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Hier soir, il m'a appelée pour savoir si l'on pouvait se voir à l'improviste. Nous sommes allés dans un petit bar où il y avait des néons, une décoration chaleureuse et de bons cocktails. Belle découverte. Nous avons parlé de science, du chat de Schriödinger... C'était galvanisant. Puis, il s'est invité gentiment chez moi. Nous avions tenté de faire l'amour, mais nous étions trop fatigués.
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Notre histoire est un quotidien apaisant. Il est venu réviser trois jours à la maison, et notre cohabitation fut facile.
Je me sens en confiance avec lui.
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Nous venons de passer près de sept heures au téléphone. Nous avons parlé de tout, de rien. Surtout de rien. Je suppose que cette légèreté est due à la nouveauté encore toute florissante de notre relation.
Parfois, je me suis sentie affreusement sotte. Sans la moindre culture ni le moindre esprit. Je ne sais pas s'il s'en est rendu compte, s'il se moque de moi en son for intérieur. Toujours cette crainte d'être démasquée...
Sous couvert d'humour, il en devient presque indéchiffrable. Il prend les choses légères d'un ton grave et inversement, j'étais prévenue avant même de le rencontrer. Et cela m'a tout de suite plu.
Qu'il me tarde de pouvoir nous livrer sur nos blessures, nos peurs et nos espoirs respectifs.
Et puis, ce « ma jolie » qui clôt la conversation, comme un voile léger posé sur une promesse implicite, une affection nouvelle mais non encore complètement découverte. Ce petit surnom surprenant, comme un indice, une façon de marquer la transition d’un ton plaisant vers quelque chose de plus tendre, de plus intime. Un bel élan d'espoir.
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Tout à l'heure, nous étions dans un café. Avec un ami à lui, il se promenait dans mon quartier et m'ont proposé de les rejoindre.
Il était assis face à moi, parlant d’hélicoptères ou de motos avec cette légèreté qui lui était propre, une sorte de désinvolture charmante que je n’aurais pas su lui reprocher. Ses mots glissaient dans l’air comme des bulles de savon, inutiles et pourtant essentiels, et je me surprenais à sourire, presque malgré moi. Il n’avait pas encore conscience, je crois, de l’effet qu’il me faisait. Ou peut-être que si, peut-être que ce sourire en coin, un peu effronté, était une confession muette, une façon détournée de dire : « Je suis bien, ici, face à toi. »
Et moi, j’étais heureuse. C’était un bonheur inattendu, discret, comme une lumière douce à la fin d’un jour gris. Je l’observais, je notais ses gestes, son regard qui s’échappait parfois pour mieux revenir. Et chaque détail ajoutait à son charme, une accumulation tranquille mais irrésistible.
Puis, il a posé sa main sur la table, nonchalamment, mais je savais que ce n’était pas anodin. Sa main, là, si près de la mienne, presque en quête. Ce geste, il l’avait fait mille fois dans l’intimité de nos moments à deux, mais jamais en présence d’une tierce personne. C’était différent. Il brisait un équilibre, affirmant quelque chose sans le dire. Mon cœur a vacillé un instant, pris entre la surprise et une douce reconnaissance.
Je me suis tue. Parfois, le silence dit tout.
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Ce soir, c’est le Réveillon. Il est sur un rooftop quelque part, au bord de la Seine, dans ce coin d’Austerlitz que je ne connais qu’en passant. Une de ces soirées où l’on rit un peu trop fort pour masquer l’ennui, où l’on prétend que tout va bien simplement parce que les lumières scintillent et que le champagne coule. Je lui ai demandé si je pouvais venir. Une petite question, lâchée comme un ballon d’essai. Une heure s’est écoulée, et toujours rien. Je savais déjà que je n’aurais pas de réponse. Alors, à quoi bon écrire à nouveau ?
Il est 01h25. Les feux d’artifice sont sûrement finis, et moi, je suis là, dans cet entre-deux glacé, regrettant de ne pas être ailleurs, regrettant de ne pas danser. Ce soir, j’aurais voulu danser. Pour lui, pour moi, pour tout ce que j’ai perdu en chemin.
J’ai pris mon traitement. Un Stilnox en plus. Le sommeil viendra comme une excuse, une échappatoire. Avant d’éteindre mon téléphone, j’ai imaginé sa réponse, ce qu’il pourrait dire, ce que je pourrais répondre. Un petit jeu cruel. Mais s’il m’en parle demain, s’il me demande où j’étais, je lui dirai que j’ai terminé la soirée chez Khalil, à boire du champagne, à rire fort comme eux, à prétendre, moi aussi. Ça fera illusion. Ça fera cesser cette impression de passer pour une looseuse.
Demain, pourtant, est un autre jour. Ce que je me promets ce soir, c’est de ne plus attendre, de ne plus espérer en vain. Je danserai. Peu importe où, peu importe quand, mais je danserai, libre, pour cette nouvelle année qui commence. Je le jure. D A N S E R.
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Nous l'avons fait et c'était bien. Il est très sensible et m'a dit que j'étais douée. Douée, moi.
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Finalement, nous ne l'avons pas encore fait totalement. Dans la panique, j'ai prétexté être indisposée. Cela nous offre plus de temps à prendre pour aller plus loin. Du reste, il s'avère très doué de ses mains, du bout des doigts. Le plaisir qu'il m'a donné s'est fait l'écho d'heureuses nuits à venir. Il m'a dit que c'était la première qu'il passait une première nuit avec une femme sans coucher toute la nuit. Il fallait bien une première fois.
De mon côté, je lui ai également donné du plaisir, il m'a dit que j'étais douée. J'ai esquissé un sourire.
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Nous allons nous voir dans quelques jours. Je l'ai invité à faire le sapin et il a renchéri avec un marché de Noël. Peut-être passera-t-il le week-end à la maison.
Nous allons probablement coucher ensemble.
Cela me fait un peu peur, car il y a longtemps que j'ai fait la découverte d'un corps. Il me plaît, il a l'ai doux. Il est attentionné. Ca va bien se passer.
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Aujourd'hui, nous nous sommes retrouvé pour voir les Catacombes avec un ami à lui. Hier, ils ont fait une soirée pour un anniversaire et tous ont voulu me rencontrer; il leur a parlé de moi, me présentant probablement comme sa copine, ou presque. En tout cas, pas comme son plan cul, puisque nous n'avons pas encore consommé quoi que ce soit. Pour le moment, du moins.
Cela me semble à la fois simple et étrange, comme façon de faire. De mon côté, seul Youssef, Antoine et Rémy sont au courant de mes aventures. Excepté Antoine, ils habitent trop loin pour des présentations physiques et officielles. Pourtant, Dieu sait combien je les aime et voudrais les voir plus souvent.
Finalement, son ami a dû nous lâcher, sa moto était en panne. Nous nous sommes rabattus sur les Grandes Serres du Jardin des Plantes. Nous étions tous les deux au milieu de la jungle artificielle. Il m'a prise en photo plusieurs fois, à la volée. Il m'a tenue par la taille et embrassée la tempe à de nombreuses reprises. Il semble bien accroché. Cela m'a fait plaisir.
Puis, il m'a proposé d'aller à un anniversaire dans un bar. En attendant, nous avons pris un verre dans un bistrot à côté de la Galerie de Paléontologie. Il m'a parlé de beaucoup de choses, toujours très intéressantes. Comme à mon habitude, j'ai plus écouté que parlé. C'est à la fois une qualité et un défaut que d'avoir une bonne écoute. Notre interlocuteur peut s'épancher à sa guise et se sentir en confiance; mais cela peut nous priver de grands pans de notre personnalité et de notre histoire. Sans questions posées, nous ne pouvons nous livrer à notre tour. Et il m'a dit à plusieurs reprise qu'il avait l'impression que ce qu'il disait ne m'intéressait pas, car j'avais tendance à plisser des yeux d'un air blasé pendant ses tirades. Ce qui est faux. Je me concentre, juste. Quand nous nous sommées quittés, je lui ai dit qu'il devait se retirer cela de la tête, le rassurant comme je le pouvais.
A la soirée, il m'a carressé le dos, tandis que l'on buvait nos cocktails debout au bar. J'ai senti des frissons me parcourir. Pour la première fois depuis que l'on se connaît, j'ai eu envie de lui. Puis, pour jouer, il a dégrafé mon soutien-gorge, lorsqu'il me caressait le dos, sa main sous mon pull. Ni une ni deux, je suis allée dans les toilettes pour le retirer. Puis, rapidement, je l'ai fourré dans son sac à dos. Espérant lui donner quelques rêveries lorsqu'il le découvrira...
Nous avons mis une éternité pour nous dire au revoir. S'embrassant et parlant à qui mieux mieux. A un moment, je l'ai embrassé dans le cou, et il m'a dit qu'il était tenté de me kidnapper, qu'il était prêt à monter chez moi, même s'il y fait seize degrés. Il me tarde de pouvoir l'inviter.
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Nous sommes l’addition des personnes qui nous entourent, car nous calquons nos comportements sur les leurs, nous subissons leurs influences ; nous tirons tous des bénéfices des personnes avec qui nous vivons.
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J'avais besoin de prendre du temps, me voilà servie. Cette rencontre - que l'on peut aisément qualifier de charmante - me permet de prendre conscience de l'importance qu'il faut de prendre son temps.
Nous nous sommes rencontrés, avons passé la soirée et la nuit à discuter et à chanter, puis nous sommes embrassés. C'était simple, c'était logique. Sans avoir à aller chercher plus loin.
Nous nous sommes revus hier; une semaine venait de s'écouler. Là encore, la connivence était de mise, naturelle et espiègle. L'affection également, voire même peut-être un peu plus que cela.
Mais, là encore, en prenant tout notre temps. A l'instar de nos échanges écrits, résumés à quelques messages par jour, à des horaires écartables. Si cela avait pu être frustrant au départ, il s'avère que ce rythme ralenti me permet de me retrouver, de ne pas être trop sur le qui-vive. Je prête de l'attention à ce que j'ai à faire de façon beaucoup plus appuyée que par le passé.
Nous allons nous revoir dans un peu moins de deux semaines. Les Catacombes. C'est parfait, je vais pouvoir avoir du temps pour m'occuper de mes affaires.
Si cela ne marche pas entre nous, il m'aura tout de même appris cela : développer ma patience.
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Bonjour Fabien,
Manifestement tu es très timide, tu n'es pas disponible ou bien pas intéressé pour garder contact. J'opte pour cette dernière hypothèse.
Si je me trompe et qu'il s'agit de la seconde, sache que si l'on a envie d'écrire à quelqu'un, on trouve toujours un moment, au détour de la journée, une respiration pour le faire.
Y'a aussi peut-être le fameux '' suis-moi je te fuis '', mais j'ose espérer que tu n'as pas ce niveau d'immaturité. Le silence n'est pas un jeu.
Ce mutisme assourdissant et prolongé me confronte à une question : est-ce l’expression d’une réserve qui, dans son excès, frôle l’indifférence ? Ou bien le refus d’un lien auquel je croyais naïvement ?
C'est bien dommage, cela avait pourtant bien commencé. Apparemment, tu veux que l'on se revoit à ton retour mais tu as une communication fantomatique, inexistante. Je suis face à un mur de silence. Ce n'est pas quelque chose de très agréable. Je doute que tu aimerais cela si c'était toi qu'on ignorait ainsi. Moi, je ne fais pas cela.
Y'a un équilibre entre un message par deux jours et un message par minute. J'estime que je respecte ton espace avec bienveillance et sincérité, et ne te fais pas crouler sous des messages insignifiants et envahissants.
Et, bien entendu, si ma conclusion est erronée, si tu es simplement timide; c'était possible de m'écrire ou bien de m'en parler, cela m'aurait toujours fait plaisir.
Moi, j'avais vraiment envie de te connaître davantage au fil des jours, lentement, en prenant le temps. Je sais combien c'est agréable. J’aurais aimé te découvrir, pas te deviner.
Mais voilà, j'ai beau faire preuve de patience, là, ta silencieuse inélégance, qui, au départ pouvait paraître pour une petite coquetterie de personne réservée ; est devenue agaçante.
Je n'ai pas le temps de te courir après, on n'a plus quinze ans. La vie est trop brève, et les occasions trop précieuses, pour que l’on s’attarde à chercher dans les ombres ce qui refuse de se montrer à la lumière.
Tout cela me lasse et me coupe toute envie de te parler, de te revoir. La vie est faite de liens, Fabien, et les laisser mourir faute de les nourrir est la pire des paresses.
Je te souhaite donc une bonne continuation et de corriger ce défaut de communication, voire même de franchise, si l'on va plus loin.
Au revoir.
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Hier, j'ai eu un autre date. Le type était grandiloquent. Bref, une soirée où j'étais là sans être là, à sourire et à relancer la conversation pour éviter de parler de moi.
Ce soir, j'ai revu F. Nous sommes allés au cinéma. Il m'a semblé comme lundi soir. Réservé et souriant. Nous sommes allés dans un bistrot, je l'ai invité.
Il part pour presque trois semaines à C. Il revient en décembre. J'imagine qu'il doit avoir une vie sociale très ouverte à Paris. Lors de notre séparation, il m'a dit : "on se revoit une prochaine !" tout en me promettant de donner des nouvelles de son chat, pour lequel il a un rendez-vous demain. Aurait-il pris un verre de plus s'il avait été davantage libre ? Je ne sais pas...
Une chose est certaine : il veut que l'on se revoit.
Moi aussi. Même si je en sais pas comment cela va se passer avec ces semaines qui vont nous séparer.
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Lundi soir. Nous sommes arrivés dans le bistrot à dix-huit heures et sommes restés jusqu'à vingt-trois heures, la fermeture. Je n'ai pas vu le temps passer.
Il me dit qu'il a passé une belle soirée. Qu'il veut me revoir bientôt. Il semble enthousiaste à l'idée d'aller au cinéma, jeudi soir. C'est lui qui a organisé cela.
Dans ses messages, il m'a appelé plusieurs fois par mon prénom. Il m'a souhaité une ''belle nuit''. Avec un cœur.
Mardi. Je lui écris un message pour lui souhaiter une bonne journée, il m'a répondu rapidement, en me souhaitant de même.
C'est le soir, il ne m'a pas écrit. J'estime que c'est à son tour de m'écrire. Je ne veux pas paraître envahissante.
Peut-être a-t-il un date, ce soir. Ou plus tard. Je ne sais pas. J'espère lui plaire suffisamment pour que l'on se revoit après le cinéma. Nous avons déjà beaucoup de points en commun...
De mon côté, j'ai des dates avec plusieurs types. Ils me semblent désormais fades. Envie de les annuler.
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Penser à toi est aussi plaisant qu'un rêve. Mais c'est aussi un cauchemar, dans la mesure où rien n'est jamais concret.
Les rêves sont terribles pour ça : on ne peut ni les toucher, ni les vivre.
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Une première nuit d'amour n'a de nom de nuit que son décor.
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La sociabilisation et la dynamique des amitiés féminines
C'est une question complexe et très personnelle. Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles tu as du mal à te faire et à garder des amies filles, mais il est important de comprendre que chacun a une manière unique de socialiser, indépendamment du genre. Voici quelques éléments qui pourraient t'aider à mieux comprendre la dynamique des amitiés féminines, ainsi que des suggestions pour développer des relations plus solides.
### Raisons possibles pour les difficultés :
1. **Différences d'intérêts ou de valeurs** : Si tu n'as pas les mêmes centres d'intérêt que les filles avec qui tu interagis, il peut être difficile de créer un lien durable. Parfois, cela peut simplement être une question de ne pas avoir trouvé le bon groupe de personnes avec qui tu te connectes naturellement.
2. **Perception des interactions** : Il se peut que tu perçoives les interactions d'une manière différente des autres, ou que tu aies du mal à interpréter certaines attentes sociales ou signes non verbaux. Cela peut te donner l'impression d'être à l'écart ou de ne pas te sentir bien intégrée.
3. **Expériences passées** : Si tu as vécu des expériences négatives dans des amitiés féminines, comme des rivalités ou des malentendus, cela peut influencer la manière dont tu te comportes dans des situations similaires aujourd'hui.
4. **Personnalité** : Certaines personnalités peuvent avoir plus de mal à s'intégrer dans des groupes sociaux, surtout si tu es introvertie, indépendante ou si tu te sens différente dans tes intérêts ou ta manière d’interagir. Cela peut te rendre plus difficile à comprendre ou te donner une apparence de distance.
### Méthodes d'interaction et de socialisation des filles :
Bien que cela puisse varier selon les cultures et les individus, certaines tendances communes peuvent être observées dans les relations féminines :
1. **Communication émotionnelle** : Les femmes ont souvent tendance à créer des liens par des conversations plus émotionnelles et profondes. Elles partagent leurs sentiments, leurs pensées intimes, et cherchent souvent du soutien et de l'empathie. Les relations féminines se fondent souvent sur la capacité à s'ouvrir et à écouter les autres.
2. **Activités communes** : Participer à des activités communes comme le shopping, les discussions autour d'un café, ou d'autres activités sociales aide à renforcer les liens. Ces activités permettent de partager des moments légers tout en favorisant des échanges plus spontanés.
3. **Soutien mutuel** : Dans les amitiés féminines, le soutien émotionnel est clé. Offrir de l'écoute active, de l'encouragement, et de l'empathie sont des moyens efficaces de montrer que tu es une amie fiable et présente.
4. **Réactivité et disponibilité** : Les amitiés demandent un certain engagement émotionnel. Montrer que tu es là dans les bons et les mauvais moments, sans juger, est un aspect central des relations entre filles. Cela aide à renforcer la confiance.
### Suggestions pour construire des relations solides :
1. **Être authentique** : Essaye d'être toi-même sans chercher à changer pour plaire à tout prix. Les amitiés les plus solides se construisent lorsque tu te présentes telle que tu es vraiment.
2. **Partager tes intérêts** : Trouver des groupes ou des cercles qui partagent tes centres d’intérêt peut t’aider à rencontrer des filles avec qui tu te sentiras plus à l'aise.
3. **S'ouvrir progressivement** : Essaye de te montrer disponible et de partager des aspects plus personnels de ta vie, sans aller trop vite. Les amitiés se développent avec le temps, et il est important de se donner la chance de se connaître progressivement.
4. **Observer les dynamiques sociales** : Parfois, observer les interactions entre d’autres filles peut t'aider à mieux comprendre comment elles se connectent entre elles. Cela peut te donner des pistes pour adapter ton approche dans certains contextes.
5. **Prendre du recul sur les malentendus** : Les tensions ou malentendus sont inévitables dans toute relation. L’important est de ne pas se décourager et de chercher à résoudre les conflits de manière ouverte et respectueuse.
Cela étant dit, il est aussi essentiel de se rappeler que les relations ne se forment pas toujours facilement et que la patience et la persévérance sont nécessaires. Si tu restes fidèle à toi-même et continues de t'ouvrir aux autres, les connexions viendront naturellement avec le temps.
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