#Représentation des connaissances
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Technologie GPT Chat et intelligence artificielle Source: https://myfrlibrary.blogspot.com/2025/01/technologie-gpt-chat-et-intelligence.html
La technologie GPT Chat est l'une des avancées les plus marquantes dans le domaine de l'intelligence artificielle, car elle représente un changement qualitatif dans la façon dont les humains interagissent avec les machines. Cette technologie a pu combiner l'apprentissage profond et le traitement du langage naturel, ce qui a permis aux systèmes de comprendre et d'analyser des textes d'une manière qui dépassait ce qui était auparavant possible.
#ChatGPT#Intelligence artificielle#Traitement du langage naturel#Apprentissage automatique#IA conversationnelle#Modèle de langage#OpenAI#Apprentissage profond#Réseaux neuronaux#Génération de texte#Éthique de l'IA#Interaction homme-machine#Analyse des sentiments#Développement de chatbot#Formation des données#Ingénierie des invites#Applications d'IA#Représentation des connaissances#Apprentissage par renforcement#Modèles d'IA#Compréhension contextuelle#Expérience utilisateur#IA multimodale#IA en entreprise#Assistants virtuels#Résumé de texte#Reconnaissance vocale#Recherche en IA#Analyse prédictive#Outils d'IA
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Connaissance
Qu’est-ce qui fait qu’une personne décide de développer ses connaissances pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons ? Ces personnes ne peuvent se sentir heureuses et satisfaites s’ils ont l’impression de vivre dans un monde inintelligible où les événements paraissent se succéder sans raison, sans explication. D’autres vont mettre leur énergie sur la capacité de composer avec les…
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Je suis un peu inquiète par la montée du puritanisme dans la sphère du RP. Ça ne devrait pas être quelque chose de surprenant, ça suit inévitablement le mouvement que l’on voit de plus en plus sur certains types de réseaux sociaux, avec une chasse au sexe, à la représentation et tout ce qui est jugé peu ou pas en lien avec les bonnes mœurs. C’est triste, car après nous être battus pour une libération sexuelle, on part dans l’effet inverse.
Je ne prêche pas pour ma paroisse, je joue très peu de smut, ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse plus que ça, mais je vois de plus en plus de comportements très sectaires de plus en plus de joueureuses. J’ai vu des gens regretter qu’il y ait autant de smut ou de fos +18, des gens faire la morale à d’autres pour vouloir jouer un certain type d’orientation sexuelle (qu’il y ait ou non idée ou sous-entendu que le personnage n’aurait pas une libido ou un rapport à la sexualité normal (et qu’est-ce que c’est qu’un rapport normal, au final ?)), j’ai vu des gens demander à ce que le RPQ soit limité à des fos privés, j’ai vu beaucoup de gens crier à la fétichisation (sans être soi-même concerné par l’identité concernée, ni réellement savoir ce qu'il en est de la personne en face), j’ai vu des gens faire des remarques déplacées lorsqu’un kink / pratique sexuelle peu courante était mentionnée à coup de « il y a des choses qu’il ne vaut mieux pas savoir », etc.
Est-ce qu’on prône la tolérance ou est-ce qu’on est en train de demander à des gens de se cacher pour avoir une libido ? Je voudrais rappeler, quand même, qu’une grande partie des créations littéraires (ou de la fanfiction) qui fonctionne contient du sexe, que ça soit uniquement grivois ou outrageusement explicite. Le désir sexuel et l’excitation est une chose normale, ne pas en avoir ou peu en avoir l’est aussi, mais c’est un mécanisme qui ne devrait pas être caché. La plupart des fos ont adopté un système de TW, de CW, de hide et de floutage pour ce genre de scènes, et il me semble que la plupart des gens respectent ces règles.
Je pense qu’il faut aussi rappeler qu’un personnage RP n’est pas une personne réelle, qui ne représente pas une situation universelle ou réelle, n’est (normalement) pas la personne derrière l’écran et n’est pas le vecteur de la morale et de l’éthique de cette même personne. On peut écrire quelque chose sans vouloir soi-même le reproduire IRL, on peut écrire quelque chose parce qu’on le fantasme IRL mais qu’on n’a pas l’occasion ou l’envie de le faire soi-même, on peut écrire quelque chose parce qu’on joue avec des poupées et que faire cette chose est un moyen de détente. On peut aussi écrire quelque chose parce que c’est un moyen pour nous de nous sentir mieux, d’explorer des mécanismes, de les comprendre, parce que certains ont besoin de revivre des scènes ou de les créer. On n’écrit pas uniquement pour écrire du juste, du bon, du réel, de la morale ou de l’éthique.
Je crois qu’il faut aussi se rappeler de temps en temps, car ça fait du bien, qu’on ne sait pas grand-chose de la personne en face. Partir du principe qu’une personne est forcément non éduquée, forcément cis hétéro, surtout sur une communauté aussi queer, qu’elle n’a aucune expérience de ce qu’elle joue ou aucune connaissance est un risque moral personnel. A vouloir chercher le mal partout, on finit par le trouver, ou pire l’imaginer. Notre expérience personnelle n’est pas universelle, l’expérience de la personne d’en face non plus, et chaque témoignage apporte de nouvelles visions, mais ne suffit pas à permettre de parler au nom de toutes les personnes. A trop voir le mal, on perd de vue le principe du RP : l’écriture et le plaisir du jeu.
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance –*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans, On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne nous quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi
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LES SECRETS
Ces visages à foison défilant sur l’écran tactile, ces vies dont on penserait tout connaître jusqu’au moindre détail sans pour autant en douter une seule seconde. Prétendre et paraître, la signature parfaite pour une présence grandissante. Les cadavres du placard enterrés si profondément que même eux en oublieraient leur existence, et pourtant… Parmi ces sourires se cachent des secrets éhontés, des non-dits à quelques barreaux plus bas de cette échelle sans fin qu’ils tentent de gravir.
Les secrets, qu’est ce que c’est ? À l’inscription et avant la validation de votre personnage, il vous sera demandé de fournir deux secrets que seuls vous et l’administration du forum sera en mesure de connaître. Ces secrets devront représenter un véritable handicap et menace pour votre personnage et un impact sur l’évolution même de celui-ci à leur révélation. Les autres joueurs seront ainsi amenés à enquêter sur ce que votre personnage peut cacher, et pourront décider ou non de s’ils souhaitent les dévoiler au grand jour ou non.
→ Les secrets choisis et non révélés ne devront être communiqués à personne d’autre que les membres de l’administration. Il vous est cependant autorisés à faire des secrets de groupe, dits “secret commun”. (Si un pl particulier est lié à un secret commun, il vous faudra communiquer les détails de celui-ci au compte The Editor).
Pourquoi chercher un secret ? Lorsque vous aurez réuni assez d’indices pour confirmer l’une de vos pistes, il vous sera possible d’envoyer un message privé au compte The Editor afin de tenter votre chance. En cas de succès, le secret du personnage ciblé sera alors dévoilé aux tabloïds à l’ensemble des membres du forum et vous récupérerez une partie de ses points de succès. Cependant, si votre enquête vous amène sur une fausse piste, alors une petite partie de vos points de succès seront directement transférés à la personne ciblée. Mon secret a été révélé, que se passe-t-il ensuite ? Les secrets révélés seront annoncés via des articles dans le magazine du forum, permettant ainsi à tous les membres d’en prendre connaissance. Cela aura un impact direct sur la notoriété et l’image de votre personnage.
→ À chaque MAJ du forum, trois rumeurs reçues par The Editor seront diffusées dans un sujet aux membres du forum, qu’elles soient fausses ou vraies.
Après la révélation de l’un de vos secrets, il vous sera demandé d’en fournir un nouveau. Nous partons du principe que ceci vous permettra de continuellement faire avancer l’histoire de votre personnage, en vous proposant une mise en danger constante ainsi qu’un renouvellement fréquent de storyline personnelle.
-> discord du projet ; https://discord.gg/B7gqZNBudQ
#annexes#forum francophone#projet forum rpg#projet rpg#rpg francophone#french rpg#forum rpg#forumactif#rpg ressources
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"petit tips pour les anonymes, si vous assumez pas suffisamment vos propos pour les poster avec votre compte, c’est probablement que vous devriez les garder pour vous." Non c'est juste que tes potes et toi avez fait une profession du fait de tourner en ridicule et d'aggro les gens qui leur parlent ouvertement, confonds pas tout. C'pas psq les gens veulent pas que vous veniez vous acharner sur eux leurs fo et leurs potes pendant 5 ans qu'ils sont pas en accord avec leur opinion. C'pas psq des gens qui vous connaissent pas veulent pas deal avec vous que c'est eux le problème.
Et si on veut parler en anonyme tu vas faire quoi ? J'viens avec un post anon rien que pour te mettre ça dans la tronche : me semble que des meufs t'ont dit de pas parler sur leur projet et que t'as répondu grosso modo que tu fais ce que tu veux. Donc les anon font ce qu'ils veulent ? :)
Ah et pour ton "ouin ouin violence bouh regardez vous avez deux poids deux mesures" : j'peux pas t'aider comme le tone policing est interdit ! Mince alors. Mais t'es drôle quand tu insistes sur le fait que personne n'a à te dicter comment parler puis que tu sors une quote de comment t'estimes que X aurait dû te répondre avant de reblog Y pour te plaindre de son parler de banlieusarde. C'est pas comme si ça fait 4 ans que 90% des gens qui vous lisent vous disent que vous filez de l'anxiété à tout le monde et que vous êtes agressifs et que vous rendez impersonnelle et malveillante une cause juste, et que vous en aviez rien à taper.
Comme t'as dit t'es une bad bitch qui emmerde tout le monde donc vas-y relève-toi mdrrrrrr t'as soudain oublié ta street cred dans le marécage où tes potes ont laissé leurs neurones quand ils ont ficha qu'un post débat poli était trop long et trop complexe pour eux.
Bon étant donné que tout semble tourner autour du « vous » et du « nous » je vais donc en faire de même. Et vu que vous avez tous pris le temps de lire 5k d’une autre personne, vous prendrez certainement le temps de lire les miens n’est-ce pas?
Vous êtes super rapides à brandir la croix et la bannière pour défendre les gens sur des multitudes de sujets tels que la santé mentale, l’accessibilité, le plagiat et autres, mais quand c’est des personnes racisées qui expriment leur lassitude face à une discrimination qu’ils subissent (et donc un mal-être qu’ils ressentent, parce que c’est bien de ça dont on parle, c’est pas un débat ou l’un a tort et l’autre raison c’est un constat fait par des gens qui partagent leurs plaintes et vous votre réponse à ça c’est de les fustiger encore plus) là y’a plus aucune tentative de compréhension parce que vous êtes visiblement tellement étranglés par votre propre conscience que vous le prenez personnellement.
Vu que vous n'avez à priori pas dotés de suffisamment d'empathie pour parvenir à saisir les nuances d’une situation quand elle ne s’applique pas à votre propre personne : s’offusquer qu’on fasse des généralités (statistiquement correctes, j’insiste encore) sur les membres d’une communauté c’est du même niveau que les hommes qui s’offusquent quand des femmes témoignent de l’oppression qu’elles subissent et dégainent leur #notallmen. Là c’est pareil. On a pas dit qu’absolument toutes les personnes qui jouaient des fcs blancs sur ce forum ou d’autres étaient des racistes, mais si vous n’aviez absolument rien à vous reprocher ça vous serait passé au dessus de la tête et vous auriez pas été violentés au point de faire des amalgames comme si on avait sous entendu que vous étiez des nazis. La preuve étant qu’on a même pas qualifié quiconque de raciste, ce raccourci vous l’avez fait vous même comme des grands ce qui ne fait que prouver davantage que vous êtes au courant de la problématique que cette constatation de sur-représentation blanche représente. Vous êtes en train de vous empaler tout seuls sur votre épée mais vous préférez blâmer le forgeron.
En fait vous êtes tellement aveuglés par votre désir de diabolisation de nos personnages que tous vos arguments se focalisent sur notre façon de parler et/ou de ne pas parler plutôt que sur le message qu’on porte. Vous avez des œillères tellement phénoménales que vous préférez par exemple ignorer que si, on a répondu au long message qui ne comportait que des affabulations et de la réthorique fantasmagorique qui reposait sur de la spéculation totale. Tout ce qu’on dit vous trouvez un moyen de l’interpréter et de le tordre pour concorder au moule de votre vision étriquée de la situation et vu que vous avez l’air d’avoir des soucis d’ordre interpersonnels avec nous vous préférez ne pas chercher à comprendre ce qu’on dit mais plutôt trouver un moyen de nous le renvoyer à la gueule.
La vérité elle est très simple, on est face à une situation où on a constaté un manque de représentation dans les fcs des forums, et la réponse qu’on a reçu c’est « traitez nous pas de nazis vilains harceleurs haineux ». Un grand écart tellement prodigieux qu’il en ferait faire pâlir les plus grands gymnastes de ce monde.
On est tous d’accord je l’espère sur le postulat que le racisme c’est pas bien, donc pourquoi est-ce que vous cherchez à nuancer le propos uniquement quand la responsabilité de son existence vous incombe aussi? Au lieu de saisir l’occasion de vous remettre en question et d’œuvrer positivement pour faire de cette communauté un espace davantage bienveillant comme vous semblez tant le désirer vous préférez sacrifier ça au prix de votre défense. Quel égoïsme et autocentrisme tragique.
En tout cas ne te fais pas de soucis pour nous, on se porte tous très bien mentalement, on notera tout du moins la rapidité avec laquelle tu es venue te réjouir et fanfaronner d’un potentiel mal-être de notre part. L’attention portée au mental des gens c’est à sens unique comme toujours mais heureusement on est solides à ce niveau là parce qu’on est profondément convaincus de la noblesse de nos propos et de ce qu’on défend. Les difficultés de l’un ne l’emportent pas sur celle des autres, vous ne savez à priori pas grand chose non plus de ce qu’on vit ni qui on est, mais étant donné qu’on ne pollue pas nos paroles avec des informations d'ordre de l'intime on n’y prête pas attention. Si vous êtes fragiles mentalement et souffrez d’anxiété, j'en suis désolée pour vous mais ça n'a pas sa place dans la discussion et avant tout ça ne vous dispense pas d’être tenus responsables de vos propos et actions lorsque ceux-ci sont de nature discutable. Si vous proférez des propos virulents et invalidants, on vous répondra avec la même énergie parce que jusqu’à preuve du contraire le droit de se défendre ne vous est pas exclusivement réservé, et soudainement vous vous plaignez en disant que ça vous agresse? J’suis au regret de vous annoncer qu’il fallait pas laisser votre bouche écrire un chèque que votre cul est pas apte à encaisser.
Maintenant que ça c’est fait, je te réponds aux critiques envers moi et moi seule. Par rapport au sujet de ma critique vis à vis de l’anonymat, oui vous faites ce vous voulez, et moi j’ai pareillement le droit d’exprimer mon avis sur la question. C’est ce que j’arrête pas de dire depuis le début mais vu qu’encore une fois vous préférez comprendre ce que vous voulez je vais continuer à radoter.
Mon message avait pas pour but de « chouiner », il avait pour but de retourner le principal argument qui est employé depuis le début de cette histoire pour dévaloriser nos paroles et décrédibiliser l’importance de notre revendication étant : vous êtes violents, et même si on est d’accords on cautionne pas. Le fait étant que là y’a de la violence réelle et tangible qui a été proférée mais j’vois personne en aller de son petit texte et rebloguer en masse pour exprimer oh combien ça le remue de voir de l’agressivité. Étrange phénomène. Ça prouve bien que le problème de notre soit-disant violence il est épidermique et que le cœur de vos reproches envers nous est lui bien viscéral.
La vérité c’est qu’à la fin de la journée c’est chacun avec sa propre conscience et vu la virulence avec laquelle vous défendez et justifiez votre caractère j’ai l’impression que la vôtre est bien bien lourde. J’ai jamais dit que j’étais une bad bitch, jamais mentionné la moindre street cred mais merci pour le compliment, et tu sais quoi pour te remercier c’est ton jour de chance j’emmerde pas tout le monde mais j’vais mettre un point d’honneur à t’emmerder toi tout particulièrement, des bisous.
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Psy-op Covid: la commission ad-hoc de la Chambre des représentants des USA a publié son rapport final après une enquête de 2 ans…
https://oversight.house.gov/wp-content/uploads/2024/12/12.04.2024-SSCP-FINAL-REPORT.pdf
Rien ne filtre des médias français.
«Qui ne connaît la vérité n'est qu'un imbécile. Mais qui, la connaissant, la nomme mensonge, celui-là est un criminel.» (Berthold Brecht)
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Je suis en train de "faire" la bd (note les guillemets, je dessine juste des bonhommes bâtons et des ersatz de décors) du spectacle de l'année pour l'école de cirque, sauf que c'est une surprise donc j'ai juste deux complices (le narrateur du spectacle et la maman du directeur de l'école, appelons le SC), et en fait le spectacle est en deux parties, l'une de 40 minutes qui raconte la vie de SC et l'autre de 15 minutes et c'était impossible d'obtenir le texte de la deuxième partie, qui est une lettre d'amour, de la part de SC, adressée à ceux avec qui il crée des spectacles depuis 10 ans. Impossible d'obtenir le texte parce que lui aussi, a un sens aiguisé des surprises et il les a fait répéter le spectacle (de l'acrobatie dansée) sur de la musique et lors de la première représentation, en lieu et place de la musique, il s'était enregistré, lisant cette lettre qui leur est destinée, ils étaient tous là les larmes aux yeux à faire leurs acrobaties et nous le public qui connaissons depuis longtemps ce qui les unit, on était là à pleurer autant qu'eux, toute la salle dans une grosse émotion j'ai encore les larmes aux yeux rien qu'à y penser.
Bref il garde ce texte comme un trésor et même sa maman n'a pas su l'obtenir alors je lui ai demandé à lui, directement, sans parler de la bd, juste en disant que le texte était si beau qu'il méritait d'exister et que j'avais déjà réfléchi depuis un moment à un format poster, une mise en page faite de lettrage, parce que le public veut encore vibrer en s'imprégnant de ces jolies paroles, parce qu'on a vécu une telle émotion collective ce jour-là que ce texte ne peut pas rester dans un tiroir et il était tout penaud SC, tout intimidé de l'importance qu'a pris sa lettre, parce qu'il est comme ça, il fait les choses naturellement avec le coeur sans se douter de la vague d'amour qui suivra. Il doit être la personne la plus bienveillante et fédératrice que je connaisse et il s'étonne encore chaque jour de voir que les gens se laissent happer par sa douce énergie.
Bref on papote un peu du projet, je garde pour moi la bd même si c'est hyper difficile de ne pas partager TOUT ce que j'ai en tête tellement son enthousiasme est grand, et puis il me dit "ah oui tant que je t'ai, je voulais te demander un truc" et il adore tellement mon bonhomme baton (que je mets en scène depuis des années sur le t-shirt du cirque), qu'il voudrait qu'il devienne le symbole de l'école, l'avoir sur le minibus, sur les murs, etc. Et que les jeunes du cirque se l'approprient, que ce bonhomme soit eux. D'ailleurs c'est eux, il ne savait rien faire d'autre que jongler avec un baton du diable il y a quelques années (vu que c'est mon fils qui m'a inspiré), maintenant il sait faire autant que les jeunes du cirque, il sait même faire un poirier à 1 main avec les jambes en grand écart (le bonhomme, pas mon fils)
Et du coup lundi je vais donner un atelier au groupe d'ados de moins de 14 ans, pour leur apprendre à dessiner ce personnage ça va être trop bien et ça tombe pile l'année où l'un de mes objectifs est de donner des formations à des groupes !
Alors j'ai retenu mon "non mais t'es fou chuis pas capable de faire ça non mais je vais mourir un groupe d'ados pardon mais au secours" que j'ai transformé sur le moment même en "ok ok c'est hyper impressionnant mais je vais réfléchir à des trucs à faire waouw" et là maintenant je suis carrément trop impatiente j'ai envie de leur faire faire des bonhommes grandeur nature pour qu'ils expérimentent les positions et les expressions faciales, j'ai envie qu'ils apprennent à observer des personnages en photo et reproduire sur le personnage du coup voilà on fait des surprises et on reçoit des surprises dans le monde magique du cirque (la conclusion claquée hein ouais)
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— Les mythes fondateurs
et quelques petites idées de ce en quoi les envolien.nes croient.
Les pionniers : Iels étaient cinq au départ, et la légende ne précise pas d'où iels vinrent. Haeldar, Sélania, Abysseon, Belich'tria et Vaymire. On dit d'eux qu'iels étaient de la même famille, frères et sœurs et s'iels découvrirent Envola, iels ne tardèrent pas à devoir lutter pour leur survie, l'essence même de ce qui deviendrait l'empire qu'on connaît aujourd'hui, hostile à la présence d'autres créatures.
Les premières années :
Haeldar créa les premiers Envolien.nes, et commanda à leur bravoure de se ruer à l'assaut des monstres - parce qu'ils avaient décidés de s'établir en ces lieux et qu'aucune bête ne saurait leur tenir tête. Armé.es de lames, de tridents, d'arcs et de tout leur courage insuffler par les dieux, ils repoussèrent suffisamment les monstres dans les montagnes pour établir un premier grand bastion; Cimeclat. Encore aujourd'hui prié par les Heraldien.nes, Haeldar est un symbole de persévérance, d'honneur et de bravoure. Les statues le représentant montrent un homme grand et droit, les cheveux longs rabattus en arrière sous son heaume, un bouclier couvrant son buste et une lance lourde et épaisse plantée dans le sol devant lui.
Mais les crocs acérés des bêtes, les regards ensorceleurs des monstres avaient fait des ravages dans les rangs des créations d'Haeldar aussi, Sélania, sa soeur, foula de son pas léger le monde jusqu'à trouver la foret d'Umbrevive. Dans son immensité, elle se gorgea de ce que les bois et la nature avaient de plus beau, de plus fort et elle en revint changée. Capable des plus grands miracles elle soigna les guerriers blessés de son frère et dans un souffle qu'elle tint pendant huit jours et sept nuits, elle donna naissance aux elfes.
Faisant partie des blessés, leur frère Abysseon s'enfonça dans un coma qu'elle-même ne parvint pas à soigner. Elle se contenta d'attendre, guérissant d'un baiser chacun de ses cauchemar le maintenant loin d'elle, chacun de ses doutes et doucement, il revint à la vie. Mais il avait vu la mort, et la mort l'avait regardé aussi. Il ne fut plus jamais le même, persuadé que leur fin était proche, annonçant d'une voix lugubre que l'embrasement du monde commencerait lorsque les trépassés reviendraient à la vie. Il était le porteur de mauvaises nouvelles, le corbeau des plus grandes tempêtes et plutôt que de craindre les morts foulant la terre, il s'enfuit dans les vagues des plus profonds océans bordant leur royaume, créant des créatures pour lui tenir compagnie; les sirènes et tritons.
Belich'tria était sans doute la plus douce et la plus discrète des cinq, sans cesse par monts et par vaux, désireuse de ne prendre parti dans aucun conflit, elle était férue de mystère et de magie, désirant recenser tout ce qui existait dans leur nouvel univers parfait. Lorsqu'elle découvrit une créature ailée qu'elle ne connaissait pas, elle ne s'arrêta plus de la suivre, quand bien même ses pas la guidèrent jusqu'à la lisière du monde. Elle avait marché 83 jours sans interruption et elle ignorait comment rentrer chez elle. Perdue, esseulée, elle appela à l'aide et une voix effrayée lui répondit. Elle ne connaissait pas la langue qu'elle entendait, mais elle l'apprit et en quelques jours, elle se fraya un chemin dans les montagnes jusqu'au premier nid de harpies qu'elle croisa. Les créatures étaient belles et elle voulut absolument les ramener pour les présenter à ses frères et sœurs ; connaissant leur caractère emporté, cependant, elle se rendit compte qu'instruire les harpies quant à leur vie l'aiderait à prouver qu'elles étaient des créatures intelligentes ne nécessitant pas d'être tuées. Elle ne retrouva le chemin des siens qu'une centaine de jours après, lorsqu'elle leur revint, accompagnée d'harpies.
Quand à la fin de leur première année, toutes les créatures furent dispersées et que les premiers envolien.nes choisirent un endroit où s'installer, Vaymire accompagna ceux qui trouvèrent utile de poser pied à terre entre les volcans. Attirés par la force du feu canalisable et tout ce qu'ils pouvaient en faire, ils furent surpris, en pleine nuit, par des violents nuages noirs crachant la cendre et rapidement, le volcan entra en éruption. Presque tous anéantis, Vaymire vint flotter entre eux, les entourant de ses bras couverts de lave et les emporta loin de la catastrophe. Ils étaient peu à avoir survécus mais ils comprirent rapidement que leur peuple serait irrémédiablement attiré par les volcans aussi, ils ne partirent jamais trop loin, comme rattachés à leurs terres, plus qu'aucun autres. Les autres :
L'on raconte que la déesse mineure Thalass'ia fut entièrement créée par Abysseon; il sacrifia ses cheveux pour lui offrir une peau, fabriqua ses écailles dans les plus belles perles et il offrit son propre œil pour lui donner la vue. Leur amour créa les abysses du Fou où il se réfugia lorsqu'elle perdit la mémoire et s'en vint aux fins fonds des eaux. On dit aujourd'hui qu'il y vit toujours, fracassant les bateaux s'y risquant, et qu'un chant funeste peut se faire entendre lorsqu'à la nuit tombée, l'on navigue un peu trop près de ces eaux noires et inquiétantes; cela ne serait qu'une chanson d'amour pour qui pleure sa dulcinée disparue. Thalass'ia, quant à elle représente la liberté jamais acquise, et elle est le symbole des pirates de l'empire.
#baldur's gate 3#forum rpg#forumactif#forumrpg#french rpg#projet forum#rpg french#rpg#rpg francophone#the witcher
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans, On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne nous quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (10.4/15)
‘al et -bi ! Ils -op mignons !
Où… suis-je ?
Aaah ! Non !
Du -alme ! Personne -ous veux -al !
Vous… ? C’est bien vous ?
Hum… Yugo. Je suis Yugo. Et vous qui êtes-vous ? Vous êtes un Éliatrope ?
.
Kar-abra !
…
Karbonabra !
.
Vous allez-mieux ?
.
Yugo… et Adamaï ? C-c’est bien vous ? Je…
O-oui, c’est bien nous ! Et vous… Vous êtes qui ? Vous êtes un Éliatrope ?
Vous… Vous ne vous souvenez de rien ?
.
Il y a tellement à raconter !
Tellement…
.
Ce type aurait plusieurs milliers d’années ? Il est plutôt bien conservé !
.
Ce monde était bien différent lorsque nous sommes arrivés.
Il… ressemble à notre monde d’origine.
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Là-haut, par-delà le ciel, il existe d’autres terres, d’autres étoiles… Et leur nombre est infini comme le sont les grains de sable dans le désert…
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Altesse Qilby ! Altesse Qilby ! C’est Chibi, ça fait une heure qu’il pleure, je sais plus quoi faire pour le calmer…
Si vous voulez bien m’excuser, je vais aller m’occuper de cette jeune pousse.
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Tu sais ce qu’elle te dit ma choucroute- ?!
Alors, Chibi, on a un gros chagrin ?
Qu’est-ce que tu dirais d’une petite histoire ?
Il était une fois un petit Tofu qui s’appelait Tartouffe…
Mais à trop vouloir embrasser sa jolie rose, Tartouffe fit… Pouf ! Et il éclata comme un ballon de baudruche.
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‘us dur a… faire les portails. Qil- puiser dans nos deux Wakfu. -mite ! Pas une sec- us !
Qil- expliqué -portails à dis-…
Murs du chât-remblaient !
Même -ait neigé !
Les -tropes et -gons… lien puissant ! Savoir – servir ! -by m’a expliqué com-…
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Ça va aller ?
Ne t’inquiète pas pour moi, je suis coriace.
Trouve le dofus de ma sœur dragonne Shinonomé et libérons notre peuple.
C’est le plus beau cadeau que tu puisses me faire.
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… mais tout ce qu’il a mangé pour l’instant c’est des coups de sabots…
Ah, les jeunes dragons ont parfois du mal à gérer leurs émotions. L’un d’eux a rasé Bonta si je me souviens bien.
Oui, c’était avant le Chaos d’Ogrest. Votre connaissance de notre histoire ne cesse de m’étonner Altesse Qilby.
Hélas, elle s’arrête aux récits et légendes concernant les dragons, Maître Joris.
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Père ! Les derniers représentants sont arrivés.
C’est bien la première fois qu’ils sont à l’heure. Ils doivent piaffer d’impatience d’entendre votre histoire. Vous vous sentez prêt, Qilby ?
N’ayez crainte. Cela fait une éternité que je suis prêt.
Alors allons-y. Sadida fasse qu’ils soient aussi accueillants que nos hôtes.
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Un nouveau peuple va bientôt faire son apparition. Le monde en sera changé à jamais… C’est à nous tous de faire en sorte que cet évènement soit une fête ! Je laisse la parole au Roi des Éliatropes, son Altesse Qilby !
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Peuples du Monde des Douze, Oyez l’histoire des Éliatropes.
Entendez comme ils perdirent leur monde et découvrirent celui-ci.
Il existe d’autres terres, d’autres étoiles…
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Altesse Qilby, comment savez-vous que vos enfants seront encore… enfants ?
Les Éliatropes sont-ils immortels ?
Votre Altesse ? Ces êtres mécaniques qui ont détruit votre monde, les Méchasmes. Sont-ils encore une menace ?
Et ce vaisseau avec lequel vous êtes venus ?
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Rejoignez la Déesse Sacrieur !
Votre place est auprès d’Osamodas.
Altesse, vous pouvez compter sur Sram-
Pour vous pourfendre le cœur ! Rejoignez plutôt le peuple Iop !
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Nos connaissances, nos croyances… Englobent et dépassent les frontières de cet univers. Nous avons été, sommes et seront toujours une culture ouverte. Soyez sûrs que nous partagerons notre savoir afin que tous puissent croître et évoluer.
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Altesse Qilby… Combien êtes-vous ? De combien d’enfants parlons-nous exactement… ?
Si ma mémoire est bonne-
Non !
-et je sais qu’elle l’est…
NON !!
Plusieurs dizaines de milliers.
Quoi ?!
C’est une véritable invasion !
Qui va les nourrir ?
Cela va coûter une fortune !
Qui va payer !
Par Écaflip, je suis prêt à parier que ce ne sont pas les Énutrofs !
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Non…
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Mettons les pendules à l’heure, le peuple Xélor ne pourra prendre en charge une si vaste communauté.
Et pourquoi pas les mines du peuple Énutrof ? Cela devrait suffir pour accueillir un peuple entier…
Hein ? Oh, n’écoutez pas ces ragots ! Ce sont des bruits de galeries ! Les mines-
Arg ! Assez ! Parlez plus simplement : il y a des femmes et des Iops ici !
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Pardonnez-moi, Altesse, mais…
Les Éliatropes ont-ils vraiment des intentions pacifiques ?
Yugo a sauvé le monde, je vous rappelle !
Merci de le rappeler. Le monde qui était en danger à cause de cet objet éliatrope… L’Éliacube ! Dont le Royaume Sadida s’est emparé après nous en avoir caché l’existence ! Que nous cache-t-on encore ? Qui nous affirme que tout cela n’est pas une manigance de Bonta pour déstabiliser Brakmar ?
Bonta et Brakmar ont signé une trêve, ne l’oubliez pas !
Les trêves sont faites pour être rompues.
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On nous demande de croire à ces histoires de monde dans les étoiles, soit ! Mais que l’on ne nous demande pas d’accepter tout et n’importe quoi sans contreparties !
Tout à fait d’accord !
Pourquoi seraient-ils les seuls à conserver l’Éliacube ?
Nous devrions y avoir accès !
Comme si les Sadidas valaient mieux que nous !
Ils vont faire disparaître de l’or avec de tels pouvoirs !
Je ne voudrai pas crier au Mulou, mais imaginez qu’ils se rebellent…
Vous avec le feu, là ! Il vaudrait mieux les installer sur une île déserte !
Oui ! Chacun chez soi, et les Bouftons seront bien gardés !
Parfaitement !
Ah ! Surtout s’ils peuvent voler !
.
.
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Non.
Votre Altesse ! Comme vous pouvez le constater, nous sommes fidèles à notre poste !
Personne ne s’approchera de l’Éliacube sans l’accord du Roi !
Personne… ?
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Personne ne voit à quel point c’est dur… Quand j’te gronde tu m’ries au nez… Qu’est-ce qu’il faut faire ? Qu’est-ce que j’peux faire ?
Armand a raison, Adamaï, nous ne sommes plus à notre place ici.
Qilby ?
Nous devons parler.
.
J’ai pris une décision.
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Yugo et toi ignorez tellement de choses sur les pouvoirs de notre peuple.
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Qilby… Où sommes-nous ? Je n’connais pas cet endroit, mais il me semble… familier.
Nous sommes ici chez nous, Adamaï.
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Qilby ! Vous venez de retirer l’Éliacube mais son énergie continue d’affluer !
Oui, il en fait très peu pour éclairer le vaisseau !
.
Pour le faire décoller, ça par contre c’est une autre histoire…
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Ces dessins… J’les connais !
C’est l’histoire de notre famille. De…
Notre peuple…
Qilby ?!
Ah ? Oui, pardon.
Vous aviez l’air absent.
Notre planète, je me demande à quoi elle ressemble aujourd’hui. La guerre que nous avons livrée là-bas a dû énormément l’endommager…
Vous devez avoir le mal du pays…
Le mal du pays ? Hahaha ! Pas du tout ! Je suis juste curieux de savoir ce qu’a pu devenir un monde dont je connais les moindres recoins, mais je ne remettrai jamais les pieds là-bas – haha…
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J’ai un pouvoir, Adamaï. Contrairement à mes frères éliatropes, j’ai en mémoire toutes mes vies. J’ai les souvenirs de plusieurs millénaires.
Et j’ai compris depuis bien longtemps que c’était tout, sauf un don.
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Adamaï. Je te demande de me faire confiance.
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Tu n’as pas changé Adamaï. J’aurai beau essayé de vous convaincre, ton frère et toi, vous resterez toujours les mêmes.
.
J’aimerai tellement que ça se passe différemment pour une fois.
Mais l’histoire se répète, inlassablement ~ !
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Oh crois-moi, petit dragon, il y a bien pire que le trépas…
Super ! Vous avez failli m’avoir !
Moua-ha ! Moua-hahaha !
Quoi ?
Nan mais j’repense au cri qu’t’as poussé en voyant Grougal ! Ou-ho-hahou ! Hahaha !
Hahaha ! C’est clair que j’ai flippé. C’était bien joué de ta part, Adamaï. Très malin…
Ou-ho-hahou !
Hahaha !
Vous ne vous rendez pas compte de ce que vous faites !
J’me rends compte que le monde est en danger et que ça m’donne
tous les droits !
Si un dragonnet m’a donné autant de fil à retordre, je n’ai à l’évidence, aucune chance contre ce vieux Phaéris.
.
Bonjour la compagnie !
Raaah ! Anathar !!
Et bien justement je viens vous parler de tout ça.
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Voyez-vous ça, Monsieur… ?
Qilby.
Qilby ? Très joli prénom. Ça m’fait penser à une p’tite fleur.
Ah, c’est gentil, c’est la première fois qu’on me le dit !
Aaah, Yugo… Quel plaisir de te voir. Le spectacle te plaît ? Je n’ai jamais aimé la violence, mais voir les imbéciles se déchirer me passionne.
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Pourquoi vous faites tout ça ? Vous trahissez notre peuple-
Raah, tais-toi ! C’est vous qui m’avez trahi et non l’inverse, frères indignes !
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Crois-moi, j’aurai aimé que ça se passe autrement…
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Emporte et protège le Dofus, petit roi. Je m’occupe du traitre.
Cesse de m’appeler comme ça !
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Ce que tu dois comprendre malgré nos différents, c’est que nous avons toujours eu les mêmes objectifs ! Servir notre peuple !
Vous confondez servir notre peuple et se servir de notre peuple ! Nous n’avons rien en commun !
Tu as toujours été arrogant…
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Tu as toujours eu la faculté de donner ta vie pour peu de choses, Yugo ~
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Tu n’apporteras jamais ce dont notre peuple a toujours eu besoin…
Qui est ?
Du cœur !
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Comme je disais… Incorrigible.
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Quoi ?! Tu ne vois pas que c’est un moment important ? Mes frères méritent de disparaître honorablement !
Cet idiot faisait tache dans cet acte final !
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Qilby !!
Alors, mon cher Yugo, qu’en penses-tu ?
C’est ici que vous m’avez enfermé pendant tant d’années !
Tout a été si long ! Je suis tombé dans une léthargie !
Incapable de penser…
Grâce à toi, mon cher roi, je suis devenu un mort-vivant !
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Ensuite, je te laisserai passer quelques milliers d’années ici… Tu verras, on finit par devenir complètement fou !
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Bienvenue parmi les tiens, Yugo… Tu te trouves ici au milieu de ta vraie famille…
Balthazar, moi aussi je suis très heureux de te revoir. J’avais presque oublié la douce chaleur de ta voix.
Modère tes paroles, vieux dragons… Tout comme moi, tu ne désires pas que nous nous affrontions ici. Pense aux conséquences pour tous ces petits.
Qu’es-tu venu chercher ici, Qilby ?
Mon Peuple bien sûr ! Il est temps pour nous de reprendre la route ! Tous ensemble comme autrefois !
Bien sûr que vous allez me suivre, nous sommes un peuple élu ! Et c’est ce que nous allons faire !
Toi ! J’aurais dû t’éliminer quand j’en avais l’occasion !
Mais tu ne l’as pas fait. Comme tu n’as pas achevé Phaéris quand tu le pouvais. Et c’est pour cette raison que tu ne toucheras pas à Balthazar, ni aux enfants qui se trouvent ici !
Attention, chers tous ! Notre grand Roi vient d’avoir une Révélation ! Il pense me connaître. Et bien vas-y ! Explique-nous pourquoi je ne me débarrasserai pas de vous et de ce cher Balthazar.
Parce que tu vas finir tout seul Qilby… et c’est ta plus grande peur. Tu prétends vouloir te débrasser de nous, mais depuis le début, tu passes ton temps à nous regrouper ! Tu aurais pu nous vaincre cent fois ! Tu m’as envoyé retrouver Phaéris, et maintenant tu nous amènes ici. Tu as trahi ton peuple, déclencher une guerre, causer la perte de tes frères et maintenant tu t’apprête à détruire un monde. Mais tu ne veux pas partir seul. Le problème, c’est que l’on connait tous ton vrai visage… Les masques sont tombés Qilby. Je ne suis peut-être qu’un gamin, mais mon cœur me dit que personne ne te suivra. Si tu veux partir, fais-donc ! Ne te gêne pas !
Raaah, tais-toi !
Et tu peux dire ce que tu veux, tu partiras seul !
TAIS-TOI !!
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Tu ne sais pas qui je suis. Tu ne connais pas ma malédiction, alors garde tes sermons d’enfant pour toi…
Roi Yugo, tu devrais comprendre qu’en faisant cela, c’est tout le peuple éliatrope que tu emprisonnes !
Et toi, ton peuple, tu l’as mis six pieds sous terre !
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Tu n’as jamais eu l’âme guerrière, Balthazar… Retourne donc mettre ta tête dans tes livres. Ça fait moins mal !
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Pourquoi ne veux-tu pas comprendre que personne ne viendra avec-toi ? Mais moi, je te combattrai quelque soit le prix à payer !
Nous te combattrons Qilby !
Taisez-vous !
Assassin de nos parents !
Tu ne tromperas plus personne…
TAISEZ-VOUS !!
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Shinonomé… !
J’arrive ma sœur…
Shinonomé, ma sœur, tu m’as tellement manqué.
Tu es la seule à me comprendre Shinonomé !
Shinonomé, aide-moi, je t’en prie…
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L’Éliacube ! Rends-le-moi ! Il m’appartient !
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Oui, ça en valait la peine…
Ça en valait la peine pour moi.
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Tu ne m’as jamais compris ! Aucun de vous ne s’est jamais soucié de moi ! Vous êtes-vous seulement imaginé quel était mon calvaire ? Je meurs… et je reviens à la vie. Mais j’oublie pas comme vous ! Non… Je me souviens, encore et encore. De tout ! Chaque instant reste gravé dans mon esprit. Notre planète est devenue trop petite pour moi Yugo…
Et pour cela, vous avez déclenché une guerre, vous avez envoyé votre peuple au massacre.
Mon bonheur valait moins que le vôtre ? Tu peux me regarder avec ton air supérieur !
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Non… ! Pas ça !
Ne me refait pas ça, Yugo !
Je n’ai pas le choix, Qilby, tu es beaucoup trop dangereux !
Non, je deviens fou ici… Seul !
Déjà fou et seul, Qilby !
NON !!! Pitié !!
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.
Pitié…
.
.
.
.
.
« Et voilà qui conclue notre histoire. »
Les images s’étaient succédées, chaque scène suivant l’autre sans jamais s’arrêter… Une valse folle de souvenirs dont les moindres contours avaient à jamais été gravés dans le marbre. Ainsi que dans le cœur de leurs spectateurs, dont les yeux, d’abord écarquillés par l’acte déraisonné de leur camarade, n’avaient alors su se dégager de la large toile blanche, où s’étaient éclatées, une à une, les couleurs d’une histoire oubliée. Les pastels des jours heureux, les ocres des soirs passés au coin de l’âtre et l’albâtre des matins qui laissaient encore l’avenir se rêver… Remplacées par la suie de la guerre, les lumières rougeâtres de la haine… Ce bleu cristallin de la mort.
Yugo n’avait pas bougé, le bras toujours agrippé à celui de Tristepin après être parvenu à lui faire lâcher la chaîne des Lectanima… qui lui étaient d’ailleurs restées dans les mains. Tout avait été si vite et pourtant… Des millénaires venaient de déferler devant ces créatures qui ne pouvaient qu’espérer en vivre une poussière. Combien de temps s’était-il réellement écoulé ? Une dizaine de minutes ? Difficile à dire. Mais dehors, le soleil venait à peine d’embraser les cimes de la forêt primaire encerclant le Palais. Cinq peut-être ? Tout était allé si vite… Et plus les paysages leurs étaient apparus familiers, plus les bribes de mémoire s’étaient accélérées, comme si elles-mêmes pressées d’en finir avec ce vulgaire spectacle voyeuriste. Les contours étaient devenus flous, les couleurs avaient perdu de leur superbe, délayées, les lumières détraquées, déran-
« …Doc’ ? » La voix du mineur, d’habitude si rauque, n’était qu’un murmure. « Vous… ? »
L’attention de tous se riva enfin sur le principal intéressé. Le projecteur. Le metteur en scène…
« Q-qilby… ? »
L’autre ne lui répondit pas. Ses ongles s’étaient enfoncés jusqu’au bois tendre de la chaise sur laquelle il avait été tenu de s’assoir. On pouvait voir ses épaules se soulever en saccades irrégulières, mais sa respiration avait été réduite en un fin sifflement, presque indiscernable si vous ne lui tendiez pas l’oreille. Les sangles de cuir pendaient lamentablement le long de ses tempes. Ce fut Amalia qui, la première, choisit de s’avancer vers le scientifique, dans un silence presque religieux. Les mains quelque peu tremblantes, elle parvint à dénouer les dernières attaches, et les restes de l’appareil maudit vinrent se heurter contre les dalles de pierres.
« Hey, l’ancien… Ç-ça va ?
- Sire Qilby, comment vous sentez-vous ? Je, enfin, nous…
- Qilby ! Je suis dé- ! »
Il ne releva pas tout de suite la tête, mais lorsque l’Éliatrope se redressa enfin… Tous furent réduits au silence. Les traits de son visage avaient été creusés, ses yeux injectés de sang et dans son cou, l’on pouvait voir naître des veinules améthyste, signe d’une activation particulièrement brutale du collier. Ses joues avaient été inondées par les larmes : réaction physiologique pour tenter de garder ses yeux ouverts tout au long de la projection ou simple épuisement mental, toutes les réponses se valaient. Mais ce qui était le plus dérangeant dans ce portrait était…
« Ah ! Et bien je dois dire que cette expérience a été particulièrement enrichissante ! Qui aurait cru que des êtres incapables de voyager à travers l’espace soient aussi doués à manipuler le temps ! ~ Ha, ha ! »
Un large sourire. Psychotique.
« Doc’…
- Non, vraiment ! Un miracle de technologie ! Quel dommage que celui-ci n’ait pas survécu au pré-test : je suis certain qu’il avait un grand potentiel. » Comme soudainement habité d’une force désespérée, il rompit ce qui lui enserrait encore les poignets pour se lever. « Enfin ! Cela ne fait rien ! »
La coiffe crème envahit alors l’espace vital du guerrier Iop, ce-dernier ne pouvant s’empêcher de reculer de quelques pas, la main à la garde de son épée :
« Et quel dommage également que nous n’ayons pas pu visionner le passage qui semble tant préoccuper ce cher Messire Tristepin ! Hum ? » Les iris dorées passaient d’une tête à l’autre sans discernement. « Mais je ne me permettrais pas de révéler ce qui n’est pas mien ~ héhé… Madame ? Vous ne verrez pas d’objection à ce que je vous laisse gérer la suite des évènements, n’est-ce pas ?
- Je… Oui, Messire Qilby. » Tenta de lui sourire Évangéline.
« Mais attention ! » En un instant, il avait traversé la pièce, faisant bondir le Prince Armand au passage. Un sourire toujours aussi éclatant. « Une seule question a été posée aujourd’hui… Nous sommes bien d’accord, n’est-ce pas ? »
À la stupéfaction générale, la Crâ prit alors la main du scientifique dans les siennes, contenant tant bien que mal ses tics et spasmes nerveux.
« Nous sommes d’accord. » Le rassura-t-elle. « Une seule question, qui ne demande qu’une seule réponse... »
À celle-ci, l’agitation maniaque du scientifique sembla s’apaiser. Un hochement sec de la tête, et il se retourna face à son audience, aussi dramatique que dans ses plus sombres heures :
« Bien ! Voilà une bonne chose de réglée ! » Son sourire n’avait pas bougé, mais des rides de fatigue au coin des yeux étaient apparues. « J’espère que vous ne m’en voudrez pas si jamais je vous laisse donc en bonne compagnie ! Toutes ces folies ne sont plus vraiment de mon âge – Ha, ha, ha ! Et puis ! Ce n’est pas comme si je n’avais pas un nouvel antidote à préparer, hé, hé ! »
Comme poursuivi par un Néphylis en chair et en os, Qilby s’échappa alors de la salle, sans même laisser le temps à son frère de le rattraper. Juste avant de disparaître, il jeta néanmoins un dernier regard vers le guerrier roux, ses canines encore prises dans un rictus bien trop grand pour son visage émacié :
« Et toutes mes félicitations, Sire Tristepin ~ ou bon courage, ha, ha ! Avec ce genre de choses, on ne peut jamais être sûr ! »
Derrière lui, les membres de la Confrérie du Tofu et de la famille royale se tournèrent un à un, perplexes, vers Évangéline, qui avait gardé son regard fixé sur le dos du scientifique aussi loin que celui-ci lui permettait. Après un moment, les joues empourprées, elle se racla la gorge, et, les bras enserrant son torse, annonça la nouvelle :
« Je… Je suis enceinte.
- Tu- ?
- Sadida !! » Le cri perçant d’Amalia n’avait d’égale que sa vitesse à se jeter dans les bras de son amie. « Je le savais ! Oh, Éva ! Je suis tellement contente pour toi !
- Hé, bien joué gamine ! »
Mais alors que les louanges et les félicitations affluaient, Maître Joris, toujours préoccupé par l’ici et maintenant, ne put s’empêcher de demander :
« Avec tout le bonheur que je vous souhaite à vous ainsi qu’à votre future famille, Dame Évangéline… Auriez-vous l’amabilité de nous éclairer sur ce à quoi nous venons d’assister ?
- Je crains de ne pas comprendre votre question, Maître Joris. » Répondit l’archère, un fin sourcil levé en signe de défiance.
« Humpf, je vois, alors… Comment se fait-il que notre cher hôte ait pu prendre conscience de votre état alors même que-
- Oui, c’est vrai ! » Tristepin, qui, s’il s’était rapproché de son aimée, gardait encore ses distances. « Avoue, ce type louche t’a forcé à-Aoutch ! »
Un poing de fer venait de s’abattre contre le crâne creux du guerrier. Les yeux d’Évangéline étaient sombres.
« Pour une fois, Pinpin, évite de t’agiter et écoute ce que l’on te dit, d’accord ? » Se tournant vers l’assemblée. « Je me doute que vous avez beaucoup de question, mais… J’ai fait une promesse. Qilby aussi d’ailleurs, et jusqu’ici il ne l’a jamais rompu : c’est moi qui lui ai demandé de ne pas révéler mon… état.
- M-mais enfin, Éva, pourquoi ? Tu sais très bien que nous- !
- Oui, Amalia, je sais. C’est juste que… je ne me sentais pas prête à assumer tout ça, tu comprends ? Surtout avec… avec tout ça. »
Le geste déchu comme les épaules fatiguées valaient autant que cent mots. Ruel hocha la tête et vint poser une main réconfortante sur celle de la Crâ :
« T’inquiète donc pas, gamine, ça s’voit que t’as pas essayé de nous doubler… Ces affaires là… ça demande du temps pour s’y faire, pas vrai ? »
La gorge et les yeux pris par les larmes, Évangéline ne put que sourire à leur vieil ami.
« M-mais… Éva ? » C’était Yugo qui avait, enfin, levé la voix. « I-il… Qu’est-ce que…. Qu’est-ce que ça veut dire tout ça… ?»
Le jeune Éliatrope était pâle, rivalisant de peu avec les écailles ivoires de son frère dragon qui se tenait à ses côtés. Il tremblait. Ce qu’il avait vu, là, sur la toile-non ! Ce qu’ILS avaient vu… Ce jeune homme la tête sertie d’une couronne et les traits hautains, aux mots si rudes, si froids… Au regard si vide… C’était lui ? Il était lui ? Yugo avait été… ou était-il toujours ?
Moi, Yugo, Roi des Éliatropes…
Soudain, il eut envie de vomir. Alors c’était vraiment comme cela que… ? Tout était faux ?! Non ! Il devait y avoir une erreur ! C’était une ruse, pas vrai ? Encore une manipulation, un mensonge, une illusion ! Pourtant… Il avait l’air si troublé en partant, non, fuyant. Qui croire ? Que f- ?
« Hey… Yugo ? » Il releva le tête, plongeant dans deux iris émeraude. « Je me doute que tu dois avoir plein de questions, et sache que, contrairement à certains… » Regard appuyé en direction de Maître Joris. « … elles sont légitimes. »
Évangéline, trainant son mari encore quelque peu sonné derrière elle, invita alors les deux frères à la suivre :
« Qilby n’est pas une menace. Du moins pas à l’heure actuelle. Il y a juste tellement de… tellement de choses à raconter. Et ce n’est ni ma place ni mon rôle que de le faire, ou même que de discuter les raisons de ce secret, car après tout… J’ai moi aussi une promesse à tenir. Toutefois…
Je crois que nous devrions parler, Yugo.
.
.
.
Un imbécile…
Je ne suis qu’un imbécile.
~ Fin du chapitre 10
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
3/7
Mise devant le fait accompli, je n'ai pu qu'essayer de l'en dissuader. A t-on idée d'offrir un sarcophage à sa grand-mère centenaire sans qu'elle y imagine un message subliminal glauque ? Il n'a rien voulu entendre, il a même tenté de me convaincre grâce à un argumentaire qui fonctionnerait si on la seule personne qu'on essayait de convaincre était Constantin Le Bris en personne. Il m'a parlé d'un de ses maîtres à penser, qui a forgé sa vocation, l'illustre Auguste Mariette, a été inhumé dans une espèce de sarcophage. Il m'a même fait visiter le monument dédié à ce monsieur lorsque nous sommes passés au Caire. Le lieu ne manque pas de panache, mais je doute que cela soit approprié pour une femme comme Madame Eugénie. Dans une tentative un peu maladroite, il a même ajouté "Allons bon, je ne compte quand même pas la faire momifier". En effet, je doute que l'idée ait plu à sa grand-mère. En plus du cadeau sarcophage s'entend.
En rentrant en France, j'ai donc eu ce mélange de curiosité et d'appréhension quand à savoir la réaction de Madame Eugénie. Pour des raisons évidentes, le sarcophage a été bloqué à la douane de Marseille quelques temps, mais comme nous étions attendus au mariage d'Alexandre, nous avons du nous résoudre à le laisser là-bas et attendre que l'administration fasse son œuvre. Très personnellement, j'ai espéré que le sarcophage soit malencontreusement perdu comme le sont des centaines de lettres par les postes françaises. Malheureusement, il n'est pas aisé de perdre un colis de plus d'une tonne.
Vous voudrez sans doute savoir ce qu'en a pensé Madame Eugénie. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle a semblé apprécier. Elle connait depuis sa naissance le caractère particulier de Constantin et son tact légendaire, alors elle a du trouver malgré tout une forme de contentement. De toute façon, connaissant la dame, elle aurait pu détester et abhorrer le cadeau qu'elle aurait quand même insisté pour être enterrée à l'intérieur. Juste parce que c'est un cadeau de son cher petit-fils.
Transcription :
Eugénie « Et bien, merci mon petit... »
Constantin « Cela vous plaît ? Ah, je savais qu’Albertine se trompait, je vous connais bien mieux qu’elle ! Voulez vous voir l’intérieur ? J’imagine que oui, mais malheureusement la dalle en calcaire est bien trop lourde pour moi. J’ai néanmoins fait polir les encoignures et pour que cela reste sobre mais élégant, j’ai demandé à un sculpteur de Karnak de graver à l’intérieur du couvercle des étoiles comme dans les hauteurs des chambres funéraires des pyramides et dans le fond, une représentation de la déesse Mout. Bon, notre homme n’avait pas le style d’un ancien égyptien, mais il a fait un travail correct. Je lui ai également dicté quelques formules rituelles traditionnelles et j’ai traduit en hiéroglyphes votre nom comme je l’ai pu et vos titres de façon approximatives pour qu’il les grave également à l’intérieur. »
Eugénie « Mes titres ? Je ne suis ni noble ni reine. »
Constantin « Non, mais vous êtes ma grand-mère et le coeur de notre famille. Et bien plus encore. »
Eugénie « Continue Constantin... Qu’as-tu ajouté ? »
Constantin « Mère dévouée, mère aimée, honorable matriarche et protectrice de la lignée. Je voulais également y inscrire le nom de tous vos descendants, mais je n’aurai pas su comment traduire tous ces noms français et de toute façon, nous étions attendu à Alexandrie. »
Eugénie « C’est un cadeau singulier, tout comme toi mon petit Constantin. Je suis fière d’être ta grand-mère. »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#ts3#nohomechallenge#sims 3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Constantin Le Bris#Alexandre Barbois
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Soft Hanky | Steve Kemp x ftm!reader
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notes : écrit avec un reader opéré du torse en tête
résumé : Pour le bien de son commerce, Steve Kemp prend connaissance de l’existence d’une catégorie de personnes spéciales. Il trouve donc un jeune transgenre et met en place son plan habituel. Problème, cet homme cache bien des surprises.
⚠︎ warnings : Description volontairement maladroite de la transidentité, idolâtrie du transgenre, Steve Kemp est un red flag à lui seul (cannibalisme, violence, manipulation..), kinks (dégradation, soumission, proie/prédateur)
english version here
- Description à la deuxième personne
- 2 509 mots
Tu avais pensé à un accident, peut-être même à un signe du destin. Il faut dire que ta vie sentimentale ne s’étalait pas sur des kilomètres, pas même quelques mètres. Alors tomber nez à nez avec un si bel inconnu, souriant et intéressé, ça avait été une sorte de miracle à tes yeux, et malheureusement pour toi il le savait. Steve, c’était son prénom, assez classique, rien d’original et un côté de déjà vu. Pourtant il t’avait attrapé en quelques secondes, à peine avait-il commencé à te poser des questions que tes joues étaient devenues aussi rouges que les sièges de la salle de cinéma où vous vous étiez rencontrés.
Pas de chance pour toi, le destin n’avait rien à voir dans cette romance soudaine. Cela faisait deux jours que Steve te suivait, apprenant principalement tes lieux les plus fréquentés et surtout les personnes avec qui tu y allais. Là se creusait le piège, tu n’avais personne, et c’était ton atout majeur. Aucun ami, aucune famille, pas même un poisson rouge à qui tu allais manquer. Tu étais un être vivant sur Terre sans attaches humaines, ce qui faisait de toi un fantôme, la victime parfaite.
Non je n’ai pas vraiment de famille, c’est assez compliqué à ce niveau-là, lui avais-tu naïvement confirmé lors de votre premier rendez-vous. Puis, disons plutôt des connaissances que des amis, avait-il réussi à te faire avouer. Enfin le bouquet final, c’est bizarre à dire vu que je ne te connais que depuis peu mais je t’apprécie beaucoup Steve. Le sourire qui t’avait accueilli à cette déclaration avait fait bouillir tes joues, et alors l’homme en face de toi tenta une approche – pensant qu’il s’agissait du moment idéal – il déposa sa main par-dessus la tienne sur la table de restaurant. Ta réaction ne fit que l'encourager, et quelques instants plus tard vous étiez en train de vous embrasser au coin d’une rue. Tout se déroulait à merveille, tout était parfait, dans les temps et même agréable. Il ne restait plus qu’à te faire di– Attends je..excuse-moi je crois que c’est un peu trop d’un seul coup pour moi, l’avais-tu couper alors que vous vous dirigiez vers chez toi. Il n’avait rien laissé paraître, seulement sourit avant de te rassurer, c’est rien on a tout le temps pas vrai ? Il aurait dû s’y attendre, tu avais été différent dès le début, tout ne pouvait pas être aussi simple.
À vrai dire tu n’étais à l’origine pas sur sa liste. Vanessa, Penny, Kate. Mais pas ton nom, pas un homme. Les femmes étaient demandées, recherchées et meilleures, pas les hommes.
Puis, un jour, lorsqu’il effaçait le compte instagram d’une précédente candidate, il tomba sur un post : Journée internationale de la visibilité des personnes transgenres. Les couleurs vives l’interpellèrent et puisqu’il n’avait plus rien à faire, il se balada à travers ce sujet. Plusieurs photos de personnes concernées, mais rien de spécialement intéressant, ils n’avaient rien qu’il ne pouvait pas trouver ailleurs. Quand soudain, une photo le stoppa net. Un dessin fait au crayon, représentant un être androgyne magnifique. Steve cliqua sur la photo de profil du créateur, et tomba sur toi. Tu n’avais que très peu de publications, mais assez pour qu’il te choisisse. Ton visage, ta silhouette, tes cuisses, hanches. Il y avait quelque chose de spécial dans ton être, différent des femmes, des hommes, différent des cisgenres. Dans ta biographie trônait fièrement le drapeau tricolore transgenre, accompagné de trois lettres “ftm”. Steve ne mit pas longtemps à ressembler toutes les pièces du puzzle, tu étais exceptionnel. Le parfait mélange de la beauté harmonieuse de la femme avec la sublime force calme de l’homme. Ton corps était splendide, tes traits divins. Ton goût ne pouvait qu’être sans égal.
Alors, tu passas en quelques heures premier de sa liste. Ton visage angélique allait rendre fou les acheteurs, et tu rendais déjà fou Steve. La nuit de sa découverte il ne ferma pas l'œil, cherchant toutes les informations possibles sur toi et sur ce qui te représentait. Il n’avait pas l’habitude de se sentir aussi impliqué, mais tu étais différent, c’était sûrement pour ça.
C’est de cette façon qu’une semaine plus tard, tu rencontras le subjuguant Steve Kemp en sortant de ta séance cinéma hebdomadaire. Tu fus surpris de tomber face à un homme aussi attirant, intéressé et surtout cultivé sur les sujets qui te tenaient à cœur. Il connaissait les termes queer, riait en disant qu’il avait visité ton endroit de rêve, ou freignait l’ignorance en découvrant ton nom.
Mais outre cette spécificité physique, il avait – avec surprise – découvert que tu n’étais pas aussi rapide que les autres. Tu ne l’invitais jamais chez toi, esquivant les sous-entendus d’un prochain date là-bas. Tu étais ouvert à ses avances et pourtant quelque chose semblait toujours te faire reculer au moment fatidique. Il avait d’abord pensé que tu étais inquiet par rapport à ton genre “spécial”, que tu avais peur de le lui en parler. Mais tu ne donnais pas l’impression que le sujet était sensible, au contraire tu en parlais avec légèreté. Le problème venait donc d’ailleurs. Steve avait dû creuser, mais la source avait fini par devenir visible. Tout venait d’un domaine plus intime. La façon dont tu mordais ta lèvre lorsqu’il te complimentait, croisais les jambes à certains regards insistants, gémissait faiblement dans vos baisers. Il avait cru à un comportement basique, il te plaisait ça se voyait. Puis, il avait remarqué ton léger inclinement de tête vers le bas, tes yeux fuyeurs, tes muscles faiblissant. Ton corps se soumettait à lui, consciemment ou non, tu réagissais d’une façon primale à lui. Cette conclusion lui avait sauté au visage lors de votre dernier baiser. Il t’avait gentiment bloqué contre un des murs extérieurs du restaurant asiatique, sa main à la jonction de ton cou et de ton épaule, ton corps avait semblé se ramollir dans son étreinte. Tu te laissais contrôler par lui, protéger, épauler. Il avait alors accentué votre échange buccal, et tout s’était confirmé. Ton corps avait besoin d’être soumis, vulnérable dans des bras puissants et protecteurs.
Après s’être rendu compte de cela, Steve a su trouver le problème : tu n’étais pas à l’aise avec ce fantasme. Ça tombait sous le sens, tu ne connaissais que depuis quelques jours l’homme qui te faisait sentir ainsi, c’était évident que tu ne voulais pas laisser ton corps à un presque inconnu.
Mais tout problème avait une solution, et il l’avait trouvée.
Humide de ta récente douche, ta main attrapa ton téléphone portable déposé sur le rebord de ton lavabo. Steve venait de t’envoyer plusieurs messages.
– Bon matin angelot – Un café pour commencer la journée ?
Tu répondis avec enthousiasme, lui disant que tu acceptais avec plaisir son invitation et en quelques secondes tu reçus une réponse.
– Je peux passer te prendre d’ici une vingtaine de minutes – Et si ça te va, je pourrais te montrer le fameux tableau que j’ai à la maison ? – Je te l’aurais bien apporté mais il faut croire qu’il ne rentre pas dans le coffre 🦣
Ton sourire t’accompagna pendant que tu enfilais des vêtements propres. Sa proposition te tentait énormément mais il y avait un hic. Passer du temps avec Steve te plaisait toujours, cependant aller chez lui voulait forcément dire passer une étape. Il n’était pas du style à te presser le pas, mais tu en avais envie et d’après vos échanges il semblait également en avoir envie. Avec un soupçon de doute, tu attrapas de nouveau ton portable pour lui répondre :
– Ok pour chez toi, mais seulement pour voir le tableau ;)
À seulement deux rues de ton immeuble, Steve esquissa un vague sourire en tapant une rapide réponse. Il se doutait que tu allais réagir ainsi, mais tu étais malgré tout tombé dans le piège et c’était le plus important. Le plan n’était de toute façon pas de coucher avec toi, seulement de te ramener en lieu sûr, chez-lui. Il ne couchait jamais avec ses cibles, parce qu’il n’en avait pas spécialement envie et surtout qu’elles venaient sans soucis chez lui, sans avoir besoin d’en arriver là.
Le trajet en voiture avait été plus long que tu ne l’aurais imaginé. Entre les petits chemins et les routes étroites, il vous fallut en tout à peu près une heure et demie pour enfin arriver vers ce qui devait être chez Steve. Un peu – beaucoup, mais l’avouer serait étrange – perdu au milieu d’une épaisse forêt de sapins en tout genre, trônait une longue et grande bâtisse. Tu sortis de la voiture en premier, voulant avoir le temps de détailler la maison avant d’y rentrer.
Pour être honnête, beaucoup de branches et de végétations camouflaient l’habitacle, tu ne parvenais qu’à deviner des lignes modernes et rectangulaires qui finissaient par disparaître derrière des troncs d’arbres. Mais malgré ça, tu trouvas la maison assez jolie de l’extérieur.
Steve arriva par surprise derrière toi, te faisant sursauter et pousser un petit cri peu viril. Son rire mélangé au tien fit voltiger quelques oiseaux à côté de vous, aussitôt tu t'inquiétas du possible bruit que ton cri aurait pû poser. Mais Steve te rassura immédiatement, déposant une main sur ton épaule il te sourit en disant : “Pas besoin de s’inquiéter, aucun voisin aux alentours, personne pour se plaindre du bruit”. Tu fus sur le coup soulagé, répondant quelque chose comme “oh génial” sans savoir que ce détail ne t'était absolument pas favorable.
Guidé par la main chaude du propriétaire, tu te laissas porter jusqu’à la porte d’entrée – même s’il devait sûrement en avoir plusieurs au vue de la taille de la maison –. Tu aurais en temps normal était quelque peu suspicieux par rapport à cette taille justement. Une habitation aussi grande signifiait grands revenus, Steve t’avait dit qu’il travaillait comme chirurgien plastique et ça pouvait expliquer ce détail là. Néanmoins, ton attention ne se porta absolument pas sur ses revenus, ni même la possible dangerosité d’une maison aussi éloignée de la civilisation. À vrai dire, une fois la porte franchie tu fus hypnotisé par la décoration. Tout était extrêmement sombre, dans des teintes marrons et noires. Il n’y avait que le minimum de lumières, et même les fenêtres ne donnaient pas assez de luminosité pour pouvoir apercevoir les quatres extrémités de la cuisine ouverte sur le salon. Les murs étaient très hauts, sombres eux aussi, seulement entrecoupés de quelques touches beiges. Vu de l’intérieur on oubliait le loyer de l’habitat, on se laissait dévorer par l’atmosphère si spéciale. Si tu prenais chaque petit détail à part, la décoration n’avait rien d’extraordinaire, mais mis bout à bout c’était comme si tu rentrais dans une sorte de tableau immersif. Sûrement à cause de la luminosité inégale au dehors ou de l’odeur flottante d’encens, mais tu avais le sentiment d'être coupé du monde extérieur. C’était étrangement agréable.
« Je ne te propose pas d’eau, intervint Steve en montrant d’un signe de tête ton café encore chaud dans tes mains »
Tu souris timidement en secouant la tête de gauche à droite. Même s’il conduisait, Steve avait fini sa boisson en moins de vingt minutes. Une main sur le volant, une autre toujours sur son gobelet en carton – à croire qu’il avait peur de le perdre – il enchaînait les petites ou grandes gorgées de caféine comme s’il s’agissait d’un élixir de jeunesse. Tu ne t’étais pas vraiment posé de questions sur le moment, supposant qu’il avait mal dormi ou que quelque chose lui prenait la tête.
Une fois ta petite observation complétée, tu proposas un peu de ton café à ton interlocuteur – ce qu’il accepta – puis tu te dirigeas vers le fameux tableau qui t’avait fait venir ici. Il n’avait rien de si spécial, juste une grande toile horizontale pleine de touches de peinture en relief. Tu n’étais même pas un expert en art, mais lorsque Steve t’avait parlé de cette œuvre tu avais été curieux et au fil de vos conversations tu avais eu envie de le voir en personne. C’est comme si on voyait plein de personnes vivre, t’avait-il confessé, comme si j’avais le super pouvoir de transformer les corps en âmes colorées. Sa description t’avait intrigué, tu avais voulu mettre une image sur ce pouvoir, et puisque Steve n’avait pas de photo sur lui quoi de mieux que de le voir en vrai.
« J’aurais plutôt dit qu’elles meurent, commenças-tu en inclinant la tête, regarde leurs positions on dirait qu’elles se font aspirer ou qu’elles pleurent, ton doigt accusateur accompagna ton analyse en dessinant des formes abstraites dans l’air, et puis les couleurs sont en train de disparaître, le orange vif devient cramoisi »
Trop absorbé par ton investigation, tu ne prêtas pas attention à Steve se plaçant derrière toi. Vos deux silhouettes étaient dans un parfait alignement, fades et indéfinies à cause de la pénombre, vu de face tu semblais disparaître dans la carrure glaciale de l’homme te surplombant de plusieurs centimètres. Ses yeux couraient au ralenti sur ta nuque dévoilée et nue, ton dos dessiné. Ils imaginaient les courbes alléchantes qui étaient camouflées sous deux ou trois couches de tissus – si facilement déchirables, même du bout des dents –. Tes épaules étaient relaxées, tu étais en confiance. Tu ne faisais qu’observer un tableau, sans te douter de la menace qui se trouvait derrière toi ni des preuves dissimulées derrière la peinture. Tu ne faisais qu'observer l'œuvre qu’un homme qui te plaisait avait chez lui. Sans penser un instant que derrière toi ce même homme serait désespérément un mouchoir en tissu imbibé de GHB. Sans penser que son bras était bloqué dans cette position, alors qu’il devrait être enroulé autour de ton cou. Sans imaginer le flot de pensées qui dévalait au même moment l’esprit de cet homme. Tu ne faisais qu’admirer une toile dont il t’avait parlé, qui lui tenait à cœur, dont il n’avait jamais parlé à personne à part toi. Tandis que lui était pétrifié par le doute.
« Je pense que j’aimerais pas avoir ce super pouvoir, de voir les âmes de gens, déclara ta voix, j’aimerais pas savoir qui est bon ou mauvais c’est trop volatile, continuas-tu en reculant d’un pas, et puis les mauvaises personnes sont juste incomprises, et j’aime bien essayer de les comprendre »
Ton talon heurta la pointe d’une chaussure cirée, tu crus tomber en arrière. Ton dos fut stoppé par un buste bouillant, et un sourire revint sur tes lèvres.
Un mouchoir tomba au sol et alors que tu te baissais pour le rattraper, la main ferme de Steve stoppa ton mouvement.
« Laisse-le ici, soupira presque une voix que tu n’avais jamais entendu aussi légère, il ne servira plus à rien »
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Très envie de faire une partie deux, qui sait peut-être un jour ?
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Tentative de représenter Esther sous sa vraie forme d'aberration
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J'ai déjà entendu parler de cette créature... une créature blanche comme la neige mais, avec des yeux d'or avec des pupulles en formes d'aiguilles... on raconte qu'elle est apparut lors des temps mythologique, une véritable aberration du monde issue du vide et du chaos de la bataille ayant ébranlé l'univers lui-même... rien n'échapperait à sa connaissance, elle saurait tout et pourrait même connaitre tous les futurs possibles mais, elle aurait un malin plaisir à tourmenter les humains pour son propre divertissement... une enfant du chaos, c'est tout ce qu'elle ait... le jour où elle mourra, le monde s'en portera bien mieux, elle et toutes les autres aberrations de son genre... ce sont des erreurs de l'univers qui ne devrait même pas exister de toute façon.
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Portrait rapproché d'Esther tenant sa montre pomander à la main après l'avoir ouverte.
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Portrait en pied
Et voilà la vraie apparence d'Esther ainsi que le moment où elle est née / s'est formée ! Comme Dil, elle a deux apparences relativement distingue : une forme humaine qu'elle garde en permanence pour ne pas trop se faire remarquer, et sa vraie forme d'aberration qui diverge trop de celle d'un humain normal pour que qui que ce soit puisse se tromper. Même si les aberrations prennent instinctivement une forme plus "normale" pour ne pas se faire remarquer et se protéger, elle copie souvent celle des gens autour d'eux quand ils apparaissent (Dil a pris une forme très proche de l'apparence de ses parents quelques minutes après sa naissance par exemple) mais pour Esther, elle est née seule.
Contrairement à Dil qui est né relativement comme un humain normal (même si c'est une aberration car son père était déjà mort quand il l'a conçu, ce qui n'est normalement pas possible) et grandit en gros comme un humain (même si ses pouvoirs grandissent bien plus vite qu'ils ne devraient), Esther est née après que le temps se soit ébranlé après une grande bataille pendant les temps mythologiques, ce qui a crée des distorsions spatiaux temporels vu que le combat était tellement violent que même la structure du monde en a été ébranlé. Elle est issu de ses distorsions, de cet énorme bug dans la structure du monde qui a donné une aberration et vu que tout était instable dans la zone, il n'y avait personne. Elle est donc apparue seule en étant complètement adulte avec son pouvoir temporel déjà complètement opérationnel alors, elle suppose que son apparence humaine s'est calquée sur la première personne qu'elle a vu grâce à eux (c'est la personne qui est dans la plus grosse bulle, et même si je ne suis pas encore sûre si ce personnage existera ou de sa place dans la mythologie du monde vu qu'elle risque de faire double emploi avec Dil, c'est quelqu'un ayant vraiment la foi en le futur et l'espoir que les choses s'arrangent, jusqu'à donner sa vie pour protéger le futur lors de la grande bataille qui a provoqué les distorsions qui ont donné naissance à Esther). Les scènes dans les bulles représentent ce qu'elle voie dans le passé, le présent et le futur, avec quelques scènes qui vont surement arriver dans l'histoire.
Dans sa vraie forme d'aberration, Esther est vraiment complètement blanche à part ses yeux avec une horloge, qui se détachent d'autant plus sous cette forme. Tout comme Dil (dont le design est fait pour être l'inversé complet de celui d'Esther, leurs deux personnages s'opposant complètement autant dans leur histoires que leurs apparences ou leurs manières de pensée, même s'ils s'entendent très bien, du moins au début), elle luit légèrement, ce qui lui donne vraiment une allure très éthérée, voir même fantomatique. Ses jambes s'estompent également, ses pieds ne se voient même pas alors, elle semble flotter quelques centimètres au-dessus du sol, même si elle ne peut pas voler. Je trouvais que ça lui donnait une allure encore plus étrange, et que ça permettait d'illustrer qu'elle est relativement hors des choses et du temps vu sa très longue durée de vie et le fait qu'elle sait tout ce qui s'est passé, se passe, se passera et aurait pu se passer. Sa robe flotte également au niveau de ses épaules pour les mêmes raisons : lui donner un aspect irréel et hors du temps. Son visage également est très difficile à discerner. Entre sa lueur et sa blancheur, sa bouche ne se voie pas vraiment, ce qui la rend encore plus indéchiffrable et difficile à lire étant donné qu'il n'y a que ses yeux qui expriment ce qu'elle ressent... déjà que la dame n'est pas la personne la plus facile à lire de base, ça aide encore moins...
De nouveau des points de conceptions et des brouillons !
De nouveau, vu que j'ai réalisés ses dessins sur deux feuilles, voici mes crayonnés avec le gros de la silhouette de passer au noir. C'est juste plus simple de le faire sur deux feuilles quand il y a des parties qui ne sont pas repasser au noir, un peu comme des calques sur une tablette, même si ça utilise plus de feuilles...
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(j'ai hésité à mettre directement les images avec juste du blanc sans fond mais, je trouve que le noir tout autour renforce sa pâleur et son aspect fantomatique alors, voici l'étape 1 vu que j'avais encore la photo)
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Là, j'ai un peu modifié sa pause quand je l'ai refait : au lieu de tenir une montre plate qui fait doublon avec son autre montre qu'elle porte en pendentif, elle joue juste avec une bulle d'or comme celle de sa naissance. Pour son poignard, j'ai également essayé de lui donner l'apparence d'une aiguille.
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#dessin de curieuse#écriture de curieuse#idée en cours#faut vraiment que je trouve un vrai nom à cet univers...#my art#j'espère que ça vous plait surtout !#j'espère aussi que c'est visible même avec l'ordi...#j'ai essayé de le passer au scan mais ça ne voyait pas les lignes grises alors il y avait juste des yeux qui flottait dans le vide - -'#j'ai fait de mon mieux pour ajuster les photos afin de les rendre le plus lisible et proche du dessin papier possible#c'est ce que je redoutais en la dessinant : c'est dur de la rendre visible tout en la gardant éthérée#vu que là où Dil est colorié Esther est complètement blanche...#raison pour laquelle j'ai aussi mis les brouillons pour que vous la discerner mieux... surtout pour le dessin de sa naissance...#enfin on va se débrouiller. N'hésitez pas à me le dire si ce n'est pas très visible je reposterai pour tenter d'améliorer ça
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Celui qui refuse de rentrer dans le jeu risque de se tenir pour meilleur que les autres et de faire jouer à sa critique de la société le rôle d’une simple idéologie au service de ses intérêts personnels. Dans le même temps où, à tâtons, il cherche à faire de son existence privée une image fragile de ce qu’elle devrait être vraiment, il fera bien de ne pas oublier cette fragilité et de ne pas ignorer combien cette image remplace peu la vraie vie. Mais la pesanteur de ce qu’il y a de bourgeois en lui l’empêche d’y prendre garde. Celui qui a pris ses distances est aussi empêtré que celui qui est plongé dans des activités ; son seul avantage sur ce dernier, c’est de savoir qu’il est pris lui aussi, avec cette chance de liberté minuscule qu’apporte la connaissance en elle-même. Les distances que l’on prend par rapport aux rouages du système représentent un luxe qui n’est possible que comme produit du système lui-même. Aussi chaque mouvement pour se retirer comporte-t-il certains traits de ce qu’il nie. La froideur qu’il faut y mettre ne peut guère se distinguer de la froideur bourgeoise. C’est encore la domination de l’universel qui se cache dans le principe monadologique de l’individu, même là où il est protestataire. Theodor W. Adorno, Minima Moralia, Réfléxions sur la vie mutilée, Éditions Payot, 1991
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Chatte douloureuse à Poitiers : la maire féministe annonce jusqu’à 24 jours de vacances gratuits pour les 2000 femmes fonctionnaires de la ville.
Les mecs n'avaient qu'à être des femmes s'ils voulaient 12 jours de vacances à l'œil.
À Poitiers, les femmes auront droit à 3 semaines de vacances supplémentaires par an offertes par tous les contribuables.
C’est l’égalité homme-femme.
Libération :
La ville de Poitiers, dirigée par les Écologistes, a annoncé la mise en place d’un congé menstruel dès le 1er janvier 2025 pour ses 2 000 agentes. Un dispositif détaillé ce lundi 16 décembre, à l’occasion de la présentation de son rapport annuel sur l’égalité professionnelle des agentes de la collectivité de Poitiers. A l’aide d’un certificat médical, les employées de la collectivité pourront prendre un à deux jours de congé menstruel chaque mois, en cas de règles douloureuses voire d’endométriose. «Chaque agente pourra en bénéficier sans impact sur sa rémunération car il n’y aura pas de jour de carence, sans impact sur sa carrière, et sans stigmatisation possible puisque cette autorisation spéciale d’absence est noyée parmi les autres, seul le médecin en connaissant la raison», a expliqué Stéphane Allouch, adjoint au personnel et au dialogue social à la ville de Poitiers, interrogé par France Bleu Poitou. Afin de lever le tabou autour des règles, la ville a également organisé des ateliers avec des agentes de la collectivité. «La première question qui s’est posée pour elles, c’est de savoir qui allait faire leur travail si elles sont absentes, a rapporté la conseillère municipale à l’égalité des droits Alexandra Duval. Il faut déconstruire cela. Les femmes ont droit d’avoir des conditions de travail adaptées.»
Ils vont déconstruire, mais ça ne répond pas à la question : qui va bosser à leur place ?
La réponse est simple : personne.
Parce qu’elles ne foutent rien pour commencer.
Celles qui ont posé cette question avaient peur de se faire réquisitionner pour remplacer leurs collègues, mais évidemment ce n’est pas à l’ordre du jour.
Poitiers suit l’exemple d’autres municipalités. La première d’entre elles, Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), a été la première ville française à mettre en place le congé menstruel, proposant jusqu’à deux journées par mois et sans carence à ses administrées. L’expérimentation avait été lancée le lundi 27 mars 2023. Depuis, d’autres collectivités ont pris le train en marche. C’est le cas de l’Eurométropole de Strasbourg, qui permet, depuis le 1er septembre 2024, à ses 3 500 agentes de bénéficier d’un «congé de santé gynécologique», soit treize jours d’absence exceptionnelle par an. Il y a deux mois, le 17 octobre, ce fut au tour de la commune de Barentin, en Seine-Maritime, de proposer à ses employées ce congé particulier. On peut également nommer Lyon, Nantes, Châlette-sur-Loing dans le Loiret, Orvault en Loire-Atlantique ou encore Abbeville dans les Hauts-de-France. Mais ce congé menstruel ne dépend pas du simple bon vouloir des mairies. Le 20 novembre dernier, la ville de Plaisance-du-Touch en Haute-Garonne, son centre communal d’action sociale ainsi que la communauté de communes du Grand Ouest Toulousain se sont heurtés à une réalité juridique : l’absence d’un cadre législatif, alors que le préfet local avait saisi le tribunal administratif pour demander l’annulation du dispositif. «Le tribunal estime que ces collectivités territoriales n’ont pas le pouvoir de prendre ce genre de décisions en l’absence de dispositions législatives ou réglementaires», avait rapporté France Bleu Occitanie.
À Poitiers, comptez 1,5 jour pour chacune des 2000 fonctionnaires de sexe féminin de la commune concernées par la mesure, soit 3000 jours d’absence mensuels.
Si on estime que ces fonctionnaires font semblant de travailler 7 heures par jour, cela représente 21000 heures de travail qui seront facturées aux contribuables chaque mois. Pour 11 mois (hors vacances d’été), c’est 230000 heures d’absence rémunérées.
Le salaire moyen d’un fonctionnaire territorial est de 2200 euros, auquel il faut ajouter les diverses cotisations à la charge de l’État et de ses collectivités, soit au moins 3000 euros. Une heure de travail d’une de ses gonzesses coûte au strict minimum 21 euros.
21 euros x 7 heures x 3000 jours x 11 mois = 4,8 millions d’euros par an.
Le budget annuel de la ville en 2024 est de 221 millions d’euros. Cette histoire d’ovaires douloureux à dormir debout va bouffer à elle seule 2% du budget de fonctionnement de la ville.
Oubliez la gangue du marketing féministe, c’est de l’achat de votes organisé par la traînée écologiste locale. Les 2000 garces qui vont bénéficier de ces 3 semaines de vacances supplémentaires vont bien évidemment voter pour cette tarée de maire en 2026.
Qui aurait pu croire qu’élire une dinde à la mairie se transformerait en gabegie généralisée ?
À un moment donné, quand on fait tout pour, on mérite le djihadisme.
Démocratie Participative
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