#Loquet
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Aileen Loquet & Andrea Abrego by Andre Schneider
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Mode-palace : album mensuel des dernières créations parisiennes. No. 7, juillet 1906, Paris. Planche coloriée no. 47. Costumes d’été. Bibliothèque nationale de France
Première figurine. — Costume trotteur en serge bleu vif. Jupe-corselet, ornée d’une série de biais en forme disposés en pointes devant et remontant légèrement sur les côtés. Boléro court, entouré de broderie, largement ouvert sur une blouse en laize de dentelle blanche. Manches pèlerine retombant sur des manches bouffantes en guipure volantées de dentelle. Chapeau loquet en paille bleue, orné d’ailes plus foncées.
First figure. — Trotting suit in bright blue serge. Corselet skirt, decorated with a series of shaped bias arranged in points at the front and rising slightly at the sides. Short bolero, surrounded by embroidery, wide open over a white lace blouse. Pilgrim sleeves falling over puffed guipure sleeves with lace ruffles. Blue straw latch hat, decorated with darker wings.
Métrages: serge, 7 m 50; laize de dentelle, 2 m 50.
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Seconde figurine. — Robe â taille Empire, en drap or éteint. Jupe Empire unie. Blouse en laize de dentelle décolletée sur une guimpe en taffetas plissé et serrée dans une haute ceinture formée par trois biais fixés par de gros boutons de stras. Manches ballon en dentelle, serrées au-dessus du coude dans des bracelets de velours or. Chapeau en paille, garni de roses Niel, avec feuillage et aigrette paradis.
Second figure. — Empire waist dress, in dull gold cloth. Plain Empire skirt. Blouse in wide width of low-cut lace over a pleated taffeta wimple and tightened in a high belt formed by three bias fastened with large rhinestone buttons. Lace balloon sleeves, tightened above the elbow in gold velvet bracelets. Straw hat, garnished with Niel roses, with foliage and paradise egret.
Métrages: drap, 4 m 50; laize de guipure, 2 m 50.
#Mode-palace#20th century#1900s#1906#periodical#fashion#fashion plate#color#description#bibliothèque nationale de france#dress#empire#gigot#devant et dos#july color plates#one color plates
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Finde de convención Outlandera en Paris en la #LandCon6. Así arrancaba el sábado 13 con la presencia de nuestro amado #KingOfTodo bailarín. Aunque Steven Cree arengaba a la audiencia para que gritaran como locos porque ésta era la última LandCon, el domingo en la despedida el mismo Cree les contó que HAY LANDCON 2025!!! Párrafo aparte para ese momento re loquete entre el king y Steven mientras la traductora traducía al francés...
Millones de gracias por los videos al IG de LandCon y a nuestra amiga @pamalissou que estuvo en el evento. Por supuesto, nuestra edición, traducción y subtítulos
#LunesDeLandCon6
#DiosLosCreaYOutlanderLosAmontona
#KingOfTodoBailarín
#LandCon6
#RememosLaSequia
#Outlander
#OutlanderFanMal
#OutlanderPasion
#OutlanderasInsaciables
#PoneleOutlanderATodo
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Hoy fue un día como cualquier otro en el trabajo aún que con un poco más de tiempo para el pelambre entre colegas lo cual es muy bueno hehehe...
En eso Jaimito toxico como suelo decirle comenzó a contar un poco sobre el , se debe entender que Jaimito es bastante reservado con su vida, osea es un loquete pero intro.
Básicamente me habló con poquitín más de como es él y como piensa también entonces me miro por un momento y me dijo...
Hay karlucha castrucha (sobrenombre sin sentido) controlas demasiado bien tus emociones (risa Intermedia) la verdad no quiero imaginarme el por qué... Pero me hace pensar que tan fuerte eres realmente ya que el otro día fue la primera vez que ví una cara distinta y tú me dijiste que estabas un poco triste...
Sinceramente no supe que decir, mmm nunca he creído que sea lo mejor controlarlas ya que hay un motivo del porque lo hago. Es la única forma que tengo de mmm no se mostrar que no soy una persona vulnerable 🤷 así no lo pueden usar contra mí.
Obviamente no se lo dije, solo me reí diciendo lo mismo de siempre... Tanta wea que habla usted Jaimito hahaha...
La cosa es que durante la tarde como que me perdí un poco e ignore el trabajo poniendo encima los pensamientos de la conversación.
Entonces me pregunté si me ví vulnerable aquella última vez ?
Acaso mostré esa parte de mi, lo dudo pero aún así me lo cuestionó...
Después pienso que jamás la mostré, en si mostrarme a mí misma vulnerable a la vista de alguien importante es como darle un cierto poder en mi y eso jamás volveria pasar...
No me arrepiento la verdad, no sé puede estar triste cuando estás al lado de la persona que hace que en un segundo todo se borre, quizás después si pero bueno es la magia de la distancia y la imposibilidad de cruzarse de la nada...
Pero eso igual tiene su lado malo, osea reprimes al máximo que toda esa pena aún no llega es como si aún no explotara, como si solo se ubiera guardado y ya.
Que curiosas son las palabras de Jaimito toxico hehehe, y su visión de las personas sin preguntar nada.
Son como las miradas pillas de Salvador cuando hablo estupideces y el si me entiende (weona que brutal haha la adoro) o el webeo interminable de Nico con es afán de burlarse de la gente o de todo hahahaha con el retrocedo en edad y siento de una forma palpable a una Karla que hace muchos pero muchos años no recordaba.
Hehehehehe como buen Lunes de pelambre...
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Le loquet de bois (830) - 1er février 2024 © @phlallemant
Aquarelle et encre de Chine librement interprétée à partir d’une photo publiée par @gonzaga.luis que je remercie pour l’inspiration.
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Quelques extraits d'un récit que j'ai toujours adoré.
Christine a 36 ans. Elle reprend, à Ste Marie, ses études interrompues dix-huit ans plus tôt. Elle y sera soumise au même régime que ses condisciples plus jeunes.
A few extracts from a story I've always loved
Christine is 36 years old. She resumed her studies at Ste Marie, having interrupted them eighteen years earlier. She will be subject to the same regime as her younger classmates.
"Ma belle-mère ne me faisait même pas confiance, comme souvent. Étant en quelque sorte habituée des lieux, je savais que les tenues pour Ste-Marie faisaient partie du rayon enfants. Renseignements pris et confirmés par une employée du magasin, je suivis ma belle-mère jusqu’au rayon enfants. Ma belle-mère s’adressa directement à la vendeuse du rayon, une femme à qui j’aurais donné un peu plus que la quarantaine:
– Bonjour, c’est pour ma belle-fille… Il lui faut la totale pour Ste-Marie…
– Certainement Madame, lui répondit la commise. Nous avons l’habitude des grandes élèves…
Évaluant ma taille et sans même me la demander, la vendeuse prit deux jupes et les confia à ma belle-mère.
– Allez les lui faire essayer… Je vous amène les chemisiers.
J’emboîtais le pas de ma belle-mère jusqu’aux cabines d’essayage. À ce rayon, elles étaient beaucoup plus simples et moins intimes qu’au rayon mode féminine. Plutôt que des portes avec loquet, un simple rideau fermait chaque box à mi-hauteur. Heureusement en cette période de vacances, le rayon enfants était quasiment désert et les cabines l’étaient tout autant. Ma belle-mère entra avec moi dans la cabine et entreprit de me déboutonner la jupe, chose que je pouvais faire moi-même.
– Laissez-moi faire Christine, me dit-elle.
Rapidement, elle fit glisser ma jupe et me l’ôta.
– C’est une belle culotte que vous avez là, Christine ! Sobre, classique, Vraiment vous avez du goût. Mais je ne suis pas certaine qu’à Ste-Marie… Les Sœurs ne vous ont pas contrôlée ? Elles ne vous ont rien dit ?
– Si belle-maman. La Préfète de discipline a juste fait la remarque que les petites dentelles étaient de trop… mais guère plus…
Bon, nous verrons ça aussi, continua ma belle-mère. De toute façon, pour la vraie rentrée il vous faudra autre chose…
Lorsqu’elle vit mieux mes cuisses encore marquées, ma belle-mère ne put s’empêcher d’ajouter remarques et commentaires :
– Eh ben ! Ce sont de belles traces… Les Sœurs ne vous ont pas loupée…" [....]
La vendeuse tira autoritairement le rideau et laissa la cabine béante.
– Allons donc, dit-elle. Elle a encore sa culotte et son soutien-gorge…
Ma belle-mère fit comme un signe de dépit.
– Elle ne veut pas, elle préfère faire l’essai dessus…
– Madame ! continua la vendeuse, je n’ai pas de leçon ni de conseil à vous donner mais je trouve que votre belle-fille répond sur un ton désagréable et, personnellement, ça ne me plaît guère. Il y a des fessées qui se perdent, si vous voyez ce que je veux dire…
– Excusez-moi, répondit ma belle-mère. Je n’avais pas réalisé…
Ce disant ma belle-mère m’empoigna fermement, me ramena à elle, me fit pivoter d’un demi-tour et m’arracha le soutien-gorge plus qu’elle ne le dégrafa. Je me retrouvais les seins nus que je protégeai rapidement de mes deux mains. Je n’avais plus cette protection qu’auraient pu offrir mes mains pour le reste de mon corps et c’est par surprise que ma belle-mère me descendit prestement la culotte à mi-cuisses. Je n’eus que le temps de garder un bras devant mes seins et de placer mon autre main devant mon sexe qu’une première claque s’abattit. Je venais de pousser ma belle-mère à bout.
Seule ma mâchoire inférieure fut prise de tremblements et ma tête sembla hoqueter. Je pleurais silencieusement. La vendeuse esquissa un sourire complice à l’adresse de ma belle-mère, elle allait être en mesure de poursuivre l’essayage en toute sérénité. C’est même elle qui termina de me descendre la culotte et la fit passer.
– Christine ! S’il vous plaît, intima ma belle-mère en me tirant sur les bras et en me les plaçant croisés dans le dos.
– En plus elle se rase ! s’écria la vendeuse, visiblement peu emballée à la vue de mon pubis et du haut de ma vulve imberbe.[...]
"
Vous permettez, Madame ?
Et sans même attendre, elle devança la réponse, alliant le geste à la parole :
– Voilà ce que je fais aux filles qui sont insolentes et se permettent de répondre !
Elle me fessa de cinq bonnes claques sur les fesses"
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La porte de la salle de bain est grande ouverte sur le couloir. Mathieu en sort de moitié et tend l'oreille. Habillé uniquement d'une serviette lâchement placée sur ses hanches et prête à tout dévoiler, il se penche légèrement en avant sur la pointe des pieds et se tient d'une main au chambranle de la porte pour maintenir l'équilibre.
Rien.
Il est pourtant certain d'avoir entendu du bruit en bas.
"T'as déjà mangé ?" La voix de Lucie précède son arrivée dans le couloir et le surprend.
Immédiatement, Mathieu se retourne et se dirige vers la cabine de douche. Son agitation détourne son attention de sa serviette qui, avec le mouvement, tombe au sol. Il s'arrête et fait un pas en arrière pour la récupérer.
Dans l'embrasure de la porte, il aperçois Lucie qui passe d'un coté à l'autre du couloir. Juste avant d'atteindre l'autre coté, elle s'arrête net. et tourne son visage vers lui.
Mathieux se fige, comme un lièvre surpris par les phares d'une voiture dans la nuit. Elle, elle affiche un sourire gourmand, des pommettes rouges et rondes et des yeux pleins d'appétit. Autant de signaux auxquels Mathieu reste aveugle. Toute son attention dérobée par sa tenue, sa serviette. Est-elle bien placée ? Suis-je couvert ?
"Alors, t'as mangé ?" reprend Lucie. "Pas encore. Je voulais d'abord me doucher." Sa question semble l'avoir redémarré. Comme un robot, il s'exécute, et rentre dans la cabine sans demander son reste. Il ferme la porte, le loquet et puis inspire. A l'expire, sa tête est vide. Il accroche sa serviette sur le coté et a à peine le temps d'ouvrir l'arrivée d'eau que la porte de la cabine s'ouvre derrière lui.
"Je prendrais bien une douche aussi" annonce Lucie en souriant, complètement nue. "Quoi ?" semble-t-elle demander du regard, d'un air sincère. "Ah ! Le verrou est cassé depuis que j'habite ici" déclare-t-elle d'un air satisfait. Mathieu reste muet, dépassé par la situation. "Tu veux que je m'en aille ?" demande Lucie.
Mathieu l'avait déjà vu en pyjama, en maillot de bain, en robe de soirée sans jamais vraiment y prêter attention, mais nue, c'est une première. Il naviguait du regard s'en vraiment s'en rendre compte entres ses seins, ses cuisses, ses yeux, ses mains, et ne pouvait concevoir de soulagement que dans l'idée d'y poser les siennes.
"Non. Reste."
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Photo
Dancing queen ✨
[FR] Il regardait la vieille malle abîmée comme s’il s’agissait d’un coffre renfermant peut-être un trésor inestimable. Il décoinça délicatement les loquets grinçants et souleva avec force le lourd couvercle. L’odeur de la poussière et du vieux bois lui piqua le museau, et il se retint de tousser.
Son visage s’illumina en découvrant les belles étoffes soyeuses que contenait cette boîte d’un autre temps. Il était ébloui par l’éclat des couleurs plus vives les unes que les autres, par la finesse des motifs et des broderies, par la brillance de la soie qui étincelait de mille feux. Il avait bel et bien trouvé un trésor !
Une étole couleur ciel attira tout particulièrement son attention. Il la saisit et l’enroula autour de lui, comme pour s’en faire une robe, et commença à tournoyer en se prenant pour une danseuse d’un lointain pays. Il jouait à prendre des poses et à faire onduler ses poignets. Il riait et chantait avec insouciance, et l’étole qui tourbillonnait autour de lui, avait l'allure d’un nuage bleu.
[EN] He looked at the old suitcase as if it were a chest containing perhaps an invaluable treasure. He gently opened the squeaky latches and forcefully lifted the heavy lid. The smell of dust and old wood stung his snout, and he almost coughed. His face was illuminated by discovering the beautiful silky fabrics contained in this box from another time. He was dazzled by the brilliance of the bright colours, by the fineness of the patterns and embroideries, by the brilliance of the silk that sparkled with a thousand lights. He did find a treasure ! A sky-coloured stole particularly caught his attention. He grabbed it and wrapped it around him, to make a dress out of it, and began to twirl, pretending to be a dancer from a distant land. He was playing poses and waving his wrists. He laughed and sang carefreely, and the stole swirling around him looked like a blue cloud.
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L'une des chansons thématiques de la chronique One of the chronicle's theme songs
Protège-moi
C'est le malaise du moment L'épidémie qui s'étend La fête est finie, on descend Les pensées qui glacent la raison Paupières baissées, visages gris Surgissent les fantômes de notre lit On ouvre le loquet de la grille Du taudis qu'on appelle maison
Protect me from what I want Protect me from what I want Protect me from what I want
Protège-moi, protège-moi
Sommes-nous les jouets du destin Souviens-toi des moments divins Planant, éclatés, au matin Et maintenant nous sommes tout seuls Perdus les rêves de s'aimer Le temps où on avait rien fait Il nous reste toute une vie pour pleurer Et maintenant nous sommes tout seuls
Protect me from what I want Protect me from what I want Protect me from what I want
Protège-moi, protège-moi
#placebo#protege-moi#vampire la mascarade#vampire the masquerade#theme song#chanson tematique#v5#vtm#vtm 5e#Youtube
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Mon bien-aimé a passé la main dans la fente, Et mes entrailles se sont émues pour lui. Je me suis réveillée pour ouvrir pour mon bien-aimé ; mes mains ruisselant de myrrhe, mes doigts répandant la myrrhe Sur le loquet du verrou. Je me suis ouverte pour mon bien-aimé ; Et mon bien-aimé s’en était allé, il avait disparu, Mon âme sortie de moi à sa parole.
Cantique des Cantiques 5, 4-6a
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Loquet launches new Spirit Animal charm collection
Loquet London has announced the launch of its new Spirit Animal charm collection. Fourteen animal totems drawn by hand have been brought to life in 18k yellow and rose gold with Top Wesselton white diamonds. The collection features a deer, a horse, a spider, a whale, a bear, an owl, a fox, a snail, a … http://dlvr.it/TF73rk
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L'Importance des Fenêtres à Double Vitrage et Comment Les Remplacer
Les fenêtres à double vitrage sont bien plus qu'une simple amélioration esthétique pour votre maison. Voici pourquoi elles sont essentielles et comment procéder à leur remplacement :
Pourquoi Opter pour des Fenêtres à Double Vitrage ?
1. Isolation Thermique : Les doubles vitrages créent une couche d'air isolante entre les deux panes, réduisant considérablement les pertes de chaleur en hiver et l'entrée de chaleur en été, ce qui diminue les coûts d'énergie.
2. Réduction du Bruit : Cette barrière d'air aide également à diminuer le bruit extérieur, offrant un environnement plus paisible à l'intérieur.
3. Sécurité Améliorée : Les doubles vitrages sont plus difficiles à briser que les simples vitrages, offrant ainsi une meilleure protection contre les intrusions.
4. Moins de Condensation : Grâce à l'isolation, la condensation se forme moins souvent sur ces fenêtres, réduisant les risques de moisissure et de dégradation des cadres.
5. Valeur Ajoutée à la Propriété : Une maison avec des doubles vitrages est souvent perçue comme plus moderne et économe en énergie, ce qui peut augmenter sa valeur sur le marché immobilier.
Étapes pour Remplacer Vos Fenêtres
1. Évaluation et Mesure : Commencez par évaluer l'état de vos anciennes fenêtres et mesurer précisément les ouvertures pour les nouvelles fenêtres.
2. Choix des Fenêtres : Sélectionnez des doubles vitrages adaptées à votre style de maison et à vos besoins en termes d'isolation et de sécurité.
3. Préparation : Retirez les anciens cadres de fenêtre. Cela peut inclure le retrait de revêtements, de pose en place, et parfois même le coupage de la structure en bois ou en PVC.
4. Installation :
�� - Montage du Nouveau Cadre : Positionnez le nouveau cadre dans l'ouverture, en vous assurant qu'il est bien centré et à niveau.
- Fixation : Utilisez des chevilles, des vis, ou des clous pour fixer le cadre dans l'ouverture.
- Étanchéité : Appliquez du mastic ou de la bande d'étanchéité autour du cadre pour empêcher les infiltrations d'air et d'eau.
5. Finitions : Remplissez les espaces vides avec du polyuréthane expansif, puis finissez par du mortier de jointoiement ou du bois pour esthétique.
6. Test et Ajustement : Ouvrez et fermez les nouvelles fenêtres pour vous assurer qu'elles fonctionnent correctement. Ajustez les loquets et les mécanismes si nécessaire.
7. Nettoyage et Peinture : Nettoyez la zone de travail et, si nécessaire, peignez ou appliquez des finitions sur les nouveaux cadres pour qu'ils s'harmonisent avec votre intérieur/extérieur.
Conclusion
Investir dans des fenêtres à double vitrage est une décision qui paie sur le long terme, tant en confort que financièrement. Si vous n'êtes pas à l'aise pour effectuer vous-même le remplacement, envisagez de faire appel à un professionnel pour garantir un travail de qualité.
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Le loquet à la gâche cassée (812) - 12 décembre 2023© @philallemant
Aquarelle et encre de Chine librement interprétée à partir d’une photo publiée par @inak58 que je remercie pour l’inspiration.
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Une rencontre
Il était une fois une rencontre. Trois coups à la porte et elle attend. Derrière la paroi de bois, quelqu’un approche. Ce sont des pas lents, lourds sur le sol. Sa respiration s’accélère, les battements de son cœur aussi se font plus forts. Maintenant, elle sent sa présence toute proche, celui ou celle qui est derrière, de l’autre côté de la porte. Le monstre lui ont dit certains. La bête lui ont dit d’autres. Elle accroche les mains à son panier, enfonce son visage sous son capuchon, le vent frémit entre ses jupons. Un loquet qui se déboîte, une poignée qui s’abaisse et, finalement, dans un grincement, la porte s’ouvre. La petite fille plisse les yeux. L’intérieur de la maison est obscur, imperceptible de l’extérieur. Quelqu’un lui demande Qui va là ? La petite fille sursaute et recule. Elle prend une grande respiration, répond de sa petite voix : Je vous amène un petit pot de beurre et un bocal de confiture. La petite fille lui tend son panier. Un grognement. Et puis, le monstre, la bête avance d’un pas, sort de sa chaumière, se découvre peu à peu à la lumière. Sous le regard de l’enfant, le personnage se dévoile. Grand, très grand, vêtu d'une longue robe à volants, une longue tresse blonde, comme le blé, et des yeux bleus, lumineux. Une peau rosée, qui lui rappelle celle de sa maman, et une barbe bouclée, comme celle de son papa. Mais c’est bien une femme pourtant qui se trouve devant elle, qui la remercie d’être venue et l’invite à prendre le thé, avec elle, dans sa petite maison. La petite fille sourit et la suit dans son salon. Non, ce n’est pas un monstre qui avance devant elle, ce n’est pas non plus une bête. C’est bel et bien une femme. Une femme qui porte une barbe, à la beauté exceptionnelle.
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Pour se prennent ils ce lfi. Une incompétence Ils prennent les lois de votre république pour des loquets ils faut revoter et voir la gauche sans le lfi Why not 👹
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