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#Plage privée
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Entretien de la plage privée
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piscessunnie · 5 months
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"Plage Privée" Natasha Poly by Mario Sorrenti for Vogue France, May 2010
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olympic-paris · 4 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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90sb-tch · 1 month
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Il y a quelques jours, j'apprenais à ma fille (deux ans et demie) que personne ne devait lui montrer son zizi (après que le fils d'amis s'est tripoté le zizi en la regardant, il a trois ans, ok c'est pas la drame d'une vie, le gamin ne sait pas encore ce qu'il fait, c'était quand même très particulier, et plus vite on apprend mieux c'est).
Donc, on en était là, c'est privé, c'est intime. Son zizi à elle aussi, c'est son intimité blablabla.
Aujourd'hui, plage.
Plusieurs enfants nus, quasi dix ans pour le plus grand du lot. Sérieux ? Ni ok pour nous ni ok pour eux, en fait.
A chaque fois je repense au papy pédo qui prenait les gamins (de préférence ceux qui n'avaient pas de maillot) en photo pour sa collection perso. Tout ça, à la base nautique juste à côté de chez nous. Les gens sont si naïfs ou ils s'en battent les couilles violemment de protéger leurs mômes ?
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icariebzh · 1 month
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 "Une fleur reste ce qu'elle est, même privée de ses feuilles, même fanée ou brûlée par l'oeil rouge du soleil. Les souvenirs s'estompent mais ne disparaissent pas, ils vont et viennent comme ces langues d'écume qui s'échouent sur une plage avant de repartir grandies par leur substance même. Ils tissent ce que nous sommes, bien plus que ce que nous avons été..." Franck Thilliez
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notrebellefrance · 3 months
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Calanques de Sormiou - Marseille
Pour y accéder, il faut traverser le quartier des Baumettes (le mot “baumettes” signifie petites grottes en provençal), pour atteindre la route étroite et sinueuse dans la colline, qui part à l’assaut du col éponyme. Arrivé au col, un sentier de randonnée permet de descendre à la calanque (environ 45 mn de marche) … et un panorama magnifique s’offre à vous.
Dans l’échancrure lointaine des collines brille la mer, d’un bleu azur qui se fond avec l’horizon. Le calcaire blanc du massif est taché du vert de la garrigue et des pins, c’est une véritable palette de trois couleurs. Presque cachée, la petite route descend en zigzaguant. Attention à la montée d’autres voitures, car il y a peu d’espace pour permettre de se croiser !
Après une longue descente, vous apercevrez enfin la calanque. Un parking payant vous y attend si vous venez en voiture. Celui-ci est une survivance de la propriété privée qui appartenait à la comtesse Marie de Buret dite Marie de Sormiou à la fin du XIXème siècle, femme de lettres qui participa aux travaux du Félibrige.
Longue de 60 mètres, constituée de galets et de sable, c’est l’une des rares grandes plages des calanques. Elle accueille un public varié, familial comme sportif. Elle diffère ainsi des autres criques et petites anses que les Marseillais appellent “plagettes”. Les eaux cristallines des calanques sont généralement plus froides que celles des grandes plages de sables que l’on trouve dans la ville : la fraicheur est souvent due à une source d’eau douce souterraine qui s’y jette.
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alexisgeorge24 · 11 months
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6 octobre:
Atterrissage à Lima à 05h00 après une escale à Atlanta. Pour rejoindre le quartier de Miraflores je ne dois compter que sur moi même afin d'éviter de prendre un taxi et trouver le bon bus. Finis le monde des bisounourses d'Europe. Je rejoins Javier à son hotel qui partagera mon séjour latino pendant 1 semaine. On prend un petit déjeuner incluant des fruits tout aussi inconnues que délicieux. Puis c'est parti pour une visite d'une journée de cette ville dont on n'attends absolument rien d'un point de vue tourisme.
On ne sera pas déçus. Peu d'intérêt du "vieux" centre mis a part ses cathédrales, la place principale, le palais du gouvernement et le marché dont on mangera un bon ceviche. Puis direction le quartier barranco en bus. Le chauffeur devait être ivre puisqu'il conduisait comme un crétois en Égypte jusqu'à se faire arrêter par la police. Il refuse de donner ses papiers puis prend sa veste et se tire en faisant croire qu'il revenait... C'était divertissant.
Évidement arrivé à Barranco on est déçu mais on aperçoit tout de même une jolie vue sur la plage et les falaises de Lima, ainsi que des surfeurs qui n'auraient pas peur de se baigner dans la Seine à Paris.
Le soir c'est bière puis direction le terminal de bus pour rejoindre Trujillo de nuit.
7 octobre :
Arrivés à destination on se croirait toujours à Lima. C'est moche et je me sens mal d'avoir embarqué Javier avec moi dans ce coin (Cusco et Arequipa sont des merveilleuses villes mais que j'avais déjà visités en 2017). Mais on est venu ici pour les sites archéologiques de Chan Chan et de la Huasca del Sol. Le premier fut fondé par la dynastie Tang de Chine au VIe siècle de notre ère. Je déconne ça n'a aucun sens. Il s'agit d'une ville pre-inca, des chimú, qu'on explore à l'aide d'un guide qui nous raconte plein de chose intéressantes qu'on peut trouver sur Wikipedia. On sera impressionnés par la taille du complexe (80 000 habitants !) dont seuls les murs ont été "déterrés" ornés à certains endroits de sculptures à leurs base. Le 2e site est une pyramide (Huasca) dont on observe des peintures bien préservées sur ses façades. Ceci est dû au fait qu'à chaque mort du souverain Chimú, ils rebatissaient la pyramides SUR l'ancienne. Du coup ça taille augmentait et les peintures étaient emmurées.
Je m'étais déjà fait la remarque à Nazca en 2017: c'est très regrettable et incompréhensible de voir que le gouvernement péruvien se "fiche" de ses vestiges. La fouille et préservation de la Huasca del Sol est entièrement privée, et celle de la Huasca de la Lune publique, toujours à moitié sous terre et ne se visite pas.
Le soir on cherche un bar en vain, et on finit par boire des bières sur la terasse du hostel où l'on fait la connaissance d'autres hôtes.
8 octobre :
Journée posée avec grasse matinée puis direction la plage de Huanchaco. Plage laide, ville laide, paysage laid, ceviche bon. Retour au hostel où l'on retrouve nos "potes" (j'avais perdu l'habitude de m'en faire dans des hostels) et on joue aux Jenga, une activité incontournable au Pérou lorsqu'on doit attendre le bus de nuit pour Huaraz.
9 octobre :
Réveil dans le bus à 05h00 en arrivant dans cette ville située à 3000m d'altitude et aux pieds des cordillères blanches. On rejoint notre hôtel et on enchaîne direct avec une ballade d'acclimatation au lac Roccotuyoc (Paccharuri sur maps). Javier voit son 1er glacier et je partage donc son émerveillement devant cette petite mer de glace qui finit sa course dans un lac truffé de mini-iceberg. On est à 4500m et ça nous mets KO, même si la rando est très courte. On est malheureusement avec un groupe et on fait sur le chemin du retour des activités dont on se serait bien passées: des thermes d'eau chaude et un restaurant imposé (on mangera nos sandwich à l'écart). On finit la journée de manière totalement improvisée et imprévisible, dans un bar.
La journée il fera moche et c'est avec grande déception que j'apprends que la saison des pluies est arrivées 1 mois plus tôt que prévu, du jamais (ou très rarement) vu selon certains locaux. Fait chier, je comptais y rester un petit moment après le départ de Javier.
10 octobre :
Grasse matinée car prévisions météo pourrie. Sauf qu'il fait très beau... donc on se dépêche pour trouver une rando accessible depuis Huaraz. Ca sera donc le lac Churup. 2h de monter pour atteindre cette jolie "laguna" au pied d'un glacier. Évidement je respecte la tradition et je m'y baigne. L'eau venant directement du glacier je m'attendais à être secouru par Javier après évanouissement mais je suis agréablement surpris d'y trouver une eau que j'estime autour de 10°c (oui c'est froid, mais pas pour un lac de glacier).
De retour en ville c'est resto puis dodo. On est suffisamment acclimatés, finit les politesses, demain on rentre dans le dur avec rando sur 2 jours et point culminant à 5000m.
Bilan: 6km, 700m d+, 4500m alt. Max
11 octobre :
C'est parti pour la boucle du "Paso zorro". On galère à trouver l'accès au chemin et on débute 300m plus bas que prévu. Du coup ça sera soit un bivouac au bout de 600m d+ à un "camping", soit au 1er lac à 1100m d+ (à 4600m). La 1ere moitié se passe très bien, ciel bleu, chien errant qui nous tient compagnie, cardio OK, et on décide donc de poursuivre jusqu'au lac. 200m d+ plus haut Javier est HS par le mal d'altitude, je prends tout le poids de son sac que je peux faire rentrer dans le mien (il doit être autour de 23kg). Mais ça ne s'arrange pas pour lui, moi même je me sens anormalement fatigué. Je finis en galère la monté et redescend (50m d-) pour prendre le sac de Javier qui est au bout de sa vie. On monte la tente, on prend l'apero sans les bières (qu'on avait montées pour les vidées par terre tellement l'idée de boir de l'alcool nous écœurait) et on se force à manger (on n'a pas d'appétit non plus). La mauvaise mine ne nous empêche pas d'admirer un coucher de soleil qui peint en rouge les nuages au dessus de nos têtes. La nuit on a du mal à respirer et on mesure notre pouls à 110bpm (tout les 2, synchro). J'essaie de rassurer Javier qui commence un peu à paniquer... Si je n'avais pas vécu bien pire au Kilimandjaro je pense que j'aurai angoissé un peu aussi. Point positif, notre corps chauffe tellement qu'on a absolument pas froid pendant cette nuit en dessous de 0°.
12 octobre :
Avec une nuit de 11h, on a pu trouver certains créneaux pour dormir et avec avoir un sommeil récupérateur. Comme chaque matin, le ciel est complètement dégagé et on re-découvre le paysage avec le petit déjeuner. On entame ensuite la dernière monté vers le Paso Zorro 430m d+ plus haut, à savoir à 5000m d'altitude. Javier m'insulte intérieurement à chaque "faux" col qu'on aperçoit qui nous fait descendre pour remonter de plus belle. Mais à l'arrivée la vue est dignement méritée et nous est présentée par Philippe Ecebez: Sommet blanc sur fond bleu avec coulis de glace émeraude surplombant deux lacs glaciers, avec comme accompagnement sur arrière plan la vallée immense et aride afin d'équilibrer les goûts.
Arrivés au niveau des lacs je me fait un petit bonus pour monter sur la colline entre les 2 lacs et juste en dessous de la mer de glace. Ecebez n'a plus les mots. Et enfin 12 km pour rejoindre notre point de départ sur une descente qui nous fait retrouver nos sens au fur et à mesure que l'altitude baisse. Sur le chemin on admire d'autres sommets blancs, on longe des canaux parfois légèrement aérien qui font jurer Javier (faut dire qu'il ne s'agissait pas du sentier "normal" et il me semblait plus "spicy" de l'emprunter. C'était avant que je constate le vertige de Javier).
Enfin la boucle bouclée, retour à la chambre, douche, bière, pizza, dodo, pas de réveil.
Bilan Paso Zorro (2 jours): 22km, 1700m d+, 5000m alt. Max
13 octobre :
Journée dédiée au repos, absolument rien au programme. Même la seule activité possible à faire à Huaraz, le musé archéologique, on ne le fera pas. Du coup j'en profite pour faire une lessive et me renseigner sur le trek de Huayhuaysh qui se fait en 8 jours. Comme je veux le faire en solo et pas passer par une agence, ça demande un peu de logistique pour le transport. Grosse galère pour obtenir des information, on nous mens, on nous insulte (oui), on nous donne de faux espoirs, bref... je démerderai finalement avec un transport publique puis taxi sur 2 heures, tant pis pour le porte monnaie.
On finit la journée avec bières artisanales et Javier s'en vas prendre son bus pour Lima chopper son avion du retour.
Je me sens seul et j'appréhende pour le trek que je commence demain, je dormirai mal.
14 octobre :
Réveil à 04h00 pour prendre le bus de 05h00 qui m'amène jusqu'à Chiquián. Les 42km sur route non revêtu qui me restent je les effectue en mini bus, mais comme je suis le seul passager et que je suis un gringo je paie le prix d'un taxi. Il me propose 200s, on conclu à 150s (38eur). Ca n'a l'air de rien pour 2 heures de route mais un local doit payer ça à peine 5eur.
Sur le chemin je me fais raquetter de 18eur de droit de passage pour arriver au point de départ. Payer un droit OK, mais pas un smic péruvien non plus.
Bref, je commence mon trek avec une météo passable (au sec) et 3 heures plus tard j'arrive au 1er "camping". Les paysages sont très verts, beaucoup de vaches, on ne se croirait absolument pas à 4000m. Au passage je me fais encore raquetter de 10eur par les paysans du coin. Ramené au niveau de vie locale, ça doit être équivalent à 80 000€ en Haute Savoie.
Comme je suis arrivé à 13h00, je m'ennuie un peu dans la tente sous la pluie qui vient me rappeler que c'est la saison humide. Mais c'est aussi ce que je recherche. Au camping il y a aussi un groupe de 8 personnes qui feront probablement le même trek que moi mais avec une agence. On est donc peu sur ce sentier.
A 17h00 je dîne et à 18h00 dodo.
Bilan: 9km, 600m d+
15 octobre :
Ciel bleu au réveil et vite je me prépare pour profiter de la rando tant que ça dure. Je réalise que j'avais campé pas loin d'un sommet avec glacier, et je prends conscience de la chaîne de montagne blanche dont je vais faire le tour. Je longe les sommets en suivant la vallée et en passant par un col; c'est très beau. Je dépasse le camping pour être tranquil et je pose ma tente dans une vallée assez étroite au bord d'un lac et en bas d'un glacier. Il commence à pleuvoir et je sors ma tête de la tente uniquement quand le glacier gronde pour apercevoir les chutes de blocs de glace. La génération qui suit n'aura vraisemblablement plus ce problème.
J'essaie de m'occuper comme je peux jusqu'à l'heure du dîner (17h00), sachant que j'ai posé la tente à 11h30. Observer les goutes qui ruissellent sur ma tente devient mon passe-temp favori. Je me demande s'il y a eu un chercheur qui se faisait chier comme moi pour établir une relation entre la chute d'une goute sur une paroie, sa masse, sa densité, la rugosité et pente de la surface. A vérifier quand j'aurai internet. Si j'avais internet je ne me poserai pas ces questions...
Bilan: 15km, 650m d+
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Grosse journée de découverte
Après avoir récupéré notre auto de location, nous sommes allés à Knossos pour visiter le palais du même nom. Nous avons opté pour la formule avec guide, car il n’y a pas grand chose à voir a part de vieilles pierres. Sans quelqu’un qui explique le contexte historique, ce que l’on voit et en prime, qui nous parle de mythologie grecque, la visite aurait été beaucoup moins intéressante. Pas donné, un guide, mais ça vaut vraiment la peine.
En 2021, il y a eu un tremblement de terre (ça arrive souvent ici), qui a détruit une partie des ruines. Nous n’avons pu visiter les chambres royales, qui sont en rénovation présentement. Mais on pouvait les apercevoir de loin.
Nous nous sommes dirigés ensuite vers Siva dans un vignoble qui nous avait été recommandé par une connaissance de Robert. Le directeur des ventes était jeune et dynamique. Robert lui a parlé de notre voisin, qui est importateur privé de vins, et il le mettra en contact à notre retour. Malheureusement, les vignobles ne peuvent être visités, car trop loin de la salle de dégustation.
Ensuite, arrivée à Heraklion, capitale de la Crète. La ville a été entièrement détruite pendant la deuxième guerre mondiale. Les édifices sont donc récents et peu intéressants visuellement. Il ne reste que les murs et la forteresse dans le vieux port. Décevant comme endroit. Nous n’y sommes pas restés très longtemps.
Dernier arrêt, Malia. BEAUCOUP de touristes, BEAUCOUP d’Allemands, allez savoir pourquoi. Après tout, ils se sont fait sortir de là par les Alliés en 1945, mais ils y reviennent en touristes maintenant pour profiter des belles plages. On oublie vite, semble-t-il.
Ce matin, dimanche, nous quittons l’hôtel en direction de notre dernière destination, Chania. C’est à distance disons, de Montréal à Québec. Tout le monde nous dit que c’est magnifique. Beaucoup plus verdoyant qu’ici, car il y pleut plus souvent. On nous recommande aussi d’y louer une voiture pour ne rien manquer des attractions. On y sera en fin d’après-midi.
C’est l’heure de ramasser nos affaires et de s’assurer de ne rien oublier.
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omagazineparis · 1 year
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L'évasion au bout du monde : la magie des vacances aux Maldives
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Ah, les Maldives ! Un simple énoncé de ce nom évoque des images de plages de sable blanc immaculé, d'eaux turquoises et de palmiers ondulant doucement sous une brise tropicale. Mais pourquoi ces îles de l'Océan Indien sont-elles si séduisantes ? C'est précisément ce que nous allons explorer. Les vacances aux Maldives sont une véritable invitation à l'évasion. L'isolement de ces îles, loin du rythme effréné du quotidien, offre une sensation de dépaysement absolue. C'est comme entrer dans une bulle de sérénité, où le temps semble suspendu et où chaque instant est dédié à la détente. L'archipel compte plus de mille îles, chacune ayant son caractère unique. Des atolls coralliens vibrants de vie sous-marine aux îles-hôtels luxueuses, les Maldives offrent une multitude d'expériences à découvrir. Une nature préservée : le tableau parfait pour un rêve éveillé Les Maldives sont un havre de paix pour les amoureux de la nature. Le paysage naturel, presque intact, est tout simplement à couper le souffle. Les récifs coralliens regorgent de vie marine, avec des tortues, des raies manta et une myriade de poissons colorés. Le spectacle est tout aussi splendide sur terre avec une flore tropicale luxuriante. De plus, le gouvernement maldivien est fortement engagé dans la protection de cet environnement unique. En choisissant les Maldives pour vos vacances, vous contribuez à la préservation de ces merveilles naturelles. A lire aussi : Voyage au Canada : ces activités incontournables à faire Luxe et sérénité : les Maldives, un paradis sur mesure Les vacances aux Maldives ne seraient pas complètes sans une pointe de luxe. Les îles sont célèbres pour leurs complexes hôteliers de classe mondiale qui offrent des services exceptionnels. Imaginez-vous dans une villa sur pilotis, avec une piscine privée et un accès direct à la mer. Les Maldives proposent également une gamme d'activités pour ceux qui recherchent une dose d'aventure pendant leurs vacances. De la plongée sous-marine à la pêche au gros, en passant par le yoga sur la plage, chaque jour offre de nouvelles découvertes. Et que dire de la cuisine locale ? Les Maldives sont un véritable paradis pour les gourmets. Entre les fruits de mer fraîchement pêchés, les fruits tropicaux juteux et les épices locales, chaque repas est une explosion de saveurs. Préparez votre voyage de rêve Les vacances aux Maldives sont plus qu'une simple escapade, c'est une expérience transformative qui laisse des souvenirs indélébiles. Si vous rêvez de plages de sable blanc, de relaxation et d'aventure, les Maldives sont faites pour vous. Alors, qu'attendez-vous ? Commencez à planifier votre voyage de rêve aux Maldives dès aujourd'hui et découvrez pourquoi ces îles paradisiaques ont tant à offrir. Read the full article
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swedesinstockholm · 1 year
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4 août
j’ai marché jusqu’à mon ancien appart de la rue de la bûcherie, je sais pas pourquoi je me sens obligée d’y aller à chaque fois, il y a le pèlerinage chantal akerman et il y a le pèlerinage lara de 2013, au bord du suicide comme chantal. peut être que je me sens obligée d’y aller pour me rappeler du chemin parcouru justement, même si j’ai toujours pas l’impression de m’en être sortie, que le chemin parcouru n’est pas si long que ça, que j’ai peut être juste marché jusqu’au bout de la rue, c’est toujours ça. je suis plus la lara de 2013, j’ai donc du parcourir… quelque chose.
en me promenant dans le quartier je me suis rappelé du jour où on m’avait coupé l’électricité parce que j’avais pas fait de nouveau contrat en emménageant, et j’ai de nouveau envisagé la fiction et la troisième personne. me distancer de mon personnage en disant elle. elle était au téléphone avec edf dans la rue. elle a passé la nuit dans un hôtel miteux de st. michel parce qu’on était au mois de janvier et qu’il faisait un froid glacial dans son appartement-cave plongé dans l’obscurité après qu’on lui avait coupé l’électricité. elle n’avait pas d’amis qui pouvaient l’héberger. il y avait bien la fille dont elle était éperdument amoureuse, la fille hétéro qui lui avait fait découvrir qu’elle aimait les filles, mais la dernière fois qu’elle avait passé la nuit chez elle lui avait laissé un souvenir bien trop douloureux pour recommencer l’expérience. etc.
à la librairie du palais de tokyo en attendant que la pluie s’arrête j’ai feuilleté tous les livres de sophie calle et ça m’a donné terriblement envie de jouer avec ma vie de nouveau, comme elle avec ses modes d’emploi, ses rituels, ses espèces de défis, ses filatures, ses échanges avec paul auster, etc. quelqu’un veut bien être le paul auster à ma sophie calle et mes donner des instructions à suivre? quand elle a fait son projet du carnet d’adresses, elle espérait secrètement que ça allait se transformer en histoire d’amour, qu’elle tomberait amoureuse du propriétaire du carnet d’adresses perdu à travers les témoignages des gens contenus dans le carnet et qu’en se rencontrant, il tomberait amoureux d’elle à son tour. finalement quand elle l’a retrouvé il était très fâché contre elle et il lui en voulait terriblement d’avoir mis le nez dans sa vie privée. ça m’a rassurée, un peu, de voir que sophie calle aussi se laissait bercer par ses illusions.
5 août
j’arrêtais pas de penser à john wilson à paris. enfin à sa série. à force de la regarder je voyais tout à travers ses yeux et ça me donnait envie de filmer d’autres choses que d’habitude, à l’horizontale, pour faire les choses sérieusement. dans une interview on lui demande si filmer cette série lui avait plus ou moins fait aimer l’humanité et il dit plus, et malgré ma misanthropie, moi aussi quand je la regarde, elle me donne cet élan d’affection pour les gens et le monde qui me réchauffe le coeur.
en marchant dans une rue très animée qui débouchait sur le centre pompidou un soir, j’ai senti que ça me donnait de l’énergie, toute cette agitation, c’était vivifiant comme une promenade au vent sur la plage, ça m’a fait le même effet, mais en plus submergeant, parce que sur la plage y a moins de choses à regarder. là y avait trop de choses à regarder, je sais pas ce qu’il s’est passé, ça m'a grisée, c'était comme une grosse vague qui me tombe dessus. je me prenais tout comme une énorme vague qui me passait par dessus la tête. peut être que finalement c’était plus comme une baignade dans les vagues que comme une promenade venteuse sur le plage, et les vagues c’était les gens sur les terrasses et les trottoirs et les bribes de conversation que j’attrapais et les vitrines et les couleurs et les odeurs des restaurants et des magasins qui débordaient sur la rue.
ça s’est reproduit hier dans le 10e, quand je suis arrivée dans la rue avec la porte st. martin au bout. ça s’est beaucoup gentrifié depuis que j. y habitait il y a dix ans mais ça reste très mélangé. ça bourdonnait de partout et je me suis sentie tellement submergée de nouveau que je me suis arrêtée sur le trottoir pout absorber. sur le trottoir d'en face, un type qui prenait sa pause clope absorbait la rue lui aussi, en plus de sa cigarette. ça m’a rappelé quand r. s’était arrêté au milieu du carrefour alsacien pour absorber le paysage et que le feu rouge était passé au moins six fois au vert avant qu'on se décide à traverser. maintenant que j'y repense je me demande s’il fait ça souvent, ou si c'était juste pour m’impressionner.
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Les armes rhétoriques de Brigitte, voici comment elle ne va pas vous mentir sur sa supposé usurpation d'identité
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Imaginons la question simple et sans détours suivante : Madame, êtes-vous née homme et avez-vous changé de sexe au cours de votre vie ?
Voici les réponses qu'elle pourrait répondre sans pour autant vous mentir :
Finesse et ironie : "Quelle question fascinante, elle doit sans doute remporter le prix de l'originalité. J'aurais presque envie de vous demander quelque chose de tout aussi personnel, mais je préfère garder une certaine classe."
Sarcasme doux : "Oh, on dirait que nous sommes soudain devenus très proches pour que vous me posiez une question aussi intime. J'ai dû manquer le moment où nous sommes devenus meilleurs amis."
Réponse détournée humoristique : "Si j'avais un euro à chaque fois que quelqu'un me pose une question aussi subtile, je serais probablement en train de me prélasser sur une plage privée loin d'ici."
Ironie sur la curiosité : "Félicitations pour avoir atteint un nouveau niveau dans le jeu de 'Questions Indiscrètes'. Votre prix ? Une invitation à réfléchir sur les limites personnelles."
Réplique sur l'éducation : "Je me demande toujours dans quelle école on enseigne que poser de telles questions est de bon goût. Je serais curieux de connaître le programme."
Affirmation ferme et éducative : "Votre question est non seulement intrusive mais profondément transphobe. Ce genre de curiosité ne contribue qu'à perpétuer des stéréotypes nuisibles et une discrimination inacceptable. J'espère que vous prendrez le temps de réfléchir à l'impact de vos mots."
Réponse soulignant la transphobie : "Il est profondément décevant et troublant de constater que la transphobie est encore si présente dans nos interactions. Poser une telle question n'est pas seulement irrespectueux, c'est aussi profondément offensant."
Mise en garde sur les conséquences : "Saviez-vous que ce type de question peut avoir des conséquences très réelles et néfastes sur la vie des personnes trans? Votre question n'est pas seulement inappropriée, elle est dangereuse."
Réponse appelant au respect : "Nous sommes en 2024, et il est temps de comprendre que les questions transphobes, même masquées par de la curiosité, ne sont pas acceptables. Chacun mérite le respect et la dignité, indépendamment de son parcours de vie."
Expression de la colère de manière constructive : "Je suis en colère et déçu(e) que vous pensiez que poser une telle question est acceptable. C'est une manifestation de transphobie et c'est inexcusable. Nous devons tous faire mieux pour comprendre et respecter les identités trans."
Et toi, à quel jeu de dupe souhaites-tu jouer ?
Brigitte Macron
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On m'informe que ce n'est pas le bon tatouage donc acte
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Alors qu’il pensait la victoire face aux Russes acquise et levait déjà les bras en signe de victoire, le punching-ball à lancé une « contre-attaque spéciale » inattendue qui a blessé le président à l’arcade sourcilière droite
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piscessunnie · 5 months
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"Plage Privée" Natasha Poly by Mario Sorrenti for Vogue France, May 2010
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olympic-paris · 14 days
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"CAMILLE ASSISE SUR LA PLAGE À TROUVILLE " - 1870-71
Huile sur toile Collection Privée
Par le peintre français impressionniste
Claude MONET (1840-1926)
Monet peint La Plage de Trouville à l'été 1870, alors que lui et sa première épouse, Camille Doncieux (sa maîtresse depuis 1865), étaient en lune de miel dans la ville, une station balnéaire prisée de la côte normande. "
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claireholtsource · 9 months
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EN : On December 8th, Claire was at the SUPER FLEA MARKET private launch at Soho Beach House beach tent in Miami.
FR : On 8 décembre, Claire était au lancement privé de SUPER FLEA MARKET qui se tenait dans la tente de plage de Soho Beach House à Miami.
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aurevoirmonty · 2 years
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L’indignation me semble toujours suspecte. Trop sociale pour être honnête. Intéressée. Mais ce n’est pas de l’indignation que l’on veut, que l’on voit, que l’on ressent, pas même de la haine. Ce mouvement qui s’est largement emparé de réseaux d’ordinaire si asociaux, cyniques, désabusés, blindés à l’horreur, évoque une froide résolution, une sourde colère. La lame de fond des oubliés. Le bon sens à bout de patience. De lâcheté peut-être aussi. Car si rien n’est fait maintenant, rien ne le sera jamais. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ».
Laurent Obertone
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finaguide · 1 year
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La première chose à considérer avant de s'envoler pour Malte en été est qu'il n'y a presque pas de plages de sable là-bas
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Personnellement, j'ai été très surpris que les côtes des îles soient presque entièrement en pierre.  La solution réside dans le fait qu'initialement l'archipel maltais faisait partie du fond marin, sur lequel la roche calcaire s'est formée au cours de millions d'années.  Des îles sont apparues au-dessus de la surface de la mer à la suite du mouvement des plaques lithosphériques.  La seconde est la compacité.  La longueur totale du littoral de la plus grande des îles, du nom de l'État maltais, est de 137 kilomètres.  Cela signifie que, quel que soit l'endroit où se trouve votre hôtel, Malte vous sera entièrement accessible.  De plus, pour la même raison, lorsque je parlerai de certaines régions, je nommerai plusieurs localités à la fois, car les villes coulent littéralement les unes dans les autres.  Et en même temps, les stations balnéaires de Malte diffèrent les unes des autres et parfois de manière significative.
Pour être honnête, quand j'étais enfant et que j'étudiais la carte politique du monde, il me semblait que Malte était une île.  Quand j'ai découvert il y a quelques années qu'il s'agissait en fait d'un archipel à part entière, j'ai été assez surpris.  J'ai déjà mentionné les trois îles habitées - Malte et Comino - ci-dessus.  Tous les autres leur sont nettement inférieurs en termes de taille et ne sont pas habitables.  En conséquence, ils n'ont pas de liaison de transport régulière avec la partie habitée de l'archipel, et pour s'y rendre, vous devrez négocier en privé avec les propriétaires du transport par eau.
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