#Meubles Pour Salon
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Mobilier de Salon Confortable et Élégant | Canapés & Fauteuils - SweetDeco.co
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Idée déco 💅🏻 Cette grande pièce était la chambre de toutes les souveraines de France depuis Marie de Médicis jusqu’à Eugénie. C’est dans cette pièce que se déroulaient en public le grand lever et le grand coucher. Marie-Antoinette n’a jamais connu cette chambre terminée pour elle en 1787. l’appartement de la souveraine fut redécoré suivant le goût du jour. Pour le salon des Jeux de Marie-Antoinette, l’ébéniste Beneman livra en 1786 deux commodes exécutées sous la direction d’Hauré à partir d’un meuble de Stöckel. En effet Benneman fut chargé en 1786 de modifier une commode à rinceaux de Stöckel achetée à Sauvage et d’en exécuter une seconde sur le même modèle pour la chambre de la Reine à Compiègne. A peine les meubles achevés, il fut finalement décidé de les transformer et de les envoyer de Compiègne à Fontainebleau, pour le salon des jeux de la Reine. Avec leur riche décor d’entrelacs végétaux et de plaques en porcelaine de Sèvres à figures antiques, elles complétaient le décor des murs de la pièce alors peint en style arabesque. Ces commodes furent choisies par Joséphine pour meubler la chambre de l’impératrice #fontainebleau #france #patrimoine #royal #sculpture #frenchdesign #XVIIcentury #boiseries #gold #delorpartout #versailles #henriIV #violet #chateaufontainebleau #frencharchitecture #frenchinterior #frenchart #interiorgoals #photography #colors #XIXcentury #europeanroyalpalaces #napoleonIII #caclaque | by hugues.mr
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Week-end
Alice - Valise
Rideau de Pierisim Prise électrique de Awingedllama Coussin 'Kuromi' de Bknysimz Sac de Platinumluxesims Valise de Felixandre Vêtements pliés de Wondymoon Vêtements pliés de Syboulette Pull de Leosims Bottes de Bergdorfverse Trousse de toilette de Platinumluxesims Brosse à dent électrique de TheClutterCat Brosse à cheveux de Sixam Sèche-cheveux de Pierisim Lingettes du jeu Fard à paupière de ATS4 Kit faux-cils de Syboulette Blush crème, déodorant, gel à sourcils, gel visage de Simkoos Gloss de Simkoos Crème pour les mains de ATS4 Crème et Rasoir, étui et solution de lentilles de Syboulette Crème, crème pour le corps de LilacCreative Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Alice - Sac à Main
Meuble d'entrée de Tuds Miroir de Littledica Plante de Awingedllama Bougie de Harrie et Felixandre Sac à main de Bergdorfverse Perrier de ATS4 Oreo de ATS4 Clés, Pince à Cheveux de ATS4 Lunettes de soleil de ATS4 Passeport, Tictac de ATS4 Rouge à lèvres de ATS4 Crème pour les mains de Platinumluxesims Chewing-gum de ATS4 Parfum de ATS4 Mouchoirs de ATS4 Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Tom - Sac de Voyage
Ventilateur de Awingedllama Radiateur du jeu Prise de Felixandre Rideaux de Pierisim Coussin de Simkoos Sac de voyage de Pierisim Vêtements pliés de Simkoos Pulls pliés de Leossims Pantalons pliés de Leosims Baskets de Syboulette Brosse à dent électrique de TheClutterCat Shampoing de Myshunosun Peigne de Platinumluxesims Crème et Rasoir de Syboulette Produits de Syboulette Crème de ATS4 Déodorant de ATS4 Crème pour les mains de ATS4 Lubrifiant de Theclutterscat Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Tom - Sac à dos
Salon de Sundays Ordinateur portable, casque de RightHearted Sac à dos de ATS4 Passeport de ATS4 Clé de Voiture de ATS4 Bouteille d'eau de ATS4 Chips de ATS4 Cigarettes de Simplex Parfum de ATS4 Papier peint de Harrie Parquet de Pierisim
Animation de Simd
Créateurs CC :
@pierisim / @awingedllama / @bknysimz / @xplatinumxluxexsimsx / @felixandresims / @wondymoondesign / @syboubou / @leosims4 / @bergdorfverse / @thecluttercat / @imfromsixam / @aroundthesims / @simkoos / @lilaccreative / @harrie-cc / @tudtuds / @littledica / @righthearted / @simsplex / @Simd /
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« Est-il possible qu’on n’ait encore rien vu, reconnu et dit de vivant, est-il possible qu’on ait eu des millénaires pour observer, réfléchir et écrire et qu’on ait laissé passer ce millénaire comme une récréation pendant laquelle on mange sa tartine et une pomme ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que malgré invention et progrès, malgré la culture, la religion et la connaissance de l’univers l’on soit resté à la surface de la vie ? Est-il possible que l’on ait même recouvert cette surface qui après tout eu encore été quelque chose, qu’on l’ait recouverte d’une étoffe indiciblement ennuyeuse qui la fait ressembler à des meubles de salon pendant les vacances d’été ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’histoire de l’univers ait été mal comprise, est il possible que l’image du passé soit fausse parce que l’on a toujours parlé de ces foules comme si l’on ne racontait jamais que des réunions d’hommes au lieu de parler de celui autour de qui ils s’assemblaient parce qu’il était étranger et mourant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que nous croyons devoir rattraper ce qui est arrivé avant que nous soyons nés ? Oui, c’est possible.
Est-il possible qu’il faille rappeler à tous l’un après l’autre qu’ils sont nés des anciens, qu’ils contiennent par conséquent ce passé et qu’ils n’ont rien à apprendre d’autres hommes qui prétendent posséder une connaissance meilleure ou différente ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que tous ces gens connaissent parfaitement un passé qui n’a jamais existé ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que toutes les réalités ne soient rien pour eux, que leur vie se déroule et ne soit attachée à rien comme une montre oubliée dans une chambre vide ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on ne sache rien de toutes les jeunes filles qui vivent cependant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on dise les femmes, les enfants, les garçons et que l’on ne se doute pas malgré toute sa culture, que l’on ne se doute pas que tous ces mots depuis longtemps n’ont plus de pluriel mais n’ont qu’infiniment de singulier ?
Oui, c’est possible.
Est il possible qu’il y ait des gens qui disent Dieu et pensent que ce soit un être qui leur est commun ?
Oui, c’est possible.
Vois ces deux écoliers, l’un s’achète un couteau de poche et son voisin, le même jour, s’en achète un identique et après une semaine, ils se montrent leurs couteaux et il apparaît qu’il n’y a plus entre les deux qu’une lointaine ressemblance tant a été différent le sort des deux couteaux dans des mains différentes ? Oui, dit la mère de l’un s’il faut que vous eussiez toujours tout et encore est-il possible que l’on croit posséder un dieu sans l’user ?
Oui, c’est possible ».
Mais si tout est possible, si tout cela n’a même qu’un semblant de possibilité, mais alors il faudrait pour l’amour de tout au monde, il faudrait que quelque chose arriva.
- Rainer Maria Rilke se pose les questions dans ´Les Cahiers De Malte Laurids Brigge
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La rumeur sur Brigitte Macron ça ne peut venir que de gens qui ont toujours vécu en ville. J’ai grandi à la campagne à côté d’une petite ville, et je connaissais tout rien qu’en allant acheter une baguette des aventures extra conjugales du maire, des problèmes de comportement du fils du dentiste, des histoires d’héritage de la famille Trucmuche…
(mais si vous savez, les Trucmuche ceux qui tenaient le magasin de jouets, oui enfin maintenant c’est un opticien mais anciennement Trucmuche, ah ça du temps du père Trucmuche ils étaient aisés mais alors le fils Trucmuche… Non pas Gérard, il est très bien lui mais l’autre, le bon à rien? Oui celui-là et bien vous savez qu’il aurait vendu les meubles de la grand-mère sans le dire… La grand mère c’était une Machinchose, de l’usine Machinchose oui. Ça n’existe plus bien sûr mais je vous parle de ça, y’a 40 ans tout le monde avait quelqu’un dans sa famille qui travaillait chez Machinchose. Alors imaginez les meubles ! Et sa pauvre femme ! Et madame ce sera quoi ? Une tradition ? Je vous jure les gens n’ont plus aucune patience de nos jours. 1 euros vingt merci ce sera tout ? Merci au revoir! Oui et donc sa pauvre femme, elle serait même allée chez le bijoutier du centre vendre sa gourmette. Ils en sont là ! Non je l’ai su par - enfin ne le répétez pas - la petite apprentie de Mireille, du salon de coiffure à côté. Tous les jours elle vient chercher son croissant. D’ailleurs elle s’est fiancée avec vous savez qui?… »
Du coup j’imagine que si dans mon coin un fils de famille de notable était devenu une femme et enseignait dans une école catholique toute la ville serait au courant et il suffirait de faire un micro trottoir pour avoir absolument toute l’histoire avec les dates, les détails et une bonne dose de mythologie.
#politics#ça se serait passé chez moi que la boulangère de la place de la mairie#aurait su absolument tout#d’autant plus que c’était la seule ouverte le dimanche donc c’était gossip central#si la boulangère du centre à Amiens ne sait rien c’est qu’il ne s’est rien passé
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Lorsque vous planifiez un séjour, que ce soit pour affaires ou pour le plaisir, le choix du logement est une décision importante à prendre. Les logements meublés offrent de nombreux avantages par rapport aux hôtels traditionnels, notamment en termes de confort, de commodité et de flexibilité. Dans cet article, nous vous présentons 10 Avantages d’un Logement Meublé pour votre Séjour, afin que vous puissiez profiter pleinement de votre expérience de voyage.
1. Confort comme à la maison
L’un des principaux avantages des logements meublés parmi les 10 Avantages d’un logement meublé pour votre Séjour est le confort qu’ils offrent, avec des espaces de vie spacieux, des meubles confortables et des équipements modernes. Vous vous sentirez comme à la maison dès votre arrivée, ce qui rendra votre séjour plus agréable et relaxant.
2. Flexibilité de l’espace
Les logements meublés offrent une plus grande flexibilité d’espace par rapport aux chambres d’hôtel standard. Vous bénéficiez de plusieurs pièces séparées, telles que des chambres à coucher, un salon, une cuisine et une salle de bains, ce qui vous permet de vivre et de travailler confortablement pendant votre séjour.
3. Économies sur les repas
En choisissant un logement meublé, vous avez la possibilité de cuisiner vos propres repas dans une cuisine entièrement équipée, ce qui vous permet d’économiser sur les frais de restauration. Vous pouvez préparer des repas sains et savoureux à moindre coût, tout en profitant de la commodité de manger à votre convenance.
4. Intimité et tranquillité
Les logements meublés offrent une plus grande intimité et tranquillité par rapport aux hôtels bondés. Vous avez votre propre espace privé où vous pouvez vous détendre et vous ressourcer en toute tranquillité, sans être dérangé par les bruits des autres clients ou du personnel.
5. Services inclus
De nombreux logements meublés proposent des services inclus dans le prix de la location, tels que le ménage régulier, le changement des draps et des serviettes, et la connexion Internet haut débit. Vous pouvez profiter de ces services pour un séjour sans souci et en toute commodité.
6. Séjour prolongé
Les logements meublés sont idéaux pour les séjours prolongés, que ce soit pour des voyages d’affaires, des vacances en famille ou des déménagements temporaires. Vous bénéficiez de tarifs avantageux pour les séjours de longue durée, ce qui vous permet de prolonger votre séjour sans vous ruiner.
7. Adapté aux familles
Les logements meublés sont particulièrement adaptés aux familles avec enfants, offrant des espaces de vie spacieux et des équipements adaptés aux besoins des enfants, tels que des lits bébé, des chaises hautes et des jeux de société. Vous pouvez profiter d’un séjour en famille confortable et pratique, avec tout le confort de la maison.
8. Localisation centrale
De nombreux logements meublés sont situés dans des quartiers centraux et bien desservis, à proximité des attractions touristiques, des commerces, des restaurants et des transports en commun. Vous pouvez profiter de la commodité de séjourner dans un emplacement central, tout en bénéficiant de la tranquillité d’un logement privé.
9. Souplesse de réservation
Les logements meublés offrent une plus grande souplesse de réservation par rapport aux hôtels traditionnels, avec des options de location à la journée, à la semaine ou au mois. Vous pouvez réserver votre logement pour la durée qui vous convient, sans avoir à vous soucier des contraintes de disponibilité ou de réservation.
10. Expérience locale authentique
En choisissant un logement meublé, vous avez l’opportunité de vivre une expérience locale authentique, en vous imprégnant de la culture et du mode de vie de la destination. Vous pouvez explorer les quartiers locaux, rencontrer les habitants et découvrir les secrets les mieux gardés de la ville, pour un séjour inoubliable.
En choisissant un logement meublé pour votre séjour, vous bénéficiez de nombreux avantages qui rendront votre expérience de voyage plus confortable, pratique et mémorable. Que ce soit pour un voyage d’affaires, des vacances en famille ou une escapade romantique, les logements meublés offrent tout le confort et la flexibilité dont vous avez besoin pour profiter pleinement de votre séjour.
Nous espérons de tout cœur que ces conseil ou que ce guide sur les 10 Avantages d’un Logement Meublé pour votre Séjour va vous aidez à choisir le logement parfait.
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Remedios Varo Uranga
Remedios Varo Uranga, née le 16 décembre 1908 à Anglès, dans la province de Gérone en Espagne, et morte le 8 octobre 1963 à Mexico, est une artiste peintre surréaliste espagnole.
Son père est un ingénieur hydraulique. En 1924, Remedios Varo entre à l'Académia de San Fernando où elle étudie les beaux-arts. En 1930, elle participe à une exposition collective à Madrid. Elle épouse le peintre basque Gerardo Lizarraga et ils partent s'installer à Paris.
Elle revient à Barcelone, en 1932, se sépare de Lizagarra et se lie avec le peintre Esteban Francés.
En 1936, Remedios Varo participe à l'exposition Logicofobista organisée à la Galeria Catalonia de Barcelone et rencontre le poète surréaliste français Benjamin Péret, venu combattre avec les anarchistes de la colonne Durutti sur le front de Teruel2. Ils se marient et s'installent à Paris en 1937. Avec Péret, elle fréquente le groupe surréaliste parisien et se lie d'amitié avec l'artiste peintre anglaise Leonora Carrington. Elle présente plusieurs tableaux à l' Exposition internationale du surréalisme de janvier 1938 et à l' Exposition du rêve dans l'art organisée par Frédéric Delanglade. Sa toile El Deseo (Le Désir) est reproduit dans le numéro 10 de la revue Minotaure.
À la fin de l'année 1940, Remedios Varo et Benjamin Péret retrouvent André Breton et quelques surréalistes réfugiés à Marseille, dans la villa Air-Bel, louée par le journaliste américain Varian Fry, dans l'attente d'un visa de sortie du territoire français. Ils parviennent à quitter la France en 1941 pour le Mexique. Elle y retrouve Lizarraga, Francés, Leonora Carrington, Gordon Onslow-Ford, Wolfgang Paalen et sa femme Alice Rahon. Elle crée des publicités pour la compagnie pharmaceutique Bayer, fait de la décoration, peint des meubles et restaure des céramiques pré-colombiennes.
En 1947, elle se sépare de Benjamin Péret qui rentre en France. Elle expose à la galerie Maeght pour l' Exposition internationale du surréalisme.
Après un voyage au Venezuela où elle participe, avec son frère le docteur Rodrigo Varo, à une expédition entomologique, Remedios Varo rencontre Walter Gruen qui l'encourage à peindre à nouveau. Ils se marient en 1953.
En 1955, la Galería Diana de Mexico organise sa première exposition personnelle. En 1958, la Galería Excelsior organise le premier Salon de la Plastica Femina où sont exposées des œuvres, outre celles de Remedios Varo, de Leonora Carrington et d’Alice Rahon. En 1962, la Galería Juan Martín présente sa deuxième exposition personnelle et elle participe à l'Exposition internationale de Tokyo.
Remedios Varo meurt d'une crise cardiaque. Son dernier tableau Nature morte ressuscitant est la seule œuvre sans aucun personnage.
En 1964, une rétrospective est organisée au Musée des Beaux-Arts de Mexico qui attire plus de 50 000 visiteurs. Dans la revue surréaliste La Brèche, André Breton rend hommage à son œuvre « tout entière » surréaliste : « Remedios, la féminité même, ici en hiéroglyphe le jeu et le feu dans l'œil de l'oiseau. »
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Je voudrais que quelqu’un rentre dans ma vie et là renverse de part en part, qu’elle fasse trembler les meubles, voler les assiettes, que les draps se tordent comme des voiliers en pleine tempête. Je voudrais qu’on soit deux et puis toute seule en même temps, qu’on fasse équipe pour tout, partout, tout le temps que les gens parlent de nous en disant :
« Eux », « Eux.. la », les indissociables, les amoureux, les relous qui passent leurs temps a se dire « je t’aime » avec les yeux. Je voudrais qu’ont passe nos nuits à faire l’amour et nos journées à se raconter nos soirées, je voudrais qu’on le fasse dehors, au cinéma, dans l’ascenseur. Je voudrais connaître sa peau par cœur, qu’il soit la carte et le voyage, qu’il soit le ciel puis le paysage.
Je voudrais qu’on se disent « pour toujours » et que « pour toujours veuille dire jusqu’à la fin », qu’il n’existe plus d’horaires, ni de fuseaux, que la seule horloge qui compte soit celle qui palpite sous nos os et que si même un jour ça crée une sacrée putain de triste histoire, on se sépare, qu’on soit foutrement heureux d’avoir vécu l’éternité à deux.
Je voudrais que le temps s’arrête, je veux m’endormir avec lui dans mes bras et me réveiller dans les siens. Je veux qu’on rie de tout de rien et qu’à chaque fou rire, je retombe amoureuse.
Je veux qu’on se pardonne les erreurs, les maladresses et les faux pas, qu’on dise « Peu importe ce que tu feras, je sais que tu le feras pour moi pour me retrouver » pour me saisir, me réveiller, pour me crier « Je t’aime », « J’ai peur », « Tu me manques », pour ne pas se perdre. » Même si il arrive parfois que pour ne pas se perdre il faille s’égarer.
Je voudrais qu’on fasse nos courses comme des enfants puis qu’on finissent par commander, qu’on danse des slows dans le salon, qu’il me marche sur les pieds, je voudrais que les voisins ralent à grands coups de manche à balais, je veux qu’on ai nos classiques, nos blagues privées, nos musiques, des trucs qui rendent jaloux tous les potes en soirées. Je voudrais qu’on soit se couple insupportable qui s’embrasse dans la rue puis dans le métro et même les escaliers.
Je voudrais qu’on se regarde dormir, passer des heures a l’effleurer a lui dire qu’il est beau.
Je voudrais qu’il m’attende à la gare parce que c’est triste une gare sans lui.
Je voudrais qu’on passe notre temps à se murmurer des choses, comme si c’étaient des secrets, comme si ça nous appartenait, comme si le monde ne le savait pas.
Je voudrais qu’il me tienne par le bras quand on s’en va marcher et que rien que ça suffise à me faire mouiller, qu’on parle de tout, que l’on se connaisse par cœur, que son histoire je l’aime comme on aime un roman, je veux qu’à chaque fois que je le vois je me dise… « Putain.. Je pourrais mourir. J’ai tout vécu. Vraiment. »
Je voudrais qu’il m’inspire, qu’il soit ma muse et mon modele, je voudrais qu’il soit dans toutes les phrases ou j’emploie « il » et qu’à chaque foutu poème je ne fasse que bégayer sa beauté. Je voudrais qu’on s’aime, qu’un jour on ai des gamins qui nous ressemblent. Parce que les enfants, c’est de l’amour qui ne se sépare pas, c’est de l’amour après l’amour. C’est tout. Les enfants c’est l’union réussie de deux corps qui échouent.
Je voudrais qu’il soit mon mari, mon copain, mon mec, mon amoureux, mon meilleur ami, mon partenaire, mon complice, mon âme sœur, ma raison, mon relecteur aussi, ma rose, mon armure. Je voudrais qu’il soit ma maison et je voudrais être tout ça pour lui aussi. Puis même séparé que ça sonne toujours un peu vrai. Que si un jour on se croise dans la rue, redevenus deux inconnus, on puisse se dire dans un sourire muet : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois, mais j’ai aimé. »
.Félix Radu~
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Assise dans mon salon je contemple cette pièce taiseuse. Les cartons sont presque tous faits. Les meubles récurés à la limite de blanchis. Les espaces vidés. L'écho est revenu et je n'ose pas bouger de peur de redonner le peu de vie que j'ai ôté plus tôt. Drôle de période. Je quitte pour de bon cet appartement qui aura accueilli autant de drames que de jolies choses. Il aura connu de l'amour, du manque d'affection, de la solitude, de la colère, des clopes, des insomnies, des sessions de grattage au sang, des points de suture, une amourette bâclée, des révisions, des siestes, du rangement, ect. Tout ça, ça a été mon quotidien sur trois années consécutives qui n'auront mené à rien d'autre qu'une seule et unique pensée intrusive: j'ai fait tout ça pour rien. Je n'ai aucune idée de comment je me sens. Le temps semble s'être arrêté sur moi tant et si bien que j'en ai égaré la notion. Pourtant, les jours filent quand même, les rendez-vous s'enchaînent, les dates butoires continuent d'attendre leur heure de gloire, les notifications s'entassent. Je ne sais pas si j'ai les poumons qui s'embrasent ou si j'ai la tête hors de l'eau. Suis-je si indispensable aux existences juxtaposant et étouffant la mienne ? Forcée de constater que oui. J'ai un goût de gaspillage qui me calcine la gorge avec cette intime crainte de continuer à ressentir ce vide, et ces pensées qui me hurlent que ça n'a pas de sens. Je devrais prendre cette fin comme un début, alors que pour le moment, j'ai la sensation d'un entracte. Les spectateurs de ma vie -moi y compris- se demandent ce qu'il va survenir dans le prochain long métrage car il y a toujours une suite de nos jours. Peu importe l'inconsistance d'un film, on lui accorde souvent une autre chance, et j'ai peur que mon existence n'en fasse pas exception.
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Je l'aime tellement. Je suis tellement bien avec lui. Il a chez moi une chambre imaginaire, avec son nom sur la porte, les couleurs que je lui associe sur le papier peint. Une bibliothèque avec des livres que je lis sur un pouf. Une table basse, une penderie, un meuble avec une chaîne hi-fi, une bouilloire et une lampe sur une tablette, un fauteuil, un canapé.
Je voudrais pouvoir passer mes journées dans cette chambre. Peut-être qu'un jour, j'y ajouterai un lit et de quoi cuisiner.
Zut. Cette blague ne le fait pas rire. L'humour visuel, ce sera pas avec lui.
Mince. Il m'a expliqué pourquoi les personnages de dessins animés ont quatre doigts par main, mais il a pas su biiieeen m'expliquer pourquoi. Les compréhension en profondeur, ce sera pas avec lui.
Je ne peux pas tout partager avec lui, c'est normal. Il ne peut pas me combler entièrement. Je dois aller un peu dans d'autres pièces.
Merde. Il boude parce que je ne peux pas le voir ce soir. La vulnérabilité dans la communication, ce ne sera pas avec lui.
Et petit à petit, comme ça, je retire un meuble de sa chambre imaginaire.
Flûte.
Allez, encore un meuble.
Et puis un jour, j'entre dans sa pièce imaginaire. Elle a toujours son nom sur la porte, toujours ses couleurs aux murs. Mais elle résonne.
J'ai déplacé les meubles un à un. Ils encombrent pour l'instant le salon, je n'ai pas trouvé la pièce adéquate.
Je l'aime toujours. C'est toujours chez moi. Mais j'y vais moins souvent. J'ai moins l'élan. Alors, à quoi bon chauffer cette pièce ?
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Plus De Temps Avec Toi - Robin Buckley
Stranger Things Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Résumé : Tu rencontres Robin à une soirée.
Warnings : soirée, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Enchanted (Taylor's Version) - Taylor Swift
Un nœud au ventre, Robin entre dans la maison de Steve où la musique bat déjà son plein. Elle passe entre plusieurs adolescents, dont certains couples en train de s’embrasser - ou plutôt, en train de se manger le visage. Robin tente de ne pas y prêter attention et cherche son ami du regard. Quand elle le trouve, elle appelle son nom. Steve se retourne et lui fait un sourire.
-Tu es venue, finalement ! Tu vas voir, tu vas t’amuser.
-J’en suis pas si sûre. Je ne connais pas grand monde, contredit-elle nerveusement.
-Justement, il faut que tu fasses des rencontres ! Tu restes dormir là ce soir et je te ramène chez toi le lendemain ?
-Non, mon père vient me chercher à minuit.
-Sérieusement ? demande Steve en levant les yeux au ciel.
-Ecoute, c’était la condition pour que je puisse venir à ta soirée ! Sois content que je sois là, j’aurais pu ne pas insister quand ils m’ont dit “non” la première fois.
-Essaye d’en profiter un maximum, alors.
-Ouais, je sais pas trop.
-Ça va bien se passer, Robs, la rassure-t-il en posant une main sur son épaule. Et si ça devient trop, tu peux toujours venir me trouver ou aller t’isoler dans ma chambre.
-Et tomber sur un couple à moitié nu, si ce n’est pire ? Non ! s’exclame Robin en secouant la tête.
-J’ai fermé ma chambre et celle de mes parents. La clé est dans le tiroir du meuble du couloir, chuchote Steve dans l’oreille de Robin.
-Quelle cachette ! rigole-t-elle.
-Tu peux critiquer, mais les gens sont trop bourrés pour y penser. Faut que j’aille m’occuper des boissons, va sur la piste de danse, éclate-toi !
“Éclate-toi”.
Robin se répète ces mots dans sa tête alors qu’elle regarde les adolescents du coin de la pièce. Malgré les musiques entraînantes, elle n’ose pas poser un pied sur la piste de danse improvisée dans le salon de Steve. Elle n’a pas envie de passer pour la fille qui n’a pas d’amis en dansant seule. Elle ne se sent déjà pas à sa place. Il vaut mieux qu’elle se fasse oublier plutôt qu’elle attire l’attention sur elle.
Robin essaye de chercher Steve du regard et elle le trouve très proche d’une fille du lycée, alors elle préfère le laisser tranquille. Ne voulant pas rester statique, Robin va se servir une boisson et grignoter un peu. Quand un peu plus de monde la rejoint pour se rassasier, Robin décide de s’en aller, son verre toujours en main. Cette fois, elle ne s’arrête pas dans le salon et sort. Elle espérait un peu de calme, cependant, les personnes sautant dans la piscine lui font comprendre qu’elle doit aller autre part. Robin soupire et finit par monter dans la chambre de Steve après avoir récupéré la clé.
Robin regarde la chambre de son ami, découvrant les quelques affiches et affaires de cours traînant sur son bureau. La musique étouffée par la porte fermée, Robin s’allonge sur le lit et profite du calme.
Robin reste sur le lit à boire son verre doucement jusqu’à ce qu'elle entende quelqu’un frapper à la porte. Elle n’a pas le temps de répondre que la personne entreouvre la porte et rapproche sa tête de la fente sans regarder à l’intérieur de la pièce.
-S’il vous plaît, dites-moi que vous n’êtes pas nus, dis-tu, les yeux fermés.
-Euh, je suis habillée, informe Robin en se rassayant, perdue.
-Et l’autre personne ?
-Il n’y a que moi.
-Vraiment ? t’exclames-tu avant de rentrer. Oh, Dieu merci ! J’avais peur qu’un couple ait trouvé la cachette infiaible de Steve ou qu’il ait dit où était la clé à quelqu’un d’autre.
Robin reste d’abord silencieuse en te voyant. Elle ne pense pas être dramatique quand elle se dit que tu es la plus belle fille qu’elle ait vu de toute sa vie. Rapidement, Robin essaye d’arranger ses cheveux qui sont légèrement décoiffés à cause du coussin.
-Désolée, je ne savais pas que quelqu’un d’autre voulait venir, s’excuse-t-elle en parlant vite. Steve m’a dit que je pouvais venir ici si besoin. Je ne voulais pas…
-Hey, il n'y a pas de problème, la coupes-tu avec un sourire. Si Steve t’a dit que tu pouvais venir, c’est qu’il te fait confiance. Ça te dérange si je te tiens compagnie ? J’aimerais souffler pendant quelque temps, expliques-tu en te grattant la nuque.
-Pas de soucis, tu peux rester. Je ne vais pas t’interdire de rester là.
Tu refermes la porte derrière toi et viens t'asseoir à côté de Robin. Tu la dévisages rapidement du regard, essayant de savoir si tu la connais. Robin est mal à l’aise, ayant l’impression d’être passée au microscope. Un million de scénarios fusent dans sa tête où elle pense que malgré ton apparence gentille, tu vas sûrement la virer. Quand tu as fini de l’analyser, tu lui souris :
-Je ne crois pas qu’on s’est rencontrées auparavant.
-Je m’appelle Robin.
-Robin Buckley ? Tu es celle qui travaille avec Steve à Ahoy Scoops ? Enfin, travaillais avec lui, demandes-tu avec enthousiasme.
-Oui, c’est moi, mais je travaille encore avec lui. On va commencer un job à Family Video dans deux jours, informe-t-elle avec les joues rouges.
-C’est ce qu’il m’a dit. Je suis contente d’enfin de te rencontrer. Steve n’a pas arrêté de me parler de toi. Tu lui as donné plusieurs leçons d’humilité, il en avait besoin, rigoles-tu avant de lui tendre ta main qu’elle serre. Je suis Y/N.
-Je ne crois pas t’avoir déjà vu au lycée et j’ai l’impression que tu connais Steve depuis longtemps donc, c’est bizarre. Tu dois forcément faire partie des populaires.
-Loin de là, t’exclames-tu en ouvrant grand les yeux. Je ne suis pas d’ici, en fait. Pour faire court, ma grand-mère est sa voisine et je viens la voir pendant un mois durant l’été. Steve et moi, on est amis d’enfance. C’est aussi la raison pour laquelle je me cache souvent ici durant ses soirées, je ne connais pas grand monde.
-Moi non plus.
-Tu fais partie de la fanfare du lycée, c’est ça ? questionnes-tu, intéressée.
-Ouais, je joue de la trompette. C’est pas exactement le truc populaire, mais j’aime bien.
-C’est trop cool ! Tu pourrais me jouer quelque chose un jour ?
-Si tu veux. Tu as une chanson en tête ?
-Celle que tu préfères.
Robin ne sait pas vraiment si ta requête est sérieuse ou si tu veux juste être polie, mais elle pense déjà à ce qu’elle pourrait te jouer. Elle espère qu’elle pourra te proposer une date dans les prochains jours, voulant t’impressionner.
-Et toi, si tu ne fais pas partie des populaires de ton lycée, qu’est-ce que tu fais ?
-Du théâtre. Comme toi, j’aime bien, même si c’est un peu mis de côté.
-J’aimerais bien venir te voir jouer un jour, admet Robin en évitant ton regard.
-Eh bien, il faudra qu’on s’organise ça, dis-tu en posant ta main sur la sienne.
Vous vous regardez dans les yeux pendant quelques secondes. Robin s’apprête à parler quand les premières notes de Saving All My Love For You de Whitney Houston commencent. Tu la devances avant qu’elle ait pu sortir un son :
-Oh ! C’est ma chanson préférée ! Tu veux bien danser avec moi ? demandes-tu après t’être levée, ta main est toujours dans la sienne.
-Je ne sais pas vraiment danser, refuse Robin, embarrassée.
-Je vais te montrer, c’est simple !
Tu tends ton autre main à Robin. Un sourire au visage, elle la saisit et se lève. Tu la rapproches de toi et poses ses mains sur tes épaules. Tu places les tiennes sur sa taille. Tu lui souris, espérant calmer sa nervosité. Tu lui montres les premiers pas puis, vous dansez tranquillement.
Robin t’écrase les pieds quelques fois, mais tu la rassures en disant qu’elle se débrouille bien pour une première. Pendant que la chanson continue, tu admires les traits de son visage, ses yeux bleus, ses taches de rousseurs et enfin ses magnifiques cheveux légèrement bouclés. Robin tente de faire de même, mais ton regard posé sur elle la rend un peu plus stressée donc elle détourne les yeux. À un moment, tu la fais tourner. Surprise, Robin est sur le point de tomber, mais tu la retiens juste à temps. Vous rigolez avant de reprendre votre danse, vos visages séparés par quelques centimètres.
Quand la chanson touche à sa fin, vous restez une seconde dans les bras de l’autre avant de vous séparer.
-Tu es une bonne partenaire de danse, déclares-tu en replaçant une mèche derrière son oreille.
-Je pense que tes pieds ont une autre opinion, rigole Robin.
-Peut-être, mais c’est une bonne chose, on doit continuer de danser jusqu’à ce qu’ils changent d’avis.
Tu t’éloignes de Robin et tu vas ouvrir la fenêtre, laissant entrer la fraîcheur de la nuit. Robin te rejoint, s’adossant contre le rebord avec toi. En dessous, vous pouvez voir quelques amis de Steve bourrés rigoler, danser ou encore nager dans la piscine.
Sous le ciel étoilé, vous profitez de la présence de l’autre et apprenez un peu plus à vous connaître. Les conversations se font facilement sans de silences gênants. Vous avez l’impression d’être proches depuis toujours. C’est officiellement la première fête de Steve où tu t’amuses le plus et tout ça, grâce à la présence de Robin.
Après avoir passé un bon moment à parler, tu as besoin d’aller aux toilettes alors tu t’excuses auprès de Robin avant de quitter la pièce. Robin sent son sourire grandir en réalisant que cette soirée se passe mieux que ce qu’elle aurait pensé. Certes, elle n’a pas sociabilisé avec les personnes de son lycée, elle s’est isolée, mais elle t’a rencontré et elle a tout de suite adoré ta personne. Elle ne souhaite qu’une chose : continuer à te parler. Elle réfléchit à d’autres questions qu’elle pourrait te poser quand Steve fait son apparition.
-Hey, Robin ! Ton père est arrivé.
-Oh, tu peux lui dire que j’arrive dans cinq minutes, demande Robin, espérant te revoir une dernière fois avant de partir.
-Il avait l’air un peu pressé. Et j’ai mis au moins dix minutes à te trouver, donc tu devrais te dépêcher.
Robin pèse le pour et le contre pendant quelques secondes avant d’accepter, sachant que son père peut être impatient.
-Bon, d’accord. J’y vais. Salut, Steve.
En quittant la chambre, Robin a espoir de te trouver sur le chemin, mais quand elle dépasse la porte d’entrée, elle doit se faire à l’idée qu’elle doit partir sans te dire au revoir. Robin se dit qu’elle doit absolument te parler à nouveau pour au moins s’excuser d’être partie aussi vite. Elle ne veut pas que tu penses que cette soirée ne compte pas pour elle.
Dans la voiture de son père, Robin regarde à travers la fenêtre le paysage défiler pendant qu’elle repense à la soirée. Malgré elle, elle rougit quand votre slow se rejoue dans sa tête. Elle a aimé votre proximité, même si le stress la rongeait de l’intérieur. Tout le long du chemin, elle n’a que toi en tête, se demandant si tu as ressenti la même chose qu’elle. Elle se demande également si tu sais à quel point elle a été heureuse de te rencontrer. Elle ne peut empêcher son imagination de divaguer et espérer d’avoir plus de temps avec toi. Après tout, elle doit te montrer ses talents de musicienne et toi de comédienne.
Cette nuit-là, Robin a mis du temps à s’endormir, ses pensées étant occupées par ta présence. Elle a même déjà cherché quelle chanson te jouer. Elle ignore encore combien de temps tu vas rester à Hawkins, mais elle espère qu’elle a encore quelques jours. Elle doit te revoir, peu importe quand. Peut-être qu’elle a trop d’espoir te concernant. Elle aimerait que cette soirée soit le début de quelque chose et non pas quelque chose qui a déjà une fin. Cependant, qui dit que tu as ressenti la même chose qu’elle ? Peut-être que tu es déjà amoureuse de quelqu’un d’autre ? Elle souhaite de tout cœur que tu n’as pas quelqu’un qui t’attend dans ta ville. Ses espoirs sont sûrement vains, mais elle ne peut s’en empêcher ; cette soirée était unique. Elle compte pour Robin alors elle doit bien compter pour toi aussi.
Quand Robin retrouve Steve pour son premier jour à Family Video deux jours plus tard, Robin sait qu’elle doit lui poser des questions à propos de toi. Tu n’as toujours pas quitté son esprit et Steve est la seule personne qui peut lui fournir les informations dont elle a besoin. Cependant, elle ne veut pas faire comprendre à son ami que tu lui as tapé dans l'œil, donc elle veut la jouer discrète. C’est pourquoi elle attend que Steve lui donne l’occasion parfaite, ce qu’il finit par faire après plusieurs heures :
-Alors, tu t’es bien amusée à ma fête ?
-Etonnement, oui ! J’ai passé la soirée avec ton amie Y/N. Elle est super sympa, affirme Robin en tentant de cacher son sourire idiot.
-Ouais, c’est vrai qu’elle est géniale.
-Elle est encore ici ? Elle voulait qu’on fasse des trucs ensemble, je ne sais pas si elle t’a dit, déclare-t-elle nonchalamment.
-Elle est partie aujourd’hui, en fait.
-Oh, j’avais un espoir de la revoir, murmure-t-elle, cachant sa déception.
-T’inquiète pas, elle revient souvent pour voir sa grand-mère, la rassure Steve avant de mettre la main dans la poche de son jean. D’ailleurs, tant que j’y pense, elle m’a demandé de te donner ça, informe-t-il en montrant un papier plié en deux avec son nom dessus.
Avec hâte, Robin le prend des mains de Steve et le met dans sa poche. Elle prend une boîte remplie de cassettes à côté d’elle et dit à Steve qu’elle va aller les ranger.
Quand Robin est cachée dans l’allée des films d’horreur, elle repose la boîte et ouvre le mot que tu lui as écrit où elle découvre ton adresse ainsi que ton numéro. Son sourire monte jusqu’à ses oreilles quand elle voit le petit mot que tu as ajouté à la fin :
“J’espère que tu n’as pas oublié que tu me devais une chanson et moi une pièce alors, gardons contact.
La soirée qu’on a passée était parfaite, j’ai été enchantée de te rencontrer.
Y/N.”
Stranger Things Masterlist
Speak Now TV Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Plongez Dans La Détente : Sélections De Canapés Confortables Pour Une Vie Confortable | Sweetdeco.co
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Le Canapé Moderne : Alliance de Confort et de Style
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Avant de mourir à l'âge de 40 ans d'un cancer de l'estomac (voila photo plus bas), la designer et auteur de renommée mondiale Crisda Rodríguez a écrit :
• J'avais la voiture la plus chère du monde dans mon garage, mais maintenant, je dois utiliser un fauteuil roulant.
• Dans ma maison, il y a toutes sortes de vêtements de marque, de chaussures et d'étiquettes de prix, mais maintenant, mon corps est enveloppé dans un simple drap fourni par l'hôpital.
• J'ai beaucoup d'argent à la banque. Mais maintenant, cette somme ne me sert plus à rien.
• Ma maison ressemblait à un château, mais maintenant, je dors sur deux lits d'hôpital.
• Des hôtels cinq étoiles, je passe maintenant mon temps à l'hôpital, allant d'une clinique à l'autre.
• J'ai signé des autographes pour des centaines de personnes, mais cette fois, ce sont les dossiers médicaux qui portent ma signature.
• Je suis allé dans sept salons de coiffure pour me faire coiffer, mais maintenant, je n’ai plus un seul cheveu sur la tête.
• Avec un jet privé, je pouvais voyager partout, mais maintenant, j’ai besoin de deux assistants pour m’aider à marcher jusqu'à la porte de l’hôpital.
• Même s'il y a une abondance de nourriture, mon régime se limite désormais à deux comprimés par jour et quelques gouttes de sérum le soir.
• Cette maison, cette voiture, cet avion, ces meubles, cette banque, cette gloire excessive… rien de tout cela ne me sert. Rien de tout cela ne me soulage. Il n’y a rien de plus réel que la mort.
Au final, la chose la plus importante, c'est la vie. Et la vie n'est pas seulement en Dieu, elle est une partie de Dieu lui-même. Ce même Dieu t'offre la vie éternelle avec lui, si tu acceptes de joindre ta vie temporaire à la vie éternelle qu'est Dieu. Alors, tu auras toi aussi la vie éternelle et tu seras pleinement satisfait. Seul Jésus peut nous offrir cette véritable satisfaction.
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Tout est compliqué dans les lieux qu’on habite. Les sens s’y sont condensés avec l’expérience des moments. Le souvenir des lieux qu’on a aimé occuper nous mentent autant que le fantasme de ceux qu’on rêve habiter. La Mythe pensait se souvenir de la première maison dans laquelle il avait vécu, de sa naissance à ses 3 ans. Perdue au milieu de la campagne, des tomettes au rez de chaussée dans la pièce de vie chauffée par une immense cheminée périgourdine pourvue de cantous, du parquet à l’étage au sol des chambres mansardées. La maison d’origine avait été divisée en deux habitations. Ses parents et lui d’un côté, et Tata Fatou et Cathy de l’autre. Elles avaient un cocker acariâtre. Le nom du chien, il l’avait oublié. Les couples étaient amis. En bas de la côte, il allait chez sa nounou, mamie Michèle, vieille antillaise à qui il avait attribué longtemps son gout immodéré pour le riz. Oh, oui! Le cliché! Tout cela, il n’avait pas pu l’inventer, il l’avait peut être seulement entendu et répété jusqu’à croire l’avoir vécu.
Ils déménagèrent dans un grand appartement de fonction, au dessus de l’école où il serait élève de la maternelle au cm2. On y montait par un vieil escalier en bois en colimaçon. Au premier étage, un couloir étroit distribuait une cuisine, une chambre, un salon et une autre chambre à droite, et en descendant trois marches, un salon, une salle de bain et une sorte de buanderie à gauche. L’escalier continuait à l’extérieur vers un étage dans lequel deux pièces supplémentaires servaient de remise et n’étaient au départ occupées que par les livres et meubles que ses parents devaient juger encombrants.
La disposition de cet appartement construisit fortement son esprit: modulant à sa forme la géographie des terres visitées dans ses rêves et cauchemars encore aujourd’hui. Ce couloir au parquet pourri qui le blessait d’échardes lorsqu’il oubliait ses chaussons, ces chambres humides sans volets par les fenêtres desquelles on voyait toutes les étoiles briller. La salle de bain couleur bleu-nuit au mur orné d’un immense poster « Anaïs-Anïs ». Dans cet appartement, il avait eu un frère! Dans cet appartement il avait vu ses parents jeunes. Il pouvait, à la récréation, organiser des missions, lors desquelles, avec quelques camarades choisis, ils échappaient à la surveillance légère des instituteurs pour monter et aller s’asseoir à la table de la cuisine pour se partager les Nougatis du placard en grand messe, mimant ce qu’ils imaginaient être les codes du repas au grand restaurant, avant de redescendre quand la cloche sonnait. Le soir, La Mythe s’accusait seul de la disparition des nougatis qui ne pouvait pas passer inaperçue. « Oui, j’en ai mangé trois hier. » C’était sans doute des paquets de 4…
C’est dans cet appartement, dans cette salle de bain chauffée par un poêle électrique, qu’il perdit la peau de son cul. Dépourvue de radiateur, ses parents avaient placé un poêle électrique dans le fond droit quand on regardait vers la baignoire, contre le mur qui donnait sur la cour de l’école et sur lequel était punaisée l’affiche. On y entrait, il y avait les toilettes dans un renfoncement à gauche, un lavabo, la baignoire et ce poêle en face du lavabo, au cul de la baignoire. Idée étrange: le sol de la salle de bain était couvert de moquette, bleue elle aussi. Peut-être à cause de la moquette, La Mythe développa une manie: il lui fallait deux serviettes: une pour se sécher bien sûr, et l’autre qu’il étalait sous ses pieds en sortant de la baignoire. Un soir d’inattention, alors que le geste avait été répété des centaines de fois auparavant, il étala la deuxième serviette trop près du poêle. En se baissant pour se saisir de l’autre serviette qui l’attendait à terre, il se cambra, et son cul humide se colla sur la vitre chauffée à blanc du poêle électrique. La sensation de la douleur est aujourd’hui complètement oubliée, mais il poussa un cri en sautant vers l’avant et en regardant en arrière les deux visages de cette Anaïs double qu’un filtre hamiltonien éthérait. Il vit sous leur regard la peau de son cul qui était restée collée sur la vitre du poêle, comme une peau de poulet grillée reste collée au fond d’un plat. Son père qui adorait les western, arriva vite, et raconte qu’il « dansait comme un sioux autour du feu ».
Le médecin vint d’abord. Ou son grand père? C’est là que l’histoire devient intéressante. Le père de sa mère était un être énigmatique. Hiératique, aimable peu pour un enfant, sans doute aussi peu pour les adultes. La Mythe se souvient qu’il l’aimait quand même. Il portait le petit déjeuner au lit à sa grand mère tous les matins, comme si la vieillesse et l’habitude n’avaient jamais entamé l’amour. Il se rappelle qu’un jour, à table, il lui dit merci parce qu’il lui avait passé le pain. Son grand père lui répondit, avec le même ton égal et froid qu’il employait tout le temps, qu’on ne disait pas merci quand on était invité: c’était le devoir de l’hôte de veiller à ce qu’on ne manque de rien. Il était chauve, son crâne luisait au milieu d’une auréole de cheveux restés d’un noir intense. Il lui paraissait grand dans son jogging Lacoste vert. Il aimait la Suze coupée à l’eau de seltz: il plaçait son verre facetté à moitié plein d’alcool sous le bec de la bonbonne en verre carrelée d’osier qu’il faisait pschiter avec parcimonie. La Mythe se souvient des cartouches de gaz en métal qu’il plaçait dans cette jarre fascinante. Il avait été toute sa vie rince-fiole en pharmacie, on dit « préparateur » aujourd’hui. Cependant, il ne connaissait rien de la vie de cet homme. Il était mort quand il avait 10 ans. Sa mère lui avait dit alors qu’il était malade et qu’il avait pris trop de médicament. Il découvrit quelques années plus tard, en fouillant dans les armoires de la chambre d’ami de leur nouvelle maison, une lettre de suicide signée de son grand-père.
Malgré les efforts développés par La Mythe pour lever la brume de l’oubli rendue par la douleur plus opaque sûrement, le moment continue de lui échapper. Que fit exactement son grand-père? Quels furent ses gestes, ses mots? Il lui enleva le feu. La Mythe n’eut plus mal, il n’eut plus peur. Il n’était pas soigné: sa peau restait à vif et il dut pendant des mois s’appliquer une pommade, porter des couches de gaze sous ses vêtements. Madame Lebret, sa voisine et son institutrice au C.P., dans un élan de bienveillance maladroit, accueillit son retour en classe avec ce commentaire: « La Mythe va s’asseoir sur une bouée pendant un petit moment, ce n’est pas parce qu’il est nostalgique des vacances, il s’est brulé le derrière. ».
Eduqué par ses parents au bouffage de curés, au doute érigé comme valeur de pensée nécessaire qui opposait, à toutes les assertions dogmatiques, la recherche scientifique de la vérité, La Mythe n’eut jamais de réponse. Il ne posa jamais de question. Coupeur de feu, son grand-père? Suicidé? Cartésiens mais paysans, ses parents ne parlaient jamais des sentiments, ni des leurs, ni de ceux de leurs enfants. Ce tabou fut respecté.
Bien qu’il eût perdu toute la peau de son cul à six ans, il n’en gardait aujourd’hui aucune trace, aucune cicatrice. Le corps guérit bien mieux que l’esprit.
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