#Mingus Plays Piano
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"Let My Children Hear Music:" Charles Mingus' Masterpiece of Orchestral Jazz
Introduction: Charles Mingus, one of the most innovative and influential composers in jazz history, produced an immense body of work over his career that spanned bebop, hard bop, and avant-garde styles. Yet, of all his creations, “Let My Children Hear Music,” released in 1972, stands out as a monumental testament to his genius. Described by Mingus himself as “the best album I have ever made,”…
#Alan Raph#Bitches Brew#Charles Mingus#Classic Albums#Duke Ellington#George Gershwin#Igor Stravinsky#James Moody#Jazz History#Let My Children Hear Music#Miles Davis#Mingus Ah Um#Mingus Plays Piano#Sy Johnson#Teo Macero#The Black Saint and the Sinner Lady#Tom T. Hall
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An extremely dumb guid to “Which famous 60’s/70's Jazz man is that?”
1, Is it Piano lead or Brass lead? If piano go to question two. If brass question three.
2, Does the Pianist sound like he’s taken all the acid, or is there a guy making love to a clarinet?
Oh yeah: he’s taken all the acid alight. Is… is he okay? Thelonious Monk.
Oh yeah, some guy is going ham on a clarinet. Dave Burkbeck Quartet.
Neither of the above: Duke Ellington.
3, If brass lead: is it Louis Armstrong? If Yes, it’s Louis Armstrong. If no, question four.
4, Does the Trumpet player make you feel sad? Even, dare I say, Blue?
Almost? Chet Barker
Kind of? Miles Davies.
If no, question five.
5, Is the trumpet player trying to blow your face clean off? Like, actively trying to kill the first row of the audience? Dizzy Gillespie.
It’s brass led, but Sax not Trumpet.
Okay, question 6, isolate the stings: is Charles Mingus doing what he’s actually paid to do in the back of the ensemble, or is he dicking around and seeing how far a man can take a double bass before his band-mates kill him?
Seems to be playing normally: Charlie Parker
He’s fucking around in F minor, and also that Bari sax is filthy! The Mingus Big band, with Ronnie Cuber on the Sax.
#Jazz#Big bang#blues#thelonious monk#dave brubeck#duke ellington#louis armstrong#chet baker#miles davis#dizzy gillespie#charlie parker#charles mingus#Ronnie Cuber#Tell me who i missed and how wrong i am in the comments#God i love Jazz
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1- Charlie, a person with a spirit box head who has ghosts speak for them, is helping Rover, a fella who gets possessed occasionally by a ghost that makes him play piano, with a sudoku puzzle
2- Cyrus, a veterinarian and perhaps maybe occasionally a bit of a stalker, plays violin for Jethro. Jethro is a sucker for music.
3- Jethro, an emo twink who works for Gabby but also happens to be a licensed attorney, is in court with Mingus. Jethro is trying to help Cyrus get his dream head- a cat head- while Mingus has made laws preventing that.
4- Cyrus, now pictured with Cat head (Jethro is a good attorney) cuddles his African gray parrot Ganymede. They both emit a pleased hum.
All of these were briefly doodled in ink and are not perfect lol
Characters made in collaboration with @zestyjestr , Jethro and Charlie are fully his.
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LÉGENDES DU JAZZ
HAMIET BLUIETT, LE PLUS MODERNE DES SAXOPHONISTES BARYTON
“Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
- Hamiet Bluiett
Né le 6 septembre 1940 au nord de East St. Louis à Brooklyn, dans les Illinois, Hamiet Ashford Bluiett Jr. était le fils d’Hamiet Bluiett Sr. et de Deborah Dixon. Aussi connu sous le surnom de Lovejoy, le quartier de East St. Louis était majoritairement peuplé d’Afro-Américains. Fondé pour servir de refuge aux anciens esclaves affranchis dans les années 1830, le village était devenu plus tard la première ville américaine majoritairement peuplée de gens de couleur.
Bluiett avait d’abord appris à jouer du piano à l’âge de quatre ans avec sa tante qui était directrice de chorale. Il était passé à la clarinette cinq ans plus tard en étudiant avec George Hudson, un populaire chef d’orchestre de la région. Même s’il avait aussi joué de la trompette, Bluiett avait surtout été attiré par le saxophone baryton.
Après avoir amorcé sa carrière en jouant de la clarinette dans les danses dans son quartier d’origine de Brooklyn, Bluiett s’était joint à un groupe de la Marine en 1961. Par la suite, Bluiett avait fréquenté la Southern Illinois University à Carbondale, où il avait étudié la clarinette et la flûte. Il avait finalement abandonné ses études pour aller s’installer à St. Louis, au Missouri, au milieu des années 1960.
Bluiett était au milieu de la vingtaine lorsqu’il avait entendu le saxophoniste baryton de l’orchestre de Duke Ellington, Harry Carney, jouer pour la première fois. Dans le cadre de ce concert qui se déroulait à Boston, au Massachusetts, Carney était devenu la principale influence du jeune Bluiett. Grâce à Carney, Bluiett avait rapidement réalisé qu’un saxophoniste baryton pouvait non seulement se produire comme accompagnateur et soutien rythmique, mais également comme soliste à part entière. Expliquant comment il était tombé en amour avec le saxophone barytone, Bluiett avait déclaré plus tard: "I saw one when I was ten, and even though I didn't hear it that day, I knew I wanted to play it. Someone had to explain to me what it was. When I finally got my hands o n one at 19, that was it."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir quitté la Marine en 1966, Bluiett s’était installé à St. Louis, au Missouri. À la fin de la décennie, Bluiett avait participé à la fondation du Black Artists' Group (BAG), un collectif impliqué dans diverses activités artistiques à l’intention de la communauté afro-américaine comme le théâtre, les arts visuels, la danse, la poésie, le cinéma et la musique. Établi dans un édifice situé dans la basse-ville de St. Louis, le collectif présentait des concerts et d’autres événements artistiques.
Parmi les autres membres-fondateurs du groupe, on remarquait les saxophonistes Oliver Lake et Julius Hemphill, le batteur Charles "Bobo" Shaw et le trompettiste Lester Bowie. Hemphill avait aussi dirigé le big band du BAG de 1968 à 1969. Décrivant Bluiett comme un professeur et mentor naturel, Lake avait précisé: “His personality and his thoughts and his wit were so strong. As was his creativity. He wanted to take the music forward, and we were there trying to do the same thing.”
À la fin de 1969, Hemphill s’était installé à New York où il s’était joint au quintet de Charles Mingus et au big band de Sam Rivers. Au cours de cette période, Bluiett avait également travaillé avec une grande diversité de groupes, dont ceux des percussionnistes Tito Puente et Babatunde Olatunji, et du trompettiste Howard McGhee. Il avait aussi collaboré avec le Thad Jones-Mel Lewis Orchestra.
En 1972, Bluiett avait de nouveau fait équipe avec Mingus et avait fait une tournée en Europe avec son groupe. Collaborateur plutôt irrégulier de Mingus, Bluiett quittait souvent le groupe avant de réintégrer la formation un peu plus tard. En 1974, Bluiett avait de nouveau regagné le giron du groupe de Mingus aux côtés du saxophoniste ténor George Adams et du pianiste Don Pullen, qui deviendrait plus tard un de ses plus fidèles collaborateurs. Il avait aussi joué avec le groupe de Mingus à Carnegie Hall. Bluiett avait continué de travailler avec Mingus jusqu’en 1975, lorsqu’il avait commencé à enregistrer sous son propre nom.
Le premier album de Bluiett comme leader, Endangered Species, avait été publié par les disques India en juin 1976. L’album avait été enregistré avec un groupe composé d’Olu Dara à la trompette, de Junie Booth à la contrebasse et de Philip Wilson à la batterie. En 1978, Bluiett avait enregistré Birthright, un magnifique album live dans lequel il avait joué en solo durant quarante minutes et qui comprenait un hommage à son idole Harry Carney.
En 1976, la même année où il publiait son premier album solo, Bluiett avait co-fondé le World Saxophone Quartet avec d’autres membres du Black Artists Group comme Oliver Lake et Julius Hemphill. Le saxophoniste ténor (et clarinettiste basse) David Murray faisait également partie de la formation. Surnommé à l’origine le Real New York Saxophone Quartet, le groupe avait amorcé ses activités en présentant une série de cliniques et de performances à la Southern University de la Nouvelle-Orléans, avant de se produire au Tin Palace de New York. Menacé d’une poursuite judiciaire par le New York Saxophone Quartet, le groupe avait éventuellement changé de nom pour devenir le World Saxophone Quartet (WSQ).
Le groupe avait enregistré son premier album (d’ailleurs largement improvisé) sous le titre de Point of No Return en 1977. Jouant une musique diversifiée allant du Dixieland au bebop, en passant par le funk, le free jazz et la World Music, le groupe avait remporté un énorme succès (il est aujourd’hui considéré comme une des formations de free jazz les plus populaires de l’histoire) et avait reçu de nombreux éloges de la critique. Qualifiant le groupe de ‘’the most commercially (and, arguably, the most creatively) successful" de tous les ensembles de saxophones formés dans les années 1970, Chris Kelsey écrivait dans le All Music Guide: ‘’At their creative peak, the group melded jazz-based, harmonically adventurous improvisation with sophisticated composition." Commentant un concert du groupe en 1979, Robert Palmer avait déclaré dans le New York Times: “The four men have made a startling conceptual breakthrough. Without ignoring the advances made by musicians like Anthony Braxton and the early Art Ensemble of Chicago, they have gone back to swinging and to the tradition of the big‐band saxophone section.” Palmer avait ajouté: “Some of the music looks to the more archaic end of the tradition, to the hocket‐style organization of wind ensembles in African tribal music, and in doing so it sounds brand new.”
Reconnaissant la contribution de Bluiett dans la création du son d’ensemble du groupe, Kelsey avait précisé: "The WSQ's early free-blowing style eventually transformed into a sophisticated and largely composed melange of bebop, Dixieland, funk, free, and various world musics, its characteristic style anchored and largely defined b y Bluiett's enormous sound." Très conscient de l’importance de la mélodie, Bluiett avait toujours insisté pour que le groupe se concentre principalement sur les balades et l’improvisation. Il expliquait: “I think melody is very important. When we went into the loft situation, I told the guys: ‘Man, we need to play some ballads. You all playing outside, you running people away. I don’t want to run people away.’ ”
Parallèlement à sa collaboration avec le World Saxophone Quartet, Bluiett avait également publié d’autres albums comme leader comme Im/Possible To Keep (août 1977), un enregistrement en concert qui comprenait une version de quarante minutes de la pièce ‘’Oasis - The Well’’ (en trio avec le contrebassiste Fred Hopkins et le percusionniste Don Moye) et une version de trente-sept minutes de la pièce Nali Kola/On A Cloud en quartet avec le pianiste Don Pullen. En novembre 1977, Bluiett avait enchaîné avec Resolution, un album enregistré en quintet avec Pullen, Hopkins et les percussionnistes Don Moye et Billy Hart. À peine un mois plus tard, Bluiett avait récidivé avec Orchestra Duo and Septet, qui mettait à profit différentes combinaisons de musiciens comprenant le violoncelliste Abdul Wadud, le trompettiste Oldu Dara, le pianiste Don Pullen, le joueur de balafon Andy Bey, le flûtiste Ladji Camara, le contrebassiste Reggie Workman, le joueur de oud (un instrument à corde d’origine iranienne) Ahmed Abdul-Malik et le batteur Thabo Michael Carvin.
Avec le temps, les albums de Bluiett publiés en dehors de sa collaboration avec le World Saxophone Quartet étaient devenus de plus en plus accessibles. En faisaient foi des parutions comme Dangerously Suite (avril 1981), qui était une sorte de bilan de la musique populaire afro-américaine, et Ebu (février 1984), enregistré avec John Hicks au piano, Hopkins à la contrebasse et Marvin Smith à la batterie. L’album live Bearer of the Holy Flame (juillet 1983) documentait la collaboration de Bluiett avec un quintet composé de Hicks au piano et de deux percussionnistes. En juillet 1987, Bluiett avait aussi collaboré avec le trompettiste sud-africain Hugh Masekela dans le cadre de l’album Nali Kola qui mettait en vedette un saxophoniste soprano, un guitariste et trois percussionnistes africains
Littéralement passionné par son instrument, Bluiett avait également dirigé plusieurs groupes composés de plusieurs autres saxophonistes baryton. Également clarinettiste, Bluiett avait formé en 1984 le groupe Clarinet Family, un ensemble de huit clarinettistes utilisant des clarinettes de différents formats allant de la clarinette soprano E-flat à la clarinette contrebasse. Le groupe était composé de Don Byron, Buddy Collette, John Purcell, Kidd Jordan, J. D. Parran, Dwight Andrews, Gene Ghee et Bluiett à la clarinette et aux saxophones, de Fred Hopkins à la contrebasse et de Ronnie Burrage à la batterie. Le groupe a enregistré un album en concert intitulé Live in Berlin with the Clarinet Family, en 1984.
DERNIÈRES ANNÉES
Le World Saxophone Quartet avait continué de jouer et d’enregistrer dans les années 1990. Lorsque Julius Hemphill avait quitté le groupe pour former son propre quartet au début de la même décennie, c’est Arthur Blythe qui l’avait remplacé. En 1996, le groupe avait enregistré un premier album pour l’étiquette canadienne Justin Time. Intitulé "Four Now’’, l’album avait marqué un tournant dans l’évolution du groupe, non seulement parce que c’était le premier auquel participait le saxophoniste John Purcell, mais parce qu’il avait été enregistré avec des percussionnistes africains. Comme compositeur, Bluiett avait également continué d’écrire de nombreuses oeuvres du groupe, dont Feed The People on Metamorphosis (avril 1990) et Blues for a Warrior Spirit on Takin' It 2 the Next Level (juin 1996).
Lorsque le World Saxophone Quartet avait commencé à ralentir dans les années 1990 après la fin de son contrat avec les disques Elektra, Bluiett s’était lancé dans de nouvelles expérimentations comme chef d’orchestre. En collaboration avec la compagnie de disques Mapleshade, Bluiett avait fondé le groupe Explorations, une formation combinant à la fois des nouveaux talents et des vétérans dans un style hétéroclite fusionnant le jazz traditionnel et l’avant-garde. Après avoir publié un album en quintet sous le titre If You Have To Ask You Don't Need To Know en février 1991, Bluiett avait publié deux mois plus tard un nouvel album solo intitulé Walkin' & Talkin', qui avait été suivi en octobre 1992 d’un album en quartet intitulé Sankofa Rear Garde.
Depuis les années 1990, Bluiett avait dirigé un quartet appelé la Bluiett Baritone Nation, composé presque exclusivement de saxophonistes baryton, avec un batteur comme seul soutien rythmique. Mais le projet n’avait pas toujours été bien accueilli par la critique. Comme le soulignait John Corbett du magazine Down Beat, "Here's a sax quartet consisting all of one species, and while the baritone is capable of playing several different roles with its wide range, the results get rather wearisome in the end." Le groupe avait publié un seul album, Liberation for the Baritone Saxophone Nation’’ en 1998, une captation d’un concert présenté au Festival international de jazz de Montréal la même année. Outre Bluiett, l’album mettait à contribution les saxophonistes baryton James Carter, Alex Harding et Patience Higgins, ainsi que le batteur Ronnie Burrage. Commentant la performance du groupe, le critique Ed Enright écrivait: "In Montreal, the Hamiet Bluiett Baritone Saxophone Group was a seismic experience... And they blew--oh, how they blew--with hurricane force." Décrivant le concept du groupe après sa performance, Bluiett avait précisé:
‘’This is my concept, and it’s all about the baritone, really. The music has to change for us to really fit. I’m tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. I'm tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. It takes too much energy to play that way; I have to shut the h orn down. Later! We've got to play what this horn will sound like. So, what I’m doing is redesigning the music to fit the horn {...}. It’s like being in the water. The baritone is not a catfish [or any of those] small fish. It’s more like a dolphin or a whale. And it needs to travel in a whole lot of water. We can’t work in no swimming pools.The other horns will get a chance to join us. They’ve just got to change where they’re coming from and genuflect to us—instead of us to them.”
En mars 1995, Bluiett avait publié un album en sextet intitulé New Warrior, Old Warrior. Comme son titre l’indiquait, l’album mettait à contribution des musiciens issus de cinq décennies différentes. Le critique K. Leander Williams avait écrit au sujet de l’album: "The album puts together musicians from ages 20 to 70, and though this makes for satisfying listening in several places, when it doesn't w ork it's because the age ranges also translate into equally broad--and sometimes irreconcilable--stylistic ones.’’ Tout en continuant de transcender les limites de son instrument, Bluiett avait également exprimé le désir d’une plus grande reconnaissance. Il expliquait: "[A]ll the music these days is written for something else. And I'm tired of being subservient to it. I refuse to do it anymore. I refuse to take the disrespect anymore." En juin 1996, Bluiett avait publié Barbecue Band, un album de blues.
Après être retourné dans sa ville natale de Brooklyn, dans les Illinois, pour se rapprocher de sa famille, enseigner et diriger des groupes de jeunes en 2002, Bluiett s’était de nouveau installé à New York dix ans plus tard. Décrivant son travail de professeur, Bluiett avait commenté: “My role is to get them straight to the core of what music is about. Knowing how to play the blues has to be there. And learning how to improvise—to move beyond the notes on the page—is essential, too.”
À la fin de sa carrière, Bluiett avait participé à différentes performances, notamment dans le cadre du New Haven Jazz Festival le 22 août 2009. Au cours de cette période, Bluiett s’était également produit avec des étudiants de la Neighborhood Music School de New Haven, au Connecticut. Le groupe était connu sous le nom de Hamiet Bluiett and the Improvisational Youth Orchestra.
Hamiet Bluiett est mort au St. Louis University Hospital ade St. Louis, au Missouri, le 4 octobre 2018 des suites d’une longue maladie. Il était âgé de soixante-dix-huit ans. Selon sa petite-fille Anaya, la santé de Bluiett s’était grandement détériorée au cours des années précédant sa mort à la suite d’une série d’attaques. Il avait même dû cesser de jouer complètement du saxophone en 2016. Même si le World Saxophone Quartet avait connu de nombreux changements de personnel au cours des années, il avait mis fin à ses activités après que Bluiett soit tombé malade. Les funérailles de Bluiett ont eu le lieu le 12 octobre au Lovejoy Temple Church of God, de Brooklyn, dans les Illinois. Il a été inhumé au Barracks National Cemetery de St. Louis, au Missouri.
Bluiett laissait dans le deuil ses fils, Pierre Butler et Dennis Bland, ses filles Ayana Bluiett et Bridgett Vasquaz, sa soeur Karen Ratliff, ainsi que huit petits-enfants. Bluiett s’est marié à deux reprises. Après la mort de sa première épouse, Bluiett s’était remarié, mais cette union s’était terminée sur un divorce.
Saluant la contribution de Bluiett dans la modernisation du son du saxophone baryton, Garaud MacTaggart écrivait dans le magazine MusicHound Jazz: "Hamiet Bluiett is the most significant baritone sax specialist since Gerry Mulligan and Pepper Adams. His ability to provide a stabilizing rhythm (as he frequently does in the World Saxophone Quartet) or to just flat-out wail in free-form abandon has been appare nt since his involvement with St. Louis' legendary Black Artists Group in the mid-1960s."
Tout en continuant de se concentrer sur le saxophone baryton, Bluiett avait continué de jouer de la clarinette et de la flûte. Avec son groupe Clarinet Family, il avait même contribué à faire sortir de l’ombre des instruments moins bien connus comme les clarinettes contrebasse et contre-alto ainsi que la flûte basse.
Refusant de confiner son instrument à un rôle essentiellement rythmique, Bluiett avait toujours considéré le baryton comme un instrument soliste à part entière. Il expliquait: “Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
Refusant de se laisser dominer par les ordinateurs et les nouvelles technologies, Bluiett avait toujours été un ardent partisan d’un son pur et naturel. Il poursuivait: "I'm dealing with being more healthful, more soulful, more human. Not letting the computer and trick-nology and special effects overcome me. I'm downsizing to maximize the creative part. Working on being more spiritual, so that the music has power... power where the note is still going after I stop playing. The note is still going inside of the people when they walk out of the place." Doté d’une technique impeccable, Bluiett affichait une maîtrise remarquable de son instrument dans tous les registres. Le jeu de Bluiett, qui atteignait un total de cinq octaves, lui permettait de jouer dans des registres qu’on croyait jusqu’alors hors de portée du saxophone baryton.
À l’instar de son collaborateur de longue date, le saxophoniste ténor David Murray, Bluiett était un adepte de la respiration circulaire, ce qui lui permettait de prolonger son phrasé sur de très longues périodes sans avoir à reprendre son souffle. Reconnu pour son jeu agressif et énergique, Bluiett incorporait également beaucoup de bebop et de blues dans le cadre de ses performances. Très estimé par ses pairs, Bluiett avait remporté le sondage des critiques du magazine Down Beat comme meilleur saxophoniste baryton à huit reprises, et ce, sur quatre années consécutives de 1990 à 1993 et de 1996 à 1999. Décrivant la virtuosité et la polyvalence de Bluiett, le critique Ron Wynn écrivait dans le magazine Jazz Times en 2001: ‘’There haven’t been many more aggressive, demonstrative baritone saxophonists in recent jazz history than Hamiet Bluiett. He dominates in the bottom register, playing with a fury and command that becomes even more evident when he moves into the upper register, then returns with ease to the baritone’s lowest reaches.’’
Décrivant Bluiett comme un des saxophonistes les plus dominants de son époque, le critique Stanley Crouch avait déclaré: "He had worked on playing the saxophone until he had an enormous tone that did not just sound loud. And the way that Bluiett described Harry Carney's playing — he basically was telling you how he wanted to play: 'I want to be able to play that very subtle, pretty sound, way at the top of the horn, if necessary. I want to play a foghorn-like low note. And if they want a note to sound like a chain beat on a floor, I can do that, too.'"
Tout aussi à l’aise dans les standards du jazz que dans le blues, Hamiet Bluiett a enregistré près de cinquante albums au cours de sa carrière, que ce soit en solo, en duo, dans le cadre de petites formations ou en big band. Bluiett a collaboré avec de grands noms du jazz et de la musique populaire, dont Babatunde Olatunji, Abdullah Ibrahim, le World Saxophone Quartet, Stevie Wonder, Marvin Gaye, James Carter, Bobby Watson, Don Braden, Anthony Braxton, Larry Willis, Charles Mingus, Randy Weston, Gil Evans, Lester Bowie, Don Cherry, Eddie Jefferson et Arthur Blythe. Même s’il croyait que les musiciens devaient faire un effort pour se rapprocher du public, Bluiett était aussi d’avis que le public devait faire ses propres efforts pour comprendre la musique qu’on lui proposait. Il précisait: "Get all the other stuff out of your mind, all of the hang-ups, and just listen. If you like it, cool. If you don't like it, good too. If you hate it, great. If you love it, even better. Now if you leave the concert and don't have no feeling, then something is wrong. That's when we made a mistake."
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Orbiting Human Circus - Quartet Plus Two - woozy interpretations of standards (and by "woozy" I mean "incorporating singing saws")
Orbiting Human Circus is the continuing evolution of the imagination of Julian Koster (Neutral Milk Hotel, The Music Tapes, Elephant 6), whose music and storytelling under this moniker have encompassed immersive theater and podcasts as well as more traditional EPs and singles. Quartet Plus Two is the group’s debut album. The origins of Quartet Plus Two are as magical and seemingly unlikely as everything else in Koster’s career. While walking through New York’s Central Park, he stumbled upon standup bass player Gauvain Gamon and drummer Kolja Gjoni playing Gershwin and Mingus, and, with the addition of pianist Benji Miller, a musical partnership was born. Koster’s longtime collaborators Robbie Cucchairo (horns) and Thomas Hughes (orchestral arranging and chimes) of The Music Tapes also contribute to the record. The music they make together is at once familiar and unrecognizable; while exploring new musical paths ever forward, there is something as comforting as the smell of autumn leaves or snow. Alongside those composed by Koster, Orbiting Human Circus interpret compositions by Irving Berlin, Duke Jordan, George and Ira Gershwin, and others. The use of the term “composition” is intentional and speaks to Koster’s relationship with the music of Quartet Plus Two in far more evocative terms than “cover” or even “standard.” Much like passionate young pianists will sit down to play Brahms, or children can still be found the world over singing “London Bridge,” or the traditional “Koliada” featured on this album is still sung at holiday time, this music is vital, eternal, and right now—and through the medium of the hearts and souls of Koster and Orbiting Human Circus, the spark that animates these songs has never glowed more warmly. Starring North and Romika, the singing saws Julian Koster: saw encouraging, vocal, orchestral banjo, organ Gauvain Gamon: bass Benjamin Miller: piano Kolja Gjoni: drums And The Music Tapes Robbie Cucchiaro: trumpet, euphonium Thomas Hughes: orchestra chimes, orchestration And The Singing Saw Choir on track 9 And The Orbiting Human Circus Orchestral
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A SERENE JAZZ MASTERPIECE TURNS 65
The best-selling and arguably the best-loved jazz album ever, Miles Davis’s Kind of Blue still has the power to awe.
MARCH 06, 2024
At a moment when jazz still loomed large in American culture, 1959 was an unusually monumental year. Those 12 months saw the release of four great and genre-altering albums: Charles Mingus’s Mingus Ah Um, Dave Brubeck’s Time Out (with its megahit “Take Five”), Ornette Coleman’s The Shape of Jazz to Come, and Miles Davis’s Kind of Blue. Sixty-five years on, the genre, though still filled with brilliant talent, has receded to niche status from the culture at large. What remains of that earthshaking year in jazz? “Take Five” has stayed a standard, a tune you might hear on TV or on the radio, a signifier of smooth and nostalgic cool. Mingus, the genius troublemaker, and Coleman, the free-jazz pioneer, remain revered by Those Who Know; their names are still familiar, but most of the music they made has been forgotten by the broader public. Yet Kind of Blue, arguably the best-selling and best-loved jazz album ever, endures—a record that still has the power to awe, that seems to exist outside of time. In a world of ceaseless tumult, its matchless serenity is more powerful than ever.
On the afternoon of Monday, March 2, 1959, seven musicians walked into Columbia Records’ 30th Street Studio, a cavernous former church just off Third Avenue, to begin recording an album. The LP, not yet named, was initially known as Columbia Project B 43079. The session’s leader—its artistic director, the man whose name would appear on the album cover—was Miles Davis. The other players were the members of Davis’s sextet: the saxophonists John Coltrane and Julian “Cannonball” Adderley, the bassist Paul Chambers, the drummer Jimmy Cobb, and the pianist Wynton Kelly. To the confusion and dismay of Kelly, who had taken a cab all the way from Brooklyn because he hated the subway, another piano player was also there: the band’s recently departed keyboardist, Bill Evans.
Every man in the studio had recorded many times before; nobody was expecting this time to be anything special. “Professionals,” Evans once said, “have to go in at 10 o’clock on a Wednesday and make a record and hope to catch a really good day.” On the face of it, there was nothing remarkable about Project B 43079. For the first track laid down that afternoon, a straight-ahead blues-based number that would later be named “Freddie Freeloader,” Kelly was at the keyboard. He was a joyous, selfless, highly adaptable player, and Davis, a canny leader, figured a blues piece would be a good way for the band to limber up for the more demanding material ahead—material that Evans, despite having quit the previous November due to burnout and a sick father, had a large part in shaping.
A highly trained classical pianist, the New Jersey–born Evans fell in love with jazz as a teenager and, after majoring in music at Southeastern Louisiana University, moved to New York in 1955 with the aim of making it or going home. Like many an apprentice, he booked a lot of dances and weddings, but one night, at the Village Vanguard, where he’d been hired to play between the sets of the world-famous Modern Jazz Quartet, he looked down at the end of the grand piano and saw Davis’s penetrating gaze fixed on him. A few months later, having forgotten all about the encounter, Evans was astonished to receive a phone call from the trumpeter: Could he make a gig in Philadelphia?
He made the gig and, just like that, became the only white musician in what was then the top small jazz band in America. It was a controversial hire. Evans, who was really white—bespectacled, professorial—incurred instant and widespread resentment among Black musicians and Black audiences. But Davis, though he could never quite stop hazing the pianist (“We don’t want no white opinions!” was one of his favorite zingers), made it clear that when it came to musicians, he was color-blind. And what he wanted from Evans was something very particular.
One piece that Davis became almost obsessed with was Arturo Benedetti Michelangeli’s 1957 recording of Maurice Ravel’s Piano Concerto in G. The work, inspired by Ravel’s triumphant 1928 tour of the U.S., was clearly influenced by the fast pace and openness of America: It shimmers with sprightly piccolo and bold trumpet sounds, and dances with unexpected notes and chord changes.
Davis wanted to put wide-open space into his music the way Ravel did. He wanted to move away from the familiar chord structures of jazz and use different scales the way Aram Khachaturian, with his love for Asian music, did. And Evans, unlike any other pianist working in jazz, could put these things onto the keyboard. His harmonic intelligence was profound; his touch on the keys was exquisitely sensitive. “I planned that album around the piano playing of Bill Evans,” Davis said.
But Davis wanted even more. Ever restless, he had wearied of playing songs—American Songbook standards and jazz originals alike—that were full of chords, and sought to simplify. He’d recently been bowled over by a Les Ballets Africains performance—by the look and rhythms of the dances, and by the music that accompanied them, especially the kalimba (or “finger piano”). He wanted to get those sounds into his new album, and he also wanted to incorporate a memory from his boyhood: the ghostly voices of Black gospel singers he’d heard in the distance on a nighttime walk back from church to his grandparents’ Arkansas farm.
In the end, Davis felt that he’d failed to get all he’d wanted into Kind of Blue. Over the next three decades, his perpetual artistic antsiness propelled him through evolving styles, into the blend of jazz and rock called fusion, and beyond. What’s more, Coltrane, Adderley, and Evans were bursting to move on and out and lead their own bands. Just 12 days after Kind of Blue’s final session, Coltrane would record his groundbreaking album Giant Steps, a hurdle toward the cosmic distances he would probe in the eight short years remaining to him. Cannonball, as soulful as Trane was boundary-bursting, would bring a new warmth to jazz with hits such as “Mercy, Mercy, Mercy.” And for the rest of his career, one sadly truncated by his drug use, Evans would pursue the trio format with subtle lyrical passion.
Yet for all the bottled-up dynamism in the studio during Kind of Blue’s two recording sessions, a profound, Zenlike quiet prevailed throughout. The essence of it can be heard in Evans and Chambers’s hushed, enigmatic opening notes on the album’s opening track, “So What,” a tune built on just two chords and containing, in Davis’s towering solo, one of the greatest melodies in all of music.
The majestic tranquility of Kind of Blue marks a kind of fermata in jazz. America’s great indigenous art had evolved from the exuberant transgressions of the 1920s to the danceable rhythms of the swing era to the prickly cubism of bebop. The cool (and warmth) that followed would then accelerate into the ’60s ever freer of melody and harmony before being smacked head-on by rock and roll—a collision it wouldn’t quite survive.
That charmed moment in the spring of 1959 was brief: Of the seven musicians present on that long-ago afternoon, only Miles Davis and Jimmy Cobb would live past their early 50s. Yet 65 years on, the music they all made, as eager as Davis was to put it behind him, stays with us. The album’s powerful and abiding mystique has made it widely beloved among musicians and music lovers of every category: jazz, rock, classical, rap. For those who don’t know it, it awaits you patiently; for those who do, it welcomes you back, again and again.
James Kaplan, a 2012 Guggenheim fellow, is a novelist, journalist, and biographer. His next book will be an examination of the world-changing creative partnership and tangled friendship of John Lennon and Paul McCartney.
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Charles Mingus – Oh Yeah
by Atlantic Records. It was recorded in 1961, and features Mingus (usually known to play bass) singing on three of the cuts and playing piano throughout. Allmusic awarded the album five stars and reviewer Steve Huey wrote: “Oh Yeah is probably the most offbeat Mingus album ever, and that’s what makes it so vital.” Charles Mingus – piano and vocals Rahsaan Roland Kirk – flute, siren, tenor saxophone, manzello, and stritch Booker Ervin – tenor saxophone Jimmy Knepper – trombone Doug Watkins – bass Dannie Richmond – drums
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this week: nina simone, lots of depression-era blues, marcel khalife, mingus plays piano!!
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Kris Davis — Diatom Ribbons Live At The Village Vanguard (Pyroclastic)
Photo by Peter Gannushkin
The bio on Kris Davis’ website borrows a line from the New York Times which described the Canadian pianist as the beacon that told listeners where in New York City one should go on any given night. Diatom Ribbons Live At The Village Vanguard proposes a more expansive understanding of her relationship to jazz, because the ensemble’s music is a zone where Davis’s notions about was worth hearing in the 20th century gets processed and beamed out into the 21st.
The first project’s first, self-titled iteration wasn’t really the work of a band as much as it was the manifestation of a concept. The musicians at its core were Davis on piano, Trevor Dunn on electric bass, Terri Lynne Carrington on drums and Val Jeanty wielding turntables as a source of sampled speech, natural sounds and scratches. They were supplemented by six other musicians playing electric guitar, saxophones, vibes and voice, who enabled Davis to incorporate blues, rock, hip-hop and classical elements into her already-inclusive vision of the jazz continuum. The two-disc Diatom Ribbons was ambitious, but also a bit exhausting to negotiate.
This similarly dimensioned successor comes from a weekend engagement at the Village Vanguard. The latest material, which hinges around a three-part “Bird Suite,” and the ensemble’s lack of augmentation — besides the core group, there are no horns and just one guitarist, Julian Lage — results in a more cohesive statement of Davis’s thesis, which echoes a point that Charles Mingus already made a long, long time ago; you do Charlie Parker no honor by trying to play like him. He is the namesake of the three-part “Bird Suite,” which is the album’s center of gravity. Buttressed by Jeanty’s snatches of speeches by Sun Ra, Stockhausen, and other visionaries, as well as liberally reinterpreted tunes by Wayne Shorter, Ronald Shannon Jackson, and Geri Allen, the music seems to be arguing that today’s jazz musician, like Bird, need to deal with everything that’s happened, and then come up with something personal.
To that end, Davis makes a hash of old, dualistic notions like inside/outside, improvised/composed or jazz + (one other genre) hybrids. Properly prepared, hash is pretty tasty, and that’s the case with this overflowing platter of pristine lyricism, bebop-to-free structural abstractions, shifting rhythmic matrices and multi-signal broadcasts of sound and voice. This is the good stuff, Davis seems to be saying, and a music maker following a jazz trajectory needs to deal with it all. But, while the music of the Diatom Ribbons ensemble is way more creatively inclusive than all those bebop copycats Mingus used to rail against, it’s a highly personal reordering of what is known, not a total paradigm shift into the new. Come to think of it, however, Mingus’ own undeniably magnificent accomplishments were more on the order of what Davis is doing here than Charlie Parker’s transformation of the music of his time.
Bill Meyer
#kris davis#diatom ribbons live at the village vanguard#pyroclastic#bill meyer#albumreview#dusted magazine#jazz#Bandcamp
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The traveling record shop has visited my town for this weekend, so it was good ol’ crate diggin’ time. Went there twice, just in case. As you can see on the second photo, it was a good idea :)
Here are my findings:
1. Echo and The Bunnymen „Crocodiles” I was lacking their debut in my collection, hence was more than happy to fill the gap. They are a bit raw yet here, but already at home with their style.
2. Gerry Mulligan „The age of steam”from ’71 shows him on a funkier side of things. It’s very, very good. Also he is in a good company here (incl.: Bud Shank, Bob Brookmeyer, Harry „Sweets” Edison, Joe Porcaro).
3. Astrud Gilberto/ Walter Wanderley „A certain smile, a certain sadness”. Astrud and Walter were both present at the birth of Bossa so it’s no surprise their pairing brought us fine, jazzy and classy album full of first rate Bossa Nova.
4. „Mingus Quintet meets Cat Anderson”. It’s a ’72 bootleg from Berlin (good quality) Two side-long tracks and mindblowing versality from all the musicians, they swing and fool around, effortlessly flow from dixie to avant (jungle-style muted horns extravaganza included). Brilliant stuff!
5. Nat „King” Cole and his trio „After midnight”, which is one of his most jazz records, when he sings and plays piano, with a really swingin’ backing band.
6. Dr. John, The Night Tripper „Remedies”. It captures The Good Doctor still deep in his New Orlean voodoo phase, which I love.
#vinyl#vinyl records#records#vinyljunkie#dr John#nat king cole#gerry mulligan#echo and the bunnymen#astrud gilberto#jazz#bossa nova#post punk#vooodoo#charles mingus
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TWO QUARTETS AT SMALLS
EVITAR SLIVNIK with Dayna Stephens, David Kikoski, and Alexander Claffy, 6 NOVEMBER 2024, 10:30 pm set
TIM ARMACOST with Bruce Barth, Ugonna Okegwa, and Adam Cruz, 8 NOVEMBER 2024, 7:30 pm set
Good old tenor sax/piano/bass/drums lineups and again the bands the leaders assembled drew me into their sets. I have seen EVITAR SLIVNIK on drums before, contributing skillfully to worthy ensembles. He had Dayna Stephens’ reeds in particular, but Alexander Claffy is more than reliable on bass as is David Kikoski though I often find him just too unvariably big and busy. It was TIM ARMACOST who was new to me but he had Bruce Barth and Ugonna Okegwa. Adam Cruz was, like Slivnik, the reliable but overlooked member in the band. Such is often the fate of drummers, as important as they are.
Good old ensembles playing good old tunes: SLIVNIK drew on Coltrane, Dizzy, a standard a la Art Blakey’s Jazz Messengers, Corea and Walton while ARMACOST played three Monk tunes and two originals (one tune had a bar for drums every chorus which was on first hearing clever, not merely clever).
But, once again, I’m cranky and not just because these next day streams on YouTube have ever more intrusive ads to the point that I’ll explore the feasibility of YouTube Premium but more likely just wait a few days until shows get archived on the SmallsLive website.
But there’s other crankiness.
Kikoski continues to strike me as if he can’t ratchet down from a regular gig in the Mingus Organization’s larger ensembles. There I can imagine his energy and roar is valuable, but even there some dynamic modulation helps. Barth was much subtler with sympathetic accompaniment and clever solos, but he’s not the pianist for a Monk heavy set. He nailed the melodies but smoothed over the harmonies at least a little and smoothed over the rhythms quite a bit. ARMACOST was better at the rhythmic quirkiness but he took Ugly Beauty out of waltz time, but he and Barth were quite sympathetic and he has a nice midregister approach. Under Kikoski’s prodding, Stephens was grittier than I often hear him and was on tenor exclusively.
I’m glad I caught these sets and thought about them in relation to one another. It’s worthwhile even when there are things in the sets that rub me the wrong way.
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Given how good improv on a banjo sounds, and how nice it sounds played with piano, double bass, and brass, it's a pity there aren't more banjos in blues and jazz music. Could you imagine how hard a song would slap if it had the combined energies of Earl Scruggs and Charles Mingus?
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Mingus* - Mingus Plays Piano (Spontaneous Compositions And Improvisations) (LP, Album, RE)
Vinyl(VG++) Sleeve(VG++) Insert(VG++) Obi(VG++) // with Obi 帯つき / No scratches on Vinyl, VG+ or better. in great shape / / nice sleeve, more than VG+ conditions, except for some small foxing spots on inside of the gatefold. / / コンディション 盤 : Very Good Plus (VG+) コンディション ジャケット : Very Good Plus (VG+) コンディションの表記について [ M > M- > VG+ > VG > G+ > G > F > P ] レーベル : Impulse!,ABC Impulse! –…
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LÉGENDES DU JAZZ
MAX ROACH, LE BATTEUR ACTIVISTE Né le 10 janvier 1924 dans le township de Newland, dans le comté de Pasquotank, en Caroline du Nord, Maxwell Lemuel Roach était le fils d’Alphonse et Cressie Roach. Max avait quatre ans lorsque sa famille était déménagée dans le quartier de Bedford-Stuyvesant, près de Brooklyn. Sa mère étant chanteuse de gospel, Max avait baigné très vite dans un environnement musical. Après avoir joué du bugle (flugelhorn) dans les parades, Roach avait commencé à apprendre le piano à l’age de huit ans. Deux ans plus tard, il était batteur dans des groupes gospel. Roach venait tout juste de décroché son diplôme au Boys High School de Brooklyn lorsqu’il avait été invité à remplacer Sonny Greer avec l’orchestre de Duke Ellington qui se produisait alors au Paramount Theater de Manhattan. Il avait aussi joué au Georgie Jay’s Tap Room, où il avait accompagné son camarade d’école Cecil Payne. Roach avait fait ses débuts sur disque en décembre 1943 avec Coleman Hawkins.
Plusieurs batteurs de jazz avaient influencé le jeu de Roach, en particulier Philly Joe Jones. Roach expliquait: "Jo Jones was the first drummer I heard who played broken rhythms. I listened to him over and over again. But a lot of people inspired me. Chick Webb was a tremendous soloist. There was Sonny Greer, Cozy Cole, and Sid Catlett, who incorporated this hi-hat and ride cymbal style. Then I heard Kenny Clarke. He exemplified personality and did more with the instrument. It affected me."
Après avoir joué avec Benny Carter, Roach avait connu un des tournants de sa carrière au début des années 1940 en jouant avec Charlie Parker et Dizzy Gillespie dans des clubs comme le Monroe’s Uptown House (dont il était devenu le batteur maison en 1942) et la Minton’s Playhouse de New York.
Roach avait été un des premiers batteurs avec Kenny Clarke à adopter le style bebop. Roach avait joué dans les groupes de Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Thelonious Monk, Coleman Hawkins, Bud Powell et Miles Davis. C’est avec Parker que Roach avait réalisé certains de ses plus enregistrements les plus novateurs, notamment pour les disques Savoy en novembre 1945, lors d’une session qui avait marqué un point tournant dans l’histoire du jazz. Le travail de Roach avec le trio de Bud Powell avait été particulièrement acclamé par la critique. Roach avait décrit ainsi sa collaboration avec Parker: "Everything was on the edge with Bird, you never knew what he was going to do musically, but it always worked out."
Roach, qui avait toujours apprécié la musique des Caraïbes, s’était rendu à Haïti à la fin des années 1940 afin d’étudier avec le batteur traditionnel Ti Roro. En 1949, il avait également participé à l’enregistrement de l’album ‘’Birth of the Cool’’ de Miles Davis.
UNE RENOMMÉE CROISSANTE
Roach avait étudié les percussions classiques et la composition à la Manhattan School of Music de 1950 à 1953, où il avait décroché un baccalauréat en musique. En 1990, la Manhattan School of Music lui avait décerné un doctorat honorifique. Roach avait d’abord envisagé de compléter une majeure en percussions, mais il s’était ravisé après qu’un professeur lui ait déclaré que sa technique laissait à désirer. Comme Roach l’avait expliqué avec humour: “The way he wanted me to play would have been fine if I’d been after a career in a symphony orchestra, but it wouldn’t have worked on 52nd Street.”
En 1952, Roach avait co-fondé les disques Debut avec le contrebassiste Charles Mingus. Il s’agissait d’une des première compagnie de disques de l’histoire à être entièrement gérée par des artistes. C’est Mingus lui-même qui avait enregistré le célèbre concert du 15 mai 1953 à la salle Massey Hall de Toronto. Le concert mettait en vedette Roach, Mingus, Charlie Parker, Bud Powell et Dizzy Gillespie. Les disques Debut avaient également publié un album intitulé ‘’Percussion Discussion’’, une improvisation libre entre une batterie et une contrebasse. À la fin de 1953, Roach avait décidé de s’établir dans la région de Los Angeles, après avoir obtenu un contrat pour remplacer Shelly Manne au sein des Lighthouse All Stars.
En 1954, Roach avait formé un quintet avec le trompettiste Clifford Brown, le saxophoniste ténor Harold Land, le pianiste Richie Powell (le frère de Bud Powell) et le contrebassiste George Morrow. Lorsque Land avait quitté le groupe l’année suivante, il avait été remplacé par Sonny Rollins. Le quintet était un bon exemple du style hard bop qui avait aussi été popularisé par Art Blakey et Horace Silver. Roach avait participé plus tard à l’enregistrement des albums ‘’Saxophone Colossus’’ et ‘’Freedom Suite’’ de Rollins.
Le quintet de Roach et Brown est considéré comme une des meilleures formations de jazz de l’histoire aux côtés des Hot Five et des Hot Seven de Louis Armstrong et des quintets de Charlie Parker et Miles Davis. Au cours des huit années suivantes, la réputation de Roach n’avait que croître. Durant cette période, Roach avait accompagné plusieurs artistes émergents comme Bud Powell, Sonny Stitt et Miles Davis. Malheureusement, Clifford Brown et Richie Powell étaient morts dans un accident de voiture en Pennsylvanie en juin 1956. La mort de Brown et de Powell avait plongé Roach dans la dépression et l’alcoolisme. Il avait fallu plusieurs années à Roach pour s’en remettre.
Le premier album que Roach avait enregistré après le décès de Brown et Powell était intitulé ‘’Max Roach + 4.’’ Après la mort de Brown et Powell, Roach avait continué de diriger des groupes de petite taille. Son nouveau groupe était composé de Kenny Dorham (il a été remplacé plus tard par Booker Little) à la trompette, de George Coleman au saxophone ténor et de Ray Bryant au piano. Grand innovateur, Roach avait élargi la forme standard du hard bop en utilisant des rythmes de 3|4 sur son album de 1957 intitulé ‘’Jazz in 3|4 Time.’’ À la même époque, Roach avait enregistré une série d’albums pour les disques EmArcy qui mettaient en vedette les frères Stanley et Tommy Turrentine.
En 1955, Roach avait accompagné la chanteuse Dinah Washington en concert et en studio. Le concert de Roach avec Washington au festival de jazz de Newport de 1958 avait été filmé. Quant à l’album live de 1954 ‘’Dinah Jams’’, il est considéré comme un des meilleurs disques de jazz de tous les temps.
UN ARTISTE ENGAGÉ
Particulièrement impliqué dans le mouvement des droits civiques et opposé au racisme sous toutes ses formes, Roach avait été invité à participer en 1960 aux célébrations entourant le 100e anniversaire de la proclamation d’émancipation d’Abraham Lincoln. La réponse de Roach ne s’était pas fait attendre: il avait enregistré ‘’We Insist !’’ (sous-titré ‘’Max Roach’s Freedom Now Suite’’), un album particulièrement revendicateur dans lequel il avait chanté en compagnie de son épouse de l’époque Abbey Lincoln sur des paroles écrites par Oscar Brown Jr. Pour Roach, la carrière de musicien de jazz était indissociable de la lutte contre le racisme. Il expliquait: “I will never again play anything that does not have social significance. We American jazz musicians of African descent have proved beyond all doubt that we’re master musicians of our instruments. Now what we have to do is employ our skill to tell the dramatic story of our people and what we’ve been through.”
En 1962, Roach avait enregistré ‘’Money Jungle’’, un album en trio avec Charles Mingus et Duke Ellington. L’album est aujourd’hui considéré comme un des meilleurs enregistrements en trio de l’histoire du jazz.
Au cours des années 1970, Roach avait formé M’Boom, un ensemble de percussions. Tous les membres de la formation participaient aux compositions et jouaient de plusieurs instruments. Parmi les membres du groupe, on relevait Fred King, Joe Chambers, Warren Smith, Freddie Waits, Roy Brooks, Omar Clay, Ray Mantilla, Francisco Mora et Eli Fountain.
Impliqué de longue date dans l’enseignement du jazz, Roach avait été recruté en 1971 par le chancelier de l’Université du Massachusetts à Amherst, Randolph Bromery. Premier musicien de jazz à enseigner au niveau universitaire, Roach avait contribué à établir une majeure en jazz dans cette université. Roach avait enseigné dans cette institution jusqu’au milieu des années 1990.
Au début des années 1980, Roach avait commencé à se produire en solo, ce qui avait contribué à démontrer que l’utilisation de plusieurs instruments de percussion par un seul artiste pouvait répondre aux besoins d’un concert en solo tout en comblant entièrement les goûts du public. Roach avait composé des pièces inoubliables pour ses concerts en solo. Un album live avait même été enregistré par l’étiquette japonaise Baystate. L’un des concerts en solo de Roach est disponible sur vidéo, et contient les prises de l’album ‘’Chattahoochee Red’’, qui mettait en vedette un quartet composé du saxophoniste ténor Odeon Pope, du trompettiste Cecil Bridgewater et du contrebassiste Calvin Hill.
Roach avait également enregistré quelques albums en duo. La plupart de ces enregistrements sont composés d’improvisations libres avec des musiciens d’avant-garde comme Cecil Taylor, Anthony Braxton, Archie Shepp et Abdullah Ibrahim. Sur un de ces duos, on entendait même Roach improviser sur le célèbre discours ‘’I have a Dream’’ de Martin Luther King. Roach avait aussi enregistré des duos plus traditionnels avec Dizzy Gillespie et Mal Waldron.
Dans les années 1980, Roach avait également composé de la musique pour le théatre, notamment sur des pièces de Sam Shepard. Roach avait d’ailleurs été directeur musical d’un festival organisé en hommage à Shepard. Intitulé ‘’ShepardSets’’, le festival avait été présenté au MaMa Experimental Theatre Club en 1984. Le festival comprenait les pièces ‘’Black Dog Beast Bait’’, ‘’Angel City’’ et ‘’Suicide in B Flat.’’ En 1985, George Ferenz avait publié ‘’Max Roach Live at La Ma Ma: A Multimedia Collaboration’’, un enregistrement en concert qui reproduisait la performance de Roach dans le cadre du festival.
Grand innovateur, Roach était tellement audacieux qu’il créait constamment de nouveaux contextes pour ses performances, ce qui avait souvent donné lieu à la formation de groupes exceptionnels. L’un de ces groupes était le Double Quartet. Ce dernier était formé des membres de son quartet régulier, à la seule exception que Tyrone Brown avait remplacé Hill à la contrebasse.
Un autre des groupes de Roach était le So What Brass Quintet, un groupe à l’instrumentation inusitée qui était composé de cinq cuivres (deux trompettes, un trombone, un cor français et un tuba) qui étaient accompagnés par Max Roach à la batterie, sans instruments à cordes ni bassiste. Le groupe comprenait Cecil Bridgewater, Frank Gordon, Eddie Henderson, Rod McGaha, Steve Turre, Delfeayo Marsalis, Robert Stewart, Tony Underwood, Marshall Sealy, Mark Taylor et Dennis Jeter.
Loin de se contenter d’élargir ses frontières musicales, Roach avait passé les années 1980 et 1990 à rechercher de nouvelles formes d’expression musicale et de performance. Il avait même joué un concerto avec le Boston Symphony Orchestra. Roach avait aussi joué et composé avec la chorale gospel de Walter White et les John Motley Singers, en plus de se produire avec des compagnies de danse comme le Alvin Ailey American Dance Theater, la Dianne McIntyre Dance Company et la Bill T. Jones|Arnie Zane Dance Company. Roach a également collaboré à un concert de hip hop mettant en vedette Fab Five Freddy et les New York Break Dancers. Lorsqu’on demandait à Roach pourquoi il évoluait dans un univers aussi éclaté, il répondait que selon lui, il y avait toujours existé une relation étroite entre le travail de ces jeunes artistes de couleur et l’art qu’il avait pratiqué durant toute sa vie.
Roach avait également fondé le Max Roach Double Quartet, une combinaison de son propre quartet avec le Uptown String Quartet dirigé par sa fille Maxine.
Même si Roach s’était produit avec plusieurs sortes de groupes dans le cadre de différents styles musicaux, il avait toujours continué de jouer du jazz. Après avoir joué avec le Beijing Trio, avec le pianiste Jon Jang et le joueur d’erhu (une guitare à deux cordes orientale) Jeibing Chen, Roach avait enregistré un dernier disque avec le trompettiste Clark Terry. Amis de longue date, Roach et Terry Ils avaient souvent travaillé ensemble, tant en duo qu’en quartet. Roach avait livré sa dernière performance publique lors du 50e anniversaire du concert de Massey Hall. En 1994, il avait également collaboré à l’album ‘’Burning for Buddy’’ du batteur Neal Peart de l’ancien groupe de rock progressif Rush.
DÉCÈS ET POSTÉRITÉ
Au début des années 2000, Roach avait dû ralentir ses activités à la suite de problèmes de santé. Atteint de la maladie d’Alzheimer, Max Roach est mort le matin du 16 août 2007 à New York à l’âge de quatre-vingt-trois ans. Roach avait passé ses dernières années au Mill Basin Sunrise à Brooklyn. Il laissait dans le deuil cinq enfants: deux garçons (Daryl et Raoul) et trois filles (Maxine, Ayo et Dara). Roach avait quatre petits-enfants: Kyle Maxwell Roach, Kadar Elijah Roach, Maxe Samiko Hinds et Skye Sophia Sheffield. Son gendre Fab Five Freddy, un pionnier du hip hop, était réalisateur et artiste. Souvent comparé à Art Blakey dans le cadre des concours couronnant le meilleur batteur, Max Roach avait été un des musiciens les plus innovateurs de l’histoire du jazz.
Plus de 1900 personnes avaient assisté aux funérailles de Roach à l’église Riverside le 24 août 2007. Roach a été inhumé au cimetière Woodlawn dans le Bronx. Dans son hommage funéraire, le lieutenant-gouverneur de l’État de New York, David Paterson, avait comparé le courage de Roach à celui de héros comme Paul Robeson, Harriet Tubman et Malcolm X. Paterson avait déclaré: ‘’No one ever wrote a bad thing about Max Roach's music or his aura until 1960, when he and Charlie Mingus protested the practices of the Newport Jazz Festival."
Roach s’est marié trois fois. Roach avait épousé sa première femme Mildred en 1949. Roach avait eu deux enfants avec Mildred, un fils, Daryl Keith, et une fille, Maxine. En 1956, Roach avait rencontré la chanteuse Barbara Jai Johnson qui lui avait donné un autre fils, Raoul Jordu. Le couple ne semble jamais avoir été marié. De 1962 à 1970, Roach avait été marié à la chanteuse Anne Marie ‘’Abbey’’ Lincoln, qui l’avait accompagné sur plusieurs de ses albums. En 1971, la troisième épouse de Roach, Janus Adams Roach, avait donné naissance à deux jumelles, Ayodele Nieyela et Dara Rashida. Sur le plan religieux, Roach s’identifiait lui-même comme musulman depuis une entrevue qu’il avait accordée à Art Taylor au début des années 1970.
Le batteur Stan Levey avait un jour décrit l’importance de Roach en affirmant: "I came to realize that, because of him, drumming no longer was just time, it was music." En 1966, sur son album intitulé ‘’Drums Unlimited’’ (qui comprenait quelques pièces qui étaient entièrement composées de solos de batterie), Roach avait fait de la batterie un instrument à part entière en démontrant que celle-ci pouvait être utilisée comme un instrument solo capable d’exécuter des thèmes, des variations et des phrases rythmiques cohérentes. Roach décrivait d’ailleurs lui-même sa conception de la musique comme une ‘’création de son organisé.’’
Max Roach a remporté plusieurs prix et récompenses au cours de sa carrière. En 1988, Roach avait décroché une bourse de la MacArthur Foundation, devenant ainsi le premier musicien de jazz à recevoir cet honneur. Roach avait été élu Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres de France l’année suivante. Roach a aussi été nommé Jazz Master par la National Endowment of the Arts en 1984. En plus d’avoir remporté à deux reprises le Grand Prix du Disque de France, Roach a été admis au temple de la Renommée de l’International Percussive Art Society ainsi qu’au Down Beat Hall of Fame. Roach a également été intronisé au sein du North Carolina Music Hall of Fame en 2009. Roach avait aussi été nommé ‘’Jazz Master’’ par l’Université Harvard.
Roach était également récipiendaire de huit doctorats honorifiques. En 1986, la paroisse de Lambeth à Londres en Angleterre avait nommé un parc en l’honneur de Roach. Le batteur��avait d’ailleus inauguré le parc lui-même en mars de la même année à l’invitation du Greater London Council. Lors de ce voyage, Roach s’était produit en concert au Royal Albert Hall avec le batteur ghanéen Ghanaba et plusieurs autres.
c- 2023, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES :
KEEPNEWS, Peter. ‘’Max Roach, a Founder of Modern Jazz, Dies at 83.’’ New York Times, 16 août 2007. ’Max Roach.’’ Wikipedia, 2022. ‘’Max Roach.’’ Encyclopaedia Britannica, 2022. ‘’Max Roach.’’ National Endowment for the Arts, 2023. ‘’Max Roach Biography.’’ Net Industries, 2023. ‘’Roach, Max.’’ Encyclopedia.com, 18 mai 2018.
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Silence - by Charlie Haden Piano solo
Silence - by Charlie Haden Piano solo with sheet music
https://vimeo.com/490669458
Charles Edward Haden (August 6, 1937 – July 11, 2014) was an American jazz double bass player, bandleader, composer and educator whose career spanned more than 50 years. In the late 1950s, he was an original member of the ground-breaking Ornette Coleman Quartet. Haden revolutionized the harmonic concept of bass playing in jazz. German musicologist Joachim-Ernst Berendt wrote that Haden's "ability to create serendipitous harmonies by improvising melodic responses to Coleman's free-form solos (rather than sticking to predetermined harmonies) was both radical and mesmerizing. His virtuosity lies…in an incredible ability to make the double bass 'sound out'. Haden cultivated the instrument's gravity as no one else in jazz. He is a master of simplicity which is one of the most difficult things to achieve." Haden played a vital role in this revolutionary new approach, evolving a way of playing that sometimes complemented the soloist and sometimes moved independently. In this respect, as did his predecessor bassists Jimmy Blanton and Charles Mingus, Haden helped liberate the bassist from a strictly accompanying role to becoming a more direct participant in group improvisation. In 1969, he formed his first band, the Liberation Music Orchestra, featuring arrangements by pianist Carla Bley. In the late 1960s, he became a member of pianist Keith Jarrett's trio, quartet and quintet. In the 1980s, he formed his band, Quartet West. Haden also often recorded and performed in a duo setting, with musicians including guitarist Pat Metheny and pianist Hank Jones. Read the full article
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'Hello there, I'm Hazel Scott': Jazz's unsung artist-activist
Jazz Night shines a light on the artistry and activism of pianist and singer Hazel Scott, and the efforts to recover her legacy.
If you've been on social media these past few years, you might have seen a video of Hazel Scott, without knowing it was Hazel Scott. In the clip, she sits poised between two pianos — one white, one black — the back of her spotless white gown showing off a boldly deep V-cut. She captivatingly plays those pianos simultaneously. Her fingers perform fox trots and quicksteps across the keys, showcasing just some of what made her a thrilling performer. But there is more to Scott than that one stunning display of her skills.
The Juilliard-educated child prodigy counted noted jazz icons Art Tatum, Billie Holiday, Duke Ellington, Charles Mingus among her mentors and contemporaries. Scott featured at iconic venues like Café Society and Carnegie Hall, on the radio and Broadway stages, and commanded both top dollar and dignified roles in Hollywood in the 1930s and '40s. Scott's stardom culminated in her becoming the first Black person to host a television show in 1950, setting the stage for Black hosts like Nat King Cole and Oprah Winfrey.
So why is Scott likely unfamiliar to the casual jazz fan, unlike those mentors and contemporaries? At a time when it was dangerous to simply exist as a Black woman in America, Scott audaciously fought against segregation and spoke against the Sen. Joseph McCarthy-era Red Scare of the 1950s, all to the detriment of her career. In this Jazz Night in America video, we shine a light on the artistry and activism of the pianist and singer, and the efforts to recover her legacy.
LISTEN 7:40 https://www.npr.org/2024/04/09/1241598862/-hazel-scott-jazz-unsung-artist-activist
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