#Malabarize-se
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🎥: operacion triunfo
#Martin Urrutia#Juanjo Bona#Barcelona#Operacion Triunfo#OT 2023#girOT#lmao#tan cute#mi pobre el solo quería hacer malabares y termino regañado por el novio 😂#pero feliz#y como se va 🤣😂
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me se como 4 link skills de memoria dios me libre
#literal haciendo malabares mentales con 4 miseros links a ver como dejar de derrochar en el evento#btw son el de los ex god el de los sleepy el de los troublemakers y. el de#me olvide la palabra. pero tipo los arreglacosas. los mecanicos (?)#ya esta somos nosotros contra el mundo#no me se ninguno de action.....
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A altivez dos passos diz que é nobre o sangue que corre em CAELAN ESSAEX. Sendo ASTUTO e EVASIVO, ele foi escolhido como hospedeiro e protegido da FORTUNA. Aos VINTE E OITO ANOS, cursa o nível DIAMANTE. Sua reputação é conhecida além das fronteiras, e dizem que se parece com PATRICK GIBSON.
BIOGRAFIA
A história dos Essaex é há muito contada, difundida por Aldanrae com a glória de uma família que conquistou o local de prestígio que ocupa com perspicácia e merecimento. O legado atrelado ao nome seria tomado como a maior das honrarias por muitos, mas para Caelan sempre foi um fardo; desde o momento em que nasceu, estava fadado a viver pelos outros, ainda que tenha muito a dizer sobre isso. Talvez não exista sequer uma pessoa na corte do Imperador que não esteja a par dos desafios comportamentais do príncipe herdeiro, que desde muito pequeno dava um baile em seus guardas e escapava ardilosamente mesmo sob as mais atentas vigílias. Caelan não queria saber da rigidez de um milhão de regras, energético em demasia e sempre insatisfeito em passar suas tardes enfurnado em uma sala com os melhores e mais entediantes tutores do reino. Mesmo com uma infância marcada de mais percalços do que ditava a sanidade e o senso comum, a esperança era que o jovem melhorasse com sua ida a Hexwood, ou ao menos dizia Seamus sempre que questionado sobre as atitudes juvenis do filho mais velho. A sucessão era soberana e seria mantida a todo custo.
Em completa concordância com sua essência, foi Fortuna, a deusa romana da sorte, a divindade que escolheu Caelan para ser seu hospedeiro mortal. Foi esse o primeiro momento que, para ele, de fato registrou a responsabilidade real que recaia sobre os ombros do rapaz, quem até então ficava perfeitamente confortável em se esgueirar pelas ruelas da cidade e aprontar o que lhe desse na telha. Não era exatamente irresponsável, mas ficava imensamente mais feliz como frequentador de cassinos e tavernas do que como futuro Imperador, ainda que os infinitos privilégios da posição lhe coubessem muito bem. As pessoas podiam comentar, mas nunca cruzar a linha.
Além de tudo, para sua imensa frustração, se provou muito bom em fazer magia. Possuía um entendimento profundo do aeons e uma interpretação criativa destes, talvez por conta de sua personalidade propensa a trambicagens e um olhar apurado para procurar entre frestas. Durante sua formação em Hexwood, escondeu o máximo de seu talento para criação de feitiços de sua família, afinal sua pretensão sempre foi parecer o mais incompetente possível para que pudesse, de alguma forma, adiar a tomada de responsabilidade que seu posto, seu título, prometia.
Caelan gosta de cultivar uma reputação de preguiçoso e despreocupado, em sua maioria para que as pessoas evitem lhe pedir qualquer coisa. Ainda assim, tem suas próprias ambições além das que foram impostas a ele; quer ser pioneiro em algo, escapar dos laços de um legado que nunca quis herdar de toda forma. Possui grande interesse nos reinos da Penumbra e nos últimos anos tem trabalhado em novos feitiços que explorem melhor características dos universos paralelos. Apesar de sua relação de dualidade com a magia, tem uma conexão profunda com Fortuna; por vezes utiliza de suas habilidades apenas para, como sua deusa patrona, brincar com a sorte, mas promete compensar esse fato com algum tipo de grandeza no horizonte.
É o tipo de pessoa que faz amigos – e desafetos – com certa facilidade e que tem um comentário espertinho na ponta da língua para praticamente qualquer situação; carisma e malabares sociais são suas especialidades. Vive dizendo que regras estão mais para direcionamentos e não tem muitas ressalvas em quebrá-las. De muitas formas está mais perto de ser um ladrãozinho barato, metido a charmoso, do que o nobre que seu nome – ou melhor, seu patrimônio – sugere, ainda que mostre um lado imensamente justo por vezes. Dentre todos os seus defeitos, que sabe serem muitos, ao menos pensa em si mesmo como alguém engenhoso. Sua lealdade é conquistada, mas muitas vezes inabalável quando solidificada.
Extracurriculares: Natação e Meditação e Harmonização Divina.
Seon: Felithra.
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saga: Soumission & Domination 324
Résolution du problème d'Enguerrand
Une semaine pour mettre au point le plan. Puisque le monsieur aimes les hommes aussi, nous allons lui en faire une indigestion, mais en tant que passif, qu'il puisse apprécier ce qu'il fait subir à Enguerrand.
Vite fait, avec Jona et François plus l'aide et le matériel de DGSE pour la " capture et l'immobilisation " du triste sire, avec une sélection des 5 plus grosses bites de mon catalogue à qui j'explique le topo et la raison de ce gang-bang improvisé, je compte bien faire entrer un peu de plomb (au figuré) dans sa cervelle.
Les acteurs de la punition seront tous masqué et moi, je resterai même avec mon t-shirt pour qu'il ne voie pas mon tatouage.
Je loue un autre gite que l'habituel, celui-là est trop pratique pour que je le grille. Le nouveau est idéalement isolé de toutes habitations, la table en chêne massif nous permettra de la maintenir attaché.
Ce sont Jona et François qui vont le chercher. On l'attrape dès le samedi midi. Mes deux amis s'étant rendus méconnaissables déguisés en employés GDF-Suez, ils lui ont fait le coup de l'urgence Gaz et effectivement c'est ce qui s'est passé puisqu'ils l'ont gazé ! Il est arrivé encore groggy et nous avons eus tout le temps de le déshabiller et de lui enfiler des menottes aux poignets et à ses chevilles. Un collier de chien en cuir large et une cage de chasteté (c'est pas la peine qu'il y prenne plaisir en plus, d'après le film du dépucelage d'Enguerrand, ce dernier n'en avait pas pris non plus !) a complété l'équipement. Quand il s'est réveillé, il était couché sur le ventre sur la table en chêne, les membres attachés aux 4 pieds, la cage à bite plaquée en arrière et la tête en dehors du plateau.
Il se réveille doucement avant de se rendre compte qu'il est entravé. Placés derrière lui, on le voit se tortiller, secouer ses jambes et se bras. Puis on entend " aller les potes libérer moi, c'est pas drôle votre truc ". Je me place alors devant et lui soulève la tête pour qu'il me regarde dans les yeux. Il attend. Je lui explique par A+B ce qui va lui arriver ce WE. En premier une petite explication de texte et ses aveux, en second un dépucelage anal par 5 mecs, le tout filmé bien sûr. Et si nous trouvons que ce n'est pas assez, on a apporté quelques jouets pour finir de lui ruiner la rondelle. Comme bien sûr nous ne sommes pas des barbares, la troisième étape ne lui arrivera que s'il n'est toujours pas coopératif. Il gueule qu'il n'y comprend rien, qu'il ne voit pas ce qui lui vaut ça, qu'on est des désaxés et que la justice nous attrapera quand il aura déposé plainte. Je lui dis que ça tombe bien qu'il parle de justice, j'avais un petit film à lui faire voir. Jona pousse l'écran devant le mec et on passe son film du dépucelage d'Enguerrand. Il se tait vaincu ! Enfin !! Je lui dis qu'il savait pertinemment ce qu'il faisait subir à Enguerrand, ses propos enregistrés pendant l'acte ne laissent aucun doute là-dessus. Je lui demande s'il désire que le fichier soit remis à un juge (même si je sais que je ne le ferais pas). Il sera condamné et il passera toute sa peine à se faire défoncer le cul tous les jours par les malabars de la prison. Là, s'il se tient bien ce ne sera que 5 mecs et une seule soirée. Il a le choix. Il opte rapidement pour ma seconde proposition.
C'est là que je précise que mes 5 mecs sont bien montés, pour pas le prendre en traitre moi ! (Enfin un peu quand même je ne lui dis pas que les bites fonte entre 27 et 28cm par 7 à 8 de diamètre, faut pas gâcher la surprise). J'ajoute que comme lui je vais faire un petit film pour m'assurer de la permanence de sa nouvelle disposition d'esprit. Là le con, il me dit que c'est pas la peine, il n'a qu'une parole. Mais bien sûr, prend moi pour une bille ! Comme sécurité supplémentaire je lui fais dire devant la caméra qu'il est maso et que tous les traitements qu'il allait subir, l'étaient avec son accord total, qu'il est dans ce trip " rapt et domination " volontairement. Il a fallu quand même la refaire 4 fois avant que nous le trouvions convainquant. A regarder de plus près, il est pas mal foutu le mec, c'est vraiment dommage qu'il se soit fourvoyé comme ça. En attendant nos acolytes, nous rasons le jeune homme. Ça lui dit rien mais il se laisse faire, après tout c'est ce qui va lui arriver de moins pire ! La peau toute lisse, il est très désirable. Mes clients ne vont pas avoir de mal à bander pour ce salaud. Quand je lui rase la tête, il a un mouvement de recul. Il finit quand même la boule à zéro. Je lui dis que c'est pas parce qu'il va pas aller en tôle qu'il échappera à la tête de bagnard. Par respect pour mes clients, nous lui octroyons un lavement. Heureusement que nous sommes trois et que nous avons des chaînes sinon ça aurait été laborieux. Mais une fois la canule dans le cul et de l'eau plein le ventre, il n'a plus le choix et va se vider docilement. Il en faut 4 passages pour que l'eau sorte propre et j'ai enfoncé le flexible de plus de 30cm. DGSE est le premier à nous rejoindre, Masqué lui aussi, il va le préparer psychologiquement.
Impressionnant les technique qu'il emploi. Entre fessées et pincements, argumentaire le plaçant en dessous de tout, excitation de sa prostate au doigt (un seul pour pas gâcher le dépucelage), il l'excite pour que sa queue soit douloureuse à ne pas pouvoir bander dans sa cage. Le tout est filmé par François. Il le fait jouir et sur l'écran, on voit le voit bien en entier avec son jus qui coule entre les barres en inox et le doigt qui lui fouille le cul. Il n'arrive même pas à retenir un gémissement qui est très net de plaisir ! Quelle tantouze !! J'accueille mes invités et leur passe les cagoules à porter. Il y a mon banquier et ses 27x7 et Xavier avec ses 26cm épais comme blanc en plsu de DGSE. Les 2 autres sont blacks et monté 27x 7, 27x8 et mon top qui a entre les jambes un 28x8 monstrueux ! Ils se mettent nus avant d'entrer dans la salle. Je leur ai demandé de ne pas parler, par sécurité. J'entends XX dire que c'est pas le contrat ça, que c'est pas des mecs c'est des chevaux ! Je lui demande s'il préfère que j'envoie le fichier à la justice ? Il est vaincu ! Pour éviter les risques, DGSE lui place dans la bouche un écarteur de mâchoires. Comme ça pas de coups de dents et sa gorge sera accessible en permanence. Mes 5 clients bandent à mort !
Pendant 3 heures, XX va se prendre les plus grosses bites de la région dans le cul et dans la gorge. Il a appris sur le terrain à maitriser sa respiration. La première bite, même si couverte de gel, n'aurait pu rentrer sans la prise de ses " excitants " personnel récupérés dans son appart. Associé au poppers, ses sphincters ont lâchés et sa rondelle s'est faite défoncée. Après, il a juste suffit de ne pas la laisser se refermer pour que tout le monde puisse y passer. Plusieurs fois j'ai demandé à François de filmer son trou béant alors que je tournais la tête pour que nous ayons bien sur le même plan, son beau visage à la bouche ouverte par l'écarteur et sa rondelle grande ouverte. J'aurais bien dis à mes clients de le doser à cru mais pas la peine de lui laisser des traces ADN ! Quand ils partent, notre " master " n'est plus qu'une salope comme il se plaisait à d��nommer Enguerrand ! Je lui fais grâce des godes et pluggs prévus en cas de résistance. Il n'a eu que des " arghhhh " et pas de " non ". On libère ses mâchoires. Puis nous le détachons de la table pour le mettre sous la douche. Récurage en règles afin d'enlever le peux d'ADN laissé sur sa peau et friction avec un produit spécial pour en dénaturer les restes. Il reprend ses esprits. Il commence à intégrer ce qu'il vient de lui arriver surtout quand il voit le film qui a été fait. Il ne peut nier avoir pris du plaisir puisque sa queue à plusieurs reprises à laisser suinter son sperme blanc. Je crois bien que c'est ça le pire pour lui, laisser voir qu'il a éjaculé sous les coups de bites qui lui défonçaient le trou !
Maintenant je lui mets le marché en main. Il disparait de France, outre-mer compris ou le fichier entre dans le domaine public. Et pour cela il a exactement 1 semaine qui courre à partir de l'heure à laquelle il va être déposé devant sa porte d'appart. Je lui dis que c'est nettement suffisant pour régler ses petites affaires avec son dealer à qui il doit encore 8 500€ et de dire au revoir à sa famille et leur donner une raison valable. Et, bien sûr ce cesser toute relation avec notre ami Enguerrand (le plus important). Que s'il changeait de continent ce serait même mieux. En Afrique, ils ont besoin de volontaires pour combattre Ebola, ce serait une belle façon de se racheter. En plus il a déjà de la famille là-bas et de lui citer trois noms de cousins et cousines à lui. S'il se décide pour l'Afrique, je lui ferais passer des kpotes XXL avant son départ (on peut quand même avoir un peu d'humour non ?!). Les seules choses qu'il retient de mon petit laïus, c'est que je connais la somme exacte de ses dettes de coke et les noms de sa famille en place sur le continent Africain. Je continu mon discours en le prévenant que ce n'était pas la peine d'essayer d'échapper à la surveillance que je vais mettre en place sur lui, j'ai plus d'amis que lui. Ça fera un exercice en taille réelle pour Jona et François. Pendant la " punition ", François est allé dans l'appartement de XX pour y placer des caméras miniatures. Il est dans un tel état que je crois bien que je pourrais même lui faire signer des aveux complets sur le viol perpétué sur Enguerrand tout comme de ses activités dans la drogue. Comme j'en fais part à DGSE, ce dernier me sort papier et stylo, il avait prévu le coup. Ça fera une assurance supplémentaire. XX s'exécute, même pas eu à insister. Jona et François le reconduisent au petit matin. Gaminerie de ma part, je ne lui ai pas retiré ses menottes de poignets ni de chevilles. Il devra se débrouiller sans les clefs !! Ils le déposent nu sur son palier avec et lui jettent ses clefs au sol.
Ce qui ce passe après est le résultat de visionnage par les caméras de son appart. Nous le voyons entrer et refermer la porte. Avant toute chose il fouille partout et nous l'entendons gueuler parce qu'il ne trouve plus sa dope, (dans les chiottes ses réserves). Il s'enfile un grand verre de Whisky et fait la grimace, ça tombe dans un estomac vide !! On le voit essayer de défaire ses menottes avec les outils du bord, couteaux et même fourchettes mais rien n'y fait, (bonne qualité, il va devoir trouver un serrurier ou une scie à métaux). Puis il va sur son PC et voit bien que le ménage a été fait. François a remplacé le disque dur (l'effacement des fichiers n'est pas suffisant) par un autre vierge. On l'entend téléphoner à un de ses amis de débauche (comme nous disposons de tous les noms de sa bande). Ce dernier n'a pas l'air de comprendre et XX l'engueule. Une 1/2 heure après, l'ami en question débarque. XX s'est couvert d'un drap de bain à la taille. Il explique vaguement un plan sexe avec une nouvelle conquête. Et qu'il a perdu les clefs dans la bataille. L'ami décide de crocheter les serrures. Il le fait bien et en quelques minutes XX est libéré. Je note par devers moi le nom de l'ami et y accole l'info sur sa dextérité avec les serrures.
XX congédie le mec et part se doucher une nouvelle fois. On l'entend marmonner sous l'eau " les salauds, les salauds.... ". Il s'habille puis nous le voyons tourner et virer dans son appart, prendre plusieurs fois son téléphone puis le reposer sans appeler qui que ce soit. Puis il se décide. Il appelle son dealer pour solder ses comptes et lui demander d'apporter une dernière livraison. Cela fait, il appelle ses parents et la conversation tourne sur ses cousins en Afrique. On l'entend même dire à ses parents qu'il pense réorienter sa vie et peut être les rejoindre. Il passe encore une heure devant le téléphone avant que je l'entende appeler Enguerrand. A ce dernier, il présente ses excuses pour avoir profité de lui et qu'il est libre maintenant, qu'il avait détruit (c'est nous en fait) toutes les preuves qu'il détenait.
Pendant la semaine, nous allons le voir expliquer sa décision à sa bande qui ne comprend rien à rien et à ses parents qui débarquent pour savoir le fin mot de sa décision de tout plaquer. Se prendre un poing dans la gueule par Côme et un direct dans les cotes par Ludovic Il règle ses dettes et se fait une ligne. Qu'il en profite ! Il prend aussi contact avec ses cousins et achète un billet d'avion.
C'est fait, nous sommes et surtout Enguerrand est débarrassé de ces parasites.
Entre temps, Enguerrand a débarqué le lundi soir au blockhaus. Il surprend son frère qui n'était pas au courant qu'il passait nous voir. Nous non plus d'ailleurs. Ce qui le surprend le plus c'est que le gamin se jette à mon cou et qu'en pleurs il ne cesse de me remercier. Je lui souffle que Ludovic va se poser des questions. Il me répond qu'il s'en fout qu'il va tout dire à ses frères. Ses frères ? A ce moment-là, sonnerie à la porte, Côme se pointe, convoqué par Enguerrand. Quand il arrive au 4ème, il demande si ce petit con nous a encore insulté, avant même de nous saluer. Je le rassure. Je regarde Enguerrand. Il me fait signe, je dis alors qu'Enguerrand à quelque chose à leur dire. Je fais signe à Samir en cuisine de sortir et m'apprête à faire de même avec PH. Enguerrand m'arrête et me dit de rester tout comme PH qu'il sait être notre ami commun à son frère et moi ! PH sert l'apéritif à tous le temps qu'il ordonne ses pensées même s'il avait prémédité le coup. Moi je me pose derrière Ludovic et le prends dans mes bras, ma tête sur son épaule, je lui fais un bisou. Enguerrand se lance et raconte tout, depuis la drague de mademoiselle YY de XXX et la chute sous la coupe de son frère, jusqu'à son coup de téléphone qui le libérait de tout. Le récit prend bien 1h1/2 pendant lesquelles on aurait entendu une mouche voler. Plusieurs fois j'ai retenu dans mes bras un Ludovic en furie. De son côté Côme se retient difficilement et je le vois mordre ses lèvres plus d'une fois. Je suis fier d'Enguerrand. Il raconte son assujettissement en regardant ses pieds mais sa voix est ferme. Je crois que ses pleurs dans mes bras tout à l'heure étaient les derniers qu'il versait sur cette période de sa vie. Quand il se tait, Côme se lève et dit à Ludovic, " vient, on va lui casser la gueule à ce salaud, je vais le tuer ! ".
J'interviens alors pour lui dire que ce n'est pas la peine, le travail a été fait et il va disparaitre du territoire. Je n'entre pas dans les détails mais l'assure qu'avec quelques amis, nous avons fait en sorte qu'il n'embête plus personne et encore moins leur petit frère, sans avoir été aussi radical, il l'imagine bien ! Je leur annonce aussi que XX a décidé de s'expatrier. Côme n'en démord pas, il tient à lui casser la gueule d'autant plus qu'il le connait bien ce type. Ce n'est pas un de ses amis proches mais ils sont du même milieu et en plus ils boxent dans le même club. Enguerrand, lui, le supplie de ne rien faire. Je l'ai sorti de la merde et c'est suffisant.
Ludovic que j'avais de plus en plus de mal à retenir m'échappe et debout à coté de Côme confirme qu'ils ne peuvent laisser passer cela. J'arrive seulement à leur faire promettre d'être raisonnables. Ils l'ont été puisqu'ils se sont contenté d'un seul coup chacun. Ils attrapent leur frère et le serrent dans leurs bras, content qu'il s'en soit sorti et l'engueulant à moitié qu'il n'ait pas eu confiance en eux pour résoudre son problème. Enguerrand m'appelle et m'ajoute à l'embrassade. Dans l'euphorie du moment, il nous dit qu'il les aime ses trois frères, et de me faire un gros bisou sur la joue en me disant " mon héros ". Il me cueille ce petit con !
Ils passent tous les trois la soirée avec nous, après que Côme ait appelé ses parents pour les prévenir qu'Enguerrand rentrerai pas trop tard. Difficile de reconnaitre Enguerrand tant ce dernier a changé de caractère. Le garçon acide et mordant auquel j'avais eu à faire a cédé la place à un gamin gai et rieur plus de son âge. Alors que Côme va pour le reconduire, il me remercie encore et me dit que ce sont ses parents qui vont être soulagés. Ils ne savaient plus comment s'y prendre avec Enguerrand !
Jardinier
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¡Pasen a ver...!
Mujer de malabares varios, tan segura dando saltos y giros, tan confiada haciendo acrobacias sin ningún miedo de caer, tramoyera descuidada, que me miras como simple mimo que nada dice, pero soy yo quien tensa la cuerda por la que haces peripecias, sujetándola con mi dedo meñique. Trapecista de la mentira, perfeccionista de cada acto que realizas, ningún detalle que revele el truco, ningún paso en falso que te haga perder el control en este performance donde cada movimiento es un distractor; escupes fuego por tu boca, el arte del engaño es tu espectáculo continuo, haciendo equilibrio cual volatinera, llevando en una mano lo que escondes y en la otra lo que inventas. Tanta contorsión tuya para evadir el golpe, tanta voltereta mía para seguir de espectador. Que circenses se nos pueden volver los sentimientos, como esferas de payaso en tus manos que van y vienen en el aire, se vuelven dagas incrustadas en mi corazón. ¡Qué irrisorio es que la única persona que espera el final de tu acto, para aplaudirte y ovacionarte, sea este bufón!
-Memoria Selectiva. -Necrosis Dactilar.
#mis dedos tienen vida propia#versosdisonantes#letras#textos#citas#verborragias#frases#escritos#letras en español#textos en español#citas en español#frases en español#escritos en español#notas#notas en español#antipoesía profana#meditaciones irreflexivas#que escriban lo que saben#textos fallidos#pretextos#frasesquizofrenicas#letrastornadas#malescritos#si no lo hago yo ¿quién carajos lo hará?#bitácora de un absurdo#textos para degustar y escupir#memoria selectiva#del ayer y sus fantasmas#del pasado y sus delirios#disculpa los malos pensamientos
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¿Por qué sostenés ese vínculo que no sabés cómo soltar?
El peor error de sostener un vínculo que no va más, es seguir esperando de esa persona algo que no sabe dar
Hacer malabares para que en vínculo funcione es la señal suficiente para que te des cuenta que ya no va a funcionar
No te mientas. Por dentro sabes muy bien que ese vínculo ya no te está llevando a ningún lugar
Animate a soltar lo que ya no te hace feliz
Animate a buscar un vínculo donde tu energía se expanda y no se estanque.
Animate a hacer espacio para que cosas mejores lleguen a tu vida
Toda la energía que gastas para que ese vínculo funcione es la energía que no dedicás para tu propio crecimiento
Si no le querés hacer caso a este escrito, hacele caso a Cerati:
decí adiós y crecé.
Cosas maravillosas te están esperando atrás de todos tus miedos.
Cherryofsaturn
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Hola. Pues estoy contento porque ha llegado mi libro número… no sé, ya perdí la cuenta, sólo sé que he publicado de manera independiente más de 15 libros y no hemos dejado de hacer ruido desde entonces.
Pero bueno, finalmente escribí un libro que hace tiempo tenía pendiente. Yo me fui de mi casa bien morro, tenía como 22 años y recién había terminado la universidad, había estado trabajando como esclavo en el estresante ambiente bancario como cajero y la neta estaba frustrado y triste con mi vida. Yo sabía que no podía desperdiciar mi juventud atrapando en cuatro paredes con la promesa de un futuro al que no quería arrugado, panzón, triste e infeliz.
Y recuerdo bien las palabras de mi jefe y varios amigos y familiares ¿Qué vas a hacer? Como que esperaban que emprendiera un negocio o algo. Yo tenía unos ahorros, no me compré un coche, un iPhone o me lo gasté en cheves y morritas. Mejor me fui a conocer mi país. Tenía miedo y casi no conocía a nadie que se hubiera ido. Los que hacían lo mismo que yo no estaban dando consejos en el internet sobre viajes como ahora; esos los conocí en la calle, mochileando, haciendo malabares, tocando en taquerías, bailando en las esquinas o vendiendo pulseras.
Toda esta experiencia me animó el espíritu y nunca volví a ser el mismo. Con el tiempo me convertí en un hippie, me desprendí de mis prejuicios conociendo mucha gente, me hice amigos de ancianos, señoras, artesanos, músicos y mucha gente interesante que me escuchaban sin juzgarme. Por eso me fui soltando, abracé quién era y me volví fiel a mi mismo. Eso con el el tiempo hizo que me volviera muy seguro de lo que soy y por ende me valía y me sigue valiendo dos kilos de 🍆 lo que la gente piensa de mí.
Muchas historias de esos viajes vienen en varios de mis libros. Pero este es diferente, este libro es el ánimo que yo alguna vez necesité para irme. Es la invitación a moverte y disfrutar el vértigo que implica tener la vida por delante. Y que siempre habrá algo de lo que duela desprendernos y a la vez algo mejor esperando a encontrarnos.
Y como dije en el libro: muchas cosas tienen solución y esa solución muchas veces es irse.
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Gabriel Rolón
"ABANDONO"
"A todos nos abandonaron un día.
Y cuando digo abandonar, no me refiero sólo a un acto extraordinario.
Traumático.
No.
Es más simple.
Pero duele igual.
A todos nos abandonaron en el medio de un quilombo.
En el inicio de un proyecto.
En el placer del logro cumplido.
En el momento menos pensado.
En el momento más esperado.
A veces pasa, que te das vuelta y no tenés quien te junte los mocos, quien te dé la palmada en la espalda, quien te guiñe el ojo cuando algo te salió bien y quien te limpie las rodillas cuando te fuiste al pasto.
Todos sabemos de la soledad que se siente cuando nos sentimos solos.
Porque todos fuimos abandonados un día.
Y entonces, encontramos un secreto tristísimo, un acto paliativo, para tapar ese pozo.
Vemos gente que se come la angustia tragándose un paquete de cigarrillos,
el otro que corre y corre como un loco a ver si el viento en la cara le vuela ese agujero en el pecho.
Personas que se comen las uñas junto con los nervios y la ansiedad paralizante.
Paquetes de galletitas que van a parar a la boca sin noción de que lo que se intenta matar, no es el hambre.
O por lo menos , no ese.
Pibes que se perforan la nariz y las venas, con alguna que otra cosa que lo pase a otra realidad por un par de horas.
El otro se pone a jugar lo que no tiene.
Vos comprarás compulsivamente cosas que no necesitás, para sentirte un poco vivo por un instante.
Y yo me quedaré mirando una película, que me habilita disimuladamente a llorar mirando afuera, lo que no tengo ganas de mirar adentro.
Es que somos tan jodidos con nosotros mismos que cuando peor estamos, es cuando más nos castigamos.
Porque todo eso que te comés, te come a vos.
Te pone peor.
Te suma al abandono, la culpa de hacer algo que sabés que no es genuino.
Que no es lo que quer��s.
No comés así por hambre.
No corrés por deporte, cuando te estás rajando de vos.
No te intoxicás por placer.
No te acostás con esa mina por amor.
Tapás.
Escondés.
Tirás abajo de la alfombra.
Cerrás los ojos.
Te ponés un bozal y un par de auriculares para no escuchar tu corazón.
Date cuenta.
Te estás comiendo a vos.
Y quizá, el secreto esté en frenar.
En sentir.
En recordar, que en ese abandono lo que te falta, es lo que tenés que buscar.
Amor.
Quizá sea hora de pedir ese abrazo.
De acostarte en las rodillas de tu mamá.
De poner la pava y llamar diciendo, sí, te juro que te necesito.
Es ahora.
Después no.
Ahora.
Andá a esa casa.
Hablá con quién te escucha.
Llorá.
Gritá.
Decí.
Vomitá.
Pedí.
Da.
Ahora.
Hacer malabares, en medio del despelote, no tiene más que un resultado despelotado. Resultado que no va a curar la herida que te sangra, porque le estás metiendo una curita.
Y las curitas no curan.
Las curitas tapan.
Y vos sabés muy bien que el dolor tapado no es dolor sanado.
Pará un poquito.
Mirá en el espejo de tu alma.
Frená.
Mirá lo que te falta y salí a buscarlo en dónde creas que lo puedas encontrar. De verdad.
No revolotees como mosca en platos vacíos.
Pedí lo que necesitás si ves que solo no podés.
Porque no hay peor abandono que el que se hace a uno mismo.
Con eso no se juega.
No tenés derecho.
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A todos nos abandonaron un día. Y cuando digo abandonar, no me refiero sólo a un acto extraordinario.
Traumático. No. Es más simple. Pero duele igual. A todos nos abandonaron en el medio de un problema.
En el inicio de un proyecto.
En el placer del logro cumplido.
En el momento menos pensado.
En el momento más esperado.
A veces pasa, que te das vuelta y no tienes quien te junte los mocos, quien te dé la palmada en la espalda, quien te guiñe el ojo cuando algo te salió bien y quien te limpie las rodillas cuando te fuiste al pasto.
Todos sabemos de la soledad que se siente cuando nos sentimos solos.
Porque todos fuimos abandonados un día. Y entonces, encontramos un secreto tristísimo, un acto paliativo, para tapar ese pozo.
Vemos gente que se come la angustia tragándose un paquete de cigarrillos,
el otro que corre y corre como un loco a ver si el viento en la cara le vuela ese agujero en el pecho.
Personas que se comen las uñas junto con los nervios y la ansiedad paralizante.
Paquetes de galletitas que van a parar a la boca sin noción de que lo que se intenta matar, no es el hambre.
O por lo menos , no ese hambre.
Gente que se perfora la nariz y las venas, con alguna que otra cosa que lo pase a otra realidad por un par de horas.
El otro se pone a jugar lo que no tiene.
Tú comprarás compulsivamente cosas que no necesitas, para sentirte un poco vivo por un instante.
Y yo me quedaré mirando una película, que me habilita disimuladamente a llorar mirando afuera, lo que no tengo ganas de mirar adentro.
Es que somos tan jodidos con nosotros mismos que cuando peor estamos, es cuando más nos castigamos.
Porque todo eso que te comes, te come a ti.
Te pone peor.
Te suma al abandono, la culpa de hacer algo que sabes que no es genuino.
Que no es lo que quieres.
No comes así por hambre.
No corres por deporte, cuando te estás arrancando de ti.
No te intoxicas por placer.
No te acuestas con esx minx por amor.
Tapas.
Escondes.
Tiras abajo de la alfombra.
Cierras los ojos.
Te pones un bozal y un par de auriculares para no escuchar tu corazón.
Date cuenta…
Te estás comiendo a ti.
Y quizá, el secreto esté en frenar.
En sentir.
En recordar, que en ese abandono lo que te falta, es lo que tienes que buscar.
Amor.
Quizá sea hora de pedir ese abrazo.
De acostarte en las rodillas de tu mamá.
De poner el agüita caliente y llamar diciendo, sí, te juro que te necesito.
Es ahora. Después no. Ahora.
Anda a esa casa. Habla con quién te escucha. Llora. Grita.
Habla. Vomita. Pide. Da.
Ahora.
Hacer malabares, en medio del despelote, no tiene más que un resultado despelotado. Resultado que no va a curar la herida que te sangra, porque le estás metiendo una curita.
Y las curitas no curan.
Las curitas tapan.
Y tu sabes muy bien que el dolor tapado no es dolor sanado.
Para un poquito. Mira en el espejo de tu alma. Frena.
Mira lo que te falta y sal a buscarlo en dónde creas que lo puedas encontrar. De verdad.
No revolotees como mosca en platos vacíos.
Pide lo que necesitas si ves que sola no puedes.
Porque no hay peor abandono que el que se hace a uno mismo. Con eso no se juega.
No tienes derecho.
-Un recordatorio para mi.
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cast1llos en el a1re
malabares que sostienen fantasías abundantes relevantes a nuestro arte por arrebatos de tu mente con acuarelas que pintaste de mi fuente me expulsaste apretaste tus dientes la sonrisa fue de cobarde me ensordece tu aflicción necesito devorar el dolor
reQUIERO acoger tu ardor ese corazón se reflejó sobre mí como estanque te mostré de tu flor, su raíz sólo un beso te pedí, para robarte un suspiro más adelante, sólo una noche y te desligo de mis lamentos no serás testigo eras atento pero no te compares conmigo eras sustento, de adinerado a aprendiz lo que no viste, te hizo feliz
nadie sabe de las cargas de un otro sólo el alboroto que rodea su ser júzgame como nadie lo ha hecho y serán nuestros derechos los que YO deba defender si te creíste aún más correcto que sea para tus adentros así en las afueras al fin dejas ver no fue por lo que hicimos ni lo que dejamos de hacer es por los testigos que sí quieren creer
en un mundo mejor, una vida plena un castillo amarrado a la verdad y las fiestas un candelabro con velas encendidas y que la luz a nuestro lado nos indique las salidas pues las sombras que llevamos día tras días oscurecen este circo de milagros con bombardeos y osadías
que flote la voz que aún brilla tras banvainillas que resurja el amor entre esas venas aturdidas que prospere nuestro arte que nos mueve invaluables que nos tira del carro cuando me canso y no me hayo que me cuide un palestino o me sacrifique un israelí mi visión a tu lado se agudiza, codorniz
@poetailurofilica
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Para alguien más, tú eres el “los sueños se hacen realidad”. Un déjà vu de un día perfecto por llegar.
Algún día, estaremos lejos. Muy lejos.
Si tuvieras la oportunidad de preguntarle a tu yo del pasado: “oye, ¿qué es lo que ves? ¿Dónde crees que estarás?”, ¿qué piensas que dirá?
Tú, ¿en dónde te ves? ¿Dónde nos ves?
Un día, estábamos lejos del otro. Hoy, estamos aquí. El sol y la luna se unieron, ¿es un eclipse? Uno eterno.
Hay algo maravilloso en ti, algo que te hace ser querido, algo que tú no ves. Tal vez, solo tal vez, pueda hacer que lo veas a través de mis palabras. ¿Voy a poder llegar a ti para lograr eso? Espero que sí. Quiero que logres entender que tu destino solo lo escribes tú, aunque pasen cosas buenas y cosas malas, que las oportunidades pueden estar ahí, ocultas.
Temo no poder darte lo que necesites o quieras, pero haré mi esfuerzo en darte todo aquello que pueda. Espero sea suficiente.
¿Qué sueñas? Quiero saberlo.
¿Qué deseas? ¿Puedes decírmelo?
¿A qué le temes? Lucharé contra eso.
¿Qué necesitas? Lo conseguiré.
¿Dónde quieres estar? Te llevaré.
Todo, absolutamente todo, quiero ser tu compañero. Así seamos solo tú y yo, así la gente vaya y venga; así estemos heridos, o lloremos, o no podamos avanzar, en todo quiero ser tu fiel compañero.
Quiero cuidarte.
¿Dónde podemos terminar? ¿A dónde vamos? Quiero ver ese paisaje contigo, Cisse.
Hoy, después de tanto, por fin puedo celebrar tu cumpleaños a tu lado. He estado pensando mucho en este día, regularmente desde que te conocí. Me hace ilusión poder pasarlo contigo, espero logres disfrutarlo.
Sé que no es mucho, pero eres quien acompaña un nuevo día en mi vida y me entrega las vistas más hermosas al amanecer, no puedo permitir que no sepas esto. Hablando con el corazón en la mano, pensando en ti a cada momento, haciendo malabares para no dejarte solo… todo vale la pena.
Tú vales la pena.
Quiero que pienses aquello que tu corazón desea, lo guardes bien y un día todo se cumplirá. A su debido tiempo, todo va a estar aquí.
Un “te amo” se queda corto y aún no existen palabras para expresar lo que siento. Pero te amo.
Te amo mucho.
Muchísimo.
Espero que cada cosita que recibas hoy, te haga feliz y te haga sentir amado.
Te amo.
Esto no es lo único... mira aquí.
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fui a un festival hoy y había un show de malabares en el q el loco nos pidió q cada q terminaba un truco aplaudamos y le cantemos "más-di-ficil más-di-ficil" which was fun pero la gente se cebó tanto q después tocó una banda de rock y cuando los flacos terminaban un tema todo el mundo les pedía una más dificil jasdjhsdhj
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Hoy es 1 de septiembre de 2022.
Pasaste de sacrificio en sacrificio,
para ir cuidando de tus críos.
Complejidad y sencillez
mezcladas en revoltijos,
que se fueron desmenuzando en cinco.
Hiciste malabares,
patinando sobre piedras.
La vida te dió pesares
por injustas condenas.
Hubo campos de felicidad,
épocas de gran cosecha.
Tu corazón sabe convidar,
y tu sonrisa, colorear.
Nuestro querido papá:
los días te empujan en tu andar.
Tus dudas sobre tu transitar te maltratan,
pero con cinco abrazos lo alcanzarás.
Las cadenas de tu prisión desintegradas,
y las cuerdas de tu barco desenredadas.
Las comisuras de nuestros labios llenos de risas,
y las profundidades de nuestras palabras compartidas.
El presente apremiante todo lo deriva
a un pasado atesorado que acaricia.
Porque nada se pierde en la vida,
pues caminan pieles muy agradecidas.
Tu nombre es el que nos hermana.
Tu personaje es el que nos acompaña.
Tu historia es la que nos sigue narrando,
y sabe lo mucho que te amamos.
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« Quand j’étais petit je n’étais pas grand. Avec les copains, nous jouions dehors toutes les fois que c’était possible. Dès avril, les culottes courtes étaient de rigueur et les genoux s’ornaient de belles plaques rouges artistement badigeonnées sur des écorchures d’anthologie par des mamans attentionnées. Normal, nous courions comme des dératés. Nous jouions aux cow-boys et aux Indiens, à Thibaud ou les croisades ou à la petite guerre sur tous les thèmes. Mais ça courait dans tous les cas.
Nous grimpions dans les arbres. Nous nous battions à l’occasion, d’homme à homme, entourés d’un cercle de témoins. Les billes en terre coûtaient un centime pièce. Les malabars se partageaient en quatre et les autos étaient à pédales. Ma famille n’avait pas de télévision et les kangourous n’avaient pas d’arêtes, mais j’ai quand même vu Zorro et Kit Carson et surtout Saturnin le canard et La
Maison de Toutou (nos vieilles voisines étaient tellement gentilles et les tartines pain- beurre-confiture-de-fraise tellement bonnes, j’ai souvent une pensée pour elles).
Les filles restaient d’étranges créatures qui jouaient à la dînette. L’école était publique mais pas mixte. Nous y allions à pied, seuls ou en groupes bruyants. Nos instituteurs étaient des demi-dieux omniscients qui n’hésitaient pas à sortir la règle ou à ouvrir la boîte à torgnoles pour nous remettre les idées en place. Nous apprenions l’histoire avec les planches pédagogiques Vidal-Lablache. Les Gaulois n’avaient pas grand chose à part un trou pour laisser passer la fumée et les seigneurs du moyen âge piétinaient les récoltes (ma première incursion dans le scepticisme historique et j’en suis très fier).
Les fables venaient de chez La Fontaine et les dictées de chez Alphonse Daudet. Une faute, un point. Il y avait encore des baignoires qui partaient à l’heure et des trains qui fuyaient devant des cyclistes dégonflés, et il était interdit de compter sur ses doigts. Tout ça rédigé au porte-plume à l’encre violette.
Il y avait aussi des ardoises et d’horribles crayons grinçants à vous déchausser les molaires. Avec dix bons-points on avait une image. L’instruction civique s’appelait cours de morale, il fallait céder sa place aux vieilles dames et aider les aveugles à traverser. Il y avait des notes et un classement (je ne dirai pas quelle était ma place habituelle par simple pudeur).
Nous lisions des livres de la bibliothèque de la classe, des histoires d’aventures en Afrique ou dans la pampa, de chevaliers héroïques ou de corsaires fougueux. Collection verte pour les garçons et rose pour les filles, il y avait aussi des Rouge et Or, mais sans la jaquette, j’y ai découvert Garneray, Vercel et Jack London, merci l’Instruction Publique. Chez moi, les bandes dessinées étaient interdites sauf pendant les vacances, avec une dérogation pour Tintin, Astérix et L’homme qui tire plus vite que son ombre (le reste : «c’est plein de fautes d’orthographe !»).
À la kermesse de fin d’année à l’école il y avait deux buvettes (ça biberonnait ferme au gros plant je ne dis que ça) et un stand de tir à la bosquette, et la semaine suivante une hécatombe de poissons rouges intoxiqués par l’ozone municipal. Nous avons tous survécu.
Nous habitions une ZUP. En 1968 notre immeuble ressemblait à un premier mai sur la Place Rouge, mais tout le monde partait faire bronzette sur les plages franquistes. Mon père préférait le camping sauvage du côté de Narbonne-Plage. L’esprit de contradiction, ça s’apprend jeune et c’est de famille, c’est comme ça, merci papa et maman. Dans le fond, je m’en suis sorti à temps. Ça m’a épargné le casque obligatoire pour faire du patin à roulettes, les pompiers au moindre bobo dans la cour de récré, les maths modernes, la notation sur cinq lettres et la méthode globale, les cours de repentance et de recyclage, le référant bondissant et les géniteurs d’apprenants, et la visite scolaire de l’expo sur les cultures du monde à la médiathèque municipale.
C’était mieux avant ? Je ne suis pas convaincu, mais là, j’évoque, c’est tout… non, non, juste j’évoque …. »
(Marc Vidal)
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A Fábula de Outros Minérios
A boca do caos, ignorada seja Acolhe de imediato todas as formas Desajeitadas e famintas por pertencer A teu cemitério viscoso A altura de três anos Você que me quer Corpos e sacos plásticos Poderá ater-me frestas? Meu ouvido desprendem-se Das fotos manchadas de lágrimas Tocam casas como se fossem buracos Escondem ossos e línguas imprecisas Meus sentidos fluem tensionados Entre hipóteses desenrolam o fogo dos olhos Eu ainda sou pequeno demais aos teus afagos Ainda que fosse uma vontade impetuosa Quando fugimos, cobaias desintegram-se Eram Catedrais charmosas, agora hipóteses Atropeladas pelo pedido de desocupação Vozes vermelhas velejam em minha cabeça Venha interpretar memórias dúbias Enfeitiça um poema sujo na língua Vou ser um ator de vis polarizações Vou rimar o mundo com anacronismo Meu olhos inundados de borra de café Podes ler-me na narrativa descompensada Me deixe clinicamente dependente Aos pés de teus malabares de receitas e conceitos Meu interesse satura da minha pele Convulsiona convenções de Lázaro Fomenta e desabrocha o garimpo Dentro do meus ossos de metais convertidos
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"Sorry for the language, you're an asshole." + David.
Soltou uma sincera gargalhada com a fala do Charming, sempre lhe era engraçado quando o amigo se permitia ser mais livre de toda aquela chatice e só xingar sem pensar muito sobre. ❝Bom, achei que isso fosse meio óbvio, afinal, você é um mocinho...❞ Apontou para David e depois apontou para si mesmo. ❝... E eu sou um vilão, é válido lembrar.❞ E talvez a maior ironia é que o Hearthorn fosse o vilão da esposa de David, mas acreditava que isso já tinha se resolvido a certo tempo. Theron tinha uma incrível habilidade de fazer malabares entre suas relações interpessoais, o rei de Red Rose sabia que Kael apenas fazia o que podia para sobreviver ao fim do dia. Mesmo que tivesse de ir contra seus princípios muitas vezes, verdade fosse dita ele era tão bom em passar a perna em certas pessoas quanto era bom em ficar em divida com essas. ❝Mas bom, o importante de se lembrar no fim do dia é que eu sou seu melhor amigo, não o gato, eu.❞
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