Remis aux constables de la ville, Powell avait été brièvement incarcéré.
Dix jours après sa libération, comme ses maux de tête ne démontraient aucun signe de ralentissement, Powell avait été admis à l’Hôpital Bellevue, avant d’être envoyé à l’hôpital psychiatrique de Pilgrim State situé à une soixantaine de milles plus loin, où il était demeuré durant deux mois et demi. Il est très probable que les coups que Powell avaient reçus à la tête avaient provoqué une commotion cérébrale et avaient été la cause de ses fréquents maux de tête et de ses problèmes de comportement au cours des années suivantes.
Après sa libération en avril 1945, Powell était aller jouer à Manhattan avec le batteur Sid Catlett et le saxophoniste ténor Don Byas. C’est alors qu’il avait été recruté par le contrebassiste John Kirby afin de prendre la place du pianiste Billy Kyle avec son groupe.
En 1945-46, Powell avait enregistré avec Frank Sololow, Sarah Vaughan, Dexter Gordon, J.J. Johnson, Sonny Stitt, Fats Navarro et Kenny Clarke. Le 6 mars 1947, Powell avait dirigé ce qui avait sans doute été son premier concert sous son nom à Harlem.
Powell étant reconnu pour son habileté à lire la musique et à exécuter des pièces au tempo rapide, Charlie Parker l’avait choisi comme pianiste en vue d’une session d’enregistrement qui devait avoir lieu le 8 mai 1947 avec un quintet composé de Miles Davis, Tommy Potter et Max Roach. C’était la seule fois de l’histoire où Powell et Parker participaient à la même session d’enregistrement.
La seule autre session d’enregistrement à laquelle Powell avait participé en 1947 avait eu lieu le 10 janvier dans le cadre d’un enregistrement avec son trio formé de Curly Russell et Max Roach. UNE SANTÉ MENTALE PRÉCAIRE Le 14 novembre 1947, Powell avait eu une altercation avec un client dans un bar de Harlem. Au cours de la bagarre, Powell avait été frappé par une bouteille au-dessus de l’oeil. Lorsque les employés de l’hôpital de Harlem avaient examiné Powell, ils l’avaient trouvé incohérent et turbulent. Ils l’avaient donc fait admettre à l’Hôpital Bellevue, où il avait déjà été soigné précédemment. À leur tour, les employés de l’Hôpital Bellevue n’avaient pas su quoi faire de Powell et l’avaient envoyé au Creedmoor State Hospital, où il avait été gardé durant onze mois.
Powell s’était assez bien adapté à son séjour à l’hôpital, même si lors d’examens psychiatriques il s’était plaint d’avoir été persécuté en raison de sa couleur. De février à avril 1948, Powell avait été soumis à une thérapie par électro-chocs après avoir appris que sa petite amie Mary Frances Barnes était enceinte. La thérapie n’ayant pas produit les résultats souhaités, les médecins de Powell lui avaient administré une seconde série de traitements en mai. Powell avait finalement été libéré en mai 1948. Le 1er juin, l’amie de coeur de Powell, Mary Frances, avait donné naissance à son seul enfant, une fille qui avait été baptisée sous le nom de Cecelia June Powell.
Après avoir été brièvement hospitalisé au début de l’année 1949 après avoir enfreint les conditions de sa libération, Powell avait fait quelques enregistrements durant les deux ou trois années suivantes (notamment avec Sonny Rollins et Fats Navarro), principalement sous étiquette Blue Note, Mercury, Norgran et Clef. Powell avait également enregistré pendant l’été pour le compte de deux producteurs indépendants avec son trio habituel composé de Max Roach et Curly Russell. Les huit ‘’masters’’ qui avaient résulté de ces enregistrements n’avaient été publiés qu’en 1950, après que les disques Roost aient racheté les ‘’masters’’ et les aient publiés sous forme de 78-tours. Le musicologue Guthrie Ramsey avait écrit qu’avec cette session "Powell proves himself the equal of any of the other beboppers in technique, versatility, and feeling."
Le 17 septembre 1949, Powell avait signé le premier contrat de sa carrière avec le producteur Norman Granz. Powell avait fait ses débuts à Carnegie Hall le soir de Noël de 1949 avec son trio. Participaient également au concert le saxophoniste ténor Stan Getz, la chanteuse Sarah Vaughan, le pianiste Lennie Tristano et Charlie Parker.
Parmi les musiciens qui avaient participé à la session d’août 1949 pour Blue Note, on remarquait Fats Navarro, Sonny Rollins, Tommy Potter et Roy Haynes. Au nombre des pièces interprétées par le groupe, on remarquait ‘’Bouncing with Bud’’ et ‘’Dance of the Infidels.’’ La session de 1951 mettait en vedette le trio de Powell avec ses acolytes Curley Russell et Max Roach. Parmi les pièces enregistrées, on relevait ‘’Parisian Thoroughtfare’’ et ’’Un Poco Loco’’ Cette dernière pièce avait été sélectionnée plus tard par le critique littéraire Harold Bloom dans sa liste des plus grandes oeuvres américaines du 20e siècle. Les musiciens Ray Brown, George Duvivier, Percy Heath, Max Roach, Curly Russell, Lloyd Trotman, Art Blakey, Kenny Clarke, Osie Johnson, Buddy Rich et Art Taylor avaient participé aux sessions organisées par Norman Granz.
La rivalité de Powell avec Charlie Parker avait éventuellement semé la zizanie parmi les musiciens. La détérioration de la santé mentale et physique de Powell n’avait d’ailleurs guère contribué à alléger l’atmosphère.
Au cours des années 1950, Powell avait fait d’autres enregistrements pour Blue Note et Norman Granz, mais ceux-ci avaient dû être interrompus par un nouveau séjour en hôpital psychiatrique entre la fin de 1951 et le début de l’année 1953, après que le pianiste ait été arrêté pour possession d’héroïne en compagnie de Monk et de deux autres musiciens. Les quatre compères avaient été enfermés aux Tombs, un célèbre centre de détention. Powell avait d’ailleurs été de nouveau battu dans le cadre de son incarcération. Après avoir plaidé non coupable, Monk avait été condamné à soixante jours de prison. Quant à Powell, il avait été renvoyé à l’hôpital Bellevue, puis à Pilgrim, où il avait été déclaré mentalement inapte. Après une détention d’un mois, le directeur de Pilgrim avait recommandé que Powell soit gardé indéfiniment. Durant onze jours, Powell avait été soumis à une nouvelle thérapie par électro-chocs avant d’être finalement transféré à Creedmoor en août 1952.
Jugé incapable de gérer ses propres finances, Powell avait été placé sous la garde d’Oscar Goodstein, le propriétaire du Birdland, avec qui il avait signé un contrat de vingt semaines. Lorsque Powell ne jouait pas au Birdland, il avait des engagements à Philadelphie, à Washington ou à St. Louis. Jamais Powell n’avait été aussi occupé.
Le 9 mars 1953, Powell avait épousé Audrey Hill, une Californienne. Le mariage avait été arrangé par Goodstein, qui croyait sans doute que le fait d’être marié permettrait de rendre Powell plus stable et prévisible. Le couple ne s’était pas revu depuis que Powell avait été obtenu son congé de l’hôpital. Le mariage avait finalement été annulé en juillet.
En 1953, Powell avait enregistré pour Blue Note dans le cadre d’un trio avec George Duvivier et Art Taylor. La session comprenait l’enregistrement d’une composition de Powell intitulée ‘’Glass Enclosure’’, dont le titre était possiblement inspiré de son quasi-emprisonnement dans l’appartement de Goodstein. Le 15 mai de la même année, Powell avait participé au concert historique de Massey Hall à Toronto avec un quintet formé de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charles Mingus et Max Roach. Le concert avait été enregistré par Mingus qui l’avats mis en marché grâce à sa propre maison d’enregistrement, Debut Records, sous le titre de ‘’Jazz at Massey Hall.’’
De nouveau été arrêté le 14 juin 1954, Powell avait été accusé de possession d’héroïne. Le procès avait finalement eu lieu au début de 1955.
Bien que Powell ait obtenu son congé de l’hôpital, la qualité de son jeu avait été affectée par l’ingestion de Largactil, un médicament qu’il prenait pour soigner sa schizophrénie. Le 26 juin 1956, la vie de Powell avait été encore plus assombrie lorsque son frère Richie et le trompettiste Clifford Brown avaient été tués dans un accident automobile. Après avoir passé plusieurs mois à l’hôpital, Powell s’était installé à Paris en 1959 avec sa nouvelle compagne Altevia ‘’Buttercup’’ Edwards et son fils John. Powell avait rencontré Edwards, une femme mariée, après son emprisonnement en 1954. Le couple s’était installé avec l’enfant à l’Hôtel La Louisiane. C’est Altevia qui gérait les finances de Powell et s’assurait qu’il prenne ses médicaments. C’est donc en grande partie grâce à elle que Powell avait pu continuer de jouer et d’enregistrer.
En juin 1960, Powell avait été l’invité de Charles Mingus au Festival de jazz de Juan-les-Pins. En avril 1961, Powell avait participé à une brève tournée en Europe avec Thelonious Monk, notamment à Marseille, Milan, Bologne et Rome. Powell, qui n’avait pas encore enregistré pour une compagnie de disques européenne, avait collaboré avec le saxophoniste Cannonball Adderley pour une série de deux albums en décembre 1961. En février 1962, Powell avait décroché un contrat au Café Montmartre de Paris, qui venait de réouvrir ses portes. Prévu initialement pour deux semaines, le contrat de Powell avait été prolongé de cinq semaines supplémentaires à la demande du pianiste.
En avril 1962, Powell, qui était de retour à Copenhague, avait reçu une offre d’une compagnie danoise qui lui avait fait enregistrer des classiques qu’il avait rarement joué en studio, notamment ‘’Straight No Chaser’’de Monk et ‘’Hot House’’, une pièce traditionnellement associée à Charlie Parker.
En décembre 1962, Powell, qui avait trop bu, avait été retrouvé complètement saoul dans les rues de Paris et avait été admis dans un hôpital local. Powell avait finalement été transféré dans l’aile psychiatrique de l’hôpital, avant d’être libéré grâce à l’intervention de son ami Francis Paudras.
En quatre mois, de février à juin 1963, Powell avait participé à plus de sessions d’enregistrements qu’il n’en avait fait en quatre ans. Powell avait fait des apparitions comme artiste invité dans deux de ces sessions. La première était dirigée par Dexter Gordon et la seconde par Dizzy Gillespie. DERNIÈRES ANNÉES En 1963, après avoir contracté la tuberculose, Powell avait été admis à l’hôpital de Paris. Powell ayant obtenu un contrat pour jouer au Birdland, il était de retour à New York le 16 août 1964. Neuf jours plus tard, il avait partagé la scène avec Horace Silver, John Coltrane, Charles Mingus et Thelonious Monk.
À l’époque, la qualité du jeu de Powell avait nettement décliné en raison de son alcoolisme. Lorsque Powell avait négligé de ses présenter le 11 octobre à un de ses concerts au Birdland, Goodstein avait décidé de le congédier.
Après des mois de découragement et de comportement erratique, Bud Powell avait été hospitalisé à New York à la suite de complications pulmonaires. Powell avait présenté son dernier concert le 1er mai 1965. Il avait été admis dans un hôpital psychiatrique à l’automne suivant.
Bud Powell est décédé le 31 mars 1966. Sa mort avait été attribuée aux effets conjugués de la tuberculose, de la malnutrition et de l’alcoolisme.
Plusieurs musiciens de jazz avaient rendu hommage à Powell. Dans son autobiographie, le trompettiste Miles Davis, qui avait un jour dit de Powell qu’il ne l’engagerait jamais dans son groupe parce qu’il était encore plus cinglé que lui, avait déclaré: "[He] was one of the few musicians I knew who could play, write, and read all kinds of music. Bud was a genius piano player – the best there was of all the bebop piano players." Le pianiste Bill Evans, qui avait toujours considéré Powell comme sa principale influence, lui avait rendu hommage en 1979 en déclarant: "If I had to choose one single musician for his artistic integrity, for the incomparable originality of his creation and the grandeur of his work, it would be Bud Powell. He was in a class by himself". De son côté, Herbie Hancock avait affirmé dans une entrevue au magazine DownBeat en 1966: "He was the foundation out of which stemmed the whole edifice of modern jazz piano". Le saxophoniste ténor Sonny Rollins avait également eu de bons mots pour Powell et avait commenté: ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.” Quant au pianiste Bill Cunliffe, il considérait Powell comme "the first pianist to take Charlie Parker's language and adapt it successfully to the piano."
En 1986, l’artiste Francis Paudras avait écrit un livre à propos de son amitié avec Powell. L’ouvrage a été traduit en 1997 sous le titre de ‘’Dance of the Infidels: A Portrait of Bud Powell.’’ Les souvenirs de Paudras avaient servi de base au film de Bertrand Tavernier, ‘’Round Midnight’’, qui était inspiré de la carrière de Powell et de Lester Young, et dans lequel le saxophoniste Dexter Gordon jouait le rôle d’un musicien en exil à Paris.
Bud Powell a influencé plusieurs jeunes pianistes au cours de sa carrière, plus particulièrement Horace Silver, Wynton Kelly, Andre Previn, McCoy Tyner, Cedar Walton et Chick Corea. Ce dernier avait d’ailleurs enregistré en 1997 un album entier consacré à Powell intitulé ‘’Remembering Bud Powell.’’ Grand innovateur, Powell avait été le premier pianiste à jouer des parties qui étaient initialement conçues pour des cuivres. Powell avait été mis en nomination à sept reprises pour un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure performance instrumentale en solo. c-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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Terres Indiennes
Max -Pol Fouchet
Maison Héliographia, Lausanne 1955, 102 pages, 96 illustrations tirées en héliogravure, 2 pages d’illustrations en couleurs, 22,3x28cm, 10.000 ex.numérotés, ex.n 2031
euro 50,00
email if you want to buy [email protected]
Max-Pol Fouchet, né le 1er mai 1913 à Saint-Vaast-la-Hougue (Manche) et mort le 22 août 1980 à Avallon (Yonne)1, est un poète, écrivain, critique d'art et homme de télévision français.
Une histoire illustrée des indiens d’Amérique du Sud. Les paysages, les portraits, la vie quotidienne et la culture de cette civilisations ont surtout été prises au Mexique, mais aussi en Bolivie, au Pérou, au Venezuela et au Costa Rica .
24/07/24
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