#Religionégyptienne
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Champs des Roseaux
A'Aru (le champ des roseaux) était l'au-delà égyptien, une vision idéalisée de la vie sur terre (également connu sous le nom de Sekhet-A'Aru et traduit par le champ des joncs). La mort n'était pas la fin de la vie mais une transition vers une autre partie du voyage éternel.
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Contexte Culturel et Théologique de la Momification en Égypte
De nombreux mythes et fausses informations concernant la pratique égyptienne de la momification ont été présentés au grand public dans des films, des émissions de télévision et des documentaires. Bien que ces programmes soient divertissants et fascinants à regarder, les objectifs et les détails concernant la préparation des morts dans l'Antiquité étaient très complexes, tant sur le plan technique que sur le plan culturel. La momification n'était pas simplement destin��e à protéger le corps du défunt de la pourriture et de la décomposition; la plupart des Égyptiens de l'Antiquité la pratiquaient - aussi bien les riches que les pauvres - pour s'assurer un passage réussi dans l'autre vie. La momification était beaucoup plus élaborée et faisait davantage partie intégrante de la vie courante des Égyptiens que ce que la culture populaire présente généralement.
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Cinq Dons d'Hathor
La valeur culturelle centrale de l'Égypte ancienne était maât - l'harmonie et l'équilibre - qui maintenait l'ordre de l'univers et la vie des gens. Le maintien de l'équilibre dans la vie d'une personne encourageait la même chose dans sa famille et, par extension, dans son quartier, sa communauté, sa ville et la nation tout entière. Un aspect essentiel du maintien de cet équilibre était la gratitude, qui élevait le parcours d'une personne dans la vie et lui permettait, après sa mort, d'offrir son cœur - plus léger qu'une plume - au dieu Osiris dans la salle de la Vérité avant de rejoindre le paradis du Champ des roseaux.
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Bière en Égypte Ancienne
Compte tenu de l'importance que les Égyptiens de l'Antiquité accordaient à la joie de vivre, il n'est pas surprenant qu'ils soient connus comme la première civilisation à avoir perfectionné l'art du brassage de la bière. En fait, les Égyptiens étaient tellement connus comme brasseurs que leur renommée a éclipsé les véritables inventeurs du processus, les Sumériens, même dans l'Antiquité.
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Défense Spirituelle: Rituels Exécratoires dans l'Égypte Ancienne
La magie faisait partie intégrante de la vie dans l'Égypte ancienne. Le monde avait créé grâce au pouvoir de la heka (magie) alors qu'Atoum se tenait sur le monticule primordial du ben-ben au milieu des eaux infinies du chaos avec le dieu Héka, qui personnifiait le pouvoir magique. C'est Héka qui permettait aux dieux d'exercer leurs fonctions grâce à la heka et, surtout, qui maintenait le concept de ma'at, d'harmonie et d'équilibre dans l'univers.
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La Mort en Égypte Ancienne
Pour les anciens Égyptiens, la mort n'était pas la fin de la vie, mais seulement le début de la phase suivante du voyage éternel d'un individu. Aucun mot de l'égyptien ancien ne correspond au concept de "mort" tel qu'il est habituellement défini, à savoir "cesser de vivre", puisque la mort n'était qu'une transition vers une autre phase de l'existence éternelle d'un individu.
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Neith
Neith (alias Neit ou Nit) est l'une des plus anciennes divinités de l'Égypte ancienne, vénérée dès le début de la période pré-dynastique (c. 6000 - 3150 av. J.-C.) et dont la vénération se poursuivit jusqu'à la fin de la dynastie ptolémaïque (323 - 30 av. J.-C.), la dernière à régner sur l'Égypte avant l'avènement de Rome.
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Confession Négative
La confession négative (également connue sous le nom de déclaration d'innocence) est une liste de 42 péchés que l'âme du défunt peut honnêtement affirmer n'avoir jamais commis lorsqu'elle est jugée dans l'au-delà. L'âme les récite en présence des dieux, qui en évaluent la véracité pour décider du sort d'une personne.
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Musique et Danse en Égypte Ancienne
La musique et la danse étaient très appréciées dans la culture égyptienne antique, mais elles étaient plus importantes qu'on ne le pense généralement: elles faisaient partie intégrante de la création et de la communion avec les dieux et, en outre, elles étaient la réponse humaine au don de la vie et à toutes les expériences de la condition humaine. L'égyptologue Helen Strudwick note que "la musique était omniprésente dans l'Égypte ancienne - lors des banquets civils ou funéraires, des processions religieuses, des défilés militaires et même des travaux des champs" (416). Les Égyptiens aimaient la musique et incluaient des scènes de spectacles musicaux dans les peintures des tombes et sur les murs des temples, mais ils appréciaient tout autant la danse et lui accordaient également de l'importance.
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Qébéhout
Qébéhout (également connue sous le nom de Kabechet, Khebhut ou Kebechet) est une déesse bienveillante de l'Égypte ancienne. Fille du dieu Anubis, petite-fille de la déesse Nephtys et du dieu Osiris, elle est la personnification de l'eau fraîche et rafraîchissante lorsqu'elle apporte à boire aux âmes des morts dans le Hall de Vérité de l'au-delà.
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Magie en Égypte Ancienne
Dans l'Égypte ancienne, si une femme avait des difficultés à concevoir un enfant, elle pouvait passer une soirée dans une chambre de Bès (également appelée chambre d'incubation) située dans un temple. Bès était le dieu de l'accouchement, de la sexualité et de la fertilité, entre autres responsabilités, et l'on pensait qu'une soirée en sa présence favorisait la conception. Les femmes portaient des amulettes et des tatouages de Bès dans le but d'encourager la fertilité.
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Rê
Rê (également appelé Râ) est le dieu du soleil de l'Égypte ancienne. Il est l'une des plus anciennes divinités du panthéon égyptien et a ensuite été fusionné avec d'autres, comme Horus, pour devenir Rê-Horakhty (le soleil du matin), Amon (le soleil du midi) et Atoum (le soleil du soir), associés à l'énergie vitale primitive.
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Djed
Le djed est un ancien symbole égyptien de stabilité qui figure en bonne place dans l'art et l'architecture égyptiens tout au long de l'histoire du pays. La "stabilité" doit être comprise comme signifiant non seulement un pied ferme, mais aussi l'immuabilité et la permanence. Le symbole est une colonne à large base qui se rétrécit en s'élevant jusqu'à un chapiteau et est traversée par quatre lignes parallèles. La colonne et les lignes sont parfois peintes en couleurs vives, parfois en monochromes. Le djed apparaît pour la première fois à la période prédynastique en Égypte (c. 6000-3150 av. J.-C.) et se poursuit pendant la dynastie ptolémaïque (323-30 av.J.-C.), la dernière dynastie à régner sur l'Égypte avant qu'elle ne devienne une province de l'Empire romain.
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Amarna
Amarna est le nom arabe moderne du site de l'ancienne ville égyptienne d'Akhetaton, capitale du pays sous le règne d'Akhenaton (1353-1336 av. J.-C.). Le site est officiellement connu sous le nom de Tell el-Amarna, ainsi nommé en l'honneur de la tribu des Beni Amran qui vivait dans la région au moment de sa découverte.
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Héka
Héka est le dieu de la magie et de la médecine dans l'Égypte ancienne et est également la personnification de la magie. Il est probablement le dieu le plus important de la mythologie égyptienne, mais il est souvent négligé parce que sa présence était si omniprésente qu'il était presque invisible pour les égyptologues des XIXe et XXe siècles.
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Vie Quotidienne dans l'Égypte Ancienne
La vision populaire de la vie dans l'Égypte ancienne est souvent celle d'une culture obsédée par la mort dans laquelle les puissants pharaons forçaient le peuple à travailler à la construction de pyramides et de temples et, à une époque indéterminée, réduisirent les Hébreux en esclavage à cette fin.
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