#Prix littéraire Les Afriques
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Imbolo Mbue is Prix Littéraire Les Afriques 2022 winner.
Imbolo Mbue is Prix Littéraire Les Afriques 2022 winner.
Imbolo Mbue’s Puissions-nous vivre longtemps was declared the winner of Prix Littéraire Les Afriques 2022 on December 21, 2022. Prix Littéraire Les Afriques is awarded annually to an African or writer of African descent who has written fiction highlighting a human, societal, ideological, political, cultural, economic, or historical issue related to Africa or its diaspora. Prix Les Afriques,…
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Créé en 2015 par l’association de lecteurs La Cène littéraire, le prix littéraire "Les Afriques" est décerné une fois par an à un écrivain – ou à une écrivaine – d’Afrique, qui publie une fiction. Il peut récompenser aussi un auteur afrodescendant.
#littérature#littérature africaine#prix littéraire#récompenses#distinction#Prix littéraire Les Afriques#jury#lauréats#remise du prix#roman noir#fiction#récit#traduction#auteurs africains#arique
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Lecteurs engagés
Au cœur de l’ivresse des mots
En lien avec la journée mondiale du livre qui se tiendra mardi 23 avril 2024, la Cène littéraire, le cercle littéraire « Le conceptualiste » et le CERIL ont offert un moment d’ivresse intellectuelle aux étudiants de l’université de Douala samedi dernier au campus 2 dans la salle Madiba.
Il est 11h lorsque l’amphithéâtre « MBAPE MADIBA » de la Faculté de Droit et de Science Politique est comble. L’excitation se lit sur les visages. On se croirait à une séance de distribution de la prime de l’Excellence. Que non ! L’œil curieux est vite attiré par ce livre que chaque étudiant tient fièrement : La danse du vilain, dernier chef-d’œuvre du jeune, et non moins talentueux écrivain congolais, Fiston MWANZA MUJILA. Vous ne rêvez pas. Tous ces jeunes sont bien là pour assister à un café…littéraire ! Ce rendez-vous intellectuel est l’œuvre de la promotrice culturelle Flore ZOA. Son partenaire pour la ville de Douala, Moktar NJUMOUN, tient lieu de modérateur de l’événement. À ses côtés, la représentante de la Faculté de Droit et de Science Juridique (Dr Clémentine KABADIANG Épse ENGONO), le président de l’association J.E.U.N.E.S (M. Joseph MBONE) et un spécialiste de littérature francophone (Dr Albin Nelson HOUACK). Pendant deux heures, ils ont entretenu des étudiants issus de toutes les facultés, des enseignants, des auteurs en herbe et des éditeurs.
Entre impressions de lecture, analyses critiques du roman et quizz littéraire, tous les participants ont découvert et redécouvert la plume alléchante et croustillante de MWANZA MUJILA, Prix littéraire Les Afriques 2021. Et que dire de l’ambroisie communiée à ce rendez-vous du « donner » et du « recevoir » ?
Dans un style empreint de réalisme magique, d’une satire maitrisée et d’une ouverture généreuse aux autres textes et médias, le romancier nous transporte dans le Zaïre du maréchal Mobutu. Entre chaos politique, course au diamant et débauche, trois figures d’adolescents émergent : Sanza, Molakisi et Ngungi. Issus de familles dysfonctionnelles, à l’image des structures sociopolitiques du récit, ils côtoient, progressivement, les arcanes des services de renseignements, les mines de diamants et les cercles magico-religieux, le tout sur un fond de rumba congolaise agrémenté d’un humour corrosif. Et puisque le temps ne suspend jamais son vol, et puisque les belles choses ont toujours une fin, c’est avec la promesse de se retrouver autour d’un autre cocktail de mots que les participants se sont quittés sur les coups de 13 heures. Au Cameroun, il n’y a donc pas que la jeunesse des débits de boissons. Il y a surtout cette jeunesse qui croit en cette pensée de Mongo Béti : « La lecture est le plus grand ferment de l’intelligence ».
Albin Nelson Georges Houack
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Le prince africain, le traducteur et le nazi de Didier Leclair
Paris, 1941, sous l’Occupation allemande.
Antonio Jose Henrique Dos Santos Mbwafu, prince héritier du royaume Kongo (dans l’Angola colonisé par les Portugais), se livre à un trafic de diamants qui transite entre son pays et la France. À Paris, il est secondé par son traducteur et interprète de swahili, Jean de Dieu, et son chauffeur Hans. Il décide de faire un voyage à Lisbonne dans le but de récupérer les sacs de café que son père, le roi Pedro VII, lui a envoyés afin de les vendre. Dans ces sacs, il y a des diamants…
Les activités du Prince Antonio ont attiré l’attention du major Baumeister, un tortionnaire de la Gestapo qui cherche à s’approprier les pierres précieuses. Dès lors, s’organise une captivante chasse à l’homme dans Paris, un duel opposant le nazi aux amis du Prince, Sarah sa copine polonaise juive, Jean de Dieu le dandy, Jenny la Chinoise qui fume des cigarettes à la menthe, Armando le Brésilien propriétaire de café, et d’autres personnages aussi colorés.
Dans ce roman d’espionnage fascinant, Didier Leclair fait voir l’Occupation de Paris durant la Deuxième Guerre mondiale d’un point de vue original, celui des Noirs et des colonisés qui ont eux aussi refusé d’accepter le nazisme.
Didier Leclair, nom de plume de l’auteur Didier Kabagema, est né à Montréal. Il a vécu dans plusieurs pays en Afrique avant de s’établir à Toronto. Récipiendaire du Prix Trillium en 2000 pour Toronto, je t’aime, finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général en 2004 pour Ce pays qui est le mien et lauréat du Prix Christine Dimitriu Van Saanen en 2016 pour son roman Pour l’amour de Dimitri, il partage son temps entre la littérature et sa passion pour le jazz.
Voix narratives
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Togo : la 2è édition du Prix AGAU de Littérature est lancée ; voici comment vous inscrire
Togo : la 2è édition du Prix AGAU de Littérature est lancée ; voici comment vous inscrire
Le « Prix AGAU de littérature » est un prix littéraire décerné chaque année en décembre par l’entreprise CUBE, l’association PROEDEV et le Groupe Littérature, Science et Arts (LISA). Il vise à mettre en avant les talents littéraires et artistiques en Afrique et dans la diaspora africaine en promouvant leurs œuvres inédites et en encourageant une nouvelle génération d’écrivains. Le prix est…
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LUNDI 30 DECEMBRE 2019 (Billet 1 / 4)
Nous vous avons écrit que nous étions partis 10 jours au Sénégal pour « buller » mais que nous voulions marcher (d’où le choix de l’emplacement de notre chambre dans le Village), nous baigner (l’océan et la plage sont de loin ce que nous avons vu de mieux en Europe/Afrique !), lézarder sur des transats au soleil (ou à l’ombre, 32-35° rn moyenne dans la journée – fallait bien se protéger…) ET LIRE (pour nous changer les idées… nous en avions bien besoin), d’où les 4 livres que nous avions emportés.
Marina avait à terminer « Avec toutes mes sympathie » d’Olivia de Lamberterie et s’est lancée ensuite dans « Les choses humaines » de Karine Tuil (Prix Interallié et Prix Goncourt des lycéens 2019), qu’elle a fini dans l’avion du retour Elle vous en parlera dans un prochain Billet.
JM, lui, en était à la moitié de « Gabriële » d’Anne et Claire Berest (lu auparavant par Marina… que nous avons tous les deux finalement énormément apprécié, nous vous en parlerons également plus tard…). Après l’avoir terminé, il s’est plongé dans « Changer l’eau des fleurs » de Valérie Perrin. Toujours recommandé par Marina qui l’avait beaucoup aimé. JM, juste un peu moins mais il a quand même passé un bon moment en compagnie de son héroïne, Violette, et de la vie assez compliquée qu’elle a eue. Un roman « feuilletonesque » que l’on verrait bien transposé en une série à la télévision…
Puis il a commencé « Avec toutes mes sympathie »… dont il ne lui reste plus à lire qu’une dizaine de pages. Ce n’est pas un roman, c’est un récit autobiographique, écrit avec une délicatesse infinie, beaucoup de pudeur et dans un style, quand on connait l’auteur (elle est critique littéraire à TéléMatin, entre autre), qui correspond tout à fait à son personnage : simple et élégant.
Vous trouverez ci-dessous un article sur ce livre que nous vous recommandons TRES chaleureusement. Nous irons même jusqu’à copier Bernard Pivot qui, un jour, dans son émission « Apostrophes », en conseillant la lecture d’un livre de William Boyd, a dit qu’il rembourserait son achat à tout téléspectateur qui ne l’aurait pas apprécié.
Et bien, nous vous disons la même chose au sujet de « Avec toutes mes sympathies". Chiche ?
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"AVEC TOUTES MES SYMPATHIES"
Un récit de Olivia de Lamberterie (Livre de Poche - 7,70€)
Sa première œuvre a été l’une des sensations de la rentrée littéraire 2018. « Avec toutes mes sympathies », le bouleversant essai d’Olivia de Lamberterie, est bien plus qu’un hommage à son frère disparu. C’est l’histoire d’un deuil impossible à faire, de tabous impossibles à percer, et d’un livre impossible à lâcher une fois ouvert...
Responsable passionnée de la rubrique "Livre" du magazine ELLE, Olivia de Lamberterie n’avait jamais ressenti la nécessité de s’atteler à l’écriture d’une œuvre, jusqu’au décès de son frère. En 2015, Alex, « cadet éblouissant au cœur sombre », met fin à ses jours et aux envies de lectures d’Olivia.
En colère, profondément triste, et empêchée par un tabou du suicide qui ne lui permet pas de s’exprimer comme elle le voudrait, la critique littéraire finit par se confronter à la première page blanche. Elle rédige alors le magistral essai « Avec toutes mes sympathies », le récit d’un drame familial, et d’une famille qui ne sait souffrir qu’"avec un devoir de réserve". Elle raconte son frère adoré, et si attachant, son éducation dans une famille bourgeoise du 16ème arrondissement de Paris, mais aussi la mélancolie, qui semble s’être abattue sur ses proches comme une malédiction. Une auto-analyse tendre, délicate et souvent drôle sur sa vie, et celles de toutes les personnes confrontées au suicide d’un proche.
UNE CRITIQUE SALUÉE PAR SES PAIRS
À sa sortie, en 2018, « Avec toutes mes sympathies » est non seulement applaudi par la critique, mais il est aussi plébiscité par le public d’Olivia de Lamberterie, qui la connaît déjà ou la découvre à travers sa plume d’écrivaine. Top 10 des ventes en pleine rentrée littéraire, son œuvre remporte même le Prix Renaudot Essai en novembre 2018.
Si ce récit intimiste a remporté tant de succès, c’est grâce aux talents d’écriture d’Olivia de Lamberterie, mais aussi à son habileté à observer et à interpeller. Face aux questions existentielles qui entourent le mystère du suicide, et qui ne sauraient trouver de réponse, l’auteure ne recule pas, et ouvre une réflexion salvatrice sur un deuil à jamais marqué par la double peine. Un ouvrage nécessaire et solaire, qui sort aujourd’hui aux éditions Le Livre de Poche, et que l’on (re)découvre avec émotion.
(Source : « elle.fr »)
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Une vibrante ode à la vie. Nathalie Crom, Télérama.
Un grand premier livre, portrait posthume splendide et déchirant. Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine.
Bouleversant mais incroyablement riche et vivant, ce livre est une leçon de vie pour chacun. Lydia Bacrie, L’Express
Prix Renaudot de l’essai 2018
Coup de cœur des Libraires
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Adaptation d’une nouvelle du japonais Haruki Murakami - Les granges brûlées (1983), in L’éléphant s’évapore (1998) - le dernier film du coréen Lee Chang Dong, “Burning” a enflammé les critiques lors du dernier Festival de Cannes, mais pas le jury qui le laissa repartir bredouille sans un seul prix au palmarès. C’est pourtant un petit bijou élégamment mis en scène, qui se dévoile progressivement, par petites touches subtiles. Ce n’est pas un thriller au sens classique du terme, cela commence même tout autrement de façon légère et casuelle et on n’est pas happé par un suspens, celui-ci se distille plutôt, comme noyé dans un mélange de bière et de soju (so-mè) dont sont friands les sud-coréens et reste en bouche comme une aura de mystère qui finit par nous englober sans que l’on s’en rende compte. Jongsoo, jeune aspirant écrivain et fermier, rencontre par hasard une ancienne voisine, Haemi. Il ne la reconnaît pas tout de suite. Il faut dire qu’elle a changé et est devenue une très séduisante jeune femme alors qu’il la trouvait moche à l’adolescence. Haemi demande à Jongsoo de venir nourrir son chat dans son petit studio durant son voyage en Afrique. Dans la petite pièce, en contrebas de l’imposante Namsan Tower que l’on aperçoit toute érigée de la fenêtre, le chat que l’on ne voit jamais semble une chimère sortie tout droit de l’imaginaire de la fantasque Haemi. Ne sachant si “nourrir son chat” est une réalité ou une métaphore, Jongsoo s’exécute. Il vient donc bien nourrir ce chat jusqu’au retour de Haemi. Celle-ci lui demande de venir la chercher à l’aéroport mais à sa grande surprise, elle n’est pas seule à l’arrivée. Un mystérieux Ben l’accompagne. Devant cet homme qui semble tout avoir pour lui, Jongsoo s’incline. Mais le nouveau couple ne cesse de le solliciter. Commence alors véritablement l’intrigue du film dans cette relation à trois puis à deux, mélange de manipulation, fascination et jalousie où les intentions n’apparaissent pas d’emblée. Au delà de l’histoire finalement plutôt simple, le film est aussi une réflexion sur la création (ici littéraire) avec tout un jeu autour de l’illusion, sous fond de trame sociale opposant les riches et les pauvres. Si on ajoute à cela que le trio de comédiens a été soigneusement choisi (Yoo Ah-In dans le rôle de Jongsoo, Steven Yeun vu dans The Walking dead dans le rôle de Ben et Jeon Jong-Seo dans le rôle de Haemi) et que la musique est à l’image du film subtile et délicate, on n’est pas loin de la perfection.
#burning#버닝#lee chang dong#이창동#thriller#corée#film#cinema#festival de cannes#yoo ah in#steven yeun#jeon jong seo#haruki murakami#les granges brûlées
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LA COULEUR POURPRE https://www.lisez.com/ebook/la-couleur-pourpre/9782221199817 Alice WALKER Dans la grande tradition du roman sudiste, La Couleur pourpre, qui dénonce l’oppression raciale et sexuelle dont furent victimes les femmes noires, a fait date. Celie et Nettie sont deux soeurs séparées à l’adolescence mais liées par un amour indéfectible que ne terniront ni les brimades ni le mépris, ni les guerres ni l’absence. Celie, mariée enfant à un homme violent, ne reçoit pas les lettres que lui adresse Nettie, devenue missionnaire en Afrique, car son mari les subtilise. Ignorant l’adresse de sa soeur, elle-même envoie ses lettres au Bon Dieu. Une correspondance sans espoir de réponse. Une correspondance qui sauvera les deux femmes du désespoir. Lauréat du prix Pulitzer et de l’American Book Award en 1983, La Couleur pourpre a été adapté au cinéma en 1984 par Steven Spielberg. LA COULEUR POURPRE https://www.lisez.com/ebook/la-couleur-pourpre/9782221199817 Alice WALKER Née en 1944 à Eatonton, Georgie, Alice Walker est la fille d’un métayer et d’une femme de ménage qui encourage sa vocation littéraire. Après une enfance miséreuse, émaillée d’épreuves, elle entre à Sarah-Lawrence, une des universités les plus réputées des États-Unis. À la fin des années 1960, Alice Walker s’établit dans le Mississippi pour y enseigner. Elle y publie en 1968 son premier recueil de poèmes, Once, et s’occupe activement de la cause des Noirs. En 1970, elle publie son premier roman The Third Life of Grange Copeland, qui décrit les effets contradictoires de la misère sur deux générations d’Afro-Américains. En 1973, elle obtient une citation au National Book Award pour son deuxième recueil de poésie, Revolutionary Petunias. En 1976, elle publie Meridian, un des meilleurs romans sur le Mouvement pour les droits civiques. Elle écrit, parallèlement, de nombreux essais dans des revues féministes. C’est avec La Couleur pourpre (publié en France en 1984 aux Éditions Robert Laffont) qu’elle connaît la consécration.
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Livres Hebdo poursuit sa revue thématique de la rentrée littéraire en présentant les romans qui traitent de la violence faite aux femmes: «Chienne», premier roman de Marie-Pier Lafontaine; «La laveuse de mort» de Sara Omar; «Grandes poupées» de Céline Debayle; «Les impatientes» de Djaïli Amadou Amal (Prix Orange du Livre Afrique); «Ma vie de cafard» de Joyce Carol Oates; «Les femmes n'ont pas d'histoire» d'Amy Jo Burns; «A trop aimer» d'Alissa Wenz; «Sale bourge», premier roman de Nicolas Rodier; «Sept gingembres» de Christophe Perruchas; «Viens que je t'adore» de Kate Elizabeth Russell; «Orageuses» de Marcia Burnier; «Les Petrov, la grippe, etc» d'Alexeï Salnikov. Retrouvez tous ces romans à paraître dans mon Grand Guide de la rentrée littéraire 2020 (avec tous les autres). #premierroman #MariePierLafontaine #SaraOmar #CelineDebayle #DjailiAmadouAmal #JoyceCarolOates #AmyJoBurns #AlissaWenz #NicolasRodier #ChristophePerruchas #KateElizabethRussell #MarciaBurnier #AlexeiSalnikov #hcdahlem #roman #RentréeLittéraire2020 #litteraturefrancaise #litteraturecontemporaine #primoroman #premierroman #àparaître #Edition #Société #féminisme #MeToo #violenceconjugale #violencefaitesauxfemmes #Violencessexuelles https://collectiondelivres.wordpress.com/le-grand-guide-de-la-rentree-2020-2/ https://www.instagram.com/p/CDCLQB5nLuV/?igshid=eeucgmhswkkr
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Yamen Manai remporte le 4e Prix Orange du Livre en Afrique
Yamen Manai a déjà reçu des prix littéraires pour ses romans qui tiennent du conte philosophique, engageant le lecteur à une réflexion sur le monde actuel : dictatures, fanatisme religieux et écologie.
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31-12-2017 contrairement à ce qu'on voit dans les médias tv,ils ne doivent pas êtres des organismes de propagande du gouvernement tels bfm fr2, fr3 ,tf1 , sinon ce ne sont plus des journalistes mais des rapporteurs du gouvernement et c'est ce qu'ils sont, c'est scandaleux;voyez les promesses non tenues avec toutes les hausses du 1/1/2018 THOMAS André 22-11-2017Amis Internautes L'INTERNET FERA peut-être mourir le journal papier,pour ma part je pense que cela serait dommage THOMAS André 22-5-2017 INTERDIT BS PAR YOUTUBE,CHANGEMENT DE BS il y a plus de 40 ans un journaliste avait la responsabilité de ces articles,et livré ses informations,lorsqu'il avait contrôlé l'information,maintenant c'est du vulgaire commérage,sans vérification des sources,ils sont tombès bien bas.A.T internautes et médias 23-6-2016 suite rejet contestation par youtube sur BS, j'ai pris une musique bibliothèque youtube 30-8-2015 mise à jour de ce photo-poème Ajoutée 8/12/2014 THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatricephoto-peinture,,Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer, Je Ne Veux Oublier Personne,de la presse écrite du monde,des chaines de télévisons du monde, des réseaux sociaux du monde, des navigateurs web du monde,des sites du monde ayant trait avec la presse du monde,des blogs ayants aussi traits aux journaux du monde,mais il m’est impossible de les nommer un par un,POURTANT, IMPOSSIBLE N’EST PAS FRANÇAIS ? MAIS LA, POUR MOI, JE PEUX LE DIRE. liste de journaux,la dépèche du midi,la Provence,le dauphiné libéré, le parisien,l’humanité,les échos,le figaro,var matin,the huffington post, the new york times,washington post,boston globe,la provence,midi libre,républicain d’uzés Chicago tribune san francisco chronicle, presse écrite hebdomadaire et quotidiens régionaux France, Angleterre, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique, hollande, Portugal, Suisse, danemark,, suéde, finlande, Europe,canada,toronto star, grande bretagne, grèce, russie, usa, Australie, océanie,chine, japon, indonésie, asie, afrique, amérique du sud, terre, Télevision du monde, site internet,moteur de navigation sur le web, ©LE JOURNAL POEME DE THOMAS ANDRE©
Il y a bien longtemps, existait le quotidien, Pour les jeunes, cela veut dire journal, Et à mon époque, c'était l'un des moyen de connaître, par la plume, notre quotidien, Il y avait de nombreuses rubriques, dans ce journal.
Le 1er journal se nommait, la Gazette parût le 20 Mai 1631, de Théophraste Renaudot, Ce qui lui valu, de devenir en 1926, le prix littéraire, appelé le Renaudot. Au XXème siècle, de très nombreux titres de journaux, virent le jour, Le Figaro, La Dépêche du Midi, Les Échos, L’Humanité, précurseurs, et encore en vie, à ce jour.
©JOURNAL POEME DE THOMAS André©
L'information politique, en était la base, Chaque canard, avait sa base, L'un était de droite, et articulait son éditorial, sur cet axe, L'autre était de gauche, et analysait les faits suivants, cet axe.
Le public connaissait, dès l’achat, l’orientation politique, Il allait avoir des nouvelles, suivant son point de vue politique. Cet échange de nouvelles, plus ou moins influencés, Par la ligne des journaux, étaient leurs marques de fabrique, plus ou moins nuancés.
Avant l’arrivée des nouvelles technologies, Le marché était florissant, et en mouvement, Le public achetait son journal, avec un certain attachement, En effet, ce journaliste exposait bien les faits, nous faisant part de nos avancées, en technologies.
Avec la télévision, le rythme changeât, pour les informations, La couverture télévisuelle, commença à aborder plus vite les informations, Les reporters de télévisions et leurs agences par le journal télévisé couvraient la terre, Le quotidien écrit, devint moins nécessaire pour notre terre.
Nous rentrions dans le monde de l’image, Comme pour nous, les anciens lorsqu’ enfants à l’école, quand nous étions sages, Nous avions droit, à une image, Ce présent, était un but, comme une émission de télévision, passeport pour l’image.
Dans ce laps de temps assez court, Les reporters changèrent la culture de l’information, Elle se fit plus direct, prit le circuit court, Le moment où la photographie, donnait la nouvelle juste par sa diffusion.
La plume était encore là, un peu chancelante dans ces certitudes, Mais pour combien de temps, Quelques uns s’efforcèrent, de quantifier ce temps, Malheureusement, comme dans tous calculs, il y a les incertitudes.
Alors, déboula le numérique, un envahissement mondial, Laissant choir le journal écrit, pour manger la terre, Et patatras, mon pauvre journal fût par terre, Dans l’obligation, de se réformer à l’informatique, devenu fait mondial.
La morale de cette histoire, c’est que la vitesse, de transformation de nos sociétés, Nous obligent, à modifier nos habitudes, Sinon, nous risquons d’échouer dans la décrépitude, Et même si cette évolution, n’amène pas de signes positifs pour nos sociétés.
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L’Algérie, les berbères, le monde arabe, le wahhabisme et les soufis.
Le profond mal identitaire algérien
Un sujet qui me laisse un vrai malaise: Comment se définissent les Algériens? La constitution et leurs écoles leur apprennent qu’il sont arabes et musulmans. Point. Triste réduction d’un peuple bien plus riche que d’une seule origine et que d’une seule culture. C’est un non sens qui accroît l’absurdité du système actuel.
J’ai d’abord découvert que les Maghrébins ne sont pas des Arabes, mais des Berbères avec une culture arabe. Les Arabes se sont ceux qui habitent le Moyen-Orient, les Berbères l’Afrique du Nord. Les Berbères ont été progressivement “arabisés” en adoptant leur langue et leur religion lors de la conquête arabe du 7e siècle. L’arabisation a principalement été culturelle car relativement “peu” d’Arabes se sont installés sur place. Enfin, l’arabisation s’est faite de manière décroissante en fonction de la difficulté à se déplacer depuis la péninsule arabe vers l’Afrique du Nord: ainsi l’Ouest de l’Afrique du Nord (Maroc et Mauritanie) et toutes les régions montagneuses ont été moins arabisés. C’est pourquoi ce sont dans les régions montagneuses ou désertiques qu’on trouve les peuples qui revendiquent encore leurs origines berbères: les Kabyles, les Chaouis, les Chenouis, les Touaregs, les Chleuhs, etc…
Dans le train de Constantine les rares voyageurs étaient des “pieds-noirs” (expression que je n’ai jamais entendue entre 1934 et 1940). Ils racontaient des histoires, et de préférence sur la population rivale qu’il n’appelait que arabes - bien qu’elle ne fut guère plus arabe qu'eux même. Car les Maghrébins musulmans, majoritaires, sont en effet ou des Berbères ou des Berbères arabisés, tandis que les autres habitants de l’Algérie étaient juifs ou catholiques souvent alors venu de Malte ou du Sud de l’Espagne, et provenant ainsi de régions qui, elles aussi, furent longtemps occupées par des Maghrébins musulmans.
Germaine Tillion, Fragments de vie
Une large étude génétique, “projet génographique”, a été lancé en 2005 pour cartographier les origines génétiques des grandes régions du monde. Force est de constater que les irrésistibles berbères ont raison sur leurs origines. En ne prenant que la Tunisie comme exemple, elle est très largement berbère (88%), un peu européenne (5%) et un peu moins arabe (4%).
https://stepfeed.com/dna-analysis-proves-arabs-aren-t-entirely-arab-4864
Le non sens identitaire continue avec la langue. La langue officielle est l’Arabe littéraire alors que les Algériens parlent l’Algérien ou l’Amazigh (le Berbère). L’Algérien est une langue d’origine arabe influencée par les langues berbères, puniques, ottomanes, espagnoles et françaises: un vrai témoin de l’histoire du pays. Le slogan populaire est: “One two three, viva l’Algérie”... un bel exemple de mélange. Ainsi le gouvernement parle en arabe littéraire pendant que tout le pays parle l’Algérien et l’Amazigh. Étrange distinction.
En s’affirmant arabe à tout prix, les Algériens perdent leur identité historique et génétique, ils renoncent à leur diversité et à une grande ouverture d’esprit sur le monde. Alors que la diversité devrait être synonyme de richesse culturelle, en Algérie, c’est un gros mot. Celui qui a une double nationalité ou le migrant, le juif, le chrétien ou l’athée, ou encore celui qui a la peau trop sombre comme celle des Touaregs, ne sont pas Algériens aux yeux de la majorité. Il faut pouvoir faire perdurer le mythe: Arabes et musulmans par nature. Le premier est un mensonge car bien trop réducteur, le deuxième est absurde car insensé. Les convictions religieuses ne sont une affaire d’hérédité.
L’étude génétique aurait même prouvé la présence de gènes berbères dans les peuples d’Amérique du Sud, preuve que les berbères auraient traverser l’océan Atlantique bien avant les Européens. C’est une anecdote parmi des milliers qui devrait suffire pour être fier de ses origines berbères. Je souhaite aux Algériens de renouer avec leur histoire qui est millénaire et fabuleuse.
Le wahhabisme
Cet Islam idiot et sectaire qui se répand comme une épidémie partout sur la Terre grâce aux milliards de dollars venus d’Arabie Saoudite. Partout dans le monde ils construisent des mosquées, ils forment et payent les imams, ils soutiennent des groupes d’influence dans les écoles, ils diffusent leurs idées via tous les média possibles, et ils détruisent même les sites de pèlerinage musulman à l’étranger pour imposer une pensée unique tournée vers la Mecque… Avec de l’argent et un discours rédempteur, ils ramassent aisément les musulmans laissés pour compte, les misérables qui crèvent de faim ou d’injustice partout en Afrique, en Europe et ailleurs. Tous ces êtres malade de leur identité et qui se sentent opprimés par la société, justement ou non, à cause de leur nationalité, de leur origine ou de leur croyance. La misère est le meilleur terreau pour l’embrigadement idéologique. Lentement, il se répand, et il retourne la logique: Le Coran avant la science. Le wahhabisme veut un retour stricte à la parole du Coran. Les enfants apprennent le Coran avant d’aller à l’école et “on” critique la science à la lumière des enseignements du Coran.
Cet volonté d’enseignement, le Coran avant la logique, avant la science, avant l’auto-critique, exploite un biais cognitif bien connu: le préjugé de confirmation. Ce que l’individu pense influe sur l’information qu’il recherche et sur l’analyse qu’il en fait. Le préjugé de confirmation nous pousse à regarder l’information qui étaye nos croyances antérieures parce que nous cherchons à valider nos opinions. Les gens ont du mal à accepter une information qui contredit leurs opinions existantes, même lorsque les données sont nombreuses et factuelles.
En Algérie j’ai découvert qu’internet est un immense catalyseur de ce biais cognitif. Alors qu’on pourrait penser qu’internet est un fabuleux moyen pour rendre accessible et pour transmettre le savoir et les informations à tous, il n’en est rien. Il ne fait que conforter les préjugés de chacun. D’abord parce qu’on ne cherche que ce qu’on veut y trouver - et on peut vraiment tout y trouver - ensuite parce que l’économie du web veut vous faire cliquer. Pour vous faire cliquer, tous les contenus sponsorisés s’adaptent à l’utilisateur, et vous vous sentez soudainement entouré dans un univers d’informations qui ne fait que conforter vos idées préexistantes. Au lieu de vous amener à débattre avec des gens différents, internet vous piège dans un débat avec des gens qui pensent comme vous.
Apprendre le Coran avant le reste est une absurdité criminelle tant le Coran, que j’ai lu intégralement (en français…), est dénué de toute logique pour développer l'intelligence humaine et de toute tolérance pour apprendre le vivre-ensemble. Il faut absolument inverser l’enseignement: la logique d’abord, la religion ensuite. Sans cela on ne peut être que fanatique.
Une religion n’est pas un livre mais une communauté de croyants. Je me retiens donc de critiquer le Coran pour ce qu’il est: un livre qui appelle à la haine et à la peur. Le wahhabisme exporté reste récent: à Alger, j’ai vu des musulmans lumineux, intelligents, curieux, j’ai vu des mouvements musulmans dans lesquelles j’aurai pu me reconnaître, comme celui des soufis. Les soufis ont la raison, les wahhabites ont l’argent du pétrole. Les deuxièmes font disparaître les premiers: À Constantine par exemple, les soufis sont désormais perçus comme une secte et le wahhabisme comme la norme.
Drôle de pays que Arabie saoudite… Pas de respect des droits de l’homme, un système de justice tribal et une oppression archaïque sur le droit des femmes. En ce moment encore, ils financent le terrorisme international, ils torturent et violent les femmes insoumises, ils affament et bombardent les pays voisins qui se refusent à leur salafisme ou ils découpent en morceau un journaliste étranger. Et pourtant, les Etats-Unis soutiennent encore l’Arabie Saoudite depuis 1945 avec un pacte qui échange protection militaire contre pétrole. Peu importe le World Trade Center, la famine au Yemen, les bombardements sur les Chiites ou la liberté de la presse, pourvu que le cours du baril de pétrole soit maîtrisé.
Les Etats-Unis ne sont pas les seuls à soutenir le wahhabisme. Toutes les dictatures militaires du monde arabe soutiennent ce jeu d’influence. Le salafisme est une espèce de bête immonde qu’on nourrit pour soumettre et effrayer la population. D’abord on préfère que le peuple étudie le Coran plutôt que le commerce international: il ne faut pas former une élite qui pourrait déstabiliser les dictateurs en place. Ensuite, les débordements de misérables terroristes revendiqués par les salafistes sont médiatiquement matés par l’armée. On légitime ainsi la dictature militaire - le choix du moindre mal - sans qui le pays tomberait dans le délire des intégristes. C’est exactement l’histoire des 10 années de guerre civile en Algérie. L’Europe n’est pas en reste… On se frotte les mains à l’idée de signer des contrats juteux avec des dictateurs facilement corruptibles puisqu’ils rêvent d’armes derniers cri, de visas, de santé et de devises étrangères.
Alors qui pour soutenir l’islam tolérant et intelligent? Je ne suis pourtant pas un ami des religions… Je l’ai dit dans un autre article. Mais il faut absolument s’indigner du financement massif du wahhabisme et soutenir fermement les musulmans qui continuent à penser librement. Quand bien même on ne partage pas les mêmes croyances, stigmatiser tous les musulmans c’est les priver de tolérance et les pousser vers le salafisme.
Et ensuite? S’indigner, laisser une place à l’islam tolérant, soutenir les changements pour consommer moins de pétrole... Que faire d’autre? C’est maigre… Le constat d’impuissance est d’autant plus terrible pour ces musulmans qui rêvent encore d’une pensée libre et qui observent les salafistes éduquer leurs enfants.
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Allah n’est pas obligé.
Aujourd’hui j’ai le plaisir de vous parler d’un coup de coeur littéraire. “Allah n’est pas obligé” de Ahmadou Kourouma.
Tout dans ce livre est extraordinaire. De l’histoire de l’écrivain à celle du roman.
Pour commencer, je vais vous raconter celle de Ahmadou K. C’étais un écrivain Ivoirien. Pendant la colonisation Française il était tirailleur sénégalais en Indochine. Il a ensuite fait ses études en France. En 1960 il était retourné vivre dans son pays natal où il a connu la prison et l’exil dans différents pays d’Afrique suite au régime du président Félix. Dans ses livres il transmettait des messages politiques et rendait hommage à la culture africaine.
“Allah n’est pas obligé” est né à la suite de la demande d’un enfants de Djibouti. Il y délivre un message hautement politique s’adressant aussi bien aux adolescents qu’aux adultes. C’est avec la simplicité de langage et le point de vue d’un enfant qu’il raconte l’histoire de la guerre tribale et de l’Afrique contemporaine. Ce roman a reçu le prix Renaudot et le prix Goncourt des lycéens en 2000. Il met en lumière les enfants soldats, filles comme garçons, qui sont aujourd’hui plus de 250 000 à travers le monde.
Pourquoi lire ce livre ? Car c’est l’histoire de Birahima, pour retrouver sa tante suite à la mort de ses parents, il doit traverser l’Afrique de l’ouest. Étant en climat de guerre, il sera enrôlé dans différentes factions et armées. Vous pourrez découvrir le quotidien d’un enfant soldat, entre drogue, viol, alcool, violence, religions et croyances obscures.
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[AVANT-PREMIÈRE CINÉ] BURNING de Lee Chang-dong Le sixième film ‘Burning’ du sud-coréen Lee Chang-dong est un plaisir à tous les niveaux. Le réalisateur dépeint une atmosphère de plus en plus inquiétante avec ce récit tortueux dans lequel le protagoniste, tout comme le spectateur, s’enferme peu à peu dans ses doutes. A la croisée des chemins entre romance, film policier et thriller, un long-métrage très abouti et plein de grâce, au casting et à la mise en scène brillants. Lors d'une livraison, Jongsu, un jeune coursier, tombe par hasard sur Haemi, une jeune fille qui habitait auparavant son quartier. Elle lui demande de s’occuper de son chat pendant un voyage en Afrique. À son retour, Haemi lui présente Ben, un garçon mystérieux qu’elle a rencontré là-bas. Un jour, Ben leur révèle un bien étrange passe-temps… Dès les premières images, nous voilà projetés caméra épaule dans le point de vue du protagoniste Jongsu, présent dans la quasi intégralité des plans et que nous sonderons tout au long du film dans les moindres détails (ses envies les plus intimes, ses rapports distendus avec ses parents, ses inquiétudes intérieures). Une des forces du long-métrage est justement sa prise de position : le point de vue unique d’un de ses personnages dans une scénario qui laisse une part de mystère sur plusieurs points narratifs. Son alter ego masculin Ben étant par exemple a contrario totalement impénétrable, attisant ainsi la curiosité. Difficile également de juger ce qui anime Jongsu (paranoïa et extrapolation des faits par envie d’inspiration littéraire ou déductions réelles ?) dans ce récit glissant, joliment écrit pour laisser constamment planer le doute. Pour illustrer son propos et marquer son ancrage dans la réalité, le long-métrage se permet des références à plusieurs romanciers américains du XXème siècle (F. Scott Fitzgerald avec ‘Gatsby Le Magnifique’ et William Faulkner dont la nouvelle ‘Bad Burning’ dépeint d’ailleurs un personnage dont le hobby est de mettre le feu à des granges, tiens tiens...) et s’inscrit pleinement dans le contexte politique actuel qu’il rappelle en filigrane, des vidéos de Trump à la télé aux sirènes de propagande nord-coréeenne dans les hauts-parleurs, en passant par les commentaires sur les injustices de la position de la femme dans la société avec notamment l’expression détournée “No Country for Women” (clin d’oeil peut-être au film des frères Cohen mais vraisemblablement surtout là encore au romancier américain Cormac McCarthy). La tension palpable de la société, dans laquelle l’amusement est de plus en plus lointain, retrouve écho dans les troubles intérieurs du protagoniste. Le trio d’acteurs électrisant (ou brûlant ici) fait preuve d’une belle alchimie dans des prestations pourtant très différentes : l’hébété mais attachant You Ah-In (Jongsu), l’évanescente Jeon Jung-seo (Haemi) et l’insondable et séduisant Steven Yeun (Ben) [déjà présent en compétition à Cannes l’an dernier avec ‘Okja’]. Le film, à l’esthétique très léchée, les met d’ailleurs en scène dans certains moments de pure beauté (la danse de la jeune femme sur fond de soleil couchant et de musique jazz, le cours de pantomime, les plans avec les éléments naturels comme l’eau ou le feu). Le film de Lee Chang-dong fait figure de grand oublié du palmarès officiel du Festival de Cannes mais a remporté le Prix Fipresci [exactement d’ailleurs comme ce fut le cas pour ‘Toni Erdmann’ il y a 2 ans] ainsi que le Prix Vulcain pour la direction artistique. Un long-métrage captivant qui sait prendre son temps et faire monter le suspens. Une réussite éclatante. Bande-annonce : https://bit.ly/2Nhb1KQ Date de sortie française : Mercredi 29 août 2018 A&B
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C’est quoi, un roman d’écologie ?
Le premier Prix du roman d’écologie (Le Pré) a été décerné cette semaine à Emmanuelle Pagano pour son ouvrage Saufs riverains, publié en 2017 aux éditions P.O.L. On a échangé avec la cofondatrice du Pré, Lucile Schmid.
« Le livre d’Emmanuelle Pagano raconte comment la nature a été transformée par l’activité humaine, commence Lucile Schmid, qui a co-créé l’association éponyme à l’origine du prix. L’ouvrage relate la transformation d’un paysage. » En l’occurrence, la vallée de la Salagou (dans l’Hérault), « terre des ancêtres de l’auteure ». « Saufs riverains permet par ailleurs de redécouvrir ce que l’on a oublié », c’est-à-dire, dans ce roman, « la vie à la campagne en famille et sans argent ».
Lucile Schmid a cofondé le Pré pour mettre en avant les auteurs qui traitent dans leurs œuvres des questions environnementales. « Qu’il s’agisse des relations entre être humain et nature, de la transition économique et sociale, ou encore de la question animale, le champ du roman d’écologie est divers et croise différentes préoccupations », explique-t-elle.
Des préoccupations donc, qui ne datent pas d’hier, les écrivains s’étant toujours emparés de sujets liés à la nature dans leurs écrits. La cofondatrice cite par exemple Romain Gary, et Les Racines du ciel. Cet ouvrage, paru en 1956 chez Gallimard, traite d’une lutte, la lutte pour la survie des éléphants en Afrique. Or, à l’époque, ces livres-là n’étaient pas forcément « qualifiés comme tel, comme livres d’écologie« . Mais les temps changent : « Aujourd’hui, cela a du sens de dire qu’un ouvrage est un roman d’écologie. »
« Transformer l’image de l’écologie »
Pour elle, la récompense littéraire sert à « transformer l’image de l’écologie ». Et la forme du roman permet de percevoir « la complexité de la chose écologique, au contraire d’un essai, dans lequel l’auteur défend une thèse ». Le jury est composé d’auteurs, comme cette année le Goncourt 2011 Alexis Jenni, et d’étudiants (issus des Écoles supérieures d’art et de design du Havre et de Rouen, et des Écoles nationales du paysage de Versailles et de Marseille). Des libraires ont aussi aidé à la sélection des livres, tous parus en 2017. « Ce sont des personnes qui ne se connaissent pas, et qui perçoivent l’écologie de manière différente », raconte Lucile Schmid, qui encourage à « lire ».
En commençant par les nominés, qui traitent tous de la question du développement durable sous différents angles. Dans Les liens du sang (Le Dilettante) de Errol Henrot, est évoquée «une actualité brûlante, la souffrance animale dans un abattoir. Le récit de l’accouchement d’une truie y est émouvant, incroyable. » Dans Ostwald (L’Olivier) de Thomas Flahaut, est mis en scène un accident nucléaire à Fessenheim : « Que serait alors « Tchernobyl » en Alsace ? » Sirius (Rouergue) de Stéphane Servant : « C’est un roman pour ado, dans lequel il y a une présence animale incroyable. Le thème de la nature reprend ses droits. » La fonte des glaces (P.O.L) de Joël Baqué est « une fable passionnante, avec une distance humoristique, sur le réchauffement climatique. Et une réflexion intéressante sur le capitalisme ». L’invention des corps (Actes Sud) de Pierre Ducrozet, enfin, est une réflexion sur le transhumanisme. D’après Lucile Schmid, il s’agit bien d’un roman d’écologie, dans la mesure où « tenter d’échapper à la mort, c’est essayer de s’affranchir de la loi de la nature ».
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Dans le cadre du Festival Africain des écrivains émergents organisé par le CLIJEC dans le ville de Douala du 08-10 Février 2018, le site d’art contemporain Doual’Art est le lieu qui a abrité l’événement pour la journée de vendredi.
Doual’Art
Doual’Art, qu’est-ce donc au juste, ce lieu qui reçoit cet événement ? Il faut dire qu’auparavant j’en avais entendu parlé ; mais sans véritablement m’y intéresser. Non pas que l’Art m’importe peu, du tout ; mais l’occasion ne s’y était pas encore présentée. Et le Festival allait être l’occasion de découvrir et partager avec vous ce lieu magnifique dans lequel se déroule cette rencontre.
Doual’Art est un espace dédié à l’art contemporain (Lire l’article sur comment comprendre et apprendre l’art contemporain). Un espace d’un calme inspirant, qui invite ni plus ni moins qu’à la création. Un lieu de quiétude où l’on peut, sans aucun stress se poser. On s’y sent bien.
Doual’Art
Doual’Art
Doual’Art
Le lieu était tout indiqué pour organiser et recevoir en plein air ce festival de mots. Car Doual’Art sans que l’on s’en rende compte est un lieu inspirant. On peut aisément déployer sa créativité. À l’ombre vous êtes reçu dans son espace vert. Pour des moments d’introspections, je ne peux que vous le conseiller.
Dans ce lieu de quiétude, entouré d’arbres gigantesque qui rafraichissent le cadre ; orné d ‘œuvre contemporaine entre autres des tableaux représentants les héros nationaux qui ont marqué l’histoire du Cameroun, et d’un autre côté on aperçoit quelques œuvres d’art dont chacun peut se faire une idée. L’intérieur de la galerie est réservé à des expositions, expositions que vous pouvez aisément admirer, contempler. Il est beau, ce lieu; magnifique cet endroit choisi par le CLIJEC pour son Festival de mots.
Vous l’avez compris, nous ne pouvions parler du Festival sans toutefois partager avec vous ce lieu magnifique.
C’est donc à Doual’Art, sis à Bonanjo, centre administratif de la ville de Douala, Capitale économique du Cameroun qu’à eu lieu la suite du festival. C’est en effet ce festival des mots, qui m’a permis de rencontrer ce lieu artistique. C’est entre autre ce lieu qui a été choisi pour quelques activités programmées. Il faut dire que le programme a débuté la veille, à savoir le 08 février 2018 ; Il était question de rendre hommage à Francis Bebey, célèbre auteur Camerounais.
Qui est-il ? Pour ceux qui ne le savent pas, ou n’ont jamais entendu parler de lui, Francis Bebey est un artiste musicien, écrivain, poète Camerounais. Grand Prix Littéraire d’Afrique noire en 1968, grâce à son oeuvre très connue au Cameroun intitulé “Le Fils d’Agatha Moudio” que vous pouvez trouver dans les librairies Camerounaises et afro-descendantes . Il est donc celui qui était au coeur de ce festival. Lui rendre hommage par cette jeunesse Camerounaise amoureuse des mots était plus qu’une nécessité, Un DEVOIR de MEMOIRE.
En effet, Francis Bebey a bercé notre adolescence, pour être plus précis notre parcours scolaire. Nombreux sont des Camerounais qui ont pu l’avoir en programme de lecture durant leur parcours académique. Il ne nous est, pour la plupart de Camerounais, pas inconnu. Bien qu’il ne soit plus au programme, on se souvient de cette oeuvre qui l’a rendu célèbre. Au delà de l’écriture, il fût également un artiste-musicien, et procéder à une lecture chantée de ses oeuvres allait de soi; et c’est ce qui fut fait durant le festival, pour le compte de la 2e journée. Quelques oeuvres littéraires de Francis Bebey :
La Radiodiffusion en Afrique noire, 1963
Le Fils d’Agatha Moudio, 1967
Embarras de Cie: nouvelles et poèmes, 1968
Trois petits cireurs, 1972
La Poupée Ashanti, 1973
Le Roi Albert d’Effidi,
Musique de l’Afrique, 1969
L’Enfant pluie, 1994
Le Ministre et le griot, 1992
Francis Bebey décède à Paris le 28 mais 2001. Il nous laisse cette richesse livresque qui inspire et continuera d’inspirer de nombreux jeunes auteurs.
La lecture chantée
Tel un camp de village, la lecture chantée se fera sur les lignes de Francis Bebey. De jeunes passionnés de mots tels que :
Martin E.
Estelle
Episode 79
Lordphone
vont partager avec nous quelques extraits des oeuvres de l’auteur, accompagné au son de guitare. Un véritable hommage lui est rendu. C’est les yeux pleins d’admiration que le public les regarde déclamer les textes de l’auteur. On appellerait cela “Soir au Village”. Ils le font tellement bien, les mots , les phrases, sont si bien articulés que l’on a, en tant que public, la possibilité de se représenter chaque scène, chaque instant. On vit vraiment à ce moment précis de l’évènement un vrai moment d’émotions avec ces talents qui par la suite, nous appellent à contribuer.
Lecture Chantee
Lecture chantee
Lecture chantee
La contribution du public à ce festival est pour ma part le meilleur moment de cette rencontre. Être un artiste, c’est véritablement avoir l’envie de partager. En effet, une fois passer l’hommage chanté à Francis Bebey, grand écrivain Camerounais, le public a été amené à prendre part à cette lecture chantée. Un moment de rires, de timidités, eh oui, nombreux dans le public n’ont pas osé se lever promptement, il fallait donc choisir. Le refus était interdit, il fallait jouer le jeu, jusqu’au bout. L’après-midi se poursuivra avec la dédicace du livre “Les Intelligences” un recueil de poèmes de Junior Tankeu, publié par les éditions Ifriquiya. la journée livresque s’achèvera une fois de plus par une lecture chantée.
Dedicace
Dedicace
Ce festival des écrivains émergents programmés pour 03 jours connaitra son point final le samedi 10 février 2018. plusieurs activité auront meublés ce jour de clôture du festival, à savoir :
Un Book Chat
Une rencontre des porteurs de projets
et une visite d’hommage à valère Epée
C’était un première pour la ville de Douala d’accueillir ce festival en question. Bien entendu, comme tout évènement qui a lieu pour une première fois, il y a eu quelques manquements, qui nous l’espérons pour la prochaine fois, dans la ville seront comblés. Nous espérons que la prochaine session qui se tiendra dans la ville de Douala verra du beau monde et notamment de jeunes amateurs ou écrivains se dévoiler. Vous pouvez notamment suivre les activités des écrivains émergents, ou au mieux si vous souhaitez ;partager votre talent,, vous pouvez le faire en vous inscrivant sur la Page Facebook Lecture Chantée.
Source: Marc Ghislain, Social Media Cameroun
Hommage à Francis Bebey: African Festival of Emerging Writers célèbre Francis Bebey Dans le cadre du Festival Africain des écrivains émergents organisé par le CLIJEC dans le ville de Douala du 08-10 Février 2018, le site d’art contemporain Doual’Art est le lieu qui a abrité l’événement pour la journée de vendredi.
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