#Le procès
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anthonysperkins · 1 year ago
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Anthony Perkins as Josef K. The Trial (1962) dir. Orson Welles
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letterboxd-loggd · 3 months ago
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The Trial (Le Procès) (1962) Orson Welles
August 10th 2024
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dlirioss · 1 year ago
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The Trial (1962) ‘Le Procès’ Directed by Orson Welles.
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Best Anthony Perkins movies and performances:
1. Psycho - Alfred Hitchcock (1960)
2. Le Procès - Orson Welles (1962)
3. Friendly Persuasion - William Wyler (1956)
4. The Tin Star - Anthony Mann (1957)
5. Les Miserables - Glenn Jordan (1978)
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6. Murder on the Orient Express - Sidney Lumet (1974)
7. On the Beach - Stanley Kramer (1959)
8. Goodbye again - Anatole Litvak (1961)
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youmakemereai · 8 days ago
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ulrichgebert · 10 months ago
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Orson Welles macht mit Frank Kafka kurzen Prozeß. Wobei, so kurz ist es gar nicht. Ich wollte mal nochmal meine schon hier bekundete Irritation überprüfen (alle 11 Jahre sollte man das machen): Sie besteht weiterhin. Es ist ein großer, ungewöhnlicher und ungemein ambitionierter Film. Aber ungemein ambitioniert ist halt sowas von nicht kafkaesk. Orson hat notorisch so was handfest Machermäßiges an sich, daß man sich schier nicht vorstellen kann, er habe jemals surreale Alpträume. Das ist es im wesentlichen. Es loht sich trotzdem, es ab und zu anzuschauen, und sei's nur wegen Anthony Perkins. Kafka hingegen funktioniert möglicherweise am besten zum Lesen.
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theversesflow · 2 years ago
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Le Procès de Kafka (1925, posthume)
« Le récit le plus célèbre de Franz Kafka est une forme ouverte où s’entrelacent des contes étranges, sortes de variations sur le thème principal. » (Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent, préface de l’édition du Livre de poche)
Je dois dire que Le Procès n’a pas été une lecture facile, quand bien même j’aurai voulu qu’elle le soit. Il m’a fallu plus de trois mois pour en venir à bout (sachant que j’ai lu d’autres choses en parallèle). Mon avis reste très ambivalent et j’espère que l’élaboration de cet avis m’aidera à y voir plus clair.
Premièrement, je n’ai pas choisi la facilité puisque je l’ai lu dans sa langue originale, et cela aurait pu ne pas être un problème car je maîtrise plutôt bien l’allemand, mais je pense que la difficulté résidait dans la langue de Kafka et dans la nature du récit.
K. se retrouve arrêté du jour au lendemain, le jour de son trentième anniversaire, par deux mystérieux gardiens qui ne paient pas de mine. La faute censée justifier cette arrestation ne sera jamais élucidée, et le sujet est d’ailleurs bien vite mis sous le tapis. Constatant l’incompétence criante des petits-fonctionnaires apparemment chargés de son procès, K. réagit d’abord avec mépris et indifférence à cet évènement.
« Quelle sorte de gens était-ce donc là ? De quoi parlaient-ils ? à quelle administration appartenaient-ils ? K. vivait pourtant dans un état régi par le Droit, partout régnait la paix, toutes les lois étaient en vigueur, qui osait l’agresser chez lui ? Il avait toujours tendance à prendre les choses à la légère, autant que possible, à ne croire au pire que lorsque le pire arrivait, à ne prendre aucune précaution pour l’avenir, même lorsqu’il était entouré de menaces. Mais ici, cette attitude ne lui semblait pas être la bonne : certes, on pouvait considérer cette affaire comme une plaisanterie, une grossière plaisanterie que, pour des motifs inconnus, peut-être parce que c’était aujourd’hui son trentième anniversaire, ses collègues de la banque lui avaient faite, c’était possible, bien sûr : peut-être lui suffirait-il de rire d’une certaine manière au nez des gardes, et ils riraient avec lui, peut-être étaient-ce des commissionnaires du coin de la rue, ils en avaient un peu l’air – cependant, presque depuis l’instant où il avait aperçu le garde Franz, il était cette fois fermement résolu à ne pas lâcher le moindre avantage qu’il pouvait avoir sur ces gens. […] Si c’était une comédie, eh bien il y jouerait son rôle. » (p. 48-49)
Mais il finit, au fil des mois, par s’empêtrer dans les procédures censées l’aider à se frayer un chemin à travers la grande machinerie qui tire les fils de son procès – sur lesquels plane l’autorité lointaine et menaçante des fonctionnaires supérieurs, figures tout du long inaccessibles, dissimulées derrière les sinuosités hiérarchiques du système. Nombre des pages du roman consistent en des discours, en vérité plus proches de monologues, de personnages auprès desquels K. espère obtenir de l’aide. Ils exposent, en s’appuyant sur leur expérience, leurs théories sur le fonctionnement du système de justice et de son labyrinthe bureaucratique, dans des raisonnements tortueux et sans cesse contradictoires. D’où cette langue empesée, dense, sèche, qui se veut être l’expression de la logique et de la raison, mais qui dépeint une réalité tout sauf logique, un puzzle dont les pièces ne s’assemblent pas entre elles – faisant ressortir toute l’absurdité du système.
« […] la grande expérience [que l’avocat] avait acquise à travers tous ces procès allait bien sûr profiter à K. Bien sûr, il s’était aussitôt mis au travail et la première requête était déjà presque achevée. C’était très important, car la première impression produite par la défense déterminait souvent toute l’orientation de la procédure. Hélas ! il se voyait contraint de le signaler à K., il arrivait parfois que le tribunal ne lise pas les premières requêtes. On les versait simplement au dossier en indiquant que dans l’immédiat, l’audition et l’observation de l’accusé comptaient plus que tous les documents écrits. Si le justiciable insiste, on ajoute qu’avant le verdict, au moment où tous les matériaux seront réunis, toutes les pièces relatives à l’affaire seront bien sûr examinées, y compris donc cette première requête. Hélas ! cela aussi est faux dans la plupart des cas : la première requête est en général mal classée, voire bel et bien perdue ; et même lorsqu’elle est conservée jusqu’à la fin, – du moins selon la rumeur qui était parvenue aux oreilles de l’avocat –, on la lit à peine. » (p.147-148)
Chaque chapitre vient ainsi éclairer de nouveaux aspects de l’engrenage dans lequel le personnage est pris au piège, et plus on en apprend, moins les choses semblent avoir du sens. Je dois dire que ces discours sans fin ne m’ont pas passionnée, malgré l’humour noir qui en ressort. L’impression de lourdeur à la lecture du texte venait peut-être aussi d’une autre caractéristique du style de Kafka : sa tendance à la juxtaposition et aux phrases assez longues.
Le dernier chapitre m’a en revanche beaucoup plu. La fin détonne par son caractère très visuel, cinématographique, et la fatalité particulière qui plane sur le texte. J’aurais peut-être souhaité que cette composante visuelle soit plus présente dans le reste du texte – même si elle l’est, assurément ; je pense en particulier aux immeubles délabrés, aux cages d’escaliers étroites, aux couloirs privés d’air et de lumière que K. se voit obligé de parcourir – architecture étouffante et tortueuse bien à l’image du procès. Mais le dernier chapitre fait ressortir aussi, par son caractère saillant et sa chute, le « défaut » de l’œuvre : son inachèvement (évidemment involontaire), qui ne réside pas dans l’absence de point final à l’histoire, mais plutôt dans les trous laissés dans ses parties internes, dus en partie au procédé particulier d’écriture de Kafka pour ce roman… et qui laissent à la fin un goût d’inachevé.
Beaucoup d’efforts et de temps consacrés à cette lecture, pour finalement n’en ressortir qu’à moitié satisfaite… D’un côté, j’ai été sensible à la richesse que recèle cette œuvre, à sa manière d’articuler le rationnel et l’absurde, et à tout ce qu’elle offre de matière à penser et à interpréter. Mais de l’autre, je regrette que l’apparente sècheresse du texte ait représenté une barrière pour moi. Je crois qu’il s’agit du type d’œuvres littéraires qu’il faut lire deux fois – ou même soumettre à une analyse – pour pouvoir véritablement les apprécier et en saisir tous les enjeux. Je retenterais sûrement l’aventure un jour, mais ce sera probablement dans la version française, pour ne pas rester coincée au milieu d'un dédale de phrases.
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mesillusionssousecstasy · 2 months ago
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Il processo
What a beautiful Italien tv show.
The story was interesting and intriguant.
I just don't believe that Angelica could be Elena's daughter in real life.
The only bad aspect of the tv show was that Elena Guerra and Ruggero Barone didn't have an intime relationship. Because the sexual tension is definitively there. This love and hate relationship.
The occasion was duly missed.
And I really liked Ruggero Barone's arc, the evolution from the begging.
At the end, it's almost as he could be a real and important prosecutor.
Finally, I don't think we will ever get a season 2.
Some quotes:
"- La question, ce n'est pas vraiment ce qu'on dit. C'est la façon dont on le dit. Ta façon de respirer de bouger tes yeux, de bouger tes mains..." (Elena Guerra - Episode 1)
"- Là, je ne vais pas te parler en tant qu'ami. Mais tu as vraiment déconné, tu as trahi Linda... (Ruggero Barone) - C'est toi qui me fais la morale ? (Claudio Cavalleri) - Non, je suis ton avocat. Tant que tu me paies. Allez, je plaisante. Elle va te mettre sous pression. Tu ne peux pas comprendre ce que c'est avant d'y être. Tu n'as qu'une chose à faire. Il faut nier. Toujours."(Ruggero Barone - Episode 1)
"- Tu es mon avocat. Fais ton boulot et ne me casse pas les couilles !" (Claudio - Cavalleri - Episode 1)
"- Ce sont toujours les amis qui disent le plus de mal de nous." (Linda Monaco - Episode 3)
"- Vous êtes un maître de l'euphémisme. (Elena) - Et vous, de la manipulation." (Ruggero - Episode 3)
"- Et le numéro du bon avocat ? (Angelica's friend) - La secrétaire vous le donnera. C'est un psychiatre. Il est très bon." (Ruggero Barone - Episode 3)
"- On ment pour obtenir la vérité." (Ruggero Barone - Episode 5)
"- Elle voulait quoi ? (Vittorio) - Me dire qu'elle m'aimait. (Ruggero Barone) - Vous feriez un joli couple." (Vittorio - Episode 5)
"- Il ne faut pas renoncer à ce qu'on est pour plaire aux autres. Et il ne faut pas renoncer à la vérité, même s'il faut parfois enfreindre les règles pour la trouver." (Ruggero Barone - Episode 5)
"- Il y a des avocats qui connaissent bien la loi, et des avocats qui connaissent tout le reste." (Ruggero Barone - Episode 5)
"- Je ferai semblant de te croire, car tu es doué pour convaincre les gens." (Ruggero Barone - Episode 5)
"- Les magistrats vont continuer à aller et venir, les avocats vont courir parce qu'ils sont en retard à une audience." (Ruggero Barone - Episode 5)
"- Les affaires continueront de tourner." (Episode 5)
"- Que voulez-vous ? Vous voulez faire l'amour ?" (Ruggero Barone - Episode 5)
"- Appeler le patron et me pourrir ? (Ruggero Barone) - Je ne ferais jamais ça. Je me limite à l'incitation. Jamais de menace." (Gabriele Monaco - Episode 6)
"- Parfois, la douleur lie les gens plus que l'amour." (Giovanni Malaguti - Episode 6)
"- Quand est-ce que tu viens dîner avec ta copine ? (Ruggero Barone's mother) - Une copine ? Non, j'ai bien peur que ça n'arrive jamais. Disons que les femmes veulent être avec moi pour les mêmes raisons qui les font me quitter une semaine plus tard, mais ce n'est pas grave." (Ruggero Barone - Episode 6)
"- Tout était parfait : le travail, l'amour...." (Episode 6)
"- Non, si je soudoie Zaia, Guerra se fera encore humilier, Linda sera libre et tout le monde est content. Et personne ne saura jamais qui est le meurtrier. (Ruggero Barone) - Alors ? C'est si grave (Maia) - Non. Mais c'est dommage... J'ai un défaut. J'en ai beaucoup, certes, mais celui-là, c'est le pire. Je n'aime pas qu'on se foute de ma gueule. Je veux bien couler, mais je vous emmène tous avec moi. (Ruggero Barone) - Je ne pense pas que tu le feras. (Maia) - Tu n'as qu'un moyen de sauver ta peau. (Ruggero Barone) - Lequel ? (Maia) - Tu dois m'aider. Fais une bonne action, il faut qu'on en fasse une pour une fois. Témoigne contre Monaco." (Ruggero Barone - Episode 6)
"- Tu l'as fait ? Réponds par oui ou non. Tu connaissais l'endroit, tu étais déjà venu. - Tu es parano. - Peut-être." (Episode 8)
"- Pourquoi vous lui avez posé cette question ? (Elena Guerra) - Je n'aime pas qu'on se foute de moi." (Ruggero Barone - Episode 8)
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sesiondemadrugada · 8 months ago
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The Goldman Case (Cédric Kahn, 2023).
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auxpetitsoignons · 9 months ago
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LE PROCES GOLDMAN (2023) réalisé par Cédric Kahn
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dagonet · 9 months ago
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Le Procès Goldman (2023) réal. Cédric Kahn
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edwoodette · 23 hours ago
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carbone14 · 10 months ago
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Rapport de détention de Wilhelm Keitel – 22 juin 1945
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dlirioss · 1 year ago
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The Trial (1962) ‘Le Procès’ Directed by Orson Welles.
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proustianlesbian · 1 year ago
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3 movies i saw this week and why you should watch them.
(this is my 260th post but the first one i use a title for.)
i hesitated to write this in french but i choose english to be understood by more people.
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i'm starting with the first movie i have seen on monday evening with my mom : "kuolleet lehdet" by aki kaurismäki. so at first, we went there not really knowing what to expect, she had read me the summary just before we left and i almost didn't want to go. however, this movie is amazing. the cinematography and the colors are gorgeous and the characters really endearing. there are a lot of songs in finnish (both sang by characters and outside of the film) that gave this already slow and melancholic art piece several moments outside of time. what i love too is the reality of the characters, the situations : they are just two proletarian workers yet they are shown to be deserving to be the main characters. we see them working, being friendly with their colleagues, having fun with them but also facing exhaustion at the end of the day as well as being seen as negligible quantity and easily replaceable by their bosses. the relationship between the two main characters is really sweet as well as their relationships with their own friends and it shows love in a way i particularly love : there is no need to know the name of the other or to do romantic things, just being together and feeling happy with eachother is enough.
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the second film i saw on wednesday night was "anatomie d'une chute" by justine triet, it had won the palme d'or at this year's cannes festival. so my mom and i went to see it, again i didn't really know what to expect except that there was actors i love in it and that it was a trial movie also about medias and how they make people percieve things. and this prize was so deserved, every actor and actress was incredible, some scenes were so well made, especially a play with sound and image as well as what we see, what movements did the camera and what it showed us. it sometimes got so close of a documentary more than a fictional movie. i have so many thoughts about it, truly one of the best movies of the year but many people talked about it so i can't really add anything new to say. but if you can, go watch it.
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the last film i have seen this week was "le procès goldman", directed by cédric kahn. i saw it just yesterday, alone and i already knew pierre goldman's story very well, i learned about this movie in may in a french tv emission about cannes and have been really waiting to see it since. it is most certainly my favorite but for very personal reasons. the story seems very niche : it is a huis-clos, set in 1976, of the second trial of a far-left activist, son of jewish partisans from poland (and step-brother of a very popular singer, who is still the favorite personality of french people and has been so for years) who was accused of several robberies as well as the murders of two pharmacists, but if he admits the robberies, he claims his innocence for the murders. this movie is not only showing the faillures of the racist police and racist judiciary systems in france but also has very interesting conversations between the characters about being jewish and therefore racialized. but it also touches a subject that is so specific and personal, i never saw a movie talk about it : the feeling that when you come from a family that suffered and/or fought so much, you feel like no matter how much you fight, it will never be enough to live up to this history, even if you're not asked to. you feel like you never deserved to be born and live when you know what your family went through. there is a sentence he said that marked me : "i was born and died on the 22th june 1944.". to me, it is one of the best way the jewish experience in a racist society and racist country like france has ever been represented. and i really urge you, jewish or not, to go see it and especially if you are not so you can understand what it feels like a little bit more. the acting of everyone is superb, showing so well the intensity that reigns in this room, but the main actor, arieh worthalter, is phenomenal. the actors are well casted and look like their real life counterparts. the realisation is really beautiful even if there are around three or four places shown in the movie. i love how everything about the movie is simple : a basic white writing font on a black background giving us the contexte and the title, i think there is no music as well. the costumes are gorgeous too and i love how many details were put into the fabrics, patterns. i really want to meet the director to tell him how this movie made me feel so seen.
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a-room-of-my-own · 2 years ago
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Je sais pas si regarder tous les documentaires sur les crimes Nazis sur Netflix c'était ma meilleure idée en termes de choix de programme
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