#Sandrine Beau
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"L'obéissance, c'est la liberté"
Chronique de On n'a rien vu venir, d'Anne-Gaëlle Balpe, Sandrine Beau, Clémentine Beauvais, Annelise Heurtier, Agnès Laroche, Fanny Robin et Séverine Vidal, 2019
J'essaie de lire davantage de littérature jeunesse, et à ce titre j'ai déniché, par hasard dans une braderie de livres, ce roman dont le résumé m'a intrigué. Il faut d'abord dire quelques mots sur le dispositif d'écriture, qui est suffisamment original pour être remarqué : dans cette courte fiction (une centaine de pages) divisée en sept chapitres et un épilogue, chaque segment du récit est rédigé par une autrice différente, d'où la mention "roman à 7 voix" sur la première de couverture. Il s'agit à la fois d'un roman choral car la narration change de point de vue d'un chapitre à l'autre, mais aussi de ce que les Américains nomment une round-robin story (littéralement, "histoire composée d'un message que l'on se fait passer"), c'est-à-dire un texte issu de la collaboration de plusieurs auteurices, chacun.e rédigeant un bout de l'histoire.
On n'a rien vu venir raconte le glissement d'une société démocratique vers un régime totalitaire. Le 4 juin d'une année X, dans un pays qui ressemble au nôtre, le Parti de la Liberté est élu sur un programme foncièrement raciste. En quelques semaines, un État fasciste se met en place, dont la dictature repose sur la discrimination des Noirs et la suprématie des Blancs, ainsi que sur une restructuration orwellienne des institutions et des lois. Le découpage des chapitres suit, sur quelques mois, la chronologie de ce basculement dystopique. Les points de vue de différents personnages se succèdent : un collégien qui découvre avec effroi que ses parents ont voté pour le Parti, une famille qui décide de quitter temporairement le pays, un frère et une sœur racisé.e.s qui luttent à leur petite échelle contre les discriminations raciales, un garçon handicapé moteur qui échappe de peu à une politique validiste, un collégien qui se rebelle contre le nouveau règlement de son école, un fils qui fuit après le tabassage et l'arrestation de ses deux pères homosexuels, deux enfants qui tentent de remonter discrètement leur chorale.
Chacun à leur façon, ils montrent comment la société se transforme et comment les citoyens entrent (ou non) en résistance. Même si la situation de chaque personnage est différente, un point commun les rassemble, sous la forme d'un constat amer prononcé dans chacun des chapitres : on n'a rien vu venir. Un leitmotiv qui a valeur d'avertissement, car, on le comprend assez rapidement, ce roman imagine ce qui pourrait nous arriver si l'extrême-droite (en l'occurrence, le Rassemblement National) arrivait au pouvoir en France. Ce roman est en effet un apologue sous forme de récit d'anticipation.
Le texte est rédigé dans un style très homogène et accessible, qui utilise le langage courant et familier des collégiens sans en faire trop. En revanche, on ne peut pas dire qu'il fasse preuve d'une grande subtilisé sur le fond, l'appel à la vigilance contre le fascisme parcourant explicitement l'ouvrage avec de gros sabots, ceux de grands idéaux moraux naïvement exprimés. Ce didactisme transparent et grandiloquent est assurément à même de faire de l’œuvre un classique instantané de l'Éducation nationale, mais confère à l'ensemble un certain manque de profondeur. Cette superficialité est sans doute en partie due à la brièveté du roman, mais aussi au parti pris (surprenant, selon moi) de ne faire débuter le récit qu'à partir de l'élection du nouveau Chef, et non avant, ce qui aurait permis de développer avec un peu de finesse (du moins peut-on l'espérer) les diverses causes ayant conduit à cette victoire. Dans On n'a rien vu venir, on a l'impression, comme le titre le suggère, que personne n'a vu de signes avant-coureurs du régime totalitaire qui s'instaure, et que le pouvoir d'action des personnages ne commence que quand le mal est déjà là. La menace n'est véritablement déclarée qu'au moment où elle s'institutionnalise (par les urnes), ce qui donne une vision très parcellaire de la conflictualité politique et de son inscription dans le temps. Il manque une pièce au puzzle pour que ce roman soit pleinement convainquant, à mon avis.
#On n'a rien vu venir#jeunesse#dystopie#Anne-Gaëlle Balpe#Sandrine Beau#Clémentine Beauvais#Annelise Heurtier#Agnès Laroche#Fanny Robin#Séverine Vidal#Stéphane Hessel#totalitarisme#fascisme#dictature#roman choral#littérature#extrême droite
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Un Beau Soleil Intérieur [Let the Sunshine In] (Claire Denis, 2017)
#Un beau soleil intérieur#Let the Sunshine In#Bright Sunshine In#French cinema#romance#drama film#Claire Denis#2010s movies#Juliette Binoche#Xavier Beauvois#Philippe Katerine#Josiane Balasko#Sandrine Dumas#Nicolas Duvauchelle#Alex Descas#Bruno Podalydès#Roland Barthes#Fragments d’un discours amoureux#European society#Paris#Europe#emotions#affair#love#relationships#women#desire#middle age#empathy#jealousy
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Marie (The Aristocats) themed NPT, with a dash of Lovecore.
[Pt: Marie (The Aristocats) themed NPT, with a dash of Lovecore.]
Names
[Pt: Names]
Agnes, Amantine, Amelia, Amore, Amour, Anne, Antoinette, Aurélie, Beau, Bella, Bianca, Béatrice, Cadence, Chantal, Cordelia, Céline, Dominique, Enzo, Francis, Gabriel, Juliette, Laurence, Léandre / Lysandre Louis, Louise, Lucien, Ludovic, Lydia, Marianne, Marlon, Meowette, Meowgaretta, Mireille, Mirette, Mélodie, Nathalie, Odette, Olivier, Pawline, Patrice, Pearl, Pierre, Purrette, Purriette, Purrlina ,Purrsephone, Sandrine, Stéphanie, Victoria, Véronique, Wynn
Pronouns
[Pt: Pronouns]
Sh♡ / h♡r, H♡ / H♡m, Mew / Mews, Meow / Meows, Mew / Meow / Meows, Miau / Miaus, Dar/Darling/Darlings, Deli / Cate / Delicates / Delicateself, Bow / Bows, Frill / Frills, Lae / Lace, Fan / Fancy, El / Elegant, Gra / Grace, So / Soft / Softs, flu/fluffy/Fluffies/Fluffself.
Titles
[Pt: Titles]
The [Proper] The Rowdy [Proper], The Delicate [Royal], the Hopeless Romantic, The Darling, [Prn] darlingness, Prn Fuzzy Feline, The loving [Royal], Prn Fanciness, The Fancy One, The Kitten as White as Snow, The pure-hearted feline, Prn Elegance. The kitten with a bow on Prn neck, Prn Regal bow, Prn with the Fluffy Tail
* Prn = Insert pronoun here
** Royal = Dutchess, Dukesse, Duke, Princess, Prince, Prin.
*** Proper= Lady, Gentlelad(y), Gentleman.
#🌙✨️ - Cosmic Whispers#<- npt tag#npt list#npt pack#npt suggestions#npt ideas#npt#npts#endo safe#pro endo#anti rq#anti radshit
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Depuis quelques jours chez Sandrine on travaille sur les insectes, bravo Raphaël ton mobile est très beau 👏.
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[ Adeline et son destin]
Exercice pleinement réussi pour Adeline Toniutti avec son one woman show à l'américaine qui nous raconte son histoire, son destin.
Je ne me suis pas ennuyée une seconde. La dame rousse a du talent. Son récital offre des scènes théâtralisées sur le ton d'une confidence dramatique et drôle à la fois. Ce récital offre aussi le répertoire d'Adeline avec ses compositions accompagnée pour ce faire de 21 Juin le duo
Cent commentaires à faire sur la beauté des textes. Et moi de pousser mon ami Philippe du coude pour lui demander : "Il est de qui ce texte ? Tu connais ?" (Au fait Philippe est psy pour ceux qui ont vu le spectacle).
Bref et le tout est joliment ficelé par un bon management. Celui de David Hardit
Le député dominant
Je terminerai par ce député qui s'est glissé dans le parcours d'Adeline. Je me suis reconnue dans cet entretien d'assistante parlementaire. Il m'est arrivé à moi aussi de refuser un poste "d'escorte" attachée parlementaire alors que j'en avais réellement besoin moi aussi.
Je suis évidemment ravie de ce passage qu'Adeline aura su consacrer à ce député.
Violences d'une vie
Une violence qu'elle aura subie d'un député et qui s'est ajoutée à celle d'une vie auprès d'un homme qui l'aura battue alors qu'elle venait de perdre sa voix sous les effets d'une cheminée qui lui a brûlé les cordes vocales.
Un psy ténor
Puis ensuite c'est la rencontre d'un psy ténor, la création de son école de chant, la Star Ac et la dame rousse poursuit son chemin de vie entre une étourdissante puissance de travail, une force organisationnelle hors paire et une créativité hors norme.
Le cri d'un regard
Je suis ravie de te voir sur scène jolie rousse avec laquelle j'ai eu plaisir à échanger sur le livre que j'ai écrit sur Johnny Hallyday dans mon appartement belfortain. Tu me posais tant de questions, vive d'esprit et curieuse que tu es. Nous échangions sur la gestion des carrières artistiques alors que j'entendais à peine le son de ta voix tout en entendant déjà le son de ta pugnacité et de ta détermination. Ton regard criait cette envie de rencontrer le public. C'est chose faite et avec élégance et puissance.
C'était un beau spectacle qui m'a donné envie de revoir Eric Koeberlé et Pierre Petey à Belfort et peut-être de t'entendre sur scène dans cette ville où j'ai eu le plaisir de te rencontrer.
Mais pour l'heure c'est une tournée française qui attend ton très beau spectacle que je recommande aux passionnés de chanson françaises, anglaises et allemandes mais je ne vais pas tout vous dévoiler. Voilà. Achetez vos places, vous ne le regrettez pas.
📷 Sandrine Décembre
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MA RAISON DE VIVRE
Je n’ai pas de mot
Mais c’est bien plus beau
De le dire à ma façon
Je déborde d’émotion
Bourré de bonnes intentions
C’est fait sans préméditation
Parce que je suis spontané
Comme je suis né je fais
Ce n’est pas calculé
C’est en moi c’est inné
Je t’aime avec mes yeux
Je te le dis de mon mieux
Merci d’exister
Je t’aime avec mes bras
Je fais le tour de toi
Merci de m’accompagner
Je t’aime avec mes bêtises
Quand je vole des friandises
Merci de me comprendre
Je t’aime avec mon cœur
Il est tout tendre à l’intérieur
Merci de l’apprécier
Viens avec moi essayer le bonheur
Il n’y en a pas ailleurs de meilleur
Je fais déjà parti de toi
Ne me quittes pas
Je suis fidèle écoute moi
Ne me trompe pas
Accompagne moi jusqu’au bout
La mort fait parti d’un tout
Je te confie ma vie
Ma confiance en toi est infinie
Je t’aimerai jusqu’au bout de ma vie
Ce n’est pas moi c’est mon cœur qui te le dit
Parce que tu es ma raison de vivre
Tout en moi peut te le dire
Sandrine coudert
Tdr
300623
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Paroles et musiques... pour cantatrice folle ou cantateur fol
Mes amis savent ma longue passion pour mon piano, ce compagnon de mes joies et de mes chagrins et du ''no silence land'' qui s'étend entre ces deux usages extrêmes d'un même (et merveilleux) instrument. Et mes proches savent aussi que, sans pitié pour mes voisins parisiens, il m'arrive de caricaturer Pavarotti ou Jo Dassin, en poussant la chansonnette... ou en m’essayant sur les grands airs du ''Répertoire'' (comme ''Nessun Dorma'', du Turandot de Rossini : ''Les cons, disait Audiard, ça ose tout, et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''. Eh ! bien, j'ose !)
Allez savoir par quels méandres, à travers les circonvolutions de mon cerveau, un air s'est imposé à moi, hier : c'est la célèbre chanson ''Mon Homme'', écrite pour Mistinguett en 1920, qui est, étonnamment, la chanson française qui a connu le plus grand succès international, alors que ses paroles étaient et sont rien moins que inhumaines. Jugez-en plutôt par vous-mêmes : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur C’est mon homme... Et même, la nuit, Quand je rêve, c’est de lui, De mon homme... La Femme, à vrai dire, N’est faite que pour souffrir Par les hommes... etc...''. Vous imaginez la levée de boucliers et les ''Unes'' outragées auxquels cette déclaration de guerre au féminisme le plus moins éclairé et à la bien-pensance la plus éculée (c'est la même chose) donneraient naissance, en 2022 ! Sandrine Rousseau se surpasserait dans la connerie --si c'est possible !
Rétrospectivement, j'ai eu honte pour nos ancêtres qui avaient l'aveuglement, l'inconscience et le mauvais goût de fredonner –même en faisant ''mmmm''-- de telles insultes à la sacro-sainte égalité de façade qu'il est de mise d'afficher depuis que la folie est non seulement sortie des asiles... mais qu'elle est devenue, pour le plus grand malheur de l'humanité en chute libre, LE critère, LE ''mètre-étalon'' de ce qu'une poignée de furies (contaminées par une haine inexpiable pour tout ce qui est masculin) a fait croire à la Presse, comme toujours décourageante de nullité, d'opportunisme et d'inintelligence... Déjà que je suis un homme blanc, héréro, de droite, catho, et même pas honteux de n'être ni L, ni G, ni B, ni T, ni, surtout, ''Q''... je me suis dit que je n'avais pas le droit de continuer à être une telle souillure sur ‘’la planète’’ : c'est un must de rattraper ''mes'' erreurs-passées-de-mes-ancêtres.
J'ai donc entrepris le grand oeuvre utile entre tous de remettre les choses en place, et je chante désormais : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur, C’est mon homme-femme, mon bi, mon trans... Et même, la nuit, Quand je rêve, c'’est de lui, d'elle, de iel, de ze... De mon homme, de ma femme, de mon ''L'', de mon ''G'', de mon ''B'', de mon ''T''et de mon ''Q'' (Mais qu'alliez-vous penser ? Même tenu par un homme --et blanc--, ce blog est bien élevé, genre ‘’de bonne famille’’, et ce ‘’Q’', càd. ''Queer'' (= étrange, peu commun, ou bizarre). Ce mot anglais désigne les minorités sexuelles et de genres, seules dignes d'intérêt puisqu'elles ont une orientation comportementale différente de l'hétérosexualité '' ou de la ''cis-identité'' sur lesquelles repose tout ce qui existe et tout ce qui ''tient''. Tout, quoi !). Revenons aux paroles : ''A vrai dire, la femme, le transgenre, l'homo, la gouine, les neutres, et même les etcetera n'est /ne sont fait· e · s· que pour souffrir...''. C’est beau, hein ?
Mais cette phrase, encore plus incongrue que les autres, m'a stoppé net dans mes désirs de rédemption : c'est l'homme, ''à vrai dire'', qui doit souffrir pour payer tant de siècles d'une société patriarcale qui a tout esquinté, jusqu'à la grammaire pour ceux qui veulent noyer leur chien en disant qu'il a la rage... J'ai aussitôt cherché un nouvel air à chanter, accompagné de mon piano qui, soit dit en passant, n'a aucune raison d'être décliné au masculin : pourquoi ne serait-il pas ''une piana'' ? C'est tout de même bien plus proche de la vérité des choses et de l'égalité des sexes, non ?
J'ai donc choisi la jolie chanson de Françoise Hardy ''Si tous les garçons et les filles et les homos et les gouines et les trans et les ''cis'' de mon âge savent bien ce que c'est qu'être heureu · x · e · s·''... et je me suis immédiatement senti plus à mon aise, plus en harmonie avec mon époque, plus content · e, plus épanoui · e. C'est un facteur de vrai bonheur de s'être enfin rendu compte que le sexe des mots est un remède aux maux des sexes ! Mais... pourquoi une petite voix mal-pensante n'arrête-t-elle pas de me susurrer sans cesse : “Byzance, dit-on, tomba aux mains des Turcs en discutant du sexe des anges. Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme et l'insensé, pendant que nous discuterons du sexe des mots''.
Alors... pourquoi cette fausse querelle ? Parce que en français, le genre neutre (comme en ont le grec, le latin, l'anglais ou l’allemand, entre autres) se décline le plus souvent comme au masculin, avec quelques exceptions bien connues (vigie, sentinelle, ou ''amour, délice, et orgue''). D’où que quantité de noms de fonctions, métiers et titres, sémantiquement neutres, sont grammaticalement féminins ou masculins, leur genre n’ayant rien à voir avec le sexe de la personne en place. Le mot ''Homme'' lui-même s’emploie d’ailleurs tantôt en valeur neutre, quand il signifie l’espèce humaine, tantôt en valeur masculine quand il désigne un mâle. Confondre les deux condamne à l’embrouillamini actuel de la féminisation du vocabulaire.
Un humain de sexe masculin peut fort bien être une recrue, une andouille, une vedette, une canaille, ou une fripouille... Et de sexe féminin, il lui arrive d’être un mannequin (les plus belles), un génie, et même un tyran. Le respect de la personne humaine est-il réservé aux femmes, et celui des droits de l’homme aux hommes ? Dans l’usage réel, chacun restitue spontanément qu’un soprano est une femme, qu’une basse est un homme, que le masculin ''vagin'' désigne un organe féminin et le féminin ''verge'' un organe masculin. Ces féminins et masculins sont purement grammaticaux, nullement sexuels ou sexués, et voir une intention cachée dans cette logique choisie est rien moins que absurde ! Il paraît, nous expliquent les nuls, que si, au lieu d’écrire ''les pamplemousses et les oranges sont mûrs'', vous écrivez soudain ''les pamplemousses et les oranges sont mûres'', vous contribuerez à ce que des femmes ne soient plus battues par des hommes. Stupidité ? Mauvaise foi ? Délire grotesque ? Décalage immense par rapport au réel ? Réponse au choix.
A partir de la mise au rancart inutile, absurde et surtout ridicule de quelques chansons, nous continuerons notre petite escapade en Absurdie, le royaume de nos anti-penseurs modernes. Tous sont progressistes, ce qui explique pourquoi plus rien ne fonctionne... mais explique aussi pourquoi leurs idées, au delà de leur aberration majuscule trouvent, dans certains milieux ''qui se la pètent'', un accueil trop favorable qui les rend dangereux... ce qu'ils ne méritent absolument pas, en tant que ce qu'ils sont eux-mêmes, c'est-à-dire : 3 fois RIEN, ou plus ! (à suivre)
H-Cl
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Gustave Caillebotte - Sandrine Andrews
Pour la Rentrée artistique 2024, Gustave Caillebotte de Sandrine Andrews présente la modernité de ce peintre amoureux de la ville, des corps et des activités
Rentrée artistique 2024 Présentation d’un peintre amoureux de la ville, des corps et des activités des hommes Gustave Caillebotte (1848 – 1894)entre en majesté à Paris en investissant le Musée d’Orsay cet automne. Pour compléter ou même remplacer cette visite, le beau livre de Sandrine Andrews pose les bases du talent de ce peintre effacé qui participa pleinement au courant Impressionniste.…
#art#Beaux livres#Billet littéraire#Bric à brac de culture#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Essai#Histoire de l&039;art#Histoire de l&039;art du XXè siècle#Impressionnisme#Impressionniste#Impressionnistes#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Peintre#Peintre du XIXè siècle#Peintre français#Peintre impressionniste#Peinture
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Courir sans trébucher Autour de la Bible
Jan 23
“C’est la voie de la sagesse que je t’enseigne. Je te guide vers de droits chemins. Si tu y marches, tes pas ne seront pas gênés, et si tu y cours, tu ne trébucheras pas.” Proverbes 4.11-12
"Je cours vers le but pour remporter le prix de l’appel céleste de Dieu en Jésus-Christ." La Bible, Philippiens 3:14 C’est toujours pour moi une grande tristesse de voir un coureur tomber lors d’une compétition. Tous ces entraînements et efforts anéantis si rapidement à cause d’une petite inattention ou d’une erreur de l’athlète ou d’un adversaire. Il arrive même aux meilleurs coureurs de trébucher parfois.
Dans notre vie de foi également, nous faisons au mieux et souhaitons ce qu’il y a de meilleur, mais il nous arrive de trébucher. Heureusement, Dieu sait bien de quoi nous sommes faits, puisqu’Il nous a créés et Il nous offre, au travers du sacrifice de Jésus, son pardon à tout moment.
Alors que nous avançons dans cette nouvelle année, je souhaite t’encourager à méditer sur ces versets de proverbes. La sagesse de Dieu nous guide vers de droits chemins. Sur ces chemins là, aucune chance de trébucher !
Wow, ce serait beau qu’il existe une piste en tartan ou de l’asphalte sur lequel il serait impossible de tomber.
Quels sont donc ces « droits chemins » sur lesquels nous ne trébuchons pas dans notre vie de foi ? Certaines traductions expriment ceci : « des sentiers de la droiture » ou encore « mener une vie honnête ».
Suivre la sagesse et rechercher l’honnêteté et la droiture, voici ce qu’il nous permettra d’éviter les « chutes » dans notre vie de foi durant cette année 2024.
En ce début 2024, je t’invite à prier pour apprendre de la sagesse de Dieu et pour être guidé sur ces droits chemins tout au long de cette année !
Sandrine Ray Aumônière Sportive
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Saint Valentin, et si je la fêtais seule
Ce n'est même pas encore le 14 février que vous voyez déjà des soldes chez le fleuriste d'à côté. La Saint Valentin c'est demain, et au fond vous vous en fichez un peu parce que vous n'avez personne avec qui la passer. Justement ! profitez-en pour passer la soirée… avec vous-même ! Dans cet article, on vous donne quelques idées. Article rédigé par : Sandrine Roso Aimez vous pour la Saint Valentin ! Il y a mille et une façons de prendre soin de soi et de se chouchouter pendant une soirée. Si vous rentrez du travail, arrêtez-vous donc en chemin pour vous acheter un beau bouquet de fleurs. En plus, c'est une jolie décoration pour votre intérieur, et ça sent bon ! Une fois le bouquet placé, mettez-vous à l'aise et profitez-en pour faire des activités qui vous plaisent. De plus, ça aura l'effet d'un réel antistress après une longue journée de travail. Vous pouvez également vous créer un spa maison. Préparez vos meilleurs soins, créez une ambiance cosy avec de la musique douce. D'ailleurs, si vous n'avez pas de produits adaptés, on vous conseille la box de chez Belle au naturel. Détente garantie ! La Saint Valentin, c'est la soirée du romantisme, alors invitez-le chez vous. Ce soir, c'est vous qu'on sert ! Pensez à vous faire livrer un bon repas, ou encore à ouvrir une bouteille de champagne. Et pourquoi pas ? A lire également : Décodage secret : créer une tension sexuelle qui éveille les sens D'ailleurs, si tout ces idées ne vous tente pas, vous pouvez encore vous offrir LE cadeau de vos rêves. Ce fameux cadeau qui n'est jamais venu à vous. Le bijou, le sac ou le beau livre dont vous rêvez. Ou encore planifiez la destination voyage de vos prochaines vacances. Offrez-vous de la lingerie. Bref, profitez donc de la Saint Valentin pour vous faire cadeau. D'ailleurs, pourquoi pas vous faire plaisir d'une soirée sans tabou ? Une soirée stimulation sexuelle, désir et caresse. Le plaisir solitaire, c'est le secret d'une vie sexuelle épanouie ! L'orgasme libère les tensions. Vous pouvez ainsi pimenter votre soirée en testant un nouveau sex-toy par exemple. Distribuez de l’amour autour de vous Le 14 février est une journée pour célébrer toutes les relations amoureuses dans votre vie, des amis à la famille. Passez donc du temps avec votre famille, vos amis et toute autre personne que vous aimez. Faites-leur savoir que vous tenez à eux. Invitez votre famille chez vous, demandez à vos parents par exemple. Ou alors, sortez dîner avec votre meilleur∙e ami∙e ? Choisissez un restaurant chic avec une ambiance cozy et sensuelle : apprêtez-vous ainsi pour l’occasion. Amusez vous. Terminez votre soirée bien arrosée, à danser. Vous allez de ce fait faire des rencontres. C’est certain. Qui sait ? Peut-être LA rencontre. Découvrez donc de nouveaux horizons. Vous connaissiez la Galentine's Day ? C'est une journée qui se fête normalement la veille de la Saint Valentin, mais il n'y a pas de règles. Cette célébration s'organise entre femmes célibataires, ou pas, et tourne autour de la solidarité et de l'amitié entre femmes. C’est parti, on explore donc la toile à la recherche du Trash Dating. Un coup de clavier magique et hop, le tour est joué ! Le profil est validé….Tinder, Adopte un mec.com et plein d’autres applis sont ainsi disponibles. Vive le net ! L’excitation de la nouveauté, la rencontre, discuter ! Et plus si affinités ….. Prendre du plaisir fait également du bien ! On n’a qu’une seule vie ! En définitive, la meilleure façon de célébrer la Saint-Valentin n’est-elle pas de faire quelque chose que vous aimez vraiment ? Read the full article
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Quand l’enquête pose des questionnements.
Sandrine Destombes.
Madame B. 332 pages.
Hugo Thriller.
Blanche Barjac, Madame B, est nettoyeur de profession. Malfaiteurs, tueurs à gages et meurtriers, tous font appel à elle pour qu’il ne reste plus la moindre trace de leurs crimes et délits. Après plusieurs années passées à s’imposer dans ce monde d’hommes, Blanche est devenue une professionnelle respectée dans ce milieu si particulier. Digne héritière de son beau-père qui l’a formée, elle est reconnue pour son efficacité, sa discrétion et son savoir-faire. Mais si, après chacune de ses interventions, Madame B garde un indice comme « assurance-vie », elle n’est pas à seule à accumuler les preuves compromettantes. En menant l’enquête sur le maître-chanteur qui a persécute et la fait douter chaque jour un peu plus de sa santé mental, Blanche revient sur son passé et réalise que malgré les nettoyages, doutes les taches ne sont pas effacées. Et que chaque acte entraîne des conséquences.
Mon avis :
Comme toujours, cette autrice sait comment rendre la lecture un page-turner. Dès les premières pages, il y a le suspense qui débute. Plus le récit avance, plus il y a des questionnements. Lors d’un nettoyage, le personnage principal, Blanche, aura des doutes sur ce qui se passe. Les personnes qu’elle côtoie habituellement deviendront des gens dont elle aura méfiance. Plus elle creuse une piste, plus il y aura des questionnements à propos des gens dont elle avait une entière confiance. Excellent roman jusqu’à la toute fin!
Quel livre de cette autrice est votre préféré?
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Théa te hait de Sandrine Beau
https://cafenoiretpolarsgourmands.home.blog/2023/10/20/thea-te-hait/#like-6643
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Clé de l'orthographe 61 : tous, suite - Sandrine Marcelly
Clé de l’Orthographe n° 61 Comme promis, revenons à « tous » nos moutons. Le Dictionnaire des difficultés de la langue française des éditions Le Robert nous dit : « Ce mot (tout) peut être adjectif, adverbe, nom ou pronom. Ce sont les deux premières catégories qui posent le plus de problèmes ». C’est tout à fait vrai, c’est d’ailleurs pour ça que je vous suggère de nous débarrasser des deux plus faciles dès aujourd’hui avant de nous attarder sur les difficultés. Le nom, pour commencer, est facile à repérer. Comme n’importe quel nom, il est précédé d’un article : - Le tout est d’arriver à comprendre ce qu’on raconte. - Les différentes chansons de cet album forment un tout. Il est toujours au masculin et employé généralement au singulier. Vous voulez quand même une difficulté ? Le petit grevisse, à l’article 23, nous indique que le nom « tout » s’écrit « touts » au pluriel. Je veux bien le croire, c’est une référence, mais personnellement, je ne l’ai jamais vu. Amis auteurs, si vous voulez piéger votre correcteur, placez-le dans un manuscrit. Jusqu’à il y a quelques minutes, je serais tombée dans le panneau. Le pronom : toujours masculin quand il est au singulier, les deux genres existent au pluriel. Au masculin, on prononce le « s ». Il remplace un groupe nominal, plusieurs noms déjà cités ou il a un sens global : toutes les choses, tout le monde… - Tout passe, tout casse, tout lasse. - Les enfants profitent du beau temps. Tous sont dans le jardin. Attention : quand on parle d’une ville, de l’œuvre d’un artiste… on utilise le masculin comme un générique : - Je me suis promenée dans tout Bristol. - Tout Maurane est repassé sur les radios aujourd’hui, en hommage. Le plus simple nous aura déjà bien occupés pour cette fois, donc je vous souhaite à tous (pronom) une bonne semaine, on revoit le tout (nom) la prochaine fois. Read the full article
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RT @madelen_ina: « Je rêvais pas d’avoir un César puisque je savais pas ce que c’était ! » Si vous trouvez la cérémonie des #Cesar2023 un peu longue, on vous programme ce documentaire « Un César nommé espoir » sur le plus beau des prix. Sandrine, Zita, Adèle... 🤩 https://t.co/ynwdqpjHSs https://t.co/eYeE7JvAJy
RT @madelen_ina: « Je rêvais pas d’avoir un César puisque je savais pas ce que c’était ! » Si vous trouvez la cérémonie des #Cesar2023 un peu longue, on vous programme ce documentaire « Un César nommé espoir » sur le plus beau des prix. Sandrine, Zita, Adèle... 🤩 https://t.co/ynwdqpjHSs https://t.co/eYeE7JvAJy
— Cinémannonce (@cinema_cinemas) Feb 27, 2023
via Twitter https://twitter.com/cinema_cinemas February 27, 2023 at 01:50AM https://twitter.com/cinema_cinemas/status/1630007395815399424
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2023. 7 : La cérémonie
J’ai donné à La cérémonie (1995) de Claude Chabrol, la note 4/10
Assez décevant, une bonne idée générale, mais mal vieilli, mal mis en scène ou un jeu d'acteur moyen...
Les personnages ne sont pas très développées non plus, les Bourgeois sont mit en scène de manière plus attendrissante que les 2 rebelles ce qui rend la fin très froide et presque a contre-sens de ce que Chabrol semblait vouloir produire comme discours.
Des miroirs, la télévision, une critique des activités bourgeoises, Saint-Malo...
Un intéressant choix de mort pour des chasseurs. Un duo révolté quand même assez beau.
Un film qui se rêverait aussi révolté mais toujours en demi-teinte, un coup un respect agaçant pour l'institution Catholique, un coup le Curé humilié, un coup les bourgeois sont appréciés d'avoir une fille rebelle qui aide la Bonne, un coup ils se font tirer dessus, un coup elles font la police du tri de vêtements des poubelles un coup ça colle des chewing-gums sous les bureaux.
Une irritante impression d'un cruel manque de budget alors qu'il s'agit d'un film de Claude Chabrol, serait-ce là le symptôme de plusieurs artistes vieillis de la Nouvelle-Vague qui ne savent plus renouveler leur format de cinéma d'auteur désormais sans problème de financement 30 ans après avoir apprit à les faire avec les moyens du bord ? Une triste enlise dans un cinéma conventionnel qui a perdu sa force : sa subversivité.
Le film en reste assez humain, mais une ambiance "sans-vie" s'en dégage, un film français plat et sans beaucoup de prise de risque.
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