#Temps verbaux
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#grammaire française#astuces#conseils#subtilités#erreurs grammaticales#Vocabulaire#Conjugaison#Temps verbaux#Prononciation#expressions idiomatiques#examens de français#préparation#lecture
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Les temps verbaux
Les temps
Le passé
Pluperfect (plus-que-parfait): Elle avait fermé la porte - She had closed the door [imperfect Être/Avoir auxiliary + past participle]
Imperfect (imparfait): Elle fermait la porte - She closed the door [description, historical detail, habit in the past]
Perfect (passé composé): Elle a fermé la porte - She has closed the door [simple present Être/Avoir + past participle]
Simple past (passé simple): Elle ferma la porte - She closed the door [literary]
Past conditional (conditionnel passé): Elle aurait fermé la porte - She would have closed the door [present conditional Être/Avoir + past participle; expresses a regret or theory/fantasy]
Perfect past (passé antérieur): Elle eut fermé la porte - She had closed the door [simple past Être/Avoir + past participle; rare, literary, expresses the anteriority of an action compared to the one that follows]
Recent past (passé récent): Elle vient de fermer la porte - She just closed the door [simple present Venir de + infinitive; about what just happened]*
Past imperative (impératif passé): Aie fermé la porte - Have the door closed (before...) [present imperative Être/Avoir without the pronoun + past participle; only in 2nd person singular + 1st/2nd person plural, expresses the anteriority of an action (order, prohibition, suggestion, plea) compared to the one that follows]
Past infinitive (infinitif passé): Avoir fermé la porte est important - Having closed the door is important [present infinitive Être/Avoir + past participle; expresses the anteriority of an action accomplished before the one that follows]
(Past participle (participe passé): Elle a fermé la porte [used after an auxiliary in multiple compound tenses, usually to express a past action])
Le présent
Indicative/simple present (présent de l'indicatif/simple): Elle ferme la porte - She closes the door
Progressive present (présent progressif): Elle est en train de fermer la porte - She is closing the door [simple present Être + en train de + infinitive; about what is in the process of happening]
Present conditional (conditionnel présent): Elle fermerait la porte - She would close the door [expresses politeness, a desire, suggestion, theory]*
Present imperative (impératif présent): Ferme la porte - Close the door [simple present without the pronoun; only exists in 2nd person singular and 1st/2nd person plural, expresses an order, prohibition, recommendation, plea]
Present infinitive (infinitif présent): Fermer la porte - Close the door [infinitive verb; used in lists, on signs, after certain prepositions/conjugated verbs, expresses a number of feelings]
(Present participle: Elle ferme la porte menant aux chambres - She closes the door leading to the bedrooms [verb + -ant; used to add precisions and usually replaces qui + simple present verb])
Le futur
Near future (futur proche): Elle va fermer la porte - She is going to close the door [present Aller + infinitive; about what is about to happen]
Simple future (futur simple): Elle fermera la porte - She will close the door
Perfect future (futur antérieur): Elle aura fermé la porte - She will have closed the door [simple future Aller + infinitive; about what will have happened]
*NB: To use "If... (then)..." constructions, use imperfect for V.1 and present conditional for V.2 in the present (Si elle mangeait, elle n'aurait pas faim), or pluperfect for V1. and past conditional for V.2 in the past (Si elle avait mangé, elle n'aurait pas eu faim).
Les modes
Present gerund (gérondif présent): Elle ferme la porte en criant - She closes the door shouting [(conj. verb 1 +) en + verb 2 + -ant; used to describe two simultaneous actions, a consequence, or one's way of doing something; not to be used with a stative verb (Être, Sembler, etc.)]
Past gerund (gérondif passé): Ayant fermé la porte, elle fut enfermée dehors - Having closed the door, she was locked out [Être/Avoir + -ant + past participle; used to describe the anteriority of an action]
Present subjunctive (subjonctif présent): Il faut qu'elle ferme la porte - She has to close the door [triggered by certain constructions + que; about an uncertain action that hasn't happened atm, that only exists in someone's head.]
Past subjunctive (subjonctif passé): Il fallait qu'elle ait fermé la porte - She had to have closed the door [certain constructions + que + pronoun/noun + present subjunctive Être/Avoir + past participle; about an uncertain situation that might have happened]
Imperfect subjunctive (subjonctif imparfait): Il fallait qu'elle fermât la porte - She had to close the door [certain constructions + que + pronoun/noun + present subjunctive; RARE/lit., about an uncertain situation that hadn't happened yet]
Pluperfect subjunctive (subjonctif plus-que-parfait): Il fallait qu'elle eusse fermé la porte - She had to have closed the door [certain constructions + que + pronoun/noun + imperfect subjunctive Être/Avoir + past participle; RARE, lit., about an uncertain situation that might have happened]
Movie: Les Parapluies de Cherbourg - Jacques Demy, 1964
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22 décembre 2023 | Par David Perrotin
La présidente du tribunal a déclaré que s’il n’y a pas « la preuve d’un projet abouti », les membres avaient « l’intention de troubler gravement l’ordre public » . La défense dénonce une décision « dangereuse », « morale » et « politique ».
Allaient-ils retourner en prison ? Dans son délibéré rendu ce vendredi 22 décembre lors d’une audience extrêmement tendue, la 16e chambre correctionnelle du tribunal de Paris a décidé que les sept militants de « l’ultragauche » jugés pendant quatre semaines en octobre dernier pour « association de malfaiteurs terroriste » ne seront pas incarcérés. Les juges ont toutefois estimé qu’ils étaient tous coupables et les condamnent à de la prison ferme assortie à du sursis.
Florian D., présenté comme le leader du groupe, qui avait combattu en 2017 au Rojava (nord-est de la Syrie) contre le groupe djihadiste État islamique a été condamné à cinq ans de prison, dont trente mois avec sursis. Il pourra toutefois bénéficier d’un aménagement de peine pour le temps de prison ferme qu’il lui reste à effectuer alors que le parquet avait requis six ans de prison avec mandat de dépôt différé.
Pour les six autres, les peines vont de deux à quatre ans de prison mais aucun ne sera incarcéré, la plupart ayant aussi déjà passé du temps en détention provisoire. Aussi, ils ont tous l’interdiction d’entrer en contact entre eux, alors que certains sont amis depuis l’enfance, et ils ne peuvent plus porter une arme pendant dix ans.
« Le but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation et la terreur » est « caractérisé par la volonté exprimée à plusieurs reprises […] de porter atteinte à l’intégrité de policiers, de s’emparer d’armes », ou encore d’« organiser une milice armée », a déclaré la présidente au début de la lecture de la décision selon l’AFP. S’il n’y a pas « la preuve d’un projet abouti », les membres de ce groupe en avaient « l’intention ».
Alors comment interpréter cette décision ? « La motivation succincte lue à l’audience par la présidente du tribunal signe une extension grave et politique de la notion de terrorisme », dénonce Raphaël Kempf, le conseil de Florian D., auprès de Mediapart. « Le tribunal considère comme terroristes des intentions de s’en prendre à des policiers ou à des véhicules de police notamment dans un contexte de manifestation. Il accorde aux forces de l’ordre une protection spécifique de lois antiterroristes, alors qu’il existe dans le Code pénal une aggravation des peines encourues contre ceux qui s’en prennent aux policiers. »
Dès leur interpellation en décembre 2020, Gérald Darmanin félicitait les policiers de la DGSI qui « protègent la République contre ceux qui veulent la détruire ». « Merci une nouvelle fois pour leur action contre ces activistes violents de l’ultragauche », ajoutait le ministre de l’intérieur, laissant penser qu’un projet précis avait été déjoué.
Les trois semaines d’audience suivies par Mediapart ont toutefois montré combien le travail des services de renseignement pouvait être controversé. Selon la défense, certaines retranscriptions auraient été manipulées et une expertise, centrale dans ce dossier, était totalement exagérée. Documents à l’appui, les douze conseils avaient sérieusement remis en cause le travail de la DGSI et mis en lumière des « biais », des « manipulations » et « les erreurs » des services de renseignement.
Les avocats n’avaient aussi cessé de demander que le tribunal fasse témoigner les agents anonymes de la DGSI en question accusés d’avoir établi des procès-verbaux mensongers ou tronqués. Ils souhaitaient aussi que certains scellés soient brisés pour vérifier notamment si certaines graves accusations étaient avérées. L’un des prévenus était ainsi suspecté d’avoir un plan du dispositif de sécurité du défilé du 14 Juillet laissant penser qu’il projetait une attaque par drone. Il s’agissait selon lui d’un simple mème très partagé sur les réseaux sociaux montrant un plan des Champs-Élysées en forme de pénis.
Mais dans sa décision rendue ce vendredi, la présidente a rejeté toutes ces demandes introduites par la défense pendant les quatre semaines de procès.
Même le parquet, dans ses réquisitions, n’avait pas osé une définition si extensible de cette infraction qui permettra demain d’incriminer de nombreux opposants.
Au tribunal, les sept individus, paraissant pourtant plus proches d’une bande liée par l’alcool et l’ennui du confinement, étaient décrits par l’accusation comme des terroristes prêts à tuer. Ils n’avaient cependant, de l’aveu même du parquet, aucun projet imminent.
Les éléments matériels étaient toutefois reconnus. Ils avaient bien joué à fabriquer des explosifs pour tuer le temps du confinement, détenaient pour certains des armes et avaient joué des parties d’Airsoft. Des jeux de pistolet à billes pour la défense, des entraînements paramilitaires pour l’accusation. De la littérature d’extrême gauche et de nombreux propos tronqués et privés ont fait le reste pour asseoir la conviction qu’ils avaient une intention terroriste.
« Il s’agit ici d’une décision dangereuse, plus morale que juridique, estime Lucie Simon, l’avocate de Camille, condamnée à trois ans de prison, dont deux avec sursis. Une décision qui donne le sentiment amer d’une juridiction qui n’a que faire de tous les débats exposés pendant près d’un mois d’audience. »
Pour l’avocate, les peines « peuvent paraître absurdes ». « L’interdiction d’entrer en contact qu’on pouvait comprendre pendant la phase d’instruction, sonne comme une punition presque perverse notamment pour certains qui sont amis de longue date », commente-t-elle.
Lucie Simon, qui annonce que sa cliente fera appel, estime aussi que cette décision marque un tournant. « Il n’est plus nécessaire pour caractériser l’association de malfaiteurs terroristes de relier ses membres ni à une organisation terroriste, ni à une idéologie violente ou terroriste, ni à un projet terroriste. Même le parquet, dans ses réquisitions, n’avait pas osé une définition si extensible de cette infraction qui permettra demain d’incriminer de nombreux opposants. »
Et Raphaël Kempf de conclure : « C’est encore le signe de l’extension presque infinie des lois antiterroristes. »
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Le passé simple, si compliqué...
Avec toutes les horreurs qui nous écorchent les oreilles au faux prétexte de Jeux Olympiques, on est ramené à la perte de sens de tout ce qui se dit, de nos jours : les mots n'ont, pour la plupart, plus aucune signification, et s'ils en ont gardé une, par hasard, c'est une dérive sémantique, souvent vulgaire, et destinée à égarer à la fois le locuteur et le récepteur. On sait que cette perte du sens des mots est le résultat d'une volonté de mettre nos contemporains dans un état où ils perdront peu à peu tout sens critique et, donc, toute possibilité de se révolter conte toute idéologie mal intentionnée...
Et s'il n'y avait que ça... Mais le désir de quelques ''clubs de malfaisants'' --car comment appeler autrement ces groupuscules de vrais complotistes (ce qu'ils sont ''pour de vrai'', eux, contrairement à ceux qu'ils parent de ce titre qu'eux seuls méritent) profitent de l'ascendant financier ou politique qu'ils on pris sur les organes de Presse et sur la caste des journalistes, toujours prêts à relayer toute idée qui ne tient pas la route, à condition qu'elle soit de Gauche, perverse et totalement mortifère à terme pour l'humanité, pour accélérer la mise au pas ou en danger de l'espèce humaine, mise en état de dépendance par ses soins pervers...
La disparition progressive des temps et des modes verbaux (passé simple, imparfait, futur composé, subjonctif…) a donné naissance à une pensée qui se retrouve limitée au moment présent, cantonnée dans l’instant, incapable de projections dans le temps, et qui devient donc de plus en plus inapte à comprendre le passé. Et comme on l'a rendue peu curieuse de l'avenir (au delà de la litanie des différentes apocalypses que nous annoncent ceux qui se sont toujours trompés sur tout), les prévisions qui forment la trame de nos terreurs iso-infantiles actuelles ne sont que des prolongations de quelques constatations instantanées que l'on étire pour le futur, comme si la ligne droite était le seul chemin que peuvent suivre ou emprunter les événements...
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation, ou la mode américaine qui consiste ramener une personne à son seul prénom... sont autant de coups mortels portés à la subtilité et à la richesse de l’expression. J'avais été très frappé, il y a quelques années, par la suppression jospinienne (NDLR : Ah ! Celui-là... quel mal ses idées perverses ont-elles fait à la civilisation !) du mot ''mademoiselle'' : c'était non seulement un renoncement à l’esthétique d’un mot et à une marque de respect, mais c'était une contribution à la promotion de cette idée folle qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien, ce qui n'est évidemment pas vrai, tout le monde le sait... au point que, dans des temps où les hommes pensaient encore --au lieu de se conformer aux ''diktats... dictatoriaux'' de modes stupides et infondées-- ils avaient encore recours au joli vocable de ''damoiseau'' pour expliquer que, entre l'enfance et l'âge adulte, il n'y a pas un simple ''saut quantique'' mais une lente et fructueuse évolution.
En cherchant un peu, on trouve que toutes ces pertes progressives de notre identité, notre alignement systémique sur un ''ppcm'' sémantique ou civilisationnel, l'obligation d'utiliser moins de mots pour pouvoir exprimer moins d'idées, et moins de verbes, conjugués à moins de ''temps'' pour rendre toute pensée émise plus floue, plus vague, plus confuse et moins précise, se traduisent ''en moins de capacités à exprimer les émotions et en moins de possibilité d’élaborer une pensée''... ce qui revient à dire :moins ''d'homme'', en nous. La presse scientifique est remplie d'articles, d'études et de statistiques qui démontrent ''jusqu'à plus soif'' qu’une partie majeure de la violence qui ''pourrit'' les sphères publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions, ce qui se comprend : plus le langage est pauvre, moins la pensée existe... Et de même qu'il n’y a pas de pensée critique sans pensée, il ne saurait exister de pensée sans phrases, sans verbes, sans mots.
Ces symptômes décrivent et expliquent les masses incultes et ignares qui peuplent nos banlieues. Il faut compéter cette phrase par ''mais pas que...'' : le nombre de problèmes devenant insolubles se multiplie avec l'arrivée de populations de plus en plus nombreuses et de moins en moins inhibées... qui refusent tout ce qui vient de nous (cf ''Boko Haram'', souvent cité dans ce Blog, qui ne peut vouloir dire que : ''Tout ce qui vient des livres est maudit'' !), et surtout l'idée-même d'intégration. Directement ou indirectement, cette courte analyse aide à comprendre la plupart des contre-vérités que répètent, en boucles insensées, nos responsables irresponsables –j'ai envie d'écrire, par amour de la vérité : au contraire.
Comment construire une pensée hypothético-déductive sans la maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés, présents ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui faisait si bien la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir... soit advenu ?
J'ai la chance d'avoir une famille plutôt nombreuse, et de côtoyer, chaque jour ou presque, une quinzaine de petits enfants et bientôt autant de ''petits-enfants-pièces-rapportées'', tous si chers à mon cœur. Le niveau scolaire et universitaire de cette petite armée est un reflet de ce qui se faisait de mieux en France (malgré l'effondrement du niveau de notre enseignement, totalement ravagé par un groupuscule de théoriciens malfaisants –donc (?) de Gauche ?-- qui se sont emparés des postes de décision de ce qui fut, jusqu'à eux, un Ministère de l'Instruction Publique --ce qu'il aurait dû rester-- et qui n'est plus ni ''de l'éducation'', ni ''nationale'' qu'il a prétendu devenir). Eh ! Bien, il m'arrive très (trop) souvent d'être surpris par leur ignorance de mots qui me paraissaient usuels à leur âge, et dont la maîtrise me semble nécessaire pour pouvoir m'exprimer aujourd'hui, pour penser, pour dire, pour exister... pour être. Comme il est loin, le ''Cogito, ergo sum'' cartésien du Discours de la méthode !
Si un cri d'alarme devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants... enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, ce qu'elle n'est pas : elle est précise, pour mieux expliquer le réel, qui est compliqué, lui... et l'air compliqué qu'elle peut parfois revêtir n'est que la conséquence de son aptitude à décrire et raconter ce réel.
Dans ce véritable cri de détresse se trouvent les ultimes éléments de ce qui survit, péniblement, de ce qui fut notre Liberté, que notre hymne national qualifiait de ''chérie'', avant de la livrer, par système et par idéologie, à des forces obscures, perverses et malveillantes. Il faut ne jamais perdre de vue que tous ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses ''défauts'', raser tout ce qui est réputé –par eux-- créer de la complexité apparente, et abolir les temps, les nuances, les genres (les ''anciens'' genres, les vrais, bien sûr : les ''nouveaux''... ne sont que les résidus de pensées mortelles), sont les fossoyeurs de l’esprit.
L'apparente fuite en avant de nos contemporains devant le temps-qui-passe ne fait pas que ruiner, détruire et ravager la planète, infiniment plus –et plus sournoisement-- que le CO² ou les gaz à effet de serre. Car ce qu'on ne voit pas, c'est que ce refus de toute difficulté, ne fut-elle qu'apparente, “chosifie” de plus en plus les personnes : avec la fin de la politesse, de la galanterie, du “respect humain”, de “la bonne éducation”, de l'affabilité ou de la gentillesse, et même du souci de la langue employée… –qui étaient autant de marqueurs de ces temps oubliés où “l'autre” –que l'on appelait souvent : “mon prochain”– jouait un rôle primordial, c'est la joie de vivre qui disparaît. Et avec elle, toute possibilité de bonheur. On peut, on doit, le regretter ! Décidément, il n'y a vraiment rien de bon à garder dans le modernisme, dans le progressisme, et dans tous les errements pervers et mortifères qui en découlent...
H-Cl.
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Maîtriser les 4 temps du passé en anglais
Les temps du passé en anglais : démystifiez les nuances ! ⏳🔍 En anglais, exprimer des actions ou des états passés nécessite une compréhension fine de plusieurs temps verbaux. Contrairement au français, l’anglais utilise différents temps pour nuancer les actions passées. Maîtriser ces temps vous permettra de raconter des histoires avec précision et de communiquer efficacement sur des événements…
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Sébastien Delogu : Quand l'imposture devient une méthode
C’est l’histoire d’un mec qui à force de vociférations* et de diatribes enflammées, a réussi à s’ériger en symbole d’un certain radicalisme « made in LFI », une cocarde* sur le cœur et une logorrhée* débridée dans la bouche. Mais derrière l’éloquence approximative et les appels à la révolution permanente, il y a peut-être bien plus de mystère que de vérité. Sébastien Delogu, le député LFI et héros local des quartiers marseillais, s’est illustré ces dernières semaines par des déclarations qui auraient fait blêmir même le plus aguerri des polémistes. Attaques frontales contre la République, cette même République qu'il est pourtant censé défendre depuis l’Assemblée nationale et égarements verbaux dignes d’un débat de comptoir, il devient l’homme dont on se demande chaque jour s’il a, au moins une fois dans sa vie, ouvert un manuel d’instruction civique ou un petit Robert. Et c’est là que le bât blesse, Delogu n’est peut-être pas celui qu’il prétend être. À mesure que ses sorties médiatiques se font plus tapageuses, il apparaît de plus en plus évident que la pensée ne suit pas la parole. À force d’enfiler des perles idéologiques avec la délicatesse d’un bulldozer, ce chantre de l'insoumission semble s’emmêler dans sa propre incohérence. L’instruction en question : un député en roue libre On est en droit de se demander si Sébastien Delogu, adepte des coups de gueule, a déjà pris le temps de s’asseoir pour, disons, se pencher sur quelques pages d’histoire politique et de la France aussi, car on l'a vu, l'histoire n'est pas son fort. Entre appels à la désobéissance civile et confusion générale autour des principes fondamentaux de la République, ses interventions ressemblent parfois à un sketch improvisé, où l’on attend presque le rire enregistré en fond sonore. Qu’il s’agisse de déclarations incendiaires contre le gouvernement ou de prises de position invraisemblables, Delogu ne fait jamais dans la dentelle. D’ailleurs, il pourrait s’agir d’une stratégie bien mal pensée, certes, mais une stratégie tout de même. En occupant l’espace médiatique avec une virulence exagérée, l’élu se place en "vrai insoumis", sorte de chevalier blanc de la démagogie ou des caniveaux. Pourtant, derrière ces airs de tribun* des temps modernes se cache un homme dont le parcours laisse perplexe. Un passé opaque, des propos de plus en plus contradictoires… et si Delogu n’était tout simplement pas celui qu’on croit ? Ha oui, sur l'une de sa dernière bourde et son fameux « Je ne sais pas qui est Pétain », c'est quand même drôle qu'un membre d'un parti aux propos antisémite ne connais pas Pétain ? On devrait avoir a faire à un adorateur, non ? Imposture ou simple manque de rigueur ? Si l’on en croit certaines rumeurs (et parfois les rumeurs sont bien plus crédibles que les discours politiques, n’est-ce pas ?), Sébastien Delogu pourrait bien être le fruit d’un malentendu colossal. Ses origines, son parcours, ses connaissances en politique, tout cela semble parfois plus flou qu’un bulletin de vote à la mairie de Marseille. Des journalistes investiguent discrètement et, Internet étant ce qu’il est, quelques internautes zélés se sont déjà lancés dans la chasse aux incohérences. Ce qu’ils trouvent ? Des éléments troublants. Des contradictions entre ses discours et ses actes, des propos enflammés qui frisent l’hérésie républicaine, et un parcours académique qui, pour rester poli, semble plus que sommaire. L’étiquette "député" colle mal à la réalité d’un homme qui semble avoir pris l’Assemblée pour un ring de boxe avec les idées en moins. Le grand bluff de la politique ? Mais n’est-ce pas là la plus grande escroquerie de notre temps ? Sébastien Delogu incarne à merveille cette époque où l’agitation verbale suffit à masquer l'absence de fond. Ses interventions à l’Assemblée ne sont plus des débats, mais des performances théâtrales où chaque mot est jeté comme une grenade dégoupillée. Le plus fascinant dans tout cela ? C’est qu’il y a encore des gens pour applaudir. Pourtant, si l’on gratte la surface (et croyez-moi, il ne faut pas creuser bien profond), on découvre un personnage dont le discours est aussi creux qu’une promesse de campagne. Un imposteur à l’Assemblée, mais pas à la cantine Au final Sébastien Delogu est un peu comme ce collègue qui parle fort à la machine à café, mais qui oublie systématiquement de mettre de l’eau. Il s’agite, gesticule, hurle contre un système qu’il ne semble pas vraiment comprendre, et le plus inquiétant, c’est qu’il est payé pour ça. On dit souvent que la politique est un cirque, mais avec Delogu, on a carrément embauché le clown pour jongler avec les lois et les principes républicains, en espérant que personne ne se rende compte que ses balles sont crevées. Alors imposteur ou simple acteur de sitcom de quartier ? Une chose est sûre : si la politique était une épreuve de culture générale, Delogu serait recalé… avec mention "insoumis à la pédagogie". Mais heureusement pour lui, la République ne demande pas de réciter la Constitution pour entrer à l’Assemblée, il suffit de savoir lever la main et râler assez fort. En attendant, on lui souhaite bonne chance pour les prochaines échéances électorales… et surtout, qu'il évite de s'emmêler dans les couloirs du Palais Bourbon, où même le plan de sortie semble parfois plus compliqué que ses discours. Allez Sébastien, un peu de rigueur ! Et si ça ne marche pas, il y a toujours une place à prendre à la cantine de l’Assemblée, il paraît que là au moins, ils ne demandent pas de connaître la Déclaration des Droits de l'Homme pour servir le plat du jour. Delogu est-il un imposteur ? Peut-être. Mais il est surtout le reflet d’une dérive politique où l’apparence compte plus que la substance. Un homme qui crie fort pour masquer qu’il n’a rien à dire. Un député qui confond ses coups d’éclat avec des idées, et qui, de surcroît, semble avoir une vision bien personnelle de la République… celle où l’on piétine les principes quand cela arrange son discours. Dans tous les cas, une chose est sûre : si Sébastien Delogu est une imposture, il est l’une des plus bruyantes que la scène politique française ait produite ces dernières années. Quant à savoir si ses électeurs s’en rendront compte avant la prochaine échéance électorale… là est toute la question. David SCHMIDT - Content de vous apprendre des nouveau mots, que j'ai moi-même appris grâce à Clément Viktorovitch, politologue, chroniqueur et auteur français. Il enseigne la négociation et la rhétorique à Sciences Po Paris je vous conseille son livre : Le Pouvoir rhétorique : Apprendre à convaincre et à décrypter les discours. Vociférations : Parole bruyante, prononcée dans la colère. Cocarde : Insigne aux couleurs nationales. Logorrhée : Un écoulement de parole, plus fréquemment utilisé dans le théâtre de l'absurde avec un débit monotone. Tribun : Dans l'antiquité c'est un Magistrat romain chargé, à l'origine, de l'administration d'une tribu. Ici, dans le sens littéraire, un tribun est un orateur populaire à l'éloquence puissante et directe. Read the full article
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La sociabilisation et la dynamique des amitiés féminines
C'est une question complexe et très personnelle. Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles tu as du mal à te faire et à garder des amies filles, mais il est important de comprendre que chacun a une manière unique de socialiser, indépendamment du genre. Voici quelques éléments qui pourraient t'aider à mieux comprendre la dynamique des amitiés féminines, ainsi que des suggestions pour développer des relations plus solides.
### Raisons possibles pour les difficultés :
1. **Différences d'intérêts ou de valeurs** : Si tu n'as pas les mêmes centres d'intérêt que les filles avec qui tu interagis, il peut être difficile de créer un lien durable. Parfois, cela peut simplement être une question de ne pas avoir trouvé le bon groupe de personnes avec qui tu te connectes naturellement.
2. **Perception des interactions** : Il se peut que tu perçoives les interactions d'une manière différente des autres, ou que tu aies du mal à interpréter certaines attentes sociales ou signes non verbaux. Cela peut te donner l'impression d'être à l'écart ou de ne pas te sentir bien intégrée.
3. **Expériences passées** : Si tu as vécu des expériences négatives dans des amitiés féminines, comme des rivalités ou des malentendus, cela peut influencer la manière dont tu te comportes dans des situations similaires aujourd'hui.
4. **Personnalité** : Certaines personnalités peuvent avoir plus de mal à s'intégrer dans des groupes sociaux, surtout si tu es introvertie, indépendante ou si tu te sens différente dans tes intérêts ou ta manière d’interagir. Cela peut te rendre plus difficile à comprendre ou te donner une apparence de distance.
### Méthodes d'interaction et de socialisation des filles :
Bien que cela puisse varier selon les cultures et les individus, certaines tendances communes peuvent être observées dans les relations féminines :
1. **Communication émotionnelle** : Les femmes ont souvent tendance à créer des liens par des conversations plus émotionnelles et profondes. Elles partagent leurs sentiments, leurs pensées intimes, et cherchent souvent du soutien et de l'empathie. Les relations féminines se fondent souvent sur la capacité à s'ouvrir et à écouter les autres.
2. **Activités communes** : Participer à des activités communes comme le shopping, les discussions autour d'un café, ou d'autres activités sociales aide à renforcer les liens. Ces activités permettent de partager des moments légers tout en favorisant des échanges plus spontanés.
3. **Soutien mutuel** : Dans les amitiés féminines, le soutien émotionnel est clé. Offrir de l'écoute active, de l'encouragement, et de l'empathie sont des moyens efficaces de montrer que tu es une amie fiable et présente.
4. **Réactivité et disponibilité** : Les amitiés demandent un certain engagement émotionnel. Montrer que tu es là dans les bons et les mauvais moments, sans juger, est un aspect central des relations entre filles. Cela aide à renforcer la confiance.
### Suggestions pour construire des relations solides :
1. **Être authentique** : Essaye d'être toi-même sans chercher à changer pour plaire à tout prix. Les amitiés les plus solides se construisent lorsque tu te présentes telle que tu es vraiment.
2. **Partager tes intérêts** : Trouver des groupes ou des cercles qui partagent tes centres d’intérêt peut t’aider à rencontrer des filles avec qui tu te sentiras plus à l'aise.
3. **S'ouvrir progressivement** : Essaye de te montrer disponible et de partager des aspects plus personnels de ta vie, sans aller trop vite. Les amitiés se développent avec le temps, et il est important de se donner la chance de se connaître progressivement.
4. **Observer les dynamiques sociales** : Parfois, observer les interactions entre d’autres filles peut t'aider à mieux comprendre comment elles se connectent entre elles. Cela peut te donner des pistes pour adapter ton approche dans certains contextes.
5. **Prendre du recul sur les malentendus** : Les tensions ou malentendus sont inévitables dans toute relation. L’important est de ne pas se décourager et de chercher à résoudre les conflits de manière ouverte et respectueuse.
Cela étant dit, il est aussi essentiel de se rappeler que les relations ne se forment pas toujours facilement et que la patience et la persévérance sont nécessaires. Si tu restes fidèle à toi-même et continues de t'ouvrir aux autres, les connexions viendront naturellement avec le temps.
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Importance des cours particuliers pour l'apprentissage des langues
Importance des Cours Particuliers pour l'Apprentissage des Langues Dans le monde d'aujourd'hui, maîtriser plusieurs langues est un atout précieux, tant sur le plan personnel que professionnel. Que ce soit pour voyager, pour élargir ses perspectives de carrière ou pour se connecter avec des cultures différentes, apprendre une nouvelle langue ouvre de nombreuses portes. Cependant, la méthode d'apprentissage que l'on choisit joue un rôle crucial dans la rapidité et l'efficacité avec lesquelles ces compétences linguistiques sont acquises. Parmi les nombreuses options disponibles, les cours particuliers se distinguent par leur efficacité, leur flexibilité et leur capacité à répondre aux besoins individuels des apprenants. Importance des cours particuliers 1. Une Approche Personnalisée et Centrée sur l'Étudiant L'un des aspects les plus marquants des cours particuliers est leur capacité à offrir une approche entièrement personnalisée. Contrairement aux cours en groupe, où le programme est souvent conçu pour répondre aux besoins moyens des participants, les cours particuliers permettent au professeur de se concentrer exclusivement sur les objectifs de l'élève. Chaque leçon est adaptée pour répondre aux besoins spécifiques de l'apprenant, que ce soit pour améliorer la prononciation, développer le vocabulaire, ou comprendre des structures grammaticales complexes. Par exemple, si vous avez du mal avec les temps verbaux ou si vous souhaitez perfectionner votre accent, un cours particulier vous permet de passer autant de temps que nécessaire sur ces aspects. Cette personnalisation de l'apprentissage est essentielle pour progresser rapidement et de manière efficace. 2. Un Rythme d'Apprentissage Adapté à Vos Besoins Le rythme d'apprentissage est un autre facteur clé qui distingue les cours particuliers des cours en groupe. Dans un cadre de groupe, le rythme est souvent déterminé par la moyenne des participants, ce qui peut être frustrant pour ceux qui apprennent plus vite ou plus lentement. Dans un cours particulier, c'est vous qui définissez le rythme. Si vous avez besoin de plus de temps pour comprendre un concept ou si vous souhaitez avancer plus rapidement, le professeur s'adapte à vos besoins. Cela signifie que vous n'avez jamais à vous soucier de "ralentir" un groupe ou de vous sentir "à la traîne". Cette flexibilité est particulièrement utile pour les apprenants qui ont des objectifs spécifiques à atteindre dans un délai donné, comme préparer un examen ou un voyage à l'étranger. Importance des cours particuliers 3. Une Attention Individuelle Maximale L'attention individuelle est l'un des avantages les plus évidents des cours particuliers. Lorsque vous êtes le seul élève, le professeur peut se concentrer entièrement sur vous, répondre immédiatement à vos questions, et corriger vos erreurs en temps réel. Cette interaction directe et continue est inestimable pour identifier et surmonter les obstacles à l'apprentissage. De plus, elle permet de renforcer votre confiance en vous, car vous recevez des retours constants et constructifs. Importance des cours particuliers Par ailleurs, cette attention individualisée crée un environnement où vous pouvez vous exprimer librement, sans la crainte de faire des erreurs devant les autres. Cela est particulièrement bénéfique pour les apprenants timides ou ceux qui ont besoin d'un espace sécurisé pour pratiquer. 4. Un Environnement d'Apprentissage Idéal Les cours en groupe peuvent être distrayants, surtout si les participants ont des niveaux différents ou si l'environnement n'est pas propice à la concentration. En revanche, les cours particuliers se déroulent dans un cadre calme et contrôlé, souvent choisi par l'élève lui-même. Que vous préfériez apprendre depuis le confort de votre domicile, dans un café tranquille, ou en ligne via une plateforme de visioconférence, les cours particuliers offrent la flexibilité de choisir l'environnement qui vous convient le mieux. Cette possibilité de personnaliser votre espace d'apprentissage contribue à maximiser l'efficacité de chaque session. Vous êtes dans un environnement où vous vous sentez à l'aise, ce qui facilite l'absorption des connaissances et la pratique active de la langue. 5. Le Développement de la Confiance en Soi Pour beaucoup d'apprenants, parler une nouvelle langue, surtout au début, peut être une expérience intimidante. La peur de faire des erreurs devant les autres peut freiner la progression et la confiance en soi. Les cours particuliers offrent un espace où vous pouvez pratiquer sans pression, en prenant le temps nécessaire pour vous exprimer correctement et pour recevoir des corrections immédiates et constructives. Au fur et à mesure que vous progressez, cette confiance en vous se traduit par une meilleure aisance dans la langue, non seulement lors des cours, mais aussi dans des situations réelles, que ce soit au travail, en voyage, ou dans des interactions sociales. Importance des cours particuliers 6. Une Flexibilité Horaire et Géographique Inégalée Les cours particuliers offrent une flexibilité incomparable en termes d'horaires et de lieu. Contrairement aux cours en groupe, qui suivent un horaire fixe et souvent rigide, les cours particuliers peuvent être programmés selon vos disponibilités. Que vous soyez un professionnel avec un emploi du temps chargé, un étudiant avec des obligations académiques, ou un parent jonglant avec les responsabilités familiales, vous pouvez adapter vos cours à votre emploi du temps. De plus, la possibilité de suivre des cours en ligne signifie que vous pouvez apprendre de n'importe où dans le monde, sans être limité par la proximité géographique. Cette flexibilité permet de maintenir une régularité dans l'apprentissage, même lors de déplacements ou de changements d'emploi du temps. 7. Un Apprentissage Accéléré et Ciblé Parce que les cours particuliers sont adaptés à vos besoins spécifiques, ils permettent souvent un apprentissage plus rapide que les cours en groupe. Vous ne perdez pas de temps sur des sujets que vous maîtrisez déjà, et vous pouvez consacrer plus de temps aux domaines qui nécessitent plus d'attention. Cette focalisation sur les compétences clés, combinée à un rythme d'apprentissage adapté, accélère votre progression. Que vous ayez besoin de maîtriser une langue pour des raisons professionnelles, académiques, ou personnelles, les cours particuliers vous permettent d'atteindre vos objectifs plus rapidement et plus efficacement. Conclusion Les cours particuliers représentent un investissement précieux dans votre apprentissage linguistique. Grâce à une attention individualisée, une flexibilité inégalée, et une approche personnalisée, ils offrent une expérience d'apprentissage sur mesure qui maximise vos chances de réussite. Chez Talk and Chalk Idiomas, nous sommes dédiés à vous offrir des cours particuliers qui répondent à vos besoins spécifiques et vous aident à maîtriser une nouvelle langue avec confiance et compétence. N'attendez plus pour découvrir les avantages des cours particuliers et atteindre vos objectifs linguistiques dans un environnement conçu pour votre succès. Importance des cours particuliersFrance - USA - Brasil - Viagem Read the full article
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Comment apprendre les bases à un chien ?
Apprendre les bases à un chien est une étape cruciale pour établir une relation harmonieuse entre vous et votre compagnon canin. Voici un guide pour vous aider à enseigner les bases à votre chien de manière efficace. Commencez tôt La socialisation et la formation de base doivent commencer dès que vous ramenez votre chiot à la maison. Plus tôt vous commencez, plus il sera facile d'enseigner à votre chien les bases. Utilisez la récompense positive La récompense positive est l'une des méthodes les plus efficaces pour enseigner les bases à un chien. Utilisez des friandises, des éloges verbaux et des caresses pour récompenser votre chien lorsqu'il obéit à une commande. Soyez cohérent La cohérence est essentielle. Utilisez les mêmes commandes et les mêmes gestes à chaque fois. Évitez la confusion en restant constant dans vos attentes. Utilisez des séances courtes Les chiens ont une capacité d'attention limitée. Gardez les séances d'entraînement courtes et fréquentes, plutôt que longues et éprouvantes. Utilisez des commandes simples Commencez par enseigner des commandes simples telles que "assis", "couché" et "reste". Une fois que votre chien maîtrise ces bases, vous pouvez passer à des commandes plus avancées. Patience et persévérance La patience est essentielle. Les chiens apprennent à leur rythme, alors soyez prêt à répéter les commandes jusqu'à ce qu'il comprenne. Ne perdez pas patience ni ne punissez votre chien s'il fait une erreur. Utilisez des renforcements positifs Faites en sorte que l'apprentissage soit amusant pour votre chien. Utilisez des jeux et des jouets pour rendre l'entraînement ludique et stimulant. Enrôlez un professionnel Si vous avez des difficultés à enseigner les bases à votre chien ou si vous rencontrez des comportements problématiques, envisagez de faire appel à un dresseur professionnel. Ils ont l'expertise pour résoudre des problèmes plus complexes. A voir : Créez un coin de paradis pour votre lapin nain : tout pour un habitat sûr et confortable Restez calme et serein Gardez votre calme pendant l'entraînement. Les chiens sont sensibles à votre état émotionnel, alors restez serein même en cas de difficultés. Soyez patient avec les erreurs Votre chien fera des erreurs, c'est inévitable. Ne le grondez pas sévèrement. Au lieu de cela, répétez calmement la commande et récompensez-le lorsqu'il fait ce que vous attendez. L'apprentissage des bases à un chien demande du temps, de la patience et de la cohérence. En utilisant des méthodes de renforcement positif et en étant patient, vous pouvez aider votre chien à maîtriser les bases et à devenir un membre bien éduqué de votre famille. Read the full article
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La lumière des mots dans la nuit de l'ignorance
"Ce que nous ne pouvons nommer demeure insaisissable, même s'il se tient devant nous et hors de portée de notre compréhension, meme avec la pure évidence."
Il est vrai que ce que je m'apprête à exprimer pourrait être perçu comme controversé, par certaines écoles de pensée. Cependant, il est essentiel de reconnaître que la parole a été le fondement de toute création, et c'est en comprenant cette vérité fondamentale que nous pouvons réellement progresser. Le manque de vocabulaire engendre un aveuglement perceptuelle. Je me rappelle, durant mes années au secondaire (lycée) à la polyvalente Henri-Bourassa, l'enseignement précieux de mon professeur de français sur la nécessité d'enrichir notre champs lexicale. Elle nous enseignait avec perspicacité que les mots sont à l'esprit ce que les couleurs sont au peintre : des instruments indispensables pour appréhender la réalité. En effet, c'est à travers le prisme des mots que nous discernons notre environnement. Ce que nous ne pouvons nommer demeure insaisissable, même s'il se tient devant nous et hors de portée de notre compréhension, meme avec la pure évidence. Car ce ne sont pas nos yeux qui voient, mais notre esprit. Voyez-vous, accorder une grande importance aux mots est crucial. Leurs nuances infinies et leur puissance créatrice sont des éléments essentiels à comprendre et à maîtriser. Chaque mot que nous utilisons peut façonner nos pensées, nos actions et même notre réalité. Par conséquent, il est sage d'être attentif à la manière dont nous les utilisons, en choisissant avec soin ceux qui expriment au mieux nos intentions et nos valeurs.
En comprenant l'importance cruciale du vocabulaire, nous réalisons combien il est essentiel dans notre quotidien. Cette prise de conscience m'a été particulièrement révélée à travers l'expérience captivante de la parentalité. En tant que père d'un jeune garçon, j'ai été témoin des défis et des joies liés à la communication dès ses premiers balbutiements verbaux. Je ne vous cacherai pas que lorsque mon fils a commencé à parler, cela a été le début d'une véritable comédie à la Molière. Je ne le comprenais pas tout le temps, et il est vrai que cela demande de la pratique, de l'observation et du décodage. Il avait cette manière de s'exprimer comme s'il parlait une autre langue par moments. En observant attentivement, j'ai remarqué que parfois, lorsqu'il ne comprenait pas quelque chose, il était pris de spasmes de colère, qui parfois se transformaient en crises. En tant que nouveau parent, j'étais plein d'inquiétude, mais après plusieurs observations, j'ai réalisé que le problème ne venait pas de moi, mais de lui.
Malgré son jeune âge, mon fils a commencé à verbaliser très tôt. Cependant, son vocabulaire était encore limité pour exprimer pleinement ses besoins et ses sentiments. Mon incompréhension face à ses tentatives de communication a parfois déclenché chez lui de la frustration et de la colère. Cette réaction est parfaitement naturelle pour un enfant en développement.
Cependant, cette fascination pour le langage n'a pas été confinée à l'enfance. En observant les interactions linguistiques de mon fils, j'ai été frappé par les parallèles avec des situations que nous rencontrons tous en tant qu'adultes. Ces moments de frustration et de colère causés par un manque de mots adéquats sont aussi universels qu'humains. Nous avons tous déjà vécu ces moments où, lors de discussions avec des amis, des frictions apparaissent sans que l'on comprenne vraiment pourquoi notre interlocuteur s'agite et utilise un langage intense et disproportionné. En réalité, le problème est souvent bien simple : un manque de vocabulaire. Lorsque nous n'avons pas les mots justes pour exprimer nos idées et nos émotions, il est naturel de ressentir de la frustration. Cette observation souligne l'importance de cultiver un vocabulaire riche et précis, mais aussi celle de développer des compétences de communication qui favorisent l'écoute et la compréhension mutuelle.
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Modèle de communication transactionnelle. Le modèle de communication transactionnelle est un cadre théorique qui décrit les processus et les effets de la communication entre les êtres humains. Il a été développé par Eric Berne, le fondateur de l'analyse transactionnelle, dans les années 1950 et 1960. Dans ce billet de blog, nous allons vous présenter les principaux concepts du modèle de communication transactionnelle, ses avantages et ses limites, ainsi que quelques exemples d'application dans différents domaines. Modèle de communication transactionnelle Modèle de Orchestre en communication : Quelle synchronisation ! Ce modèle repose sur l'idée que la communication est un échange continu de signaux verbaux et non verbaux entre deux ou plusieurs personnes, qui influencent réciproquement leurs états psychologiques, leurs comportements et leurs relations. La communication visuelle →A lire aussi Le modèle de communication de Lasswell Nous espérons que ce contenu vous sera utile pour mieux comprendre et améliorer votre communication avec les autres. ## Qu'est-ce que le modèle de communication transactionnelle ? QU EST CE QUE LA COMMUNICATION VISUELLE_Page_02 Le modèle de communication transactionnelle se distingue des modèles linéaires ou circulaires de la communication, qui considèrent la communication comme un transfert d'information d'un émetteur à un récepteur, avec des éléments tels que le message, le canal, le code, le bruit ou la rétroaction. Ces modèles sont souvent critiqués pour leur simplicité et leur caractère statique, qui ne rendent pas compte de la complexité et de la dynamique de la communication réelle. Le modèle de communication transactionnelle propose une vision plus réaliste et plus complète de la communication, qui prend en compte les aspects suivants : Modèle de communication transactionnelle - La communication est un processus continu et simultané, qui implique des échanges bidirectionnels et multidimensionnels entre les interlocuteurs. Chaque personne est à la fois émettrice et réceptrice de signaux verbaux et non verbaux, qui sont interprétés en fonction du contexte et des expériences antérieures. Il n'y a pas de début ni de fin à la communication, mais plutôt une succession de transactions qui s'influencent mutuellement. - La communication est influencée par les états psychologiques des interlocuteurs, qui peuvent varier selon les situations et les moments. Ces états psychologiques sont déterminés par les besoins, les émotions, les attitudes, les valeurs, les croyances et les attentes de chaque personne. Ils conditionnent la façon dont chaque personne perçoit, encode, décode et réagit aux signaux émis ou reçus. Ils peuvent aussi être modifiés par la communication elle-même, créant ainsi un effet boule de neige. - La communication est influencée par les relations entre les interlocuteurs, qui sont basées sur le degré d'intimité, de confiance, de respect, de pouvoir ou de conflit qui existe entre eux. Ces relations se construisent et se transforment au fil du temps, en fonction des transactions communicatives qui ont lieu entre les personnes. Elles déterminent le type et le niveau de communication qui est possible ou souhaitable entre elles. - La communication est influencée par le contexte dans lequel elle se déroule, qui comprend les aspects physiques (lieu, temps, distance, bruit...), sociaux (normes, règles, rôles...), culturels (langue, valeurs, coutumes...) ou historiques (événements passés, mémoire collective...) qui entourent la situation communicative. Ces aspects peuvent faciliter ou entraver la communication, en fonction du degré d'adaptation ou de compatibilité entre les interlocuteurs. ## Quels sont les avantages du modèle de communication transactionnelle ? Avantages de la communication effective Le modèle de communication transactionnelle présente plusieurs avantages par rapport aux modèles plus traditionnels de la communication : La non communication n’existe pas - Il permet
d'analyser la communication de façon plus globale et plus nuancée, en tenant compte des multiples facteurs qui interviennent dans le processus communicatif. - Il permet d'expliquer les causes et les conséquences des réussites ou des échecs de la communication, en identifiant les sources potentielles de malentendus, d'incompréhensions ou de conflits entre les interlocuteurs. - Il permet d'améliorer la communication en proposant des outils et des techniques pour favoriser l'échange constructif et respectueux entre les personnes, en tenant compte de leurs besoins, de leurs émotions et de leurs relations. ## Quelles sont les limites du modèle de communication transactionnelle ? théories de la communication en 5 grands modèles Le modèle de communication transactionnelle n'est pas exempt de critiques ou de limites, parmi lesquelles on peut citer : schéma de la communication - Il repose sur des concepts et des termes qui ne sont pas toujours clairs ou consensuels, tels que l'état psychologique, la transaction ou la relation. Ces notions peuvent être interprétées de différentes façons selon les auteurs ou les contextes, ce qui peut nuire à la rigueur et à la validité du modèle. - Il présente une vision trop idéalisée ou normative de la communication, qui suppose que les interlocuteurs sont toujours conscients, rationnels et coopératifs, et qu'ils cherchent toujours à atteindre un accord ou une harmonie. Cette vision peut ignorer ou minimiser les aspects plus conflictuels, irrationnels ou manipulatoires de la communication, qui sont pourtant réels et fréquents dans la vie quotidienne. - Il s'appuie sur une approche psychologique de la communication, qui privilégie l'analyse des processus internes et individuels des interlocuteurs, au détriment des aspects plus externes et collectifs de la communication, tels que les structures sociales, les rapports de force ou les idéologies. Cette approche peut conduire à une vision trop subjective ou égocentrée de la communication, qui néglige les influences ou les contraintes du milieu environnant. ## Quels sont les exemples d'application du modèle de communication transactionnelle ? communication et changement de paradigme Le modèle de communication transactionnelle peut être utilisé dans différents domaines ou situations, tels que : 5 axiomes de École Palo Alto : l'efficacité d'une communication orale, verbale, écrite ... - La communication interpersonnelle : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les individus, que ce soit dans le cadre familial, amical, amoureux, professionnel ou autre. Il peut permettre de développer des compétences telles que l'écoute active, l'empathie, l'assertivité ou la gestion des conflits. - La communication de groupe : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication au sein d'un groupe, qu'il s'agisse d'une équipe de travail, d'un groupe d'étude, d'un groupe de loisir ou d'un groupe social. Il peut permettre de renforcer la cohésion, la collaboration, la créativité ou la performance du groupe. - La communication organisationnelle : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication au sein d'une organisation, qu'elle soit publique ou privée, petite ou grande, locale ou internationale. Il peut permettre d'optimiser les flux d'information, les processus décisionnels, les relations hiérarchiques ou les cultures organisationnelles. - La communication éducative : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les acteurs du système éducatif, tels que les enseignants, les élèves, les parents ou les administrateurs. Il peut permettre de favoriser l'apprentissage, la motivation, l'évaluation ou l'orientation des élèves. - La communication médiatique : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les médias et leurs publics, qu'il s'agisse de médias traditionnels (presse écrite, radio, télévision...) ou de médias numériques (internet, réseaux sociaux.
..). Il peut permettre d'analyser l'impact des médias sur les opinions, les attitudes ou les comportements des individus ou des groupes. ## Conclusion Communication analogique : sourires, remerciements , énervements, relation malade / négocier avec palo alto 1 Le modèle de communication transactionnelle est un cadre théorique qui offre une vision riche et complexe de la communication entre les êtres humains. Il met en évidence les interactions multidimensionnelles qui se produisent entre les interlocuteurs, en fonction de leurs états psychologiques, de leurs relations et du contexte dans lequel ils communiquent. Il présente des avantages pour analyser, expliquer et améliorer la communication dans différents domaines ou situations. Le modèle de communication de Lasswell →A lire aussi Modèle de l'orchestre en communication : Quelle synchronisation ! Il présente aussi des limites qui doivent être prises en compte pour éviter les confusions ou les simplifications excessives. Il constitue donc un outil utile mais pas suffisant pour appréhender la réalité complexe et dynamique de la communication humaine.
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#Maîtriser#Temps verbaux#Conjugaison#Verbes#Indicatif#Subjonctif#Conditionnel#Imparfait#Passé composé#Futur simple#Plus-que-parfait#Passé simple#Futur antérieur#Conjuguer#Syntaxe.
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Modèle de communication transactionnelle. Le modèle de communication transactionnelle est un cadre théorique qui décrit les processus et les effets de la communication entre les êtres humains. Il a été développé par Eric Berne, le fondateur de l'analyse transactionnelle, dans les années 1950 et 1960. Dans ce billet de blog, nous allons vous présenter les principaux concepts du modèle de communication transactionnelle, ses avantages et ses limites, ainsi que quelques exemples d'application dans différents domaines. Modèle de communication transactionnelle Modèle de Orchestre en communication : Quelle synchronisation ! Ce modèle repose sur l'idée que la communication est un échange continu de signaux verbaux et non verbaux entre deux ou plusieurs personnes, qui influencent réciproquement leurs états psychologiques, leurs comportements et leurs relations. La communication visuelle →A lire aussi Le modèle de communication de Lasswell Nous espérons que ce contenu vous sera utile pour mieux comprendre et améliorer votre communication avec les autres. ## Qu'est-ce que le modèle de communication transactionnelle ? QU EST CE QUE LA COMMUNICATION VISUELLE_Page_02 Le modèle de communication transactionnelle se distingue des modèles linéaires ou circulaires de la communication, qui considèrent la communication comme un transfert d'information d'un émetteur à un récepteur, avec des éléments tels que le message, le canal, le code, le bruit ou la rétroaction. Ces modèles sont souvent critiqués pour leur simplicité et leur caractère statique, qui ne rendent pas compte de la complexité et de la dynamique de la communication réelle. Le modèle de communication transactionnelle propose une vision plus réaliste et plus complète de la communication, qui prend en compte les aspects suivants : Modèle de communication transactionnelle - La communication est un processus continu et simultané, qui implique des échanges bidirectionnels et multidimensionnels entre les interlocuteurs. Chaque personne est à la fois émettrice et réceptrice de signaux verbaux et non verbaux, qui sont interprétés en fonction du contexte et des expériences antérieures. Il n'y a pas de début ni de fin à la communication, mais plutôt une succession de transactions qui s'influencent mutuellement. - La communication est influencée par les états psychologiques des interlocuteurs, qui peuvent varier selon les situations et les moments. Ces états psychologiques sont déterminés par les besoins, les émotions, les attitudes, les valeurs, les croyances et les attentes de chaque personne. Ils conditionnent la façon dont chaque personne perçoit, encode, décode et réagit aux signaux émis ou reçus. Ils peuvent aussi être modifiés par la communication elle-même, créant ainsi un effet boule de neige. - La communication est influencée par les relations entre les interlocuteurs, qui sont basées sur le degré d'intimité, de confiance, de respect, de pouvoir ou de conflit qui existe entre eux. Ces relations se construisent et se transforment au fil du temps, en fonction des transactions communicatives qui ont lieu entre les personnes. Elles déterminent le type et le niveau de communication qui est possible ou souhaitable entre elles. - La communication est influencée par le contexte dans lequel elle se déroule, qui comprend les aspects physiques (lieu, temps, distance, bruit...), sociaux (normes, règles, rôles...), culturels (langue, valeurs, coutumes...) ou historiques (événements passés, mémoire collective...) qui entourent la situation communicative. Ces aspects peuvent faciliter ou entraver la communication, en fonction du degré d'adaptation ou de compatibilité entre les interlocuteurs. ## Quels sont les avantages du modèle de communication transactionnelle ? Avantages de la communication effective Le modèle de communication transactionnelle présente plusieurs avantages par rapport aux modèles plus traditionnels de la communication : La non communication n’existe pas - Il permet
d'analyser la communication de façon plus globale et plus nuancée, en tenant compte des multiples facteurs qui interviennent dans le processus communicatif. - Il permet d'expliquer les causes et les conséquences des réussites ou des échecs de la communication, en identifiant les sources potentielles de malentendus, d'incompréhensions ou de conflits entre les interlocuteurs. - Il permet d'améliorer la communication en proposant des outils et des techniques pour favoriser l'échange constructif et respectueux entre les personnes, en tenant compte de leurs besoins, de leurs émotions et de leurs relations. ## Quelles sont les limites du modèle de communication transactionnelle ? théories de la communication en 5 grands modèles Le modèle de communication transactionnelle n'est pas exempt de critiques ou de limites, parmi lesquelles on peut citer : schéma de la communication - Il repose sur des concepts et des termes qui ne sont pas toujours clairs ou consensuels, tels que l'état psychologique, la transaction ou la relation. Ces notions peuvent être interprétées de différentes façons selon les auteurs ou les contextes, ce qui peut nuire à la rigueur et à la validité du modèle. - Il présente une vision trop idéalisée ou normative de la communication, qui suppose que les interlocuteurs sont toujours conscients, rationnels et coopératifs, et qu'ils cherchent toujours à atteindre un accord ou une harmonie. Cette vision peut ignorer ou minimiser les aspects plus conflictuels, irrationnels ou manipulatoires de la communication, qui sont pourtant réels et fréquents dans la vie quotidienne. - Il s'appuie sur une approche psychologique de la communication, qui privilégie l'analyse des processus internes et individuels des interlocuteurs, au détriment des aspects plus externes et collectifs de la communication, tels que les structures sociales, les rapports de force ou les idéologies. Cette approche peut conduire à une vision trop subjective ou égocentrée de la communication, qui néglige les influences ou les contraintes du milieu environnant. ## Quels sont les exemples d'application du modèle de communication transactionnelle ? communication et changement de paradigme Le modèle de communication transactionnelle peut être utilisé dans différents domaines ou situations, tels que : 5 axiomes de École Palo Alto : l'efficacité d'une communication orale, verbale, écrite ... - La communication interpersonnelle : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les individus, que ce soit dans le cadre familial, amical, amoureux, professionnel ou autre. Il peut permettre de développer des compétences telles que l'écoute active, l'empathie, l'assertivité ou la gestion des conflits. - La communication de groupe : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication au sein d'un groupe, qu'il s'agisse d'une équipe de travail, d'un groupe d'étude, d'un groupe de loisir ou d'un groupe social. Il peut permettre de renforcer la cohésion, la collaboration, la créativité ou la performance du groupe. - La communication organisationnelle : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication au sein d'une organisation, qu'elle soit publique ou privée, petite ou grande, locale ou internationale. Il peut permettre d'optimiser les flux d'information, les processus décisionnels, les relations hiérarchiques ou les cultures organisationnelles. - La communication éducative : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les acteurs du système éducatif, tels que les enseignants, les élèves, les parents ou les administrateurs. Il peut permettre de favoriser l'apprentissage, la motivation, l'évaluation ou l'orientation des élèves. - La communication médiatique : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les médias et leurs publics, qu'il s'agisse de médias traditionnels (presse écrite, radio, télévision...) ou de médias numériques (internet, réseaux sociaux.
..). Il peut permettre d'analyser l'impact des médias sur les opinions, les attitudes ou les comportements des individus ou des groupes. ## Conclusion Communication analogique : sourires, remerciements , énervements, relation malade / négocier avec palo alto 1 Le modèle de communication transactionnelle est un cadre théorique qui offre une vision riche et complexe de la communication entre les êtres humains. Il met en évidence les interactions multidimensionnelles qui se produisent entre les interlocuteurs, en fonction de leurs états psychologiques, de leurs relations et du contexte dans lequel ils communiquent. Il présente des avantages pour analyser, expliquer et améliorer la communication dans différents domaines ou situations. Le modèle de communication de Lasswell →A lire aussi Modèle de l'orchestre en communication : Quelle synchronisation ! Il présente aussi des limites qui doivent être prises en compte pour éviter les confusions ou les simplifications excessives. Il constitue donc un outil utile mais pas suffisant pour appréhender la réalité complexe et dynamique de la communication humaine.
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Modèle de communication transactionnelle. Le modèle de communication transactionnelle est un cadre théorique qui décrit les processus et les effets de la communication entre les êtres humains. Il a été développé par Eric Berne, le fondateur de l'analyse transactionnelle, dans les années 1950 et 1960. Dans ce billet de blog, nous allons vous présenter les principaux concepts du modèle de communication transactionnelle, ses avantages et ses limites, ainsi que quelques exemples d'application dans différents domaines. Modèle de communication transactionnelle Modèle de Orchestre en communication : Quelle synchronisation ! Ce modèle repose sur l'idée que la communication est un échange continu de signaux verbaux et non verbaux entre deux ou plusieurs personnes, qui influencent réciproquement leurs états psychologiques, leurs comportements et leurs relations. La communication visuelle →A lire aussi Le modèle de communication de Lasswell Nous espérons que ce contenu vous sera utile pour mieux comprendre et améliorer votre communication avec les autres. ## Qu'est-ce que le modèle de communication transactionnelle ? QU EST CE QUE LA COMMUNICATION VISUELLE_Page_02 Le modèle de communication transactionnelle se distingue des modèles linéaires ou circulaires de la communication, qui considèrent la communication comme un transfert d'information d'un émetteur à un récepteur, avec des éléments tels que le message, le canal, le code, le bruit ou la rétroaction. Ces modèles sont souvent critiqués pour leur simplicité et leur caractère statique, qui ne rendent pas compte de la complexité et de la dynamique de la communication réelle. Le modèle de communication transactionnelle propose une vision plus réaliste et plus complète de la communication, qui prend en compte les aspects suivants : Modèle de communication transactionnelle - La communication est un processus continu et simultané, qui implique des échanges bidirectionnels et multidimensionnels entre les interlocuteurs. Chaque personne est à la fois émettrice et réceptrice de signaux verbaux et non verbaux, qui sont interprétés en fonction du contexte et des expériences antérieures. Il n'y a pas de début ni de fin à la communication, mais plutôt une succession de transactions qui s'influencent mutuellement. - La communication est influencée par les états psychologiques des interlocuteurs, qui peuvent varier selon les situations et les moments. Ces états psychologiques sont déterminés par les besoins, les émotions, les attitudes, les valeurs, les croyances et les attentes de chaque personne. Ils conditionnent la façon dont chaque personne perçoit, encode, décode et réagit aux signaux émis ou reçus. Ils peuvent aussi être modifiés par la communication elle-même, créant ainsi un effet boule de neige. - La communication est influencée par les relations entre les interlocuteurs, qui sont basées sur le degré d'intimité, de confiance, de respect, de pouvoir ou de conflit qui existe entre eux. Ces relations se construisent et se transforment au fil du temps, en fonction des transactions communicatives qui ont lieu entre les personnes. Elles déterminent le type et le niveau de communication qui est possible ou souhaitable entre elles. - La communication est influencée par le contexte dans lequel elle se déroule, qui comprend les aspects physiques (lieu, temps, distance, bruit...), sociaux (normes, règles, rôles...), culturels (langue, valeurs, coutumes...) ou historiques (événements passés, mémoire collective...) qui entourent la situation communicative. Ces aspects peuvent faciliter ou entraver la communication, en fonction du degré d'adaptation ou de compatibilité entre les interlocuteurs. ## Quels sont les avantages du modèle de communication transactionnelle ? Avantages de la communication effective Le modèle de communication transactionnelle présente plusieurs avantages par rapport aux modèles plus traditionnels de la communication : La non communication n’existe pas - Il permet
d'analyser la communication de façon plus globale et plus nuancée, en tenant compte des multiples facteurs qui interviennent dans le processus communicatif. - Il permet d'expliquer les causes et les conséquences des réussites ou des échecs de la communication, en identifiant les sources potentielles de malentendus, d'incompréhensions ou de conflits entre les interlocuteurs. - Il permet d'améliorer la communication en proposant des outils et des techniques pour favoriser l'échange constructif et respectueux entre les personnes, en tenant compte de leurs besoins, de leurs émotions et de leurs relations. ## Quelles sont les limites du modèle de communication transactionnelle ? théories de la communication en 5 grands modèles Le modèle de communication transactionnelle n'est pas exempt de critiques ou de limites, parmi lesquelles on peut citer : schéma de la communication - Il repose sur des concepts et des termes qui ne sont pas toujours clairs ou consensuels, tels que l'état psychologique, la transaction ou la relation. Ces notions peuvent être interprétées de différentes façons selon les auteurs ou les contextes, ce qui peut nuire à la rigueur et à la validité du modèle. - Il présente une vision trop idéalisée ou normative de la communication, qui suppose que les interlocuteurs sont toujours conscients, rationnels et coopératifs, et qu'ils cherchent toujours à atteindre un accord ou une harmonie. Cette vision peut ignorer ou minimiser les aspects plus conflictuels, irrationnels ou manipulatoires de la communication, qui sont pourtant réels et fréquents dans la vie quotidienne. - Il s'appuie sur une approche psychologique de la communication, qui privilégie l'analyse des processus internes et individuels des interlocuteurs, au détriment des aspects plus externes et collectifs de la communication, tels que les structures sociales, les rapports de force ou les idéologies. Cette approche peut conduire à une vision trop subjective ou égocentrée de la communication, qui néglige les influences ou les contraintes du milieu environnant. ## Quels sont les exemples d'application du modèle de communication transactionnelle ? communication et changement de paradigme Le modèle de communication transactionnelle peut être utilisé dans différents domaines ou situations, tels que : 5 axiomes de École Palo Alto : l'efficacité d'une communication orale, verbale, écrite ... - La communication interpersonnelle : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les individus, que ce soit dans le cadre familial, amical, amoureux, professionnel ou autre. Il peut permettre de développer des compétences telles que l'écoute active, l'empathie, l'assertivité ou la gestion des conflits. - La communication de groupe : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication au sein d'un groupe, qu'il s'agisse d'une équipe de travail, d'un groupe d'étude, d'un groupe de loisir ou d'un groupe social. Il peut permettre de renforcer la cohésion, la collaboration, la créativité ou la performance du groupe. - La communication organisationnelle : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication au sein d'une organisation, qu'elle soit publique ou privée, petite ou grande, locale ou internationale. Il peut permettre d'optimiser les flux d'information, les processus décisionnels, les relations hiérarchiques ou les cultures organisationnelles. - La communication éducative : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les acteurs du système éducatif, tels que les enseignants, les élèves, les parents ou les administrateurs. Il peut permettre de favoriser l'apprentissage, la motivation, l'évaluation ou l'orientation des élèves. - La communication médiatique : le modèle peut aider à mieux comprendre et à améliorer la communication entre les médias et leurs publics, qu'il s'agisse de médias traditionnels (presse écrite, radio, télévision...) ou de médias numériques (internet, réseaux sociaux.
..). Il peut permettre d'analyser l'impact des médias sur les opinions, les attitudes ou les comportements des individus ou des groupes. ## Conclusion Communication analogique : sourires, remerciements , énervements, relation malade / négocier avec palo alto 1 Le modèle de communication transactionnelle est un cadre théorique qui offre une vision riche et complexe de la communication entre les êtres humains. Il met en évidence les interactions multidimensionnelles qui se produisent entre les interlocuteurs, en fonction de leurs états psychologiques, de leurs relations et du contexte dans lequel ils communiquent. Il présente des avantages pour analyser, expliquer et améliorer la communication dans différents domaines ou situations. Le modèle de communication de Lasswell →A lire aussi Modèle de l'orchestre en communication : Quelle synchronisation ! Il présente aussi des limites qui doivent être prises en compte pour éviter les confusions ou les simplifications excessives. Il constitue donc un outil utile mais pas suffisant pour appréhender la réalité complexe et dynamique de la communication humaine.
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Step by step
Bon, on me dit de ne plus rien attendre de lui.
Hier, il m'a dit qu'il n'a jamais voulu de cette relation et que je l'aurais forcé. J'étais plus qu'atterrée : on a eu une relation flirt pendant des mois, sans que ça ne soit sérieux, avant qu'il ne me propose d'aller plus loin.
J'ai retrouvé plein de message où je lui dis que c'est OK pour moi qu'on ne soit pas un couple, tant que je peux offrir de l'amour à quelqu'un pour ne plus être triste, alors ça me suffit.
J'ai toutes les preuves disponibles, que ce soit moi qui parle de cette relation sur les réseaux sociaux, des documents où j'exprime à quel point cette relation me faisait du mal, mais où je voulais "laisser une chance", sans doute par peur de la solitude et par peur qu'il ne se fâche.
Là où je commence à m'inquiéter, c'est que lorsque j'ai vécu d'autres types d'agressions il y a 10 ans, j'avais aussi fait un blog, avec des dessins. J'avais espéré que mon agresseur réalise.
La différence je pense, avec une plainte le concernant, c'est que j'ai décidé que je ne m'impliquerai pas plus que ça. Je ne lirai pas ses procès verbaux. Je ne me battrai pas. Je relaterai des faits, qui ont été documenté dès le jour où ça s'est passé. J'ai le soutien de beaucoup de gens et genre tous-tes me disent que porter plainte est parfaitement légitime. Il m'a tapé, je l'ai quitté, après il y a eu l'attachement amoureux qui fait que, mais maintenant qu'il m'explique ne jamais l'avoir été, cet attachement est parti, et je ne ressens plus de pitié. Pour le moment je ne sais pas encore si je vais porter plainte : je n'ai plus du tout d'affection pour lui, et mes souvenirs sont ternis, pour ne pas dire morts, depuis son message d'hier. Mais j'ai peur que ça me bouffe moi. J'ai peur d'une nouvelle procédure sans fin. D'un autre côté, on m'a dit que porter plainte, vu ce qu'il s'est passé, l'aiderait lui dans son cheminement et aiderait la société, les prochaines relations qu'il pourrait avoir. "La justice est là pour reconnaître des coupables" a dit mon psy : oui, c'est vrai. 3 jours où j'ai craqué à vouloir me tuer, 3 jours de crises, sur 1 mois de colocation, certes ce n'est pas à minimiser, mais ça ne justifie aucune diffamation ni coups. Du mal psy à ses colocs avant ma tentative de suicide : sérieusement mais j'ai fais quoi ? Littéralement je m'excusais de mon existence à 100% du temps. Je vais m'arrêter là pour ne pas tomber dans un puit de négativité, mais l'injustice de cette situation me sidère. Mais on m'avait averti.
"Il va donner une version qui l'arrange bien, où il sera dans la déculpabilisation. Il ne racontera pas le fait que vous vous sentiez mal depuis le début dans cette relation car vous aviez peur de lui" Après, j'ai jamais nié MES erreurs. J'ai jamais dis que mes actions étaient bien. Avoir des pensées ou pire, des gestes suicidaires, c'est pas cool du tout pour l'entourage, c'est très dur à supporter. Une fois il m'a dit "si tu tentais de te suicider, je fuirai, mais ça ne voudra pas dire que je t'ai jamais aimé ou que ce n'était pas réel". Alors qu'en est-il maintenant qu'il aurait "réalisé" qu'en fait il voulait jamais de cette relation, que j'aurais soi-disant forcée ? Lui-même dit tout le temps "les choses peuvent changer" : dès le début de notre fréquentation, il m'a dit "pour le moment pas de couple, mais ça peut changer". Et de fait, un jour, il m'a dit être amoureux, il a voulu officialiser, ça venait de lui, et j'ai accepté car je l'appréciais tout de même. Je n'ai jamais forcé, si ce n'est que je n'étais pas sûre, et que je ne savais pas si je voulais vraiment de ce type de relation où je me sentais aussi mal. "Faut jamais dire jamais"
Et maintenant je me fais pourrir car au début il voulait pas et après il voulait. En fait ça n'a aucun sens : il a peut-être réalisé qu'il voulait pas de relation, que lui aussi ça lui convenait pas, mais en quoi c'est ma faute ? À la limite qu'on allait mal tous les deux et qu'on se mentait à nous-même je veux bien, mais me traiter comme ça ? Il a dit qu'il s'en voulait aussi de "pas s'être écouté", je m'en veux également : mais moi, je n'ai jamais menti, je lui ai dis que j'avais mal au ventre, il me disait que ça passerait et que je devais "juste lui faire confiance". Tu parles.
D'ailleurs une liste de ses phrases et mots préférés qu'il répétait tout le temps : "Enlise" "C'est non négociable" "Fais moi confiance"
"J'ai pas lu car je me sens agressé" (quand on lui fait des gros reproches)
Il reste 2 mois et demi pour porter plainte. On est déjà le 18, ça s'est passé le 1. Donc jusqu'en janvier.
Je vais dire un dernier truc, après je vais arrêter sinon je vais juste déblatérer de l'énervement : mais qu'il se fasse passer pour victime aux yeux de tous-tes me tue littéralement. Pendant 5 mois j'ai pris sur moi à fond, j'ai eu très peu de crise, et j'ai tout fait pour limiter la casse de ces dernières (j'ai trouvé un psychiatre, pris des médics, etc.). J'osais pas m'exprimer pleinement devant lui sinon il me jugeait beaucoup ou me trouvait trop expansive. "Tu aurais dû être comme tu es" il m'a dit il y a une semaine.
Moi aussi j'ai besoin d'un break de ce gars, et me recentrer sur ma vie, mais ça n'enlèvera pas les coups et le mal qu'il m'a fait, et ça, peu importe ma tentative de suicide ou mutilation, que je regrette amèrement de mon côté, il l'aura aussi sur la conscience.
Je trouve plus grave de faire du mal à l'autre physiquement que du mal à soi. Quand on se fait du mal à soi on ne peut s'en prendre qu'à soi-même : quand on fait du mal à l'autre, on lui inflige quelque chose qu'il n'a pas demandé.
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POURQUOI JÉSUS EST-IL SI ÉTONNANT ?
Pourquoi Jésus était-il si étonnant ? Qu’y avait‑il de si inhabituel et de si passionnant dans son enseignement ?
Jésus se révélait comme un joueur d’échecs redoutable
L’une des raisons pourrait être la suivante : aussitôt que les gens commençaient à le mettre au défi et à lui poser des questions, Jésus se révélait comme un joueur d’échecs redoutable. Il refusait simplement de se laisser prendre dans des pièges verbaux ou intellectuels et réussissait toujours à retourner la situation en sa faveur. Et même alors, il le faisait d’une façon qui ne lui permettait pas seulement d’avoir le dernier mot, mais aussi de lancer un défi spirituel à tous ceux qui l’écoutaient. Laissez‑moi vous donner un exemple.
Matthieu 22
Matthieu 22 raconte que Jésus est en train d’enseigner dans le temple de Jérusalem lorsqu’il est approché par un groupe de chefs religieux qui veulent le mettre à l’épreuve. Il ne s’agit pas d’une rencontre fortuite. Ces chefs ont tout planifié. D’ailleurs, le récit commence en disant que les pharisiens « allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles ». Ils veulent aussi accomplir cela publiquement. Pour ce faire, ils surgissent dans le temple alors que Jésus est en train d’enseigner, se frayent un chemin à travers la foule, puis l’interrompent.
Ils commencent par le flatter : « Maître », susurrent‑ils, « nous savons que tu es vrai et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t’inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l’apparence des hommes ». On peut deviner ce qu’ils sont en train de faire ici : tenter de forcer Jésus à répondre à leur question en insinuant que s’il ne le fait pas, cela veut dire qu’il est un charlatan et un imposteur.
Alors, une fois la mise en scène prête, ils lui posent cette question :
« Dis‑nous donc ce qu’il t’en semble : est‑il permis, ou non, de payer le tribut à César ? »
Cette question a dû demander du temps et de la réflexion pour être formulée, car elle est d’une précision remarquable. Elle est conçue pour critiquer Jésus, pour mettre un terme à son influence d’une manière ou d’une autre, et peut‑être même pour le faire arrêter. Voici pourquoi… À cette époque, l’opinion dominante parmi les pharisiens – celle qu’ils enseignaient aussi au peuple – était celle‑ci : honorer un gouvernement étranger, même en lui payant un impôt, est un péché. Faire cela, pensent‑ils, équivaut à déshonorer Dieu lui‑même. Alors, pensez‑y : comment les pharisiens veulent‑ils que Jésus réponde à leur question ? En reconnaissant publiquement avec eux que payer des impôts est contraire à la Loi et intrinsèquement déshonorant à l’égard de Dieu ? Pensez‑vous qu’ils attendent ce genre de réponse ?
La vérité est qu’ils se fichent pas mal de la réponse. Quelle qu’elle soit, ils pensent que Jésus est piégé. D’un côté, si Jésus dit : « Oui, il est compatible avec la Loi de payer des impôts », la foule sera furieuse, et son influence sera anéantie. Mais d’un autre côté, s’il dit : « Non, ne payez pas les impôts », il risque la colère des Romains pour incitation à la sédition, ce qui conduira à son arrestation et mettra aussi un terme à son influence. Il est piégé des deux côtés, et c’est exactement ce que les pharisiens veulent, parce que ce sera la fin de Jésus en tant que force culturelle.
Mais Jésus évite le piège, renverse la question et les laisse stupéfaits encore une fois.
« Montrez‑moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut », dit‑il. Alors ils lui tendent une pièce. Jésus la regarde et la montre à la foule. « De qui porte‑t‑elle l’effigie et l’inscription ? », demande‑t‑il. C’est une question facile. « De César », répondent‑ils. Et ils ont raison. Juste là, sur la pièce, il y a le profil et le nom de l’empereur Tibère. C’est lui qui en est le propriétaire. Elle lui appartient. Son profil est imprimé dessus. Elle sort de ses ateliers, et le peuple juif est apparemment content d’utiliser ces pièces à son propre profit. Par conséquent, pourquoi ne devraient‑ils pas redonner à César ce qui lui revient de droit ? C’est pourquoi Jésus leur dit :
« Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »
Voilà une réponse extrêmement simple, n’est‑ce pas ? Cette pièce appartient à César, donc payez l’impôt. Et pourtant, la Bible dit que les gens, après l’avoir entendu, sont émerveillés. Pourquoi ? En premier lieu, Jésus vient juste de redéfinir la manière dont le peuple juif doit envisager sa relation avec les Romains, ce qui a sapé l’enseignement des pharisiens à ce sujet. De quelque façon qu’on l’envisage, il n’est en aucune manière déshonorant à l’égard de Dieu de donner à César ce qui lui appartient de façon si évidente et si légitime.
L’image de Dieu est imprimée au plus profond de notre être
Mais les paroles de Jésus peuvent aussi être interprétées sous un aspect plus profond, et c’est ce qui laisse les gens bouche bée de stupéfaction. Pensez à la question de Jésus quand il a montré la pièce à la foule. « De qui est‑ce l’effigie ? », a‑t‑il dit, et quand ils ont répondu que c’était celle de César, Jésus a considéré cela comme une preuve, une marque de propriété. C’était l’image de César sur la pièce ; elle lui appartenait donc. Alors, on devait rendre à César ce qui lui appartenait. Mais – et là est le point délicat – il a dit aussi qu’on devait rendre à Dieu ce qui est à Dieu, c’est‑à‑dire qu’on devrait rendre à Dieu les choses qui portent son image. Et quelles sont ces choses exactement ?
Tout le monde dans la foule comprend immédiatement le sens de ces paroles. Jésus fait référence à Genèse 1.6, où Dieu annonce son intention de créer l’homme en disant :
« Faisons l’homme à notre image selon notre ressemblance […] Ainsi Dieu créa l’homme à son image : il le créa à l’image de Dieu. »
Comprenez‑vous ? Jésus parle aux gens de quelque chose de plus profond que la politique et la philosophie… Il dit que tout comme l’image de César est imprimée sur la pièce, celle de Dieu est imprimée au plus profond de notre être. Donc, nous lui appartenons ! Oui, il y a une certaine forme d’honneur qui est rendue à César quand on reconnaît son image sur la pièce et qu’on la lui redonne. Cependant, un honneur infiniment plus grand est rendu à Dieu lorsqu’on reconnaît son image en soi et que l’on se donne soi‑même à lui – cœur, âme, esprit et force.
Nous sommes tous créés par Dieu
J’espère que vous comprenez ce que Jésus disait à ses auditeurs. La question de la relation de tout être humain avec Dieu est bien plus importante que toute discussion à propos de philosophie politique ou de relations entre nations. Jésus enseigne que nous sommes tous créés par Dieu, que vous êtes vous‑même créé par Dieu. Vous êtes créé à son image et à sa ressemblance, donc vous lui appartenez et vous êtes responsable devant lui. En conséquence, comme le dit Jésus, vous devriez rendre à Dieu ce qui lui appartient légitimement, c’est‑à‑dire rien de moins que votre être tout entier.
Cet article est tiré du livre : Qui est Jésus ? de Greg Gilbert
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