#Recherche historique
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Quand la généalogie fait découvrir l’histoire : un Mayennais dans l’Armée Oubliée
En voulant compléter mon arbre généalogique grâce des recherches dédiées sur les sites MyHeritage et Geneanet, je fais une découverte étrange. Alors que ma famille n’a que très peu bougé du Bas-Maine au cours des siècles, comme de nombreuses familles, je vois s’afficher sur mon écran un relevé de l’index des décès militaires qui m’indique que mon grand-oncle, Joseph François Lefort, né le 16 juin…
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#260e Régiment d’Infanterie#Archives militaires#devoir de mémoire#Front d’Orient#Front oublié#genealogie#Geneanet#Grippe espagnole#Guerre en Serbie#histoire oubliée#Joseph François Lefort#Macédoine du Nord#Mémoire des hommes#MyHeritage#Nécropole de Bitola#première guerre mondiale#Recherche historique#recherches militaires#Serbie#Soldat français
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Le cadavre d'Hitler - Eric LAURIER - 2024 - Ed. Ex Aequo
Quatrième de Couverture En mai 1945, une commission médico-légale de l’Armée rouge autopsia 13 corps trouvés près de la chancellerie du Reich à Berlin. 13 procès-verbaux furent alors dressés. L’acte 12 attribué à un cadavre calciné présumé être celui d’Hitler, fut tenu secret jusqu’en 1968, date de sa divulgation en Occident par un historien soviétique. Depuis, les autorités russes affirment…
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Les blogs amis : Clara Klein – À la recherche des origines de l'humanité- Mystères des Alignements de Sites Historiques : Théorie de l’Équateur Penché
Découvrez les secret de l’histoire de l’humanité et suivez Clara Klein dans ses aventures…des articles nombreux et intéressants qui interrogent sur l’origine de l’humanité …A découvrir Mystères des Alignements de Sites Historiques : Théorie de l’Équateur Penché
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C'est l'écueil inévitable je suppose de lire un ouvrage de sociologie au lieu d'un ouvrage historique – construit en trois chapitres pendant lesquels les faits historiques y sont présentés sous l'angle d'une dénonciation un peu dramatisante des projets de conquête spatiale, tout ça pour tenter de rétropédaler sur le dernier en mode "non mais en fait c'est pas grave si la genèse du programme spatial est militaire et puis on peut imaginer des alternatives parce que bon Ça Fait Rêver quand même". Je peux pas dire que je m'y attendais pas. Mais n'empêche que maintenant que j'y suis ça m'agace.
C'est mignon cette portion d'une histoire de la conquête spatiale qui commence en mode "malgré ce que dit [mec conservateur random] les options ne sont pas business as usual vs abandonner l'exploration spatiale, il y a plein d'autres propositions qui sont faites notamment dans le domaine artistique" et c'est une longue énumération d'œuvres qui critiquent la mainmise du complexe militaro-industriel et l'usage des technologies spatiales, des grands discours sur la "moralisation" de l'industrie et des expériences de jdr qui servent à "lancer l'alerte" j'ai un peu l'impression que vous avez pas grand chose d'autre à proposer quand même.
#soupir. dans 60 ans on aura une vraie thèse de recherche historique sur le developpement de l'industrie spatiale entre 1950 et 1980#j'espère que je serai encore en vie pour y avoir accès
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(Extrait d'un cours au collège de France d'Antoine Compagnon)
Qu’est-ce qu’un classique ? Suivant l’étymologie populaire, un classique est un écrivain qu’on lit en classe, comment Roland Barthes disait que la littérature, c’est ce qui s’enseigne. (…) Faisons pourtant attention. Un écrivain pour l’école, ou même pour l’université, c’est en quelque manière un écrivain qu’on ne lit pas, ou qu’on lit autrement : « Pour la semaine prochaine, vous lirez de la page 133 à la page 277. » On l’étudie, on suit des cours sur son œuvre, on fait des explications de ses textes et des dissertations sur ses sentences, par exemple celle-ci, qui résume la Recherche, ou du moins Le Temps retrouvé : « La seule vie pleinement vécue, c’est la littérature. » (…) Mais un classique, de façon moins sociologique cette fois, plus historique, plus critique, c’est aussi un écrivain dont les qualités principales sont, dit-on, la raison, la concision, l’ordre, la mesure, la réserve, l’équilibre, l’harmonie, la simplicité, la modération, etc. C’est du moins ainsi qu’on a l’habitude de le définir : « l’œuvre d’art classique, jugeait par exemple Gide, raconte le triomphe de l’ordre et de la mesure sur le romantisme intérieur. » Et Henri Peyre, dans un essai sur le classicisme qui a compté, décrivait le classicisme comme « un art de mesure, de lucidité, d’ordre, d’équilibre, en face d’un art que l’on juge excessif et violent, mystérieux et obscur. (…) Le classique, disait encore Peyre, se soumet aisément à son public, il s’efface devant le sujet qu’il traite ; il cherche en effet à devenir banal. Aussi son œuvre demeure-t-elle d’abord inaperçue. Car elle ne vise point à différer en tranchant sur la production contemporaine. (…) Mais, en vérité, qui cet effacement, cette soumission décrivent-ils correctement ? Racine, l’hyperclassique, l’homme aux 1800 mots, a lui-même eu des ennemis lors de la création de ses tragédies. On ne naît pas classique, on le devient, comme, avant Valéry, Stendhal le soutenait dans Racine et Shakespeare en 1823. Les classiques, disait-il, même Euripide et Sophocle, ont été romantiques en leur temps ; on devient classique, concluait-il, parce qu’on a été romantique : « Je n’hésite pas à avancer que Racine a été romantique ; il a donné, aux marquis de la cour de Louis XIV, une peinture des passions, tempérée par l’extrême dignité qui était alors à la mode. » (…) Ainsi, si Proust est à mes yeux un classique, et même le classique, ce n’est pas, ou pas seulement, au sens du canon, de la classe, du panthéon scolaire et universitaire, et ce n’est pas non plus, ou si peu, au sens du classicisme historique, comme recherche de l’ordre, de l’équilibre, de la réserve, de l’effacement. Mais c’est au sens où chaque génération renouvelle la signification et la portée de cette œuvre, l’enrichit, en prend possession, sans doute parce que cette œuvre n’est pas parfaite, pas close sur elle-même, pas achevée : « Le livre de Proust, disait judicieusement Reynaldo Hahn, n’est pas un chef-d’œuvre si l’on appelle chef-d’œuvre une chose parfaite et de plan irréprochable. » L’œuvre classique n’est pas parfaite. C’est parce qu’elle n’est pas parfaite, pas canonique, si vous voulez, c’est parce qu’elle est creusée de différences qu’elle a le pouvoir de devenir classique.
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wow ok donc je vais rant un peu
j’en ai MARRE de voir des gens sur les réseaux (tiktok je te fixe bien fort) qui font « ouin on étudie que des mecs morts racistes et homophobes alors qu’il y a george sand et madame de lafayette et colette » et bien que je respecte ces trois femmes au plus haut point, ARRÊTEZ de faire comme s’il n’y avait pas un PUTAIN de CONTEXTE HISTORIQUE. les mecs morts racistes et homophobes l’étaient 1) dans une époque qui l’était et 2) par rapport à d’autres ???? le curser raciste et homophobe était plus ou moins placé à l’extrême par rapport à la société dans laquelle ils vivaient ???? je viens de voir passer un truc qui citait À L’Ombre Des Jeunes Filles En Fleur avec une citation vaguement misogyne MAIS AS-TU LU LE BOUQUIN BORDEL. AS-TU COMPRIS LA RECHERCHE. ayez un début d’esprit critique je vous en supplie. que baudelaire ait dit des trucs dégueu sur les femmes et sur les femmes noires en particulier ? certes. nous rappelons à tous que bien que j’adore sa poésie, le charles était un gros camé dépressif avec une carte gold dans tous les bordels de paname. donc non, c’était pas exactement un parangon de vertu. je n’en PEUX PLUS de voir (et pas seulement avec la littérature française mais la littérature en général) les gens essayer d’appliquer un code moral, un set de valeurs modernes à ce qu’il ne l’est pas. de l’esprit critique et un début de connaissance historique je vous en supplie. ça sert, justement, pour pouvoir lire les mecs morts racistes et homophobes en reconnaissant quelle partie de leur discours est le reflet d’une époque et d’une société, et pouvoir apprécier ce qu’il y a de beau dans leurs œuvres, car je me plais à croire que si ça fait depuis tout ce temps qu’on les étudie, c’est peut-être pas pour rien. merde. là.
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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Recherches historiques et littéraires sur les danses des morts et sur l'origine des cartes à jouer ... Par Gabriel Peignot.
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Main AuthorPeignot, Gabriel, 1767-1849.Language(s)French PublishedDijon, V. Lagier, 1826. SubjectsPlaying cards > Playing cards / History. Dance of death. Physical Descriptionlx, 367, [1] p. front., 5 pl. 21 cm.
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Peignot, G. (1826). Recherches historiques et littéraires sur les danses des morts et sur l'origine des cartes à jouer ... Dijon: V. Lagier.
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement à des personnes qui, comme moi, à l'époque où je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hésitez pas à laisser des commentaires.
Cela semble exagéré comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, et en particulier dans la sphère littéraire de divers milieux numériques, beaucoup ont clamé haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrêter d'évoquer les questions relatives à la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littérature a un rôle social et politique, c'était prêter trop d'importance, ou trop de sérieux, à "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la réduisant ainsi à un rôle unique : celui de nous divertir. Or, notre manière de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en êtes pas convaincu-e, c'est peut-être que vous ne vous êtes pas interrogé-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir à se questionner. Au cœur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement être réduits à une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas négligeable, et elle est tout aussi importante à considérer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idées. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a été, dans bien des situations, une façon de délégitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idées conservatrices et oppressives. Donc des idées susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-être les noms, ou que vous avez pu lire sur les réseaux. Ce sont des violences basées sur des critères arbitraires qui consistent à marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas à des normes établies ou à un modèle social défini selon des hiérarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et conséquences sociologiques et historiques différentes). Le fait d'être un homme blanc (au sens littéral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hétéro, mince, etc fera que vous serez valorisé-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au détriment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critères, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiérarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrés dépendent du milieu où vous évoluez en société, de l'exposition à ces dernières, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'après le dictionnaire de l'Académie française : "une doctrine ou état d’esprit qui tend à s’opposer à toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou à un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idées qui tend vers le maintien de ces dernières. Dans une société aux pensées conservatrices, il est donc fréquent que les normes, injonctions et modèles soient défendus au point de réprimer des idées qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisées et institutionnalisées. Cet "attachement" décrit dans cette définition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisé par la droite et l'extrême droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identité"). Il est aussi présent parce que conserver ces hiérarchies favorise et avantage des groupes privilégiés (ceux qui sont donc en haut) au détriment des autres par leur exploitation. Il s'agit là d'un rapport de force se trouvant être le résultat d'évènements socio-historiques, et cet ensemble d'éléments (idées, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un système.
À présent que vous avez quelques notions, humblement définies, sachez que les idées (vous vous en doutez) ne se présentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent à travers notre manière de vivre, et bien sûr, notre manière de se divertir. Et oui. Même l'humour est un vecteur d'idées. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basées sur des clichés oppressifs, qu'elles perdurent. En les réduisant à du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos représentations et elles finissent par perdurer en perpétuant des violences déjà existantes (parfois en les augmentant dans des périodes de tensions politiques, comme lorsque des idées progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rôle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à-dire nier ou retirer dans notre propos le caractère, le rôle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une manière ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont présenté des œuvres avec des idées oppressives (participant de fait à des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identité de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mêmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrêter de tout politiser, c'est juste un récit".
La politique n'est pas détachable de toute sphère ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est présente dans notre langage et nos représentations, d'où l'importance de ne pas négliger sa présence dans la littérature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit là que de questions culturelles : en réalité, les deux sont très liés. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociétés, elles-mêmes grandement liées à des évènements et évolutions socio-historiques, comme mentionné plus tôt, qui ont émergé parce qu'elles ont été portées par des idées.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à côté du rôle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de manière consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort que l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique et engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi, au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grâce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espère qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientôt ! :
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L'autrice derrière le blog / Who's the author of this blog?
[FR] Bonjour et bienvenue sur mon nouveau Tumblr !
Je suis professeure en histoire-géographie et autrice de romans de fantasy historique. Mon premier roman publié, Les Serres sous le velours noir, sort en décembre 2024 aux éditions Plume Blanche.
J'écris également des romans dans l'univers du jeu de rôle Knight. En ce moment, je travaille sur une série sur Alexandre le Grand ainsi que sur un roman arthurien. J'écris également en anglais, sans viser la publication dans cette langue. Mes périodes préférées sont l'antiquité gréco-romaine et le moyen-âge !
Je suis surtout active sur Instagram, mais Tumblr me manquait pour la possibilité de partager de longues publications, en particulier pour parler de mes recherches sur mes livres.
[EN] Hello, and welcome!
I am a middle school History teacher, and a published french author. My first novel, The Claws under black velvet, will come out in french in december 2024, and is published by Plume Blanche. I am also working on scifi novels in the universe of the roleplaying game Avalon - A Knight RPG, on books about Alexander the Great and an arthurian novel. I love ancient and medieval History!
After a long time away from Tumblr, I'm back here to share content about my researchs and the books I read. This blog will be written in English and French, depending on the topics! In English, I'll also be talking about my Alexander spin off on AO3.
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SAMEDI 28 SEPTEMBRE 2024 (Billet 1 / 4)
Le week-end dernier nous étions en Haute-Vienne, plus précisément à Fromental, un bourg de 512 âmes, pour fêter les 400 ans du château qui appartenait aux parents de Marina et dont son jeune frère, Bertrand (de G.), a hérité (un devoir de mémoire et un choix sentimental, connaissant l'importance des charges et des contraintes que cela entraînait...).
Le Comité des Fêtes de la Mairie a profité des Journées du Patrimoine pour organiser autour de cet anniversaire toute une série d’animations dans le bourg, dont, en collaboration bien sûr avec Bertrand et son épouse Christine, pour la première fois la visite du rez-de-chaussée du château.
Dans le grand couloir, la salle à manger et le salon, ont été installés des panneaux sur lesquels ont été accrochés des fiches, des blasons et des reproductions de portraits racontant (plus ou moins) l’histoire de tous les châtelains qui se sont succédés dans ces lieux jusqu’à aujourd’hui. Le long du parcours, quelques mannequins habillés à la mode d’autrefois, positionnés ici ou là, contribuaient au dépaysement.
Les recherches historiques et la scénographie ont été effectuées et conçue par Michèle D., la Présidente du Comité des Fêtes de la Mairie et le couple, avec des moyens certes limités mais qui, semble-t-il, tout au long du WE, malgré une météo loin d’être idéale, ont intéressé 246 visiteurs le samedi et 225 le dimanche de 14h30 à 17h (selon les derniers chiffres communiqués par Manu, notre nièce et fille de Bertrand, qui était chargée de les compter à leur arrivée).
Quelques membres de la famille sont venus donner un coup de main, nous en faisions partie.
En dehors de ces visites, il y a eu deux troupes folkloriques qui se sont déplacées entre la place de la Mairie et la cour du château, des comédiens qui ont joué des saynètes en patois, un trio qui a interprété des airs médiévaux dans l’église voisine (inscrite elle aussi à l’inventaire des Monuments Historiques) et, très belle idée de la part de Michèle, une trentaine de villageois, de tous âges, ont été habillés en costume d’époque et se sont baladés tout au long de ces deux journées sur les lieux où se déroulaient ces différentes animations, parfois précédés de deux cavalières… Effet garanti !
Un grand moment a été la Messe dimanche matin à 10h30. Christine, qui a fait toute sa carrière dans le monde de la musique, avait fait venir une formation de 6 musiciens. Ils ont joué durant l’Office des airs baroques et, dans l’après-midi, donné des séries de mini-concerts, toujours dans l’église à cause du mauvais temps - autrement il était prévu qu’ils jouent dans la cour du château.
Un château au demeurant bien gardé et une Dame bien protégée si l’on en juge par la tenue du preux Chevalier (voir ci-dessus) au pied de l’enceinte extérieure.
Pour conclure, ce fut pour nous un week-end intense (avec 3 nuits très fraîches… dans ces grandes maisons, cela fait partie du « charme » des lieux 🥶), historique mais aussi familial. Quel bonheur ces moments de partage, dont des petits déjeuners, déjeuners et dîners avec frère, sœur, beaux-frères, belles-sœurs, nièce (1), neveux (2) et petits-neveux (4)… dans la pièce la plus agréable et la plus chargée de souvenirs de la maison : la cuisine et sa belle cheminée !!!
Nous étions 22 dimanche pour le déjeuner (imaginez le travail de la maîtresse de maison…). A la table des châtelains, les musiciens qui se sont produits à la Messe et un descendant d’une des familles qui ont habité les lieux puis, autour d’une table derrière, notre belle-sœur, notre beau-frère, une nièce et son mari, 2 neveux et la compagne de l’un d’entre eux, les 4 enfants mangeant dans une petite pièce attenante.²
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Coucou ! Pour le reblog sur les histoire de fond, une anecdote ou une histoire de fond sur ton histoire en cours avec Zoé ou d'Anselma si ça ne te gêne pas ? Merci beaucoup d'avance ! :D
Coucou et merci beaucoup pour les questions :) Du coup je vais faire les deux !
-C'est l'histoire de Zoé qui a lancé ma passion pour l'empire byzantin et pas l'inverse. En gros, je voulais écrire une histoire qui se passait dans un palais et je voulais un décor différent (j'avoue qu'écrire de la fantasy d'inspiration médiévale/Europe de l'Ouest/du Nord me lasse un peu. Surtout qu'on voit ça partout au final).
Cela faisait longtemps que les visuels de l'empire byzantin (les mosaïques, les vêtements etc.) me trottaient dans la tête et me plaisaient beaucoup.
Et puis il y a l'histoire fascinante de l'impératrice Théodora (la femme de Justinien I, je précise pour les autres lecteurs vu que ce n'est pas la seule impératrice importante à porter ce nom). Je me rappelle que j'avais lu beaucoup de romans sur elle après découvert le personnage dans Civilisation V (par contre je n'ai pas encore vu le péplum de 1954. Mais je suis sûre qu'il est mieux que la saison 3 de V*king V*lhalla).
Son histoire est juste romanesque en diable et du coup je suis partie dans cette direction avec une femme de condition modeste qui va devenir impératrice. Mais même si je n'écris pas un roman historique, je voulais faire des recherches afin de faire ça correctement et de trouver de l'inspiration. Surtout que des fois la réalité est bien plus incroyable/romanesque que tout ce que l'on peut imaginer.
J'ai beaucoup aimé ce que j'ai découvert, je suis tombée dedans et je ne suis toujours pas revenue ! (Et je ne crois pas que mon retour soit pour bientôt vu que j'ai d'autres idées d'histoire dans le même univers).
-Pour Anselma, j'ai envie d'expliquer ce qui m'a donné envie d'écrire sur elle et comment on est arrivés au résultat actuel.
Ma première impression d’Anselma dans le jeu a été très positive à travers la description qu’en faisait Dimitri. Je me suis dit “tiens, une belle-mère qui avait l’air agréable ? C’est vraiment rare dans la fiction et plaisant”. Donc on avait un postulat original et intéressant.
Ensuite on est passés à l’horreur avec l’aspect “Cornelia contrôlait sa vie privée et tout ce qu’elle voulait c’était retrouver sa fille”. Je n’ai pas pu m’empêcher de remplir le blanc : elle voulait retrouver sa fille parce que… ? On l’avait séparée de sa fille ? On l’avait menacée ? Elle était seule ?
Mais on restait dans une espèce de flou parce que ses motivations et son histoire n’ont aucun sens. On l’a dit et résumé plein de fois, mais même un bad trip sous acide aurait plus de sens que toute cette affaire.
Son personnage m’inspirait malgré tout de la sympathie. Et comme un des principes de ma fic c’était “donnons de la personnalité aux mamans de Fodlan” et bien il me semblait logique de devoir m’y coller à un moment où un autre.
Surtout que cette histoire de “mère seule contre le monde qui veut protéger sa fille” est un ressort émotionnel qui me touche énormément. Alors oui, je sais. Toutes les femmes et toutes les mères ne sont pas forcément bonnes. Et je pense avoir clairement évité cet écueil dans mon histoire vu la diversité des profils qu’on a (d’autant plus en comptant l’univers étendu avec Tiana et la mère de Mencia).
Et puis il y avait son passé. J’ai découvert les séries chinoises par des histoires se passant dans le harem (Legend of Zhen Huan etc.). Elles montrent des femmes pleines de ressources qui cherchent à s’en sortir dans un système toxique et destructeur. Pour moi, il était facile de voir Anselma comme la protagoniste de l’une de ces séries. D’autant que peu d’histoires s’attachent à ce qu’elle a pu ressentir. Je me dis que pour elle, arriver en Faerghus représentait l’espoir d’une nouvelle vie auprès de quelqu’un dont elle s’imaginait qu’il allait l’aimer.
Bon du coup, je suis passée par toute la phase détective, à essayer de faire sens de la version du jeu puis à me dire “allez osef on change pour que ça en ait (un peu plus)”. Par exemple, si Hildegarde est dans le Royaume au moment de la tragédie, cela permet beaucoup mieux d’expliquer les actions d’Anselma. En quoi conspirer pour tuer Lambert aurait-il pu lui permettre de revoir sa fille si Hilde n’était déjà plus dans le Royaume ? Anselma n’aurait eu qu’à se tirer dans l’Empire et c’était fini !
Ismène est apparue en parallèle. Je n’aime pas le concept d’un peuple entièrement maléfique. Et je voulais un personnage qui puisse représenter les Agarthais autrement. Et je me disais qu’Ismène avait besoin de quelqu’un pour la lier à sa part humaine. Qu’elle avait besoin d’une mère. Et je voulais qu’Anselma puisse raconter son histoire et qu’on sache où elle est allée après Duscur. Je voulais qu’Anselma puisse souffler un peu et finir sa vie avec des gens qui prennent soin d’elle. Et donc…
Tout c’est fait logiquement. C’est ce qui m’a appris à écouter mes idées qui apparaissent comme des dingueries. Souvent, les personnages meurent après avoir eu leur rédemption. Moi, je préfère quand ils vivent pour se confronter aux conséquences de leurs erreurs et essayer de faire mieux. Du coup, tout semblait logique : et si Anselma avait la possibilité de prendre en charge un troisième enfant et que tout se passe bien cette fois ? Et si elle pouvait lui offrir de la force et de l’amour ? Enfant qui a son tour soulagerait Dimitri en lui permettant de connaître ce qu’il s’est passé / ou qui aiderait le monde en s’opposant à Hilde ?
Le traitement d’Anselma et de Lambert dans le fandom m’a confortée. J’ai eu peu l’esprit de contradiction, surtout quand il s’agit de femmes qui s’en prennent injustement plein la tronche. Lambert est un mauvais mari et père. Pour moi ce n’est pas du headcanon. C’est aisèment démontrable à partir des éléments du jeu. Pourtant il est lavé plus blanc que blanc. Mais rien ne dit vraiment qu’Anselma ait été le monstre que certains décrivent. Elle a une histoire mal écrite. C’est différent.
Ecrire sur elle et Ismène me donne de la sérotonine. Et j’aime aussi sa relation avec Stéphanos parce que amitié homme/femme ! Yes !
Pour l’UA avec Edith, je me suis toujours dit qu’elle et Anselma s’entendraient bien si elles se rencontraient dans d’autres circonstances. Si certaines choses les opposent, elles se ressemblent aussi beaucoup : altruisme, détermination, sens de la justice… Sauf que des fois ils se passent des choses en mettant les persos ensemble dans la même pièce. Et je me suis donc rendu compte qu’elles n’étaient pas amies mais qu’elles s’aimaient. J’avoue que c’est plutôt satisfaisant de voir les deux femmes déçues par Lambert ensemble. Comme ça, Anselma reste la belle-mère de Dimitri, les modalités sont juste différentes :P.
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Do you know where (if anywhere) did Claretie get the (rather widely spread) story of Camille having to be forcibly dragged from the courtroom after they shut down the indulgents trial ?
To answer exactly, we don’t know, since Claretie refuses to give any references for the story when reporting it.
I found the story reported in Édouard Fleury’s Biographie de Camille Desmoulins (1850) that was published 27 years before Claretie’s book, so at least it’s not something Claretie himself just went and dreamed up. Fleury does however not cite any sources for it either, so it’s still unclear from where exactly it originates. It does not come from the short biography Camille’s relative Marcellin Matton wrote over him (first published 1834), an account which otherwise is the origin of many myths about Camille in general and the dantonist trial in particular. It cannot be found in the notes Topino-Lebrun, jury member during the trial, left of it. It gets mentioned in neither Le tribunal révolutionnaire de Paris, Histoire Parlementaire de la Révolution française, Le procès des Dantonistes, d'après les documents, précédé d'une introduction historique. Recherches pour servir à l'histoire de la révolution française nor Camille et Lucile Desmoulins: un rêve de république, works that all still document the trial in detail. That the last book doesn’t say anything about the anecdote is especially concerning to me, considering its author is typically very rigorous in his research.
All that said, I’m not yet entirely comfortable with writing the anecdote off. The dantonist trial is one of those events where it has become very hard to seperate legend from fact, and where many things that sound like the former actually are the latter. That Camille shouted ”the scroundels! Not content with murdering me, they also want to murder my wife!” when finding out Lucile had been arrested as well does for example sound like something that could easily be an embellisment, but it was actually reported by an eye witness during the Fouquier-Tinville trial in 1795. Likewise, the claim that Camille struggled so much with the guards escorting him to the guillotine that his shirt was ripped apart was mentioned by a different eye witness already in 1799. Next to this, it doesn’t exactly sound impossible for the idea that he had to be dragged out of the courtroom to be true too, but we definitely need a primary source for it first.
#was this just a long way of saying ”no”?#camille desmoulins#desmoulins#ask#gotta love historians turning the death of real people into a soap opera#like wasn’t it already dramatic enough as it was???
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Art Nouveau
Keiichi Tahara
Philippe Thiébaut, Bruno Girveau
Editions Assouline, Paris 2000, 399 pages, 15 x 21 x 4, ISBN 978-2843231933
euro 50,00
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Au cours du dernier tiers du XIXe siècle, l'Europe connut un profond renouvellement du paysage urbain de ses capitales et du cadre de vie de ses habitants. Architectes et décorateurs étaient animés du désir de faire table rase des formules pastichant les styles historiques et de créer un environnement qui satisfasse les exigences de la vie contemporaine et les besoins de " l'homme moderne ". De cette quête de formes fonctionnelles et inédites est né l'Art nouveau. Bien que son existence ait été de brève durée (1895-1910) et bon nombre de ses créations volontairement détruites, il demeure encore des témoignages à travers l'Europe de son étonnante vitalité, de sa poursuite d'un idéal organique, qu'il s'agisse de recherches individuelles (Horta, Guimard, Gaudi) ou collectives (Ecole de Glasgow, Wiener Werkstätte). Cet ouvrage les présente, saisis par l'objectif de Keiichi Tahara, dans la diversité de leur langage plastique et formel, combinant de manière unique rationalisme et onirisme.
14/05/23
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#Art Nouveau#Keiichi Tahara#photography books#Otto Wagner#Victor Horta#Hector Guimard#1895.1910#Gaudi#Wiener Werkstatte#art books#fashionbooksmilano
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* La tapisserie Olympique * film 2024
Après avoir lutté pour la conservation de l’apprentissage de la tapisserie au sein de l’Arba-esa à Bruxelles, je me demande :
𝐐𝐮𝐢 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐭𝐚𝐩𝐢𝐬𝐬𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 ? 𝐐𝐮𝐢 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐧𝐨𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐦𝐩𝐨𝐫𝐚𝐢𝐧𝐬 ?
Pour débuter cet état des lieux de la tapisserie contemporaine, euro-centré pour le moment, je me rends à la manufacture des Gobelins à Paris. Institution du Mobilier National et lieu historique où la tapisserie est encore enseignée et valorisée comme un symbole matériel français de prestige. On y tisse en ce moment des tapisseries pour l’Elysée, la princesse du Danemark et même les Jeux Olympiques.
Depuis le 16ème siècle, la tapisserie des Gobelins illustre et honore l’histoire de France de ses moments les plus glorieux. On assiste dans le film à la t̳o̳m̳b̳é̳e̳ ̳d̳e̳ ̳m̳é̳t̳i̳e̳r̳* de la tapisserie Olympique. Destinée à être l’une des œuvres emblématiques des Jeux, le triptyque de tapisserie a été dessiné par Marjane Satrapi et tissé pendant 3 ans par une dizaine de lissier.es. Je me suis rendu à cet événement sans invitation, me fondant dans le groupe des étudiantes de la manufacture rencontrées quelques jours plus tôt.
S'érigeant au premier rang de la culture et des savoir-faire français, le Mobilier National et la Manufacture des Gobelins profite du capitalisme de fête et de ses méga événements pour prouver que la tapisserie est contemporaine, dans l’aire du temps, l’ère des Jeux Olympiques de Paris 2024. Omettant manifestement l’exploitation des travailleur.euses sans papiers, la catastrophe écologique, les expérimentations de surveillance dites sécuritaires et la valorisation du travail gratuit qui découlent de l’organisation des JO.
La cérémonie est financée par la fondation Arkwood, fondation philanthrope d’un cabinet d’avocat spécialiste du droit fiscal. Enedis, le service public du réseau de distribution d'électricité, est le mécène principal de la tapisserie Olympique. La banque populaire Rives de Paris soutient le Mobilier National depuis plus de 10 ans. C’est également le partenaire premium des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024 et le Parrain Officiel du Relais de la Flamme.
À quelques mois du début des JO, tout ce beau monde se réunit à la Manufacture des Gobelins pour le dévoilement du triptyque. On y découvre les protagonistes de la tapisserie contemporaine institutionnelle française : directeur du Mobilier National, directrice culturelle, artiste, assistant.es, lissieres, technicien.nes, sponsors et sportifves. Toustes réunis pour célébrer le sport et la culture, la dichotomie artiste/artisan et le breakdance sur parquet ciré, : ☞ó ͜つò☞ 𝓫𝓻𝓪𝓿𝓸 𝓵𝓮𝓼 𝓵𝓲𝓼𝓼𝓮𝓾𝓼𝓮𝓼 !
*t̳o̳m̳b̳é̳e̳ ̳d̳e̳ ̳m̳é̳t̳i̳e̳r̳ : moment cérémoniel où l’on décroche la tapisserie de son métier. La tombée de métier est un événement important dans la création de tapisserie, c’est le moment clivant où elle passe d’ouvrage en cours de création sur un métier à tisser, à objet/œuvre qui existe par et pour ellui-même.
film, recherches et montage : Claire Thibault-Joubert, 2024
vidéos additionnels : Paris 2024, météo à la carte, télé matin et la Mairie du 13ème
#tapisserie#gobelins#jeux olympiques#marjane satrapi#paris#paris2024#art#artwork#culture#sports#breakdance#vimeo#documentary#mobilier#skateboarding#parity#film#Vimeo
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Whispers of Sands : révéler la mystique cinématographique tunisienne
Bienvenue en Tunisie, un délice touristique avec ses sites archéologiques, son patrimoine culturel et ses paysages pittoresques. Une visite à Carthage — Les Ruines ? Soleil, sable et mer à Sousse et Monastir ? Faire du shopping au souk des mille et une nuits à Kairouwan ? Qu’il s’agisse de réserver le voyage Nile Horus pour découvrir les mystères cachés du monde antique, l’aventure du désert du Sahara ou de faire une visite pour découvrir les zones de tournage du film Star Wars, les vacances en Tunisie ne vous décevront pas. De belles villes, de belles îles et de beaux voyages, la Tunisie vous invite à explorer de nombreux endroits magnifiques. Des amoureux de l’histoire aux amoureux de la nature en passant par les cinéphiles, il y a tant de choses à voir et à faire dans ce pays magique.
Sentiers patrimoniaux et aperçus culturels
Les visites guidées en Tunisie vous offrent la meilleure opportunité de vous plonger au cœur même de cette nation d’Afrique du Nord. Visites guidées tunisie a quelque chose à offrir à chacun ; des ruines historiques de Carthage aux marchés de Tunis, les visites guidées vous aident à ne rien manquer. La Tunisie est un pays avec plusieurs expériences historiques et, pour cette raison, des guides possédant une connaissance adéquate de l’histoire sont toujours présents, ce qui rend les visites guidées en Tunisie parfaites pour les débutants.
En ce qui concerne les circuits touristiques, la Tunisie a enrichi les visites de base ciblées, vous permettant d’explorer la terrasse des meilleures options, comme les souks de Carthage et de Tunis.
Les visites guidées tunisie sont extrêmement bénéfiques pour un voyageur débutant intéressé par l’histoire de la Tunisie, car les guides eux-mêmes sont bien lus et fournissent des faits historiques et le contexte des lieux visités.
Odyssée de la Tunisie : des souks au Sahara
Plus visites touristiques tunisie en raison de nombreuses attractions, dont. Quoi qu’il en soit — rivages méditerranéens, monuments historiques ou bazars de souks, les touristes qui choisissent la Tunisie pour un voyage ne seront certainement pas déçus. Découvrir l’idée de visiter la Tunisie peut être extrêmement fructueux. La rubrique visites tunisie de l’agence de voyages s’étendait du Sahara aux plages de Tunisie, présentant ainsi de la variété.
Le trafic touristique en Tunisie augmente grâce à la possibilité de combiner loisirs maritimes et monuments historiques, une vie nocturne active et des souks lumineux pour faire du shopping, de sorte que tous les touristes visites touristiques tunisie ne resteront pas indifférents.
visites tunisie a beaucoup à offrir à ses visiteurs avec tout, du désert du Sahara et des chameaux aux plages luxueuses et aux ruines antiques.
Voyage dans la tapisserie culturelle tunisienne
Souhaitant voir des sites culturels en Tunisie, on a la possibilité d’explorer l’histoire du pays. Voyages culturels tunisie incluent le site de fouilles de ruines romaines, certaines structures architecturales islamiques ainsi que les coutumes traditionnelles du peuple. De tels circuits donnent une meilleure image de la richesse culturelle de la Tunisie et c’est pourquoi je qualifie voyages culturels tunisie d’éclairants.
Le tourisme culturel tunisien implique un regard sur les destinations culturelles du pays composées de ruines romaines, de structures et de coutumes islamiques.
Les voyages culturels en Tunisie donnent aux touristes une chance d’explorer la culture tunisienne, rendant ainsi les voyages informatifs.
De l’ancienne médina aux oasis du désert
Les voyages découverte en Tunisie sont parfaits pour ceux qui aiment prendre des risques. Lorsque vous découvrez Dougga ou flânez dans la Médina de Tunis, les voyages découvertes tunisie sont en effet très remplis de surprises. Ces voyages vous obligent à rechercher des zones inédites et moins vues, faisant ainsi du voyages découvertes tunisie une expérience passionnante. La Tunisie offre une bonne variété de choses à voir, à manger et bien sûr de la plage et de l’eau. Ainsi depuis le sable d’Hammamet, les vignobles du medrid, la ville en ruines de Carthage jusqu’au désert du sud ; les vacances en Tunisie sont la destination idéale.
La Tunisie est l’un des rares endroits à obtenir des scores élevés dans tous les créneaux touristiques, que ce soit pour se prélasser au soleil au bord de la Méditerranée ou pour visiter les sites archéologiques.
La Tunisie peut vraiment offrir du repos à tout le monde grâce à sa magnifique côte méditerranéenne — pour les amoureux de la plage, il y a des endroits comme Hammamet et pour les amateurs d’histoire, par exemple, les ruines de Carthage.
Randonnées dans le désert et rencontres culturelles
L’errance tunisienne est un voyage dans le désert du Sahara et ressent la chaleur du plus grand désert chaud du monde. Voyages désert tunisien offre certaines des meilleures expériences au monde avec les meilleures dunes de sable, un ciel nocturne et une touche du peuple berbère d’origine. Ce type de voyage convient aux personnes qui aimeraient vivre une expérience de voyage en pleine nature et plus particulièrement dans le désert. Le tourisme dans le désert tunisien est donc unique en son genre. Faire une randonnée dans une excursion désert tunisie est particulièrement agréable pour tous ceux qui aiment l’aventure. Participez à des activités comme l’exploration du Sahara, la culture du peuple traditionnel — les Berbères, ainsi que les magnifiques paysages de la Tunisie.
La randonnée est une façon passionnante de découvrir les merveilles naturelles et historiques qui varient aux abords du désert de sable tunisien.
La valeur de excursion tunisie destination peut donc être considérée comme relativement flexible, il semble que l’on puisse trouver tout ce que l’on cherche dans le pays, qu’il s’agisse d’histoire ancienne ou de nouveau développement. Ces excursion en tunisie conviennent aux personnes qui aimeraient parcourir de nombreux terrains en Tunisie en peu de temps.
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