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#Renard de la Mer
papillondusublime · 5 days
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Je n'étais qu'une enfant (poésie écrite à l'occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation) Je n'étais qu'une enfant quand ils m’ont dérobé La lueur dans mes yeux. L’ombre m'a enrobée. Vous, hommes habitant les terres canadiennes, Sachez qu'auparavant elles étaient les miennes! Pensez à mon peuple quand le sol québécois Taché de notre sang vous offre blé et bois. Vous parlez du bonheur d'antan et moi j'entends Un chant du cygne dans mon cœur indépendant. Dans l'école résidentielle, on m’a coupée De culture et tribu. L’Histoire est leur épée. Ils m’ont dit: « Obéis et tu iras au ciel! » Avec mes cheveux longs, ils m’ont coupé les ailes. Mes camarades aux deux esprits, malaimés, Dans un placard obscur ils les ont enfermés. Ils aiment leur prochain, leurs prochaines victimes, Ces « chrétiens » dont le Christ est à tort éponyme. Occidentaux, partez! Ne versez pas de larmes En baissant le regard et les bras, pas les armes. Mes sœurs sur la route seize, Joyce Echaquan Et mes ancêtres dans leur tombe vous condamnent. Le racisme et l'injustice, main dans la main, Aiguisent leur lame aux marées hautes sans frein. En toussant, est craché mon pus comme mes frères Par les blancs, écume croyant boire la mer. Ce pays plongé dans l’ordre et loi du silence, Je n’ai que l’oreille du gouffre des souffrances. Sans connaître ma langue, est étouffée ma voix; Sans pow-wow, je prie mais en la vie seule ai foi.
Mort, ne me retiens plus! Moi, je garde en mémoire Que je suis née pour la lutte, pour la victoire. Ma nation est une armée de survivants N’abandonnant ni ses enfants, ni ses parents. Ma mère, guerrière, est brave et réconforte. Devant elle, quelle Amazone est assez forte? Agile comme un cerf, rusée comme un renard, Puissante comme un ours, la chasse est son grand art. Sur mon père noyant dans l'alcool son chagrin Se posera, telle la rosée du matin, Un nouvel avenir. Quoi, il pleuvra des cordes? C’est pour qu’aigle et tortue y grimpent sans discorde. Des cordes, des planches... Combien en faut-il pour Construire un pont vers le pardon et vrai amour? Le soleil d’un totem se lèvera un jour Sur tous, qu’ils turluttent ou frappent un tambour. Alors, nos corps et cœurs dansant au même rythme, Dans le cercle sacré se rejoindront nos rites. Nous partagerons le calumet de la paix, Québécois d’icitte et d’ailleurs, dans le respect.
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iranondeaira · 9 months
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Et encore on va vers l’été …
Blague à part, bon vent et belle mer à tous, « longue vie et prospérité 🖖 » comme dirait l’autre et que que la force soit avec vous …
🎶 nous vivons une époque épique mais nous n’avons plus rien d’épique 🎶 disait l’autre , « tout ce que nous avons à décider, c’est ce que nous devons faire du temps qui nous est imparti » lancerai un vieil errant gris … l’horizon s’assombrit lance un vieux marin sur le môle, une tempête arrive … il va falloir la chevaucher lâche laconique un vieux guerrier aux yeux bleus ou apprendre à surfer balancerai un sale môme … « à nouvel an, nouvel élan » lui répondrait une optimiste … « Et comme ton bonheur dépend tout de tes voeux, songes-y bien avant que de les faire. » raconte un conteur … si au moins on pouvait "Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui, espérer pour demain." pose au tableau un vieil homme qui tire la langue … "Je vous apporte mes vœux. - Merci, je tâcherai d'en faire quelque chose." glousse un renard …
"Un optimiste reste jusqu'à minuit pour voir le Nouvel An. Un pessimiste reste pour s'assurer que l'ancienne année disparaît."
"Que cette année vous soit heureuse ; que la paix, le repos et la santé vous tiennent lieu de fortune " dit Madame
"Je vous souhaite tout ce que vous souhaitiez qu'on vous souhaite ... mais en mieux ! "
Miaule un chat
"Venir ensemble est un commencement; rester ensemble est un progrès; travailler ensemble est un succès." Jette un constructeur de voiture ( 😅 si vous saviez Sir le bordel aujourd’hui )
"Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé."
- un président mort dans sa voiture
"Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns."
- grand Jacques
"Pour comprendre l’esprit et le cœur de quelqu’un, ne vous demandez pas ce qu’il a accompli, mais ce à quoi il aspire."
- un vieux sage enturbanné ( quelle ironie 😅)
"Lorsqu’un seul homme rêve, ce n’est qu’un rêve. Mais si beaucoup d’hommes rêvent ensemble, c’est le début d’une nouvelle réalité." ( c’est sans doute un peu de ce qui explique du cela d’aujourd’hui )
Le monde progresse grâce aux choses impossibles qui ont été réalisées." ( y a de ces progrès 🙃 aujourd’hui 😅 )
"A l'an que ven ! Se sian pas mai, que siguen pas men. A l'an qui vient ! Si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins."
- de Provence
"Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme." Disait un Saint
“Tous les hommes font la même erreur, de s'imaginer que bonheur veut dire que tous les voeux se réalisent.” - un homme de Russie
“Un jour, on aura besoin d'un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier.” … ils ont essayé … ils ont déjà inventé le désespoir à vendre …
“Si les Dieux voulaient exaucer les voeux des mortels, il y a longtemps que la terre serait déserte, car les hommes demandent beaucoup de choses nuisibles au genre humain.”
“Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c’est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n’aimez pas faire.” - Marc T
En cette nouvelle année, on ne demande pas grand-chose : du travail et de la santé.
- Albert
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les-cris-des-fendues · 6 months
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Je me suis baladée toute la matinée avec Fenris dans un bouillonnement de sève, d'ardeur, de bleu, de vert et de soleil. Lui il récoltait ses tiques et puces amassées à l'entrée du terrier des renards ou bien fourrées dans les hautes herbes et moi je prenais des photos, dont quelques-unes qui se sont faites toutes seules d'ailleurs comme celle d'en haut. On est bien là, Fenris et moi... Cet endroit nous rend fous de bonheur, à courir partout, à grimper tous les rochers, à s'extasier devant la beauté, la seule qui ne fait pas de manière, à siffler les rapaces pour les faire venir; tiens ce matin, un grand corbeau solitaire suivi de près par un milan royal (lui aussi tout seul, étrange d'ailleurs, ils volent souvent en couple ceux-ci mais peut être qu'il était en chasse pour nourrir la femelle qui couvait) ont rappliqué illico presto, à croquer les fleurs comestibles pour moi, ou le chiendent pour Fenris, à ramasser de tout et n'importe quoi, des cailloux, des bouts de bois, des graines... J'aime le printemps, ici, en Catalogne française. D'ici à un mois, toutes les fleurs auront explosé du rire de leurs couleurs, le muscari, le lin vivace, l'asphodèle, la fleur de bruyère , la lavande vraie ou officinale, celle endémique de la garrigue, l'immortelle, la ciste (ma chouchou), le laurier Tin, la santoline, les orchis et les deux stars que sont le thym et le romarin. J'en oublie bien sûr, pardonnez-moi, mes demoiselles... Tout cela, cette beauté, cette joie qui nous vient, à Fenris et moi, ce calme, ce bien-être sans pareil, ce bain d'arômes, de senteurs, d’effluves, d'images, de vibrations j'aime beaucoup le partager ici avec vous. En toute simplicité.
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Pierre de Corail fossile. Nous sommes à plusieurs centaines de mètres d'altitude et pourtant ici avant, il y a des millénaires en arrière, c'était la mer...
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bleucommemonstre · 3 months
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28 juin 2024
En ce moment, j’ai du mal à me livrer comme je le faisais avant sur ce blog, car j’essaye d’anticiper un maximum les réactions des gens pour ne froisser personne. Du coup, je me sens moins sincère et je me retrouve à mentir à des gens que j’aime sur ce que je ressens et ce qu’il se passe dans ma vie.
Il n’y a pas longtemps, je pensais encore que j’avais des sentiments pour mon ex, mais depuis quelque temps, j’essaye d’ouvrir mon cœur aux autres. Avant, je n’arrivais à me sentir belle et aimée qu’à travers ses yeux, mais depuis la rupture, j’ai rencontré des gens formidables qui m’ont fait - d’une manière ou d’une autre - me sentir aimée. C’est compliqué de comprendre que d’autres personnes peuvent être intéressées par moi quand on m’a fait me sentir insuffisante pendant plusieurs mois, pas digne d’amour. J’ai encore du mal aujourd’hui à accepter de me laisser tomber amoureuse ou tout simplement me laisser porter par les événements et les rencontres sans regretter le moindre geste ambigu comme si je le trompais, mais j’ai décidé de ne plus attendre. À quoi bon attendre quelqu’un qui ne veut pas être aimé ? À quoi bon essayer de maintenir quelqu’un dans sa vie alors qu’il veut partir ?
Bref, ces derniers mois, j’ai reçu des « je t’aime » et des déclarations en tout genre, amicales ou amoureuses, et ça m’a fait du bien même si certaines m’ont étouffée plus qu’autre chose. J’ai l’impression que grâce à ça, j’ai pu prendre du recul sur mon ancienne relation.
Je trouve que ça reste quand même très fatigant toutes ces histoires, surtout quand on ne les cherche pas. En ce moment, je crois que j’ai surtout besoin d’amis plus que d’amours, mais je ne ferme plus la porte à cette idée.
Je n’irais pas jusqu’à dire que je suis guérie, que mon cœur est réparé car non, j’ai des moments de faiblesse où je pleure encore je ne sais trop quoi, mais j’aime à penser que ça me rend juste plus humaine que d’autres. Je ne regrette pas d’avoir aimé et d’aimer encore. Ça ne devrait pas être une honte d’être ou d’avoir été amoureuse, peu importe la fin. J’aime aussi penser que si un jour ça doit arriver, on se retrouvera et, inversement, que si ça n’arrive pas, c’est que ce n’était pas une bonne personne pour moi tout simplement. Je suis en paix avec moi-même. J’ai tout fait de mon côté, tout ce qu’il décide ne me regarde plus et s’il décide que je ne lui conviens plus, soit.
Ce soir, je vais à un repas avec des copains, demain soir j’ai une rave party avec un copain et son groupe de copains (bon là ce n’est pas la meilleure idée, je l’avoue, ça m’angoisse un peu notamment car il est intéressé par moi, selon les rumeurs, mais qui vivra verra) et dans quelques jours, je pars avec un très bon copain à la mer.
Je retiens de tout ça que je ne me suis jamais sentie aussi vivante que dernièrement. Je n’ai jamais fait autant d’expériences que ces derniers mois et d’une certaine manière, il m’a offert une nouvelle mentalité et c’est très bien comme ça. En revanche, je refuse de perdre foi en l’amour et je sais que la vie me réserve encore plein de surprises.
La phrase du renard dans Le Petit Prince : « C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante » prend tout son sens maintenant. Bientôt, je trouverai une autre rose et je la rendrai unique, tout comme je l’avais rendu unique.
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sous-le-saule · 1 year
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Oui mon capitaine
(Le musicien fantôme, épisode 2 – parce que pourquoi pas…)
Remis de ma surprise, je me dirige vers la table de l’homme au tricorne et m’apprête à m’asseoir sur un tabouret grossier quand il m’arrête d’un geste. Jetant un regard suspicieux aux buveurs, il m’entraine vers une espèce d’alcôve dans un coin de la salle.
Le tenancier nous apporte à chacun un demi d’une bière à la couleur douteuse, que je me garde bien de toucher.
- Je suis Giacomo Tremonti, dis-je en tendant la main au marin par-dessus la table. Vous avez sans doute entendu parler de moi.
- Non, fait-il platement, soulevant sa chope et ne faisant aucun cas de ma main tendue, que je finis par ramener dans mon giron.
Je ne sais pas vraiment si j’espérais que ma réputation de compositeur m’ait précédé dans un tel endroit, ce qui ne m’empêche pas de me sentir vaguement froissé.
De la manche, il s’essuie les lèvres avant de croiser les bras sur la table.
- Alors, de quelle somme parle-t-on ?
Droit au but, donc.
- Eh bien… je me disais que 200 pièces d’or –
- Nouvelles ou anciennes ?
- Anciennes, naturellement.
- 300.
Je m’attendais à du marchandage, aussi je lui propose la somme que je me suis réellement fixée.
- 250 ?
Il a un fin sourire de renard, comme s’il avait su dès le départ que je monterais sans discuter jusque là.
- Tope là.
Cette fois, il me tend la main, et serre la mienne avec force, souriant à ma grimace de douleur.
Tout ce que je fais ou dis semble amuser cet homme, et je ne me suis jamais de ma vie autant senti en dehors de mon élément.
- Ne devrait-on pas signer un contrat ou à tout le moins établir quelque document pour-
- C’est ce qu’on vient de faire.
- Oh. Euh. Bien.
- J’aurai besoin des pièces au plus tôt. Pour l’avitaillement. Ce genre de choses. Demain, ce serait bien. On peut embarquer dans trois jours.
- Ah. Certes. Je vous ferai apporter cela. Où dois-je -
- Non !
Cet homme a la fâcheuse habitude de me couper la parole et cela commence à m’agacer. Il prend un air dramatique, ferme les yeux et se pince l’arête du nez.
- Non, non, non. Bon sang ! Je voulais vérifier si vous étiez aussi naïf que vous en avez l’air. Si vous payez l’entièreté de la somme avant l’embarquement, j’appareille dans l’heure et vous ne reverrez jamais votre or. Réfléchissez un peu.
Malgré toute ma volonté de mener cette négociation à bien, je ne peux m’empêcher de prendre un air hautain et vexé.
- Excusez-moi d’ignorer les usages en vigueur. Je pensais que l’honneur des pi- je veux dire, des marins, garantissait –
Cela le fait hurler de rire. C'en est assez. Jamais je n’ai été traité de la sorte. Cette fois, c’est décidé, je m’en vais. Il y a bien un autre repaire de ce genre où je trouverai un équipage.
Il fait un geste conciliant, qui doit sans doute avoir valeur à ses yeux d’excuses en bonne et due forme.
- Restez, dit-il en s’essuyant les yeux. Vous trouverez personne d’autre qui s’engagera dans une folie pareille.
Je me rassieds à contre-cœur.
- Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi vous, vous acceptez. Et ne me dites pas que c’est pour l’argent, vous venez de me mettre en garde alors que vous auriez pu me dépouiller.
Il plonge ses yeux sombres dans les miens, soudain sérieux.
- Je m’ennuie, et vous êtes distrayant.
Je ne suis pas bien certain que ce soit un compliment.
- Soit. Que disons-nous, alors ? La moitié de la somme avant l’embarquement, et le reste à la réussite de la mission ?
- Normalement, on précise aussi que je dois vous ramener au port d’embarquement. Vivant.
Je m’étrangle.
- Je pensais que ça allait de soi !
- Tsk.
- L’affaire est donc conclue, monsieur… ?
- Capitaine. Esteban Álvarez. Quoi ? Vous vous attendiez à « Barbe Noire le sanguinaire » ?
Je me sens rougir.
- De toute façon, reprend-il, à bord vous ferez comme tout le monde et vous me donnerez du « capitaine ». C’est clair ?
C’est à ce moment-là que le plaisant concept de ce voyage prend une forme concrète dans mon esprit. Je vais passer plusieurs semaines en mer avec cet individu pour le moins désarçonnant et ses hommes qui me jetteront peut-être par-dessus bord à la première occasion. Je déglutis. Dans quoi me suis-je embarqué ? Je pourrais encore changer d’avis. Mais je veux percer le mystère du Musicien fantôme. Et, pour une fois, vivre une aventure. Car je me l’avoue enfin : moi aussi, je m’ennuie.
Hochant la tête, je fais de mon mieux pour insuffler de l’assurance à ma voix.
- Oui, mon capitaine.
Le temps d’un battement de paupières, il a l’air troublé. Puis il détourne le regard en grommelant :
- « Oui, capitaine » suffira. Vous n’êtes pas sous mes ordres.
Ha ! Pour une fois, c’est moi qui l’ai déstabilisé. Je prends note de sa réaction avec un certain intérêt. Ce voyage s’annonce, en effet, distrayant.
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philoursmars · 10 months
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : “Animaux Fantastiques”. Une très belle expo !
Hokusai - "la manga" - à gauche, cheval de mer, rhinocéros d'eau ; à droite, loutre, pangolin, "kappa" (génie à carapace) et "ningyo" (homme-poisson), Japon, 1815
William Hogarth - "Satan, le Péché et la Mort"
Adriaen Collaert - blaireau, taupe, renard autour d'un "rasselbock" (ou "wolpertingern" ou "jackalope") , lapin cornu - Anvers, Flandres, vers 1600
Andreas Keller dit Cellarius - "Harmonie du Macrocosme" , Atlas céleste - Pays-Bas, 1708
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circe007 · 1 year
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At the end of the sixties, there was in Positano - this tiny commune on the Amalfi coast, with unreal colors - a strange vision hesitating between the woman and the feline; some called her "the cat", "the beast", others "the living dead". With her fiery copper hair like a fox's finery and her disturbing esoteric tattoos, one cannot say that Vali Myers -for that is her name- passed for normal. Already in the 1950s, when she was photographed in the smoky clubs of the left bank, Vali, who was not yet the "redhead witch" she would later become, seems strangely anachronistic. We obviously think of the hallucinated appearances of Casati, with whom she shared an addiction to opium. Ahead or behind its time, we cannot say, but one thing is certain, this creature - because it is indeed one - with the disheveled mop of hair and the eyes heavily ringed with kohl does not leave indifferent. Animal, even primal, we easily imagine it twisting and getting lost in tribal dances that made it magnetic. Perhaps a legacy of his Australian origins. A pythia on the arms of jazzmen, a panther on the asphalt. From the 1950s to the 1970s, Vali knew all that world bohemia counted as cursed icons, naming them would be abstruse, an almost indecent litany. Muse of shadow, protecting its mystery, she shared with motherly generosity its qualities of inspiration; sacred food, offering to poets. Original before being original, Vali made herself worthy heiress of these divine magicians of past centuries, guardians of so many age-old secrets, and in Positano where she held a session in front of the psychedelic princes of the time (she received Mick and Marianne, danced for Donovan on "Season of the Witch"), Vali painted fascinating variegated canvases with sinuous patterns, disturbing emanations of his "free" spirit, that primitive soul which today, like the spirit of the sea, the earth, and of each element, still floats on the reliefs of Positano.
A la fin des années soixante, il y avait à Positano -cette minuscule commune de la côte d’Amalfi, aux couleurs irréelles – une étrange vision hésitant entre la femme et le félin ; certains l’appelaient « le chat », « la bête », d’autres « la morte vive ». Avec ses cheveux d’un cuivre flamboyant pareil à la parure d’un renard et ses dérangeants tatouages ésotériques, l’on ne peut pas dire que Vali Myers -car c’est son nom- passait pour normale. Déjà dans les années 50, lorsqu’elle était photographiée dans les clubs enfumés de la rive gauche, Vali qui n’était pas encore la « sorcière rousse » qu’elle deviendra plus tard, paraît étrangement anachronique. On pense évidemment aux apparitions hallucinées de la Casati, avec laquelle elle partageait une addiction à l’opium. En avance ou en retard sur son temps, l’on ne saurait dire, mais une chose est sûre, cette créature -car c’en est bien une- à la tignasse ébouriffée et aux yeux lourdement cernés de kôhl ne laisse pas indifférent. Animale, primale même, on l’imagine aisément se tordre et se perdre dans des danses tribales qui la rendaient magnétique. Peut-être un héritage de ses origines australiennes. Une pythie au bras des jazzmen, une panthère sur l’asphalte. Des années 50 à 70, Vali connu tout ce que la bohème mondiale compta d’icônes maudites, les nommer serait abscon, une litanie quasi indécente. Muse de l’ombre, protégeant son mystère, elle partageait avec une générosité maternelle ses qualités d’inspiratrice ; nourriture sacrée, offrande aux poètes. Originelle avant d’être originale, Vali se fit digne héritière de ces divines magiciennes des siècles passés, gardiennes de tant de secrets millénaires, et à Positano où elle tenait séance devant les princes psychédéliques de l’époque (elle recevait Mick et Marianne, dansait pour Donovan sur « Season of the Witch »), Vali peignait de fascinantes toiles bigarrées aux motifs sinueux, inquiétantes émanations de son esprit « libre », cette âme primitive qui aujourd’hui, tel l’esprit de la mer, de la terre, et de chaque élément, flotte encore sur les reliefs de Positano.
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ladyniniane · 10 months
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Coucou ! :D Si ça ne dérange pas : ✍🏻️ sur le thème que tu veux et qui te dit ! Merci beaucoup d'avance !
Send me an ✍🏻️ and I will introduce you to one of my OC’s 
Salut et merci pour les questions :)
Embarquons pour Albinéa à la rencontre de la dernière dirigeante que je n'ai pas encore présentée dans mes histoires sur FE. J'espère que tu es prête pour l'audience royale ;).
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Nata no Hotoké (仏) est la souveraine céleste d'Albinéa à l'époque où se déroulent les évènements du jeu. "Hotoké" signifie "bouddha" (dans le sens "personne ayant atteint l'illumination") mais c'est aussi un nom propre ou un hypocoristique pour désigner un être cher.
Hotoké doit avoir environ trente-cinq ans pendant la seconde partie du jeu. Ses longs cheveux noirs et fins tombent très bas dans son dos selon la coutume en vigueur chez les dames de cour d'Albinéa (pas autant que la dame sur l'estampe, mais c'est l'idée). Ses yeux sont noirs et très expressifs et évoquent ceux d'une renarde. Le climat étant froid chez elle, ses robes sont doublées de fourrure. Leurs motifs évoquent des vagues et sa couronne est ornée de coquillages.
Hotoké fait partie de la famille régnante mais n'était pas en première ligne de succession. Après la mort de sa mère, son père se rase la tête et devient moine, s'absorbant complètement dans ses dévotions. Hotoké est donc élevée par sa grand-mère qui lui fait donner une excellente éducation.
Elle entre ainsi à la cour et trouve très vite sa place dans l'entourage du souverain céleste de l'époque. Sa vive intelligence et sa grande culture la rendent rapidement indispensable. Hotoké parle plusieurs langues et s'occupe des échanges diplomatiques avec l'extérieur. Les jaloux la surnomment "notre dame des chroniques". C'est une femme plaisante, charismatique, sociable et spirituelle.
Son mariage se solde par un divorce, l'amour cédant place à l'incompatibilité. Hotoké ne se laisse cependant pas abattre. Après la mort du principal héritier au trône, le souverain continue de tenir la barque malgré son âge avancé. Lorsque vient la fin, c'est elle qui est choisie pour lui succéder.
En tant que souveraine, Hotoké cherche à préserver l'indépendance d'Albinéa, dont certaines zones sont fermées aux étrangers afin de préserver les ressources rares. Elle sera ravie de former une alliance avec Dimitri à la fin d'AM.
Comme elle est arrivée sur le tard, j'ai surtout envisagé son rôle dans la continuité de CF. Hotoké reçoit une sommation d'Hildegarde lui ordonnant d'ouvrir totalement Albinéa, avec des menaces d'invasion en prime. La souveraine lui rappelle immédiatement que les fonds marins autour d'Albinéa sont jonchés d'épaves de toutes nationalités. Bien que n'étant pas une guerrière à proprement parler, elle s'y connait en navigation et en stratégie militaire et sera tout à fait capable de commander la flotte si besoin.
Gladys décide de lui rendre visite afin d'obtenir son aide dans sa rébellion. Accompagnée de Mairin (qui parle Albinéen et est fascinée par cette culture), Vigdis et Ismène (en tant que représentantes des familles importantes de Faerghus), elle traversera la mer. Hotoké les écoutera (avec un petit quiproquo en demandant si Ismène peut utiliser la lance de la destruction, sauf que non, c'est la fille adoptive de la maison Gautier) et s'assurera de leur valeur avant d'accepter de les aider.
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codexurbanus · 1 year
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Codex Urbanus pour « A Contre-Emploi »
Collegiale Saint Martin -sept-dec 2023
« Apocalytica »
Introduction:
Codex Urbanus est un street artiste qui depuis plus d’une décennie réalise un bestiaire fantastique vandale, tracé en dessin direct et sans autorisation au milieu de la nuit. A ce jour ce sont plus de 600 chimères qui ont défilé sur les murs de Paris et d’autres villes. Son travail, entre bestiaire ancien et hybrides de science-fiction, trouve un écho particulier avec les bestiaires médiévaux, qui étaient entierement symboliques et où l’ours et le lion coexistaient sans filtres avec le dragon et la licorne.
C’est donc tout naturellement qu’il envisage de jeter un pont entre le bestiaire du moyen-âge et son bestiaire urbain au sein de la Collégiale St Martin, la plus ancienne église d’Angers, qui recèle déja dans ses chapitaux et ses fresques nombres de monstres et d’animaux, en renouant avec la symbolique du bestiaire médiéval. En effet, au moyen-âge, les artistes ne cherchent pas à representer les animaux comme le feraient des naturalistes ou des peintres animaliers, mais à montrer les propriétés magiques et spirituelles des créatures, réelles ou imaginaires, qu’elles soient positives ou négatives. Ainsi le renard représente la fourberie et le cerf, réputé tuer les serpents, le pouvoir de Dieu…
L’Apocalypse:
La période médiévale fait montre d’une référence constante à la fin du monde, que l’on retrouve fréquemment dans les églises: celles-ci sont orientées, c’est à dire que le choeur est toujours dirigé vers l’est. là où le soleil se lève, et donc la porte d’entrée se repuve systématiquement à l’ouest, là où la lumière disparait; et on y retrouve très régulièrement le thème de la fin du monde, du jugement dernier et de l’apocalypse. La ville d’Angers s’illustrant également par la présence, au Château, d’une suite de tapisseries mondialement connues traitant de l’apocalypse (XIVe siècle), ce sujet semblait particulièrement s’appliquer à un travail artistique contemporain dans cette même ville, d’autant plus que le récit de l’Appcalypse selon Saint-Jean comporte des chimères qui lui sont propres: la bête à 7 tetes et la bêtes des mers, annonciatrices de l’Antéchrist.
Notre époque traverse également une crise eschatologique, avec une obsession -fondée ou fantasmée- sur la fin de notre monde, mais cette fin ne serait plus due à une volonté divine, mais plutot à nos propres actions, en tant qu’humain. Comme un nouveau péché originel, nous provoquons une crise en allumant un interrupteur, en prenant l’avion ou en mangeant du pangolin… Ces nouveaux récits apocalyptique méritaient bien des nouvelles chimères pour les incarner et nous inviter à les suivre dans les méandres de notre société, qui porte en elle des menaces dantesques… ou bibliques.
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aisakalegacy · 1 year
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Automne 1905, Glacier de Fharhond, Canada (2/8)
J’avais cru le Nunavut un désert, un extrême contraire et curieusement semblable du désert de Libye, où je travaillais quand j’étais en Egypte. Comme je m’étais trompé ! Par la fenêtre, on aperçoit parfois des renards arctiques, agiles et rusés - ils sont difficiles à surprendre car ils se déplacent discrètement, mais leurs traces, dans la neige, sont particulièrement visibles. Je vois tous les matins des bandes entières de phoques qui se reposent sur des morceaux de glace dérivant dans la mer, profitant paresseusement de la lumière douce et diffuse. En ce moment, au coucher du soleil, on peut apercevoir les caribous qui descendent vers le sud. Ils ne reviendront qu’au printemps. Je jure que l’autre jour, j’ai vu au loin la silhouette d’un jeune ours polaire en chasse qui les suivait.
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bonheurportatif · 2 years
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Quelques trucs bien en octobre
1er octobre Manger un petit cake au chocolat avec un goût singulier (de la cannelle ?) Choper la dernière place du parking souterrain, sur un énorme coup de bol Tenir un rythme régulier à la rame 2 octobre Parsemer son bouquin de petites notes de lectures Expliquer facilement un exercice de géométrie à sa fille Croquer dans des gougères encore chaudes 3 octobre Se faire décoincer le dos par deux manipulations expertes du kiné Et gratuitement en plus Retrouver un peu de son père dans le très beau récit du libraire
4 octobre Ressentir un petit instant de plénitude en traversant la place vers la mer Voler quelques minutes dans l'après-midi pour lézarder au soleil dans la chaise longue Entendre au loin un air de flûte traversière 5 octobre Débuter la journée par un tour de vélo le long de la côte, au soleil levant Craquer pour quelques toasts Rédiger la moitié des articles attendus
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6 octobre Parler pour la première fois dans un micro-cravate Recevoir un mail annulant le rendez-vous chronophage du lendemain Voir le libraire aller vous chercher un bouquin qu'il a mis de côté spécialement à votre intention 7 octobre Se délecter des commentaires fielleux des lecteurs du Figaro après le Nobel d'Annie Ernaux Débloquer la rédaction d'un article Retarder d'une demi-heure le départ de sa chérie 8 octobre Abréger poliment le blabla matinal du voisin Se faire offrir des fleurs Dévoiler, par petits tâtonnements, la roue du vélo de sa fille 9 octobre Acheter les peut-être dernières grappes de Chasselas Reprendre prudemment un peu de sport, après une semaine d'interruption Apercevoir la queue touffue d'un renard dans les roseaux 10 octobre Trouver à faire imprimer les notes qu'on a oubliées avant l'atelier Trouver sur son bureau le nouveau numéro de son magazine Flâner au raz de l'écume de l'une des plus hautes marées de l'année
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11 octobre Accéder aux toilettes publiques grâce à la gentillesse de la dame-pipi, et malgré que l'on n'ait pas un sou de monnaie Avoir et prendre le temps de se promener dans les parcs d'un quartier où l'on va rarement Recevoir un mail chaleureux d'un auteur dont on suit le travail depuis des années 12 octobre Jongler, tant bien que mal, avec les différents boulots à avancer dans la journée Se resservir de tarte aux pommes Mettre en forme les premiers textes des étudiants 13 octobre Travailler face à un plan d'eau, avec la pluie qui tombe Laisser le cancer derrière soi Régler un à un tous les problèmes de câbles, prises, clés de l'atelier, et sortir un premier petit bouquin
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14 octobre Goûter au silence d'une bibliothèque absolument déserte Faire face et répondre au tir nourri de questions des collégiens Dormir profondément au moins une heure dans la voiture, entre deux ateliers 15 octobre Enfiler son pull chaud alors qu'il flotte et vente à l'extérieur Sentir dans la rue le premier feu de cheminée de l'automne Réaliser soudain qu'on n'entend plus l'acouphène auquel on semblait s'être habitué. 16 octobre Se promener sur la plage et jusqu'au village ostréicole voisin Manger un mini croque-monsieur maison Entendre un roulement sourd par-delà la forêt et réaliser que c'est la mer 17 octobre S'entendre confirmer la rémission Obtenir un délai pour deux articles dans une période de rush Assister à un (trop) court récital de sa fille
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18 octobre Faire un crochet avant l'atelier pour acheter un croissant Tester un nouveau take-away italien Profiter du soleil pour faire sécher son livre mouillé par l'eau de la gourde 19 octobre Finir enfin une très longue série d'interventions auprès de collégiens Se remettre à jour de ses mails et boulots en cours Recevoir son nouvel Atlas photographique 20 octobre Faire rouler sa dynamo dans les rues ensommeillées de la ville Ne pas voir le temps passer avec les étudiantes de l'atelier S'entendre confirmer que les ateliers seront maintenus
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21 octobre Changer de balance et ne pas changer de poids Faire toutes les lessives N'avoir eu aucun travail 22 octobre Manger au resto avec de bons amis Prolonger la discussion sur la plage Aller se baigner dans une mer fraîche 23 octobre Arriver juste avant la fermeture de la supérette et sauver le repas du soir Se sentir pousser par le vent dans la rue Manger une très bonne soupe de potiron
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24 octobre Acheter une nouvelle perceuse Poser une treille dans la cour Trouver des rouleaux de printemps végétariens 25 octobre Avoir du temps pour aller à la médiathèque Sentir l'odeur et la chaleur du sol après l'averse Manger des crêpes 26 octobre Remplacer la roue voilée du vélo de sa fille Manger juste une crêpe, avec la pâte restante Reprendre une crème au chocolat 27 octobre Avancer de manière plaisante sur un chouette texte collectif avec les étudiants Manger des frites, puis du Chasselas Entendre la mer depuis le salon 28 octobre Régler une chasse d'eau qui se rechargeait inopinément Réaliser une belle salade Faire du sport et bouquiner 29 octobre Goûter un peu de calme le cul sur le sable Courir 422 pages et ne jamais s’arrêter S'endormir vite 30 octobre Récupérer son grand fils à la gare Retrouver de vieux amis sur le quai Faire ses pâtes à pizzas 31 octobre Échanger des sms avec sa fille qu'on voit derrière la vitre du train Sentir le temps changer et s’accorder enfin à la saison Se préparer à gâter les dents des monstres de la ville
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Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre.
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finaguide · 3 months
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La majeure partie du territoire de l'État se trouve sous le niveau de la mer, ce qui explique le nom du pays (les Pays-Bas sont traduits du néerlandais par "Lowlands")
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En termes de topographie, les Pays-Bas peuvent être divisés en deux parties : le nord et l'ouest sont les plaines des deltas du Rhin, de la Meuse et de l'Escaut, et le sud et l'est sont des plaines vallonnées qui passent dans les contreforts des Ardennes.
Une grande partie du territoire des Pays-Bas est occupée par des pâturages et des champs. Les forêts n'occupent que 8% du territoire et la plupart des espaces verts sont des bosquets et des parcs. Les espèces d'arbres suivantes prédominent : chêne, hêtre, charme, frêne, pins (sur sols sablonneux) et saules (le long des rivières et des canaux). Le monde animal est assez pauvre, bien que des cerfs, des blaireaux, des renards, des lièvres aient survécu dans les parcs.
Régionalement, les Pays-Bas sont divisés en :
L'ouest des Pays-Bas (Flevoland, Hollande du Nord, Hollande du Sud) ou Randstad est le cœur du pays avec les plus grandes villes et la campagne hollandaise traditionnelle.
Le nord des Pays-Bas (Drenthe, Frise, Groningue) est la région la moins densément peuplée et développée, populaire parmi les Néerlandais.
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greendaxcat · 5 months
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Le gracieux petit spitz de Poméranie a un bon caractère et une gentillesse
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Les membres de la race ressemblent à des renards miniatures avec un pelage supérieur qui a de longs poils hérissés et un sous-poil épais qui les fait ressembler à une boule de duvet.  Les poméraniens viennent dans une variété de belles couleurs. Les chiens adultes mesurent entre 18 et 30 cm, selon leur corpulence et leur type.  Le poids idéal pour un chien adulte est de 1,8 à 2 kg et pour les chiennes de 2 à 2,5 kg.
Les Poméraniens (ou «poms») descendent presque certainement des chiens de traîneau de l'Arctique et sont probablement apparentés au Wolfspitz, au Norwegian Elkhound et au Samoyède.  En Poméranie, une région bordant la mer Baltique, les premiers enregistrements fiables de la race ont été trouvés, datant des années 1800, bien que les chiens en question soient beaucoup plus gros (environ 13 kg).  Les chiennes ont donné naissance à environ 10 chiots, et bientôt les éleveurs ont commencé à préférer les plus petits d'entre eux.  Au milieu des années 1800, la race s'était répandue dans d'autres pays européens et, en 1888, la race était favorisée par la reine Victoria, ce qui a contribué à populariser le poméranien.  Les éleveurs britanniques les ont ensuite élevés pour obtenir des tailles plus petites avec plus de laine.
Les Poméraniens adorent être pris et tenus, mais n'en faites pas trop car ils doivent se tenir sur leurs quatre pattes !  Ils font d'excellents chiens de garde car ils sont très bruyants.  Malgré leur nature douce et affectueuse, il faut être prudent, surtout s'il y a de jeunes enfants dans la maison, car ces chiens fragiles peuvent facilement provoquer des blessures, voire des fractures aux pattes.
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mes-envies-de-culture · 5 months
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La Nature portée par Daisuke Igarashi
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Daisuke Igarashi (né le 2 avril 1969) est un mangaka qui a commencé son aventure au début des années 1990 avec des thématiques de prédilection : la nature et l'environnement tels que les Les enfants de la Mer, Sorcière ou plus récemment Designs. Il a d'abord démarré sa carrière dans la magazine de prépublication spécialisé dans le genre seinen Afternoon (Kodansha).
Quelques une de ses œuvres :
Petite forêt narre l'histoire de Ichiko qui vit dans le hameau de Komori. Elle partage son expérience de la cuisine naturel (elle aborde déjà le circuit court et le bien mangé) mais derrière ce personnage se camoufle une enfance tourmentée. Le personnage a souffert de l'abandon de sa mère… - Disponible en France chez Delcourt.
Le petit monde de Kabocha (One-shot) : Même s'il est est paru au Japon en 2007, il sera disponible en France en septembre 2024 dans la nouvelle collection Le Renard Doré des éditions Rue de Sèvres. Une exploration d'un chat dans son environnement… Sûrement quelques surprises durant ses vadrouilles.
Designs: Histoire originale sur l'hybridation des humains avec la nature ce qui donne des personnages dotés de facultés assez particulières. Le sujet traite donc de l'évolution de la civilisation avec de nouvelles capacités et de nombreuses questions se posent à travers cette histoire sur notre propre évolution avec le monde. Le tome 4 sort le 26 avril 2024.
Sorcières : comment des sorcières sont à la fois le bouclier de la nature ou bien encore des êtres destruteurs. Disponible en France aux Editions Casterman - Sakka.
Saru : Légende issu des profondeurs de la Terre qui a l'apparence d'une puissance singe. Un jour son pouvoir se divise en deux: une partie physique et une partie mentale. Mais au fur et à mesure que la partie physique prend de la force, la partie mentale décroit. Cette décroissance est liée à la magie noire. C'est là qu'intervient Nana et Nawan Namugyaru pour enrayer ce déséquilibre de la nature. Editions Sarbacane
Les enfants de la mer (dernière de couverture - Editions Sarbacane) : Ruka, collégienne éprise de liberté, vit au bord de la mer. Alors que les vacances d'été commence à peine, elle fait la connaissance de deux garçons, Umi et Sora. Ils lui dévoilent un formidable secret : depuis leur plus tendre enfance, ils sont élevés par des dugongs, étranges et doux mammifères marins menacés de disparition. Les deux garçons fascinent Ruka, ils nagent si facilement dans la mer, c'est comme s'ils volaient dans le ciel...
Ce même été, des milliers de poissons disparaissent, comme évanouis, partout dans le monde - en pleine mer, et jusque dans les aquariums. Quelle est la cause de ce phénomène mystérieux ? Et pourquoi tant de gens s'intéressent-ils à Umi et Sora ?
Un conseil : Découvrez cet auteur avec des histoires très atypiques dans l'univers du manga.
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lemagcinema · 6 months
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#FNFA2024 - Rencontre avec Hélène Ducrocq et Pierre Dron (Les Mal-Aimés)
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Un film de Hélène Ducrocq Embarquez pour une aventure cinématographique inoubliable avec « Roquette & les Mal-Aimés », le nouveau volet captivant après le succès de « Les Mal- Aimés ». Plongez dans quatre histoires riches en rencontres mémorables, explorant des univers créatifs variés, de la ville à la campagne, de la montagne à la mer. Rencontrez des héros méconnus de la nature tels que l’ours, le requin, le corbeau, la renarde et la blairelle, filmés à hauteur d’enfants pour éveiller la curiosité, nourrir l’imagination et inspirer l’amour pour ces compagnons mal-aimés. Une suite attendue qui charmera et inspirera, tout en continuant à ravir les fans du premier volet. Préparez-vous à sourire, à être surpris et à être touché en plein cœur, tout en découvrant les valeurs puissantes d’amitié, de découverte et de respect de la biodiversité.
Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/interview/fnfa2024-rencontre-avec-helene-ducrocq-et-pierre-dron-les-mal-aimes/
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subiysu-chan · 9 months
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Capital region
La région de la capitale présente un delta, un fleuve et présente cinq colines, dépassant d'un terrain autrement très plat et irrégulier. Le mont Chauve: Petite montagne ancienne et érodée de 743 m d'altitude. Trop froide pour l'agriculture, mais dont les abondantes neiges saisonnières et les sources alimentent la ville en bas. Y est construit un grand et magnifique aqueduc, et est une zone d'intense conflits avec divers nécromants et morts-vivants pour maintenir le contrôle sur l'eau potable. Le sol y étant trop rocailleux pour l'agriculture, y est aussi construit le palais royal avec des fontaines formant une véritable dentelle de pierre, ainsi qu'une cathédrale, un couvent et un palais de justice. Au pied de la montagne se situe une place du marché et une zone maréchère. Les jardins religieux et royaux sont plantés de viornes, de lilas, des rosiers rustiques, de romarin, églantiers et d'épinettes, avec de la mousse plutôt que du gazon, plantes tant médicinales que jolies dans une géométrie complexe et harmonieuse. Le palais de justice est ici dépourvu de prison souterraine, et les cellules sont généralement bien aérée. L'eau disponible est toujour fraîche et propre. Colline verte: Colline de 502 mètre haut-dessu du niveau de mer, et c'est la plus petite des colines les plus importantes de la région. Cependant, avec sa structure jumelle, elle permet au village à son pied d'avoir jusqu'à quatre récoltes d'avoine par an grâce à un sain mélange d'élévation, avec une bonne production de rutapaga et de canneberge. Il s'agit du village nourricier de la capitale, ce qui créer souvent un conflit avec celle-ci, dont le nombre de bouches à nourrir ne cesse d'augmenter par exode rural. La Jumelle: Coline voisine de la colline Verte, tout aussi rurale. Cependant, elle est davantage battue par les vents humides de l'Ouest, est est beaucoup moins fertile, cependant y pousse de magnifiques pins, sapins et baies, fournissant en plante médicinale un monastère rattaché à un Hôtel Dieu. Le manque de terre fertile est compensé par un élevage de moutons et de vaches. Ce monastère est bien reconnu pour ses fromages, souvent assaisonné d'orties, de lie de vin de bleuets ou de pin, ainsi que ces textiles à base d'orties ou de laine de chèvre. Le Mont Féerique: Troisième colline de 539 mètres d'altitude, recouverte de ruisseaux, et même d'une cascade. Anciennement une mine de fer et de cuivre, maintenant laissée pour que la nature y reprenne ses droits, elle est peuplée par un groupe d'elfes Noirs réfugiés et de fées des sapins. Les anciennes mines y sont maintenant des champignonières où peuvent circuler les chauves-souries en toute liberté. Cerfs, lièvres, écureils et petits oiseaux divers servent de proies aux chocards, aux renards et aux lynxs. La colline aux Oiseaux: Territoire rocailleux, inutile pour l'agriculture, on y retrouve de nombreux oiseaux nourris par les déchets de pêche. On y retrouve également un grand gibet de pierre, une prison avec cellules souterraine, un hôpital général et une nécropole, le tout entouré de sorbiers sauvages. On y retrouve également une petite boucherie spécialisée dans l'abattage et la découpe de pigeons et de crabes plutôt que de quadrupèdes. La colline est trop escarpée pour servir de base de pêche, mais son pied est assez fertile pour y avoir un autre village, quoique ne cultivant que sur terrain plat et donc moins productif en terme de quantité de nourriture.
La capitale: Traversée par un fleuve, terminée par un delta. Elle recouvre le pied de la montagne ainsi que les deux rives du fleuve, s'étendant de manière longiforme. Elle est riche et vibrante de ces couleurs, avec des places publiques, de grandes églises, des prisons, des centres de fongiculture, des places publiques, un égoux rudimentaire, un grand donjons, des jardins publics couverts de bouleaux et de très nombreuses maisons. Animée, grande, bruyante, grouillante et dangereuse.
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