#MONNAIE DE SANG
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Partageons mon rendez-vous lecture #10-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. La lisière de Niko Tackian La lisière de Niko Tackian – Editions Calmann-Lévy Les poupées d’Alexis Laipsker Les poupées d’Alexis Laipsker – Editions Michel Lafon En lecture, Les Ombres de Salem de Stéphane Galas Les Ombres de Salem de Stéphane Galas – Editions Michel Lafon Présentation de l’éditeur : Depuis son installation dans une vieille…
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"Ombres dans la peau"
Davis Mitchell x FTMreader
notes : j'ai déjà publié ce petit écrit sur wattpad mais je pense qu'il est aussi doux ici <3
résumé : Davis décide d'écrire une lettre à une personne qu'il vient de rencontrer à l'hôpital, devant un distributeur défaillant.
! warnings : sang, deuil, décès
1 063 mots
Description à la première personne
“Cher fan de kitkat,
J’espère que ma lettre ne va pas déranger votre vie, ou du moins pas à un trop gros niveau. En fait, non, j’espère qu’elle va vous déranger. J’espère qu’elle va faire froncer vos sourcils, entrouvrir vos lèvres et battre votre cœur, car de mon côté, mon cœur bat à mille à l’heure et j’aimerais ne pas être seul dans cette position.
Au moment où je vous écris, je suis toujours assis sur le même siège, celui en face du distributeur numéro 714 à l’hôpital St Andreas, au second étage. La première fois que j’ai utilisé ce distributeur il n’a pas non plus fonctionné, tout comme vous j’avais demandé un paquet de friandises sucrées mais le sachet est resté bloqué. À ce moment j’avais vraiment envie d’un paquet de M&M'S, sûrement autant que vous pour votre kitkat, mais ce distributeur n’a pas voulu faire son travail. J’avais très faim, et aussi ma femme venait de mourir, peut-être que vous aussi vous aviez très faim.
Sur vos manches il y avait du sang séché et même si ce n’est pas quelque chose d’anormal dans un hôpital, ça m’a interpelé. Vous aviez un air confus sur le visage et vos lèvres étaient rouges, vos dents n'arrêtaient pas de les mordre. C’est dommage car je pense que vos lèvres sont très douces, enfin ce n’est que de l’observation. Vous n’aviez aucunes affaires à part un peu de monnaie dans votre poche gauche alors je pense que votre accident était soudain, comme la plupart des accidents. Ma femme s’est pris une voiture à 90km/h, c’était soudain pour elle, alors que moi j’ai eu une demie seconde pour voir cette voiture arriver. Comme vous, en allant au distributeur je n’avais pas d’affaires, tout avait brûlé lors de l’accident, mais j’avais encore trois pièces au fond d’une poche presque trouée. Moi aussi j’avais du sang sur mes vêtements, mais pas autant que vous, et moi il n’était pas sec. Je l’ai remarqué en marchant dans le couloir, mes chaussures laissaient de très légères marques rouges au sol, avant je n’aurais pas remarqué ce détail, j’étais du genre à ne pas faire attention aux choses. Avant de mourir ma femme m’a dit ‘pas ta chaise pas ton problème’ et elle avait raison. J’espère que le sang sur vos manches n’était pas celui de quelqu’un que vous aimiez, car j’ai retiré celui de ma femme en crachant sur ma chaussure, et maintenant je me rend compte comme il était précieux.
Lorsque je vous ai dit que le distributeur appartenait à une compagnie privée et que l’on ne pouvait donc pas l'ouvrir pour récupérer notre nourriture, vous avez sursauté. Pourtant les femmes avec qui j’ai couché m'ont toujours dit que ma voix était douce, mais peut-être que vous étiez simplement dans vos pensées. Vous m’avez regardé en fronçant les sourcils et vos lèvres déchirées se sont ouvertes mais vous n’avez pas parlé. J’ai expliqué que pour moi aussi le paquet s’était coincé dans l’appareil et vous avez regardé le kitkat immobile dans la machine. Moi j’ai regardé vos cheveux courts et marrons en me disant qu’ils étaient pleins de poussières et ça m’a fait pensé aux pissenlits gris qui s’envolent lorsque l’on souffle dedans.
Depuis la mort de ma femme il y a un an, je parle beaucoup aux inconnus, alors je vous ai parlé, même si vos yeux restaient bloqués sur ce kitkat inerte.
J’ai expliqué que je venais ici pour chercher des papiers appartenant à ma belle-mère car elle avait fait une visite de contrôle dans cet hôpital. J’ai dit que depuis la mort de Julia elle perdait peu à peu la tête mais qu’elle restait quelqu’un d’important pour moi. J’ai même ri en imaginant la tête de Margot, ma belle-mère, si elle me voyait parler à quelqu’un comme vous. Margot et Phil sont très fortunés et ils ont leurs petites manières, surtout Margot, alors si elle m’avait vu parler à une personne couverte de sang qui fixait un point imaginaire, elle aurait certainement poussé un de ses minis cris qui font mal aux oreilles. Mais moi je ne suis pas comme ça, enfin je ne le suis plus, et le sang sur vos joues ne m’a pas déranger.
Mais lorsque la porte d’accueil s’est ouverte et que l’air frais est rentré, vous vous êtes comme réveillé. Vos yeux noisettes m’ont regardé pendant trois secondes, j’ai compté, et vous êtes parti.
Je n’ai jamais été attiré par les hommes mais j’y ai pensé après la mort de Julia. Lorsque je vous parlais, j’essayais de dessiner vos traits dans mon esprit et c’était une tâche compliquée car je ne sais pas dessiner. Mais je sais que votre visage est petit, tout comme vous, que vos joues semblent être agréables à mordiller et que vos cils sont aussi noirs que longs. Aussi, quelque chose m’a interpelé en regardant votre profil, vous avez deux fossettes vers les pommettes, comme deux petites ombres posées dans votre peau ou le début de pommettes saillantes. Je n’avais jamais vu ce genre de caractéristiques chez une femme auparavant et c’est pour cela que je vous ai mieux regardé. Pardonnez-moi, mais j’ai commencé par analyser votre buste et il était semblable au mien. Au vu de votre pantalon large je n’aurais pas pu deviner si plus bas le constat était le même alors je n’ai pas essayé. J’ai observé votre cou et aucune pomme d’Adam n’était spécialement visible. Alors j’ai encore une fois regardé ces petites fossettes et j’ai souris car elles vous vont merveilleusement bien.
Je ne savais pas votre nom, il aurait pu m’être utile pour comprendre, et vous ne m’avez pas non plus parlé avec des mots que les tympans peuvent comprendre.
Au moment où j’écris ces mots je suis maintenant dans ma voiture et je suis passé par l’accueil pour savoir votre nom. Ils me l’ont donné mais je ne l’écrirais pas ici car vous et moi le savons déjà, et si un jour quelqu’un d’autre venait à lire mes lettres, j’aimerais que cette personne imagine un prénom pour la description que j’aurais fait de vous.
J’espère vous revoir et obtenir votre accord pour que l’on se tutoie.
Oh et ils se trouvent que les employés à l’accueil devraient être licenciés car ils m’ont aussi donné votre adresse.
- En espérant que ma lettre dérangera votre vie
Davis C. Mitchell ”
image by me
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Contemporary descriptions of the dantonist execution compilation
Their trial was over around one o’clock in the afternoon. Only Luiner was acquitted. But as he was detained as suspect for the sake of general security he was escorted to the Luxembourg. The fifteen others were sentenced to death, and driven to the scaffold around six o’clock. They were in three tumbrils: in the first was Danton, next to Delacroix; Fabre near the executioner; Hérault opposite Chabot. In the second, Phelippeaux [sic], Westermann, Camille Desmoulins, Basire and Launai d’Angers [sic]. In the last tumbril, one saw but l’Abbé d’Espagnac; his companions were almost all strangers and little known to the public. Almost all approached death with the same audacity that they had shown in court. Danton, who, like Hébert, was recognizable by his red collar, seemed to pay little attention to the crowd around him: he was chatting with Lacroix and Fabre. Hérault was the quietest. Chabot pointed to the sky, laughing. Desmoulins spoke almost continually to the people; the courage he affected seemed like a painful effort, he was an actor who was studying to play his last part well. Diederichsen, danish lawyer, was executed first, the heads of Lacroix and Danton were the last ones to fall. Only that of Danton was shown to the people, among prolonged cries of ”vive la république.” Suite du Journal de Perlet, number 561 (April 6 1794). A shortened version of this description is given in number 104 of Journal général de la guerre (April 13 1794). According to Michel Biard’s La Liberté ou la mort: mourir en deputé 1792-1795 (2015), these were the only contemporary journals that mentioned any details regarding the execution.
Camille had made incredible efforts to tear herself away from these execrable gendarmes, who have been the lowest servants of despots; so that in going to the scaffold he was completely naked to the waist, because his shirt was in tatters. I saw him cross the space of the palace at the Place de Sang (that's what I called Place de la Révolution) with a frightened air, talking to his neighbors with great agitation, and yet on his face was the convulsive laughter of a man who no longer has his head. Dictionnaire neólogique des hommes et des choses, volume 2, page 480 (1799) by Louis Abel Beffroy de Reigny. In his Testament d’un électeur de Paris (1795) Beffroy adds that he couldn’t restrain his tears in watching Camille pass by.
I saw the tumbrils pass by to the place of execution, containing the men who, a few days before, had been seen as those who were to consolidate the revolution. Some maintained a firm and calm demeanor, others only showed on their faces that humiliating vexation felt by a scoundrel who finds himself caught in the trap set up by his enemy. This feeling was depicted with the most striking expression on the decomposed countenance of Danton. Camille Desmoulins seemed indignant at the deceit of Robespierre, who had never showed him more friendship than on the eve of his arrest. Bazire and Chabot tried to speak to the people by whom they were surrounded; though they spoke loudly, the noise which was made around them drowned out their voices. One only heard them say that, had not Marat been assassinated, he would have been accused of conspiracy like them, and that with them he would go to his execution. The multitude regarded as blasphemous an assertion of which the truth, a few days later, was disputed by no one. They were executed on 17 germinal. Histoire Philosophique de la Révolution de France (1807) by Antoine Étienne Fantin-Desodoards, volume 5, page 371-372
Like Hugues Aubriot, who was imprisoned in the Bastille he had had built in order to trap others, when Danton had been condemned to death by the tribunal he had instituted, the crowd gathered in the square to feast their eyes on the horrible spectacle that the cries of the public promised them. I was going to see Méhul, who was by then living on Rue de la Monnaie, when I came across the tumbril in Rue Honoré in which this revolutionary hero was for the last time presiding over his stricken party. He was calm, between Camille Desmoulins, whom he listened to, and Fabre d'Églantine, who did not listen to anyone. Camille spoke with great warmth, and struggled so much that his unfastened clothes left his collar and shoulders, which the blade was about to separate, bare. Never had life manifested itself in him by more activity. As for Fabre, immobile under the weight of his misfortune, overwhelmed by the feeling of the present and perhaps also by the memory of the past, he no longer existed. Camille who, by cooperating in the revolution, had thought he was cooperating in a good work, still enjoyed his illusion; he believed himself on the road to martyrdom. Alluding to his last writings, he shouted: “My crime is to have shed tears!” to the crowd. He was proud of his conviction. Fabre was on the other hand ashamed of his, he, who had been pushed into revolutionary excesses by less generous interests, was overwhelmed by the awareness of the truth. He saw only torture at the end of the little road that remained for him to travel. Another physiognomy also attracted my attention in this cartload of reprobates, it was that of Hérault de Séchelles. The tranquility which reigned over the handsome face of this former advocate-general was of a different nature from the tranquility of Danton, whose face offered a caricature of that of Socrates. Hérault's calm was that of indifference; Danton's calm that of disdain. The pallor did not sit on the latter's forehead; but that of the other was colored with such a fiery tint that it looked less like he was going to the scaffold than returning from a banquet. Hérault de Séchelles finally seemed detached from life, the preservation of which he had purchased by so much cowardice, by so many atrocities. The appearance of this selfish man astonished everyone: everyone asked his name with interest, and as soon as he was named he no longer interested anyone. […] I went up to Méhul's, and, my imagination full of what I had just seen, I told him: “Tragedy well begun! I want to see the end of it, after having finished in three words the business which brought me. This Danton really plays his role well. We are all on the eve of the day that will end for him. I want to learn how to pass it well too.” "Useful study," said Méhul, who saw things with the same eye as me, and who would have accompanied me if he hadn't been in his dressing gown and slippers. However, the fatal tumbril had not stopped moving; the execution was beginning when, after having crossed the Tuileries, I arrived at the gate which opens onto the Place Louis XV. From there I saw the condemned, not mounting together, but appearing one by one on the fatal scaffold, to die immediately by the effect of the movement which the board or the bed on which was about to begin for them the eternal rest. The rest of the operation was hidden from me by the operatives running it. The accelerated fall of the blade alone told me that it was was being carried out. Danton appeared last on this scene, flooded with the blood of all his friends. Day was falling. At the foot of the horrible statue whose mass stood out in a colossal silhouette against the sky, I saw the rising, like a shadow of Dante, of this tribune who, half-lit by the dying sun, seemed as much to emerge from the tomb as ready to enter it. There is nothing as daring as the countenance of this athlete of the revolution; nothing as formidable as the attitude of this profile which defied the axe, like the expression of this head which, ready to fall, still seemed to dictate laws. Horrible pantomime! time cannot erase it from my memory. I found there all the expression of the sentiment which inspired Danton with his last words; terrible words which I could not hear, but which people repeated to each other, quivering with horror and admiration. ”Above all, don't forget,” he said to the executioner with the accent of a Gracque, don't forget to show my head to the people; it’s worth seeing.” At the foot of the scaffold he had said another word worthy of being recorded, because it characterizes both the circumstance which inspired it, and the man who uttered it. With his hands tied behind his back, Danton was waiting his turn at the foot of the stairs, when his friend Lacroix, whose turn had come, was brought there. As they rushed towards each other to give each other the farewell kiss, a policeman, envying them this painful consolation, threw himself between them and brutally separated them. "At least you won't prevent our heads from kissing each other in the basket," Danton told him with a hideous smile. Danton, as I have said, perishes as a result of a security more justified by reason than by politics. Warned of Robespierre's plans, Robespierre knows too well that he cannot send me to the scaffold without proving that he can be sent there himself." Resting on this idea, he fell asleep in laziness and pleasures. Souvernirs d’un sexagénaire (1833) by Antoine Vincent Arnault, volume 2 page 95-100. According to Biard in Danton: Le mythe et l’histoire (2016) this is the only semi-authentic source we have for Danton’s last words being ”show my head to the people, it’s worth seeing.” It’s still however somewhat dubious considering Arnault places Camille in the wrong tumbril.
#happy deathday dantonists!!#camille desmoulins#fabre d’eglantine#pierre philippeaux#herault de sechelles#and everyone else who was executed tbh#yes even you unknown danish lawyer#french revolution#frev#frev compilation#george danton#danton#did i seriously forget to add a Danton tag…
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Je n’ai pas du tout été raisonnable : senti à San Francisco, hors de prix, je l’ai commandé chez Nose., et me voilà, arborant ce parfum américain un peu dingue. Je ne renie pas celui de Jo Malone, mais là, on n’est pas dans la même catégorie, question puissance et originalité.
Debaser :
La référence est évidente et revendiquée (!) : la chanson des Pixies sur l’album Doolittle, que j’ai tant écouté, il y a tant d’années.
Le parfum se présente comme une réminiscence des soirées / nuits étudiantes où l’été embaume l’air et la pelouse en ville pendant un concert. Il se compose d’abord de bergamote, de tiges de poire, de figue verte. C’est très très vert. Puis viennent un lait de coco doux, et des bois qui ancrent le tout, de la mousse et des bois blonds.
J’adore. Je ne manquais pas de parfum (cf post précédent) mais je suis tombée en amour. Coup de foudre. Je l’ai senti ensuite sur sa touche enfermée dans mon porte-monnaie pendant plusieurs jours, émerveillement sans cesse renouvelé. Il était très cher aux USA, bizarrement moins en France.
C’est un parfum marquant, assez fort. Là aussi je ressens quelque chose de métallique, je ne sais pas l’expliquer, peut-être ça a à voir avec les aldéhydes. C’est juste incroyable le passage du vert brut des premières notes qui s’étirent assez longuement, puis qui gagnent en profondeur avec la figue, et le lait de coco, fruités mais pas sucrés du tout, juste envoûtants, addictifs, pour finir par s’ancrer dans quelque chose de terrien, de dense, d’intense, à la croisée de l’humide souterrain (la mousse) et du métallique, un peu familier, comme l’odeur du sang, je dirais même si cette mention pourrait faire peur. Une fragrance viscérale. Ça fait peur aussi peut-être ?? Je ne sais pas comment expliquer l’effet qu’il a sur moi, ça ressemble au fait de retrouver un truc enfoui ancestral, avec une parfaite composition suffisamment étrange pour m’attirer, et suffisamment familière pour m’évoquer un cocon ultra personnel. Un trait d’union entre passé et futur.
Je suis dithyrambique et vous allez me trouver bien volage, mais c’est ainsi, les parfums me passionnent, et les rencontres passionnantes ne se produisent pas à un rythme régulier. Il arrive que deux se succèdent, que la raison empêcherait d’acheter, mais je ne suis pas vraiment raisonnable, c’est officiel.
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Henri Albers in the title role of Chausson's Le Roi Arthus, which he created at the Monnaie in Bruxelles in 1903.
Henri Albers, born Johan Hendrik Albers (1 February 1866 – 12 September 1926),[1] was a Dutch-born opera singer who later became a French citizen. He sang leading baritone roles in an international career that spanned 37 years and was a prominent singer at the Théâtre de la Monnaie in Brussels and the Opéra-Comique in Paris, which was his base from 1900 until his death. He also sang in 36 performances with the Metropolitan Opera company from 1898 to 1899. He made many recordings for Pathé Records and specialised in the heavier baritone and basso cantante repertoire.
Albers was born in Amsterdam and initially Albers was born in Amsterdam and initially trained and worked as an actor. He then studied singing at the Conservatorium van Amsterdam and was engaged by Johannes George De Groot to sing with his newly established Hollandsche Opera company. He made his operatic debut in 1889 as Méphistophélès in a Hollandsche Opera production of Gounod's Faust and during the next two years continued singing leading roles with the company. In 1891, on the recommendation of De Groot, he met with the French composer Jules Massenet and auditioned for him. Massenet was impressed and encouraged him to study further in Paris and to broaden his horizons beyond Amsterdam. After further singing studies in Paris with Jean-Baptiste Faure, Albers made his first stage appearance outside Holland when he was engaged by the French opera company in Antwerp. In 1892, he sang Jean d'Hautecoeur in the company's first production of Alfred Bruneau's Le rêve and began a lifelong friendship with the composer, appearing in many of his operas.After Antwerp, Albers was engaged as After Antwerp, Albers was engaged as Principal Baritone at the Opéra de Bordeaux and went on to sing at the Royal Opera House in London and the Opéra de Monte-Carlo. He was engaged by the Metropolitan Opera in 1898 and sang with the company both on tour and in New York City. He made his company debut on 8 November 1898 as Mercutio in the Met's touring performance of Roméo et Juliette in Chicago. He remained with the company through 1899, appearing 36 times in eight different operas and tackling his first Wagnerian role, Wolfram in Tannhäuser.On his return to Europe he sang On his return to Europe he sang regularly at the Théâtre de la Monnaie in Brussels from 1901 to 1906 and added several more Wagnerian roles to his repertoire: Telramund in Lohengrin; Hans Sachs in Die Meistersinger von Nürnberg; Wotan in Das Rheingold, Siegfried, and Die Walküre; and Kurwenal in Tristan und Isolde. A highly versatile singer, he also appeared in the title roles of La Monnaie's productions of Hamlet, Rigoletto, Hérodiade, and Le roi Arthus, as well as singing Count di Luna in Il trovatore, Iago in Otello, and Baron Scarpia in Tosca.In 1899, he had also been In 1899, he had also been engaged by the Opéra-Comique in Paris where he sang leading baritone and bass-baritone roles for the next 25 years in 39 different operas. Although it became his "home" opera house, he continued to appear at La Monnaie, the Paris Opéra, and several other European opera houses from time to time. He became a naturalized French citizen in 1920.In late In late August 1926 at Aix-les-Bains, Albers once again sang the role of Jean d'Hautecoeur in Le rêve.A month later, he died in Paris of a sudden illness at the age of 60. At the time of his death, he was on the administrative council of the Union des Artistes dramatiques et lyriques des théâtres français.
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Ce post est écrit sous 4,5g d'alcool dans le sang, je vous prierais donc d'être indulgents. Comme l'a si bien dit Dr X, "si on n'avait pas rencontré ce garagiste, on aurait perdu notre porte monnaie, mais on n'aurait pas chopé une cirrhose".
Pourtant, la journée a bien commencé, avec notre premier petit dejeuner en liberté, au milieu des montagnes ...
Bon, ça a demandé quelques ajustements : on a réussi à partir sans fermer le coffre, les tiroirs s'ouvrant donc à qui mieux mieux dans la montée. Fort heureusement, nos possessions ont évité de s'éparpiller aux quatre vents grâce à la puissance du saint esprit.
De même, nous avions oublié de fermer les lanières de la tente de toit, qui nous ont suivi en mode cerf volant avant qu'on réalise qu'il y avait un problème. Bon, eh, c'est notre premier jour hein, il faut bien faire les erreurs une fois !
Nous passons ensuite par une route en terre, Dr X conduisant avec une bonne humeur communicative, tellement communicative même que le tiroir du vide poche a passé toute la montée a essayer de danser avec mon genou en s'ouvrant de manière intempestive. Le petit coquin.
Peu importe, nous arrivons bientôt en vue du magnifique lac de barrage de Yeso, notre objectif de la journée !
On profite du paysage, flanant au grès de la vie, poursuivant de notre téléphone au zoom incroyable la faune locale, et rentrons à la voiture.
Et là, le karma accumulé sur le début de journée nous rattrape... La voiture ne démarre pas. Nos phares sont restés allumés, et en une demie heure, la batterie s'est complètement vidée !!
Nous voici donc tout penauds au milieu de nulle part, bien évidemment sans câble pour redémarrer notre batterie, à demander à toutes les âmes errantes s'ils seraient en possession de notre précieux sésame. Sans grand succès, jusqu'à arriver au propriétaire d'un minuscule boui-boui insalubre, qui nous sort une paire de ... Câbles. Mais au sens propre, deux câbles qu'on dénude au couteau.
Un groupe de colombiens croisés à ce moment nous remonte en voiture, manque de s'électrocuter en n'éteignant pas le moteur avant de se brancher, et en bonus Dr Rathatton leur renverse une cannette de bière dans la voiture, ils doivent être heureux de nous avoir dépannés... Mais la batterie redémarre \o/
On finit la journée en rentrant sur Santiago (où on achète une paire de câbles à mettre dans le coffre !), et on rejoint Daniel (notre garagiste de 60 ans qui fume comme un pompier) et sa compagne, qui nous invitent au restaurant. On les connait depuis deux jours, j'ai l'impression d'être des amis de toujours, c'est incroyable ce que ces gens sont généreux ! Ils nous libèrent même une chambre d'amis pour qu'on dorme au chaud ce soir ... Ce sont vraiment des gens supers 🥰
En attendant, pas de nouvelles de notre RUT, et l'agence nous a laissé un message "on a une solution, je vous appelle dans une heure !" à 14h ... Bien évidemment sans nous rappeler ou répondre à nos messages/coups de fil. Suspense pour demain, sera t on coincés ici tout le week end ?
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Le filioquisme... et autres mots compliqués
Le fait d'avoir fait figurer ce mot étrange dans un ''édito'', il y a quelques semaines (cf. ''Retour à Ravenne'', le 18 octobre dernier) m'a valu un mini déluge de questions, dans le genre ''Kékcékça ?'' ou ''Céquoicetruc ?'', qui appellent deux mots d'explication. Ces deux mots, comme c'est souvent le cas, vont vite ''faire des petits''... et voilà comment naît un ''édito'' auquel on n'avait jamais pensé ! Ce texte est un peu particulier dans le lignée habituelle de ce Blog et ce ''billet'' est nettement moins léger que celui d'hier, sur les tatouages... J'en demande pardon...
La nature-même du sujet rend impossible toute explication simple et rapide. ''Filioque'' (qui se prononce ''filiocoué'', et qui veut dire ''et du Fils'', en latin) est un terme sorti du Credo de l'Église catholique romaine qui signifie que le Saint-Esprit ne procéderait pas du Père seul, mais du Père ''et du Fils'', ce qui fait ressembler cette querelle à une dispute entre spécialistes. Et pourtant, la ''disputatio du Filioque'' sur le Dogme de la Sainte Trinité hante la chrétienté depuis le VIIIᵉ siècle. Elle aboutira même, en 1054, à la séparation des Églises de Rome et de Constantinople, donnant naissance à la dualité Catholiques-Orthodoxes, avec ses conséquences dramatiques...
Dit comme ça, on ne peut penser qu'à une querelle entre évêques et théologiens, et ''pointus'', encore ! Mais pas du tout : c'est vraiment de la grande Histoire, avec tout ce que ce mot peut charrier de violence, de sang, et de drames. Pour le comprendre, il faut faire un petit retour sur les fondamentaux : pour tous les chrétiens, ''Dieu est unique, en trois ''hypostases'', autrement dit : Un seul Dieu, mais fait de ''trois parties individualisables'' --ce qui est plus exact que le classique ''en trois personnes'', qui est une traduction trop anthropomorphique (Traduttore, tradittore, disent les italiens : ''traduire, c'est trahir'').
Pour ''faire simple sur un sujet compliqué'', le meilleur exemple est de regarder une pièce de monnaie : chacune de ses faces et sa tranche sont parfaitement identifiables... et pourtant, on ne peut parler de l'un de ces éléments sans y inclure les deux autres, on ne peut en isoler un seul, en traiter un autrement que les deux autres, etc... : la pièce est une, en trois parties totalement unies et indiscutablement définies. Le Dieu des chrétiens est, de même, dit ''un et trine'', et le fait que l'un de ces éléments ait été, ou pas, ''engendré'' directement de Dieu-le-Père ou via Dieu-le-Fils pose donc le problème de l'importance de ses relations avec les deux autres, on dirait, dans notre société, ''son rang hiérarchique'' (NDLR : je demande pardon pour l'aspect assez ''technique'' de ce sujet, qui semble ressortir de l''Histoire des religions''... alors qu'il est d'une actualité on-ne-peut-plus-brûlante, dans une France qui se déchire autour d'interprétations de mots qui signifient la même chose et son contraire... et d'un Président qui érige son ''et en même temps'' en ''principe premier'' –ce qu'il ne pourrait être, évidemment !).
Alors que les Pères latins ont insisté sur une ''processio ex Patre Filioque'' (= une marche solennelle à partir du Père et du Fils), les Pères grecs ont, dès le IVè siècle, souligné l'antinomie entre une Uni-Trinité et une seule essence en trois hypostases : le Père est le "principe sans origine", le Fils est "engendré" par le Père, et l'Esprit vient du Père, disent les grecs. Ainsi la ''processio'' latine diffère de ''l'ekporeusis'' grecque (dont la traduction en français est : ekporèse (sic !), mot qui doit être utilisé une fois ou deux par millénaire ! Avec cet éditorial, ça va monter, d'un seul coup, à 3 fois !).
Dit autrement : dans l'entendement romain, l'Esprit procède donc à la fois du Père et du Fils (''Filioque''), alors que chez les grecs (si j'ose !), l'Esprit Saint tire son existence du Père uniquement, sans passer par le Fils. Cette querelle, d'apparence mineure, a pourtant été responsable d'une des plus grandes catastrophes historiques de tous les temps : la séparation définitive (à ce jour encore !) des Latins et des Orientaux, drame qui a scellé –comme nous le racontions le 18 octobre-- la chute de Constantinople et la fin de l'Empire romain... ce qui est un fait historique parmi les plus graves de tous les temps, dans ses conséquences, jusqu'à aujourd'hui, de la naissance de l'Empire ottoman et ses atrocités puis son effondrement plein d'horreurs , à sa ''renaissance'' (?) désirée par la folie d'Erdoğan, qui nous fait tourner en bourriques et se fout de nous, à son gré et pour notre plus grande honte...
Jusqu'au VIIIe siècle, la contradiction affirmée entre ces deux approches n'était ressentie comme insupportable par personne, et les Occidentaux ont même bien ''reçu'' le Credo latin –dit : de Nicée-- qui affirme : "Je crois [...] au Saint-Esprit [...] qui vient du Père et du Fils", allant jusqu'à donner une valeur dogmatique au Filioque dans plusieurs conciles, entre 447 et 797. La querelle a éclaté au IXe siècle, lorsque l'Occident a ''créé'' un Empire carolingien qui va s'opposer à Byzance, Charlemagne contre le Basileus Nicéphore, et Saint Empire Romain Germanique contre Empire Romain d'Orient. L'incompréhension réciproque des langues de référence, et de mots comme ''processio'' et ''ekporeusis'' favoriseront l'affrontement. Et en 807, quand les Grecs suppriment le Filioque du Credo, les moines latins les accuseront d'hérésie, et Photius, le patriarche de Constantinople, dénoncera à son tour une hérésie des latins...
Pendant tout le moyen âge, cette division entre chrétiens d’Orient et d’Occident va s’aggraver, et le "Filioque" va devenir le symbole des différences, un signe évident de ce que chaque partie de la chrétienté divisée trouvait comme manque ou distorsion chez l’autre. Et lorsque l'armée du sultan Mehmet II va assiéger Constantinople, c'est à cause de ce ''Filioque'' que l'antique Byzance va être abandonnée par Venise, la Sérénissime –dont la puissante flotte de galères aurait pu desserrer le siège-- ayant soumis son aide à l'abandon inconditionnel de ce désaccord... dont seules quelques élites (?) savaient de quoi il retournait, les populations n'ayant (déjà !) qu'une seule idée en tête : le départ des musulmans et un retour dans le cadre ''normal''.
Filioquisme hier, islamophobie et anti-judaïsme aujourd'hui... on frémit à la pensée que les fausses querelles de mots qui polluent nos médias, nos ministères et nos enceintes soi-disant nationales (en réalité : si peu représentatives et si peu soucieuses des vrais besoins de leurs administrés), ne finissent par déboucher sur un second effondrement de notre belle et riche civilisation, aujourd'hui de plus en plus envisageable et dont l'éventualité, même niée par les myopes qui sont ''aux manettes'' et en sont donc largement co-responsables, semble de jour en jour plus possible, hélas. Comme ledit le proverbe, ''Le diable se cache dans les détails...'', et une fois de plus, ''comprendre hier'' –même confus et touffu-- peut permettre de ''comprendre demain'', qui s'annonce au moins aussi inintelligible et aussi échevelé qu'hier et qu'avant-hier...
H-Cl.
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ACT 118
partielles permutations conviviales ou non eaux sables airs tiret 6 entre sang os boyaux parties de style intervertir les mots d'un poème les lettres signes sorte d'anagrammes sans signification ni expression l'instant où l’enveloppe se déchirera de a à z paisible nuit de noce 88 constellations la plus belle au soleil sang poème sidéral trois mois pour disparaître entièrement cachalot au fond du sidéral abîme menue monnaie sur le plancher des vaches marines prous
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Anathazerin : le sang des joueuses
Partie 3 : Le turgescent Pic d’Andalf
Après avoir rencontré BILL BILIBON, qui n’est pas du tout un bootleg name du Seigneur des Anneaux, nous avons pu enfin savourer l’essence même du jdr tradi dégueulasse : les trahisons !
Vous savez, ces MJs qui se plaignent que ses joueurs sont des “murder hobo” ? Et bien, quelque part, si tout le monde dans sa campagne n’essayait pas de trahir les PJs et qu’il était moins dirigiste (ne laissant aux joueurs que la possibilité d’interaction "taper des trucs”.), ça arriverait pas. Anathazerin enseigne dans la grande tradition que tu ne peux faire confiance à personne, SURTOUT les gens qui ont l’air sympa. Et ouais. On passe sur le fait que le personnage d’Amarange LeBel a un nom pas du tout inspiré d’un des mecs derrière cette campagne dont le nom de famille est Debelle, sinon je deviens chèvre. Après avoir tabasser des méchants qui font un crime innommable (de la fausse monnaie), on a libéré un esclave et y’a aucune mention de ça dans le texte. Genre pour écrire qu’il y a de l’esclavagisme, y’a de l’encre et de la place, mais pas vraiment pour ce qui est de la question “et donc le mec devient quoi ? Non parce qu’il parle à peine la langue, donc la question est assez légitime.), nous sommes amené à devoir trouver l’origine de la fausse monnaie qui gangraine la région. À partir de là, on a beaucoup rigolé qu’on était les paladins du fisc. On a beaucoup moins ri en voyant que c’était la réalité. Vint le moment. LE MOMENT. Qui a fait reroll 3 personnes sur 4. Le Pic d’Andalf. Un barde sympa, une traitrise, et l’impossibilité (au vu de la mécanique engagée) de capter que nos personnages viennent de se faire voler plusieurs mois de leur vie sous un sort de charme qui n’existe absolument pas à une telle puissance dans le jeu. Alors, j’imagine que lorsqu’on a des personnages dont on se fout de la vie, bah on s’en fout. Mais je rappelle que la campagne a insisté de OUF pour faire commencer les PJs à Clairval, de les inscrire dans la vie du village. Donc tu te retrouves avec 4 perso qui sont paniqués parce que leurs familles les croient sans doute mort. Et 3 qui abandonnent parce que “Honnêtement, votre prophétie m’intéresse pas, le loot m’intéresse pas, par contre mon vieux père laissé seul depuis 5 mois, ça ça m’intéresse”.
Ai-je oublié le truculent conseil de la campagne ? Si par miracle, et je suis pas loin du bon terme vu les jets successifs que ça demande, un des PJ arrive à comprendre dans le Pic qu’il se trame un truc louche, la campagne nous donne un fameux conseil. Faites en sorte qu’Amarange la têtedegland veuille discuter en tête à tête avec le PJ, et balancez le dans le vide.
Ouais, ouais. Tuez un PJ sans possibilité de se défendre parce qu’il a réussi par miracle à détecter un piège indétectable.
Je vous laisse le temps d’assimiler ça. Lorsque les PJs se sont rendu compte de tout ça, baston, révolution, etc. Ensuite y’a une aile avec un boss optionnel. Je déconne pas, hein, c’est juste si vous avez envie de vous farcir 2h de combat, y’a aucun impact sur l’histoire.
Le Pic d’Andalf a été LE MOMENT où la table a juste abandonné l’espoir qu’il y ait des choses bien écrites dans cette campagne. Déjà parce que l’histoire se dirigeait vers un truc de fausse monnaie dont on s’en tamponne le coquillard, mais aussi parce que clairement c’est juste malsain. Et la suite nous a fait confirmer ça. Y’a un moment totalement gratuit où les PJs peuvent se faire enfermer dans un cachot et à ce moment y’a Amarange LeBel qui arrive juste pour teabag et repart, et ceci n’est pas une plaisanterie.
Pour l’instant la critique est très dans l’émotionnel, mais je vous assure que je ferais une partie finale (ou non) avec un décodage du jeu en mode robot et c’est pas sûr que ça soit moins ulcérant.
Pour terminer sur une note festive, voici des noms de vrais PNJs et Lieux de la campagne :
- Isuldarn
- Tibor et Tibur
- Monastir (et oui y’a un monastère)
- Valpyr (sans vampire)
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Henry VIII (La Monnaie De Munt, 2023): Reactions, Part III
annnnnnnnnnnnnnnnd we’re back!!!
REAL HORSEY!!!!!!!!!!
“you can’t just RIDE past me :/“
“i don’t wanna have rules”
“you’re the only one i truly love”
that music can almost make you fall for him…almost…
oh you almost got it
“hoe (@ henry) don’t do it”
UH OH
“literally right in the middle of my spicy times???”
“you don’t get to stop my spicy times either”
welp
“you wanna have a PILLOW FIGHT???”
“naughty papal officials go under the plastic”
that’s a loaded statement
“it’s been less than half a millennium i don’t think the roman catholic church wants to do that AGAIN”
the boys are fightinggggggggg
Area Old Man Has Fallen And Cannot Get Up
“hi god pls don’t excommunicate everyone in england just because this one guy wants to be a dick”
this is weird but this aria is GORG
i mean do whatever you want but like. eh. (also. GOOD low note)
the demon dancers are multiplying also this set and music are both beautiful
SYNOD SCENE TIME FUCK YEAH
(aka probably the world’s first celebrity divorce trial)
anyway happy trinity sunday to all who observe
“my job is to repeat everything the guy on the chair says”
“can you pls fucking stop talking about leviticus”
THE COURT STENOGRAPHER ON THE LEFT LMAO
YEAH SING IT CATHERINE
she’s winning the people over
one of those deluxe Romantic moments. you know the kind.
the way he sang this while looking at the still-clapping audience was like him telling them to stop clapping for catherine, which is both funny and smart
“if you break my bestie’s heart i WILL start a war”
✨xenophobia✨
sucks to be you henry 🤷♀️
the first time i watched this opera was in january 2021 and this scene UNCOMFORTABLY reminded me of january 6 and that’s still what i think about every time
having the religious officials turn into the people of england right there is kinda genius actually
and in that moment she realized she was screwed
that calm stenographer is really the mvp here
dude went BEYOND flipping over the board game he just made a new one altogether
girlie knows how to make an entrance
“oh you think i care?”
POOR CATHERINE DESERVES SO MUCH BETTER
celebrity divorce and celebrity wedding all in the span of about twenty minutes
YET ANOTHER STUNNING ACT-CLOSING ENSEMBLE
#opera#opera tag#opera liveblog#henry viii#saint-saëns#saint saëns#camille saint-saëns#camille saint saëns#that was a RIDE and i love it
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Informations Complémentaires
✮ Le forum se base donc sur la série Fate, avec de petites touches de Winx Club (réadaptée à la série live action), du Sorceleur de Andrzej Sapkowski, de A Court of Thorns and Roses de Sarah J. Maas, et de la trilogie The Folk of the Air de Holly Black. L’action se situe dix années après la saison 2 de Fate. Il vous sera alors possible d’explorer les royaumes de SOLARIA, LINPHEA, ERAKLYON, d'en découvrir les différentes COURS FÉÉRIQUES et bien évidemment pénétrer au sein de l’Université élitiste d’ALFÉA formant les soldats et dirigeants de demain.
✮ L’Autre Monde, de son vrai nom Argaia, en contradiction avec le Premier Monde qui est le nôtre, est une terre où règne la magie. Ils vous sera possible d’y interpréter une Fée, un Sorcier ou un Humain. Plusieurs Courts de fées existent, réparties entre les trois royaumes : DAWN, DAY et NIGHT COURTS à Solaria, SUMMER et WINTER COURTS à Eraklyon et SPRING et AUTUMN COURT à Linphéa.
✮ Il y a mille ans, Marion Amarantha, l'unique fée au pouvoir de la Flamme Divine du Grand Dragon, a tenté de conquérir tout Argaia, mais fut arrêtée par la première Compagnie de Lumière lors de la Grande Bataille de Domino. Des cendres du royaume de Domino surgissent trois royaumes. Deux gouvernés par des fées, SOLARIA et LINPHEA, et un par des mortels ERAKLYON. Ces royaumes recueillent en leur sein plusieurs cours féériques, chacune associée à un élément magique en particulier. Celles-ci fonctionnent telles de petits royaumes au sein de leur pays, dirigées par des Hauts Seigneurs qui conseillent leur souverain respectif tout en respectant les lois féériques établies par la Haute Court qui les régit.
✮ Les familles royales ainsi que celles des Hauts Seigneurs seront jouables. Il vous sera donc possible d'en rejoindre la branche principale ou d'imaginer une branche annexe avec les complots, secrets de famille, alliances et toutes autres choses qui pourraient vous inspirer. Une monnaie commune a été mise en place, le Drachme.
✮ Si les humains se battent à l’épée, les Fées ont, quant à elles, un élément inné qui se révèle généralement au cours de leur adolescence de façon impromptue : l’EAU, la LUMIÈRE, l’AIR, l’ESPRIT, la NATURE, la GLACE et le FEU. Quant aux Sorciers Sanguinaires, de leur véritable appellation les Héritiers du Phoenix, ils emploient une magie non pas issue du Feu Blanc du Grand Dragon, mais du Feu Noir du Grand Phoenix. Cette magie se fit nommer la magie du sang, d'où leur surnom.
✮ Des précisions sur ces points et bien d’autres seront apportées au fur et à mesure, selon les questions et les avis bienveillants reçus.
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Partageons mon rendez-vous lecture #09-2023 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Monnaie de sang de Patricia Cornwell Monnaie de sang de Patricia Cornwell – Editions Le Livre de Poche Est-ce que ce Niko Tackian sera le bon, La lisière La lisière de Niko Tackian – Editions Calmann-Lévy Présentation de l’éditeur : SON MARI ET SON FILS ONT DISPARU AVALÉS PAR LA PLUS MYSTERIEUSE DES LANDES BRETONNES… Un choc sous la voiture,…
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Venez comme vous êtes !
Tel est le slogan publicitaire d’une enseigne mondialement connue. Nous sommes accueillis dans ses établissements à restauration rapide sans devoir répondre à des critères particuliers. Cependant, le mobile commercial ne fait pas de doute : nous faire ressortir avec un porte‑monnaie allégé…
Dieu nous invite aussi à venir à lui. Pourtant, nous ne sommes pas très présentables, dit la Bible(1) : Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé. Une auteure anglaise² a exprimé cela dans ce célèbre chant : «Tel que je suis, sans rien à moi, sinon ton sang versé pour moi et ta voix qui m’appelle à toi, Agneau de Dieu, je viens, je viens.»
Oui, notre créateur nous aime tant qu’il nous accueille tels que nous sommes !
Ainsi, la poétesse(2) poursuivait : «Tel que je suis, ton cœur est prêt à prendre le mien tel qu’il est pour tout changer, Sauveur parfait, Agneau de Dieu, je viens, je viens.»
En venant à Christ, vous recevrez sa paix et vous serez changés. Conscient de votre misère, vous pouvez être rachetés et libérés de vos anciens travers.
Jésus peut faire bien plus que ladite enseigne : il vous appelle à venir à lui gratuitement pour vous enrichir ! Comment refuseriez-vous une telle invitation motivée par un amour si grand ?
Isabelle Kozycki
1/ Ésaïe 64, 5
2/ Charlotte Elliot, Just as I am
__________________
Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 6, versets 37 à 40.
Vivre aujourd'hui, 28 octobre 2024
Copyright © 2024 Editions CAEF
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La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
Venez comme vous êtes ! 28/10/2024
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Matthieu 11.28
Tel est le slogan publicitaire d’une enseigne mondialement connue. Nous sommes accueillis dans ses établissements à restauration rapide sans devoir répondre à des critères particuliers. Cependant, le mobile commercial ne fait pas de doute : nous faire ressortir avec un porte‑monnaie allégé…
Dieu nous invite aussi à venir à lui. Pourtant, nous ne sommes pas très présentables, dit la Bible¹ : Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé. Une auteure anglaise² a exprimé cela dans ce célèbre chant : « Tel que je suis, sans rien à moi, sinon ton sang versé pour moi et ta voix qui m’appelle à toi, Agneau de Dieu, je viens, je viens. »
Oui, notre créateur nous aime tant qu’il nous accueille tels que nous sommes !
Ainsi, la poétesse² poursuivait : « Tel que je suis, ton cœur est prêt à prendre le mien tel qu’il est pour tout changer, Sauveur parfait, Agneau de Dieu, je viens, je viens. » En venant à Christ, vous recevrez sa paix et vous serez changés. Conscient de votre misère, vous pouvez être rachetés et libérés de vos anciens travers.
Jésus peut faire bien plus que ladite enseigne : il vous appelle à venir à lui gratuitement pour vous enrichir ! Comment refuseriez-vous une telle invitation motivée par un amour si grand ?
Isabelle Kozycki
¹ Ésaïe 64.5 ² Charlotte Elliot, Just as I am
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 6, versets 37 à 40.
37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi;
38 car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.
39 Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour.
40 La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
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★ 27 septembre 2024 > bit.ly/hobo-27septembre2024
★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs disponibles au 27 septembre 2024 > bit.ly/hobo-27septembre2024
Pierre PLOTTU & Maxime MACÉ, Pop fascisme, Divergences
Yannick BOSC & David CASASSAS, La Liberté contre le capitalisme, Éditions Critiques
Nils ANDERSSON, Les Guerres annoncées, Terrasses
Suzanne DE BRUNHOFF, La Monnaie chez Marx, Éditions sociales
COLLECTIF, Fracas 1 - La révolution écologique qui vient, Fracas
Bertrand HELL, Sang noir, L'Oeil d'Or
Michèle AUDIN, Rue des Partants, Terres de Feu
Noel IGNATIEV, Comment les Irlandais sont devenus blancs, Smolny
Yves CLOT, Découvrir Vygotski, Éditions sociales
Yannick BOSC & Marc BELISSA, Découvrir Saint-Just, Éditions sociales
Ronan BIZIEN, Vivre dans la fureur de Brest, Goater
Valérie SIMARD, L'Agenda des féministes 2025, Remue-ménage
Étienne DELPRAT, Ar(t)chitectures situées, Rotolux Press
Clémentine PONS, Feu mange forêt, Blast
COLLECTIF, Agencements 11, Éditions du commun
"Aujourd’hui, tout le monde est écolo. Des libéraux aux réactionnaires, des milieux d’argent aux milieux sachants, chacun a intégré l’impératif écologique à son vocabulaire sinon à son idéologie. Le camp de l’émancipation ne peut plus se targuer d’être le seul sur ce terrain, et la bataille pour accaparer le « signifiant écologie » fait dorénavant rage dans le débat public." Collectif, Fracas 1 - La révolution écologique qui vient, Fracas.
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Zdenka Fassbender Bohemian soprano; b. Děčín, Dec. 12, 1879; d. Munich, March 14, 1954. She studied voice in Prague with Sophie Löwe-Destinn; made her operatic debut in Karlsruhe in 1899; from 1906 to 1919 she was one of the principal singers at the Munich Opera; she also sang at Covent Garden in London (1910, 1913). Felix Mottl married her on his deathbed to sanction their long- standing alliance. She was particularly regarded as an outstanding Wagner interpreter, as Venus in Tannhäuser, Ortrud in Lohengrin, Isolde in Tristan und Isolde], Brünnhilde in Der Ring des Nibelungen and Kundry in Parsifal. She sang other important roles as Santuzza in Cavalleria rusticana, Iphigenia in Gluck's Iphigenie auf Tauris, Alceste by Gluck, as Valentine in Les Huguenots by Meyerbeer, Dido in Les Troyens by Berlioz, Katharina in Der Widerspänstigen Zähmung by Hermann Goetz, Minneleide in Die Rose vom Liebesgarten by Pfitzner, Gundula in Der Bergsee by Julius Bittner and Leonore in Beethoven's Fidelio.When Richard Strauss wanted to perform his opera Elektra in Munich in 1909, Faßbender took over the title role at his request. She also appeared in the Munich premieres of the operas Tiefland by Eugen d'Albert (1908, as Martha), Tosca (1909, title role), Der Rosenkavalier (1911, as Marschallin), Der arme Heinrich by Hans Pfitzner (1913, as Hilde) and Mona Lisa by Max von Schillings (1917, title role).Guest appearances took her to the Wiener Hofoper (1904), to the Staatsoper Unter den Linden (1909) and often to Stuttgart, to the court theatres of Wiesbaden and Mannheim and to the opera house of Cologne. She also took part in the Wagner-Mozart festival from 1907 to 1910. In 1910 and 1913 she sang Elektra and Isolde under the conduct of Sir Thomas Beecham in London and from 1912 to 1914 she sang in the performances of the Ring cycle at the Théâtre de la Monnaie in Brussels. In 1924, she announced her retirement from the stage. In 1928, she appeared again at the Munich State Opera as Elektra. She was a member of the Staatsoper until 1931.
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