Tumgik
#Maurice Biais
tomoleary · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Maurice Biais (French, 1875-1926) Belle Époque
42 notes · View notes
thedeadleafs · 4 days
Text
Affiche "La Maison Moderne" (Musée Bröhan, Berlin)
Tumblr media
Affiche pour La Maison Moderne
Oeuvre de Maurice Biais, Etablissement artistique J. Minot
1900
Lithographie couleur
Musée Bröhan, Berlin
www.broehan-museum.de/en/
3 notes · View notes
zukriuchen · 22 hours
Text
Tumblr media
Print of 'Race Car' by Maurice Biais, 1902
1 note · View note
publicite-francaise · 2 years
Photo
Tumblr media
Erard pianos par Maurice Biais, 1902.
53 notes · View notes
1939-wizard-of-oz · 7 months
Text
Une impressionniste oubliée sort de l’ombre au musée de Pont-Aven : Anna Boch
Arts et Expositions
Par Guy Boyer le 06.02.2024
Montée avec le musée d’Ostende, l’exposition consacrée à la femme peintre et collectionneuse Anna Boch (1848-1936) permet de découvrir cette figure méconnue de la période impressionniste et postimpressionniste venue en Bretagne en 1901 et 1912.
Premier événement à bénéficier de la générosité du musée d’Orsay en parallèle à l’exposition « Paris 1874. Inventer l’impressionnisme » (du 26 mars au 14 juillet), l’exposition « Anna Boch. Un voyage impressionniste » au musée de Pont-Aven, jusqu’au 26 mai, met au cœur de son parcours le Portrait d’Eugène Boch de Vincent Van Gogh (1853-1890) prêté par le musée parisien. Cette œuvre importante souligne les liens de cette famille belge avec l’avant-garde des années 1890 et leur goût de la collection.
Collectionneurs de Van Gogh, Gauguin, Marquet
L’exposition commence par la carrière de peintre d’Anna Boch, de ses débuts en Belgique jusqu’à ses voyages en Bretagne et dans le Sud de la France. Malgré certaines œuvres assez faibles, le corpus de cette artiste méconnue surprend par certains éclairs de génie et plusieurs emprunts à ses contemporains comme Segantini ou Valtat. Vient ensuite une section dédiée à ses différentes demeures et ses commandes à des artistes Art Nouveau comme Victor Horta (une réussite) et Maurice Denis (un échec). L’un des chapitres les plus passionnants reste celui consacré à ses collections artistiques puisqu’Anna Boch et son frère Eugène possédaient des Ensor, Gauguin, Van Gogh, Émile Bernard, Paul Signac, Henry Moret et Albert Marquet.
Une fortune de faïence
En Belgique, le père d’Anna Boch est célèbre car il est le fondateur de la société de faïencerie Boch frères (antenne belge de Villeroy & Boch). La famille vit confortablement dans le château de La Closière, près de La Louvière. Dès les années 1870, Anna Boch décore des plaques, plats et assiettes en camaïeu de bleus. Dans ces premières créations de céramique, on peut retrouver des traces de sa formation auprès d’Isidore Verheyden, un peintre de plein air (ne pas manquer son incroyable portrait par Anna Boch, où on le voit penché sur un tableau posé en biais).
Avec le groupe des XX
Dès 1885, Anna Boch rejoint le salon des XX, un cercle artistique fondé par son cousin Octave Maus, où exposent James Ensor et Jan Toorop mais aussi une quantité d’invités étrangers. C’est là qu’elle voit les dernières nouveautés artistiques, du divisionnisme de Segantini au pointillisme de Seurat. On reconnaît dans le travail d’Anna Boch une solidité de la composition (ici le reflet du bouquet de fleurs dans un miroir) et une harmonie des couleurs.
Une famille voyageuse
Aimant se déplacer facilement, Anna Boch achète une Minerva en 1907. On la voit ici, à bord de l’automobile, parmi les paysages du Midi de la France. Deux tableaux superposés permettent de comparer son style et celui de son frère. Devant un même paysage méditerranéen surmonté d’une tour sarrasine, on voit leurs approches différentes. Lui (en haut) schématise la composition, elle (en bas) joue des effets de matières et de couleurs. Même le chauffeur, Albert Lepreux, est de la partie et plante son chevalet avec eux dans la nature, de la Normandie au Maroc.
La Bretagne en deux temps
En 1901 et en 1912, la troupe sillonne la Bretagne. De Bénodet à Carhaix, Anna Boch en ramène des paysages maritimes. Aux plages des bords de l’Odet du premier séjour succèdent les falaises et rochers de la Bretagne du nord. Les grands formats panoramiques sont ensuite remplacés par des toiles au cadrage resserré.
Des commandes aux artistes
C’est l’architecte belge Art Nouveau Victor Horta qui restaure en 1895 la villa d’Anna Boch dans le quartier de Saint-Gilles à Bruxelles. Huit ans plus tard, la commanditaire déménage dans une maison construite par Paul Hermanus à Ixelles, où elle fait transporter le décor de Horta, cheminée comprise. Elle imagine également un grand décor qu’elle confie à Maurice Denis mais devant toutes les allégories antiques que celui-ci propose, elle préfère renoncer.
En pleine nature
L’exposition se conclue par une section plus faible consacrée aux liens d’Anna Boch avec le groupe de peintres luministes Vie et lumière. Les scènes bucoliques de ramasseurs de glands ou de ramendeuses de filets, qu’elle réalise alors, perdent en nervosité et en contrastes colorés. Pourtant, c’est l’époque d’une certaine reconnaissance publique en France puisqu’elle expose à la galerie Druet en 1908. Dans les années 1930, elle organise le devenir de ses collections, donnant plusieurs œuvres aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ou au musée d’Ixelles.
https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/impressionnisme/une-impressionniste-oubliee-sort-de-lombre-au-musee-de-pont-aven-11189177/
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
latribune · 1 year
Link
0 notes
edgarmoser · 3 years
Text
Tumblr media
maurice biais-poster for saharet (dancer)
1900
17 notes · View notes
books0977 · 5 years
Photo
Tumblr media
Jane Avril (1895). Maurice Biais (French, 1872-1926). Poster. Printer: Imp. Charle Verneau, Paris
Biais was a self-taught illustrator, lithographer, and posterist who never disclosed his personal data. He attracted attention first with humorous drawings; later he produced some lithographs good enough to be shown in the Salon of 1903. Considering that Jane Avril married the designer after he created this lively bit of frou-frou, one can only assume that she must have been rather impressed with his personal interpretation.
54 notes · View notes
philamuseum · 3 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Bringing some much needed puppies to your feed today. Happy National Puppy Day! 
"Untitled (Two Dogs)," October 1940, United States. "Three Puppies," 1790, by Maruyama Ōkyo. "Decorative Panel with Dogs," around 1900, by Maurice Biais. "Untitled (dog 'photographer')," around 1900, by Jeanette Bernard.
828 notes · View notes
delfiris · 2 years
Text
Jean-Luc Godard a réussi, à travers ces Histoires du cinéma, à aller plus loin qu’André Malraux et son musée imaginaire et à prouver par le biais de ses films que le cinéma est le musée du réel : montrer des images n’a de sens que si l’on peut transformer le monde. Mais le cinéma montre justement qu’il ne peut se passer de l’horreur. Reprenant les textes de Maurice Blanchot, Jean-Luc Godard conclut ses histoires du cinéma en ces termes :
« L’image est bonheur mais près d’elle le néant séjourne. Et la toute puissance de l’image ne peut s’exprimer qu’en lui faisant appel.(…) L’image capable de nier le néant est aussi le regard du néant sur nous. Elle est légère et il est immensément lourd. Elle brille et il est cette épaisseur diffuse où rien ne se montre. »
https://liminaire.fr/entre-les-lignes/article/jean-luc-godard
15 notes · View notes
dead-molchun · 3 years
Photo
Tumblr media
Maurice de Vlaminck (1876-1958) Le jeune arbre en Biais, c1912 (60.3 x 73 cm.)
9 notes · View notes
danismm · 4 years
Photo
Tumblr media
Maurice Biais, c. 1900.
109 notes · View notes
pierre-hector · 3 years
Link
Nous sommes du bétail. Certes, mais en quoi exactement ?
Tumblr media
« La prophétie de Georges Orwell se trouve réalisée aujourd'hui. On nous a peu à peu supprimé tous les mots négatifs du vocabulaire qui nous permettaient de nommer négativement le capitalisme et donc, de le penser négativement et qu’on nous les remplace par des mots positifs. À partir du moment où on n’a plus que de la pensée positive, on n’est plus en démocratie, puisqu’on ne peut plus penser les contradictions du capitalisme. […] Aujourd'hui, nous n’avons pas encore inventé les moyens de nous défendre contre du langage positif. Comment se battre contre la ”démarche qualité“ ? – Vous êtes contre la qualité, vous ? – La ”démarche qualité“, c’est des gens qui se suicident aujourd'hui dans un certain nombre d’entreprises… parce que ce n’est pas une ”démarche qualité“, mais une démarche productivité, bien sûr (0). » (Franck Lepage)
Nous défendre contre la perte de sens du vocabulaire, certes, mais est-ce suffisant ? Dans la rencontre animée par Ema Krusi qui suit, Slobodan Despot (traducteur, chroniqueur, critique et éditeur suisse d’origine serbe) (0.1) nous expose comment et par qui sont mises en application les connaissances universitaires en comportementalisme pour nous diriger, par le biais de l’ingénierie sociale, là où les élites veulent nous mener : une voie de garage, un « Global Humanic Park », un enclos planétaire. À la suite de cet exposé, on est curieux d’en savoir plus au sujet de Daniel Kahneman (1, 2) et de Cass Sunstein (3). —
(à 00:33:00) « Les gens qui sont dans le système se débrouillent très bien pour y rester, même quand le système, apparemment, change de peau (ou de drapeau). Il y a des gens qui sont dans le “flux“ et il y a des gens qui sont en dehors du “flu“. […] ceux qui sont dans le “flux”, pour y rester, ne doivent surtout pas réfléchir ; ceux qui réfléchissent, parce qu’ils hors du “flux”, n’arrivent pas à se mettre dans le “flux”. C’est une position relative aux caractères humains qui ne dépend pas de l’idéologie en place. C’est comme ça. […] [Concernant les futurs rédacteurs des grands éditoriaux durant leurs études] : Je voyais qu’ils avaient un flair extraordinaire pour adopter la ligne qui leur éviteraient […] de se poser des questions et de poser des questions. Il suffirait de répéter ‘opinion admise, mais ils avaient un flair pour savoir quelle serait l’opinion admise demain. Il faut un certain talent pour, ça, un talent d’opportunistes, mais il n’y a pas de pensée là-derrière. Ayant eu la chance d’avoir été formé au lycée de l’abbaye de Saint-Maurice en Valais, tenu par de chanoines […] qui nous éduquaient à la philosophie, à la rhétorique, à la logique… et, si cette rhétorique et cette logique se retournait contre eux, ils étaient tout contents, parce qu’ils nous avaient enseigné quelque chose. […] En arrivant, à 19 ans, à la faculté des lettres à Lausanne, j’ai été frappé par la totale absence de réflexion et de pensée structurée des gens qui allaient former l’élite de cette société pour les années à venir. Ceux qui ont été formés dans les années 1980 sont aujourd’hui aux commandes et la dernière chose qu’ils font, c’est de réfléchir… »
(00:36:04-25) Edouard Berneys et la manipulation mentale : « En fait, on barbote là-dedans. Car, à mesure que les générations de “dirigeants” d’apparatchiks, désapprenaient à penser, par leur propre tête, on avait dans des secteurs bien précis des gens qui apprenaient à penser la non-pensée (!), c’est-à-dire comment embrigader, orienter, polariser ces moutons pour aboutir à certaines fins. »
(00:37:10) « Il y a deux ou trois semaines, dans l’anti-presse, j’ai donné mon interprétation du phénomène de psychologie collective qui a permis la création de cette immense panique à partir de pas grand chose qu’est la “covidéologie”. Et, j’ai découvert, dans un livre de psychologie, qui est une référence dans le business, le livre de Daniel Kahneman (prix Nobel d’économie), Les deux vitesses de la pensée (1, 2), qui raconte sur base des recherches d’un de ses collègues [Amos Tversky] […] la cascade de disponibilités qui fait que l’être humain, surtout à l’échelle collective et surtout soumis à des émotions, ne tient pas compte de ce qu’il sait être vrai, de ce qu’il sait être sûr, de ce qu’il sait être fiable, mais tient surtout compte de ce qui est disponible à l’esprit à un moment donné. Grosso modo, pour reprendre la technique de Goebels, si on lui raconte cent fois par jour la même connerie, l’être humain finit par raisonner en fonction de cette connerie et non pas en fonction de ce qu’il sait être vrai. Lorsqu’on crée un phénomène auto-alimenté, cela devient une cascade de disponibilités, c’est-à-dire qu’on médiatise un phénomène et à partir du moment où ce phénomène est suffisamment médiatisé, ce n’est plus le phénomène qui est l’objet de l’attention et de la panique, mais les effets de la médiatisation, deuxième degré… puis il y a un troisième degré [non explicité – ndr]. Donc, l’origine de la spirale se perd complètement et on n’en a plus besoin. Pour cette raison, aujourd’hui, il ne sert plus à rien d’aller chercher et de publier les statistiques de l’Office fédéral de la santé publique, de l’INSEE français. Ces statistiques donnent la réalité, mais on n’en est plus là (!).
Le psychologue américain qui a découvert la cascade de disponibilité qui décrit parfaitement la pseudo-réalité [la fable orchestrée de mains de nos maîtres – ndr] dans laquelle nous nous trouvons, se nomme Cass Sunstein (3), qui est aujourd’hui conseiller de l’OMS (4) (!). donc, le type qui serait le mieux à même d’arrêter la machine est celui qui sert de chauffeur dans la locimotive. […] J’observe que si les médecins de l’OMS ne sont pas très compétents, les psychologues, eux, le sont. » (Slobodan Despot)
‣ Ema Krusi, « La Krusière s’amuse – #1 – Slobodan Despot – Dr Edouard Broussalian [12.01.2021] », pub. 12 jan. 2021, https://emakrusi.com/videos/la-krusiere-samuse-1-slobodan-despot-dr-edouard-broussalian-12-01-2021/ (cons. 1er mai 2021). — (0) chaîne youtube « le média », « Cure de désintox contre la langue de bois - Franck Lepage », pub. 21 nov. 2018, https://youtu.be/JjJ2tzh3r7w (cons. 2 mai 2021). (0.1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Slobodan_Despot (cons. 2 mai 2021). (1) wikipedia, « système 1 / système 2 : les deux vitesses de la pensée » – « système 1 / système 2 : les deux vitesses de la pensée (thinking, fast and slow) est un livre publié en 2011 par le lauréat du “prix nobel d'économie” daniel kahneman, qui résume les recherches qu'il a effectuées au fil des décennies, souvent en collaboration avec amos tversky. Il couvre les trois phases de sa carrière : ses travaux de jeunesse sur les biais cognitifs, son travail sur la théorie des perspectives et ses travaux ultérieurs sur le bonheur. La thèse centrale du livre est la dichotomie entre deux modes de pensée : le système 1 (rapide, instinctif et émotionnel) et le système 2 (plus lent, plus réfléchi et plus logique). Le livre définit les biais cognitifs associés à chacun de ces modes de pensée, en commençant par les recherches de Daniel Kahneman sur l'aversion à la perte. Du cadrage des choix en passant par la substitution, le livre met à profit plusieurs décennies de recherche universitaire pour montrer une trop grande confiance dans le jugement humain. » – https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_1_/_Syst%C3%A8me_2_:_Les_deux_vitesses_de_la_pens%C3%A9e (cons. 2 mai 2021). (2) Daniel Kahneman, « Système 1 / Système 2: Les deux vitesses de la pensée », https://www.amazon.fr/Syst%C3%A8me-deux-vitesses-pens%C3%A9e/dp/2081211475 (cons. 2 mai 2021). (3) Ce qui est fou, c’est que sur sa page Wikipedia (en), c’est que pour défaire une théorie du complot qui s’auto-alimente via les cascades de disponibilité (cognitive), Cass Sunstein envisage plusieurs stratégies dont l’infiltration… et que, au final, les élites ne se cachent pas que pour défaire les théories du complot (qui ne sont qu’une remise en perspective de faits très gênants pour elles, car il s’agit d’une invitation au peuple à sortir de la fable dans laquelle il stagne), il faut comploter contre elles. Je ne pensais pas tomber sur une ficelle aussi grosse ! – Wikipedia, Cass Sunstein, « Cass Sunstein Robert (né le 21 Septembre 1954) est un professeur de droit américain, en particulier dans les domaines du droit constitutionnel, droit administratif, droit de l'environnement, et le droit et l'économie comportementale. Il est également un auteur à succès du New York Times avec The World Accordin Star Wars (2016) et Nudge (2008). Il a été administrateur du Bureau de l'information et des affaires réglementaires de la Maison Blanche dans l' administration Obama de 2009 à 2012. En tant que professeur à la faculté de droit de l'Université de Chicago pendant 27 ans, il a écrit des ouvrages influents sur le droit réglementaire et constitutionnel, entre autres sujets. Depuis qu'il a quitté la Maison Blanche, Sunstein a été le Professeur de l'Université Robert Walmsley à la Harvard Law School. Des études de publications juridiques ont montré que Sunstein était de loin le juriste américain le plus fréquemment cité. » (trad. via Google), https://en.wikipedia.org/wiki/Cass_Sunstein#%22Conspiracy_Theories%22_and_government_infiltration (cons. 2 mai 2021). (4) Cass Sunstein préside le Groupe consultatif technique sur les connaissances et les sciences comportementales pour la santé de l’OMS. « Cass R. Sunstein est actuellement professeur à l'Université Robert Walmsley à Harvard. Il est le fondateur et directeur du programme sur l'économie comportementale et les politiques publiques de la Harvard Law School. En 2018, il a reçu le prix Holberg du gouvernement norvégien. De 2009 à 2012, Cass a été administrateur du Bureau de l'information et des affaires réglementaires de la Maison Blanche, puis il a siégé au Comité d'examen du président sur les technologies du renseignement et des communications et au Conseil de l'innovation de la défense du Pentagone. Il est l'auteur de centaines d'articles et de dizaines de livres, dont Nudge: Improving Decisions about Health, Wealth, and Happiness (avec Richard H. Thaler, 2008). » – OMS (WHO), « Technical Advisory Group on Behavioural Insights and Sciences for Health - Biographies » (« Groupe consultatif technique sur les connaissances et les sciences comportementales pour la santé - Biographies », trad. via Google), https://www.who.int/our-work/science-division/behavioural-insights/TAG-on-behavioural-insights-and-sciences-for-health-biographies (cons. 2 mai 2021). —
2 notes · View notes
Photo
Tumblr media
Folies-Bergère. Ida Fuller. Par Maurice Biais, 1901.
10 notes · View notes
chicinsilk · 2 years
Text
Tumblr media
US Vogue October 15, 1959 ❤️❤️❤️❤️❤️
Model unknown wears a red dress in silk-light wool crêpe, with a bare back, long bias skirt, a jacket that quiets the excitement for dinner or theatre, by Maurice Rentner, of Anglo fabric. Pumps by Delman. Jewellery, by Schlumberger. Revlon's lipstick.
Modèle inconnu porte une robe rouge en crêpe de laine légère et soyeuse, dos nu, jupe longue en biais, une veste qui calme l'excitation d'un dîner ou d'un théâtre, de Maurice Rentner, en tissu anglo. Escarpins par Delman. Bijoux, par Schlumberger. Le rouge à lèvres de Revlon.
Photo Richard Rutledge
vogue archive
16 notes · View notes
memoire2cite · 3 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
la cité YVES FARGES à terres neuves une constr de decembre 1961 ! Dans les années 60 la Ville est confrontée à une grave crise du logement, dans la cité ouvrière, les logements sont saturés. Bègles compte plus de 27 000 habitants en 1968. Pour y remédier les élus, dont Simone Rossignol, 1ère adjointe déléguée au logement et à l'aide sociale, lancent des chantiers de grands ensembles : la cité Monmousseau puis Yves Farges à Terres Neuves. Puis le 25 oct. 2010  Les habitants d'Yves-Farge pensaient déjà à l'avenir. A 10 h elles ont fait boOom..ses tours symbolisant la cité ouvrière des années 60 ... https://dailymotion.com/video/x1un8a la tour F de la cité Yves-Farge à Bègles (Gironde) a été foudroyée. C'est la troisième tour ainsi effacée du paysage depuis 2007. Cette démolition marque « une nouvelle étape dans l'aménagement du quartier Terres-Neuves, qui comptera 1 000 logements, 15 000 m 2 de locaux d'activités créatives, des équipements et des locaux professionnels (120 000 m 2 Shon au total) », estime André Lassansaa, directeur général de la Saemcib, bailleur social et maître d'ouvrage du renouvellement urbain du nord-est de la commune. Les constructions destinées au relogement sont situées dans un périmètre de 500 m des anciennes tours, conformément au souhait de Noël Mamère, maire et président de la Saemcib. « C’était alors une population mixte à Yves Farge : ouvriers d’usine, ceux de la Cenpa notamment, instituteurs… » Je suis né en 1929 à Saint-Pey-de-Castets, en Entre-deux-Mers, où j’ai vécu jusqu’à mon installation sur Bordeaux en 1957. Communiste militant, j’ai déménagé à Bègles quelques années avant d’être élu premier adjoint au maire de Bègles en 1971, Cité Yves Farge, bâtiment A. C’était alors une population mixte à Yves Farge : ouvriers d’usine, ceux de la Cenpa notamment, instituteurs… Plus tard, un plafond d’attribution a été fixé, ce qui a mis progressivement fin à la mixité. Comme ceux dont les revenus dépassaient un certain seuil devaient payer un surloyer, il devenait plus intéressant pour eux d’aller se loger dans les cités de cadres comme la Cité Maurice Thorez. Ce que l’on appelait à l’époque les ILN, les Immeubles à Loyers Normaux. Beaucoup de gens qui sont partis de Bègles faute de logement après la guerre sont revenus au début des années soixante. C’est Duhourquet qui a lancé les grandes constructions : La Cité Yves Farge, la Cité Maurice Thorez. C’est aussi l’époque où les HLM Midi ont lancé la construction de la Cité du Dorat. La société HLM gérait tout, le terrain était à eux, mais vingt pour cent des logements revenaient à la ville de façon réglementaire. Auparavant, il y avait de gros problèmes de logement sur Bègles. Car l’objectif de telles opérations est certes de modifier le paysage urbain, mais dans le but d’améliorer les conditions de vie des habitants qui vivent et des personnes qui travaillent sur ce territoire. L’objet est bien de favoriser une meilleure appropriation des espaces publics et privés dans la perspective de permettre le «  vivre ensemble », et ce dans les meilleures conditions possibles et pour chacun d’entre nous : c’est-à-dire « faire société ». Ainsi, la prise en compte de la dimension humaine et sociale du projet est essentielle et prioritaire. Un projet de renouvellement urbain doit, dès le départ, s’attacher aux besoins et aux problématiques des habitants et des résidents du territoire concerné. Aux côtés des financeurs public et privés, des bailleurs, des collectivités, des architectes et urbanistes, le travail social a dès lors une place à part entière au sein du pilotage du projet : de l’élaboration en passant par la mise en œuvre et jusqu’à l’évaluation. L’accompagnement social, et plus particulièrement l’accompagnement au relogement, nécessite une attention particulière. Il s’appuie sur une méthodologie élaborée en partenariat : bailleurs et acteurs locaux de l’action sociale. Son objectif est de permettre, d’évaluer, de faire émerger les besoins et attentes des habitants et des résidents du territoire, de favoriser la proximité avec les habitants et de mettre en œuvre la concertation et la participation des habitants.  Ce travail s’appuie sur un principe, une idée : « Le temps de l’habitant n’est pas celui de l’opérateur, de l’architecte ou de l’élu ». J’ai travaillé dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain de Bègles, commune de 25 000 habitants de l’agglomération bordelaise. Cette opération consistait dans le renouvellement quasi complet du quartier Nord-Est de la Ville, marquée par l’arrivée du tramway au cœur d’une cité de 448 logements, dont près de 300 allaient être démolis. Une des premières réunions publiques, à laquelle j’ai participé, a eu lieu dans une école du quartier en 2001 ou 2002. J’ai gardé, tout au long de ma mission, le souvenir de cette habitante qui, en sortant de cette réunion publique de présentation du « schéma directeur » par l’architecte et les élus de la ville, me disait : « Ce projet c’est l’Arlésienne ! On en entend parler depuis des mois et ça ne se fera jamais ! » Les habitants ont attendu encore trois ou quatre ans avant de voir la première pelleteuse dans le quartier. Les enfants des familles accompagnées à l’époque dans le cadre du relogement, sont devenus de jeunes parents pour qui les préoccupations ont évolué avec les années : la question de la fonctionnalité, du coût du logement, ainsi que des services de proximité, de l’accès à l’emploi ou aux transports en commun a supplanté pour eux celle des balançoires dans le parc ou du city stade au pied des appartements, même si l’intérêt demeure au vu de la génération suivante.  Près de 14 ans après le démarrage du projet, l’opération n’est pas entièrement achevée et le quartier est encore en chantier. Même si de nombreux logements ont été construits et livrés et que le tramway fonctionne et dessert depuis plusieurs années les nouvelles résidences et entreprises installées sur le territoire, des travaux de construction, de prolongement du tramway, de voirie et autres entreprises d’aménagement des espaces publics sont encore en cours. L’habitant a nécessairement besoin d’être entendu et accompagné durant cette période qui, à l’échelle d’une vie personnelle et familiale, peut sembler une « éternité ». Dans ce contexte, la proximité n’est pas qu’une notion. Elle doit se traduire par des moyens et des outils devant favoriser réellement sa mise en œuvre, et ce à deux niveaux : en ce qui concerne l’accompagnement individuel des familles mais aussi l’accompagnement des habitants sur un plan collectif. L’accompagnement social au relogement des familles s’est appuyé dans ce projet sur la mise à disposition auprès du bailleur d’une conseillère en économie sociale et familiale du centre communal d’action sociale, ainsi que sur le suivi individuel de chacune des familles tout au long de l’opération, des rencontres au domicile des personnes, des permanences hebdomadaires sur le quartier en pied d’immeuble. La disponibilité d’un travailleur social « dédié » à l’opération, disponible et présent physiquement sur le quartier a favorisé cette proximité nécessaire avec les habitants.L’enquête sociale de relogement a permis dans un premier temps de repréciser les besoins et attentes des habitants du quartier et de pouvoir faire le lien avec les propositions du projet, qui furent ainsi adaptées autant que possible. Les suivis individuels ont permis de repérer les éventuelles difficultés socio-économiques des personnes, de rechercher des logements adaptés aux différentes situations (logements pour personnes à mobilité réduite, composition familiale…), de favoriser l’autonomie et l’intégration dans le nouveau logement (gestion des nouvelles charges liées à l’individualisation des compteurs ou du fonctionnement des appareils de chauffage par exemple…).Les familles restant dans les logements des bâtiments réhabilités ont également été accompagnées en suivi individuel. Plus d’une cinquantaine d’entre elles ont pu bénéficier de l’aide à « l’auto-réhabilitation accompagnée ». Ce projet social fut mis en œuvre en cours d’O.R.U. (Opération de Renouvellement Urbain) en 2005, grâce à un partenariat entre le centre communal d’action sociale de la ville, le bailleur, la collectivité, la Maison Départementale de la Solidarité et de l’Insertion (service social déconcentré du département) et en s’appuyant sur les compétences de l’opérateur technique, l’Association des Compagnons Bâtisseurs. Basée sur le principe de l’entraide et de la solidarité, cette action a permis à ces familles, qui n’avaient les moyens ni économiques, ni matériels et/ou de compétences, de rénover leurs logements par le biais de travaux d’aménagement, de réparations, de confort et/ou de décoration L’accompagnement collectif des habitants concerne plusieurs domaines d’intervention. Prendre en compte la dimension sociale du projet, c’est aussi s’attacher aux problématiques de vie collective au sein des immeubles et du quartier (gestion des dégradations, de la vacance des logements une fois les relogements engagés, des nuisances, des déchets…). Ainsi fut mis en place un groupe de gestion urbaine de proximité constitué d’habitants, du bailleur, de techniciens et d’élus. Des rencontres mensuelles ont permis de faire face aux différentes difficultés rencontrées par les habitants et les opérateurs tout au long de l’opération. Démolition, reconstruction, rénovation urbaine… Ces termes évoquent tout de suite des projets architecturaux et urbanistiques d’envergure, s’étalant sur le long terme (parfois à l’échelle de plusieurs décennies), et dont les principaux protagonistes sont les architectes, les urbanistes, les paysagistes et autres techniciens, ainsi que les élus et les opérateurs publics. Si la réussite d’une opération de renouvellement urbain tient sans conteste à la qualité du projet technique, elle est indéniablement liée à la prise en compte du principal « objet » du projet : l’Habitant.Donner une place à l’habitant dans un projet de renouvellement urbain, c’est faire place aux vies bousculées par l’évolution urbanistique et économique. Accompagner les habitants dans un quartier en mutation, c’est faire un travail de mémoire pour leur permettre de s’approprier ce changement de cadre de vie. Pour des familles qui ont vécu depuis plusieurs générations au sein de ce quartier. C’est un travail de deuil dont il s’agit parfois. Ainsi, l’animation sociale, par le biais des maisons de quartier et des associations locales, permet d’accompagner les familles, dans la proximité, au plus près des préoccupations des habitants.Au cœur du chantier il y a l’Habitant ; celui pour qui on remue ciel et terre, celui pour qui on rénove, on démolit, on reconstruit.
2 notes · View notes