#Nargol

[ghelgheli]

The Stuff I Read in October 2023

Stuff I Extra Liked is Bold

Books

Women with Mustaches and Men without Beards, Afsaneh Najmabadi

Network Effect, Martha Wells

Fugitive Telemetry, Martha Wells

Gateway, Frederik Pohl

A Call to Arms: Iran's Marxist Revolutionaries, Ali Rahnema

Manga (mostly yuri)

Aoi Hana / Blue Flowers, Takako Shimura

Kekkon Aite no Jouken ni Perfect datta no wa Shokuba no Kouhai Joshi deshita / Mr. Right Turned Out To Be A Younger Woman, Kozumi Miura

Tokidoki kaette kuru on'na tomodachi no hanashi / My Lady Friend Who Visits Now and Again, Sumiko Arai

She Loves to Cook and She Loves to Eat Vol 3, Sakaomi Yuzaki

Double House, Nanae Haruno

Fujouri na Atashitachi / An Absurd Relationship, Jin Takemiya

The Girls' Arcadia, Yatosaki Haru

Recipe for Arcadia, Yatosaki Haru

Short Fiction (all SF)

17776, Jon Bois [link]

The Merchants of Venus, Frederik Pohl

The Merchants of Venus, A. H. Phelps Jr.

The Erasure Game, Yoon Ha Lee

Compulsory, Martha Wells

Obsolescence, Martha Wells

Home: Habitat, Range, Niche, Territory, Martha Wells

The Shoe Shop Jinn, Sakina Hassan [link]

Earth-747, Saud Ahmed [link]

Communism, History, Politics

The Palestinian Left Will Not Be Hijacked – A Critique of Palestine: A Socialist Introduction - Viewpoint Magazine, Samar Al-Saleh & L.K. [Viewpoint Magazine]

The Algerian War: Cause Célèbre of Anticolonialism, Malika Rahal [JSTOR]

Socialism for the Welsh People, Gareth Miles & Robert Griffiths

Soviet time capsules: messages from the past with lessons to teach us in 2017, Sasha Raspopina [New East Archive]

No Human Being Can Exist, Saree Makdisi [n+1]

The Other Nuremberg Trials, Seventy-Five Years On, Erica X Eisen [Boston Review]

The 1932 Harvest and the Famine of 1933, Mark B. Tauger [JSTOR]

Political Islam in the Service of Imperialism, Samir Amin [link]

Dismantle the ADL [link]

Women and Men, Cloth and Colonization: The Transformation of Production-Distribution Relations among the Baule, Mona Etienne [JSTOR]

Iranica

The Defender: Waiting for the revolution in Tehran, Nargol Aran [Point Magazine]

Divided by a Common Tongue: Exclusionary Politics of Persian-Language Pedagogy, Aria Fani [link]

The Necessity of Armed Struggle and Refutation of the Theory of ��Survival”, Amir Parviz Pooyaan [pdf on marxists dot org]

Queer Stuff/Feminism (broadly construed)

Cultural Feminism: Feminist Capitalism and the Anti-Pornography Movement, Alice Echols [JSTOR]

Against the "Prison/Psychiatric State": Anti-violence Feminisms and the Politics of Confinement in the 1970s, Emily Thuma [JSTOR]

"Some Could Suckle over Their Shoulder": Male Travelers, Female Bodies, and the Gendering of Racial Ideology, 1500-1770, Jennifer L. Morgan [JSTOR]

Collective Memory and the Transfeminist 1970s: Toward a Less Plausible History, Finn Enke [DOI]

Racial-Class Paternalism and the Trojan Horse of Anti-transmasculinity, Nsámbu Za Suékama [Medium]

Trans Misogyny in the Colonial Archive: Re-Membering Trans Feminine Life and Death in New Spain, 1604–1821, Jamey Jesperson [DOI]

Other

The Establishment of Scientific Semantics, Rudolf Carnap

On What There Is, Willard V. Quine [JSTOR]

On the Ancestral Plane: Crip Hand Me Downs and the Legacy of Our Movements, Stacey Milbern [link]

Megastructures, Superweapons and Global Architectures in Science Fiction Computer Games, Mark R. Johnson [link]

[frenchdrarry]

C’était son anniversaire. Il avait 25 ans.

25 ans.

25 ans.

Harry capta ses propres prunelles vertes dans la vitre et s’en détourna vivement. Il le vivait mal. Pourtant, sa vie allait de mieux en mieux. Après avoir été viré de chez les Dursley à ses 18 ans, il avait logé de canapé en canapé jusqu’à trouver un vieux studio miteux à louer. Il avait accumulé les jobs pour pouvoir payer son loyer sans foutre en l’air toutes les économies de ses précédents jobs d’été.

Il y a trois ans, il avait été embauché à temps complet chez Flowersgood grâce à la bonté de Luna, la fille de la fleuriste qu’il avait plusieurs fois aidé à retrouver son chemin quand elle se retrouvait invariablement dans la station-essence où il travaillait.

Il avait toujours son studio miteux, mais il allait mieux. Il arrivait même à épargner un peu plus grâce à son salaire d’employé à temps complet. Il avait des horaires fixes. Il ne bossait plus la nuit.

Alors…alors pourquoi se sentait-il si pathétique ?

Parce que tu n’as rien fait de ta vie et que tu mourras sans jamais avoir rien fait de ta vie, seul, dans ce stupide studio.

Harry serra les dents et déplaça la table mouvante pour finir de nettoyer le sol. Peu importe le nombre de fois qu’il passait le balai, l’endroit serait toujours sale à cause des allées et venues des clients, du terreau, de l’eau qui gouttait par terre quand il composait un bouquet et d’une cinquante d’autres facteurs. Tante Pétunia s’en arrachait les cheveux. Ou lui arracherait les cheveux.

Pourquoi tu penses toujours à elle ? T’es incapable de passer à autre chose alors que t’as tout pour faire. Pitoyable.

Harry essaya de remplacer ses pensées vicieuses par la voix de Luna. « C’est normal d’être toujours infesté par les Nargoles. C’est comme les pucerons. C’est difficile à faire partir. »

Elle avait évidemment oublié son anniversaire. Elle lui souhaitait tous les ans à des dates aléatoires et Harry ne la corrigeait jamais. Il ne savait pas si elle le savait ou non. Il ne savait pas non plus s’il lui avait déjà dit. Peu lui importait. Il n’avait jamais souhaité son anniversaire. Jamais avec les Dursley, jamais avec ses amis une fois ses 18 ans révolus. Déjà, car il avait peu d’amis. Ensuite, car il n’avait pas les moyens. Et que ce serait gênant, de toute façon. Il n’avait jamais été invité à des anniversaires, sauf ceux de Hermione et Ron, mais c’était au lycée et il n’avait jamais pu accepter car il n’avait rien à offrir et que les Dursley avaient toujours refusé qu’il y aille. Son seul point de référence était ceux de Dudley, mais il n’était pas vraiment sûr que ce soit fiable. Tout est toujours démesuré avec eux. En bref, il ne savait même pas comment se fêtait un anniversaire. Il a toujours été seul, à se le souhaiter à lui-même.

Il ne savait même pas pourquoi il maintenait cette tradition. Avant, il luttait pour ne pas s’endormir avant minuit et se le souhaiter. Ensuite, c’était simple, puisqu’il n’avait jamais sommeil avant minuit…et qu’une partie de lui adore fixer l’aiguille se déplacer de minute en minute jusqu’à l’heure fatidique. Il se disait qu’il avait vécu une année de plus. Pourquoi ? Il ne savait pas. Il aimait vivre, malgré tout. Il aimait vivre pour l’adrénaline d’une figure réussie au skateboard, pour la couleur et l’odeur des fleurs, pour les sourires qu’il recevait quand il aidait les gens, pour les heures passées à fixer les étoiles, pour les dessins qu’il esquissait sur son unique carnet. Des dessins au crayon de papier, qu’il gommait ensuite pour pouvoir continuer à dessiner. Il ne pouvait pas racheter un autre carnet. Il aimait vivre pour l’étrange sensation de devoir gommer quelque chose dont il était fier. Des dessins que personne ne voyait jamais, sauf lui. Et Luna, parfois. Elle lui avait offert un vrai carnet à dessin, qu’il avait véhément refusé avant qu’elle ne lui ordonne de le lui rendre plus tard pour qu’elle puisse coloré ses œuvres. Luna aimait peindre. Du coup, le carnet était principalement recouvert de fleurs. Harry aimait les dessiner, de toute façon.

En fait, il adorait son travail. Fleuriste. Il était fleuriste depuis trois ans. Harry remit correctement la table, vérifia les boutures et parti du côté des compositions pour compléter celles du jour. Il aimait les fleurs d’été. Tout était coloré, vivant. Il avait passé son enfance à entretenir le prix du jardin le plus joli du quartier et il avait aimé ça. Il aimait avoir les mains dans la terre. Même assoiffé, à deux doigts de la déshydratation sous le soleil de plomb inévitable du 31 juillet, il aimait entretenir les plantes de Pétunia.

Et aujourd’hui, il était toujours en train de s’occuper de plantes, même s’il n’y avait plus Pétunia pour le lui ordonner. La boutique était fraîche, elle sentait l’humidité, le terreau, la rose et le jasmin. Ces deux dernières odeurs variaient en fonction d’où il se tenait dans la boutique, mais jamais les deux premières. C’étaient ses préférées. Il aimait l’odeur de la terre humide.

Le carillon retentit dans la boutique et Harry releva les yeux, un léger sourire aux lèvres, essayant d’apercevoir le ou la cliente.

—Bonjour ! lança-t-il à la cantonade.

Il aperçut un éclat d’or entre les étagères de dahlias et la voix familière se fit entendre en réponse :

—Bonjour.

L’héritier Malfoy. Harry sourit franchement tout en se reconcentrant sur son bouquet.

—Draco, quelle bonne surprise. Comment vas-tu ?

—Bien. Et toi ?

Harry essaya vaillamment de cacher l’éclat d’angoisse que lui causait cette question. Allait-il bien ? Non. Pourquoi ? Parce que tu ne te contentes pas de ce que tu as. Tu veux toujours plus alors que tu devrais être reconnaissant de ne pas être à la rue.

—Ça va, merci. Alors, quelle sorte de bouquet voudrais-tu aujourd’hui ?

Draco Malfoy était un client régulier. Il était presque hebdomadairement invité à un repas d’affaire ou à des dîners mondains pour lesquels il apportait systématiquement des fleurs. Harry appréciait le blond, même si au premier abord, il l’avait immédiatement détesté. Mais, bien que riche et détestable, Draco était surtout perpétuellement élégant, possédait une capacité d’observation qui le laissait parfois coi, ne redemandait jamais à refaire le bouquet et avait un esprit vif et taquin qui stimulait beaucoup Harry. Leur échange sarcastique faisait sourire plus d’un client à portée d’oreilles.

—Repas de famille. Quelque chose d’exubérant, coloré, bien garni. T’as pas l’air d’aller bien.

Pris au dépourvu, Harry se figea et jeta un coup d’œil à l’héritier. Draco Malfoy le fixait. Ses yeux ressemblaient à de l’argent en fusion et sa pâle figure ne trahissait rien.

—Si, si. Bien garni. Exubérant. Ta mère ?

Harry se dépêcha de tirer un noeud dont la boîte était dissimulée derrière un ficus et le disposa dans un vase. Des bouquets déjà prêts pour les plus pressés. Draco Malfoy ne l’était jamais. Enfin, apparemment, il avait cessé de l’être. Parfois, Luna souriait et disait que grâce à Harry, beaucoup de clients avait cessé d’être pressé. La mère de Luna avait une fois plaisanté en disant que Harry était la plus belle fleur de la boutique. Harry en rougissait encore.

—Oui, ma mère. Tu sais bien qu’elle aime les énormes bouquets car…

—Elle peut les mettre dans son énorme vase et le bouquet devient la pièce maîtresse de sa table, termina Harry avec Malfoy.

Celui-ci, un éclair de surprise au fond des yeux, eu un sourire discret. Harry aimait le voir sourire. C’était rare. Ses yeux pouvaient parfois revêtir l’éclat d’un certain amusement, mais ses lèvres suivaient rarement. Son visage semblait figé dans du marbre.

—Je vois que je me répète souvent. Ma conversation ne doit pas être très agréable.

—Non, en effet. Tu es l’un de mes clients les plus ennuyants.

—Je ne suis pas sûr que ce soit une chose qui se dise à un client aussi fidèle que moi. J’aimerais parler à votre patron.

—La patronne est absente. Je peux transmettre le message, si vous voulez.

—Oui. Dites-lui que vous êtes le vendeur le plus impoli que je n’ai jamais rencontré et que je souhaite votre renvoi dans les plus brefs délais.

—Et si elle ne me renvoie pas ?

—Je rachète la boutique pour pouvoir te virer.

—Tant d’honneurs me ferait presque rougir, Monsieur Malfoy.

—Rien de moins que ce que vous méritez, Monsieur Potter.

Harry avait toujours l’impression que cela finissait comme ça : par un flirt. Il aimait se faire des films et Draco Malfoy était un excellent sujet pour cela. Harry se permit de le détailler du coin de l’œil pendant qu’il arrangeait les différentes tiges qu’il avait sélectionné durant leur chamaillerie. Élégamment vêtu d’un pantalon en lin gris qui soulignait ses longues jambes et d’une chemise blanche rehaussée d’un gilet de la même couleur que le pantalon, sa silhouette élancée se découpait nettement dans l’ombre du soleil. Il avait l’air d’un diamant scrupuleusement ciselé pour trancher.

—C’est très joli. Pourrais-tu partir vers des couleurs comme le bleu ou le violet ?

Harry lui montra les différentes fleurs pouvant faire l’affaire et réajusta sa composition pour faire un centre de couleurs plus vives afin de trancher avec le reste des fleurs choisies par Malfoy.

—On dirait un tournesol. Un drôle de tournesol, mais un tournesol. C’est vraiment beau.

Et Harry vit dans ses yeux qu’il le pensait réellement. Ses joues se réchauffèrent et il sourit.

—Je commence à bien connaitre les préférences de mon client le plus fidèle…

Draco planta ses yeux d’argent dans les siens.

—Et moi de même. Puis-je me permettre d’insister pour connaître ce qui ne va pas ?

—T’es vraiment une tête de mule. Bien. J’ai 25 ans aujourd’hui et je faisais ma crise du quart de siècle.

L’autodérision de Harry n’amusa pas beaucoup Malfoy.

—Oh, je ne savais pas. Je suis navré de venir les mains vides. Joyeux anniversaire, Harry.

Draco s’inclina et tendit sa main droite, l’autre trouvant naturellement sa place derrière son dos légèrement courbé. Surpris, Harry tendit sa main gauche, celle qui ne tenait pas le bouquet de Madame Malfoy. Draco s’inclina un peu plus en guise de remerciement et embrassa ses jointures avec une aisance indéniable. Voir Draco Malfoy embrasser ses jointures probablement rugueuses et sales était vraiment étrange. Ses lèvres avaient été si douces, le baiser si délicat qu’Harry eut l’impression qu’une pétale de cerisier venait de lui effleurer le dos de la main.

—Je….Merci.

Les femmes riches qu’il rencontre tous les jours doivent avoir des mains bien plus agréables à embrasser que les tiennes. N’as-tu pas honte ?

—J’aimerais un deuxième bouquet, s’il te plaît.

Totalement décontenancé, Harry reprit possession de son corps et posa le premier bouquet sur le comptoir.

Concentre-toi, bordel.

—Oui, bien sûr. C’est pour quoi ?

Cette fois-ci, non seulement les lacs d’argent brillaient d’amusement, mais en plus un véritable sourire amusé ornait les lèvres roses.

—Un anniversaire. Quels sont tes fleurs préférés ?

[gacougnol]

Ashvin Mehta

Nargol

Gujarat

[malady335]

A painting of Nargol from Red Turns Black in the Moonlight

[cbairdash]

Author’s note: Hoist the Colors may eventually inspire fiction. Most likely will and I’ll gladly write it. But right now, it’s a role-playing game setting with what I hope is an interesting take and look at an “Alternate History” of Earth. It isn’t really “steampunk”, though I can see how someone would get that impression. For me, it’s more a “flintlock fantasy” set on Earth of 1722 in all it’s historical mess… that I’ve stirred up even more!

So, with that said, now we touch on one of the major factions in Hoist the Colors. Mysterious nomads that may play host to the greatest inventors of the time. The Kelstani, also known as the Covenant of the Coast!

Kelstani, the Covenant of the Coast

They’re a traveling people, fed up with the world. Traveling about like a caravan on water.

- Lysander Riverwind, Navigator and cartographer for the Royal Institute of Otherworld Studies

The ocean is a harsh, exacting mistress. Quiet and soothing, yet still cold and merciless as the winter sea. It’s a hard life for anyone that travels the waves, seeking adventure, fortune, or a means to an end. But then there are those that look to the ocean and her turbulent temper as a safe refuge from their past lives.

It isn’t any different in the Caribbean where allegiances shift as quick as the tides while honor runs twice as deep. Among the islands, intrepid souls haunted by circumstance or a clouded past leave the land behind. They have nowhere to turn and no place to go. So they built their home from the sea itself and the timber that floats on her.

An Unlikely Gathering

They come from all walks of life. People from different cultures and places that blend to form a nomadic way of life. They’re often shunned by town and Trading Company alike, and considered dangerous outcasts at best. In the worst case, they’re considered vagabonds, outlaws, or pirates. But unless you cross or cheat them, they’re nothing of the kind. They are the Covenant of the Coast, or the Kelstani.

The Covenant’s name for themselves is the Kelstani, but many nickname them the Sea Rovers. They’re a nomadic people, always on the move and owing no allegiance to a single land or country. A culture living most of their lives aboard extra-wide ships turned floating islands that roam the waves between actual islands and coastlines.

They sail in small convoys of ships, often up to six at a time. This forms the basis of a Kelstani village, what they consider a tribe or a clan. Each ship in the convoy has a special purpose, with the wide galleon or galleons serving as the ‘heart’ of the village. A ‘town square’ which is central to the community.

Tale from Before Time

One of those Kelstani clan ships sailed up about a year after the ‘Fall, in 1713. I’d seen nothing like it. When asked where they hailed from, they just said that they’d always been there…

- Elias Johann St. Claire, Shipwright

The first Kelstani ships were spotted off Havana in 1713, a year after Crossings Fall changed the world. A galleon similar to Spanish make, she was the Malumbe, but was far wider than any normal galleon. With her sailed two frigates named the Shagar and the Nargol that kept a protective watch on the larger vessel.

Little is known or recorded about Kelstani clan history. Most of it came from the crews of those first three ships that day in Havana harbor. Tales from those crews, and any Rover clan since, simply explain they’re Children of the Sea, and that the Sea Goddess watches her own. But rumors suggest a more complicated origin.

References from grimling Sept records suggest that Sea Rover history spreads back to Otherworld before it shattered. There, legend has it that the first Sea Rovers were a morasu fleet that owed allegiance to the Tomia Harogara noble house. But Tovec Masatame, the fleet’s admiral, or Saj’ni in the ancient morasu language, disagreed with his Imperial leaders over their suicidal battle strategy. Instead of open war, he took his followers and fled to the deep seas.

Over time, their numbers grew slowly from among those across Otherworld that felt lost, cast aside, or were displaced from their own lands. When Crossing’s Fall shattered the Otherworld, it also sent the last of the surviving Kelstani to Earth. As is their tradition, they simply kept moving.

For the rest about the Caribbean in Hoist the Colors, see the link above!

Taglist: @thelaughingstag

[ondessiderales]

Luna Lovegood

« Luna Lovegood est un personnage fictif créé par la romancière britannique J. K. Rowling. Il apparaît dans la série romanesque Harry Potter et dans ses adaptations cinématographiques.

Élève de la maison Serdaigle à Poudlard, Luna est décrite comme ayant des cheveux ondulés d'un blond foncé lui arrivant à la taille, et des yeux protubérants lui donnant l'air toujours surpris. Elle ressemble physiquement à sa mère. La première fois qu'il la rencontre, Harry Potter trouve qu'elle dégage « une aura de folie douce » alors qu'elle porte un collier constitué de bouchons de bouteilles et tient son journal, Le Chicaneur, à l’envers. Il constate qu'elle a tendance à fixer longuement les gens lorsqu'elle leur adresse la parole et rit parfois des plaisanteries de façon interminable et grotesque, en mettant les autres mal-à-l'aise. »

« Luna est une rêveuse, facilement distraite, qui vit dans son propre univers, et croit en toutes sortes d'animaux dont l'existence n'est pas prouvée (comme les nargoles). En raison de son excentricité, elle est isolée à l'école avant de rencontrer Harry Potter, et la plupart des élèves lui attribuent le surnom de « Loufoca Lovegood » (Loony Lovegood en anglais, litt. Lunatique Lovegood). Elle semble peu se soucier de ce que les autres pensent d'elle. Elle n'est pas rancunière et ne se montre pas non plus inquiète lorsque ses camarades de classe s'amusent à lui voler ou à lui cacher régulièrement ses affaires. Luna semble consciente de son impopularité et n'éprouve aucune gêne à énoncer clairement des vérités que d'autres personnes se retiendraient de formuler. Laurie Calkhoven, auteure du livre Fières d'être sorcières !, retient notamment du personnage sa bienveillance et son indépendance, mais aussi le fait qu'elle soit idéaliste, brave, créative et d'une grande ouverture d'esprit.

Luna est capable de voir les sombrals depuis l'âge de 9 ans, créatures réputées pour porter malheur car seuls ceux qui ont vu mourir quelqu'un peuvent les voir. Son patronus est un lièvre. »

« Selon Blandine Le Callet, auteure du livre Le monde antique de Harry Potter, J. K. Rowling aurait rendu hommage à l'imagination et à la fantaisie de l'écrivain Lucien de Samosate à travers Luna et son père Xenophilius : l'un des passages les plus célèbres du récit de voyage imaginaire Histoire vraie est celui où le narrateur raconte son séjour sur la Lune en évoquant les Sélénites qui s'y nourrissent de grenouilles volantes. »

« Selon Carmen Nadal, Luna est une « force positive » réconfortante pour Harry Potter, car elle lui apporte une perspective nouvelle et précieuse lorsqu'il est confronté à des choses auxquelles il n'est pas préparé. Luna permettrait de définir clairement la frontière de la vérité, pour Harry Potter comme pour le lecteur, notamment lorsqu'elle précise pouvoir voir, comme Harry, ce que personne d'autre ou presque ne peut voir ou entendre, comme les sombrals ou le voile dans le Département des Mystères. Plus largement, Luna permettrait de montrer à Harry que d'autres formes de connaissance — au-delà de ce qui est officiel ou prouvé — sont possibles. Elle est l'une des rares personnes qui remettent en question l'autorité, en pensant que celle-ci ne détient pas forcément la vérité. »

Crédits : CursedQueen

« Enfin, on ne peut pas parler de la sensibilité de Luna sans évoquer l’impact qu’a eu sur elle le décès de sa mère. Lorsque la jeune fille évoque sa mère, elle emploie des mots plein d’admiration. On peut imaginer que son enfance auprès d’elle a été heureuse, et saine. Il est alors évident que le décès de Pandora a été un véritable traumatisme pour Luna, qui n’avait que neuf ans au moment des faits. Or, il est courant qu’après un tel choc, les individus aient une nouvelle vision de la vie. Les accidentés, ou les personnes en rémission de maladie grave, tiennent régulièrement des discours dans lesquels ils expliquent que ce qu’ils ont subi leur a permis de réaliser des choses fondamentales à propos de la vie, ou d’eux-mêmes.

De ce fait, Luna est un exemple de résilience. Elle ne pleure jamais, au contraire. La jeune fille fait preuve d’une grande sagesse et d’une force intérieure, paisible. Elle n’a pas l’air d’en vouloir à qui que ce soit malgré les évènements malheureux qu’elle a subi. La sorcière a absorbé son traumatisme, et elle regarde avec beaucoup de clairvoyance les événements qui l’entourent. En créant les sombrals, J. K. Rowling donne à Luna une créature symbolisant cette résilience. Luna parvient à voir la douceur et la beauté là où beaucoup en douteraient, justement parce qu’elle a vécu le pire. Elle guide Harry dans ce cheminement autour de la mort, et du deuil. »

Sources : Wikipedia, Gazette du sorcier

[citrusarts]

Redrew my DnD character Nargol in preparation for the campaign that's starting again after its Hiatus.

I'm exited to play with the gang after a while :)

[jeevanvidya]

जीवन विद्या अध्ययन शिविर नारगोल

#jeevanvidya

https://www.jeevan-vidya.com/jivan-vidya-adhyayan-shiveer-nargol/

https://www.jeevan-vidya.com/jivan-vidya-adhyayan-shiveer-nargol/

[444names]

noldorin names BUT excluding "e"

Afarp Agals Aglin Agnor Agorch Aguath Aguithad Aithar Alamdim Alamin Alargol Alrûn Amdirim Amortin Amring Anannyn Anaurg Andor Andos Andoth Angir Angosîr Annar Annostarn Annuin Arand Arannyn Arast Argilk Argouthlui Arlan Arofin Arothimlot Arthfuidh Assorgor Athraug Baidhrad Baingun Balad Balamair Banfann Bannuruin Barth Barthas Basgos Bathdir Bladh Blarn Blind Bliondron Blurills Bouth Bramhon Braurthûth Brost Cailing Caiss Caithoar Caladh Calas Caldaihit Caldoolonn Calin Camronn Carad Caradh Caradwalad Caruin Carundon Caurch Cavarch Ciraglo Cirimdil Ciring Cithir Clark Clath Connyn Coron Corth Coushil Cragloth Cragol Criangth Cridh Crisfing Crosts Croth Cumloth Curth Cíluing Cílumait Cílumlod Dadran Daindon Daitin Daladogor Dalart Daldûn Dalind Dalithlo Dangif Dannyn Daugloun Diandol Diann Dildûn Diriath Dirlain Dirrodron Dolfas Dolfind Dorathir Dortin Doundor Drion Duard Duifty Duint Dundang Durang Durchath Dwath Dínithrin Dúring Dúwaks Dúwath Fachos Faihis Failit Faingunt Falammor Falamor Fanchaid Fandosan Fanglotol Farair Faran Farang Fastol Fauglondur Faugon Faund Firad Firin Fisswas Flanath Footh Forgoth Forladh Foros Founhison Fouros Galam Galfwin Galin Galth Gamundron Garagost Garandaul Gards Garfaind Garion Garisc Gilintow Gilion Giliouris Gilir Giondol Gladam Glaryd Glath Gligh Glion Glost Glothorn Gluin Glóran Gnost Goldin Golfalath Golfor Goling Golosair Goloth Gonds Gorannuin Gorooth Gothlon Gothon Gothormin Griath Grion Grions Grioundon Grunt Guaraw Guardaur Guindirin Gwaid Halastarn Halathvoin Hammailth Hammal Hanfand Harath Harthui Hilduthlos Hilithîr Hirond Hoing Holon Hondir Hoscal Houng Huing Huisfin Hâdhroth Húrian Iannos Idhard Idhûr Idogarath Idoligh Idorofalf Imbando Imloc Impty Inglithard Irimril Isounnorna Ithdalch Ivion Jourtind Jouru Koril Ladorot Ladroc Laguad Larath Laroth Lavarn Lhadh Lhamm Lhammor Lharn Lharnary Lhaur Lhist Lhoarth Lhofarast Lhofir Lhuin Lhuory Liand Liargoth Liathon Linglas Liount Lithroard Londron Lorillos Lorim Lostold Lómind Lóminu Lómun Lómund Lórinum Mablingth Mablos Magall Maglarsty Maglos Mailial Malath Manaur Mindia Minin Mistalanui Mithir Mithoss Mithror Mondoldil Moothon Morlivin Morlor Mounir Mourin Moutalat Mthobal Muthnord Muthor Narfming Nargol Narthith Nathas Nathil Natholatim Ndogalad Niannar Niant Nilbor Nilgrind Ninron Niound Nolion Noming Nonnum Norgolf Norimring Noros Nuinin Nínigh Nínuir Nírin Olith Onwarad Orfingic Orgonass Orgorn Orias Orliath Orodol Osadfanc Osadh Othous Othring Othrion Othîr Padwaing Pastbolan Plaguing Pringurn Radon Ragol Randualad Rastauddy Raund Rhainifth Rhambaland Rhang Rharchton Rhardail Rhaur Rhilf Rhirlas Rhirn Rhofai Rhorch Rhorthir Rhothon Right Rindil Risondimb Rohir Rosfars Roton Ruias Ruidh Rúnorg Saith Sarda Shandoll Shipbur Silic Silmanuick Sindir Sirin Slams Smion Sofai Songonnui Sontiling Sousky Sphalt Splas Spous Sthiliong Stlaks Storthast Sudûn Suffingond Sutar Swing Taithor Taran Taranuru Tarast Taros Taross Tarost Tarth Tathrion Taunt Tavos Thanig Thcaings Thlit Thofandorn Thorch Tichos Tindiannom Tingbolion Tingoros Tirad Tirion Tirst Tolithring Torlu Torthbur Tosdir Tramrodh Tumasts Turon Twast Twing Túrodh Uiath Uiauru Uingbordh Ulanc Ulmar Unírin Uragaros Uvarang Valad Valan Valightow Vanifth Vannor Vannorf Varod Vorda Vorow Vrodirinn Waras Wathimlan Whorlathim Wingodly Wolin Ínith Îdhras Ñgoth

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Bleeding Heart by jewellerytuna653

Characters Used/Mentioned:

Ghorza Nargol (Orc)

Koba Harkess (TV Head)

Nestrys Aja (Naga)

Advik Musa (Tiger Centaur)

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

It had been at least six months since Nestrys and Ghorza began dating. If he was being honest, Koba was shocked, especially after seeing how the two started out. He thought his brother would push the muscular girl out of a five-story building before he willingly dated her. He was happy though. He was delighted that his brother was finally putting himself out there and allowing himself to be content for once but... he was also devastated because that meant he lost the bet he had going on with his boyfriend of one year.

He almost felt bad for wanting poor Ghorza to be pushed out of a window.

Ghorza and Nestrys's dynamic was laughable, to be honest. It was like watching a dog cling onto a porcupine along with heart bubbles surrounding them. They were a healthy couple though, surprisingly there were barely any arguments and they both got along with the others families and friends (Which Nestrys didn't have a lot of).

While Ghorza did get along with Nestry's family, Koba was a bit distant when they first met. It definitely wasn't out of malice or anything, he was just terrible around new people, especially people who looked as intimidating as Ghorza. It was completely fine after Koba got to know Ghorza though, she looked like she could crush someone's head with her pinky but she was really just a big teddy bear.

Koba and Ghorza started hanging out and even found a lot of common interests.

But alas, not everything was perfect...

Koba made an offended beeping noise as Ghorza asked the most ridiculous question he had ever heard.

"What's a fanfiction?"

Koba genuinely had to question their entire friendship. 

'What do you mean!? What kind of question is that!?' Koba frantically signed with his hands. Ghorza just shrugged "What?" Koba shook his head and positioned his hands so that he could reply 'You've never heard of fanfiction before? Not even crackfics?' Ghorza shook her head in response.

The betrayal Koba felt was suffocating.

'Well, this just won't do! Come here, I'll show you' Ghorza innocently hopped off of Nestrys's bed and walked over to Koba's side of the bedroom, leaning over his lanky frame to stare at his computer screen. Ghorza watched as Koba clicked on this one website that looked way too complicated to use, it hurt Ghorza's brain to look at it. 

'I'm going to show you one of my favourite fanfics, It's called bleeding heart and it's written by jewllerytuna653. It's a childhood friends to lovers type thing but I will warn you now it is really angsty, I'm talking unrequited love and major character death which isn't that bad to some people but I'm soft so it really hurt to read' 

Ghorza nodded along with everything that Koba signed. She had no clue what he was saying but she nodded along nonetheless.

Koba suggested that before they read it, they build a pillow fort on Koba's bed and hoard some snacks from the kitchen, maybe even grab some tissues. Ghorza thought that this was a bit excessive but she wasn't going to argue with snacks and a pillow fort.

...

It was around 12:42 before Nestrys came back to the house after hanging out with Advik. He expected everyone except Koba to be asleep by that time.

He climbed up the carpeted stairs and entered his room.

Once he opened the door, he immediately sensed the strange atmosphere. The room was pitch black except for a small light coming from Koba's bed. To say that Nestrys was weirded out was an understatement but he wasn't surprised, this was a common occurrence. When he pulled back the fluffy blanket entrance, he expected to see Koba obsessively reading some crap fanfic but what he didn't expect was both his brother and his girlfriend surrounded by blankets and pillows, clinging onto each other while sobbing.

"What the hell" He deadpanned.

Ghorza's head snapped towards him and she immediately sported a pitifully relieved expression. Nestrys raised his eyebrows at the condition that the taller girl was in, her face was a darker shade of green and wet from the excessive crying, she had snot dripping from her nose and all while clutching onto a tissue.

"Baby, I'm so glad you're back!" Ghorza sobbed and detangled herself from Koba so that she could get to her boyfriend. She embraced him in a tight hug and lifted him off of the floor before he could say anything. 

"O-Oi, you're squeezing too much, you fool" Ghorza didn't let go and continued to cry but she loosened her grip, just slightly. Nestrys stared at her with furrowed eyebrows before hesitantly hugging her back protectively. He snapped his head up to glare at Koba, looking for an explanation from him.

Koba didn't sign anything this time, he just showed an emoji on his facial screen of a bleeding heart.

Nestrys rolled his eyes and proceeded to comfort his girlfriend.

[zatounet]

[travelnew]

Wanderlust in the land of the Parsis in Gujarat

UDVADA, SANJAN, NARGOL.

14th January 2018, Makar Sankrant and Sunday: a TTMM trip.

The blog post is divided as follows:

1) Time line.

2) How to go, Mapping and route.

3) Places visited (Photos).

4) Expenses.

TIME LINE:

04:45 wake up alarm. 05:15 leave home. 05:45 train to Dahanu. 07:30 reach Dahanu. 07:50 train to Udvada. 09:00 reach Udvada. 09:25 finish breakfast. 09:45 reach Udvada village by rickshaw. 11:30 finish exploring Udvada. 11:45 reach Udvada railway station by rickshaw. 12:15 train to Sanjan. 12:50 reach Sanjan. 12:55 rickshaw to Nargol. 13:30 reach Nargol. 13:40 reach Nargol beach by walk. 14:10 return from Nargol beach to Nargol. 14:25 rickshaw from Nargol to Sanjan railway station. 14:30 walk from Sanjan railway station to Zoroastrian pillar in Sanjan. 15:30 return to Sanjan railway station from Zoroastrian pillar by walk. 15:45 snacks at Sanjan. 16:15 train from Sanjan to base station. 18:10 base station. 18:30 home sweet home.

HOW TO GO, MAPPING & ROUTE:

On the Map: Udvada, Sanjan and Nargol.

Route: Home > rickshaw > Dahanu > train > Udvada railway station > rickshaw > Udvada village > walk around > rickshaw > Udvada railway station > train > Sanjan > rickshaw > Nargol > walk > Nargol beach > walk > Nargol > rickshaw > Sanjan railway station > walk > Zoroastrian Stambh or pillar > walk > Sanjan railway station > train > Home station > rickshaw > home sweet home.

PLACES VISITED (PHOTOS):

Sit back and enjoy.

UDVADA

Landmarks in Udvada:

1) Mek Hotel. 2) Majestic Hotel. 3) JJ Dharamshala. 4) R. Tata Dispensary. 5) Post office. 6) Gram Panchayat Office. 7) Primary school. 8) Bakery. 9) Sodawaterwala Dharamshala. 10) Pandol Adarnan-E-Iranshah. 11) Varasyaji. 12) Zoroastrian information centre. 13) Globe Hotel. 14) Lodge Light of Iran. 15) Petit Daremeher. 16) Iranshah or Atash Behram or Fire Temple. 17) Dastur Baug. 18) Unwalla Library. 19) Mirza Chowk. 20) Mirza memorial hall. 21) Mirza terrace. 22) Jhanda Chowk. 23) Beach.

UDVADA, THE VILLAGE:

ZOROASTRIAN INFORMATION CENTRE IN UDVADA: 

THE FIRE TEMPLE, IRANSHAH OR ATASH BEHRAM AT UDVADA:

SANJAN

SANJAN RAILWAY STATION:

The above pic tells us that the Earth is round (parallel lines appear to merge).

ZOROASTRIAN PILLAR OR STAMBH:

On Monday, 20th November 2000 AD, a TIME CAPSULE was donated by the house of Godrej and was buried ceremoniously to the chants of our hymns & commissioned by the Trustees of the Bombay Parsi Panchayat. It contains replicas & miniatures of items which exemplify the heritage of Zoraostrain community since its landing in India 13 centuries ago.

NARGOL

The first place where the Parsis landed in India!

NARGOL BEACH: lined by casuarina (suruchi) trees.

NARGOL FIRE TEMPLE OR AGIARY:

NARGOL COASTAL VILLAGE:

EXPENSES:

10/- rickshaw to station. 25/- train ticket to Dahanu. 50/- train ticket from Dahanu to Udvada. 10/- cold drink. 20/- breakfast at Udvada. 20/- rickshaw from Udvada railway station to Udavada fire temple. 25/- snacks at Udvada. 10/- rickshaw from Udavada village to Udvada railway station. 10/- train ticket from Udvada to Sanjan. 15/- shared rickshaw from Sanjan to Nargol. 15/- shared rickshaw from Nargol to Sanjan. 25/- snacks at Sanjan. 55/- train ticket from Sanjan to home station. 20/- rickshaw from station to home.

Total = INR 310/-.

Dahanu railway station.

Till next Sunday, ciao!

Check my Wanderlust to various other places in Gujarat:

1) Champaner - Pavagadh - UNESCO world heritage site.

2) Daman.

3) Shoolpaneshwar Wildlife Sanctuary.

[mutantenfisch]

Nargol and her mother in-law Annekke, discussing the route for the next day's travelling by the fireside.

[shabazpathan08]

"Photography is the story I fail to put into words." #instadaily #instagram #instalike #insta #instapic #instaphoto #likeforlikes #likesforlike #liketime #lifestyle #likesforfollow #like4likes #likeforlikealways #followforfollowback #follow4followback #explore #explorepage #exploremore #explorer #look #picoftheday #lookoftheday #post #postoftheday #picture #nature #naturephotography #shabazpathan (at Nargol Seaside Beach) https://www.instagram.com/p/CNxLyjnAd3_/?igshid=67d5m4wfvpp0

[cissyblk]

If Oikawa was a wizard he would TOTALLY belive in nargolles and be friends with Luna Lovegood and that’s on PERIOD.

[parthchvhn]

Beach make me feel thrilled, Bitch make me feel chilled. . . . . . #beautifuldestinations #beachlife🌴 #oceanlove #wanderlust #nakedplanet (at Nargol Seaside Beach) https://www.instagram.com/p/ByDNAlijgQs/?igshid=186ys5k6z9y7i