#Les Visiteurs du soir
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raullorite · 2 months ago
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En el fantástico visionario lo maravilloso acontece delante de la cámara; los espacios se distorsionan, el tiempo se espesa, los cuerpos se transforman, la gravedad desaparece. Gilles y Dominique son dos emisarios del Diablo con la misión de crear el caos en la Tierra, pero la primera acción que conocemos de Gilles es un acto de piedad. En una escena bellísima, la resurrección del oso viene mostrada con una cadena que se eleva fuera de cámara. En la sencillez de ese acto está la representación justa de un milagro.
"Los visitantes de la noche" ("Les visiteurs du soir"), película rodada en 1942, en plena Guerra, es un canto al romanticismo más clásico, al amor fou, eterno e ingobernable. Algunos vieron una alegoría contra el terror nazi, yo no me atrevo a decir tanto. Pero sí es una película contra el tiempo, contra las apariencias impuestas y contra el fatalismo.
Uno no puede dejar de pensar en lo caprichosa que es la fama, y lo fugaz que resulta en determinados cineastas. Marcel Carné fue el director más popular e importante, junto a Jean Renoir, de la Francia de los 30 y los 40. Pocos le recuerdan hoy en día, pese a ser el director de "Quay des brumes", "Le jour se leve", "Les visiteurs du soir" o "Les enfants du paradis". Como si el cine se le hubiera escapado entre los dedos.
Raúl Lorite
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kalincka · 4 months ago
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tfw the robot you hacked so that he could build a giant invincible army for your megalomaniac fascist dictatorial regime turns normal again when he hears that stinky leftist hobo talk about stars
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halebop-s-art · 11 months ago
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A la brigade...
(Inspirée par la photo "Bathroom, 1997" by Justine Kurland sous le cut)
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avatarofthew · 2 years ago
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“Hey il parle de quoi le film vdf ?”
moi :
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lounesdarbois · 2 months ago
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Paris aux approches de Noël à l'époque, il y a longtemps, combien c'était beau. Les porches, les entrées éclairées, les hautes fenêtres avec leur rideaux là-haut, la branche qui dépasse d'un sapin décoré, les moulures aperçues d'un plafond illuminé. Je regardais tout cela enfant depuis en bas, depuis la rue. Et en arrière-plan le soir était la pénombre des parcs avec leurs feuillages balancés au vent derrière les grilles en fer. Émergeant ça et là, les gens, les familles surtout, une chose rare aujourd'hui, les gens étaient en famille. Des pères à l'allure fringante, de jeunes mères avec chacune plusieurs enfants, très rangés, très élégants, très heureux. Un monde comme mon monde, chez mes grands-parents. Le monde comme un prolongement tranquille de mon monde. Le décor des logements bourgeois dans des films comme Les Visiteurs, Opération Corned-Beef, Le père Noël est une ordure, étaient tous semblables au logement principal et secondaire de mes grands-parents, ainsi la vie future serait une tranquille continuité entre la vie privée et la vie publique, et la France remise à l'endroit par ces visites chez ces Anciens aurait forcément raison bientôt de la montée des "voyous" comme on les appelait alors. J'avais une famille. Un havre de paix gratuit quelque part, un refuge avec une place à mon nom, une base. Quand j'ai compris avec le temps que c'était ma seule famille, vu mes origines, alors que tous mes amis en avaient deux, cette base est devenue alors un idéal à reconstruire pour la vie adulte future.
La fête que c'était, Paris, enfant, avant Noël. La foule variée des restaurants, des cafés, tout cela inondé de lumière qui devait ne jamais s'éteindre. Il y avait la vie quelque part, cela existait, il suffisait de le savoir pour s'en retourner rassuré dans sa banlieue éteinte affronter la montée des "voyous", épreuve temporaire qui finirait bientôt, car les méchants finissent au bagne disait Le Bouillon.  Paris, les grands magasins. Le Printemps. Les Galeries Lafayette. Le métro avec ses publicités immenses pour La Samaritaine. Le Trocadéro. Les églises. Les gares pleines de voyageurs avec des skis. Et partout où l'on allait dans la ville les sapins ceinturés de girandoles, constellés de lumières dans les entrées d'immeuble, dans les halls de palace, dans les magasins, partout, comme une symphonie unanime dans le pays où chacun joue sa partition privée spontanément, partout. Les avenues bordées d'immeubles en pierre, illuminés du dedans, peuplés de familles françaises qui attendaient Noël comme nous. Les guirlandes électriques dans les rues. Les publicités pour les spectacles, les salles de spectacle avec leurs portes en or qui donnaient 3 représentations par jour d'un Molière ou d'un Feydeau, bondées de foule française heureuse, pendant ces jours qui précédent Noël, pendant la montée progressive vers cette réjouissance, 19 Décembre, puis l'entrée dans les chiffre des vingtaines, le 20, le 21, de mieux en mieux le 22, le 23, puis le 24 et le parachevèment du 25, point final et point d'orgue de l'année. Les libraires, les bistrots, les brasseries avec leurs étalages d'écailler mirifique, les pancartes "arrivage d'escargots", les teinturiers derrière leurs comptoirs assiégés, les écoles encore encore occupées, les salons de coiffure pleins de dames, les marchands de gravure et leur air compassé, les détaillants en spiritueux. Partout la vie. Et chez nous, se retrouver à 20 convives, accomplir les préparatifs, réserver les huîtres, cuisiner des plats, allumer des lumières partout dans un appartement spacieux où chaque pièce devenait habitée, ici pour s'habiller, ici pour emballer en secret des paquets, là pour parler affaires, chacun à sa place. 1995. 1990. 1988, et avant. Larmes fréquentes rien que d'y penser. Cette lugubre, hideuse impression de fin de tout aujourd'hui, dans l'indifférence dépeuplée, cynique, impie, technologique. Tout cela beaucoup trop violent, beaucoup trop méchant quand on est seul, quand on est loin, quand le train qui vous dit "complet" part sans vous et qu'on s'essouffle à le rattraper. Parti au vent le parc Monceau, et le Ranelagh, le manège en bois, la boulangerie, le marchand de caddies à motifs écossais en bas de la rue. Cette ville grise à l'extérieur et si chaude, si lumineuse, si proprette dès que l'on entrait quelque part. Auteuil, l'arrêt "Jasmin" sur la ligne du 9, la légende, la ligne qui mène aux Champs-Elysées et au virage Boulogne, à la bourgeoisie et au combat. Et le musée de la marine, et l'aile Denon au Louvre d'où l'on revenait plein d'histoires à raconter, le théâtre de Chaillot, et Guimet, et les petits cinémas du 16ème qui donnaient Maman j'ai raté l'avion en 1990. Et les vieux appareils électriques oranges, notamment le presse-agrume, le couteau électrique qui fait des fines tranches de rôti, le hachoir à jambon, la yaourtière. Et la noble charité filiale, légère, facile, dégagée, qui nimbait tout cela dans un ordre qui avait toujours été, qui serait toujours, grâce auquel nous n'aurions jamais à nous inquiéter de rien.
Et aujourd'hui... À six heures du matin rugit le hurlement des poids-lourds qui redémarrent au feu rouge (visages effondrés des routiers moldaves à la proue de 20 tonnes de béton sur métal qu'ils ont conduit toute la nuit). Les embouteillages, les rues défoncées, les palais noircis qui s'enfoncent dans la boue du sol détrempé. Plus de jobs. Plus de prolétariat. Plus rien. Recommencer à "gagner sa vie" là-dedans seul, abandonné en rase campagne. Sueurs froides et halètement. Réminiscences de Houellebecq, Soral, de ces lectures de 2000-2010, de phrases comme "la société où vous vivez à pour but de vous détruire", ou "ils ont été emasculé par la violence du système", ou encore "vous étudiants, êtes voués à un monde de mensonge, de saloperie et de violence". Dire que cela nous semblait exagéré à l'époque... Tout est contre nous et personne ne fait rien. Et puis un pays noir. Des rues noires sous un temps noir. Population rare, verdâtre, visages froncés, bouches mal fermées, dents avides. Société excrémentielle. Pluie noire sur les dos voûtés, lavés à l'eau sale, qui rentrent par des cages d'escalier aveugles dans des bâtiments opaques aux vitres fumées d'où ne sort ni lumière ni branche de sapin, ni familles rangées. À côté de cela, les "consultants" badge au cou dans leur voiture payée par la prétendue union, prétendument européenne, et les "double paye sans enfant". Il n'y en a plus que pour les sournois suceurs. Un tel degré de saloperie, une entreprise aussi monstrueuse, devrait se payer par vingt Sinn Fenn par jour, méthodiques, fanatiques de justice en faveur des pauvres.
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throughcobwebs · 6 months ago
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marcel carné : les visiteurs du soir (1942)
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 342
Février le Ski-4
Jour 5
Réveil aux aurores. Mon chasseur été tout surpris de se réveiller dans mon lit. Il me surprend en me faisant un câlin avant de sauter sous la douche. Quand je me lève, j'aperçois Marc et Hervé qui rentrent de leur escapade à l'étage du dessous. On se fait des bisous et je leur demande si c'était bien les chaudasses que m'avaient dit les deux chasseurs qui les avaient levées. Ils confirment en coeur que c'était bien le cas. Nous nous pressons au petit déjeuner. Nous sommes tous là et cela s'entend dans le restaurant. Nous sommes devant les remontées mécaniques dès leurs ouvertures et nous nous dispersons dans la montagne. Les groupes sont restés les même alors que les niveaux ont tous progressé.
Aujourd'hui nous prenons vraiment plaisir à skier. Les descentes se succèdent assez facilement et nous apprécions même les noires. Nous terminons la journée en hors-piste avec un long passage dans les sapins pour voir si nous avons retenu les astuces pour ne pas s'enfoncer dans les fourrés recouverts de neige. Ce coup-ci nous ne perdons personne. Le retour se fait dès la fermeture des remontées mécaniques. A l'hôtel, avant de monter je vois le directeur pour notre denier soir (demain). Je veux un diner qui sorte de l'ordinaire pour notre petite troupe + 2 car je sens que d'ici là nous allons avoir adopté le duo de l'étage du dessous. Douche seul, ça faisait longtemps. J'en profite et détends mes muscles sous les jets brûlants. Vers 19h nous envahissons la piscine. Evidemment nous y retrouvons nos deux voisins du dessous qui nous attendaient avec impatience. A part quelques filles qui bronzent sous les lampes UV, l'espace aquatique est à nous. Dans la partie haute de la piscine nous organisons un combat en couple (un mec juché sur les épaules d'un autre) Escorts contre Chasseurs Alpins. Le couple gagnant est quand même militaire. C'est leur lutteur en portage du lieutenant responsable qui gagne le défi. Nous nous partageons entre le sauna et le spa. Retour à l'étage pour nous changer puis diner. Le groupe de chasseur est maintenant invisible. Fondu parmi nous, ils ne pensent plus à la caserne. Ça discute entre tous comme avec de vieux amis. Ils nous apprécient car on ne fait pas de différence entre eux et nous. Ils sont sous-officiers ou simples soldats et nous sommes tous en études supérieures. A côté de cela, ils ont des compétences que nous n'avons pas. Ça équilibre et comme mes escorts sont tout sauf snobs, ça se passe nickel. Les derniers arrivés ont aussi pioché dans nos valises de quoi s'habiller plus " neutre ". Je propose une virée à la boite de nuit de l'hôtel. Pas de réaction puis tous me disent qu'ils veulent se coucher tôt pour être en pleine forme demain. Et je vais les croire peut être ! Le retour se fait en ordre dispersé selon ceux qui étaient pressés, ceux qui voulaient un café et/ou un alcool.
Je prends juste un café. Je veux moi, aussi bien profiter de la fin de soirée. Avec PH, Ernesto et Ludovic, j'ai bien envie de profiter des deux " voisins ". J'aime me faire mon avis moi-même et voir s'ils sont aussi chaudasses que ça. Ils ne sont pas contre donc on monte dans leur chambre. Plus petite que les nôtres, elle fait quand même 4m x 5. Les deux lits jumeaux sont déjà collés, les pieds attachés entre eux par les premiers " visiteurs ". Nous sommes 4 et eux 2. Ils se trouvent propulsés sur leur lit et dévêtus en 30 secondes. Je les regarde de près. Ils sont pas mal tu tout et très baisables. A leur tour, ils nous mettent à poil et se mettent aussitôt à nous pomper en alternance. Et quand je les vois se mettre, en même temps qu'ils nous sucent, des doigts dans le cul, je comprends l'adjectif " chaudasse " qui leur a été attribués. Même pas besoin de les préparer, ils sont auto-chauffés ! Comme j'enfonce mon gland dans la gorge d l'un des deux, c'est Ernesto qui se colle à l'enculage. Il se kpote et défonce la " salope " qui me pompe. Ses doigts ont dû être efficaces car c'est un direct au fond qu'il lui octroi. Je vois sous mes yeux les 24cm de mon espagnol préféré s'enfoncer en une seule et puissante percussion jusqu'à ce que son bassin colle aux fesses de mon pompeur. Ça ne s'arrête pas là. Emporté par l'élan, Ernesto le pousse en avant et mon gland défonce encore plus loin sa gorge. Je sens ses dents s'enfoncer dans mon pubis. Jamais je n'avais défoncé une gorge aussi profonde ! Trop bon !
Quand je me retire il prend une respiration et pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer à nouveau vers lui ! Son copain à coté, avec Ludovic et PH demande qu'ils lui fassent la même chose. Excité par notre trio, ils s'y mettent, Ludovic à mettre en sourdine les gémissements que PH tire du mec en l'enculant aussi fermement qu'Ernesto. On part dans un délire grave tous les 6 ! On s'échange les différents trous et les deux mecs pendant un bon moment, les deux amis se prennent de quoi les calmer un bon moment. J'aime particulièrement la voracité avec laquelle ils accueillent nos bites dans leurs gorges affamées que dans leurs culs de velours. Même après les passages répétés d'Ernesto, ils restent serrés et confortables à la sodo. Pendant tout ce temps ils bandent dur et ne veulent pas qu'on touche à leurs sexes de peur de partir trop tôt ! Nous arrivons à les baiser plus de deux heures avant d'être rattrapé nous-même par le plaisir d'exploser sur et /ou dans eux. Quand le dernier d'entre nous expulse sa dernière goutte de sperme, ils se collent en 69 et nous les voyons chacun déglutir la production de l'autre.
Nous sommes tellement cassés qu'il nous faut 1/2 heure pour émerger de l'état de mort cérébrale qui a suivi nos éjaculations. Nous arrivons quand même à regagner notre étage non sans avoir choqué les voisins direct (les deux vieux) alors qu'ils avaient passé la tête par leur porte pour voir qui faisait autant de bruit à côté de chez eux. Il faut dire que nous n'avions pas renfilé beaucoup de vêtement pour glisser jusqu'à l'ascenseur. Et qu'une ou deux fesses devaient encore déborder des slips censément chargés de les couvrir. A notre étage, les baises sont aussi dans leurs stades terminales. En passant devant toutes les chambres, nous atteignons celle d'où proviennent encore des gémissements. Il fallait s'y attendre, on y trouve Max et Enguerrand en train de se faire démonter par deux Chasseurs. Ils ont bien choisi, ce ne sont ni les plus moches ni les plus vieux non plus. Et d'après ce que l'on peut en voir, ils ont encore les batteries bien chargées. Enguerrand me voit et me fait signe d'approcher. Il est sur le dos, les jambes relevées et écartées pour laisser la place à son enculeur d'oeuvrer. J'approche ma tête de la sienne. Il me l'attrape et me roule un gros patin. Quand il me relâche il me dit qu'il est trop content que nous les (max et lui) ayons emmenés avec nous. Des deux militaires, nous arrivent les mêmes commentaires, comme quoi s'aurait été dommage si nous les avions laissés derrière nous. Tout ça bien sûr sans cesser de limer les deux petits culs de nos benjamins !
Nous restons avec eux participants à l'apothéose finale. Entre rouler des pelles ou bouffer des tétons, nous nous répartissons les acteurs. Puis, j'ai une idée lumineuse. Pourquoi ne pas enculer les deux chasseurs Alpins histoire d'accélérer leurs montées terminales. Un clin d'oeil à Ernesto qui me comprend et, une kpote plus tard, j'encule celui d'Enguerrand alors qu'Ernesto se charge, ou plutôt charge, le chasseur de Max. Le mien s'est bien adapté à la nouvelle situation alors que celui d'Ernesto s'est montré plus... surpris, on va dire ! Bon c'est vrai que 24x6 c'est plus hard à prendre que mes 20x5.  En attendant nos interventions ont précipité les choses et nos deux chasseurs tirent leurs cartouches au fond de nos amis. Eux prennent leurs pieds entre les sodos et les stimulations de PH et Ludovic respectivement sur Enguerrand et Max. Quand nous rejoignons notre suite, la grande chambre est occupée par Marc et Hervé... accompagnés de mes deux " russes ". Nous nous installons dans un autre des chambres de la suite.
Jour 6 Sur le même rythme, tout pareil !
Jour 7, dernier soir et dernière nuit ! Réveil sur les coups de 8h par nos militaires douchés et équipés. On se presse tous pour être au petit déjeuner à 8h30. Les groupes " faibles " qui le sont bien moins sont réunis, mais les deux autres groupes restent indépendants. Nos ainés ne veulent pas se faire chier à nous suivre sur notre rythme de fou et nous nous voulons rester avec Jona et François. On se fait plaisir sur toutes les noires maintenant. La godille n'a plus de secret pour nous et nous filons comme des flèches sur les pistes. Nos coaches ont content de nos progrès et c'est tant mieux puisqu'on est l'avant dernier jour !
Un dernier passage dans la forêt qui nous avait donné tant de mal la première fois, sauf pour Max qui s'y était fait son premier Chasseur Alpin. Comme sur des roulettes ! Et c'est notre dernier soir !! J'avais insisté pour que nous rentrions tous de bonne heure et c'est le cas. 16h30 tout le monde est à l'hôtel. Douches, rasages, épilations, hydratation, nous prenons soin de nous et de notre équipe de " profs ". Ils ont beau protester, au départ, ils finissent par succomber au nombre et à se faire bichonner. Nous leurs devons bien ça après tout le mal qu'ils se sont donnés à améliorer notre pratique du ski ! A presque 3 par mec, nous nous occupons de leurs bodies de fou. C'est bien pour ça que je voulais qu'on rentre tôt. Après un douchage entre nos mains, nous leurs octroyons un rafraîchissement de leurs pilosités mais dans leurs limite, pas question de les mettre en porte à faux avec leurs autres collègues. Cela ne nous empêche pas de les masser avec de l'hydratant et ils en sortent avec de vraies peaux de bébés. Un soin particulier est mis à leur choisir les vêtements les plus mode qui peuvent leur aller. Emportés par l'ambiance ils se laissent faire même le chef du détachement. Quand ils sont prêts, ils sont parfaits, au point que je leur dis que s'ils n'avaient déjà un travail, je les aurais embauchés sans problème dans ma boite d'escorts. Ils éclatent de rire avec tous mes amis. Nous descendons diner. La traversée du hall nous vaut des regards encore plus appuyés que les dernières fois. Je crois même avoir entendu plusieurs sifflets et ne provenant pas que de femmes. Nos deux invités qui nous attendaient devant la porte du salon particulier où nous allions, ont leurs mâchoires qui tombent en nous voyant, surtout nos militaires ! On les pousse à l'intérieur et nous sommes pris en charge par les serveurs. Apéritif, les bouchées sont délicieuse et légères (il n'est pas question qu'on ait plus faim après). Le diner est parfait. Les vins sont suffisamment bons pour que personne ne songe à en abuser. On prend tous un café, nous attendant à une fin de soirée plutôt chaude.
O remonte et pour cette dernière nuit nos deux invités sont autorisés à nous accompagner. Je passe sur leurs exclamations devant le luxe de l'étage et celui de voir tous les mecs se foutre à poil en 15 secondes. Comme ils sont un peu lent, ils sont aidés et se retrouvent dans le même " plus simple " appareil que les autres. Je les laisse à d'autres qui n'ont pas encore eu le plaisir de baiser leurs deux petits culs très gourmands et part à la recherche d'un bon coup avec Ludovic. On croise Jona et François en train de se payer les deux lieutenants. Je sais qu'ils avaient tenu tant que ces derniers étaient leurs " moniteurs ". Là, ils baisaient avec eux avec la fougue propre à ceux qui se sont retenus ! C'est amusant mais mes escorts en couple tendent à baiser avec d'autres mecs mais ensemble quand même. Mes deux escorts spéciaux et leurs deux lieutenants baissent côte à côte, et s'échangent de temps en temps. Je m'arrête 3 chambres plus loin. Dedans Max et Enguerrand se font défoncer par Sosthène et João. Ludovic hésite à venir avec moi, gêné par la présence de son frère. Je le pousse devant moi et il tombe sur Max qui se fait limer par João. De mon côté, je me glisse vers Enguerrand et Sosthène. Roulage de pelle à chacun. Ils ont l'air content de me voir. Enguerrand réclame ma bite. Je ne fais pas de cas pour la lui planter dans la gorge. A côté, Ludovic m'imite dans la bouche de Max.
J'ai la bonne surprise de sentir une fraicheur sur ma rondelle. Quand je tourne la tête c'est pour voir celle de Sosthène plantée entre mes deux fesses. C'est donc bien sa langue qui me lèche l'oignon. Putain comme il fait ça bien ! Je me sens m'ouvrir et sa langue progresser dans mon trou. Je n'en raidis que plus et les amygdales d'Enguerrand en profitent un max. Je suis obligé de me calmer et pour cela me retire de la bouche chaude qui enveloppait mon sexe et glisse sur son corps dans le but de me mettre en position de lui rouler une pelle. C'est presque aussi bon que d'en faire une à Ludovic. Ok, c'est aussi bon ! J'entends un déchirement d'enveloppe de kpote et mon anus se fait envahir à son tour. C'est bien sûr les 23cm " café au lait " de Sosthène qui prennent leurs marques. Je jette un oeil à nos voisins. Ludovic a vu mon changement de position. Il m'imite et je le vois glisser sur le corps de Max pour proposer sa rondelle à João. Pour éviter que mon petit beau-frère pâtisse d'un coup de froid mal placé, je m'empresse de boucher le trou laissé vacant par ma bite. Il m'aide en relevant ses jambes et son bassin.je lui mange la langue en essayant d'amortir les coups de rein de Sosthène dans mon fondement. Sa rondelle se resserre sur ma bite plus fine. Il fait ça bien et me fait bander plus encore. Tout comme les coups de gland dans ma prostate, ça participe à m'envoyer des ondes de bien être dans tous mon corps. Après quelques minutes, placé ainsi, Enguerrand se tortille sous moi pour se tourner et se mettre en levrette, un peu écrasée sur ses pattes arrières la bestiole quand même ! Il s'écarte les fesses de ses deux mains pour que je le pénètre plus profondément encore.  J'aime trop son petit cul, étroit à souhait. Je ressens un contact total avec ses chairs intérieures comme avec la peau de tout son dos. Contre le miens je sens les pointes dures des tétons de Sosthène s'écraser sur mes omoplates. Je ne sens bien sûr pas que ça ! Ses 5,8 de diamètre m'écartent la rondelle avec une pression impérieuse. Le préservatif est si fin que j'ai comme l'impression que nos chairs sont collées. Puis ça se mélange avec le trio d'à côté. Je ne sais comment mais je me retrouve entre Max et João dans la même position, c'est-à-dire en jambon du sandwich. Quand j'en prends conscience je me demande où est parti Ludovic. Je mate à droite et c'est là que je le vois dans ma position !!! C'est-à-dire " occupé " par Sosthène et " dans " Enguerrand qui sur le dos, lui roule un patin d'enfer.  Ça me déconcentre un peu avant que mes deux amants m'envoient au 7ème ciel.
Je me dégage vite et vais retrouver mon Ludo et son frère. Ma langue rejoint les leurs et j'aime trop ça. Enguerrand se tourne un peu pour me serrer dans ses bras et me rouler une pelle tout seul. On se bat un peu de la langue avant que je me retourne et fasse de même avec Ludovic. Sans s'en apercevoir les trois autres nous ont quittés. J'ai occupé la place laissée vacante par Sosthène et c'est tous les trois en même temps que nous avons jouis comme des fous. Moi au fond de Ludovic, lui au fond d'Enguerrand et ce dernier entre leurs abdos compressés. Nous prenons une douche ensemble comme pour retarder le moment de nous séparer. Je les embrasse tous les deux les serrant fort contre moi, en premier mon amour et en second son " conard " de petit frère. Ils sont trop ces trois frères là !  Je repars à la chasse aux chasseurs lol ! Je tombe sur le mien (celui qui m'avait coaché toute la semaine) qui faisait de même. Je l'attrape par le cou, lui roule un patin et lui demande s'il est d'accord. Il ne demande pas pourquoi et me pousse dans une chambre. On tombe en réel sur Ernesto en train d'enfiler un de ses collègues (à mon chasseur). On est surpris tous les deux car c'était celui qui m'avait fait part de ses craintes quelques jours plus tôt de se faire emmancher. On s'installe à coté pour baiser nous aussi. Et c'est avec eux trois que j'ai fini la nuit. Quand je me suis réveillé j'étais encore emmêlé avec eux. A poil j'ai fait le tour de l'étage. Max et Enguerrand avaient retrouvé leurs deux " chasseurs " préférés et dormaient aux creux de leurs bras. Marc couvrait de son corps un des deux invités comme Hervé serrait l'autre dans ses propres bras. Ludo et PH dormaient encore dans les bras l'un de l'autre alors qu'Ernesto dormait entre les deux lieutenants. 
Jour 8 Pas de ski ce dernier matin !  Nous passons notre matinée entre douches, petit déjeuner et valises. Les militaires se préparent de leur côté. Ils repartent tous lestés de la tenue qu'ils portaient hier soir. Les adieux se font à l'étage. On se serre dans les bras, on échange les dernières pelles et alors qu'ils vont prendre l'ascenseur, je leur donne à chacun une enveloppe avec interdiction de l'ouvrir avant le soir et seuls ou entre eux. Dans chaque enveloppe se trouve une rétribution substantielle, en liquide, pour récompenser les efforts qu'ils avaient déployés, le temps passé avec nous et mes coordonnées pour le cas où ils aimeraient passer des vacances au bord de la mer pour les changer. Pour le cas même ou certains voudraient se revoir.
Jardinier
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alexanderwales · 3 months ago
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Being sincere here, recommend to your cousin to try watching European and Soviet cinema. The conflict is often very subdued and subtle enough that it doesn't always read as conflict to the untrained mind. In most American/Western media the conflict is very obvious and in-your-face, like warfare or people screaming at each other or simplified good-vs.-evil, so subtle character dramas are a refreshing change of pace for those who feel burnout from it. Mosfilm, the Soviet/Russian film studio, has its own YouTube channel where they've uploaded over 200 films in full for free to watch, most with English subtitles, and there's some great ones in the mix. I recommend The Theme (dir. Panfilov), Mirror and Solaris (dir. Tarkovsky), Unfinished Piece for Mechanical Piano (Chekhov drama, dir. Mikhalkov), Dreams (Shakhnazarov). All on YouTube.
Also Late Spring, Summer, and Tokyo Story by Yasujiro Ozu, all on YouTube. Very subtle, almost peaceful character dramas. Everything by Ozu really.
Also recommend Brief Encounter (dir. David Lean), Dark Eyes (Mikhalkov) and Les Visiteurs du Soir (Marcel Carne) for romantic films where the characters don't end up together. Brief Encounter on YouTube.
All of these films are absolutely phenomenal.
I'll have him check it out. I do think he enjoys relatively low-brow media, which might be a part of the problem. If your media diet is bad, you might run into problems with digestion.
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ilballodellavitarpg · 1 month ago
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𝔩𝔞 𝔳𝔦𝔱𝔞 𝔣𝔦𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔫𝔞
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Vivre à Florence, c’est s’immerger dans un quotidien où passé et présent s’entrelacent harmonieusement. Les Florentins, porteurs d’une fierté locale inébranlable, partagent un amour commun pour la beauté sous toutes ses formes, qu’il s’agisse de la splendeur d’un tableau Renaissance ou de la perfection d’un cappuccino matinal pris dans une petite trattoria baignée de lumière. 𝔏𝔢 𝔯𝔶𝔱𝔥𝔪𝔢 𝔡𝔢 𝔩𝔞 𝔳𝔦𝔢 Les journées florentines s’ouvrent lentement. Le matin, les ruelles de l’Oltrarno s’animent doucement, avec le tintement des cloches d’église et le froissement des journaux dans les cafés. Les habitants prennent leur temps, discutant longuement avec les commerçants ou flânant devant les vitrines des artisans. À l’heure du déjeuner, la ville ralentit. Les Florentins se retrouvent autour d’une table pour partager des plats traditionnels comme la ribollita ou la bistecca alla fiorentina. Ces repas, souvent ponctués de discussions animées, reflètent l’importance de la convivialité. Le soir, Florence change de visage. Les grandes places s’emplissent de groupes d’amis, de familles et d’étudiants discutant sous les lampions des terrasses
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L𝔢𝔰 𝔣𝔢̂𝔱𝔢𝔰 𝔢𝔱 𝔱𝔯𝔞𝔡𝔦𝔱𝔦𝔬𝔫𝔰 𝔣𝔩𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔫𝔢𝔰 𝔩𝔢 𝔖𝔶𝔪𝔭𝔬𝔰𝔦𝔲𝔪 𝔡’𝔬𝔲𝔳𝔢𝔯𝔱𝔲𝔯𝔢 (20 𝔞𝔬𝔲̂𝔱) Organisé chaque année en août, le Symposium d’ouverture marque la rentrée intellectuelle de Florence. Pendant une journée, philosophes, artistes et chercheurs se réunissent sur les marches du Palazzo Vecchio pour échanger leurs idées. Des débats ouverts au public alternent avec des présentations de recherches dans des lieux emblématiques tels que la Bibliothèque Laurentienne. Le soir, des projections artistiques illuminent les façades des bâtiments historiques, prolongeant cette ode à la pensée. 𝔩𝔞 𝔰𝔢𝔪𝔞𝔦𝔫𝔢 𝔡𝔢𝔰 𝔅𝔦𝔢𝔫𝔣𝔞𝔦𝔱𝔢𝔲𝔯𝔰 (5 𝔪𝔞𝔦 - 12 𝔪𝔞𝔦) Chaque printemps, les jardins de Boboli accueillent des expositions éphémères et des conférences. Des prix sont décernés aux projets les plus innovants, tandis que des banquets somptueux rassemblent les figures influentes de la ville. Les Florentins, bien que parfois critiques de l’approche élitiste de cet évènement, participent volontiers aux festivités, attirés par leur éclat et leur raffinement, ouvert à tous, depuis quelques années. 𝔏𝔞 𝔫𝔲𝔦𝔱 𝔡𝔢𝔰 𝔐𝔞𝔫𝔲𝔰𝔠𝔯𝔦𝔱𝔰 (𝔢𝔫𝔱𝔯𝔢 𝔩𝔢 20 𝔢𝔱 𝔩𝔢 25 𝔣𝔢́𝔳𝔯𝔦𝔢𝔯) Cette tradition clandestine, orchestrée par les Di Michelangelo, est un secret bien gardé. Chaque hiver, des passionnés d’histoire et de littérature se réunissent dans une chapelle reculée ou une crypte oubliée. À la lueur des bougies, des textes anciens sont lus et débattus, mêlant érudition et poésie. Cet événement incarne une résistance intellectuelle face à la modernisation parfois brutale de la ville. 𝔩𝔢 𝔖𝔠𝔬𝔭𝔭𝔦𝔬 𝔡𝔢𝔩 ℭ𝔞𝔯𝔯𝔬 (𝔭𝔞̂𝔮𝔲𝔢𝔰) Cette célébration pascale, voit un char orné de feux d’artifice tiré par des bœufs mécaniques à travers la ville. Au-delà de son aspect religieux, cet événement est une fête collective où les Florentins et les visiteurs se rassemblent pour admirer la beauté spectaculaire des explosions lumineuses devant la cathédrale Santa Maria del Fiore. 𝔏𝔞 𝔣𝔢̂𝔱𝔢 𝔡𝔢𝔰 𝔏𝔞𝔫𝔱𝔢𝔯𝔫𝔢𝔰 (1 𝔡𝔢́𝔠𝔢𝔪𝔟𝔯𝔢) Inspirée par les traditions médiévales, cette fête automnale célèbre la lumière et la créativité. Les habitants fabriquent des lanternes en papier qu’ils portent en procession jusqu’aux rives de l’Arno. Là, des discours poétiques et des concerts s’enchaînent, transformant la ville en un tableau vivant.
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𝔩𝔢𝔰 𝔢𝔰𝔭𝔞𝔠𝔢𝔰 𝔡𝔢 𝔳𝔦𝔢 𝔢𝔱 𝔡’𝔢́𝔠𝔥𝔞𝔫𝔤𝔢𝔰 À Florence, les marchés sont bien plus que des lieux de commerce : ils sont des cœurs battants de la vie locale. Le Marché de Sant’Ambrogio accueille artisans, écrivains et musiciens. Il n’est pas rare de voir un étudiant lire à haute voix un poème tandis qu’un peintre esquisse des portraits pour les passants. Les cafés littéraires, soutenus par les Dei Michelangelo, proposent des conférences informelles ou des soirées d’écriture collaborative. Les Florentins chérissent aussi les espaces naturels. Les jardins de Boboli ou le Piazzale Michelangelo deviennent des lieux de rendez-vous où les habitants discutent de tout : art, politique ou les rumeurs de la dernière exposition.
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𝔪𝔬𝔢𝔲𝔯𝔰 & 𝔡𝔦𝔳𝔢𝔯𝔰𝔦𝔱𝔢́ Historiquement, Florence a été un carrefour intellectuel et culturel où des figures venues d’horizons variés ont trouvé refuge. La ville reste imprégnée de cet esprit cosmopolite. Aujourd’hui, les quartiers populaires comme celui de San Frediano et les marchés comme Sant’Ambrogio témoignent d’une diversité culturelle florissante, où langues et cuisines du monde se mêlent à l’accent toscan traditionnel. Les minorités ethniques, religieuses et LGBTQ+ trouvent en Florence un espace d’expression relatif. Certains florentins restent attachés à une élite traditionnelle et leur tendance à privilégier des cercles fermés ralentissent ainsi l’intégration de certaines communautés.
Florence continue de s’appuyer sur ses traditions humanistes pour façonner un idéal de tolérance. L’Université Aurea di Firenze joue un rôle central dans cette mission. Elle accueille des conférences internationales sur les droits de l’homme, des ateliers sur la décolonisation des arts et des échanges académiques avec des pays du Sud global. Les Florentins eux-mêmes, bien que parfois tiraillés entre conservatisme et ouverture, restent fiers de leur héritage culturel universel. Les fêtes traditionnelles, comme La Fête des Lanternes, sont repensées pour inclure les contributions des nouvelles communautés.
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venusimleder · 1 year ago
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M Le Magazine, November 2020.
“Les Visiteurs Du Soir”
Ph. Johnny Dufort
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selidren · 6 months ago
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Automne 1922 - Louxor (Egypte)
10/10
Je ne sais si il s'agit de l'ennui ou alors de l'angoisse de savoir son fils se marier (comme vous le savez, c'est un jeune homme revenu assez instable de la guerre et nous ne sommes pas très rassurés de le savoir se mettre en ménage) mais Adelphe s'est mis à une activité un peu particulière. Un soir, il a observé un charmeur de serpent se produisant pour les visiteurs étrangers, et cela a semblé le captiver. Il s'est mis à poser mille questions à l'artiste, qui a finalement décidé de l'initier. Il m'a assuré que le serpent utilisé était impressionnant mais n'avait rien de dangereux, malgré tout, je suis toujours aussi peu rassuré quand je le vois s'exercer sous l'égide de son mentor. Qui aurait pu croire que le brillant entrepreneur Adelphe Barbois se prenne de passion pour ce genre de choses ? C'est assez amusant au demeurant.
J'espère que l'idylle de votre Marie mènera quelque part. C'est une histoire qui m'intéresse, même si j'ai le même spectacle sous les yeux quand je suis à la maison. Il me tarde quelque peu de rentrer pour pouvoir tirer les vers du nez de Sélène et Noé, comme j'aurai du le faire il y a un moment. En tous cas, n'hésitez pas à m'informer de tout développement, peu importe lequel.
Avec l'assurance de toute mon affection,
Votre amie, Albertine
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toilou-norvetaxique2023 · 1 year ago
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Nous assistons à un beau coucher de soleil au loin et nous découvrons l'intérieur de la cathédrale San Ildefonse sur la place centrale - cette cathédrale, la plus vieille du continent américain, est rarement ouverte aux visiteurs ⛪️
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La Cathédrale ce matin
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Et hier soir
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Retour à l'hôtel pour un peu de fraîcheur avant de repartir pour une soirée musicale ! 🎺
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Dernier repas à Mérida, dans notre marché préféré. Comme le serveur nous a reconnus, nous n'avons pas eu le choix du stand 😂
Empanadas pour moi, tacos pour Antoine 🌮
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Et une petite spécialité du Yucatan en dessert, la marquesitas qui est une crêpe croustillante à base de fromage 🧀
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J'écris ce post à minuit passé (8h20 en France), nous sommes donc le 29 septembre... un joyeux 25e anniversaire à Antoine et Jules 🥳🥰
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halebop-s-art · 1 year ago
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Henrisiteur & Ineffable Husbands. And kids.
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jogallice · 9 months ago
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Aujourd’hui, samedi 27/04/24, une journée sans Journée qui va ravir celles et ceux qui ne les aiment pas, qu’elles soient locales, territoriales, nationales, européennes, internationales ou mondiales 👌⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠
Mais aujourd’hui, dans toute la France – mais également en Belgique et en Suisse – a lieu la 26e édition de la Fête de la librairie indépendante durant laquelle plus de 500 librairies offrent à leurs visiteuses et visiteurs une rose ainsi qu'un recueil de poèmes de Jacques Roubaud 🌹 & 📚
Et ce soir le FC Annecy reçoit le SC Bastia à 19 heures au Parc des Sports d'Annecy ⚽️ 35e journée de Ligue 2 et comme il y en a 38 en tout, ça devient de plus en plus chaud pour le maintien l’année prochaine, le suspens est total, alors allez les Rouges et Blancs 😍
Trois dictons du jour pour le prix d’un : « À la sainte Zita, chenilles et pucerons font la fiesta. » 🐛 « À la sainte Zita, le froid ne dure pas. » 🥶 « Dans le jardin, à la sainte Zita, pas de dolce vita. » 👩‍🌾 
Et trois autres dictons du jour pour la route : « Glycine qui s’épanouit à la sainte Zita fanera vers la sainte Rita. » 🥀 « Jardinier, de tes bonnes pratiques, à la sainte Zita, ne change pas un iota. » 👨‍🌾 « Sème des petits radis à la sainte Zita, tu les croqueras pour sainte Rita. » 🌱
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🍀
Et bonne fête aux Zita 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le mercredi 24/04/24 📸
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janelher · 10 months ago
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Rock
Le soleil me fait sortir, 
sautillante, 
pétillante, 
si vivante en voletant en pleine rue, 
que je poursuis mon chemin, 
sans crainte; 
avec toi, 
je croise des visages, 
J’absorbe leurs couleurs: 
regards souriants, jaunes, 
et vers luisants; 
je goûte, 
avec toi, 
au bonheur de nouveaux jours.
La rue est vivante, 
je la vois, 
offerte à mon rêve.
Les portes ouvertes, 
ont reçu l'air frais de soleils chansons, 
et quant à mon amour, 
dormant jusqu'alors au fond des peines, 
il s’est fait, 
par ta voix, 
et par tes mains, 
visiteur de tous ces amoureux du monde 
qui, par mégarde, ou peur du rock
ont perdu de leur amour !
La table est dressée, 
pour accueillir nos hôtes, 
elle assouvit, 
par le rose de mes notes, 
leur soif d'un peu d'eau fraîche; 
je crois même qu'elle me salue, 
qu'elle me sourit: 
qu'elle me demande pourquoi 
j’ai tant marché, 
quelle direction je veux prendre. 
Moi, je réponds simplement: 
« je veux écrire des poèmes, 
pour chanter mon amour ».
Et c'est ainsi que mon chemin 
m’a conduit tout droit 
jusqu'à ton destin; 
et je veux rêver, 
le soir avec les gens, 
en partageant avec eux mon rock’n’roll, 
comme un feu d'artifice...
Soudain, 
il me semble que si tu m’appelles, 
que si tu m’aimes, 
et que je t’aime, 
nous ne cesserons plus 
d'être un premier jour d'été.
Nous serons le premier jour de l'été, 
chaque jour de l'année.
Je sens, 
auprès de toi, 
que je peux être ou faire
ce que bon me semble: 
astronaute en chef 
de l'imagination, 
courir après chaque comète, 
portée par chacune de mes balades;
ingénieure en rêves d'amour, 
car aimée de toi, 
et construire un toit, 
pour ceux qui n’ont jamais appris 
à vivre heureux, 
dissipant les ordres établis 
qui font de l'ombre 
à notre colonie d'amants, 
et qui nous brûlent 
en se brûlant; 
avocate de l'enfer, 
pour défendre, 
jusqu'au bout, 
le droit au rêve le plus instable; 
et le faire réalité.
Te voilà, 
mon âme sœur 
Te voilà, 
Ma belle étoile
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argentinechili2024 · 11 months ago
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Deuxième journée à Puerto Madryn
Levés à 8 h, nous nous sommes dépêchés pour débarquer du navire afin de marcher jusqu’à l’Écocentre, situé à 4,4 km de nous. Bonne petite brise encore ce matin, mais tout de même un peu moins venteux.
À côté du bureau du tourisme, il y avait deux danseurs de tango en plein air. Ils étaient pas mal, mais pas aussi bons que le couple de danseurs d’hier soir sur le bateau.
Nous avons marché d’un bon pas vers le musée. Sur le chemin, nous avons rencontré deux chiens errants qui s’amusaient à poursuivre les autos qui roulaient sur la route. J’ai bien cru que l’un d’eux se ferait frapper, mais les conducteurs ralentissaient et essayaient de poursuivre leur chemin sans les écraser. Je n’avais jamais vu ça! Où ces chiens ont-ils appris ce comportement?
Nous avons été accueillis au musée comme si nous étions attendus avec impatience. Je crois que nous étions les premiers visiteurs de la journée. Il y avait un étudiant en biologie et une dame qui lui servait d’interprète. Elle nous a dit être une traductrice qui travaillait au musée à temps partiel.
Nous avons appris quelques faits intéressants sur les baleines du coin. Nous avons entendu leur chant et appris également que les fonds marins de la baie où nous nous trouvons actuellement sont plus profonds que ceux de la mer.
Nous sommes revenus en partie sur la plage avant de reprendre notre chemin habituel sur la rambla. Notre promenade a duré un bon quatre heures en tout. Comme j’ai eu des problèmes intestinaux la nuit dernière et ce matin, j’ai jugé plus sage de ne rien manger sur la terre ferme et de revenir plutôt dîner sur le bateau.
Nous reprenons la mer à 17 h et nous ne toucherons de nouveau terre que samedi, à l’autre bout du monde.
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Danseurs de tango en plein air à côté du bureau du tourisme.
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En s’en allant au musée, une dame nous a proposé de nous prendre en photo. Au loin, on voit notre bateau et celui de NCL qui est arrivé ce matin.
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Sur le chemin du retour, statue de l’indien de la tribu Tehulche, peuple qui habitait la région avant la venue des Espagnols.
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Du haut de la falaise, on voit une partie de la baie.
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Ces trous de grotte constituent les vestiges des habitations d’une centaine d’immigrants de la région de Welsh en Angleterre. Ils y ont vécu quelque temps avant de s’établir plus loin dans les terres. Il y avait d’ailleurs une excursion qui nous conduisait dans leur village si on le souhaitait.
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