#Sandrine Beau
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liqueuramere · 2 years ago
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"L'obéissance, c'est la liberté"
Chronique de On n'a rien vu venir, d'Anne-Gaëlle Balpe, Sandrine Beau, Clémentine Beauvais, Annelise Heurtier, AgnÚs Laroche, Fanny Robin et Séverine Vidal, 2019
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J'essaie de lire davantage de littĂ©rature jeunesse, et Ă  ce titre j'ai dĂ©nichĂ©, par hasard dans une braderie de livres, ce roman dont le rĂ©sumĂ© m'a intriguĂ©. Il faut d'abord dire quelques mots sur le dispositif d'Ă©criture, qui est suffisamment original pour ĂȘtre remarquĂ© : dans cette courte fiction (une centaine de pages) divisĂ©e en sept chapitres et un Ă©pilogue, chaque segment du rĂ©cit est rĂ©digĂ© par une autrice diffĂ©rente, d'oĂč la mention "roman Ă  7 voix" sur la premiĂšre de couverture. Il s'agit Ă  la fois d'un roman choral car la narration change de point de vue d'un chapitre Ă  l'autre, mais aussi de ce que les AmĂ©ricains nomment une round-robin story (littĂ©ralement, "histoire composĂ©e d'un message que l'on se fait passer"), c'est-Ă -dire un texte issu de la collaboration de plusieurs auteurices, chacun.e rĂ©digeant un bout de l'histoire.
On n'a rien vu venir raconte le glissement d'une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique vers un rĂ©gime totalitaire. Le 4 juin d'une annĂ©e X, dans un pays qui ressemble au nĂŽtre, le Parti de la LibertĂ© est Ă©lu sur un programme fonciĂšrement raciste. En quelques semaines, un État fasciste se met en place, dont la dictature repose sur la discrimination des Noirs et la suprĂ©matie des Blancs, ainsi que sur une restructuration orwellienne des institutions et des lois. Le dĂ©coupage des chapitres suit, sur quelques mois, la chronologie de ce basculement dystopique. Les points de vue de diffĂ©rents personnages se succĂšdent : un collĂ©gien qui dĂ©couvre avec effroi que ses parents ont votĂ© pour le Parti, une famille qui dĂ©cide de quitter temporairement le pays, un frĂšre et une sƓur racisĂ©.e.s qui luttent Ă  leur petite Ă©chelle contre les discriminations raciales, un garçon handicapĂ© moteur qui Ă©chappe de peu Ă  une politique validiste, un collĂ©gien qui se rebelle contre le nouveau rĂšglement de son Ă©cole, un fils qui fuit aprĂšs le tabassage et l'arrestation de ses deux pĂšres homosexuels, deux enfants qui tentent de remonter discrĂštement leur chorale.
Chacun Ă  leur façon, ils montrent comment la sociĂ©tĂ© se transforme et comment les citoyens entrent (ou non) en rĂ©sistance. MĂȘme si la situation de chaque personnage est diffĂ©rente, un point commun les rassemble, sous la forme d'un constat amer prononcĂ© dans chacun des chapitres : on n'a rien vu venir. Un leitmotiv qui a valeur d'avertissement, car, on le comprend assez rapidement, ce roman imagine ce qui pourrait nous arriver si l'extrĂȘme-droite (en l'occurrence, le Rassemblement National) arrivait au pouvoir en France. Ce roman est en effet un apologue sous forme de rĂ©cit d'anticipation.
Le texte est rĂ©digĂ© dans un style trĂšs homogĂšne et accessible, qui utilise le langage courant et familier des collĂ©giens sans en faire trop. En revanche, on ne peut pas dire qu'il fasse preuve d'une grande subtilisĂ© sur le fond, l'appel Ă  la vigilance contre le fascisme parcourant explicitement l'ouvrage avec de gros sabots, ceux de grands idĂ©aux moraux naĂŻvement exprimĂ©s. Ce didactisme transparent et grandiloquent est assurĂ©ment Ă  mĂȘme de faire de l’Ɠuvre un classique instantanĂ© de l'Éducation nationale, mais confĂšre Ă  l'ensemble un certain manque de profondeur. Cette superficialitĂ© est sans doute en partie due Ă  la briĂšvetĂ© du roman, mais aussi au parti pris (surprenant, selon moi) de ne faire dĂ©buter le rĂ©cit qu'Ă  partir de l'Ă©lection du nouveau Chef, et non avant, ce qui aurait permis de dĂ©velopper avec un peu de finesse (du moins peut-on l'espĂ©rer) les diverses causes ayant conduit Ă  cette victoire. Dans On n'a rien vu venir, on a l'impression, comme le titre le suggĂšre, que personne n'a vu de signes avant-coureurs du rĂ©gime totalitaire qui s'instaure, et que le pouvoir d'action des personnages ne commence que quand le mal est dĂ©jĂ  lĂ . La menace n'est vĂ©ritablement dĂ©clarĂ©e qu'au moment oĂč elle s'institutionnalise (par les urnes), ce qui donne une vision trĂšs parcellaire de la conflictualitĂ© politique et de son inscription dans le temps. Il manque une piĂšce au puzzle pour que ce roman soit pleinement convainquant, Ă  mon avis.
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gregor-samsung · 5 months ago
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Un Beau Soleil Intérieur [Let the Sunshine In] (Claire Denis, 2017)
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lunastral · 5 months ago
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Marie (The Aristocats) themed NPT, with a dash of Lovecore.
[Pt: Marie (The Aristocats) themed NPT, with a dash of Lovecore.]
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Names
[Pt: Names]
Agnes, Amantine, Amelia, Amore, Amour, Anne, Antoinette, Aurélie, Beau, Bella, Bianca, Béatrice, Cadence, Chantal, Cordelia, Céline, Dominique, Enzo, Francis, Gabriel, Juliette, Laurence, Léandre / Lysandre Louis, Louise, Lucien, Ludovic, Lydia, Marianne, Marlon, Meowette, Meowgaretta, Mireille, Mirette, Mélodie, Nathalie, Odette, Olivier, Pawline, Patrice, Pearl, Pierre, Purrette, Purriette, Purrlina ,Purrsephone, Sandrine, Stéphanie, Victoria, Véronique, Wynn
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Pronouns
[Pt: Pronouns]
Sh♡ / h♡r, H♡ / H♡m, Mew / Mews, Meow / Meows, Mew / Meow / Meows, Miau / Miaus, Dar/Darling/Darlings, Deli / Cate / Delicates / Delicateself, Bow / Bows, Frill / Frills, Lae / Lace, Fan / Fancy, El / Elegant, Gra / Grace, So / Soft / Softs, flu/fluffy/Fluffies/Fluffself.
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Titles
[Pt: Titles]
The [Proper] The Rowdy [Proper], The Delicate [Royal], the Hopeless Romantic, The Darling, [Prn] darlingness, Prn Fuzzy Feline, The loving [Royal], Prn Fanciness, The Fancy One, The Kitten as White as Snow, The pure-hearted feline, Prn Elegance. The kitten with a bow on Prn neck, Prn Regal bow, Prn with the Fluffy Tail
* Prn = Insert pronoun here
** Royal = Dutchess, Dukesse, Duke, Princess, Prince, Prin.
*** Proper= Lady, Gentlelad(y), Gentleman.
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animomes · 11 months ago
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Depuis quelques jours chez Sandrine on travaille sur les insectes, bravo RaphaĂ«l ton mobile est trĂšs beau 👏.
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sandrinedecembre · 2 years ago
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[ Adeline et son destin]
Exercice pleinement réussi pour Adeline Toniutti avec son one woman show à l'américaine qui nous raconte son histoire, son destin.
Je ne me suis pas ennuyée une seconde. La dame rousse a du talent. Son récital offre des scÚnes théùtralisées sur le ton d'une confidence dramatique et drÎle à la fois. Ce récital offre aussi le répertoire d'Adeline avec ses compositions accompagnée pour ce faire de 21 Juin le duo
Cent commentaires à faire sur la beauté des textes. Et moi de pousser mon ami Philippe du coude pour lui demander : "Il est de qui ce texte ? Tu connais ?" (Au fait Philippe est psy pour ceux qui ont vu le spectacle).
Bref et le tout est joliment ficelé par un bon management. Celui de David Hardit
Le député dominant
Je terminerai par ce député qui s'est glissé dans le parcours d'Adeline. Je me suis reconnue dans cet entretien d'assistante parlementaire. Il m'est arrivé à moi aussi de refuser un poste "d'escorte" attachée parlementaire alors que j'en avais réellement besoin moi aussi.
Je suis évidemment ravie de ce passage qu'Adeline aura su consacrer à ce député.
Violences d'une vie
Une violence qu'elle aura subie d'un député et qui s'est ajoutée à celle d'une vie auprÚs d'un homme qui l'aura battue alors qu'elle venait de perdre sa voix sous les effets d'une cheminée qui lui a brûlé les cordes vocales.
Un psy ténor
Puis ensuite c'est la rencontre d'un psy ténor, la création de son école de chant, la Star Ac et la dame rousse poursuit son chemin de vie entre une étourdissante puissance de travail, une force organisationnelle hors paire et une créativité hors norme.
Le cri d'un regard
Je suis ravie de te voir sur scÚne jolie rousse avec laquelle j'ai eu plaisir à échanger sur le livre que j'ai écrit sur Johnny Hallyday dans mon appartement belfortain. Tu me posais tant de questions, vive d'esprit et curieuse que tu es. Nous échangions sur la gestion des carriÚres artistiques alors que j'entendais à peine le son de ta voix tout en entendant déjà le son de ta pugnacité et de ta détermination. Ton regard criait cette envie de rencontrer le public. C'est chose faite et avec élégance et puissance.
C'Ă©tait un beau spectacle qui m'a donnĂ© envie de revoir Eric KoeberlĂ© et Pierre Petey Ă  Belfort et peut-ĂȘtre de t'entendre sur scĂšne dans cette ville oĂč j'ai eu le plaisir de te rencontrer.
Mais pour l'heure c'est une tournée française qui attend ton trÚs beau spectacle que je recommande aux passionnés de chanson françaises, anglaises et allemandes mais je ne vais pas tout vous dévoiler. Voilà. Achetez vos places, vous ne le regrettez pas.
đŸ“· Sandrine DĂ©cembre
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mancino · 2 years ago
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MA RAISON DE VIVRE
Je n’ai pas de mot
Mais c’est bien plus beau
De le dire à ma façon
Je dĂ©borde d’émotion
Bourré de bonnes intentions
C’est fait sans prĂ©mĂ©ditation
Parce que je suis spontané
Comme je suis né je fais
Ce n’est pas calculĂ©
C’est en moi c’est innĂ©
Je t’aime avec mes yeux
Je te le dis de mon mieux
Merci d’exister
Je t’aime avec mes bras
Je fais le tour de toi
Merci de m’accompagner
Je t’aime avec mes bĂȘtises
Quand je vole des friandises
Merci de me comprendre
Je t’aime avec mon cƓur
Il est tout tendre Ă  l’intĂ©rieur
Merci de l’apprĂ©cier
Viens avec moi essayer le bonheur
Il n’y en a pas ailleurs de meilleur
Je fais déjà parti de toi
Ne me quittes pas
Je suis fidĂšle Ă©coute moi
Ne me trompe pas
Accompagne moi jusqu’au bout
La mort fait parti d’un tout
Je te confie ma vie
Ma confiance en toi est infinie
Je t’aimerai jusqu’au bout de ma vie
Ce n’est pas moi c’est mon cƓur qui te le dit
Parce que tu es ma raison de vivre
Tout en moi peut te le dire
Sandrine coudert
Tdr
300623
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vagabondageautourdesoi · 4 months ago
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Gustave Caillebotte - Sandrine Andrews
Pour la Rentrée artistique 2024, Gustave Caillebotte de Sandrine Andrews présente la modernité de ce peintre amoureux de la ville, des corps et des activités
RentrĂ©e artistique 2024 PrĂ©sentation d’un peintre amoureux de la ville, des corps et des activitĂ©s des hommes Gustave Caillebotte (1848 – 1894)entre en majestĂ© Ă  Paris en investissant le MusĂ©e d’Orsay cet automne. Pour complĂ©ter ou mĂȘme remplacer cette visite, le beau livre de Sandrine Andrews pose les bases du talent de ce peintre effacĂ© qui participa pleinement au courant Impressionniste.

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yes-bernie-stuff · 1 year ago
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www.la-Bible.infoRead on blog or reader
Courir sans trébucher Autour de la Bible
Jan 23
“C’est la voie de la sagesse que je t’enseigne. Je te guide vers de droits chemins. Si tu y marches, tes pas ne seront pas gĂȘnĂ©s, et si tu y cours, tu ne trĂ©bucheras pas.” Proverbes 4.11-12
"Je cours vers le but pour remporter le prix de l’appel cĂ©leste de Dieu en JĂ©sus-Christ." La Bible, Philippiens 3:14 C’est toujours pour moi une grande tristesse de voir un coureur tomber lors d’une compĂ©tition. Tous ces entraĂźnements et efforts anĂ©antis si rapidement Ă  cause d’une petite inattention ou d’une erreur de l’athlĂšte ou d’un adversaire. Il arrive mĂȘme aux meilleurs coureurs de trĂ©bucher parfois.
Dans notre vie de foi Ă©galement, nous faisons au mieux et souhaitons ce qu’il y a de meilleur, mais il nous arrive de trĂ©bucher. Heureusement, Dieu sait bien de quoi nous sommes faits, puisqu’Il nous a crĂ©Ă©s et Il nous offre, au travers du sacrifice de JĂ©sus, son pardon Ă  tout moment.
Alors que nous avançons dans cette nouvelle annĂ©e, je souhaite t’encourager Ă  mĂ©diter sur ces versets de proverbes. La sagesse de Dieu nous guide vers de droits chemins. Sur ces chemins lĂ , aucune chance de trĂ©bucher !
Wow, ce serait beau qu’il existe une piste en tartan ou de l’asphalte sur lequel il serait impossible de tomber.
Quels sont donc ces « droits chemins » sur lesquels nous ne trĂ©buchons pas dans notre vie de foi ? Certaines traductions expriment ceci : « des sentiers de la droiture » ou encore « mener une vie honnĂȘte ».
Suivre la sagesse et rechercher l’honnĂȘtetĂ© et la droiture, voici ce qu’il nous permettra d’éviter les « chutes » dans notre vie de foi durant cette annĂ©e 2024.
En ce dĂ©but 2024, je t’invite Ă  prier pour apprendre de la sagesse de Dieu et pour ĂȘtre guidĂ© sur ces droits chemins tout au long de cette annĂ©e !
Sandrine Ray AumĂŽniĂšre Sportive
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omagazineparis · 1 year ago
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Saint Valentin, et si je la fĂȘtais seule
Ce n'est mĂȘme pas encore le 14 fĂ©vrier que vous voyez dĂ©jĂ  des soldes chez le fleuriste d'Ă  cĂŽtĂ©. La Saint Valentin c'est demain, et au fond vous vous en fichez un peu parce que vous n'avez personne avec qui la passer. Justement ! profitez-en pour passer la soirĂ©e
 avec vous-mĂȘme ! Dans cet article, on vous donne quelques idĂ©es. Article rĂ©digĂ© par : Sandrine Roso Aimez vous pour la Saint Valentin ! Il y a mille et une façons de prendre soin de soi et de se chouchouter pendant une soirĂ©e. Si vous rentrez du travail, arrĂȘtez-vous donc en chemin pour vous acheter un beau bouquet de fleurs. En plus, c'est une jolie dĂ©coration pour votre intĂ©rieur, et ça sent bon ! Une fois le bouquet placĂ©, mettez-vous Ă  l'aise et profitez-en pour faire des activitĂ©s qui vous plaisent. De plus, ça aura l'effet d'un rĂ©el antistress aprĂšs une longue journĂ©e de travail. Vous pouvez Ă©galement vous crĂ©er un spa maison. PrĂ©parez vos meilleurs soins, crĂ©ez une ambiance cosy avec de la musique douce. D'ailleurs, si vous n'avez pas de produits adaptĂ©s, on vous conseille la box de chez Belle au naturel. DĂ©tente garantie ! La Saint Valentin, c'est la soirĂ©e du romantisme, alors invitez-le chez vous. Ce soir, c'est vous qu'on sert ! Pensez Ă  vous faire livrer un bon repas, ou encore Ă  ouvrir une bouteille de champagne. Et pourquoi pas ? A lire Ă©galement : DĂ©codage secret : crĂ©er une tension sexuelle qui Ă©veille les sens D'ailleurs, si tout ces idĂ©es ne vous tente pas, vous pouvez encore vous offrir LE cadeau de vos rĂȘves. Ce fameux cadeau qui n'est jamais venu Ă  vous. Le bijou, le sac ou le beau livre dont vous rĂȘvez. Ou encore planifiez la destination voyage de vos prochaines vacances. Offrez-vous de la lingerie. Bref, profitez donc de la Saint Valentin pour vous faire cadeau. D'ailleurs, pourquoi pas vous faire plaisir d'une soirĂ©e sans tabou ? Une soirĂ©e stimulation sexuelle, dĂ©sir et caresse. Le plaisir solitaire, c'est le secret d'une vie sexuelle Ă©panouie ! L'orgasme libĂšre les tensions. Vous pouvez ainsi pimenter votre soirĂ©e en testant un nouveau sex-toy par exemple. Distribuez de l’amour autour de vous Le 14 fĂ©vrier est une journĂ©e pour cĂ©lĂ©brer toutes les relations amoureuses dans votre vie, des amis Ă  la famille. Passez donc du temps avec votre famille, vos amis et toute autre personne que vous aimez. Faites-leur savoir que vous tenez Ă  eux. Invitez votre famille chez vous, demandez Ă  vos parents par exemple. Ou alors, sortez dĂźner avec votre meilleur∙e ami∙e ? Choisissez un restaurant chic avec une ambiance cozy et sensuelle : apprĂȘtez-vous ainsi pour l’occasion. Amusez vous. Terminez votre soirĂ©e bien arrosĂ©e, Ă  danser. Vous allez de ce fait faire des rencontres. C’est certain. Qui sait ? Peut-ĂȘtre LA rencontre. DĂ©couvrez donc de nouveaux horizons. Vous connaissiez la Galentine's Day ? C'est une journĂ©e qui se fĂȘte normalement la veille de la Saint Valentin, mais il n'y a pas de rĂšgles. Cette cĂ©lĂ©bration s'organise entre femmes cĂ©libataires, ou pas, et tourne autour de la solidaritĂ© et de l'amitiĂ© entre femmes. C’est parti, on explore donc la toile Ă  la recherche du Trash Dating. Un coup de clavier magique et hop, le tour est jouĂ© ! Le profil est validé .Tinder, Adopte un mec.com et plein d’autres applis sont ainsi disponibles. Vive le net ! L’excitation de la nouveautĂ©, la rencontre, discuter ! Et plus si affinitĂ©s 
.. Prendre du plaisir fait Ă©galement du bien ! On n’a qu’une seule vie ! En dĂ©finitive, la meilleure façon de cĂ©lĂ©brer la Saint-Valentin n’est-elle pas de faire quelque chose que vous aimez vraiment ? Read the full article
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heroslitteraires · 1 year ago
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Quand l’enquĂȘte pose des questionnements.
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Sandrine Destombes.
Madame B. 332 pages.
Hugo Thriller.
Blanche Barjac, Madame B, est nettoyeur de profession. Malfaiteurs, tueurs Ă  gages et meurtriers, tous font appel Ă  elle pour qu’il ne reste plus la moindre trace de leurs crimes et dĂ©lits. AprĂšs plusieurs annĂ©es passĂ©es Ă  s’imposer dans ce monde d’hommes, Blanche est devenue une professionnelle respectĂ©e dans ce milieu si particulier. Digne hĂ©ritiĂšre de son beau-pĂšre qui l’a formĂ©e, elle est reconnue pour son efficacitĂ©, sa discrĂ©tion et son savoir-faire. Mais si, aprĂšs chacune de ses interventions, Madame B garde un indice comme « assurance-vie », elle n’est pas Ă  seule Ă  accumuler les preuves compromettantes. En menant l’enquĂȘte sur le maĂźtre-chanteur qui a persĂ©cute et la fait douter chaque jour un peu plus de sa santĂ© mental, Blanche revient sur son passĂ© et rĂ©alise que malgrĂ© les nettoyages, doutes les taches ne sont pas effacĂ©es. Et que chaque acte entraĂźne des consĂ©quences.
Mon avis :
Comme toujours, cette autrice sait comment rendre la lecture un page-turner. DĂšs les premiĂšres pages, il y a le suspense qui dĂ©bute. Plus le rĂ©cit avance, plus il y a des questionnements. Lors d’un nettoyage, le personnage principal, Blanche, aura des doutes sur ce qui se passe. Les personnes qu’elle cĂŽtoie habituellement deviendront des gens dont elle aura mĂ©fiance. Plus elle creuse une piste, plus il y aura des questionnements Ă  propos des gens dont elle avait une entiĂšre confiance. Excellent roman jusqu’à la toute fin!
Quel livre de cette autrice est votre préféré?
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isabelle201180 · 1 year ago
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Théa te hait de Sandrine Beau
https://cafenoiretpolarsgourmands.home.blog/2023/10/20/thea-te-hait/#like-6643
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plumedepoete · 2 years ago
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Clé de l'orthographe 61 : tous, suite - Sandrine Marcelly
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  ClĂ© de l’Orthographe n° 61 Comme promis, revenons Ă  « tous » nos moutons. Le Dictionnaire des difficultĂ©s de la langue française des Ă©ditions Le Robert nous dit : « Ce mot (tout) peut ĂȘtre adjectif, adverbe, nom ou pronom. Ce sont les deux premiĂšres catĂ©gories qui posent le plus de problĂšmes ». C’est tout Ă  fait vrai, c’est d’ailleurs pour ça que je vous suggĂšre de nous dĂ©barrasser des deux plus faciles dĂšs aujourd’hui avant de nous attarder sur les difficultĂ©s. Le nom, pour commencer, est facile Ă  repĂ©rer. Comme n’importe quel nom, il est prĂ©cĂ©dĂ© d’un article : - Le tout est d’arriver Ă  comprendre ce qu’on raconte. - Les diffĂ©rentes chansons de cet album forment un tout. Il est toujours au masculin et employĂ© gĂ©nĂ©ralement au singulier. Vous voulez quand mĂȘme une difficulté ? Le petit grevisse, Ă  l’article 23, nous indique que le nom « tout » s’écrit « touts » au pluriel. Je veux bien le croire, c’est une rĂ©fĂ©rence, mais personnellement, je ne l’ai jamais vu. Amis auteurs, si vous voulez piĂ©ger votre correcteur, placez-le dans un manuscrit. Jusqu’à il y a quelques minutes, je serais tombĂ©e dans le panneau. Le pronom : toujours masculin quand il est au singulier, les deux genres existent au pluriel. Au masculin, on prononce le « s ». Il remplace un groupe nominal, plusieurs noms dĂ©jĂ  citĂ©s ou il a un sens global : toutes les choses, tout le monde
 - Tout passe, tout casse, tout lasse. - Les enfants profitent du beau temps. Tous sont dans le jardin. Attention : quand on parle d’une ville, de l’Ɠuvre d’un artiste
 on utilise le masculin comme un gĂ©nĂ©rique : - Je me suis promenĂ©e dans tout Bristol. - Tout Maurane est repassĂ© sur les radios aujourd’hui, en hommage. Le plus simple nous aura dĂ©jĂ  bien occupĂ©s pour cette fois, donc je vous souhaite Ă  tous (pronom) une bonne semaine, on revoit le tout (nom) la prochaine fois. Read the full article
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cinemacinemas-fr · 2 years ago
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RT @madelen_ina: « Je rĂȘvais pas d’avoir un CĂ©sar puisque je savais pas ce que c’était ! » Si vous trouvez la cĂ©rĂ©monie des #Cesar2023 un peu longue, on vous programme ce documentaire « Un CĂ©sar nommĂ© espoir » sur le plus beau des prix. Sandrine, Zita, AdĂšle... đŸ€© https://t.co/ynwdqpjHSs https://t.co/eYeE7JvAJy
RT @madelen_ina: « Je rĂȘvais pas d’avoir un CĂ©sar puisque je savais pas ce que c’était ! » Si vous trouvez la cĂ©rĂ©monie des #Cesar2023 un peu longue, on vous programme ce documentaire « Un CĂ©sar nommĂ© espoir » sur le plus beau des prix. Sandrine, Zita, AdĂšle... đŸ€© https://t.co/ynwdqpjHSs https://t.co/eYeE7JvAJy
— CinĂ©mannonce (@cinema_cinemas) Feb 27, 2023
via Twitter https://twitter.com/cinema_cinemas February 27, 2023 at 01:50AM https://twitter.com/cinema_cinemas/status/1630007395815399424
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crstnlx · 5 years ago
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Let the Sunshine In Un beau soleil intérieur (2017) dir. Claire Denis
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artofsamothrace · 3 years ago
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Childhood's End (a Kazeki drabble)
Summary: Serge and Gilbert are slowly learning to live happily together. Then, past comes crashing down on them when they were least expecting it, bearing unexpected new anxieties.
Based on the Happy Ending AU by @kimkymury Whoever read their Christmas Poem is in for a surprise 😉
(Battour Residence, July 22nd, 1887)
The sweet summer breeze was was gentle on a young couple walking the old dirt path from the lake through the meadows.
Having spent their morning swimming and enjoying the outside, Serge and Gilbert were retreating to the mansion for the afternoon to wait for the heat to subside, talking and laughing as they walked, barefoot, sporting their striped bathing suits and sun hats.
Summertime has been doing both of them good. Gilbert, normally pale and cold, looked sun-kissed and was all jokes, Serge all the more happy with that.
Sandrine was let to roam free around them, chasing bugs and running around in circles happily. At almost two years of age now, she was quite the bundle of energy to keep up with.
This was their third summer together at the Battour estate and the two young men have mostly became acclimated to being free to do whatever they pleased and enjoy each other's company without any worries.
As they approached the open gate to the mansion, they were surprised to find a carriage waiting outside.
"Were you expecting someone?" Gilbert asked.
"No, I wasn't. Strange."
Cautiously, they walked into the mansion's front yard, and indeed, there was a person sitting on a bench facing away from them, as if waiting.
"Hello?" Serge called out. Startled, the man grabbed his cane and stood up to face the two.
Serge's heart sunk to his stomach with a nasty thump.
Auguste Beau.
Back like a persisting nightmare now, after the damage of his smothering influence has finally, finally started to feel like a thing of the past. Was his being really so devoid of any conscience to show his face here, before the person whose life he tried to ruin so deliberately?
He quickly strolled to the couple, smiling as if reuniting with old friends. Serge took a protective position on instinct, giving Gilbert a quick glance as he felt him squeeze his hand harder.
"Bonjour, my young friends! Lovely weather we're having!" Beau sang, bowing his head slightly. Now the boys could see that he looked exactly as they remembered him all those years ago, save for a few small wrinkles that have began gathering around his eyes and mouth. Even more shocking, however, was that they were now almost as tall as him.
"I'm sorry, did I choose the wrong time?" The older man asked, eyeing the couple up and down, seemingly ignoring their disturbed expressions.
"What are you doing here?" Serge asked, trying to stay calm, though he couldn't help but to pierce the man with his eyes.
"Why, all I wanted was to see my nephew. It isn't too much to ask, my lord, is it?"
"So now I'm his nephew again..." Serge heard Gilbert whisper through his teeth behind him. Sandrine, sensing her owner's discomfort, started growling lowly, so Gilbert bent down and stroked her neck to ground her.
"How did you find us? What made you think you would be welcome here?"
"Quite easy, really. As soon as I heard of the supposed Lord Battour out and about, I knew he might have some answers." He ignored the second question, "But really, I thought we've lost you forever, Gilbert!"
"Gilbert is a grown man now, you can leave him alone!"
"Oh? May the grown man speak to me for little bit then?"
"He has to do no such-!"
"Serge." Gilbert quietly gestured for Serge to take over Sandrine before standing upright to look the older man in the eye. The dog was now growling louder, so Serge had to gently take her by the collar.
"Well, what is it? What could an old geezer like myself do for you?"
"It's good to see you haven't changed indeed. You know, things have been going quite well back in Marceille. The literature scene is as busy and productive as ever, but I'm sure we could find you a decent publisher. You have been practicing, have you?"
"Hmpf. Why, this sounds delightful."
"Oh?"
"But, here's the problem. I'd very much rather stick my pecker in an ant hill!"
"... But enough about work, my friend." Beau pretended not to listen. "Back at the mansion, you've now got two little cousins who would absolutely love to meet you. Their names are Edmond and Camille and they're turning five soon."
Once again, Serge couldn't contain himself. "Cousins? Did you marry Angeline after all??"
Auguste put on a pious face. "Oh, goodness, no. She was far too young for me, it would never have worked out." No way this distinguished gentleman could ever harm a child, right?
Gilbert was losing patience he didn't have much of when it came to Auguste. "Are you finished now, Beau?"
"... Gilbert, your strong personality never ceases to amaze me, but that is no way to treat a well-meaning relative. All I'm trying to say is that you're always welcome back home."
"For what? So I could keep your little poetry salon entertained while you take your sweet, sweet time *bonding* with Little Me 2 and 1?"
"I must say, for a grown man, you are tiring me out with your childish attitude."
"You are tiring me out with your bullshit!!"
Seeping with rage, the blonde grabbed the taller man by the collar and pulled down slightly, so he was looking him dead in the eye mere inches from his face. Beau, in shock, didn't even think to fight back fast enough.
"Gilbert!"
"Eat lead and die." With a hissing whisper, Gilbert spat in his tormentor's face, expressing years worth of hate and disgust, before pushing him away.
Backing away a couple steps, Auguste stared at the younger men with a mix of disbelief, horror and anger as he snatched a handkerchief from his breast pocket to dab at the moisture on his cheek. A few deep shaky breaths later, he managed to calm down.
"...I see. There seem to be nothing for me to do here after all." Back to his cold and condescending self the boys were familiar with. "If mooching off of your *friend* is what you have decided to do, who am I to stop you?"
"My dog's about to mooch off of your-!"
"Gilbert, no, stop." This time Serge silently gestured for his lover to take Sandrine by the collar, who was now growling and staring right at their unwanted visitor.
Stepping forward, he spoke firmly "You are not welcome here. Leave, now."
Auguste grimaced, unamused.
"...Then leave I shall, my lord. I wish you and your family well. Goodbye." With a small bow of his head, he stormed off through the gate to the carriage, sparing the two one final look of distaste before disappearing.
The couple was left to their own devices once again.
"Gil..."
"Let's go home."
Back in their room, the two changed into their daily clothes and Gilbert collapsed onto the bed, covering his face with his hands.
Serge sat down next to his lover, waiting for a sign from him.
"Gilbert, I...."
"..."
"I'm so sorry you had to go through this."
Gilbert didn't answer. He was shaking slightly. Serge wrapped his arm around him carefully.
"But know this, I won't let anything hurt you again. Not him, not anyone. Not again. I promise."
"Serge..."
"And don't you worry about mooching! You're not mooching! You know that I'm...!"
"Serge! I'm not worried about myself!" The young man almost cried. He turned to face the other boy.
"...huh?"
"That bastard... He.. He made more kids! He made more kids while he was looking for me! My... My siblings...! Just what... What is he going to do to them??! "
Gilbert's voice was shaking and his eyes turning red and puffy. Serge wrapped both his arms around him and rubbed his shoulders, trying to ground him.
"Gilbert, he could have been bluffing..."
"No, Serge. He was bound to. He was already at an awkward age to be single years ago. Now he's finally done the deed and is trying to taunt me with it!"
Serge stayed silent. He had no room to argue here.
"What am I to do, Serge?? Just... The mere thought of him having his way with anyone else.. Trying to turn them into miserable fucks like himself while telling them that this is, in fact, love...! I'm going to be sick..."
"Gilbert..."
"I can't let this happen! They're my siblings too! I let him get away with what he did, but I can't let him do it again!... I... I...!"
The young man stopped, having almost choked on his spit. He was one hair short of a full panic attack. His lover held his hands, guiding him to breathe deep. Calming down a little, Gilbert suddenly cupped Serge's cheeks and ushered him to lay down on the bed face to face with him.
"...Serge. Beau has to die." He whispered against his face.
"...What?"
"Simply as that. God knows only death will stop that monster..." He was now smiling slightly in a pained, frightening way.
"Gilbert, you can't say it so simply..."
"Please, don't tell me you think he has changed!"
"I don't. But if you got caught..."
"Nothing will happen if it went quietly. His woman would get over it and my siblings would be safe. I don't know how or where, but it must be done if it's the last thing I do. Beau. Must. Die."
Serge stilled. The idea of risking everything they fought so hard for, all of their sacrifices going up in smoke for a bloody retribution scared him. His mind screaming to put his foot down, to convince Gilbert to deal with this in a civil manner.
"We'll figure it out, Gil. We will, I promise. Let's just give it some thought.."
"Each day he spends in the same house as them, I... I..." Gilbert's voice was breaking.
"Shhh, it's okay. You can cry if you want. I'm here for you. We'll find a way together."
Serge moved, letting the blonde rest his head on his chest, and wrapped his arms tightly around him.
"I love you."
"... Love you too....."
For the first time in months, Gilbert sobbed and howled into Serge's chest as he held and shushed him like a baby.
For years now they've been too busy picking up the pieces of their lives to even consider bringing Auguste Beau to justice. It felt unattainable, he felt far too clever and powerful for them, so they were simply relieved to have escaped his influence for good, or so they thought.
They've grown a lot in the past years. Grown despite impossible odds, all so that if anyone else tried calling their life wrong or dirty, they'd be ready. Will they let that go up in smoke too?
The young nobleman held his distressed lover tighter, and closed his eyes. One thing was certain. He will protect him and everything dear to him, no matter the cost.
There will be no more ruined childhoods.
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Notes:
Thank you for reading. In all honesty, I've no idea how to continue this scene I came up with. So if anyone is interested in growing this plot further, feel free to hit me up.
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