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#Médaille de la Résistance
theygender · 1 year
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TLT fans: did you guys know about the real Wake? I hadn't heard about her until we covered World War II in my world civ class this semester
Nancy Grace Augusta Wake (1912-2011) was a covert operative who was at the top of the Nazi's most wanted list in WW2, nicknamed "The White Mouse" for her ability to repeatedly evade capture. She was born in New Zealand with Māori heritage, grew up in Australia, and joined the Resistance after traveling to Europe and witnessing the harsh treatment of Jews in Vienna by the Nazis
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Wake worked in the Pat O'Leary Line escape network until her Resistance organization was compromised by the Germans in 1942. After that she fled on foot across the Pyrenees—with several close calls that she escaped by flirting with German soldiers—and made her way to England to join the Special Operations Executive. She was part of a three person team codenamed "Freelance" which parachuted into occupied France. During this operation she got stuck in a tree after her parachute became tangled in its branches. The local Resistance leader who found her reportedly said “I hope that all the trees in France bear such beautiful fruit this year" to which she replied "Cut out that French bullshit and get me out of this tree"
While working in the Freelance operation Wake once biked 500 km (310 mi) without stopping in the span of 72 hours across Nazi territory to retrieve a new radio and codes after her team's were destroyed in a Gestapo raid. Without this feat, Freelance would not have been able to communicate with London and there would have been no more supply drops to support their Resistance organization. During the war she was also part of a raid which destroyed the Gestapo headquarters in Montluçon, in which she reportedly killed a Nazi sentry with her bare hands to prevent him from raising an alarm
Wake's fellow operatives described her as "a real Australian bombshell. Tremendous vitality, flashing eyes. Everything she did, she did well. She was an excellent shot, excelled at fieldcraft and put the men to shame by her cheerful spirit and strength of character." "She is the most feminine woman I know until the fighting starts. Then she is like five men." "We both came to the conclusion that she was 10 times the man I would ever be"
By the time of her death in 2011, Wake had been awarded the George Medal by Britain; the Medal of Freedom by the United States; the Médaille de la Résistance, the Croix de Guerre (x3), and the Légion d’Honneur by France; and the Badge in Gold by New Zealand. Due to a complicated relationship with Australia, she originally refused to accept any awards from the Australian government, saying that they could "stick their medals where the monkey stuck his nuts." In 2004, however, she accepted the honor of Companion of the Order of Australia as well
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thebusylilbee · 2 months
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"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des épreuves ; 5 200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
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ed-jv · 11 months
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[FR] SNIPER ELITE 5 - Part 32 - Le réveil du Kraken 2/2 - DLC - Gameplay PC en ultra - 4K 
SNIPER ELITE 5
Sniper Elite 5, le dernier volet de la franchise primée, offre une mécanique de tir, des combats tactiques à la troisième personne et une Kill Cam uniques en leur genre. Découvrez les cartes les plus immersives de la série grâce au système de traversée amélioré et parcourez une multitude de lieux réels reproduits avec une richesse de détails époustouflante. France, 1944. Dans le cadre d’une opération secrète des US Rangers visant à affaiblir les fortifications de la façade atlantique le long de la côte bretonne, le tireur d’élite Karl Fairburne collabore avec la résistance française. Ensemble, ils découvrent un projet nazi secret menaçant de mettre un terme à la guerre avant que les Alliés n’envahissent l’Europe : l’opération Kraken.
CAMPAGNE ÉTENDUE De nombreux lieux réels ont été capturés par photogrammétrie pour recréer un environnement vivant et immersif, avec une liste de cibles à éliminer et une multitude de points d’infiltration et d’extraction donnant plus de profondeur aux missions. Seul ou avec un partenaire, luttez contre le complot nazi avec une mécanique coopérative améliorée permettant de partager des munitions et des objets, de donner des ordres et de vous guérir l’un l’autre.
MÉCANIQUE DE TIR ET DE TRAVERSÉE AMÉLIORÉES Utilisez des tyroliennes, dévalez des pentes et parcourez furtivement les corniches pour trouver le point de vue parfait ou échapper à l’œil vigilant des sentinelles. Tenez compte de la crosse et du canon de votre arme en focalisant sur la cible, sans oublier différents facteurs tels que la gravité, le vent et votre rythme cardiaque.
PERSONNALISATION POUSSÉE Les ateliers permettent de personnaliser et d’améliorer chaque aspect de votre arme en changeant par exemple de lunette, de crosse, de canon ou de chargeur. Les fusils, les armes secondaires et les pistolets ont une multitude d’options disponibles, sans parler des munitions, qu’elles soient perforantes ou non létales, à choisir en fonction de la cible.
MODE INVASION : PRENEZ D’ASSAUT D’AUTRES CAMPAGNES EN PVP OU EN COOP Envahissez la campagne d’un autre joueur en tant que sniper de l’Axe et découvrez une nouvelle dimension de jeu en jouant au chat et à la souris avec votre proie. Inversement, lorsque vous jouez avec Karl, demandez à un deuxième sniper de vous prêter main forte en cas de difficulté.
MULTIJOUEUR COMPÉTITIF INTENSE Personnalisez votre personnage et votre équipement pour gagner des points de XP, des médailles et des décorations dans des combats compétitifs intenses à 16 joueurs qui mettront vos talents de tireur d’élite à l’épreuve. Si vous préférez le jeu coopératif, faites équipe avec jusqu’à 3 autres joueurs pour vaincre des vagues d’ennemis en mode Survie.
KILL CAM AMÉLIORÉE Plus réaliste et épouvantable que jamais, l’emblématique X-ray Kill Cam vous plonge au cœur de la puissance destructrice de vos tirs. Les os dévient les balles qui traversent aléatoirement les corps des ennemis. Les mitraillettes et les pistolets déclenchent également la Kill Cam avec la possibilité d’enchaîner plusieurs tirs au ralenti.
Développeur : Rebellion Developments Ltd Éditeur : Rebellion Developments Ltd
Sur PC - XBOX ONE - XBOX SERIES - PS4 - PS5 - SWITCH le 26 mai 2022.
PEGI 16
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wiwsport · 7 months
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yespat49 · 10 months
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Ces chrétiens qui ont combattu le nazisme : Le Père Pierre Bockel
Le père Pierre Bockel est un résistant de la première heure qui créa l’un des premiers réseaux de résistance française en août 1940. Juste parmi les nations, commandeur de la Légion d’honneur, Croix de guerre 39/45, Médaille de la Résistance, Pierre Bockel est également l’auteur de nombreux ouvrages, dont en 1973 L’Enfant du rire, préfacé par André Malraux. Continue reading Untitled
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cyberbenb · 1 year
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La chasse continue
Dans l’hôtel Trezzini à Saint-Pétersbourg, toutes les chambres au décor surchargé façon Russie des tsars sont réservées pour la semaine. Le deuxième sommet Russie Afrique se tient dans la ville et rassemble 49 délégations de pays africains. Test grandeur nature pour Vladimir Poutine depuis l’invasion de l’Ukraine. Evgeny Prigojine, propriétaire des lieux, vêtu d’un polo blanc et d’un jean sans chic, se fait photographier avec Freddy Mapouka, le chef du protocole du président centrafricain Faustin-Archange Touadéra et Justin Tagouh, le président du groupe de presse International Afrique Média, qui détient Afrique Média TV, une chaîne de télévision qui relaie abondamment les récits pro-russes. En marge d’un sommet plutôt en perte de vitesse et aux promesses utopiques, l’apparition de Prigojine est l’une des sensations de la semaine. Un coup de comm qui lui permet  de se retrouver dans les médias avec un message limpide: il est loin d’être hors jeu.    
Pourtant un mois plus tôt, Vladimir Poutine déclare publiquement Evgeny Prigojine comme traître de la nation dans une crise majeure pour son pouvoir: le cuisinier du président russe marche alors sur Moscou sans aucune résistance ni véritable dispositif pour le stopper.  Dans un message du 24 juin, Prigojine arrête la progression de sa “marche pour la Justice” après un accord négocié avec Alexander Lukashenko le président de Biélorussie et Vladimir Poutine. On apprend quelque temps plus tard qu’il a rencontré Poutine avec ses commandants à huis clos quelques jours après la mutinerie ratée.  Difficile alors de comprendre celui qui était considéré comme un traître au petit-déjeuner, puis il a été gracié au dîner. Et deux jours plus tard, il était invité à prendre le thé. Lors de son intervention à l’Ambassade Britannique à Prague, Richard Moore, le directeur du MI6, résume avec cette parabole la situation et admet avec humilité les difficultés à faire sens de la mutinerie de Prigojine  de juin dernier et ses conséquences sur le pouvoir russe. Une seule chose est sûre: il sera difficile de revenir en arrière.
Un mois après ces événements, l’équipe d’AEOW partage quelques réflexions sur le le jour d’après du groupe Wagner. La chasse de Evgeny Prigojine et des opérations grises du Kremlin menée par la société civile et les médias doit continuer.
Prigojine, créature du régime de Poutine
Pendant longtemps, le groupe Wagner a été abordé comme un sujet médiatique niche ou confondu avec une société de sécurité privée qui aurait vrillé. A la question de quoi le groupe Wagner est-il le nom, nous proposons une réponse simple et claire. C’est un outil du Kremlin pour atteindre ses objectifs d’influence géopolitique avec à sa tête Evgeny Prigojine membre des cercles du pouvoir qui s’est nourri grâce au système Poutine. Comme repris récemment par Kévin Limonier, Prigojine fait partie des adhocrates, ces élites, principalement issues des services de sécurité, d’un système centré sur le président russe qui les met en compétition pour ses faveurs et son accès. Et Prigojine saurait comment se les procurer. Face aux grandes orientations et objectifs stratégiques formulés par Poutine, ces adhocrates font preuve d’initiative et créativité pour y répondre quitte à dupliquer les choses ou faire passer leurs propres intérêts comme en ligne avec ceux de l’Etat. 
Accusé de traître et mutin, il est difficile de voir quelles sanctions pèsent sur lui jusqu’à présent. Depuis le début, Prigojine circule librement en Russie et en Biélorussie. Très rapidement, les charges qui pesaient contre lui et ses hommes sont levées. Et alors que le FSB fouille le fameux hôtel Trezzini et en ressort des lingots, Prigojine est vu quelques jours plus tard en train de récupérer son magot. En guise de punition, son nom sera censuré et sa réputation ternie dans les médias: sa maison visitée, des photos de lui déguisées pour rejoindre des réunions secrètes publiées, ses médailles, des témoignages relatant ses ébats sexuels parviennent aux médias. Un châtiment finalement doux pour celui qui a osé défier Poutine. Est-ce que ses dix ans de bons et loyaux services ont pesé dans la balance pour Poutine ou alors est-ce le pouvoir du président qui s’affaiblit totalement?  Est-ce que détenir loyalement les secrets de Poutine permet d’éviter de glisser d’une fenêtre? Il aura en tous cas négocier quelque chose avec le Kremlin. 
Poker menteur pour l’empire média et commercial de Prigojine
Alors que Prigojine est en pleine mutinerie, l’agence russe en charge des communications, le Roskomnadzor a immédiatement bloqué l’ensemble des urls vers les médias du groupe Wagner Patriot Média mais aussi les pages VK de quelques personnalités notoirement affiliées au groupe Wagner comme Maxime Shugalei. Sur VK, un message d’erreur apparaît quand on essaie de rejoindre la page de RIA FAN. Ironie du sort alors que son empire est protégé depuis des années par le censeur russe comme nous avons pu constater en consultant les leaks de DDOSECRET sur le sujet. Le mage du Kremlin se retrouve à présent de l’autre côté.
Dans les jours qui viennent plusieurs rumeurs de reprises, notamment par Alina Kabaeva, compagne de Poutine, à la tête du groupe média National Media Group. Pourtant les sociétés qui constituent la galaxie Patriot Media n’affichent aucun changement au registre du commerce pour le moment. Position d’attente. Du côté des fermes à trolls et influenceurs, après 24h d’arrêt, cela repart de plus belle. Des comptes comme Luka Malle pour le Mali, personne qui n’existe pas mais est citée jusque dans les média russes de Wagner, sont réactivés afin de préparer les référendums et d’achever la MINUSMA à la gloire d’Assimi Goïta. Les panafricains de chair et d’os balancent leurs vérités sur les réseaux sociaux. On voit même une recrudescence sur les chaînes Telegram de messages en faveur de la grandeur de l’action de Prigojine pour son pays et pour assurer de sa présence en Afrique. 
Le plus important, peut-être, c’est que les savoir-faire se sont disséminés. La plupart des employés de la partie influence du groupe Wagner a été contractualisée et est déjà partie travailler ailleurs forte d’une expérience au sein du groupe de Prigojine. Rien ne se perd, tout se transforme. Rien ne se perd, tout se dissémine. On retrouve ainsi ces derniers jours Yulia Afanasyeva Berg, cadre du bureau Afrique de Prigojine et de l’organisation AFRIC qui a donné sa première tribune à Nathalie Yamb, sur Afrique Media TV mais aussi au sein d’une nouvelle structure Globus. Elle est aux côtés d’autres personnes connues comme Clifton Ellis un ancien d’AFRIC. Miroir des faiseurs d’influence de Prigojine, les combattants contractuels de Wagner d’hier se retrouvent combattants d’aujourd’hui dans les nouvelles SMP Convoy, Redut, etc. C’est le cas de Constantin Pikalov sanctionné récémment par le gouvernement britannique pour son rôle chez Wagner en Afrique alors qu’il est chef chez Convoy en Ukraine à présent.
Il en est de même pour les sociétés africaines du groupe Wagner. Alors que Prigojine via l’entremise d’Ivanov, le chef du COSI les formateurs en Centrafrique, déclare avoir tout vendu, les transactions se poursuivent. Du côté de Bois Rouge, une nouvelle vente est expédiée le 30 juin en Chine. Les sociétés russes actionnaires des opérations minières et pétrolières du groupe Wagner n’enregistrent aucun changement depuis la mutinerie. Business as usual pour l‘argent de poche que se fait Prigojine et ses cadres sur l’or et les diamants. Obtenir les richesses des pays sans contrepartie, c’est avant tout éprouver la dépendance du régime client à son influence. La vraie question à laquelle nous ne pouvons pas répondre concerne le futur des revenus issus des marchés publics obtenus par des centaines de sociétés de Prigojine en Russie ou la volonté des business angels du groupe Wagner de continuer à mettre la main au porte monnaie pour financer ses opérations. Mais en matière de projection extérieure, peu ont l’expérience et l’expertise de Prigojine….
Sortir pour mieux se remobiliser ailleurs
Dès le 30 juin, nous observons des bus et des avions se remplir de combattants Wagner en Ukraine sur le réseau VK. Arborant des drapeaux et tshirts du groupe, ils rentrent chez eux encouragés par les messages de leurs proches. Retrait effectif des membres de Wagner d’Ukraine. La base Molkino ferme également. On dirait la fin.
Mais rapidement le dispositif se remobilise en Biélorussie par milliers sur la base d’Asipovichski où Prigojine et Utkin se rendent pour motiver les troupes. Et alors que Wagner nouvelle saison se prépare, c’est l’Afrique qui semble de nouveau en ligne de mire. Les recrutements sous le radar s’organisent discrètement en Russie tandis que la comm africaine est sous stéréoide: Prigojine s’exprime sur Afrique Média, Dmitri Sytyi donne des interviews sur les actions humanitaires du groupe et la loyauté de Prigojine envers ses partenaires. Shugalei et Prigojine arpentent le sommet Russie Afrique à la rencontre de délégations. Sur place, les rotations de personnels continuent normalement au Mali et en Centrafrique, alors que les fermes à fake continuent de tourner au profit des régimes clients. Alors que le groupe Wagner est dans une période de turbulences, il serait naif de penser que c’est la fin.
Continuer à enquêter et dénoncer la main de la Russie derrière les agissements du groupe Wagner
L »outil Wagner aura dix ans l’année prochaine. Une décennie d’opération dans le monde en utilisant la violence extrême, en brouillant les notions de réalité et en détruisant la confiance dans les valeurs de la démocratie, de la justice et de la liberté. Son objectif unique est d’avancer les pions du régime russe, un régime devenu totalitaire et liberticide, qui n’a d’autres intérêts que la puissance de son dirigeant. Érigé en marque avec son propre merchandising, ses codes et ses films, le groupe Wagner promeut la brutalité sans limite et se permet tous les coups.
La chasse que mènent les organisations de la société civile, la communauté OSINT dont nous faisons partie et les médias doit continuer car elle est efficace. Laisser Wagner gagner, c’est reléguer les gens des pays dans lesquels le groupe est présent au rang de l’oubli. Penser que Wagner est fini, c’est croire que la Russie serait prête à abandonner une sphère d’influence grandissante qui la soutient dans sa guerre en Ukraine. Wagner ne restera peut-être pas tel quel à terme mais de nouveaux outils ou nouvelles versions émergeront.
Loin des atermoiements diplomatiques des gouvernements, le travail de nos communautés et organisations est efficace et impactant: rendre visible les opérations secrètes de Poutine pour mieux les déranger, percer les bulles informationnelles délirantes créées et être la voix des populations affectées pour ne pas qu’on les fasse taire. La chasse doit continuer
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ouyander · 1 year
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JO Tokyo pousse un ouff de soulagement! L'haltérophile ougandais disparu retrouvé "sain et sauf". Les membres de l'équipe olympique ougandaise n'ont pas réussi à caché leur joie devant un hôtel dans la ville d'Izumisano, préfecture d'Osaka, le 20 juin 2021. Haltérophile ougandais disparu à JO Tokyo 2020 retrouvé "sain et sauf" L'haltérophile ougandais disparu depuis vendredi d'un camp d'entraînement au Japon a été retrouvé "sain et sauf", a annoncé mardi la police japonaise. Julius Ssekitoleko avait disparu après avoir omis de se présenter à un test de dépistage de la Covid-19. "Mardi, l'homme a été retrouvé dans la préfecture de Mie (centre) sans aucune blessure et sans aucune implication criminelle", a indiqué à l'AFP un responsable de la police d'Osaka. Ce sportif de 20 ans avait disparu de l'hôtel d'Izumisano, près d'Osaka (ouest) où il logeait avec son groupe, avaient annoncé les autorités de cette municipalité qui accueille leur camp de base. Perdu tout espoir de participer pour des raisons de quotas olympiques Julius Ssekitoleko, qui avait remporté récemment la médaille de bronze aux Championnats d'Afrique d'haltérophilie, était sur une liste d'attente pour les Jeux Olympiques mais a récemment perdu tout espoir de participer pour des raisons de quotas olympiques. Il devait rentrer prochainement dans son pays. JO Tokyo www.kafunel.com l'haltérophile ougandais disparu retrouvé sain et sauf Quarantaine Il faisait partie du premier groupe de neuf sportifs, entraîneurs et cadres ougandais arrivés au Japon mi-juin, et dont deux membres non sportifs avaient été testés positifs au coronavirus peu après. Tout le groupe avait dû effectuer une quarantaine dans la foulée. La police a précisé mardi que l'homme avait voyagé jusqu'à Nagoya puis vers la préfecture de Gifu, avant de se rendre vers le sud, à Mie. "Il a été retrouvé dans une maison appartenant à des gens en connexion avec lui", a précisé le responsable de la police, ajoutant que le sportif n'avait opposé aucune résistance. "Nous continuons à l'interroger sur ses motivations". Des restrictions drastiques ont été prévues au Japon pour tous les participants aux JO de Tokyo (23 juillet-8 août), alors que la crise sanitaire s'aggrave dans le pays. Les athlètes doivent notamment être testés quotidiennement et leurs déplacements sont extrêmement restreints, limités entre leurs hébergements, leurs centres d'entraînement et leurs lieux de compétition. A lire aussi Des arts martiaux au microphone : Voici l'histoire de Julianna PeñaLes KO « spectaculaires tragiques » des Arts martiaux Quasiment toutes les épreuves des JO se dérouleront par ailleurs à huis clos, ont décidé les organisateurs la semaine dernière. Par Kafunel avec AFP
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naantokhi · 1 year
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JO Tokyo pousse un ouff de soulagement! L'haltérophile ougandais disparu retrouvé "sain et sauf". Les membres de l'équipe olympique ougandaise n'ont pas réussi à caché leur joie devant un hôtel dans la ville d'Izumisano, préfecture d'Osaka, le 20 juin 2021. Haltérophile ougandais disparu à JO Tokyo 2020 retrouvé "sain et sauf" L'haltérophile ougandais disparu depuis vendredi d'un camp d'entraînement au Japon a été retrouvé "sain et sauf", a annoncé mardi la police japonaise. Julius Ssekitoleko avait disparu après avoir omis de se présenter à un test de dépistage de la Covid-19. "Mardi, l'homme a été retrouvé dans la préfecture de Mie (centre) sans aucune blessure et sans aucune implication criminelle", a indiqué à l'AFP un responsable de la police d'Osaka. Ce sportif de 20 ans avait disparu de l'hôtel d'Izumisano, près d'Osaka (ouest) où il logeait avec son groupe, avaient annoncé les autorités de cette municipalité qui accueille leur camp de base. Perdu tout espoir de participer pour des raisons de quotas olympiques Julius Ssekitoleko, qui avait remporté récemment la médaille de bronze aux Championnats d'Afrique d'haltérophilie, était sur une liste d'attente pour les Jeux Olympiques mais a récemment perdu tout espoir de participer pour des raisons de quotas olympiques. Il devait rentrer prochainement dans son pays. JO Tokyo www.kafunel.com l'haltérophile ougandais disparu retrouvé sain et sauf Quarantaine Il faisait partie du premier groupe de neuf sportifs, entraîneurs et cadres ougandais arrivés au Japon mi-juin, et dont deux membres non sportifs avaient été testés positifs au coronavirus peu après. Tout le groupe avait dû effectuer une quarantaine dans la foulée. La police a précisé mardi que l'homme avait voyagé jusqu'à Nagoya puis vers la préfecture de Gifu, avant de se rendre vers le sud, à Mie. "Il a été retrouvé dans une maison appartenant à des gens en connexion avec lui", a précisé le responsable de la police, ajoutant que le sportif n'avait opposé aucune résistance. "Nous continuons à l'interroger sur ses motivations". Des restrictions drastiques ont été prévues au Japon pour tous les participants aux JO de Tokyo (23 juillet-8 août), alors que la crise sanitaire s'aggrave dans le pays. Les athlètes doivent notamment être testés quotidiennement et leurs déplacements sont extrêmement restreints, limités entre leurs hébergements, leurs centres d'entraînement et leurs lieux de compétition. A lire aussi Des arts martiaux au microphone : Voici l'histoire de Julianna PeñaLes KO « spectaculaires tragiques » des Arts martiaux Quasiment toutes les épreuves des JO se dérouleront par ailleurs à huis clos, ont décidé les organisateurs la semaine dernière. Par Kafunel avec AFP
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news24fr · 2 years
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Le parti vert allemand s'est autrefois fait un nom en faisant campagne contre les dépenses militaires élevées, l'énergie nucléaire et les combustibles fossiles sales.Cependant, depuis qu'ils ont pris leurs fonctions au sein du gouvernement de coalition tripartite "feux de circulation" d'Olaf Scholz en décembre dernier, Die Grünen est devenu le défenseur le plus virulent du Bundestag pour soutenir la résistance ukrainienne avec des armes lourdes. Ils ont prolongé la durée de fonctionnement de trois centrales nucléaires qui devaient fermer à la fin de l'année, réactivé des centrales au charbon mises sous cocon et construit les premiers terminaux du pays pour l'importation de combustibles fossiles sous forme liquéfiée.Plus surprenant encore, les électeurs semblent apprécier.Contrairement à leurs deux partenaires de partage du pouvoir, le SPD de centre-gauche et le FDP libéral, les Verts obtiennent actuellement une part de voix plus élevée qu'aux élections fédérales de septembre dernier. Leurs deux personnalités politiques les plus en vue, la ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, et le ministre de l'Énergie, Robert Habeck, ont le taux d'approbation les plus élevés dans le pays. Un an plus tard, le parti écologiste peut à juste titre être qualifié de l'un des premiers gagnants de l'ère post-Angela Merkel.« Les Verts ont prouvé qu'ils étaient prêts à gouverner », a déclaré Andrea Römmele, professeur de sciences politiques à la Hertie School of Governance de Berlin. "En politique, vous faites campagne en poésie et gouvernez en prose, et ils sont apparus comme un parti qui ne veut pas seulement travailler sur son manifeste, mais s'engager dans de nouveaux défis."Les deux phares des Verts ont cherché à se présenter comme un groupe d'acteurs, franchissant les lignes rouges d'antan d'une manière étonnamment rapide en cours de route.Bien qu'il ait fait campagne sur la promesse de s'opposer à "l'exportation d'armes et d'armements vers les zones de guerre" aussi récemment qu'en septembre 2021, c'est Baerbock qui a ouvertement remis en question la réticence de Scholz à expédier des chars en Ukraine cet été.Apparemment vidée de confiance à l'issue de sa course infructueuse à la chancellerie, elle a semblé dans son élément depuis qu'elle a pris la tête du ministère des Affaires étrangères, affrontant le ministre russe des Affaires étrangères avec une candeur non sentimentale qui manquait à ses prédécesseurs.Lors d'un voyage au Nigeria en début de semaine, où Baerbock et la commissaire allemande à la culture, Claudia Roth, ont rendu 20 objets de musée jadis pillés au royaume du Bénin, un changement de génération entre les deux anciens chefs du parti vert était palpable.Là où Roth, 67 ans, était enthousiaste et enthousiaste, son alliée de 42 ans a montré des éclairs d'acier même lors de la cérémonie de passation émouvante, utilisant à un moment donné l'éloge du masque d'une femme royale pour réprimander poliment son homologue nigérian pour le bas pourcentage de femmes dans son gouvernement.L'Allemagne rend 21 médailles de bronze béninoises au Nigeria - au milieu de la frustration face à la Grande-BretagneLire la suiteL'ancien co-dirigeant de Baerbock, Habeck, a quant à lui été contraint de faire des choix qui contredisent la défense des énergies renouvelables par son parti alors que la guerre de la Russie en Ukraine a bouleversé des décennies de politique énergétique allemande.Mais il l'a fait avec vigueur : sous sa direction, le ministère de l'Économie a adopté 29 nouvelles lois au cours des 11 premiers mois – ses prédécesseurs lors de chacun des trois derniers mandats électoraux en ont réussi une quarantaine en quatre ans.Habeck a nationalisé l'énergéticien Uniper, premier importateur de gaz du pays, placé sous tutelle les filiales allemandes des sociétés russes Rosneft et Gazprom et réussi à remplir à 100 % les réservoirs de stockage de gaz du pays au début de l'hiver, malgré une arrêt total des livraisons depuis la Russie.
Si le pays peut éviter un scénario de rationnement du gaz cet hiver, ce sera en grande partie en mettant le pragmatisme au-dessus des postures idéologiques."Ce gouvernement a hérité d'une pagaille complète et montre au moins le genre d'ambition et de dynamisme en essayant de nettoyer le gâchis qui manquait à ses prédécesseurs", a déclaré Claudia Kemfert, experte en énergie à l'Institut économique allemand. "Il fait des erreurs, mais il réussit aussi beaucoup de choses."Cependant, blâmer les gouvernements du passé pour le dilemme énergétique actuel de l'Allemagne ne servira pas les Verts pendant la durée d'un mandat de quatre ans, surtout s'il y a le sentiment que ses propres lignes rouges idéologiques ont contribué à créer la situation difficile en premier lieu.La confiance dans la capacité de Habeck à éviter les problèmes à l'économie s'est ébranlée au cours de l'automne, alors qu'il renonçait à une série de nouvelles politiques.Inscrivez-vous pour C'est l'EuropeNewsletter hebdomadaire gratuiteLes histoires et les débats les plus cruciaux pour les Européens - de l'identité à l'économie en passant par l'environnement
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thebusylilbee · 2 months
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Trente ans après la fin de l’apartheid, la petite communauté juive d’Afrique du Sud est plus que jamais divisée. Une partie a profité du système raciste, l’autre a résisté. Deux leçons contradictoires de la Shoah s’opposent : celle d’un « plus jamais ça » universaliste, qui pousse les uns à soutenir Gaza, et celle de la singularité de la tragédie juive, qui inspire aux autres un sionisme conservateur.
par Charlotte Wiedemann
Après avoir contemplé les murs gris d’une cellule de prison pendant vingt-deux ans, Denis Goldberg s’est entouré des couleurs de peintures africaines. Des tableaux qui célèbrent la vie, le plaisir et le désir, qu’on peut désormais voir dans la House of Hope (« Maison de l’espoir ») : ce bâtiment sobre et fonctionnel à la périphérie du Cap constitue le legs du plus célèbre Juif ayant combattu l’apartheid. Les enfants peuvent y peindre et y faire du théâtre. Dans le jardin où les cendres de Goldberg ont été dispersées, des oiseaux picorent. C’est un lieu paisible, qui n’a pourtant rien d’une idylle où le passé pourrait trouver le repos. Trois décennies après la fin de l’apartheid, la mer des toits des townships d’où viennent les enfants roule dans le paysage vallonné du Cap avec une désolation révoltante. Et les questions soulevées par l’héritage de Goldberg sont bien trop présentes, des questions sur ce qui rend une décision éthique, sur la valeur de la vie et sur les interprétations de ce que signifie l’existence juive.
Comme la plupart des Juifs ayant immigré en Afrique du Sud, les ancêtres de Goldberg étaient originaires de la Lituanie tsariste et fuyaient les pogroms et la misère. Un demi-siècle plus tard, convaincu que chaque être humain mérite un respect égal, quelle que soit sa couleur de peau ou son origine, Goldberg a pris fait et cause pour le Congrès national africain (ANC) dont il a rejoint la branche armée. Condamné à plusieurs reprises à la prison à vie aux côtés de Nelson Mandela, il ne fut pas incarcéré à Robben Island, mais dans une prison pour Blancs à Pretoria. L’apartheid a appliqué la ségrégation même parmi ses ennemis mortels.
Sur une plaque de la Maison de l’espoir, on peut lire : « He was a Mensch » (« C’était un Mensch »), d’après l’expression yiddish désignant celui qui a fait preuve d’humanité en s’engageant pour les autres. Seule une petite minorité des 120 000 Juifs qui vivaient à l’époque en Afrique du Sud a choisi cette voie périlleuse. Parmi les Blancs de l’ANC, ils étaient largement surreprésentés, et cela constitue le bon côté de la médaille, tout aussi remarquable que son revers, à savoir que la majorité d’entre eux s’accommodaient de l’apartheid, s’abritaient derrière des lois raciales qui leur étaient favorables et évitaient le contact avec les combattants de la liberté issus de leurs propres rangs, dans la crainte constante que cela pourrait favoriser l’antisémitisme.
Ce n’est qu’en 1985, après trente-sept ans du régime d’apartheid, que les dirigeants de la communauté se décidèrent à le condamner clairement. Comme l’a reconnu ultérieurement le grand rabbin Cyril Harris devant la Commission vérité et réconciliation : « La communauté juive a profité de l’apartheid (…). Nous demandons pardon (1). » Faire le choix d’une résistance désintéressée, payée au prix fort de l’emprisonnement, de l’exil, du bannissement, de la mort et de la mutilation sous les tirs de l’État raciste. Ou s’adapter, se faire complice. Des avocats juifs ont défendu des militants noirs ; juif aussi, le procureur général qui a condamné Mandela en faisant preuve d’un remarquable fanatisme.
L’historienne Shirli Gilbert, spécialiste de l’histoire des Juifs sud-africains, voit dans cette polarisation la tension entre deux interprétations de la Shoah au sein du judaïsme, avec, d’un côté, la singularité des victimes juives et, de l’autre, l’universalité de l’enseignement du « plus jamais ça ». La première lecture entretient le besoin de se protéger, la seconde est un moteur pour l’action (2).
Pour saisir cette situation — propre à l’Afrique du Sud mais dont on peut tirer des leçons générales —, il faut revenir à ses origines. Construite en 1863 en pierres de taille, la plus ancienne synagogue du pays sert aujourd’hui d’entrée au Musée juif sud-africain, au Cap. On y trouve des photographies montrant les miséreux débarquant sur le port, des hommes avec des casquettes plates et des vestes usées, des femmes avec des foulards portant des ballots de draps, la valise en carton fermée par une ficelle. Ils furent 70 000 à arriver au tournant du XXe siècle, émigrant depuis la frange ouest de l’empire tsariste, là où vivait alors la moitié de la population juive mondiale. Attirés par des récits d’argent facile à gagner dans les mines d’or et de diamants d’Afrique du Sud, plus d’un ont commencé comme colporteurs, se rendant dans des implantations isolées sur des charrettes à grandes roues tirées par des mules, vendant du savon, des boutons et de la vaisselle.
Pourtant, tout immigrant sans ressources sentait que son statut dans la colonie différait de celui dont il disposait dans son ancien pays. Un témoin de l’époque raconte avoir vu un Noir s’écarter pour lui céder le passage sur le quai tout en baissant les yeux : « En Russie, personne n’aurait cédé le passage à un Juif (3). »
Blancs parmi les Blancs, les Juifs profitèrent des zones rurales pour s’intégrer rapidement dans une société coloniale des Boers dont l’antisémitisme ne s’est aggravé que dans les années 1930. Bientôt circulèrent des histoires de succès : par exemple, dans le commerce des plumes d’autruche alors recherchées dans le monde entier pour la chapellerie féminine de luxe — on appelait les maisons de campagne des riches commerçants juifs des « palais de plumes ».
Les vitrines du musée n’évoquent pas les conditions nécessaires à une telle réussite : les Juifs avaient le droit d’acquérir des terres (dans les cas les plus extrêmes, celles de propriétaires noirs auparavant expulsés), ils étaient libres de leurs déplacements et de souscrire des emprunts. Leur existence était légitime ; une légitimité de colons vivant au milieu d’une majorité de personnes privées de droits. Dans les villes, certes, il fallait composer avec l’antisémitisme. Aux yeux de Britanniques « snobs », ceux qu’on appelait les « Juifs de l’Est » semblaient « sales » et pas tout à fait civilisés. Leur yiddish sonnait douteux. Mais les immigrants eurent tôt fait de se débarrasser de leur langue comme d’un fardeau. Le yiddish disparut en l’espace d’une génération. Subir la discrimination, réelle ou redoutée, entrait en balance avec l’acquisition de privilèges coloniaux.
Un triangle magnétique
Judéocide, sionisme, apartheid : si la collectivité des Juifs et des Juives sud-africains s’est formée dans ce triangle d’influences, chacune d’entre elles a marqué différemment chaque famille, chaque individu.
Steven Robins a proposé que nous nous rencontrions dans un café du Cap. Robins, dont les ancêtres portaient le nom de Robinski, est anthropologue, professeur à l’université. Un homme avenant, à l’allure juvénile. Son père a fui l’Allemagne nazie pour arriver au Cap en 1936. Seul le Stuttgart put encore accoster ensuite, avec 537 Juifs allemands à son bord, après quoi l’Afrique du Sud ferma impitoyablement ses portes aux réfugiés.
Robins a grandi avec sous les yeux une photographie encadrée, posée sur le buffet. Trois femmes dont on ne parlait jamais — la mère et les deux sœurs de son père que celui-ci n’avait pu aller chercher pour les sauver. Elles ont été assassinées à Auschwitz — d’autres membres de la famille le furent dans les forêts près de Riga. Robins a trouvé bien plus tard, alors qu’il était adulte depuis longtemps, les lettres pleines de suppliques, plus d’une centaine, que la famille avait envoyées en Afrique du Sud. De longues années de recherche lui ont permis de reconstituer l’histoire des Robinski et d’écrire le livre Letters of Stone (4) (« Lettres de pierre »). À Berlin, les membres de sa famille ont désormais des Stolpersteine à leur nom — des pavés plaqués de laiton en mémoire de victimes du nazisme — et leurs lettres sont retournées là où elles ont été écrites et sont désormais conservées dans les archives du Musée juif de Berlin.
Son père a-t-il gardé le silence par culpabilité ? « Le silence est une chose complexe, répond Robins. Ce fut un coup terrible pour lui, il est tombé gravement malade dans les années 1940. » Arthur, un frère cadet de son père qui avait aussi réussi à fuir pour l’Afrique du Sud, est devenu un sioniste convaincu. Deux frères, deux manières de vivre avec le fardeau de ne pas avoir pu sauver les siens.
En travaillant à l’écriture de son livre, Robins a davantage pris conscience de sa propre judéité. Mais il ne met pas la souffrance juive à part et montre comment le racisme européen a entremêlé l’histoire du génocide des Juifs et celle de l’apartheid. Il partage cette manière de voir avec certaines figures de la scène artistique juive sud-africaine de renommée internationale, comme Candice Breitz, Steven Cohen et William Kentridge. Cette position historique et politique qui voit l’humanité comme indivisible les oppose tous au courant majoritaire du sionisme conservateur — tout particulièrement de nos jours. Avec Kentridge et plus de sept cents autres personnalités, Robins a signé une lettre ouverte dénonçant la guerre menée par Israël à Gaza. « L’expérience de la persécution et du génocide est intimement liée à notre mémoire collective, y écrivaient-ils. Nous sommes donc appelés à empêcher qu’une telle chose se reproduise, où que ce soit et quelle que soit la personne concernée (5). »
Des amis juifs, et même des parents, ont violemment critiqué Robins pour cela. À leurs yeux, il trahirait l’histoire de sa famille et celle de son propre livre, écrit dans la peine et la douleur. Robins rétorque : « La Shoah nous apprend à considérer toutes les vies comme équivalentes. Sinon, à quoi servirait sa mémoire ? »
Ce qui a lieu à Gaza, il le ressent comme une tragédie pour le judaïsme, une tache indélébile. « Les Juifs auraient-ils mieux fait de continuer à vivre en diaspora ? », se demande-t-il dans son for intérieur. « Quel sens peut encore avoir mon livre, quel sens peut encore avoir la mémoire de la Shoah face à Gaza ? »
L’apartheid a débuté en mai 1948, et c’est en mai 1948 également que fut fondé l’État d’Israël. S’il s’agit d’une coïncidence, ces deux événements restent consubstantiels à la fin de l’époque coloniale dans le monde, et il existe bel et bien un lien entre apartheid et sionisme — sans même qu’il faille évoquer la Cisjordanie.
En arrivant en Afrique du Sud, les immigrants avaient apporté d’Europe de l’Est deux idées fortes qui s’y faisaient concurrence. Le sionisme, d’une part, qui devint une sorte de religion civile laïque — la Fédération sioniste sud-africaine a été fondée un an seulement après le congrès de Bâle organisé par Theodor Herzl en 1897. D’autre part, l’engagement radical des bundistes pour la justice ici et maintenant : l’Union générale des travailleurs juifs (Bund) était le parti socialiste des Juifs d’Europe de l’Est, lui aussi fondé en 1897, à Vilnius. Des partisans et des combattants des ghettos juifs qui allaient se soulever dans l’Europe occupée venaient de ce milieu. Ceux-là dont se souviendraient, en Afrique du Sud, les militants juifs dans leur combat pour la liberté de tous.
Le sionisme s’est en revanche renforcé sous l’apartheid : le système ethnocratique exigeait l’appartenance à une communauté. Pour des millions de Sud-Africains, cela signifiait l’assignation arbitraire à des castes de couleur de peau et des bantoustans. La majorité des Juifs appliqua toutefois un principe différent : plutôt que de se fondre dans la société, le repli sur soi. Aujourd’hui encore, la communauté, réduite à 60 000 membres par l’émigration, est étonnamment homogène, à 80 % d’origine lituanienne ; si peu de mélange en cent cinquante ans.
Beyachad, qui signifie « cohésion » en hébreu, est le nom du centre de la communauté à Johannesburg, isolé de la rue par un mur de sécurité. L’historien David Saks, familier de longue date des affaires de la communauté juive, a son bureau au premier étage, mais des grilles massives en protègent les fenêtres — la lumière froide du néon, le charme d’une cellule de prison. Cette atmosphère correspond au résumé que Saks livre, en une phrase, du cours des choses : « Nous regardons à nouveau vers l’intérieur. »
Alors qu’en Europe et aux États-Unis la diaspora a été prise dans un processus de sécularisation, en Afrique du Sud, elle s’est davantage tournée vers la religion, est devenue plus orthodoxe. Et comme ceux qui vivent selon la Loi sont obligés de se rendre à pied à la synagogue pour célébrer le shabbat, les petites maisons de prière, parfois informelles, se multiplient. En dépit des prix pratiqués, la plupart des parents envoient leurs enfants dans l’une des écoles privées juives — le coût de la scolarité régule ainsi le nombre d’enfants qu’on souhaite avoir. Mieux vaut en avoir moins, mais avec une identité juive assurée.
Après la fin de l’apartheid, il y eut, selon Saks, un désir de s’ouvrir davantage à la société. Mais cela ne dura pas longtemps, notamment du fait de l’échec du processus de paix au Proche-Orient. L’opinion publique sud-africaine est ardemment propalestinienne. De nombreux Juifs la perçoivent comme antisémite. C’était déjà le cas avant le 7 octobre, et depuis les tensions n’ont fait que s’accroître. En raison des sympathies de certains membres de l’ANC pour le Hamas, des voix juives ont mis en garde contre l’organisation de rassemblements haineux et de pogroms, tandis que le gouvernement sud-africain accusait Israël de génocide devant la Cour internationale de justice (CIJ).
« Les attaques contre les Juifs demeurent extrêmement rares, nuance Saks. Dans les pays dont les gouvernements sont favorables à Israël, il y a plus d’antisémitisme parce que les musulmans retournent leur frustration contre les Juifs. Ce n’est pas nécessaire ici. » En Afrique du Sud, un migrant démuni du Zimbabwe reste plus vulnérable qu’un Juif — à cause de la violence xénophobe dans un cas, et parce que la communauté veille à ce qu’aucun de ses membres ne se retrouve à la rue dans l’autre —, même si, depuis peu, la pauvreté a augmenté. « Avant, se souvient Saks non sans nostalgie, nous donnions plus d’argent à Israël que toutes les autres diasporas ! » Une collecte de fonds a débuté auprès des émigrants aisés.
Des écoles juives entretiennent des partenariats avec d’autres plus pauvres — notamment pour que les enfants de la communauté apprennent à fréquenter leurs camarades noirs sans se sentir supérieurs. Derrière ces engagements se trouve souvent un sentiment de culpabilité inconscient, estime la sociologue Deborah Posel ; il serait préférable d’admettre « notre complicité », comme elle le dit. Une étude montre à quel point les Juifs sud-africains sont divisés quant à leur rapport au passé : 38 % pensent que la communauté a trop accepté l’apartheid, un bloc légèrement plus important est d’un avis contraire, et 20 % préfèrent ne pas se prononcer (6).
Dans ce contexte, que signifie être juif dans un pays qui envisage Israël à travers le prisme de l’expérience traumatisante de l’apartheid ? La souffrance morale semble plus forte chez ceux qui ne veulent se définir ni comme sionistes ni comme antisionistes : dans la communauté, il n’y a pas de place pour leur ambivalence vis-à-vis d’Israël et, plus généralement, dans la société, il n’y a guère de compréhension à l’égard de l’idée de la nécessité d’un foyer du peuple juif (7). On peut interpréter comme une échappatoire radicale à ce dilemme que de jeunes Juifs de gauche se réclament du mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS), très populaire en Afrique du Sud. Cela leur permet de combler le fossé avec les camarades d’université noirs, et peut-être aussi de se débarrasser symboliquement d’un héritage mal aimé. Selon Steven Robins, il existe désormais un « moment 68 » juif qui voit la mise en accusation par les jeunes générations des parents et des grands-parents pour leur rôle dans l’apartheid et leur positionnement concernant Gaza. La souffrance des Palestiniens actualise et aggrave l’accusation d’une participation coupable.
Une pelouse sur le front de mer du Cap ; un « Shabbat against genocide » (« shabbat contre le génocide ») est organisé devant la sculpture métallique géante représentant une paire de lunettes de Mandela. Sur une table pliante, des bougies et des roses fraîchement coupées, des rouges et des blanches, des roses pour la Palestine. Un activiste portant une kippa aux couleurs de l’arc-en-ciel récite une prière, des personnels de santé musulmans lisent les noms de leurs collègues tués à Gaza.
Caitlin Le Roith, une jeune avocate blonde, tient sa rose avec précaution et solennité. Elle raconte qu’elle n’a compris qu’à l’université tout ce que l’école juive Herzlia lui avait caché concernant Israël. « Je me suis sentie trahie. » Récemment, elle a rejoint les Juifs sud-africains pour une Palestine libre, dont l’antisionisme radical constitue à son sens la réponse à l’éducation reçue dans un établissement où l’on entonnait chaque matin l’hymne national israélien. Une fois, des élèves se sont agenouillés pendant cette cérémonie, comme les sportifs noirs américains qui protestent contre le racisme ; la fureur de la direction fut alors totale. Dans sa famille, explique Le Roith, presque personne ne comprend ce qu’elle défend. « Nous vivons dans des mondes différents. Il est difficile de continuer à se parler. »
Heidi Grunebaum, petite-fille de Juifs expulsés de la Hesse, a mis en lumière avec une acuité particulière ce triangle formé par l’apartheid, Israël et la Shoah. Elle l’a fait sans compromis, y compris vis-à-vis d’elle-même. Nous nous rencontrons à l’université du Cap-Occidental où elle est chercheuse. Rejoindre une faculté créée pour les « coloured » et où on a lutté contre l’apartheid était une décision mûrement réfléchie. Il s’agissait de rompre avec l’esprit de privilèges persistant, notamment dans le monde universitaire. Grunebaum a la réputation d’être radicale, mais on est tout de suite frappé par le soin et la nuance qu’elle apporte à son expression, sans cacher sa propre vulnérabilité.
Jeune adulte, elle avait cru que l’émigration en Israël pourrait la préserver d’une implication inévitable dans l’apartheid. Alors que des membres de sa famille avaient été assassinés à Auschwitz, ne pourrait-elle pas y accéder à une existence cohérente moralement ? Elle a d’abord découvert Israël dans le cadre d’un programme de jeunesse sioniste, qui comprenait la visite de ce qu’on appelle la « Forêt sud-africaine », plantée par le Fonds national juif grâce aux dons de Juifs sud-africains — au-dessus des ruines d’un village palestinien détruit en 1948. Ce n’est que bien plus tard que Heidi Grunebaum a compris que, en donnant de l’argent aux boîtes de collecte bleu et blanc du Fonds, elle était devenue partie prenante d’un autre engrenage.
Nelson Mandela et Anne Frank
Des parallèles s’imposèrent à elle : en Afrique du Sud, le déplacement forcé de trois millions et demi de personnes, là-bas, l’expulsion des Palestiniens. Dans les deux cas, l’invisibilisation du crime de nettoyage ethnique — en Afrique du Sud dans ce qu’on a appelé la « réconciliation », en Israël par le reboisement et l’amnésie. Grunebaum a coréalisé un documentaire à ce sujet, The Village Under the Forest (« Le village sous la forêt », avec Mark J. Kaplan, 54 minutes, 2013). Depuis, elle est décriée au sein de la communauté. Elle raconte la peine qu’elle a de voir ses parents en souffrir.
Ahmed Kathrada, fils de commerçants indiens qui devint un cadre dirigeant de l’ANC, a visité Auschwitz et les ruines du ghetto de Varsovie en 1951. Le souvenir de cette expérience ne l’a plus jamais quitté. De retour en Afrique du Sud, lorsqu’il prononçait ses discours contre l’apartheid, il montrait un récipient en verre contenant des restes d’os du camp : « Voyez ce que signifie le racisme à l’extrême ! » Plus tard, dans la prison de Robben Island, Kathrada, tout comme Mandela, a lu en secret Le Journal d’Anne Frank. Aujourd’hui, la lecture de ce livre est obligatoire dans les écoles sud-africaines.
Même si des dirigeants de l’ANC ont montré de la sympathie pour le Hamas, la Shoah n’a jamais été niée ici. Au contraire, les comparaisons entre l’apartheid et le nazisme ont servi à mobiliser l’opinion publique internationale dans l’immédiat après-guerre. En 1994, à la veille des premières élections démocratiques, Mandela a scellé symboliquement la fin de l’apartheid lors d’une exposition consacrée à Anne Frank. « En honorant la mémoire d’Anne, a-t-il déclaré lors de l’inauguration, nous disons d’une seule voix : jamais et plus jamais ! »
L’enseignement de l’histoire du génocide des Juifs est obligatoire dans le programme des écoles secondaires d’Afrique du Sud. Trois centres de l’Holocauste et du génocide ont été créés au Cap, à Durban et à Johannesburg. Le jour de notre venue à celui de Johannesburg coïncide avec la visite d’un groupe d’adolescents juifs : soixante garçons et filles écoutent un médiateur noir non juif leur expliquer le lien entre l’extermination par les nazis et le génocide rwandais. Les deux génocides sont ici mis sur un pied d’égalité. Il s’agit dans les deux cas d’une exclusion de l’humanité commune. Dans l’entrée, non loin d’une citation de Primo Levi, sont accrochées des photos de scènes de violence xénophobe tirées de l’actualité la plus récente.
Tali Nates, fondatrice et directrice du centre de Johannesburg, une Israélienne qui a acquis la nationalité sud-africaine, a donné à cet endroit son langage particulier. Son père a été sauvé par la liste d’Oskar Schindler. Ce que les jeunes gens retiennent de ce lieu, ce ne sont pas des définitions de l’antisémitisme, mais la tâche qui nous incombe de défendre l’humanité. Et un principe : il y a toujours un choix, même ne rien faire est une décision éthique.
(Traduit de l’allemand par Clément Fradin.)
Charlotte Wiedemann. Journaliste et écrivaine. Dernier ouvrage paru : Den Schmerz der Anderen begreifen. Holocaust und Weltgedächtnis [Comprendre la douleur des autres. Holocauste et mémoire mondiale], Propyläen, Berlin, 2022.
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ed-jv · 1 year
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[FR] SNIPER ELITE 5 - Part 31 - Le réveil du Kraken 1/2 - DLC - Gameplay PC en ultra - 4K 
SNIPER ELITE 5
Sniper Elite 5, le dernier volet de la franchise primée, offre une mécanique de tir, des combats tactiques à la troisième personne et une Kill Cam uniques en leur genre. Découvrez les cartes les plus immersives de la série grâce au système de traversée amélioré et parcourez une multitude de lieux réels reproduits avec une richesse de détails époustouflante. France, 1944. Dans le cadre d’une opération secrète des US Rangers visant à affaiblir les fortifications de la façade atlantique le long de la côte bretonne, le tireur d’élite Karl Fairburne collabore avec la résistance française. Ensemble, ils découvrent un projet nazi secret menaçant de mettre un terme à la guerre avant que les Alliés n’envahissent l’Europe : l’opération Kraken.
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Développeur : Rebellion Developments Ltd Éditeur : Rebellion Developments Ltd
Sur PC - XBOX ONE - XBOX SERIES - PS4 - PS5 - SWITCH le 26 mai 2022.
PEGI 16
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workingclasshistory · 3 years
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On this day, 22 December 1989, Irish novelist, poet, playwright and French resistance activist Samuel Beckett died in Paris aged 83. A French resident during the Nazi takeover, he joined the resistance and worked as a courier, on several occasions nearly being caught by the Gestapo. After his unit was betrayed in 1942, he and his companion Suzanne Dechevaux-Dumesnil had to flee to the south of the country, where he continued to assist Maquis fighters, among other things by storing weapons at his home. He was awarded the Médaille de la Résistance and the Croix de guerre by the French government, but only rarely mentioned his resistance activities, referring to them as "boy scout stuff". https://www.facebook.com/workingclasshistory/photos/a.296224173896073/1882200558631752/?type=3
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lupitovi · 3 years
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Faut-il avoir un prénom "français" pour aimer la France ?
Les polémistes qui alimentent les discours de haine ont toujours marqué un intérêt particulier pour les noms de personnes. C'est un moyen facile et efficace de mobiliser les préjugés populaires à l'égard des étrangers
Depuis le XIXe siècle, toutes les communautés d'immigrants qui sont venues en France ont subi des humiliations, parce qu'on leur reprochait d'avoir des noms " à coucher dehors " comme on dit vulgairement. C'est aussi une dimension importante dans l'histoire de l'antisémitisme puisque la chasse aux noms juifs a joué un rôle essentiel dans les persécutions qu'ils ont subies dans l'histoire.
Pour les idéologues d'extrême droite, adopter un prénom bien de chez nous serait une manière de prouver son sentiment d'appartenance à la France.
Pourtant, Henriot, le speaker de Radio-Paris sous Vichy, qui fut l'un des propagandistes les plus connus du collaborationnisme en France, celui qu'on surnommait le " Goebbels français ", fusillé par la Résistance en 1944, se prénommait Philippe, tout comme le maréchal Pétain.
Pourtant, l'un des héros de la Résistance vosgienne - qui a reçu le 13 juillet 2003 la médaille de la Résistance à titre posthume - se prénommait Mamadou et était un fervent musulman.
L'amour de la France n'a donc rien à voir avec le prénom qu'on reçoit en héritage.
La vraie question que l'on devrait se poser c'est l'amour de quelle France ? Celle que défendait Addi Bâ Mamadou n'a rien à voir avec celle de Pétain ou de Doriot.
- Gérard Noiriel
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En 1936, à l'Hôtel Jean Bret, on fête la victoire du Front Populaire. Dans les années 40, l'hôtel est tenu par Elise Bret, par sa soeur, Marie Guercet, née Bret, et par sa nièce Yvonne Guercet. Après l'armistice de Pétain en 1940, l'hôtel devient le refuge de soldats permissionnaires de la zone nord occupée par les allemands. Fin 1942, les trois femmes sont les premières personnes de la région à prendre la responsabilité d'héberger les réfractaires de la déportation en Allemagne. Puis arrivent les premiers maquis, et on voit à l'hôtel, de paisibles clients tenir des conciliabules : ce sont des résistants. Fin 1943, l'hôtel Bret devient un centre d'accueil clandestin pour maquisards. Le 14 juillet 1944, les allemands envahissent le village et terrorisent la population. Les trois femmes évacuent les hommes blessés pour les mettre en lieu sûr puis apportent du ravitaillement aux maquisards cachés dans la forêt. Le 14 juillet 1945, Yvonne Guercet reçoit la Médaille de la Résistance. En juin 1947, Elise Bret et Marie Guercet reçoivent la Médaille de la Reconnaissance Française. Aujourd'hui, l'hôtel Bret est abandonné, mais la plaque sur laquelle est inscrit "Place de la Résistance", rappelle combien ce lieu est chargé d'histoire.
Echallon, Ain.
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“En 1942, Deloncle en eut assez des Allemands et cessa de soutenir la collaboration. En 1943, les Allemands, qui le soupçonnaient d’avoir prêté son aide à l’invasion allié en Afrique du Nord, l’arrêtèrent et lui firent subirent  un interrogatoire. Une fois relâché, il se rendit en Espagne où il retrouva des amis avec qui il fomenta un complot pour assassiner Hitler. Il se trouvait en France en 1944 lorsque deux agents français de la Gestapo furent chargés de son arrestation. Craignant une résistance armée, les agents firent feu avec leur mitraillette. Deloncle tira un revolver et fut tué quand les autres ripostèrent.
Deloncle ne fut pas le seul ex-cagoulard à se retourner contre les Allemands. Dès 1940, François Duclos, ancien partisan de Deloncle, traversa la Manche  pour aller rejoindre de Gaulle à Londres. En août de la même année, il fut parachuté en Normandie et mit sur pied la célèbre section de la Résistance française Saint Jacques. Pendant la guerre, il fit sauter des voies de chemin de fer ainsi que d’autres objectifs militaires en France, et plus tard, il combattit aux coté des Alliés an Normandie et en Belgique. Lorsqu’il apparut au tribunal après la guerre pour le rôle qu’il avait joué dans la Cagoule, il portait la croix de la Libération, la croix de guerre, la médaille de la Résistance et la croix militaire.
Gabriel Jeantet entra aussi dans la Résistance , après 1942. Jacques Corrèze, membre du comité central de la Cagoule en 1936, lutta sur le front russe avec les Allemands en 1941, en tant que membre de la Légion de volontaires français contre le bolchevisme, ce qui ne l’empêcha pas de passer dans la Résistance en 1943.”
Robert SOUCY, Fascisme français ? 1933-1939. Mouvements antidémocratiques, Paris, Autrement, 2004, p. 93-94.
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somar78 · 4 years
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Peugeot 402 Roadster - 1938 by Perico001 Chassis n° 367340 Peugeot 402 Légère re-bodied in the style of a Pourtout-built Darl'Mat Roadster Bonhams : The Autumn Sale 2020 Estimated : € 170.000 - 200.000 Sold for € 201.250 Autoworld www.autoworld.be Brussels - Belgium September 2020 "Paulin became the leading French stylist of the time... Everything he touched was designed with aerodynamics in mind. He was very conscious of fuel efficiencies and the aerodynamic efficiencies that could be created by the lines of the car. You could go faster, which meant you could put a smaller engine in the car..." – Adatto, Richard, From Passion to Perfection: The Story of French Streamlined Styling, 1930-1939. The 1930s was a period when automobile engineers and stylists first began to apply the principles of aerodynamics to passenger car design, a movement that would result in some of the most breathtaking works of automotive art that the world had ever seen. One stunning example of this trend was the exclusive series of streamlined roadsters, coupés and cabriolets styled by Georges Paulin and built by the French coachbuilder Marcel Pourtout for Émile Darl'Mat, whose Paris-based company was one of the world's largest Peugeot agencies. The Peugeot 302 chassis was used at first, fitted with the larger (2.0-litre, later 2.1-litre) four-cylinder overhead-valve engine of the 402. Introduced at the Paris Motor Show in 1936, the 302 lasted for only 18 months, though its short wheelbase chassis would live on in the 402 Légère. Darl'Mat was a passionate champion of the Peugeot marque and longed for it to return to racing, particularly at prestigious home events like the 24 Heures du Mans. Using his considerable influence, he obtained the factory's blessing for a limited run of sports cars worthy of Peugeot's sporting legacy. He was one of a select few dealers able to offer custom coachwork to his customers, and Peugeot was more than happy to supply him with whatever he needed, so long as the orders kept rolling in. Darl'Mat enjoyed a close relationship with Marcel Pourtout's successful carrosserie on the outskirts of Paris, and together the two men would create some of Peugeot's most memorable – and beautiful – automobiles. Marcel Pourtout had founded his coachbuilding business in 1925 and produced unremarkable designs at first, though that all changed when he was joined by Georges Paulin. A dentist by profession, Paulin understood aerodynamics and had impeccable taste. He worked for Panhard, Unic and Peugeot, for whom he designed the 1934 'Eclipse' featuring a retractable steel cabriolet roof, a construction he patented. In 1940 Paulin joined the French Resistance to fight the Nazi regime but was arrested and executed. He was posthumously awarded the Croix de Guerre and the Médaille de la Résistance by the French government. Pourtout built around 105 of these streamlined cars for Darl'Mat between 1936 and 1939, and examples of the roadster ran competitively at Le Mans in 1937 and 1938. Demonstrating Paulin's conviction that a car did not necessarily need a large engine if it was effectively streamlined, three Darl'Mat Peugeots finished in the top ten in 1937, with the best placed example of Pujol/Contet coming home 7th overall, while the following year the Darl'Mat of de Cortanze/Contet finished 5th overall, winning the 2-Litre Class. Many years later, while restoring the ex-Dorothy Patten and Baron Rainer von Dorndorf's Darl'Mat roadster, the vendor found this very sound Peugeot 402 Légère and realised that its chassis was identical to the roadster's. A tool-room copy of the roadster body was made and the result is the car offered here: a fitting homage to its designer, Georges Paulin. Meticulously restored to the highest standard between 2017 and 2019, this superb car benefits from extra horsepower courtesy of a high-compression cylinder head and twin Solex carburetors mounted on a special Memini intake manifold. Power is transmitted via a Cotal electromagnetic gearbox to the Pilot wheels. Offered with restoration bills, French Carte Grise and Contrôle Technique, this pre-war icon is a pleasure to drive, a feast for the eyes, and ready for racing or any Concours d'Élégance. https://flic.kr/p/2jKwT8o
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