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#Les morfalous
atomehelice · 1 month
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"This is the first time he makes sparks with his cock."
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LES MORFALOUS (1984)
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En Tunisie, pendant la Seconde Guerre mondiale, un convoi de la Légion étrangère est chargé de transporter six milliards de francs en lingots d'or, de la banque d'El Ksour à Sfax.
Les Allemands présents en ville tirent à vue sur le convoi. Seuls quatre légionnaires échappent à la fusillade. Ils découvrent l'artilleur Béral assis dans les toilettes d'un bâtiment. Borzik se fait tuer en tentant une sortie de nuit avec l'adjudant Édouard Mahuzard afin de récupérer armes et munitions. Grâce à un obusier de 105 encore en état de marche et servi par Béral, les Allemands de la 4e compagnie siégeant dans la ville sont délogés et tués, sauf le capitaine Ulrich Dieterle et le lieutenant Karl Brenner.
Le sergent Pierre Augagneur et Boissier ont dans l'idée de s'approprier l'or alors que Mahuzard tient à accomplir la mission initiale. Une bagarre éclate entre Mahuzard et Augagneur. Augagneur triomphe et fait enfermer Mahuzard. Il est attiré par Hélène, la femme du directeur de la banque, qu'il tente de séduire. Après avoir pris des provisions chez elle, ils sont surpris par l'arrivée du lieutenant allemand prénommé Karl, dont le char d'assaut tire un coup de semonce dans la maison. Il est capturé par Augagneur qui entre pour saluer Hélène.
Pendant ce temps dans la banque, Mahuzard convainc Béral de le libérer et fait prisonnier Boissier. Il capture Augagneur et Karl dès leur retour. Il dîne ensuite en compagnie du directeur de la banque et de Béral avec les victuailles d'Hélène, qui subtilise discrètement la clé de la salle des coffres où sont enfermés Augagneur, Boissier et Karl. Elle leur remet la clé avec des victuailles, et ceux-ci s'échappent. Mahuzard et Béral chargent de l'or dans un fourgon blindé et s'apprêtent à partir. Le directeur de la banque meurt en urinant sur une ligne à haute tension. Augagneur, Boissier et Karl reviennent avec le char d'assaut et les surprennent. Augagneur envoie alors Boissier s'emparer du fourgon sous la menace du canon de son char, non sans avoir dans l'intervalle fait feu sur les débris du fort où le capitaine Ulrich Dieterle survivait encore. Mahuzard mitraille Boissier, le tuant, et tente de s'échapper ; le char fait feu et détruit totalement le fourgon, tuant Mahuzard et Béral sur le coup. Hélène revient et complote alors avec Augagneur pour éliminer Karl, le légionnaire refuse. Les deux soldats chargent alors l'essentiel des lingots sur le char, n'en laissant que 300 kg à Hélène qui devient folle de rage. Le char prend la route du sud, pour rencontrer un contrebandier américain censé leur échanger l'or contre de l'argent liquide. Il marque un arrêt dans un poste de ravitaillement allemand pour refaire le plein. Karl convainc alors Augagneur de débarquer temporairement du char afin de ne pas être repéré. Une fois dans le camp, le commandant allemand veut faire un contrôle sur la présence inopinée de ce char dans cette région. Augagneur intervient pour sauver la situation. Karl repart ensuite du camp sans s'arrêter pour reprendre Augagneur, qui grimpe malgré tout sur le char à son insu. Le lendemain, Augagneur force Karl à descendre du char, et lui confisque son uniforme. Il rencontre en plein désert son contact américain, qui lui offre d'échanger sa cargaison d'or contre 68 000 dollars. Toute la 1re armée française vient au rendez-vous ; Augagneur renonce à l'or et aux dollars, contre le statut du héros qui a sauvé l'or francais d'Afrique. Il en profite pour séduire Mme Chanterelle, l'épouse du responsable de l'Union des banques d'Afrique du Nord.
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djfrancuz · 6 months
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Jean-Paul Belmondo et Marie Laforet - Bye Bye Bye #chansonfrancaise @Po...
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perduedansmatete · 1 month
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l’adjoint à la maire de notre ville a liké la story de ma sœur où je mange ma grosse calzone en croquant dedans comme une morfale sur le blockhaus avec karadoc écrit comme légende
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hotnew-pt · 5 days
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Marie Laforêt: Sua neta Thaïs herdou seu olhar intenso e seus cabelos pretos #ÚltimasNotícias #França
Hot News Por Bertrand Bielle | Jornalista Curioso por natureza, Bertrand está sempre atento ao menor furo. Apaixonado por futebol, nunca está longe do futebol e de todas as novidades que o acompanham. No entanto, o showbiz ou eventos políticos também fazem parte de sua pesquisa jornalística preferida. Marie Laforêt, que pode ser encontrada esta terça-feira à noite em “Les morfalous” no “C8”,…
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tvln · 4 years
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les morfalous / the vultures (fr, verneuil 84)
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L’élégance du second rôle...
RIP François Perrot (1924-2019)
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les-epees · 3 years
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Michel Constantin, de son vrai nom Constantin Hokhloff, est un acteur français, né le 13 juillet 1924 à Paris et mort le 28 août 2003 à Draguignan. Il joue souvent les gangsters ou les hommes de main, et il est devenu un second rôle très populaire au cinéma dans les années 1960-1970, également dans des comédies.
Son père, Naoum Khokhlov fut officier de l'Armée russe d'origine kalmouke. Au début de l'année 1919, ses parents émigrent en France, comme de nombreux autres Russes blancs.
À partir des années 1960, il devient enfin un acteur populaire, et surtout dans les années 1970, partageant même la vedette avec Jean-Paul Belmondo dans le film La Scoumoune en 1972. Pour ce film, Belmondo demandera même que le nom de Michel Constantin soit positionné en haut à côté de son nom dans l'affiche de bande-annonce. Les deux acteurs finiront amis, et Michel Constantin participera de nouveau avec Belmondo dans le film Les Morfalous, en 1984.
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SHORT STORIES 2 - Affaires choisies - Dossier n° 02 : Le point de vue d’Armin
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L’affaire des patates cuites disparues (2/3)
Cette journée était somme toute banale jusqu’à ce que surgisse l’affaire des patates cuites disparues. En guise de punition pour cette disparition, le repas des recrues avait été réduit en quantité et tout le monde était alors dépité.
« Nous avons moins à manger pour le dîner ; et tout ça à cause de Sasha ! »
Si l’on se fiait au témoignage de Conny, c’était à cause du vol de nourriture commis par Sasha qu’ils avaient tous été punis. Cependant...
Quelque chose cloche… Comment est-ce possible ?...
Armin n’était pas satisfait de l’explication fournie par Conny.
Se nourrir est une question de vie ou de mort quand on est soumis à un entraînement aussi rigoureux que le nôtre. Punir les camarades d’escouade qui aurait dû surveiller Sasha peut se comprendre, mais réduire la portion de tout le monde… ?
« Ah ! murmura Armin. Impossible… que Sasha soit responsable de ce pourquoi nous avons été punis. »
*
« Qu’est-ce que tu viens de dire, Armin ?
- Sasha a avoué elle-même qu’elle avait pris les patates.
- Oui. Je suis certain qu’elle a bien pris les deux patates qui étaient en train de cuire. Cependant… il faut que je vérifie quelque chose. »
Après le repas, Armin et quelques recrues intéressées par l’affaire se rendirent ensemble à la réserve de nourriture.
« En entendant la version de Conny, l’instructeur en aurait conclu que Sasha était coupable, pas vrai ? Ainsi, il n’avait qu’à se contenter de la punir. Mais il ne l’a pas fait. Je crois en effet... qu’il ne le pouvait pas.
- …Et tu penses trouver un piste dans l’entrepôt. »
Motivées par les suspicions d’Armin, les recrues fouillèrent tout le bâtiment.
Tandis que l’entrepôt où étaient gardées les denrées rares, telles que les morceaux de viande, était fermé à clé et surveillé en permanence, ceux où se trouvaient le blé, les pommes de terre et autres, étaient presque accessibles à n’importe qui. Les caisses contenant les provisions étaient simplement empilées les unes sur les autres. Il était facile d'aller y fouiner.
« Qu’est-ce que c’est ? Une caisse vide… ? J’imagine qu’elle n’a pas encore été balancée à cause des quelques patates qui sont au fond. » s’étonna Reiner.
Habituellement, les caisses sont pleines quand elles arrivent à la cuisine. Pourquoi n’y-a-t-il que quelques patates dans celle-ci ? Je me demande… si on peut trouver d’autres indices.
Armin examina attentivement la caisse en bois que Reiner lui désignait du doigt, puis évalua grosso modo son volume. C’est alors qu’un vérité lui sauta aux yeux :
«  … Il est évident qu’une seule caisse de pommes de terre pèse plus du double du poids de Sasha… Même si c’est une sacrée morfale, elle ne peut pas manger plus de la moitié de ce qu’elle pèse.
- Hé, attends une minute ! Dans ce cas, cela voudrait dire que les patates ont été volées… dans cet entrepôt ?! »
Armin hocha la tête sans dire un mot. Tandis que ses camarades commençaient à s’agiter, il resta curieusement calme pendant qu’il réfléchissait à la situation.
*
Plusieurs minutes s’écoulèrent. Les yeux d’Armin se posèrent sur le groupe de soldats qui passaient pour faire leur ronde.
« Je crois… que la ronde est la clé dans cette affaire. »
Il adressa un salut de loin aux soldats afin de ne pas attirer leur attention, puis sortit de l’entrepôt pour trouver d’autres indices. Ce faisant, il continuait toujours de réfléchir.
« Si les patates ont été volées avant d’arriver à la cuisine, ce sont les soldats chargés de les surveiller qu’on devrait punir. Cela donnerait une mauvaise image de nos aînés, qui ont l’habitude de se comporter comme s’ils étaient supérieurs à nous… Ce qui explique pourquoi ils ont cherché à étouffer une partie de l’affaire. »
Eren était à côté d’Armin. Il se mit en colère :
« Tu veux dire que l’instructeur nous a fait son laïus bidon et généraliste sur la responsabilité partagée au lieu de nous dire ce qui s’était vraiment passé – tout ça pour protéger ces types ?
- Est-ce que cela signifie que le véritable coupable est un voleur venant de la ville ou d’ailleurs ?
- Pourquoi s’embêter à voler de simples patates si on réussit à s’introduire dans la caserne ? Il doit y avoir des objets plus intéressants à voler.
- Donc, il y a une raison précise pour laquelle on a préféré voler ces patates... »
Armin réfléchit pendant que ses camarades échangeaient leurs idées. Il savait bien que le fait de trouver le coupable ne leur rendrait pas leur dîner, mais il n’était pas du genre à laisser un mystère non résolu.
*
Il fallait une motif particulier pour prendre le risque de se faire arrêter en ne volant que de patates. Le criminel qu’Armin se représentait ne devait pas être motivé par l’appât du gain.
… Notre marche logistique d’entraînement commence demain.
« Tu as trouvé quelque chose, Armin ? »
Armin hésita à leur faire part de ses réflexions.
La capacité à approvisionner les lignes de front… Un entraînement pour juger notre capacité à gérer la nourriture et les ressources… Si l’on voulait avoir un avantage sur les autres, on aurait besoin de nourriture pour l’exercice. En d’autres termes… le coupable est une des recrues.
Il ne voulait pas accuser un camarade devant tout le monde (même sans donner de nom précis) et prendre le risque que la situation dégénère. S’il venait bien de toucher du doigt la vérité, pensa-t-il, il lui faudrait d’abord parler et s’expliquer avec ce camarade.
« Hé, Armin ! Il y a des traces de pas, ici.
- Mais il y en a beaucoup trop. Impossible d’identifier à qui elles appartiennent. »
Des traces de pas autour de l’entrepôt. Et elles sont fichées… dans la boue ?
Alors que toutes les recrues tendaient le cou pour voir les traces éclairées à la bougie, Armin resta à part et il se mit à rire silencieusement.
« C’est donc ça !…
- Tu as trouvé l’identité du voleur ?
- Ce n’est pas quelqu’un de dangereux. Je vais aller m’en assurer par moi-même. »
Armin décampa sous les yeux médusés de ses camarades et disparut dans la nuit.
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gallifreyan-student · 7 years
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#upthebaguette irl featuring @graduatedpillowmonster
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justforbooks · 5 years
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Marie Laforêt, la « Fille aux yeux d’or », est morte
La « Fille aux yeux d’or » les a définitivement fermés. La chanteuse et actrice Marie Laforêt est morte samedi à Genolier, en Suisse, a annoncé sa famille, dimanche 3 novembre. Elle était âgée de 80 ans. Les causes de la mort de l’interprète des Vendanges de l’amour ou de Viens, viens n’ont pas été précisées. Elle a joué dans 35 films et vendu plus de 35 millions d’albums, au long d’une existence bien peu rectiligne.
Marie Laforêt, de son vrai nom Maïtena Doumenach, est née le 5 octobre 1939 à Soulac-sur-Mer, en Gironde. A l’âge de 3 ans, dira-t-elle trente-cinq ans plus tard, elle est violée par un voisin : « Impossible d’en parler pendant des décennies. » « Sans ce viol, soulignera-t-elle, je n’aurais pas fait un métier public qui allait à l’encontre de ma timidité naturelle. J’ai choisi un métier exutoire. »
Après guerre, sa famille s’expatrie dans le Nord, puis à Paris. Un temps tentée par le couvent, la jeune Maïtena suit alors de brillantes études au lycée Jean-de-La Fontaine. De plus en plus attirée par les arts dramatiques, la jeune femme s’inscrit au prestigieux concours « Naissance d’une étoile », organisé par Europe 1 en 1959. Le réalisateur Louis Malle la repère, et lui offre un rôle dans son film Liberté, qui ne verra finalement jamais le jour.
C’est dans Plein soleil, de René Clément, que Marie Laforêt fait sa première apparition au cinéma. Déjà, aux côtés d’Alain Delon, la jeune femme aux yeux jaune-vert crève l’écran. Elle n’a alors que 20 ans, mais la comédienne fait irruption dans la Nouvelle Vague. Sous le ciel italien de l’île d’Ischia, elle incarne Marge, indolente amante aux gambettes dorées, souvent vêtue d’une marinière rouge et blanche ou moulée dans un short en jean.
Après une première invitation au Festival de Cannes en 1959, la jeune femme enchaîne les rôles. Elle se marie avec le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco, qui la fait tourner dans deux de ses films : La Fille aux yeux d’or, en 1961, d’après le roman d’Honoré de Balzac, puis Le Rat d’Amérique, où elle partage l’affiche avec Charles Aznavour.
Elle joue ensuite dans Joyeuses Pâques et Flic ou voyou, de Georges Lautner, avec Jean-Paul Belmondo, Les Morfalous, d’Henri Verneuil, La Chasse à l’homme, d’Edouard Molinaro, Fucking Fernand, de Gérard Mordillat (nominée pour le César du meilleur second rôle féminin), ou encore Tangos, l’exil de Gardel, de Fernando Solanas (prix du jury 1985 à Venise). Elle a aussi été dirigée par Chabrol, Granier-Deferre, Deville, Mocky et d’autres…
Mais réduire Marie Laforêt au cinéma serait un blasphème. En 1963, la jeune femme sort son premier 45 tours : Les Vendanges de l’amour, écrit par Danyel Gérard. Le succès est immédiat, et les tubes s’enchaînent : Ivan, Boris et moi, Il a neigé sur Yesterday (chanson-hommage aux Beatles), Viens sur la montagne, Marie douceur, Marie colère, Que calor la vida…
Tout en se tenant à l’écart du showbiz, elle remplit l’Olympia en 1969, tourne dans le monde entier. « Je n’ai pas une voix, j’ai un timbre », notait-elle pourtant, minimisant son talent personnel et ajoutant, comme pour bien montrer qu’elle n’était dupe de rien, ne pas « avoir honte de faire ce que je fais : interpréter au premier degré des chansons populaires ».
Dans les années 70, Marie Laforêt expérimente, et devient pionnière dans la World Music, puisant son inspiration dans les folklores américain et européen. Petit à petit, elle renonce aux enregistrements, privilégie l’écriture – elle écrit ses propres chansons mais aussi un livre remarqué : Contes et légendes de ma vie privée. Marie Laforêt s’installe ensuite à Genève (elle obtient la double nationalité franco-suisse), où elle ouvre une galerie d’art.
En 1994, elle publie une compilation de ses chansons en quatre volumes, parcourant ses trente ans de carrière. Elle fait aussi du théâtre : en 2000, elle interprète une bouleversante Maria Callas (nominée aux Molières).
Marie Laforêt fait parler d’elle en 2002 pour d’autres raisons qu’artistiques : elle est liée par un de ses époux à la famille de Didier Schuller, l’ancien directeur de l’office HLM des Hauts-de-Seine condamné dans une affaire de financement occulte. Elle témoigne de sa peur dans l’émission de Thierry Ardisson, sur Canal+ et en tire un livre : Panier de crabes.
Mariée cinq fois, Marie Laforêt a eu trois enfants avec Judas Azuelos, homme d’affaires d’origine marocaine juive, puis avec Alain Kahn-Sriber, homme d’affaires et collectionneur d’art. Sa fille, Lisa Azuelos, réalisatrice du film LOL, avec Sophie Marceau, ne cachait pas les difficiles relations avec sa mère ; laquelle, de son côté, admettait avoir été parfois trop absente avec ses enfants.
Personnalité complexe, intello pas du tout féministe, Marie Laforêt était tout à la fois modeste, snob et gouailleuse, dotée d’un humour corrosif. « J’aime bien les gens qui ont une angoisse », disait-elle. De son physique exceptionnel, traits purs et sensuels, cheveux longs romantiques, elle affirmait qu’il ne lui avait pas toujours porté chance. « Ma carrière est de bric et de broc, mais ma vie est remplie du début à la fin », assurait-elle.
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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fallenrazziel · 5 years
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Les Aventures d’Erwin & Livaï #2
Recueil d'OS EruRi, constitué de petites scénettes qui me trottent dans la tête et que j'écris quand l'envie est trop forte^^ Ils seront donc écrits et publiés selon mes émotions du moment. Bien que je place ces OS dans un contexte canon, ils ne font pas partie des Chroniques de Livaï, mais de mon headcanon. Ils ne sont pas non plus publiés dans l'ordre chronologique. Certains épisodes peuvent se suivre mais tous peuvent être lus séparément. Ces OS peuvent être tour à tour romantiques, comiques, tristes, émouvants, coquins ou drôles (pas de sexe explicite).
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Le temps était magnifique cet après-midi et le soleil brillait au-dessus la cité. Rien ne laissait deviner que la bataille avait fait rage quelques jours plus tôt dans le Mur Rose.
Le caporal Livaï marchait dans les rues de la ville en direction de l'hôpital militaire. Même s'il ne pouvait se reprocher ce qui était arrivé à son supérieur durant ces combats - après tout, il n'avait fait qu'obéir à ses ordres -, il se sentait coupable de ne pas avoir été là. Le bras droit d'Erwin avait été arraché par un titan, et ce n'était que par miracle si le major, pourtant rendu aux portes de la mort, avait survécu. Mais pas grâce à lui, il ne l'avait pas protégé. Cela le mettait en rage.
Bien sûr, il était resté à ses côtés pendant tout le processus de soins, murmurant des mots de réconfort à l'homme blessé et fiévreux qui se contorsionnait dans la souffrance, épongeant son front brûlant et le sang souillé, mais il s'en était tellement voulu... "J'aurais dû être là...", ne pouvait-il s'empêcher de se répéter. Ce qui était fait ne pouvait être défait, et il devait se rendre à l'évidence : il n'avait pas été là quand Erwin avait eu besoin de lui, et cela lui faisait mal.
Il pénétra sous le porche de l'hôpital. Il connaissait bien les lieux et s'arrangeait toujours pour y venir plusieurs fois par semaine depuis le drame. Il devait veiller à ce que sa nouvelle escouade reste dissimulée et il en était réduit à faire l'aller-retour entre l'hôpital et leur cachette dans les montagnes. Il leva les les yeux comme à son habitude et scruta la fenêtre du deuxième étage, celle de la chambre du major encore en convalescence. Il s'était réveillé deux jours plus tôt de son coma et Livaï se sentait plus léger depuis. Il voulait qu'Erwin se repose totalement, qu'il oublie le travail que sa charge lui imposait. Pour cela, il avait pris lui-même la responsabilité de gérer l'administration du bataillon. Ainsi Erwin pouvait avoir l'esprit tranquille.
Dans le hall d'entrée, il repéra Hanji Zoe. Elle aussi devait partager son temps entre les visites à l'hôpital et les tests avec Eren. Mais elle réussissait toujours à venir plus souvent que lui. Sa collègue passait beaucoup de temps avec Erwin, mais il préférait en général le voir en privé plutôt qu'en sa compagnie. La personnalité exubérante de Hanji avait tendance à fatiguer Erwin dans l'état où il était, elle parlait fort et ce n'était pas bon pour lui. Mais il se dirigea vers elle afin de prendre des nouvelles.
- "Eh ! quat'z'yeux ! T'es déjà là ? J'espère que t'es pas allée l'ennuyer ?"
- "Mais non, je lui ai lu le journal. J'espérais le dérider un peu mais j'ai pas eu droit à un sourire."
- "Il continue de bouder ? Il faut vraiment qu'il se bouge ou il sortira plus de ce lit."
- "Il est démoralisé, c'est sûr. C'est moche ce qui lui est arrivé... Eren arrête pas de s'excuser, tellement il croit que c'est de sa faute, le pauvre..."
- "C'est pas tout à fait faux non plus."
- "Pas la peine d'en rajouter ! Erwin a agi comme il pensait devoir le faire."
- "Il n'avait pas à se mettre en danger comme ça !"
Livaï avait haussé la voix, indifférent aux infirmières qui arpentaient les couloirs et les observaient. Il orienta la discussion sur autre chose :
- "Et à part ça ? Il se remet bien ?"
- "Ses blessures sont en voie de guérison. On a évité l'infection. Mais il a tellement maigri, tu as remarqué ? Et il refuse de manger depuis hier."
- "Il a encore renvoyé la nourriture de ce midi ? Celui-là, qu'il peut être borné..."
- "Il n'a pas d'appétit mais il doit manger pour se remettre. On a déjà eu du mal à garder ses muscles en bon état durant son coma..."
- "Ok, je vais m'en charger."
- "Tu vas... Hein ?..."
Livaï se dirigea vers les cuisines de l'hôpital d'où émanaient les odeurs résiduelles du dernier service. Les cuisiniers sursautèrent en voyant arriver le caporal, en tenue civile, avec une veste trop grande sur les épaules, le visage renfrogné. Ils s'apprêtaient à rentrer chez eux - ils ne reviendraient que pour le repas du soir - et cela arrangeait bien Livaï. Ils les laissa sortir tout en remarquant leurs coups d'oeil intrigués, puis referma la porte derrière eux. Ce faisant, il écrasa presque le nez de Hanji qui l'avait suivi.
- "J'ai pas besoin de toi, la bigleuse."
- "Je veux savoir ce que tu vas faire ! Me dis pas que..."
Livaï se débarrassa de sa veste et remonta les manches de sa chemise. Il resta un moment immobile devant la batterie de cuisine, puis se dirigea vers la réserve et nota la présence de viande levurée et de divers légumes. Il ouvrit les placards et sortit différents condiments pour les étaler sur la table. Hanji y prit place avec des yeux ronds, mais elle eut la bonne idée de ne pas dire un mot de plus.
Le plus puissant soldat de l'Humanité se mit alors à cuisiner. Il alluma les feux de la cuisinière avec du gaz et s'empara de plusieurs récipients. Hanji ne voyait pas grand chose de sa place mais elle ne dérangea pas son collègue avec des questions. Elle le vit plumer un poulet, éplucher des carottes, des pommes de terre, écosser rapidement des petits poids ; c'était comme s'il avait décidé de mettre dans sa recette tout ce qui lui tombait sous la main et Hanji craignit un instant le résultat. Mais une bonne odeur embauma bientôt la cuisine, et cela lui mit l'eau à la bouche.
Livaï se saisit d'une cuillère et goûta la mixture. Il rajouta une pincée de sel, un peu de thym, et d'autres aromates. Quand il se retourna, il constata que sa collègue était attablée devant une assiette, des couverts à la main, une serviette autour du cou, visiblement affamée.
- "C'est pas pour toi", lui annonça-t-il.
- "Ouais, j'ai compris, c'est pour Erwin. Mais tu vas me faire goûter quand même !"
- "Tcch !"
Jugeant que ce n'était pas une mauvaise idée, il apporta la marmite sur la table et versa une rasade de son contenu dans l'assiette de Hanji. Cela avait la consistance d'un ragoût, avec du poulet et des légumes. La sauce était légère et les morceaux coupés très fins. Hanji y plongea sa cuillère, la porta à sa bouche et aussitôt ses yeux s'allumèrent.
- "Wouaahoou ! C'est super bon ! Je savais pas que tu cuisinais !"
- "Ca m'arrivait de le faire quand je vivais en bas, mais j'ai perdu l'habitude depuis..."
- "Si Erwin ne mange pas ça, c'est qu'il est vraiment fou !"
- "Il a intérêt à manger parce que je vais pas le lâcher."
Il remit sa veste, puis servit une pleine assiette de ragoût qu'il posa sur un plateau avec un morceau de pain, et s'apprêta à sortir de la cuisine. Hanji remarqua qu'il en restait dans la marmite. Livaï nota son regard d'envie, alors il lança en partant :
- "Vas-y, tu peux manger le reste, morfale."
Il quitta la cuisine et commença à grimper les étages jusqu'à la chambre du major. Devant la porte, il frappa pour s'annoncer et entra sans attendre de réponse, comme d'ordinaire. Il referma à clef derrière lui.
Le major Erwin était à moitié assis sur son lit blanc, le dos calé contre des oreillers, et regardait par la fenêtre. Il ne semblait pas se soucier de qui était entré, même s'il devait s'en douter car cette heure était celle de Livaï. Il posa le plateau sur une table près du chevet d'Erwin et se dirigea vers la fenêtre.
- "Tu veux que j'ouvre ?" demanda-t-il au blessé.
Erwin hocha la tête sans dire un mot et le caporal ouvrit en grand les vitres, laissant un souffle d'air frais évacuer les odeurs de médicaments de la pièce. Il se tourna vers son supérieur et constata à quel point il était pâle et amaigri. Cela le rendait encore plus sévère. Des bandages recouvraient ce qui restait de son bras droit et Livaï se surprit de la douleur qu'il ressentait à le regarder.
Il n'aurait pas moins souffert si cela avait été le sien.
Quelques taches de sang rouges étaient tombées du moignon. Sa blessure avait dû se rouvrir depuis son réveil, le moindre mouvement tirant sur les chairs recousues et traumatisées. Les draps seraient changés demain, aussi Livaï se força-t-il à ignorer cette souillure. Il s'avança près du major immobile et passa sa main sur sa joue. Erwin réagit à ce contact, puis ferma les yeux.
- "Tu n'as pas bonne mine", annonça Livaï. "Et apparemment tu refuses de manger. Tu risques pas d'aller mieux si tu fais ton gamin."
- "Je n'ai juste pas faim...", prononça Erwin d'une voix affaiblie.
Livaï se saisit du plateau et guetta la réaction du major. Ses yeux s'agrandirent un peu et le caporal fut certain de le voir humer l'odeur du ragoût.
- "Non, vraiment... C'est très gentil de ta part, mais je n'y tiens pas", annonça Erwin en se tournant de l'autre côté.
- "Allez, y a pas grand chose. Tu peux au moins essayer, non ?"
- "Je ne peux rien avaler..."
Livaï sentit la note de désespoir dans cette phrase. Sa culpabilité revint le tourmenter mais il ne pouvait pas abandonner sans se battre.
- "Si tu veux sortir d'ici, tu dois reprendre des forces", affirma-t-il. "Dans l'état où tu es, tu ne peux pas assumer tes responsabilités."
- "Je ne le pourrais peut-être plus. Mon bras est..."
- "On s'en fout, de ton bras !" explosa le caporal. "Tu es vivant et tu dois le rester ! Bouge-toi !"
Il s'en voulait d'user de mots aussi durs mais il devait le faire réagir.
- "Tu vas faire culpabiliser Jäger avec tes bêtises, il en dort plus, il paraît. Reprends-toi en mains, allez..."
Il plaça le plateau devant Erwin, attendant qu'il agisse. Le major resta les yeux baissés sur le ragoût qui refroidissait, mais ne bougea pas. Livaï ne savait plus vraiment quoi faire, aussi joua-t-il sa dernière carte.
- "Je l'ai fait pour toi. Dans la cuisine en bas. Je me disais que tu aimerais ça..."
Les traits d'Erwin se détendirent et il observa le visage navré de son subordonné penché en avant. Comme Livaï se trouvait à sa droite, il ne pouvait pas le toucher, mais le regard qu'il tendit vers lui était comme la plus douce des caresses...
- "Je ne savais pas, Livaï...", murmura-t-il, honteux. "Ca a l'air très bon... Je crois que... je vais me laisser tenter !"
Livaï lui sourit gentiment et présenta devant lui la première cuillérée de ragoût. Erwin l'avala avec plaisir, et le caporal continua de le faire manger avec lenteur et patience, s'arrêtant pour lui laisser le temps de mâcher, ou pour essuyer un coin de sa bouche. Erwin semblait vraiment apprécier son plat et cela le rendit bien plus heureux qu'il ne l'aurait imaginé. Il ne resta bientôt plus rien dans l'assiette. Le major se servit même de sa main gauche pour recueillir la sauce avec son pain. Livaï lui servit ensuite un verre d'eau du pichet qui se trouvait à son chevet et Erwin se sentit comme revigoré.
- "Tu vois, c'était pas si mal en fait."
- "Je n'ai pas fait un aussi bon repas depuis longtemps", apprécia le major.
- "Ce qui veut dire que je vais devoir te préparer tes repas tous les jours ?"
- "Je ne peux pas te demander ça. Mais qu'as-tu mis dedans ? Il y avait un goût si particulier, si délicat et subtil, je n'ai pas réussi à le reconnaître..."
- "Aucune idée, j'ai fait ça au pif."
- "Tu n'avais pas de recette ?"
- "Non. J'ai mis ce qui me paraissait important pour que tu gardes la forme."
- "Tu as ajouté un ingrédient secret."
- "Sans doute."
"Je l'ai fait en pensant à toi, c'est ça, l'ingrédient secret", se dit Livaï.
Erwin se mit à plier ses jambes et son bras, comme s'il voulait se dérouiller les membres. Livaï se leva pour lui faire de la place, mais le major ne semblait pas encore décidé à sortir du lit. Le caporal se risqua tout de même à lui demander :
- "Tu te sens d'attaque ?"
- "Pas encore. Je dois... m'habituer à mon nouvel état."
- "Tu peux compter sur moi si tu veux... des massages ou des trus comme ça."
- "Les infirmières s'en chargent."
- "Je le ferais sans doute mieux qu'une infirmière."
- "Tu as d'autres choses à faire."
- "Ca peut attendre. J'ai pas de retard dans le boulot."
Erwin le regarda avec intensité et Livaï décela de nouveau en lui la flamme de la détermination, cette flamme qui l'avait embrasé six ans plus tôt, alors que la pluie le frappait avec violence... Cette vision lui redonna espoir et il se sentit très satisfait de lui.
- "Si tu peux revenir demain...", proposa le major. "Je pense que demain, j'aimerai sortir."
- "Demain ? Ok, pas de problème. Je viendrai le matin, je t'aiderai à... faire ta toilette."
- "C'est entendu alors. Je dirai aux infirmières de ne pas passer demain matin."
Livaï se saisit du plateau et s'apprêta à sortir de la chambre ; mais quand il passa devant la main valide du major, celui-ci lui saisit le bras et il se rendit compte de la force qui lui restait dans ce membre. "Erwin est vivant", se dit-il.
Le major apprécia le contact en malaxant lentement le poignet à travers l'étoffe de la chemise du caporal. Il pouvait sentir le sang circuler dans les grandes veines de son subordonné et cette vitalité qu'il décelait dans cet être auquel il tenait plus qu'à lui-même lui rendit une force incroyable.
- "N'oublie pas de revenir demain...", énonça-t-il, à bout de souffle.
- "T'inquiète pas."
"Je serai là cette fois."
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boireuncoup · 7 years
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Quand au Festival de Cannes, Sylvester Stallone alias Rambo rencontre le Morfalou Jean-Paul Belmondo à travers cette magnifique célèbre photo dédicacée en boxeur des années 40 de la part de Bébel pour Sly uniquement pendant sa splendide Master Class, ça nous donne des frissons garanties de voir ces deux grands acteurs hors normes avec respect et dignité entre eux qui partagent les mêmes passions dont la comédie avec leurs cascades tous risques pour leurs films cultes comme « Les Faucons de la nuit » (1981), « Peur sur la ville » (1975), etc..., le sport & la Boxe anglaise.
Un seul unique regret pour ces deux grands hommes pas comme les autres, c’est qu’ils n’ont jamais tourné ensemble dans les années 70 et 80 pour des raisons professionnelles car Sly voulait faire un vrai remake de « Borsalino » dans les années 80 où il remplaçait Bébel & Kurt Russell celui d’Alain Delon mais la production Américaine à cette belle époque l’a empêché de le faire 😞 ...
Vive Sly et vive Bébel, c’est nos Rocky rien qu’à nous 🙂 ...
Rodolphe, fan de Sly & de Bébel.
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3 mai : Utopie en balade
Normalement, on devait faire balade hier. Mais bon, ça, c’est ce que K avait annoncé il y a 3 ou 4 semaines, avant les vacances. Quand j’ai vu que je montais Utopie, j’ai espéré très très fort que c’était toujours au programme.
En face de son box, il y avait Ange. Deux poneys gris de taille semblable. Deux caractères bien différents, aussi. Mais il n’y a pas à se tromper, si on est accueilli à coup d’oreilles couchées et de présentation de postérieur, c’est bien Utopie.
En vrai j’exagère. Quand j’ai ouvert la porte du box, elle m’a regardé·e sans animosité, et je lui ai mis un licol dans le calme. Par contre dès que je lui ai présenté l’étrille, ouh là là, ça ne lui a pas plu. Du coup j’ai gardé la main sur le licol ou sur la longe pour avoir un semblant de contrôle sur elle. Elle perdait tellement de poils que j’aurais pu faire une mini-Utopie avec tout ce qui tombait.
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Direction la carrière. Bon, pour partir en balade, on n’a sans doute pas besoin de faire une détente bien compliquée. Mais on sait jamais. Alors, au pas, elle se traîne, mais ça va. Et puis j’ai essayé de trotter et... beurk. Comme d’hab. Enfin, si, j’ai pu trotter un petit peu, souvent c’était parce qu’on allait rejoindre une copine devant, mais en insistant un peu, peut-être que ça l’aurait fait (peut-être). Et puis la balade s’est confirmée, du coup on a déambulé au botte à botte dans la carrière en attendant K. Utopie, très sage, même avec Sornette à côté (elles s’entendent bien, avec leur caractère de cochon respectif).
La balade s’est bien passée, on a suivi un autre circuit et c’était agréable de ne pas faire la même boucle ! On a même fait un crochet par un pré pour regarder deux tout petits poulains nés la semaine dernière. Bon, Utopie était morfale, et mais elle avançait, et on a même pu trotter sans aucun problème ! (Sauf les cailloux qui nous ont obligés à rester au pas plus longtemps)
Au retour, Utopie était un peu moins chiante au pansage, et de toute façon il fallait impérativement que je vérifie les 4 pieds (je n’avais réussi à en prendre que 2 sur 4 avant le cours). J’ai rebrossé, enlevé encore une tonne de poils, mais je ne lui ai pas imposé ma présence plus longtemps.
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alexlacquemanne · 3 years
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Décembre MMXXI
Films
Le Diable par la queue (1969) de Philippe de Broca avec Yves Montand, Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort, Maria Schell et Marthe Keller
Ave, César ! (Hail, Caesar!) (2016) de Joel et Ethan Coen avec Scarlett Johansson, Josh Brolin, George Clooney, Alden Ehrenreich, Ralph Fiennes et Tilda Swinton
Les Désaxés (The Misfits) (1961) de John Huston avec Clark Gable, Marilyn Monroe, Montgomery Clift, Eli Wallach et Thelma Ritter
West Side Story (2021) de Steven Spielberg avec Ansel Elgort, Rachel Zegler, Ariana DeBose, David Alvarez, Mike Faist et Rita Moreno
Le Regard de Charles (2019) de Marc di Domenico avec Charles Aznavour et Romain Duris
La Comtesse aux pieds nus (The Barefoot Contessa) (1954) de Joseph L. Mankiewicz avec Humphrey Bogart, Ava Gardner, Edmond O'Brien, Valentina Cortese, Marius Goring et Rossano Brazzi
Dies iræ (2003) d'Alexandre Astier avec Tony Saba, Thomas Cousseau, Lionnel Astier, Alexis Hénon, Nicolas Gabion, Franck Pitiot, Jean-Christophe Hembert, Jean-Robert Lombard et Jacques Chambon
La Seconde Vérité (1966) de Christian-Jaque avec Michèle Mercier, Robert Hossein, André Luguet, Bernard Tiphaine et Pascale de Boysson
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil (1972) de Jean Yanne avec Jean Yanne, Bernard Blier, Michel Serrault, Marina Vlady, Jacques François, Jacqueline Danno, Daniel Prévost et Ginette Garcin
Momo (2017) de Sébastien Thiéry et Vincent Lobelle avec Christian Clavier, Catherine Frot, Sébastien Thiéry et Pascale Arbillot
La Course au jouet (Jingle All the Way) (1996) de Brian Levant avec Arnold Schwarzenegger, Sinbad, Phil Hartman et Rita Wilson
Robin des Bois (Robin Hood) (1973) de Wolfgang Reitherman avec Dominique Paturel, Claude Bertrand, Philippe Dumat, Jean Martinelli, Roger Carel, Michèle André et Pierre Tornade
À la recherche de la Panthère rose (Trail of the Pink Panther) (1982) de Blake Edwards avec Peter Sellers, Herbert Lom, Joanna Lumley, David Niven et Capucine
Les Morfalous (1984) d'Henri Verneuil avec Jean-Paul Belmondo, Michel Constantin, Marie Laforêt, Michel Creton et Jacques Villeret
Soupçons (Suspicion) (1941) d'Alfred Hitchcock avec Cary Grant, Joan Fontaine, Sir Cedric Hardwicke, Nigel Bruce, Dame May Whitty et Isabel Jeans
L'Aventure du Poséidon (The Poseidon Adventure) (1972) de Ronald Neame avec Gene Hackman, Ernest Borgnine, Red Buttons, Carol Lynley, Stella Stevens et Shelley Winters
Séries
Columbo Saison 7, 3, 1, 8
Jeu de mots - Adorable mais dangereuse - Attente - Grandes manœuvres et petits soldats
Doctor Who Series 13
Le Jour du docteur - Chapter Six: The Vanquishers
Les Enquêtes de Vera Saison 11
La voie de la guérison
Le Coffre à Catch
#52 : Lashley Récupère son Titre ! - #53 : RIP Vince McMahon - #54 : Qui a fait exploser la bagnole de Vince ? - #55 : JOHN CENA EST DANS LA CE-PLA !
Top Gear Saison 19, 17, 13, 12, 16
1500 km a fond de 5ème - La Vallée de la mort - Les rois de la pub ! - La fiesta dans tous ses états - La voiture imbattable - Véhicule lunaire
Le Voyageur Saison 2
La Maison sous le vent
The Grand Tour Saison 3, 4
Chinois ou chez moi ? - The Grand Tour présente… Carnage à Trois
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Le Vallon - Mourir sur scène
Kaamelott Livre I
L'interprète - La queue du scorpion - Le discobole - Un roi à la taverne - Le Sixième Sens - Arthur et la Question - De retour de Judée - La Botte secrète - L’Assassin de Kaamelott - Le Trois de cœur - Basidiomycètes - L’Imposteur - Compagnons de chambrée - La Grotte de Padraig - Ambidextrie - Raison d’argent - La Romance de Lancelot - Merlin et les Loups - Le Cas Yvain - L’Adoubement - Arthur et les Ténèbres - Le Zoomorphe - La Coccinelle de Madenn - Patience dans la plaine - Le Oud - Le Code de chevalerie - Le Duel - L'Invasion viking - La Bataille rangée - La Romance de Perceval - Les Funérailles d'Ulfin - Le Chevalier femme - La Carte - Le Repas de famille - Le Répurgateur - Le Labyrinthe - Létal - Azénor - Le Sort de rage - Les Nouveaux Frères - Enluminures - Haunted - Le Secret de Lancelot - Le Serpent géant - Guenièvre et les Oiseaux - Le Dernier Empereur - Perceval relance de quinze - Le Coup d’épée - La Jupe de Calogrenant - Le Prodige du fakir - Un bruit dans la nuit - Feu l’âne de Guethenoc - Goustan le Cruel - Le Forage - L'expurgation de Merlin - Codes et Stratégies - Le Tourment - La Fureur du Dragon - Le Pain - Les Volontaires - La Maître d'armes - La Mort le Roy Artu - La dent de requin
Spectacles
One Night Only With Adele (2021)
Olivia Ruiz "Bouches cousues" aux Bouffes du Nord (2021)
Columbo : Meurtre sous prescription (2017) de Richard Levinson et William Link avec Pierre Azéma, Karine Belly, Augustin de Monts et Martin Lamotte
Michael Bublé: Home for Christmas (2011)
Michael Buble's Christmas in the City (2021)
Livres
Heil Harris ! de John Garforth
OSS 117 : Chasse aux atomes de Jean Bruce
Astérix et la rentrée gauloise de René Goscinny et Albert Uderzo
Béru contre San Antonio de Frédéric Dard
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