#premierroman
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#amitiĂ©#Aventure#Deuil#enfants#fables#Fantastique#forĂȘts#Jeunesse#LessouvenirsdeFerdinandLaTaupe#littĂ©raturefrançaise#LittĂ©raturejeunesse#Maladied'Alzheimer#mĂ©moire#mĂ©moires#MickaĂ«lBRUN-ARNAUD#premierroman#Sanoe#Taupes#voyages
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J.D. Kurtness, une nouvelle voix venue du QuĂ©bec, retrace dans ce court et percutant roman le parcours dâune meurtriĂšre «pour la bonne cause». Et rĂ©ussit le tour de force de nous la rendre de plus en plus sympathique alors que les cadavres sâaccumulent. https://collectiondelivres.wordpress.com/2023/02/07/de-vengeance/ #devengeance #JDKurtness #editionsdepaysage #hcdahlem #premierroman #quebec #RentrĂ©eLittĂ©raire2023 #litteraturefrancophone #litteraturecontemporaine #jelisquebecois #romannoir #MardiConseil (Ă MontrĂ©al, QuĂ©bec, Canada) https://www.instagram.com/p/CoWw-ApqviJ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#devengeance#jdkurtness#editionsdepaysage#hcdahlem#premierroman#quebec#rentréelittéraire2023#litteraturefrancophone#litteraturecontemporaine#jelisquebecois#romannoir#mardiconseil
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@editionsplon En alternant les rĂ©cits de Manelle, de Lina et les lettres de Tahit @morganeaz_  invente un carrefour entre passĂ© et prĂ©sent, de lâAfrique Ă lâEurope, avec au cĆur le droit des femmes. â€ïž
#premierroman #book #books #roman #rl2023
Chronique ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2023/08/13/morgane-az/
#billet littéraire#roman#littérature contemporaine#chronique littéraire#chroniques littéraires#littérature française#littérature francaise#litterature contemporaine#chronique livre#rl#rl2023
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Salut les pâtits grammes! Suite aux chaudes recommandations de @fabricecausape et Ă lâenvie pressante de @nataly_roques_auteur et bien dâautres de dĂ©couvrir mon 1er roman, je suis au regret de vous informer que celui-ci nâest plus disponible puisque je nâai pas souhaitĂ© prolonger mon contrat Ă compte dâauteur avec la ME. (3200 euros pour ne pas corriger, ne pas mettre en page correctement, ne pas imprimer proprement, ne pas proposer de salons, ni de dĂ©dicacesâŠje trouvais lâaddition un peu trop salĂ©e Ă mon goĂ»t!) Jâai donc prĂ©fĂ©rĂ© arrĂȘter les frais (sans jeu de mots) Je suis dans lâattente de rĂ©ponses de ME (sĂ©rieuses?!) Ă compte dâauteur qui offrent la possibilitĂ© de rĂ©Ă©diter ce 1er roman (Ă©tant donnĂ© que je nâen ai vendu que 50! Merci au covid đ€Šââïž) Vous comprenez pourquoi, je nâai pas trĂšs envie de rĂ©Ă©diter Ă mon propre compte ce 1er roman puisque jây ai dĂ©jĂ laissĂ© un bras ( et pour Ă©crire, câest mieux dâen avoir deuxđ) Voili voilou! Jâen saurai davantage Ă la fin de lâannĂ©e. Et si cela nâa pas portĂ© ses fruits et bien, jâirais cueillir des cerises en Pologne! (Traduction: je rĂ©flĂ©chirais Ă lâĂ©ventuelle possibilitĂ© de mâauto Ă©diter) Merci pour votre intĂ©rĂȘt et votre soutien. Si vous possĂ©dez un exemplaire de mon 1er roman « Le PĂšre », vous possĂ©dez un objet raređ surtout sâil est dĂ©dicacĂ©! Merci de le conserver dignement ou de lâoffrir Ă des personnes qui le mĂ©ritent! ( et pas dâessayer de faire une marge minable en le revendant sur des sites peu scrupuleuxđ€š) Ă bon entendeur đ #jessicacousin #jesuisecrivaine #lepĂšre #premierroman #autoedition #maisondeditionacomptedauteur #enattente #patience https://www.instagram.com/p/CVv72Zbq-Aa05mLQkN_RjtRHsNgRylZumq04To0/?utm_medium=tumblr
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Bonsoir les amis ! Ce soir, nouvel extrait d'un chapitre intitulé "Candeur et fourberies" écrit juste pour vous et à retourner en intégralité sur mon site. J'espÚre que vous avez passé un bon week-end et que vous vous portez bien. Je vous souhaite une trÚs belle soirée ! * Juliette * #roman #livre #lecture #instabook #instalivre #livrestagram #lire #auteur #extraitlivre #extrait #premierroman #citation #citations #extrait #auteurefrancaise #ecrivaine #ecrireunehistoire #juliette_norel #quote #citas #autrice #citationinspirante https://www.instagram.com/p/CKMfkPghNiA/?igshid=1n8vk9me1s2k1
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LOVICIDE / 3
   Mes clĂ©s tintaient au grĂ© de mes pas. Vingt-sept enjambĂ©es du hall jusqu'au bout du couloir, oĂč se situait le paillasson vĂ©tuste. Jamais droit, souvent en biais, piĂ©tinĂ© pendant six ans de vie commune. Je le fixai intensĂ©ment, en pleine baston de regards, avant de l'achever Ă coups de semelles.    Les clĂ©s, plus des souvenirs d'expĂ©ditions exclusivement continentales que des clĂ©s. Une tour Eiffel Ă laquelle manquaient deux pieds sur quatre, la tĂȘte de la reine d'Angleterre et des bricoles jouant sur des clichĂ©s clairement qualifiables de racistes. Lana ne parlait que le français et m'agaçait Ă chaque fois qu'elle inclinait sa tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, manifestant son envie de comprendre un humour masculin â de gros dĂ©gueulasse â perfide et susceptible de la souiller. Elle avait l'air d'une idiote lors des triviaux rebondissements de la vie de tous les jours, et Ă©trangement sereine au milieu des tempĂȘtes de folie nous comprimant de leurs asphyxiantes bourrasques. Je supportais trĂšs difficilement son Ă©vidente niaiserie, en particulier lorsqu'elle attendait que je la comprenne, m'immisce dans la spirale de ses encombrantes, sincĂšrement navrantes pensĂ©es, et rĂ©ponde Ă ses attentes. Ici, Ă ma droite sur le palier, luisaient ses yeux d'opale et d'ambre, qui m'invitaient Ă les dĂ©chiffrer. Utiliser les miens, lames acĂ©rĂ©es, pour les pĂ©nĂ©trer et en extirper la lumiĂšre. C'Ă©taient des dĂ©sirs a priori simples â cuisiner les aliments qu'on venait d'acheter, sortir, prendre une douche Ă deux, regarder un film â mais dont je ne saisissais pas l'intĂ©rĂȘt. J'ai Ă un moment pensĂ© qu'il fallait analyser la profondeur de son sourire, le creux de ses joues et le crispation de ses traits, afin d'ĂȘtre un mari meilleur que les autres ; de faire partie de ceux qui aiment leurs femmes et veulent les comprendre autant qu'ils Ă©chouent Ă ce jeu. Mes lamentables dĂ©faites me rendaient amer et Lana me les faisait avaler, truffait mon palais imbu de la finesse des reproches que je dĂ©celais dans l'affaissement de ses sourires. Ăa, c'Ă©tait la seule chose que je surprenais inopinĂ©ment. Mon instinct, ou plutĂŽt mon fragile ego, les flairait Ă tout bout de champ, et me braquait dans une languide, incisive douleur. J'ouvrais la porte dans un Ă©lan de rage et partais me rĂ©fugier sur le canapĂ©, oĂč je dormais. Lui refiler mes inquiĂ©tudes Ă©tait plus facile. PrĂ©textant avoir des maniĂšres de gentleman, je la laissais donc seule dans la chambre, cogiter dans un lit immense. Le canapĂ© Ă©tait Ă©troit car il m'entourait d'inconfort et le surplus d'espace une disgrĂące. Je refusais l'humiliation.    Mais elle avait percĂ© Ă jour cette tactique de fuite et attendait que je me rĂ©veille, les yeux toujours pleins d'opale et d'ambre, la joue Ă©crasĂ©e contre mon torse. Le sommeil m'ayant anesthĂ©siĂ© de ma colĂšre interne, sourde et grondante, je passais alors ma main dans ses cheveux. Ăa n'excusait pas ces impulsions, ce comportement lĂąche et spĂ©cifiquement masculin, limite hormonal, mais lui Ă©tait suffisant.    Lana se contentait de si peu qu'une dĂ©monstration d'affection, aussi brĂšve et superficielle pouvait-elle ĂȘtre, rĂ©parait mes erreurs. Comme devenu le spectateur d'une ancienne vie, j'observais le cuir Ă©limĂ© et le tapis trottant au milieu du salon. Le trousseau de clĂ©s resta pendre Ă la serrure une fois que je l'eus refermĂ©e.    Plus d'odeur de pain chaud, de gĂąteau. La fin des comptines et des tĂ©lĂ©films en fond. Une taniĂšre, vacillant gouffre de l'alcoolisme. Le trou bĂ©ant d'une poubelle, une gueule ouverte crevant sur un trottoir : voilĂ l'appartement numĂ©ro 4.    Il demeurait imprĂ©gnĂ© d'elle en dĂ©pit du manque de concret. Rien n'Ă©tait capable de titiller mes sens mais tout parlait Ă mon Ăąme, encore enlacĂ©e par celle de Lana. Me poser contre un oreiller signifiait m'engouffrer en sa mollesse et son allure de maman en devenir. Elle Ă©tait encore maigre, pourtant, son ventre s'emplissait d'une rondeur chimĂ©rique, gonflait Ă force de cultiver le nouveau-nĂ©. En tant que pĂšre, j'en entendais dĂ©jĂ la respiration. Je fantasmais sur ses premiers mots, ses premiers pas. Fille ou garçon ? Je fantasmais davantage sur un homme dont on reconnaĂźt les efforts et me projetais moi, vainqueur, ayant enfin surmontĂ© les obstacles Ă la puretĂ© de mon amour pour Lana. Ces obstacles auraient Ă©tĂ© bravĂ©s par l'amour d'un foyer, plus grand, plus fort encore que celui que je nourrissais envers ma femme. Les coups auraient Ă©tĂ© changĂ©s en berceuses, en baisers sur le front, en mĂ©ticuleuse contemplation de poupon, tous attendris par une fascinante fragilitĂ©. L'Ă©quilibre de la vie aurait Ă©tĂ© rĂ©tabli par la trĂšs attendue arrivĂ©e d'un bĂ©bĂ©. Elle n'avait pas suggĂ©rĂ© le moindre nom, en parlant avec ce « notre bĂ©bĂ© » qui me faisait tant plaisir. Je chavirais Ă chacune de ses mentions. « Notre bĂ©bĂ© » aurait pu s'appeler n'importe comment. Ă mes yeux, il avait la richesse de l'alphabet, d'une vie, d'un amour et d'un monde entier, parce qu'il aurait comblĂ© tous les vides. Il aurait transformĂ© cet appartement en chĂąteau de prince ou princesse, et Lana se serait sentie comme une reine, officiant aux cĂŽtĂ©s du roi, le pĂšre de son enfant. Le roi, exemplaire, aurait offert une vue sur les Ă©toiles, les petites fissures oĂč se cachent les joyaux de la terre, jamais violent, jamais imparfait, Ă un peuple de jouets et de fables. La reine aurait Ă©tĂ© couverte de bijoux, de cadeaux, et ses joues auraient ruisselĂ© des larmes de soulagement venant aprĂšs l'enfantement. Lana maman, mon idĂ©al dĂ©sormais enterrĂ©, ne laissait plus que place au prĂ©cipice suivant la perte.    M'allonger sur le lit, c'Ă©tait retrouver sa silhouette. M'y faufiler, Ă nouveau cheminer avec et en elle. Elle Ă©tait moi. En mourant, elle Ă©tait partie avec ma moitiĂ©.    Les bruits ne ricochaient plus contre les murs, de bĂ©ton mĂ©langĂ©, qu'elle changeait en galaxies et affriolantes cascades. Lana est morte. Cette rĂ©vĂ©lation me happa, me sortit d'un long et tiĂšde coma, dans un cri strident. Lana est morte, Lana est partie, Lana n'est plus.    Ce monde n'a jamais Ă©tĂ© fait pour elle, ni pour notre bĂ©bĂ©.
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Rencontrer son Ă©diteur
â Ăa commence un jour de neige, rue de Fleurus Ă Paris, le 9 janvier 1979. Jâai Ă©crit un roman, câest le premier, je ne sais pas que câest le premier, je ne sais pas si jâen Ă©crirai dâautres. Tout ce que je sais, câest que jâen ai Ă©crit un et que si je pouvais trouver un Ă©diteur, ce serait bien. Si cet Ă©diteur pouvait ĂȘtre JĂ©rĂŽme Lindon, ce serait bien sĂ»r encore mieux mais ne rĂȘvons pas. Maison trop sĂ©rieuse, trop austĂšre et rigoureuse, essence de la vertu littĂ©raire, trop bien pour moi, mĂȘme pas la peine dâessayer. Jâenvoie donc mon manuscrit par la poste Ă quelques Ă©diteurs qui, tous, le refusent. Mais je continue, jâinsiste et, au point oĂč jâen suis, dĂ©tenteur dâune collection presque exhaustive de lettres de refus, je me suis risquĂ© la veille Ă dĂ©poser un exemplaire de mon manuscrit au secrĂ©tariat des Ăditions de Minuit, rue Bernard-Palissy, sans la moindre illusion, juste pour complĂ©ter ma collection. Et comme je suis sans illusions, je continue dâinonder dâexemplaires les quelques Ă©diteurs, de moins en moins nombreux, Ă qui je nâai pas encore soumis la chose.
Un jour de neige, donc, en milieu dâaprĂšs-midi. Je viens de dĂ©poser un nouvel exemplaire â jâen ai fait photocopier une vingtaine, ça mâa coĂ»tĂ© pas mal dâargent, il faut dire que je suis fauchĂ© Ă cette Ă©poque â au siĂšge dâune maison dâĂ©dition plus ou moins disparue Ă ce jour, et dont le principal intĂ©rĂȘt consiste Ă rĂ©sider, rue de Fleurus, dans une maison quâa occupĂ©e Gertrude Stein. Jâen sors, je longe la rue de Fleurus vers le jardin du Luxembourg et je vois arriver Madeleine qui me dit que JĂ©rĂŽme Lindon a tĂ©lĂ©phonĂ© Ă la maison en fin de matinĂ©e, que mon manuscrit paraĂźt lâintĂ©resser, quâil souhaite que je lâappelle dĂšs que possible. Il est quatre heures de lâaprĂšs-midi. â
Jean Ăchenoz, JĂ©rĂŽme Lindon, Paris, Les Ăditions de Minuit, 2013, premiĂšres pages.
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Souvenir d'une belle soirĂ©e avec mon amie Thalie. @natalouschka â€â€â€ Une belle personne et une amie vĂ©ritable qui m'a a toujours comprise et aidĂ©. Thalie est auteure @thalie_perrot_auteure et son premier roman est disponible en version imprimĂ©e ou pdf sur Amazon et M.E.C Editions.
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Les héritiers du codex - premier roman.
Si tout se passe bien (sans doute la phrase la moins appropriée de cette année 2020), Les héritiers du codex, une aventure mexicaine inquiétante d'Inko Abikel, sera disponible au format Kindle et broché le 15 décembre prochain.
Inko Abikel est le cinquiĂšme enfant de la fratrie des Abikel qui en compte neuf. Il a la double particularitĂ© de porter bonheur Ă ceux qui l'emploie et d'avoir un frĂšre jumeau, Pierrick, ordonnĂ© prĂȘtre au sein de la CongrĂ©gation pour la doctrine de la foi â nom contemporain de la Sainte Inquisition.
Pour Pierrick, Inko doit la chance qu'il procure aux autres Ă un dĂ©mon qui le possĂšde. Il est bien dĂ©terminĂ© Ă exorciser son jumeau, avec ou sans son accord. Les deux frĂšres ne vivant pas sur le mĂȘme continent (Inko possĂšde une petite maison Ă Swakopmund, en Namibie, oĂč il thĂ©saurise sa collection de porte-bonheurs divers et variĂ©s, dont un morceau de la Vraie Croix, Ă ce qu'on raconte), les occasions d'organiser une telle cĂ©rĂ©monie sont rares.
Swakopmund par ElisabethBergman sur Flickr
Jusqu'à ce que le Vatican envoie Pierrick Abikel récupérer un ouvrage unique dérobé dans un monastÚre oublié de Tijuana par un trio de jeunes Bretons aidés par Inko.
â Je le crois possĂ©dĂ© par un dĂ©mon depuis lâadolescence. â Comme si le diable et le Bon Dieu sâĂ©taient partagĂ© les jumeaux Abikel, je connais votre⊠Un instant, le cardinal parut chercher le mot, comme sâil craignait de froisser Pierrick, ce qui Ă©tait invraisemblable. De Luca se fichait comme dâune guigne de heurter les sentiments de quiconque. Il combattait le Mal et cela suffisait Ă lui donner tous les droits. â Je connais votre interprĂ©tation personnelle de lâappel que Dieu vous a lancĂ© et auquel vous avez rĂ©pondu, formula-t-il. NâĂ©prouvez-vous pas une pointe dâorgueil Ă penser que lâĆuvre de Dieu qui vous concerne ait requis dâaccorder une part Ă©gale au diable ?
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Je suis fiĂšre de vous annoncer que mon premier roman sort le 2 septembre aux Editions Cambourakis !
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LES NOUILLES, disponible Ă la FNAC de la Gare Montparnasse.
ParticuliÚrement bien entouré ce jour-là , merci aux libraires !
#LesNouilles#FnacGareMontparnasse#PremierRoman#Houellebecq#BretEastonEllis#RoadBook#CeuxQuiMAimentMeLirontDansLeTrain
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Anne-Lise Avril a choisi de nous faire parcourir la planÚte dans un roman qui raconte la rencontre de deux reporters partis respectivement explorer les effets du réchauffement climatique et les populations des zones de guerre. Deux thÚmes forts, doublés d'un amour impossible. https://collectiondelivres.wordpress.com/2021/10/20/les-confluents/ #lesconfluents #AnneLiseAvril #editionsjulliard #hcdahlem #premierroman #RentréeLittéraire2021 #litteraturefrancaise #litteraturecontemporaine #ecologie #environnement https://www.instagram.com/p/CVPkGuEKrb3/?utm_medium=tumblr
#lesconfluents#anneliseavril#editionsjulliard#hcdahlem#premierroman#rentréelittéraire2021#litteraturefrancaise#litteraturecontemporaine#ecologie#environnement
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@editions_philippe_rey @paulsaintbris - L'allĂ©gement des vernis 20Ăšme prix pour un #premierroman paru en 2023. FĂ©licitations đ
déjà @PrixOrange 2023 trÚs remarqué.
#bookthreads #book #booksragram #bookstragram #bookrecommendations https://vagabondageautourdesoi.com/2023/07/31/paul-saint-bris/
#billet littéraire#chronique littéraire#chroniques littéraires#littérature contemporaine#littérature francaise#litterature contemporaine#littérature française#roman#bric à brac de culture#chronique livre
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illustration @laurevitaleÂ
âDans la coquille de noixâ, mon premier roman disponible sur librinova !Â
Un village, quelque part, une vallée endormie. Tout est calme. Tout est tranquille. Une jeune femme, un cahier, des aspirations... Et un suicide. Rocambolesque, ahurissant. Un suicide dans le village, dans la vallée endormie.
Tout Ă©tait calme. Et maintenant, la mort qui rode, la vieillesse apeurĂ©e, le talent frustrĂ© et la plume tarie. Dans le village Ă flanc de montagne, tout se bouscule, tout sâemballe. Et RĂ©jane, comĂ©dienne ratĂ©e, Ă©crivaine en attente, manque de... quelque chose - tellement de choses - lutte contre un voisinage envahissant, une campagne languissante et une mĂ©moire perverse, des souvenirs qui la torturent.
En prime, le foutu chat de la suicidĂ©e quâil faut garder. Entre flash-back incontrĂŽlĂ©s, canicule et pages vides, la jeune femme tente dâĂȘtre, dây ĂȘtre, de trouver oĂč aller. Un chemin Ă emprunter, faire fleurir le passĂ©. Le transcender. Mais rien ne semble se plier Ă sa volontĂ©. Au fil des pages, le lecteur suit lâĂ©volution (peut-ĂȘtre la dĂ©chĂ©ance) de RĂ©jane qui ne peut que se rendre Ă lâĂ©vidence cruelle de sa propre mĂ©diocritĂ©.
Ce roman, Dans la Coquille de noix, ne cherche pas Ă parler pas de... Il navigue, voyage, fabule, transforme et rejoue encore et toujours un passĂ© fantasmĂ©. Dans la Coquille de noix est une frĂȘle enveloppe, une embarcation de fortune et son personnage principal, anti- hĂ©roine Ă©puisĂ©e, est une personnalitĂ© sans aspĂ©ritĂ©, sans mystĂšre. Qui nâarrive Ă rien. Jamais. Ne fait rien. Jamais.
Extrait du journal de RĂ©jane :
« Jâaurais voulu parler de ceux qui nây arrivent pas. Pas quâils sont stupides, nâont pas de talent. Non, mais ils nây arrivent pas. Câest tout. Câest inĂ©vitable. Ils doivent ĂȘtre lĂ . Et se planter. Car, pour que certains rĂ©ussissent il en faut dâautres, tout autour, qui Ă©chouent. Car, pour que certains rĂ©ussissent il en faut dâautres, tout autour, qui Ă©chouent. Câest mathĂ©matique.
Au dehors, le dĂ©ferlement de bonheur, dâaccomplissement et de succĂšs. Ă la tĂ©lĂ©, la radio, les rĂ©seaux sociaux. On y Ă©chappe pas. Jâaurais voulu faire exister ceux qui ne peuvent pas. Ne savent pas oĂč aller, Ă qui parler. Ceux qui sont prisonniers de la rĂ©ussite des autres. »
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Bonsoir les amis ! Un nouveau extrait en BrĂšve de plume, des aventures de ma Juliette. Prenez soin de vous, de vos proches⊠Merci pour votre fidĂ©litĂ© Belle soirĂ©e Ă tous đ· Juliette #extraitlivre #extraitroman #ecrire #auteur #instalivre #livrestagram #livre #autrice #ecrivain #ecrirepourexister #roman #texte #extrait #auteurefrancaise #citation instacita #artistoninstagram #ecrivaine #ecrireunehistoire #premierroman #juliette_norel #ecriture #ecrits
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LOVICIDE / 2
   Bonjour vie placide ! Tu m'as placĂ©e Ă la tĂȘte de ton royaume, m'as couronnĂ©e sans prĂ©avis, sans rien me demander, pour finalement ne rien me laisser. Tes troupes, qu'en fais-tu si tu ne me laisses pas les commander ? Tu les avises de me dĂ©truire, hein ?    C'est un long dimanche. Quand papa nous amĂšne Ă l'Ă©glise, je me demande sincĂšrement ce qui lui passe par la tĂȘte. Pour quoi doit-il prier ? Sa rĂ©demption ? « PitiĂ©, seigneur JĂ©sus, ne m'emmĂšne pas en enfer » dĂ©bordant de pardon, de traĂźtrise et de pĂ©chĂ© ? C'est Ă Satan qu'il devrait implorer sa misĂ©ricorde. Le dimanche doit ĂȘtre le seul jour de la semaine oĂč je me sens rĂ©voltĂ©e, ce qui va totalement Ă l'encontre des valeurs chrĂ©tiennes. Il faut tendre l'autre joue, puis le cou, le torse, les bras, les jambes. On n'a plus que ses pieds, ensuite. Les pieds, on les vise rarement. Trop prĂšs du sol pour qu'on daigne les toucher, ils ne font que peu envie, tout ça parce qu'ils ne se tordent pas assez, ne traduisent pas la mĂȘme douleur que l'on peut percevoir Ă travers des jambes cassĂ©es ou des thorax pulsant sous l'infortune respiratoire. Les pieds, symboles de libertĂ© â conditionnelle.    S'il ne suffisait que d'eux pour marcher, je m'estimerais heureuse de ne pas avoir Ă les traĂźner comme deux cadavres. Les miens sont minuscules et recroquevillĂ©s, garantissent un pas si hĂ©sitant qu'ils ressemblent Ă des sĂ©raphins en pleurs. C'est la partie de mon corps que je regarde le plus souvent, que je connais et sens le mieux. J'ai passĂ© ma vie la tĂȘte baissĂ©e, dĂ©figurĂ©e au point de chasser les miroirs. Mes genoux aussi, je les connais bien. Et mes mains, seules les brĂ»lures causĂ©es par les frottements de moquette ou de bout de tapis les habitent. Elles ne sont Ă l'origine d'aucun miracle et je ne m'en sers mĂȘme pas pour pleurer.    Le dimanche, maman m'oblige Ă rester Ă la cuisine avec elle. C'est sa façon de me « protĂ©ger », Ă croire que son cerveau est fait pour se rĂ©volter, sortir de sa torpeur, une fois sur sept. Sept multipliĂ© par les mains, les regards, les mots, ça aboutit rapidement Ă des centaines. Mais en comptant autrement, on peut tout simplement affirmer qu'elle m'ignore six jours par semaine, feignant ne pas avoir percĂ© les supercheries de son incestueux mari. Lorsqu'il me force Ă aller au magasin, Ă monter dans sa vieille et dĂ©lavĂ©e Chevrolet pour se garer vers une usine dĂ©saffectĂ©e et me toucher, elle prĂ©texte la surditĂ©. Maman a un tympan crevĂ© et ne voit pas trĂšs bien. Ăa allĂšge sa conscience : elle commet le mal parce qu'elle l'a subi.    Elle n'est pas nĂ©e comme ça. Elle est victime de ses erreurs, tout comme je suis victime de ma naissance. Le contexte n'est en soi pas si diffĂ©rent, si les consĂ©quences sont les mĂȘmes. Je ne lui en veux pas particuliĂšrement mais elle a sans doute remarquĂ© la lassitude teintant mes pupilles de cet aspect vitreux, languide, d'oĂč ses faciles tentatives de rattrapage. Je fais semblant de m'en Ă©merveiller, lui donnant la suffisance qu'elle espĂšre en contrepartie.    Dimanche, je suis remontĂ©e. Je me l'autorise, m'extirpant de mon corps d'adolescente pour retrouver la fillette recouverte par une peau semblant capable de se rĂ©gĂ©nĂ©rer Ă l'infini. Je perce la carapace, la lui arrache et la contemple, nue, vulnĂ©rable et bien plus sensĂ©e. Je deviens un voisin, une maĂźtresse, une infirmiĂšre, et pense tout bas ce qu'ils ne savent pas dire tout haut : la pauvre. La pauvre petite, si malchanceuse, maigrichonne et enlaidie car malchanceuse, aux veines violettes. Dimanche, j'ai pitiĂ© de moi. C'est la seule pitiĂ© que le seigneur m'accorde, mon rĂ©pit et ma consolation dans ma propre dĂ©solation. Oui, bonjour vie placide. Je salue les bonheurs rĂ©servĂ©s Ă ma hauteur, Ă mon mĂštre cinquante-trois de compassion. Je savoure l'odeur du pain chaud, des fraises sauvages cueillies chez les voisins qui n'ont plus la force ni le courage d'appeler la police, le bruit de l'eau lapĂ©e par le chien. Je m'en dĂ©lecte, sage comme une image Ă l'affiche du dernier Playboy, souriante en dĂ©pit de la vue de sexes d'une impulsive arrogance. Dimanche, papa ne fait rien. Dimanche, j'ai le temps d'ĂȘtre Ă©nervĂ©e et de songer Ă l'incommoditĂ© de mes plaies ; d'en souffrir, d'en apprendre plus sur elles. Le reste de la semaine, je retourne les miroirs et tire les rideaux pour ne pas m'affronter, affreuse que je suis. J'Ă©vite de me laver, de sentir les lĂ©sions vaginales enfler sous la pression, aussi infime soit-elle, de mes doigts.    Mais le jour du seigneur, aprĂšs avoir avalĂ© l'hostie, j'ose. Je m'affronte et je murmure Ă ce corps dĂ©fraĂźchi : pauvre petite, qu'est-ce que t'as l'air triste. Puis je le lave, comme pour le bĂ©nir.
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