#Malabarize-se
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đ„: operacion triunfo
#Martin Urrutia#Juanjo Bona#Barcelona#Operacion Triunfo#OT 2023#girOT#lmao#tan cute#mi pobre el solo querĂa hacer malabares y termino regañado por el novio đ#pero feliz#y como se va đ€Łđ
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me se como 4 link skills de memoria dios me libre
#literal haciendo malabares mentales con 4 miseros links a ver como dejar de derrochar en el evento#btw son el de los ex god el de los sleepy el de los troublemakers y. el de#me olvide la palabra. pero tipo los arreglacosas. los mecanicos (?)#ya esta somos nosotros contra el mundo#no me se ninguno de action.....
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saga: Soumission & Domination 324
RĂ©solution du problĂšme d'Enguerrand
Une semaine pour mettre au point le plan. Puisque le monsieur aimes les hommes aussi, nous allons lui en faire une indigestion, mais en tant que passif, qu'il puisse apprécier ce qu'il fait subir à Enguerrand.
Vite fait, avec Jona et François plus l'aide et le matériel de DGSE pour la " capture et l'immobilisation " du triste sire, avec une sélection des 5 plus grosses bites de mon catalogue à qui j'explique le topo et la raison de ce gang-bang improvisé, je compte bien faire entrer un peu de plomb (au figuré) dans sa cervelle.
Les acteurs de la punition seront tous masquĂ© et moi, je resterai mĂȘme avec mon t-shirt pour qu'il ne voie pas mon tatouage.
Je loue un autre gite que l'habituel, celui-lĂ est trop pratique pour que je le grille. Le nouveau est idĂ©alement isolĂ© de toutes habitations, la table en chĂȘne massif nous permettra de la maintenir attachĂ©.
Ce sont Jona et François qui vont le chercher. On l'attrape dĂšs le samedi midi. Mes deux amis s'Ă©tant rendus mĂ©connaissables dĂ©guisĂ©s en employĂ©s GDF-Suez, ils lui ont fait le coup de l'urgence Gaz et effectivement c'est ce qui s'est passĂ© puisqu'ils l'ont gazĂ© ! Il est arrivĂ© encore groggy et nous avons eus tout le temps de le dĂ©shabiller et de lui enfiler des menottes aux poignets et Ă ses chevilles. Un collier de chien en cuir large et une cage de chastetĂ© (c'est pas la peine qu'il y prenne plaisir en plus, d'aprĂšs le film du dĂ©pucelage d'Enguerrand, ce dernier n'en avait pas pris non plus !) a complĂ©tĂ© l'Ă©quipement. Quand il s'est rĂ©veillĂ©, il Ă©tait couchĂ© sur le ventre sur la table en chĂȘne, les membres attachĂ©s aux 4 pieds, la cage Ă bite plaquĂ©e en arriĂšre et la tĂȘte en dehors du plateau.
Il se rĂ©veille doucement avant de se rendre compte qu'il est entravĂ©. PlacĂ©s derriĂšre lui, on le voit se tortiller, secouer ses jambes et se bras. Puis on entend " aller les potes libĂ©rer moi, c'est pas drĂŽle votre truc ". Je me place alors devant et lui soulĂšve la tĂȘte pour qu'il me regarde dans les yeux. Il attend. Je lui explique par A+B ce qui va lui arriver ce WE. En premier une petite explication de texte et ses aveux, en second un dĂ©pucelage anal par 5 mecs, le tout filmĂ© bien sĂ»r. Et si nous trouvons que ce n'est pas assez, on a apportĂ© quelques jouets pour finir de lui ruiner la rondelle. Comme bien sĂ»r nous ne sommes pas des barbares, la troisiĂšme Ă©tape ne lui arrivera que s'il n'est toujours pas coopĂ©ratif. Il gueule qu'il n'y comprend rien, qu'il ne voit pas ce qui lui vaut ça, qu'on est des dĂ©saxĂ©s et que la justice nous attrapera quand il aura dĂ©posĂ© plainte. Je lui dis que ça tombe bien qu'il parle de justice, j'avais un petit film Ă lui faire voir. Jona pousse l'Ă©cran devant le mec et on passe son film du dĂ©pucelage d'Enguerrand. Il se tait vaincu ! Enfin !! Je lui dis qu'il savait pertinemment ce qu'il faisait subir Ă Enguerrand, ses propos enregistrĂ©s pendant l'acte ne laissent aucun doute lĂ -dessus. Je lui demande s'il dĂ©sire que le fichier soit remis Ă un juge (mĂȘme si je sais que je ne le ferais pas). Il sera condamnĂ© et il passera toute sa peine Ă se faire dĂ©foncer le cul tous les jours par les malabars de la prison. LĂ , s'il se tient bien ce ne sera que 5 mecs et une seule soirĂ©e. Il a le choix. Il opte rapidement pour ma seconde proposition.
C'est lĂ que je prĂ©cise que mes 5 mecs sont bien montĂ©s, pour pas le prendre en traitre moi ! (Enfin un peu quand mĂȘme je ne lui dis pas que les bites fonte entre 27 et 28cm par 7 Ă 8 de diamĂštre, faut pas gĂącher la surprise). J'ajoute que comme lui je vais faire un petit film pour m'assurer de la permanence de sa nouvelle disposition d'esprit. LĂ le con, il me dit que c'est pas la peine, il n'a qu'une parole. Mais bien sĂ»r, prend moi pour une bille ! Comme sĂ©curitĂ© supplĂ©mentaire je lui fais dire devant la camĂ©ra qu'il est maso et que tous les traitements qu'il allait subir, l'Ă©taient avec son accord total, qu'il est dans ce trip " rapt et domination " volontairement. Il a fallu quand mĂȘme la refaire 4 fois avant que nous le trouvions convainquant. A regarder de plus prĂšs, il est pas mal foutu le mec, c'est vraiment dommage qu'il se soit fourvoyĂ© comme ça. En attendant nos acolytes, nous rasons le jeune homme. Ăa lui dit rien mais il se laisse faire, aprĂšs tout c'est ce qui va lui arriver de moins pire ! La peau toute lisse, il est trĂšs dĂ©sirable. Mes clients ne vont pas avoir de mal Ă bander pour ce salaud. Quand je lui rase la tĂȘte, il a un mouvement de recul. Il finit quand mĂȘme la boule Ă zĂ©ro. Je lui dis que c'est pas parce qu'il va pas aller en tĂŽle qu'il Ă©chappera Ă la tĂȘte de bagnard. Par respect pour mes clients, nous lui octroyons un lavement. Heureusement que nous sommes trois et que nous avons des chaĂźnes sinon ça aurait Ă©tĂ© laborieux. Mais une fois la canule dans le cul et de l'eau plein le ventre, il n'a plus le choix et va se vider docilement. Il en faut 4 passages pour que l'eau sorte propre et j'ai enfoncĂ© le flexible de plus de 30cm. DGSE est le premier Ă nous rejoindre, MasquĂ© lui aussi, il va le prĂ©parer psychologiquement.
Impressionnant les technique qu'il emploi. Entre fessĂ©es et pincements, argumentaire le plaçant en dessous de tout, excitation de sa prostate au doigt (un seul pour pas gĂącher le dĂ©pucelage), il l'excite pour que sa queue soit douloureuse Ă ne pas pouvoir bander dans sa cage. Le tout est filmĂ© par François. Il le fait jouir et sur l'Ă©cran, on voit le voit bien en entier avec son jus qui coule entre les barres en inox et le doigt qui lui fouille le cul. Il n'arrive mĂȘme pas Ă retenir un gĂ©missement qui est trĂšs net de plaisir ! Quelle tantouze !! J'accueille mes invitĂ©s et leur passe les cagoules Ă porter. Il y a mon banquier et ses 27x7 et Xavier avec ses 26cm Ă©pais comme blanc en plsu de DGSE. Les 2 autres sont blacks et montĂ© 27x 7, 27x8 et mon top qui a entre les jambes un 28x8 monstrueux ! Ils se mettent nus avant d'entrer dans la salle. Je leur ai demandĂ© de ne pas parler, par sĂ©curitĂ©. J'entends XX dire que c'est pas le contrat ça, que c'est pas des mecs c'est des chevaux !  Je lui demande s'il prĂ©fĂšre que j'envoie le fichier Ă la justice ? Il est vaincu ! Pour Ă©viter les risques, DGSE lui place dans la bouche un Ă©carteur de mĂąchoires. Comme ça pas de coups de dents et sa gorge sera accessible en permanence. Mes 5 clients bandent Ă mort !
Pendant 3 heures, XX va se prendre les plus grosses bites de la rĂ©gion dans le cul et dans la gorge. Il a appris sur le terrain Ă maitriser sa respiration. La premiĂšre bite, mĂȘme si couverte de gel, n'aurait pu rentrer sans la prise de ses " excitants " personnel rĂ©cupĂ©rĂ©s dans son appart. AssociĂ© au poppers, ses sphincters ont lĂąchĂ©s et sa rondelle s'est faite dĂ©foncĂ©e. AprĂšs, il a juste suffit de ne pas la laisser se refermer pour que tout le monde puisse y passer. Plusieurs fois j'ai demandĂ© Ă François de filmer son trou bĂ©ant alors que je tournais la tĂȘte pour que nous ayons bien sur le mĂȘme plan, son beau visage Ă la bouche ouverte par l'Ă©carteur et sa rondelle grande ouverte. J'aurais bien dis Ă mes clients de le doser Ă cru mais pas la peine de lui laisser des traces ADN ! Quand ils partent, notre " master " n'est plus qu'une salope comme il se plaisait Ă dĂ©nommer Enguerrand ! Je lui fais grĂące des godes et pluggs prĂ©vus en cas de rĂ©sistance. Il n'a eu que des " arghhhh " et pas de " non ". On libĂšre ses mĂąchoires. Puis nous le dĂ©tachons de la table pour le mettre sous la douche. RĂ©curage en rĂšgles afin d'enlever le peux d'ADN laissĂ© sur sa peau et friction avec un produit spĂ©cial pour en dĂ©naturer les restes. Il reprend ses esprits. Il commence Ă intĂ©grer ce qu'il vient de lui arriver surtout quand il voit le film qui a Ă©tĂ© fait. Il ne peut nier avoir pris du plaisir puisque sa queue Ă plusieurs reprises Ă laisser suinter son sperme blanc. Je crois bien que c'est ça le pire pour lui, laisser voir qu'il a Ă©jaculĂ© sous les coups de bites qui lui dĂ©fonçaient le trou !
Maintenant je lui mets le marchĂ© en main. Il disparait de France, outre-mer compris ou le fichier entre dans le domaine public. Et pour cela il a exactement 1 semaine qui courre Ă partir de l'heure Ă laquelle il va ĂȘtre dĂ©posĂ© devant sa porte d'appart. Je lui dis que c'est nettement suffisant pour rĂ©gler ses petites affaires avec son dealer Ă qui il doit encore 8 500⏠et de dire au revoir Ă sa famille et leur donner une raison valable. Et, bien sĂ»r ce cesser toute relation avec notre ami Enguerrand (le plus important). Que s'il changeait de continent ce serait mĂȘme mieux. En Afrique, ils ont besoin de volontaires pour combattre Ebola, ce serait une belle façon de se racheter. En plus il a dĂ©jĂ de la famille lĂ -bas et de lui citer trois noms de cousins et cousines Ă lui. S'il se dĂ©cide pour l'Afrique, je lui ferais passer des kpotes XXL avant son dĂ©part (on peut quand mĂȘme avoir un peu d'humour non ?!). Les seules choses qu'il retient de mon petit laĂŻus, c'est que je connais la somme exacte de ses dettes de coke et les noms de sa famille en place sur le continent Africain. Je continu mon discours en le prĂ©venant que ce n'Ă©tait pas la peine d'essayer d'Ă©chapper Ă la surveillance que je vais mettre en place sur lui, j'ai plus d'amis que lui. Ăa fera un exercice en taille rĂ©elle pour Jona et François. Pendant la " punition ", François est allĂ© dans l'appartement de XX pour y placer des camĂ©ras miniatures. Il est dans un tel Ă©tat que je crois bien que je pourrais mĂȘme lui faire signer des aveux complets sur le viol perpĂ©tuĂ© sur Enguerrand tout comme de ses activitĂ©s dans la drogue. Comme j'en fais part Ă DGSE, ce dernier me sort papier et stylo, il avait prĂ©vu le coup. Ăa fera une assurance supplĂ©mentaire. XX s'exĂ©cute, mĂȘme pas eu Ă insister. Jona et François le reconduisent au petit matin. Gaminerie de ma part, je ne lui ai pas retirĂ© ses menottes de poignets ni de chevilles. Il devra se dĂ©brouiller sans les clefs !!  Ils le dĂ©posent nu sur son palier avec et lui jettent ses clefs au sol.
Ce qui ce passe aprĂšs est le rĂ©sultat de visionnage par les camĂ©ras de son appart. Nous le voyons entrer et refermer la porte. Avant toute chose il fouille partout et nous l'entendons gueuler parce qu'il ne trouve plus sa dope, (dans les chiottes ses rĂ©serves). Il s'enfile un grand verre de Whisky et fait la grimace, ça tombe dans un estomac vide !! On le voit essayer de dĂ©faire ses menottes avec les outils du bord, couteaux et mĂȘme fourchettes mais rien n'y fait, (bonne qualitĂ©, il va devoir trouver un serrurier ou une scie Ă mĂ©taux). Puis il va sur son PC et voit bien que le mĂ©nage a Ă©tĂ© fait. François a remplacĂ© le disque dur (l'effacement des fichiers n'est pas suffisant) par un autre vierge. On l'entend tĂ©lĂ©phoner Ă un de ses amis de dĂ©bauche (comme nous disposons de tous les noms de sa bande). Ce dernier n'a pas l'air de comprendre et XX l'engueule. Une 1/2 heure aprĂšs, l'ami en question dĂ©barque. XX s'est couvert d'un drap de bain Ă la taille. Il explique vaguement un plan sexe avec une nouvelle conquĂȘte. Et qu'il a perdu les clefs dans la bataille. L'ami dĂ©cide de crocheter les serrures. Il le fait bien et en quelques minutes XX est libĂ©rĂ©. Je note par devers moi le nom de l'ami et y accole l'info sur sa dextĂ©ritĂ© avec les serrures.
XX congĂ©die le mec et part se doucher une nouvelle fois. On l'entend marmonner sous l'eau " les salauds, les salauds.... ". Il s'habille puis nous le voyons tourner et virer dans son appart, prendre plusieurs fois son tĂ©lĂ©phone puis le reposer sans appeler qui que ce soit. Puis il se dĂ©cide. Il appelle son dealer pour solder ses comptes et lui demander d'apporter une derniĂšre livraison. Cela fait, il appelle ses parents et la conversation tourne sur ses cousins en Afrique. On l'entend mĂȘme dire Ă ses parents qu'il pense rĂ©orienter sa vie et peut ĂȘtre les rejoindre. Il passe encore une heure devant le tĂ©lĂ©phone avant que je l'entende appeler Enguerrand. A ce dernier, il prĂ©sente ses excuses pour avoir profitĂ© de lui et qu'il est libre maintenant, qu'il avait dĂ©truit (c'est nous en fait) toutes les preuves qu'il dĂ©tenait.
Pendant la semaine, nous allons le voir expliquer sa décision à sa bande qui ne comprend rien à rien et à ses parents qui débarquent pour savoir le fin mot de sa décision de tout plaquer. Se prendre un poing dans la gueule par CÎme et un direct dans les cotes par Ludovic Il rÚgle ses dettes et se fait une ligne. Qu'il en profite ! Il prend aussi contact avec ses cousins et achÚte un billet d'avion.
C'est fait, nous sommes et surtout Enguerrand est débarrassé de ces parasites.
Entre temps, Enguerrand a dĂ©barquĂ© le lundi soir au blockhaus. Il surprend son frĂšre qui n'Ă©tait pas au courant qu'il passait nous voir. Nous non plus d'ailleurs. Ce qui le surprend le plus c'est que le gamin se jette Ă mon cou et qu'en pleurs il ne cesse de me remercier. Je lui souffle que Ludovic va se poser des questions. Il me rĂ©pond qu'il s'en fout qu'il va tout dire Ă ses frĂšres. Ses frĂšres ? A ce moment-lĂ , sonnerie Ă la porte, CĂŽme se pointe, convoquĂ© par Enguerrand. Quand il arrive au 4Ăšme, il demande si ce petit con nous a encore insultĂ©, avant mĂȘme de nous saluer. Je le rassure. Je regarde Enguerrand. Il me fait signe, je dis alors qu'Enguerrand Ă quelque chose Ă leur dire. Je fais signe Ă Samir en cuisine de sortir et m'apprĂȘte Ă faire de mĂȘme avec PH. Enguerrand m'arrĂȘte et me dit de rester tout comme PH qu'il sait ĂȘtre notre ami commun Ă son frĂšre et moi ! PH sert l'apĂ©ritif Ă tous le temps qu'il ordonne ses pensĂ©es mĂȘme s'il avait prĂ©mĂ©ditĂ© le coup. Moi je me pose derriĂšre Ludovic et le prends dans mes bras, ma tĂȘte sur son Ă©paule, je lui fais un bisou. Enguerrand se lance et raconte tout, depuis la drague de mademoiselle YY de XXX et la chute sous la coupe de son frĂšre, jusqu'Ă son coup de tĂ©lĂ©phone qui le libĂ©rait de tout. Le rĂ©cit prend bien 1h1/2 pendant lesquelles on aurait entendu une mouche voler. Plusieurs fois j'ai retenu dans mes bras un Ludovic en furie. De son cĂŽtĂ© CĂŽme se retient difficilement et je le vois mordre ses lĂšvres plus d'une fois. Je suis fier d'Enguerrand. Il raconte son assujettissement en regardant ses pieds mais sa voix est ferme. Je crois que ses pleurs dans mes bras tout Ă l'heure Ă©taient les derniers qu'il versait sur cette pĂ©riode de sa vie. Quand il se tait, CĂŽme se lĂšve et dit Ă Ludovic, " vient, on va lui casser la gueule Ă ce salaud, je vais le tuer ! ".
J'interviens alors pour lui dire que ce n'est pas la peine, le travail a Ă©tĂ© fait et il va disparaitre du territoire. Je n'entre pas dans les dĂ©tails mais l'assure qu'avec quelques amis, nous avons fait en sorte qu'il n'embĂȘte plus personne et encore moins leur petit frĂšre, sans avoir Ă©tĂ© aussi radical, il l'imagine bien ! Je leur annonce aussi que XX a dĂ©cidĂ© de s'expatrier. CĂŽme n'en dĂ©mord pas, il tient Ă lui casser la gueule d'autant plus qu'il le connait bien ce type. Ce n'est pas un de ses amis proches mais ils sont du mĂȘme milieu et en plus ils boxent dans le mĂȘme club. Enguerrand, lui, le supplie de ne rien faire. Je l'ai sorti de la merde et c'est suffisant.
Ludovic que j'avais de plus en plus de mal Ă retenir m'Ă©chappe et debout Ă cotĂ© de CĂŽme confirme qu'ils ne peuvent laisser passer cela. J'arrive seulement Ă leur faire promettre d'ĂȘtre raisonnables. Ils l'ont Ă©tĂ© puisqu'ils se sont contentĂ© d'un seul coup chacun. Ils attrapent leur frĂšre et le serrent dans leurs bras, content qu'il s'en soit sorti et l'engueulant Ă moitiĂ© qu'il n'ait pas eu confiance en eux pour rĂ©soudre son problĂšme. Enguerrand m'appelle et m'ajoute Ă l'embrassade. Dans l'euphorie du moment, il nous dit qu'il les aime ses trois frĂšres, et de me faire un gros bisou sur la joue en me disant " mon hĂ©ros ". Il me cueille ce petit con !
Ils passent tous les trois la soirĂ©e avec nous, aprĂšs que CĂŽme ait appelĂ© ses parents pour les prĂ©venir qu'Enguerrand rentrerai pas trop tard. Difficile de reconnaitre Enguerrand tant ce dernier a changĂ© de caractĂšre. Le garçon acide et mordant auquel j'avais eu Ă faire a cĂ©dĂ© la place Ă un gamin gai et rieur plus de son Ăąge. Alors que CĂŽme va pour le reconduire, il me remercie encore et me dit que ce sont ses parents qui vont ĂȘtre soulagĂ©s. Ils ne savaient plus comment s'y prendre avec Enguerrand !
Jardinier
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ÂĄPasen a ver...!
Mujer de malabares varios, tan segura dando saltos y giros, tan confiada haciendo acrobacias sin ningĂșn miedo de caer, tramoyera descuidada, que me miras como simple mimo que nada dice, pero soy yo quien tensa la cuerda por la que haces peripecias, sujetĂĄndola con mi dedo meñique. Trapecista de la mentira, perfeccionista de cada acto que realizas, ningĂșn detalle que revele el truco, ningĂșn paso en falso que te haga perder el control en este performance donde cada movimiento es un distractor; escupes fuego por tu boca, el arte del engaño es tu espectĂĄculo continuo, haciendo equilibrio cual volatinera, llevando en una mano lo que escondes y en la otra lo que inventas. Tanta contorsiĂłn tuya para evadir el golpe, tanta voltereta mĂa para seguir de espectador. Que circenses se nos pueden volver los sentimientos, como esferas de payaso en tus manos que van y vienen en el aire, se vuelven dagas incrustadas en mi corazĂłn. ÂĄQuĂ© irrisorio es que la Ășnica persona que espera el final de tu acto, para aplaudirte y ovacionarte, sea este bufĂłn!
-Memoria Selectiva. -Necrosis Dactilar.
#mis dedos tienen vida propia#versosdisonantes#letras#textos#citas#verborragias#frases#escritos#letras en español#textos en español#citas en español#frases en español#escritos en español#notas#notas en español#antipoesĂa profana#meditaciones irreflexivas#que escriban lo que saben#textos fallidos#pretextos#frasesquizofrenicas#letrastornadas#malescritos#si no lo hago yo ÂżquiĂ©n carajos lo harĂĄ?#bitĂĄcora de un absurdo#textos para degustar y escupir#memoria selectiva#del ayer y sus fantasmas#del pasado y sus delirios#disculpa los malos pensamientos
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ÂżPor quĂ© sostenĂ©s ese vĂnculo que no sabĂ©s cĂłmo soltar?
El peor error de sostener un vĂnculo que no va mĂĄs, es seguir esperando de esa persona algo que no sabe dar
Hacer malabares para que en vĂnculo funcione es la señal suficiente para que te des cuenta que ya no va a funcionar
No te mientas. Por dentro sabes muy bien que ese vĂnculo ya no te estĂĄ llevando a ningĂșn lugar
Animate a soltar lo que ya no te hace feliz
Animate a buscar un vĂnculo donde tu energĂa se expanda y no se estanque.
Animate a hacer espacio para que cosas mejores lleguen a tu vida
Toda la energĂa que gastas para que ese vĂnculo funcione es la energĂa que no dedicĂĄs para tu propio crecimiento
Si no le querés hacer caso a este escrito, hacele caso a Cerati:
decà adiós y crecé.
Cosas maravillosas te estĂĄn esperando atrĂĄs de todos tus miedos.
Cherryofsaturn
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Hola. Pues estoy contento porque ha llegado mi libro nĂșmero⊠no sĂ©, ya perdĂ la cuenta, sĂłlo sĂ© que he publicado de manera independiente mĂĄs de 15 libros y no hemos dejado de hacer ruido desde entonces.
Pero bueno, finalmente escribĂ un libro que hace tiempo tenĂa pendiente. Yo me fui de mi casa bien morro, tenĂa como 22 años y reciĂ©n habĂa terminado la universidad, habĂa estado trabajando como esclavo en el estresante ambiente bancario como cajero y la neta estaba frustrado y triste con mi vida. Yo sabĂa que no podĂa desperdiciar mi juventud atrapando en cuatro paredes con la promesa de un futuro al que no querĂa arrugado, panzĂłn, triste e infeliz.
Y recuerdo bien las palabras de mi jefe y varios amigos y familiares ÂżQuĂ© vas a hacer? Como que esperaban que emprendiera un negocio o algo. Yo tenĂa unos ahorros, no me comprĂ© un coche, un iPhone o me lo gastĂ© en cheves y morritas. Mejor me fui a conocer mi paĂs. TenĂa miedo y casi no conocĂa a nadie que se hubiera ido. Los que hacĂan lo mismo que yo no estaban dando consejos en el internet sobre viajes como ahora; esos los conocĂ en la calle, mochileando, haciendo malabares, tocando en taquerĂas, bailando en las esquinas o vendiendo pulseras.
Toda esta experiencia me animĂł el espĂritu y nunca volvĂ a ser el mismo. Con el tiempo me convertĂ en un hippie, me desprendĂ de mis prejuicios conociendo mucha gente, me hice amigos de ancianos, señoras, artesanos, mĂșsicos y mucha gente interesante que me escuchaban sin juzgarme. Por eso me fui soltando, abracĂ© quiĂ©n era y me volvĂ fiel a mi mismo. Eso con el el tiempo hizo que me volviera muy seguro de lo que soy y por ende me valĂa y me sigue valiendo dos kilos de đ lo que la gente piensa de mĂ.
Muchas historias de esos viajes vienen en varios de mis libros. Pero este es diferente, este libro es el ånimo que yo alguna vez necesité para irme. Es la invitación a moverte y disfrutar el vértigo que implica tener la vida por delante. Y que siempre habrå algo de lo que duela desprendernos y a la vez algo mejor esperando a encontrarnos.
Y como dije en el libro: muchas cosas tienen soluciĂłn y esa soluciĂłn muchas veces es irse.
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Gabriel RolĂłn
"ABANDONO"
"A todos nos abandonaron un dĂa.
Y cuando digo abandonar, no me refiero sĂłlo a un acto extraordinario.
TraumĂĄtico.
No.
Es mĂĄs simple.
Pero duele igual.
A todos nos abandonaron en el medio de un quilombo.
En el inicio de un proyecto.
En el placer del logro cumplido.
En el momento menos pensado.
En el momento mĂĄs esperado.
A veces pasa, que te das vuelta y no tenés quien te junte los mocos, quien te dé la palmada en la espalda, quien te guiñe el ojo cuando algo te salió bien y quien te limpie las rodillas cuando te fuiste al pasto.
Todos sabemos de la soledad que se siente cuando nos sentimos solos.
Porque todos fuimos abandonados un dĂa.
Y entonces, encontramos un secreto tristĂsimo, un acto paliativo, para tapar ese pozo.
Vemos gente que se come la angustia tragĂĄndose un paquete de cigarrillos,
el otro que corre y corre como un loco a ver si el viento en la cara le vuela ese agujero en el pecho.
Personas que se comen las uñas junto con los nervios y la ansiedad paralizante.
Paquetes de galletitas que van a parar a la boca sin nociĂłn de que lo que se intenta matar, no es el hambre.
O por lo menos , no ese.
Pibes que se perforan la nariz y las venas, con alguna que otra cosa que lo pase a otra realidad por un par de horas.
El otro se pone a jugar lo que no tiene.
Vos comprarĂĄs compulsivamente cosas que no necesitĂĄs, para sentirte un poco vivo por un instante.
Y yo me quedarĂ© mirando una pelĂcula, que me habilita disimuladamente a llorar mirando afuera, lo que no tengo ganas de mirar adentro.
Es que somos tan jodidos con nosotros mismos que cuando peor estamos, es cuando mĂĄs nos castigamos.
Porque todo eso que te comés, te come a vos.
Te pone peor.
Te suma al abandono, la culpa de hacer algo que sabés que no es genuino.
Que no es lo que querés.
No comés asà por hambre.
No corrés por deporte, cuando te estås rajando de vos.
No te intoxicĂĄs por placer.
No te acostĂĄs con esa mina por amor.
TapĂĄs.
Escondés.
TirĂĄs abajo de la alfombra.
CerrĂĄs los ojos.
Te ponés un bozal y un par de auriculares para no escuchar tu corazón.
Date cuenta.
Te estĂĄs comiendo a vos.
Y quizå, el secreto esté en frenar.
En sentir.
En recordar, que en ese abandono lo que te falta, es lo que tenés que buscar.
Amor.
QuizĂĄ sea hora de pedir ese abrazo.
De acostarte en las rodillas de tu mamĂĄ.
De poner la pava y llamar diciendo, sĂ, te juro que te necesito.
Es ahora.
Después no.
Ahora.
AndĂĄ a esa casa.
Hablå con quién te escucha.
LlorĂĄ.
GritĂĄ.
DecĂ.
VomitĂĄ.
PedĂ.
Da.
Ahora.
Hacer malabares, en medio del despelote, no tiene mĂĄs que un resultado despelotado. Resultado que no va a curar la herida que te sangra, porque le estĂĄs metiendo una curita.
Y las curitas no curan.
Las curitas tapan.
Y vos sabés muy bien que el dolor tapado no es dolor sanado.
ParĂĄ un poquito.
MirĂĄ en el espejo de tu alma.
FrenĂĄ.
MirĂĄ lo que te falta y salĂ a buscarlo en dĂłnde creas que lo puedas encontrar. De verdad.
No revolotees como mosca en platos vacĂos.
Pedà lo que necesitås si ves que solo no podés.
Porque no hay peor abandono que el que se hace a uno mismo.
Con eso no se juega.
No tenés derecho.
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A todos nos abandonaron un dĂa. Y cuando digo abandonar, no me refiero sĂłlo a un acto extraordinario.
TraumĂĄtico. No. Es mĂĄs simple. Pero duele igual. A todos nos abandonaron en el medio de un problema.
En el inicio de un proyecto.
En el placer del logro cumplido.
En el momento menos pensado.
En el momento mĂĄs esperado.
A veces pasa, que te das vuelta y no tienes quien te junte los mocos, quien te dé la palmada en la espalda, quien te guiñe el ojo cuando algo te salió bien y quien te limpie las rodillas cuando te fuiste al pasto.
Todos sabemos de la soledad que se siente cuando nos sentimos solos.
Porque todos fuimos abandonados un dĂa. Y entonces, encontramos un secreto tristĂsimo, un acto paliativo, para tapar ese pozo.
Vemos gente que se come la angustia tragĂĄndose un paquete de cigarrillos,
el otro que corre y corre como un loco a ver si el viento en la cara le vuela ese agujero en el pecho.
Personas que se comen las uñas junto con los nervios y la ansiedad paralizante.
Paquetes de galletitas que van a parar a la boca sin nociĂłn de que lo que se intenta matar, no es el hambre.
O por lo menos , no ese hambre.
Gente que se perfora la nariz y las venas, con alguna que otra cosa que lo pase a otra realidad por un par de horas.
El otro se pone a jugar lo que no tiene.
TĂș comprarĂĄs compulsivamente cosas que no necesitas, para sentirte un poco vivo por un instante.
Y yo me quedarĂ© mirando una pelĂcula, que me habilita disimuladamente a llorar mirando afuera, lo que no tengo ganas de mirar adentro.
Es que somos tan jodidos con nosotros mismos que cuando peor estamos, es cuando mĂĄs nos castigamos.
Porque todo eso que te comes, te come a ti.
Te pone peor.
Te suma al abandono, la culpa de hacer algo que sabes que no es genuino.
Que no es lo que quieres.
No comes asĂ por hambre.
No corres por deporte, cuando te estĂĄs arrancando de ti.
No te intoxicas por placer.
No te acuestas con esx minx por amor.
Tapas.
Escondes.
Tiras abajo de la alfombra.
Cierras los ojos.
Te pones un bozal y un par de auriculares para no escuchar tu corazĂłn.
Date cuentaâŠ
Te estĂĄs comiendo a ti.
Y quizå, el secreto esté en frenar.
En sentir.
En recordar, que en ese abandono lo que te falta, es lo que tienes que buscar.
Amor.
QuizĂĄ sea hora de pedir ese abrazo.
De acostarte en las rodillas de tu mamĂĄ.
De poner el agĂŒita caliente y llamar diciendo, sĂ, te juro que te necesito.
Es ahora. Después no. Ahora.
Anda a esa casa. Habla con quién te escucha. Llora. Grita.
Habla. Vomita. Pide. Da.
Ahora.
Hacer malabares, en medio del despelote, no tiene mĂĄs que un resultado despelotado. Resultado que no va a curar la herida que te sangra, porque le estĂĄs metiendo una curita.
Y las curitas no curan.
Las curitas tapan.
Y tu sabes muy bien que el dolor tapado no es dolor sanado.
Para un poquito. Mira en el espejo de tu alma. Frena.
Mira lo que te falta y sal a buscarlo en dĂłnde creas que lo puedas encontrar. De verdad.
No revolotees como mosca en platos vacĂos.
Pide lo que necesitas si ves que sola no puedes.
Porque no hay peor abandono que el que se hace a uno mismo. Con eso no se juega.
No tienes derecho.
-Un recordatorio para mi.
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cast1llos en el a1re
malabares que sostienen fantasĂas abundantes relevantes a nuestro arte por arrebatos de tu mente con acuarelas que pintaste de mi fuente me expulsaste apretaste tus dientes la sonrisa fue de cobarde me ensordece tu aflicciĂłn necesito devorar el dolor
reQUIERO acoger tu ardor ese corazĂłn se reflejĂł sobre mĂ como estanque te mostrĂ© de tu flor, su raĂz sĂłlo un beso te pedĂ, para robarte un suspiro mĂĄs adelante, sĂłlo una noche y te desligo de mis lamentos no serĂĄs testigo eras atento pero no te compares conmigo eras sustento, de adinerado a aprendiz lo que no viste, te hizo feliz
nadie sabe de las cargas de un otro sĂłlo el alboroto que rodea su ser jĂșzgame como nadie lo ha hecho y serĂĄn nuestros derechos los que YO deba defender si te creĂste aĂșn mĂĄs correcto que sea para tus adentros asĂ en las afueras al fin dejas ver no fue por lo que hicimos ni lo que dejamos de hacer es por los testigos que sĂ quieren creer
en un mundo mejor, una vida plena un castillo amarrado a la verdad y las fiestas un candelabro con velas encendidas y que la luz a nuestro lado nos indique las salidas pues las sombras que llevamos dĂa tras dĂas oscurecen este circo de milagros con bombardeos y osadĂas
que flote la voz que aĂșn brilla tras banvainillas que resurja el amor entre esas venas aturdidas que prospere nuestro arte que nos mueve invaluables que nos tira del carro cuando me canso y no me hayo que me cuide un palestino o me sacrifique un israelĂ mi visiĂłn a tu lado se agudiza, codorniz
@poetailurofilica
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Para alguien mĂĄs, tĂș eres el âlos sueños se hacen realidadâ. Un dĂ©jĂ vu de un dĂa perfecto por llegar.
AlgĂșn dĂa, estaremos lejos. Muy lejos.
Si tuvieras la oportunidad de preguntarle a tu yo del pasado: âoye, ÂżquĂ© es lo que ves? ÂżDĂłnde crees que estarĂĄs?â, ÂżquĂ© piensas que dirĂĄ?Â
TĂș, Âżen dĂłnde te ves? ÂżDĂłnde nos ves?
Un dĂa, estĂĄbamos lejos del otro. Hoy, estamos aquĂ. El sol y la luna se unieron, Âżes un eclipse? Uno eterno.Â
Hay algo maravilloso en ti, algo que te hace ser querido, algo que tĂș no ves. Tal vez, solo tal vez, pueda hacer que lo veas a travĂ©s de mis palabras. ÂżVoy a poder llegar a ti para lograr eso? Espero que sĂ. Quiero que logres entender que tu destino solo lo escribes tĂș, aunque pasen cosas buenas y cosas malas, que las oportunidades pueden estar ahĂ, ocultas.
Temo no poder darte lo que necesites o quieras, pero harĂ© mi esfuerzo en darte todo aquello que pueda. Espero sea suficiente.Â
¿Qué sueñas? Quiero saberlo.
ÂżQuĂ© deseas? ÂżPuedes decĂrmelo?
¿A qué le temes? Lucharé contra eso.
¿Qué necesitas? Lo conseguiré.
¿Dónde quieres estar? Te llevaré.
Todo, absolutamente todo, quiero ser tu compañero. AsĂ seamos solo tĂș y yo, asĂ la gente vaya y venga; asĂ estemos heridos, o lloremos, o no podamos avanzar, en todo quiero ser tu fiel compañero.
Quiero cuidarte.
ÂżDĂłnde podemos terminar? ÂżA dĂłnde vamos? Quiero ver ese paisaje contigo, Cisse.
Hoy, despuĂ©s de tanto, por fin puedo celebrar tu cumpleaños a tu lado. He estado pensando mucho en este dĂa, regularmente desde que te conocĂ. Me hace ilusiĂłn poder pasarlo contigo, espero logres disfrutarlo.
SĂ© que no es mucho, pero eres quien acompaña un nuevo dĂa en mi vida y me entrega las vistas mĂĄs hermosas al amanecer, no puedo permitir que no sepas esto. Hablando con el corazĂłn en la mano, pensando en ti a cada momento, haciendo malabares para no dejarte solo⊠todo vale la pena.Â
TĂș vales la pena.
Quiero que pienses aquello que tu corazĂłn desea, lo guardes bien y un dĂa todo se cumplirĂĄ. A su debido tiempo, todo va a estar aquĂ.Â
Un âte amoâ se queda corto y aĂșn no existen palabras para expresar lo que siento. Pero te amo.
Te amo mucho.
MuchĂsimo.
Espero que cada cosita que recibas hoy, te haga feliz y te haga sentir amado.
Te amo.
Esto no es lo Ășnico... mira aquĂ.
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fui a un festival hoy y habĂa un show de malabares en el q el loco nos pidiĂł q cada q terminaba un truco aplaudamos y le cantemos "mĂĄs-di-ficil mĂĄs-di-ficil" which was fun pero la gente se cebĂł tanto q despuĂ©s tocĂł una banda de rock y cuando los flacos terminaban un tema todo el mundo les pedĂa una mĂĄs dificil jasdjhsdhj
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Hoy es 1 de septiembre de 2022.
Pasaste de sacrificio en sacrificio,Â
para ir cuidando de tus crĂos.Â
Complejidad y sencillezÂ
mezcladas en revoltijos,
que se fueron desmenuzando en cinco.
Hiciste malabares,Â
patinando sobre piedras.
La vida te diĂł pesares
por injustas condenas.
Hubo campos de felicidad,
Ă©pocas de gran cosecha.
Tu corazĂłn sabe convidar,
y tu sonrisa, colorear.
Nuestro querido papĂĄ:
los dĂas te empujan en tu andar.
Tus dudas sobre tu transitar te maltratan,
pero con cinco abrazos lo alcanzarĂĄs.
Las cadenas de tu prisiĂłn desintegradas,
y las cuerdas de tu barco desenredadas.
Las comisuras de nuestros labios llenos de risas,
y las profundidades de nuestras palabras compartidas.
El presente apremiante todo lo deriva
a un pasado atesorado que acaricia.
Porque nada se pierde en la vida,
pues caminan pieles muy agradecidas.
Tu nombre es el que nos hermana.
Tu personaje es el que nos acompaña.
Tu historia es la que nos sigue narrando,
y sabe lo mucho que te amamos.
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finalement ça va j'ai rĂąlĂ© pour rien ça m'a fait du bien de voir ma cousine et ses amis que j'aime bien... on m'a fait plein de compliments en plus avant de me dire que j'Ă©tais un peu autiste pour des raisons qui se justifient un peu en vrai je crois, ensuite on s'est rendues compte avec ma cousine et sa voisine qu'on ressemblait Ă trois pĂ©tasses d'un teen movie amĂ©ricain donc on s'est renommĂ©es lindsay sidney et britney (le LSB) et ça m'a fait penser Ă un ami du lycĂ©e parce que sidney et tony c'Ă©tait nos alter ego quand on Ă©tait trop dĂ©foncĂ©s ou passĂ© 3 trois heures du mat d'ailleurs j'ai failli lui envoyer un message mais c'est bizarre aprĂšs trop longtemps sans lui parler, en attendant j'ai la photo de nous deux en tĂȘte avec nos tĂ©tines mon tee-shirt scarface et son sweat moche Ă 17 ans chez mon ex quand on s'Ă©tait rencontrĂ©s tous les deux, on avait beaucoup rigolĂ© avant que je phase pendant des heures mais bon dans la rĂ©alitĂ© de ce soir sidney n'a pas bouffĂ© tous les taz et a juste bu du cidre et du vin en machant des chamallow et des malabar avec son tatouage en forme d'aile sur l'aine et son autre tatouage flammes au dessus de son string parce que sidney elle a le feu au cul...
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« Quand jâĂ©tais petit je nâĂ©tais pas grand. Avec les copains, nous jouions dehors toutes les fois que câĂ©tait possible. DĂšs avril, les culottes courtes Ă©taient de rigueur et les genoux sâornaient de belles plaques rouges artistement badigeonnĂ©es sur des Ă©corchures dâanthologie par des mamans attentionnĂ©es. Normal, nous courions comme des dĂ©ratĂ©s. Nous jouions aux cow-boys et aux Indiens, Ă Thibaud ou les croisades ou Ă la petite guerre sur tous les thĂšmes. Mais ça courait dans tous les cas.
Nous grimpions dans les arbres. Nous nous battions Ă lâoccasion, dâhomme Ă homme, entourĂ©s dâun cercle de tĂ©moins. Les billes en terre coĂ»taient un centime piĂšce. Les malabars se partageaient en quatre et les autos Ă©taient Ă pĂ©dales. Ma famille nâavait pas de tĂ©lĂ©vision et les kangourous nâavaient pas dâarĂȘtes, mais jâai quand mĂȘme vu Zorro et Kit Carson et surtout Saturnin le canard et La
Maison de Toutou (nos vieilles voisines Ă©taient tellement gentilles et les tartines pain- beurre-confiture-de-fraise tellement bonnes, jâai souvent une pensĂ©e pour elles).
Les filles restaient dâĂ©tranges crĂ©atures qui jouaient Ă la dĂźnette. LâĂ©cole Ă©tait publique mais pas mixte. Nous y allions Ă pied, seuls ou en groupes bruyants. Nos instituteurs Ă©taient des demi-dieux omniscients qui nâhĂ©sitaient pas Ă sortir la rĂšgle ou Ă ouvrir la boĂźte Ă torgnoles pour nous remettre les idĂ©es en place. Nous apprenions lâhistoire avec les planches pĂ©dagogiques Vidal-Lablache. Les Gaulois nâavaient pas grand chose Ă part un trou pour laisser passer la fumĂ©e et les seigneurs du moyen Ăąge piĂ©tinaient les rĂ©coltes (ma premiĂšre incursion dans le scepticisme historique et jâen suis trĂšs fier).
Les fables venaient de chez La Fontaine et les dictĂ©es de chez Alphonse Daudet. Une faute, un point. Il y avait encore des baignoires qui partaient Ă lâheure et des trains qui fuyaient devant des cyclistes dĂ©gonflĂ©s, et il Ă©tait interdit de compter sur ses doigts. Tout ça rĂ©digĂ© au porte-plume Ă lâencre violette.
Il y avait aussi des ardoises et dâhorribles crayons grinçants Ă vous dĂ©chausser les molaires. Avec dix bons-points on avait une image. Lâinstruction civique sâappelait cours de morale, il fallait cĂ©der sa place aux vieilles dames et aider les aveugles Ă traverser. Il y avait des notes et un classement (je ne dirai pas quelle Ă©tait ma place habituelle par simple pudeur).
Nous lisions des livres de la bibliothĂšque de la classe, des histoires dâaventures en Afrique ou dans la pampa, de chevaliers hĂ©roĂŻques ou de corsaires fougueux. Collection verte pour les garçons et rose pour les filles, il y avait aussi des Rouge et Or, mais sans la jaquette, jây ai dĂ©couvert Garneray, Vercel et Jack London, merci lâInstruction Publique. Chez moi, les bandes dessinĂ©es Ă©taient interdites sauf pendant les vacances, avec une dĂ©rogation pour Tintin, AstĂ©rix et Lâhomme qui tire plus vite que son ombre (le reste : «câest plein de fautes dâorthographe !»).
Ă la kermesse de fin dâannĂ©e Ă lâĂ©cole il y avait deux buvettes (ça biberonnait ferme au gros plant je ne dis que ça) et un stand de tir Ă la bosquette, et la semaine suivante une hĂ©catombe de poissons rouges intoxiquĂ©s par lâozone municipal. Nous avons tous survĂ©cu.
Nous habitions une ZUP. En 1968 notre immeuble ressemblait Ă un premier mai sur la Place Rouge, mais tout le monde partait faire bronzette sur les plages franquistes. Mon pĂšre prĂ©fĂ©rait le camping sauvage du cĂŽtĂ© de Narbonne-Plage. Lâesprit de contradiction, ça sâapprend jeune et câest de famille, câest comme ça, merci papa et maman. Dans le fond, je mâen suis sorti Ă temps. Ăa mâa Ă©pargnĂ© le casque obligatoire pour faire du patin Ă roulettes, les pompiers au moindre bobo dans la cour de rĂ©crĂ©, les maths modernes, la notation sur cinq lettres et la mĂ©thode globale, les cours de repentance et de recyclage, le rĂ©fĂ©rant bondissant et les gĂ©niteurs dâapprenants, et la visite scolaire de lâexpo sur les cultures du monde Ă la mĂ©diathĂšque municipale.
CâĂ©tait mieux avant ? Je ne suis pas convaincu, mais lĂ , jâĂ©voque, câest tout⊠non, non, juste jâĂ©voque âŠ. »
(Marc Vidal)
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A Fåbula de Outros Minérios
A boca do caos, ignorada seja Acolhe de imediato todas as formas Desajeitadas e famintas por pertencer A teu cemitĂ©rio viscoso A altura de trĂȘs anos VocĂȘ que me quer Corpos e sacos plĂĄsticos PoderĂĄ ater-me frestas? Meu ouvido desprendem-se Das fotos manchadas de lĂĄgrimas Tocam casas como se fossem buracos Escondem ossos e lĂnguas imprecisas Meus sentidos fluem tensionados Entre hipĂłteses desenrolam o fogo dos olhos Eu ainda sou pequeno demais aos teus afagos Ainda que fosse uma vontade impetuosa Quando fugimos, cobaias desintegram-se Eram Catedrais charmosas, agora hipĂłteses Atropeladas pelo pedido de desocupação Vozes vermelhas velejam em minha cabeça Venha interpretar memĂłrias dĂșbias Enfeitiça um poema sujo na lĂngua Vou ser um ator de vis polarizaçÔes Vou rimar o mundo com anacronismo Meu olhos inundados de borra de cafĂ© Podes ler-me na narrativa descompensada Me deixe clinicamente dependente Aos pĂ©s de teus malabares de receitas e conceitos Meu interesse satura da minha pele Convulsiona convençÔes de Lïżœïżœzaro Fomenta e desabrocha o garimpo Dentro do meus ossos de metais convertidos
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"Sorry for the language, you're an asshole." + David.
Soltou uma sincera gargalhada com a fala do Charming, sempre lhe era engraçado quando o amigo se permitia ser mais livre de toda aquela chatice e sĂł xingar sem pensar muito sobre. âBom, achei que isso fosse meio Ăłbvio, afinal, vocĂȘ Ă© um mocinho...â Apontou para David e depois apontou para si mesmo. â... E eu sou um vilĂŁo, Ă© vĂĄlido lembrar.â E talvez a maior ironia Ă© que o Hearthorn fosse o vilĂŁo da esposa de David, mas acreditava que isso jĂĄ tinha se resolvido a certo tempo. Theron tinha uma incrĂvel habilidade de fazer malabares entre suas relaçÔes interpessoais, o rei de Red Rose sabia que Kael apenas fazia o que podia para sobreviver ao fim do dia. Mesmo que tivesse de ir contra seus princĂpios muitas vezes, verdade fosse dita ele era tĂŁo bom em passar a perna em certas pessoas quanto era bom em ficar em divida com essas. âMas bom, o importante de se lembrar no fim do dia Ă© que eu sou seu melhor amigo, nĂŁo o gato, eu.â
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