#Le Roi en Jaune
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doloresdamaniez · 2 months ago
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Fr: Couverture finaliser de "La Sirène de Carcosa". Travail graphique sur Photoshop.
Eng: Finalized cover of "The Mermaid by Carcosa". Graphic work on Photoshop.
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albatrosstoss · 1 month ago
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Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
love that king in yellow
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I'm having fun with sticker designs.
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philoursmars · 6 months ago
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Pour ce début juin, un arc-en-ciel en drapeau de fleurs !
rouge : coquelicots à Fressain (Nord)
orangé : pavots de Californie à Bourg-le-Roi (Pays de Loire)
jaune : colza vers Bouillon (Wallonie - Belgique)
vert : euphorbes dans les jardins du Louvre-Lens
bleu : scilles dans la forêt de Hal, vers Bruxelles
violet : bougainvillier à Assouan (Egypte)
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chic-a-gigot · 4 months ago
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Mode-palace : album mensuel des dernières créations parisiennes. No. 7, juillet 1903, Paris. Gravure coloriée no. 3. Toilettes de promenade. Bibliothèque nationale de France
Première toilette. — Robe en toile nationale bise à pois noirs. La jupe a trois plis piqués de chaque côté du tablier et un triple pli derrière. Le corsage est orné d’un col-pèlerine boutonnant sur des pattes de guipure rousse terminées par des pampilles de soie blanche; ces pattes sont doublées de soie blanche. Le col et le petit plastron sont en guipure rousse sur soie blanche. La cravate, forme régate, est en soie bleu de roy ainsi que la ceinture; boutons d’or au devant du corsage. Manches larges, plissées derrière et serrées du bas par un poignet en guipure rousse sur soie blanche. Capeline en paille fine bise, bordée de velours noir et garnie, sur la passe et dessous, de roses pompons avec feuillage; nœud de velours noir en cache-peigne.
First ensemble. — Dress in national beige canvas with black polka dots. The skirt has three stitched pleats on each side of the apron and a triple pleat behind. The bodice is decorated with a pilgrim collar buttoning on red guipure tabs ending in white silk tassels; these legs are lined with white silk. The collar and small bib are in red guipure on white silk. The tie, regatta shape, is in royal blue silk as is the belt; gold buttons on the front of the bodice. Wide sleeves, pleated behind and tightened at the bottom by a red guipure cuff on white silk. Capeline in fine beige straw, lined with black velvet and garnished, on the pass and below, with pink pompoms and foliage; black velvet bow in comb cover.
Métrage: toile, 7 mètres.
Seconde toilette. — Robe en crêpeline rose. La jupe est montée, devant, à groupe de petits plis, et a un volant en forme surmonté de petits plis. Le corsage, blousé, est également à petits plis lingerie et a un empiècement carré en guipure fine; la manche est légèrement drapée sous un motif de guipure; elle s’évase du bas avec trois petits plis et est ornée, aux épaules, de trois velours noirs; bas de manches étroits, en guipure. Chou de velours noir à l’empiècement; ceinture de velours noir. Chapeau de paille jaune d’or, bordé de velours noir, orné d’une guirlande de merises avec feuillage nœud de velours noir de côté, sous la passe.
Second ensemble. — Pink crepeline dress. The skirt is fitted at the front with a group of small pleats, and has a shaped flounce topped with small pleats. The bodice, bloused, also has small lingerie pleats and has a square yoke in fine guipure; the sleeve is lightly draped under a guipure pattern; it flares out at the bottom with three small pleats and is decorated at the shoulders with three black velvets; Narrow guipure cuffs. Black velvet collar at the yoke; black velvet belt. Golden yellow straw hat, lined with black velvet, decorated with a garland of cherries with foliage knotted in black velvet on the side, under the pass.
Métrages: crêpeline, 6 mètres; soie doublure, 12 mètres.
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albatrosstoss · 2 days ago
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Nobody agreeing on what The Yellow Sign looks like is hilarious — I like the circles on this one!
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Illustration of Hastur from Lovecraft's Bestiary, by Enrique Alcatena
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orageusealizarine · 11 months ago
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étalant des jaunes d’œuf sur mes seins, je pense obsessionnellement et indifféremment à Simone et Van Gogh. pour l'une, je crève des œufs. je casse des yeux. jusqu'aux couilles, aux globes, aux corridas, aux sacrifices. couille, fouille, mouille... la liste demande à être creusée (à être fouillée - et le corps, excavations brutales, totales). je démembre tranquillement le réel en cherchant la jouissance immédiate que je sais à portée de mots et de mains. c'est pourquoi je suis la Reine des Bois. fertilité atroce. je choisis la dépense inutile. la perte qui m'est faite et que je fais faire à la consommation, à la procréation m'éjouit. et me terrasse - radicalement.
à Nemi, j'égorge le prêtre qui célèbre Diane. mais je ne suis pas une meurtrière, je fais l'expérience d'une mort. je fais l'expérience de l'amour, dans les bois, dans le sang, dans le miel et les jaunes d’œuf. mais la chasteté de l'astre a des odeurs de sang. le soir où... le ciel est constellé de sève et l'horreur se dissout dans la verdeur de mes yeux.
lucus, bois sacré où je me perds. à force de fièvre. à force de sensualité. je règne dans ces bois où la cruauté du soleil ne perce pas. allongée, j'attends l'assaut. et le crime qui délivre. puisque le roi est dans le bois, la seule personne que l'on peut tuer impunément. le sommeil ne ternit plus la nuit. je lance les dés, concrétions du destin que l'on tient dans la main.
pour l'autre, c'était la peinture vivante du bonheur. j'étalais du soleil sur ma peau. lui, dans l’obscurité de son esprit, ingérait la joie. chaude et crémeuse coulure jaune qui laisse à la chair sa transparence. profondeur de l'Inconnu. dans laquelle se vautrer, puisque la réjouissance est généreuse. et sans restriction. j'ai perdu toute limite.
mais je veux boire votre sang à votre bouche. au nombre de douze, les tournesols rendent ivres et sont des émanations d'enfantement. sur un plateau, nous coupons toutes leurs têtes. et les bouquets dégorgent entre mes doigts. nectar ému d'être perdu pour la germination.
je suis nue dans les blés et les parfums ocres. des gouttes d'ambre sur les joues et des anneaux d'or à tous les doigts, ils versent la lumière sur mon corps. pour quel sacrifice ? dans les bois, j'ai aimé. l'odeur crue menait au fin fond du rêve. et les œufs sont restés sur ma peau.
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hellcab · 3 months ago
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Fun Facts
Roth keeps a consistent routine of jogging in the mornings. He normally does this alone, while listening to his Sony Walkman.
On principle, Roth refuses to deal with necromancy. He finds the practice disgusting and beyond the pale of “decency”.
Roth’s occult study contains many strange and dangerous artifacts. One being the desecrated idol of some sort of strange deity. It has the body of a man, but the head of an octopus. With leathery wings pinned on his back. The face has been carved up and vandalized. The idol was connected to a bizarre case of murder/suicide in Rhode Island, back in 1966.
Inside the study, Roth keeps a poster dating back to the 1890s. The poster is in French, promoting Le Roi en Jaune, an obscure play banned by The French Government for unknown reasons. Rumors around the play describe madness, murder and mass civil unrest regarding its premier. The poster itself shows a figure dressed in tattered yellow robes, wearing a pallid mask. The poster causes a sense of unease and paranoia.
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jamie-007 · 4 months ago
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🎉🇧🇪🎉 🖤💛♥️ 🎉🇧🇪🎉
Tout remonte à la révolution belge de 1830, qui elle-même mena à l’indépendance du pays. En effet, c’est en 1831 que la Belgique opte pour le régime de la monarchie constitutionnelle suite à un congrès national. Ensuite, cette même année 1831, le premier roi de Belgique est proclamé : son nom est Léopold Ier.
Bien qu’il prête serment sur la Place Royale de Bruxelles le 21 juillet 1831, ce n’est qu’en 1890, sous le règne de son successeur (Léopold II) que ledit-jour sera proclamé jour de fête nationale. Cette dernière aurait initialement dû se fêter le 27 septembre (pour commémorer les Journées de Septembre, du 23 au 27 septembre 1830, qui marquèrent la Révolution belge).
Très tôt, la fête nationale belge affiche des illuminations des édifices publics qui prennent les couleurs du drapeau noir-jaune-rouge. Les belges avaient aussi l’habitude de se retrouver la veille, chaque 20 juillet, pour un bal aux lampions. Et un bal populaire continue d’avoir lieu chaque année sur la place du Jeu de Balles à Bruxelles ce jour-là ! Et puis, le feu d’artifice, qui ponctue annuellement les festivités, est souvent associé à une parade aérienne.
🎉🇧🇪🎉 🖤💛♥️ 🎉🇧🇪🎉
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lounesdarbois · 1 year ago
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La racaille est un nemesis. Les destructions ont visé pour le moment des marques et des structures qui ont speculé sur la persécution des Blancs depuis 20 ans : - Five Guys (Obama) - Foot Korner (pro-racailles) - Action (produits plastiques ultra-discount sur le modèle americain) - Lidl (regardez la clientèle d'un Lidl) - Chatelêt (sans commentaire) - Macdo - Centres des impôts - Concessions Yamaha (T-Max) - Zoo (symbolique du singe lâché) - Mediathèques (livres débilisants pour enfants lus par grosses dames vengeresses) - Mairies - Écoles (école obligatoire 2023 = gynécée autour d'un octogone de MMA, présence obligatoire) - caméras de surveillance
Voilà. Qui veut bouger pour défendre ces moyens de coercition? Toutefois il faut raison garder. Les récentes algarades nocturnes sont le fait de très parcimonieux dilettantes racailles. Il n'y a là rien qui annonce "la vraie grande pluie qui balaie les trottoirs" (Taxi Driver). Tous ces paresseux se sont excités sur ce qu'ils avaient à portée de main mais ils ne sont pas "allé chercher" hors de leur zone de confort (ce sont des bourgeois) les vrais leviers de vrai pouvoir, et ils n'en n'ont même pas seulement eu l'idée (ce sont des primitifs): - Skyrock - CAF - Sièges de banques agressives style Goldman Sachs, Rotschild - Sièges de partis politiques - Journaux, presse, TV, médias (un seul journaliste de Libé dépouillé de son appareil photo, c'est ça une "jeunesse révoltée en lutte"?) - Les fourrières - Les Influenceurs - Les fauteurs de guerre - Les gens qui ont touché au business de la pornographie. - ambassades étrangères - dépôts de carburant
C'est dire comme ces remueurs de merde estampillés lutteurs pour la justice sont loin du compte. Zéro conscience politique, cent pour cent cerveau reptilien.
Quand à la police lâchée par sa hiérarchie elle a pris grand soin de ne pas abîmer la racaille alors qu'elle mutilait exprès les Gilets Jaunes en visant la tête ("a voté") pendant 2 ans.
Les Gilets Jaunes d'ailleurs, doivent ne surtout pas sortir du bois. Dès lors qu'il y aurait 2 fronts le pouvoir se débrouillerait pour les envoyer l'un sur l'autre. C'est là une des grandes prédictions de Roger Holeindre, Dieu ait son âme: "si on descendait dans la rue le pouvoir armerait les banlieues dans le quart d'heure pour sauver la république", et on peut croire sur parole cet homme dont chaque mot fût payé par des actes dans sa vie, et quels actes!
Il ne faut pas s'affoler pour 3 supermarchés pillés, 2 caméras sciées et quelques infrastructures de parc à bestiaux momentanément endommagées. "Y a tchi" comme on disait à Grenoble. Est-ce cela le chaos? Mais alors l'ordre public est cent fois pire avec sa mort lente unanimement admise, le "bah c'est la vie hein c'est comme ça" de tous les mouligasses qui y sont rois, qui vous imposent leur sale rythme et vous rendent faibles.
L'ordre public, "l'apaisement", pour quoi faire ? Pour que des trans éduquent des racailles dans les écoles ? Pour que des dindes masquées DRH virent des pères de famille de 55 ans? Pour que des prédatrices fanatisées dépouillent par divorces des acharnés réglos bosseurs pacifiques? Tous ceux, police et braves gens qui essaient d'empêcher le nemesis de faire son œuvre, se battront à leurs risques et périls pour la parité, pour le "mois des fiertés", pour les foules sorties du néolithique il y a 2 semaines et qui frappent à la porte, pour le masque et l'asepsie, ils se battront pour ce qui les tue et cela au profit de la syna, des loges, des bourges, et de toute la nomenclature hispano-romagnole "européenne" des Nunez/Hidalgo/Valls/Castaner.
Les masques tombent, y compris ceux des états "alliés" algériens, américains. Lisez leurs récentes circulaires officielles concernant nos malheurs. La manière dont ces fissdep entassés devant le KFC en flammes suent d'impatience de grapiller quelques chicken wings dans la curée promise est le plus merveilleux tombé de masque en plein jour depuis Yalta. Ils n'ont pas compris que l'histoire de France a toujours précédé l'histoire de leurs nations: 1776, 1830, etc. Et l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne... s'il arrive malheur à la France ce qu'à Dieu ne plaise toutes ces nations qui la jugent se mangeront l'onde de choc comme sous Bonaparte. La France, faute d'être aidée et aimée, est la nation "seule contre tous" mais tous ceux de l'intérieur et de l'extérieur qui ricanent de la voir sans défense se trouvent un jour fort dépourvus lorsque confrontés à de surprenants nemesis.
"Je vais dormir tranquille maintenant car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"
youtube
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mauvais--sang · 6 months ago
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« Elle admirait les sept cruches de la cheminée, enduites de fumée, pleines de mystère, semblables à un arc-en-ciel creux et ondulé. Morgiane eût fait sortir de la cruche sanglante un brigand frotté d'huile, avec un sabre couvert par des fleurs de Damas. Dans la cruche orangée, on pouvait, comme Aladdin, trouver des fruits de rubis, des prunes d'améthyste, des cerises de grenat, des coings de topaze, des grappes d'opale, et des baies de diamant. La cruche jaune était remplie de poudre d'or que Camaralzaman avait cachée sous des olives. On voyait un peu une des olives sous le couvercle, et le bord du vase était luisant. La cruche verte devait être fermée par un grand sceau de cuivre, marqué par le roi Salomon. L'âge y avait peint une couche de vert-de-gris ; car cette cruche habitait autrefois l'Océan, et depuis plusieurs milliers d'années elle contenait un génie, qui était prince. Une très jeune fille sage saurait briser l'enchantement à la pleine lune, avec la permission du roi Salomon, qui a donné la voix aux mandragores. Dans la cruche bleu clair, Giauharé avait enclos toutes ses robes marines, tissées d'algues, gemmées d'aigues et tachées de la pourpre des coquillages. Tout le ciel du Paradis terrestre, et les fruits riches de l'arbre, et les écailles enflammées du serpent, et le glaive ardent de l'ange étaient enfermés par la cruche bleu sombre, pareille à l'énorme cupule azurée d'une fleur australe. Et la mystérieuse Lilith avait versé tout le ciel du Paradis céleste dans la dernière cruche : car elle se dressait, violette et rigide comme le camail de l'évêque. »
— Marcel Schwob, Le livre de Monelle, 1894
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doloresdamaniez · 1 month ago
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Fr : Nouveau design de Olympe, et honnêtement je l'aime beaucoup plus ainsi, je trouve que lui avoir retiré cette manche en ballon et lui avoir raccourci les cheveux lui donne un petit côté plus libre.
Eng: It's a new design from Olympe, and honestly, I like it a lot more like this. Removing that balloon sleeve and shortening her hair gives it a little freer side.
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arypurple · 1 year ago
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Karlheinz
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Nom: ???
Prénom: Karlheinz.
Parents: ???
Âge: Plus de 2 000 ans.
Race: Vampire.
Taille: ??? (variable)
Date de naissance: ???
Signe astrologique: ???
Nourriture favorite: ???
Hobbie(s): Science.
Physique: Karlheinz a de très longs cheveux blancs ainsi que des yeux jaunes. Avec sa chevelure blanche, il ressemble un peu à Subaru et Christa confond parfois son fils avec Karlheinz lorsqu'elle est dans son état délirant. Cependant Karlheinz peut changer de forme et personne ne sait vraiment à quoi il ressemble. Selon Kanato, toute forme est possible et il peut même prendre l'apparence d'une femme. Certains suggèrent que Karlheinz a dû utiliser une forme différente pour faire des enfants avec ses femmes, ce qui expliquerait pourquoi ses fils sont de toutes les couleurs.
Caractère: Karlheinz est extrêmement intelligent et aussi très manipulateur. Malgré ses nombreux pouvoirs, il se salit rarement les mains tout seul, préférant manipuler les autres pour qu'ils fassent le boulot à sa place. Ce dernier est incapable de sentiments affectueux et ne comprend pas du tout l'amour, le poussant à penser que les autres du genre démon ne peuvent pas non plus ressentir le véritable amour. Son manque de sentiments le pousse également à utiliser sa propre famille pour ses plans, n'ayant aucun remord à les blesser. Karlheinz semble aussi charmant et excellent pour manipuler les femmes, leur promettant tout jusqu'à ce qu'il les obtienne. Il est très strict et cruel envers ses propres fils, et même en les négligeant complètement lors de leur enfance, il peut leur ordonner des punitions pour avoir fait quelque chose qui lui déplaît comme l'emprisonnement de Laito pour avoir eu une liaison avec Cordelia, l'envoie de Shuu au Pôle Nord pour avoir répété une année du lycée ou lancer Subaru au milieu de l'océan pour avoir brisé une statue.
Histoire: On ne sait malheureusement pas grand chose du passé de Karlheinz. Ce dernier est le roi de tous les vampires ainsi que le souverain du Makai. Il y a très longtemps, Karlheinz était ami avec Giesbach, le roi des Premiers Sangs, même si ce dernier a toujours vu Karlheinz comme quelqu'un en-dessous de lui en raison que les vampires étaient l'une des sous-races développées par les Fondateurs. Mais Giesbach a commencé à craindre le pouvoir de Karlheinz qui démontrait un énorme potentiel. De plus, une femme avait attiré l'attention des deux hommes, déclenchant une rivalité intense l'un envers l'autre. Cependant, le roi vampire avait beaucoup plus d'alliés comme Burai, le roi Vibora. Sans oublier le fait que Giesbach craignait aussi le pouvoir de son fils, Carla, et espérait que lui et Karlheinz s'entretuent durant la guerre. Malheureusement, la race des Ancêtres a été frappée par la maladie d'Endzeit. Il était trop tard pour sauver ceux-ci et Karlheinz et Burai ont usé de leurs pouvoirs pour sceller tous les Fondateurs à l'intérieur du Pandémonium. Il a envoyé Menae, la sœur de Krone, à Burai, pour qu'ils puissent donner naissance à Cordelia. Après quoi, dans le cadre de son projet "Adam & Eve", il a attendu qu'elle grandisse avant de la courtiser et de l'épouser. Selon Cordelia, Karlheinz souhaiterait mourir, mais personne n'est assez fort pour le tuer. Il veut que l'un de ses fils obtienne le pouvoir de la mariée sacrificielle pour le faire. Parce que sa première femme ne voulait pas d'enfants, Karl a pris Beatrix pour seconde épouse afin d'inciter Cordelia à le faire et aussi pour explorer d'autres expériences avec sa propre espèce. Cependant, Karl ne parvenait pas à devenir l'Adam et blâmait indirectement Cordelia car elle n'a pas réussi à être Eve (ce qui nécessitait le caractère d'une mortelle(. Voulant poursuivre ses expériences, il a fait un enfant avec sa propre cousine, Chista. Ce dernier a tout fait pour rendre la vie misérable à ses femmes afin qu'elles brisent leurs fils. Tout cela pour qu'ils ne développent pas des sentiments affectueux et qu'ils apprennent des "sentiments humains" à travers Eve. Après la naissance de tous ses fils, il a commencé à comploter la mort de Cordelia afin d'utiliser son cœur. Il est révélé qu'il travaillait en conjoncture avec Richter pour obtenir son cœur. C'était également lui qui a transformé les Mukami en vampires.
Bonus:
Reiji est le seul parmi ses fils à ne pas le haïr, mais à le respecter.
Si Karl n'aime pas un résultat, il peut rembobiner le temps jusqu'à ce qu'il obtienne les bons résultats.
Il possède toutes les capacités propres à un vampire, mais à un plus haut niveau.
Karlheinz a créé les "fleurs éternelles".
La seule façon de le tuer est de lui couper la tête ou de lui transpercer le cœur.
La magie déchaînée de Karlheinz peut détruire le monde démon, mettant le feu et tuant la plupart des habitants.
Carla sous-entend que Karl aurait pu ramener Cordelia à la vie, laissant supposer qu'il peut ramener les morts à la vie, mais il ne l'a pas fait.
Richter et Karlheinz se sont battus pour obtenir la main de Cordelia.
Il a enseigné les fausses significations de l'amour à Cordelia, lui disant qu'il était bien d'avoir beaucoup d'amants et d'avoir une relation incestueuse.
Dans More Blood, il prend une autre apparence sous le nom de Reinhart et travaille en tant qu'infirmier scolaire pour avoir un œil sur ses fils.
Chanson thème: 🎵
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laurartcreations · 10 months ago
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La combinaison du bleu et du blanc en décoration
Chaque combinaison de couleurs permet de créer une atmosphère unique dans une pièce.
En combinant des nuances de bleus au blanc, cela apporte une touche de fraîcheur dans une pièce tout en permettant d'agrandir visuellement l'espace. Selon la philosophie Feng Shui, le bleu est une couleur yin qui symbolise la sérénité et la relaxation. Le blanc quant à lui, en tant que couleur yang, incarne la pureté et l'harmonie. En alliant ces deux tons, cela permet une complémentarité qui aère l'espace tout en procurant un sentiment de tranquillité et d'apaisement.
Notons qu'en associant le bleu au blanc, nous pouvons élaborer diverses ambiances et différents styles selon les éléments incorporés à la décoration. En effet, la combinaison de ces deux couleurs peut convenir pour créer des pièces au style moderne, naturel, à l'esprit bord de mer ou à la décoration minimaliste.
Style naturel :
Si vous souhaitez créer une ambiance naturelle en associant le bleu au blanc, optez pour un bleu naturel (ex. : bleu canard, bleu minéral, bleu paon, bleu ciel, ...). Vous pouvez peindre un pan de mur de façon unie ou combiner deux tons de bleu avec du blanc (libre à vous de choisir la forme, qu'elle soit circulaire, abstraite, droite, ...). Accompagnez ce revêtement mural avec des meubles aux tons beiges et en matière naturelle (bois, osier, ...). De plus, vous pouvez parfaire cette ambiance en ajoutant des plantes ainsi que des éléments de décoration en osier, en rotin ou en jonc par exemple, tels que des paniers, un tapis, des décorations murales, ...
Style bord de mer :
Pour créer un esprit bord de mer dans une pièce, la combinaison du bleu et du blanc est parfaite. Optez pour un bleu marine ou un bleu Santorin qui, associé au blanc, rafraîchira la pièce. En ce qui concerne le mobilier, le bois est inévitable pour renforcer l'esprit bord de mer que vous souhaitez donner à votre pièce. Si vous voulez être à 100% dans le thème, le bois flotté est parfait. Sinon, le bois vieillit ou le bois brut peuvent également convenir à cette atmosphère. En ce qui concerne la décoration, laissez libre cours à votre imagination. Pour rester à fond dans le thème, vous pouvez optez pour des éléments de décoration en corde, des coquillages, des bibelots rappelant l'océan (ancres, poissons, bouteille à la mer, bouée de sauvetage, bateaux, ...).
Style moderne :
Pour décorer une pièce moderne, vous pouvez peindre un pan de mur en bleu nuit ou en bleu roi et laisser les autres murs en blanc. Optez pour des meubles assortis combinant ces deux tons, et ajoutez des éléments de décoration graphiques, sobres et homogènes selon vos goûts et le cachet que vous désirez apporter à votre pièce. Si vous souhaitez atténuer le contraste entre le bleu et le blanc, le gris clair est une bonne alternative. Notez que le jaune s'accorde parfaitement avec les nuances de bleus sombres en donnant un coup de peps à la pièce.
Style minimaliste :
Basé sur la continuité des lignes et l'homogénéité des couleurs, le blanc et le beige sont les couleurs phares de la tendance minimaliste, mais ce style peut parfaitement être mis en lumière en combinant du bleu au blanc. Pour se faire, optez pour une nuance de bleu sobre (ex. : bleu nuit, bleu guède, bleu gris, ...), évitez les tons bleus plus "criards". Restez dans une concordance des tons pour homogénéiser la pièce. Si vous souhaitez que le blanc soit la couleur dominante, vous pouvez optez pour quelques éléments de décoration bleus épurés (ex. : lampe graphique, tableaux minimalistes, vase en céramique, ...). Le plus de l'ambiance minimaliste est de mettre en avant l'espace, en offrant une pièce aérée et épurée.
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Il se passe quelque chose dans notre pays
Linda
Jeudi 20 avril 2023
Les retraites, un prétexte? Oui, certainement la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Depuis l’arrivée de ce président à la tête de la France, le ressenti – mon ressenti partagé par de nombreux amis – est que la plupart des lois votées sont loin de favoriser les plus démunis et qu’elles sont imposées coûte que coûte. Tantôt on apprend que les décrets qui les accompagnent les transforment (ainsi de la loi sur la formation professionnelle, qui pénalise ceux qui gagnent moins d’argent en obligeant à une participation pour les formations), tantôt elles sont ouvertement favorables aux plus riches (la suppression de l’impôt sur les grandes fortunes, la réforme du chômage, la suppression de certaines allocations,…). Lors de sa campagne, le futur président l’avait dit : « Je ferai les réformes qui s’imposent, même les plus impopulaires. » Il l’a dit, il l’a fait et ne cesse de s’en glorifier, même s’il y a eu de nombreux recours au désormais fameux 49-3. Il a aussi souligné à plusieurs reprises à quel point les Français étaient irréformables. Il a sans doute oublié que les Français sont aussi historiquement le fer de lance de la liberté en Europe. Or ces Français si impossibles à gouverner ont malgré tout beaucoup encaissé. Un premier ras-le-bol s’est exprimé avec les Gilets jaunes, gilets fluo destinés à signaler au président leur présence au bord de sa route. Puis il y a eu la crise sanitaire, gérée à coups de décisions unilatérales. Pays paralysé, confiné, bâillonné par un défilé de scientifiques macronés. Le réveil est lent mais les vérités se font jour (cf. le rapport sur la crise sanitaire rendu public par décision du Conseil d’État). Alors trop, c’est trop! C’est moins la loi que la manière de faire, incontestablement directoriale, voire dictatoriale. Mais ce qui est nouveau et inédit, c’est le bras de fer engagé par, d’un côté, quasi tout un peuple qui a la force du nombre et, de l’autre, le gouvernement, qui se cache derrière la légitimité électorale. L’élection ne permet pas tout et le peuple est en train de dire tout aussi démocratiquement non. Non à des décisions unilatérales qui favorisent toujours les mêmes ; non aux miettes qui lui ont toujours été accordées pour le faire taire ; non à la corruption des puissants qui imposent leur loi. Un peuple qui, s’il a recours au référendum d’initiative partagée, sortira vainqueur d’une guerre sans arme et sans mort, même si je n’oublie pas les blessés, aussi bien du côté des forces de l’ordre que des manifestants. Non, le roi ne sera pas décapité, mais le président pourrait bien être détrôné. Les peuples d’Europe ne s’y trompent pas et comprennent qu’il se passe quelque chose d’important du côté de la France. Habituellement, on pouvait s’attendre à ce qu’un homme providentiel sorte du bois. Or ce n’est là pas le cas, et c’est bien cela qui est véritablement nouveau. Les Gilets jaunes ont montré la voie. La jeunesse ne veut plus d’un leader, elle veut une vraie démocratie qui ne favorise pas quelques seigneurs du coin, comme à Sainte-Soline. En réalité, la France populaire est en train de dire non aux magouilles, non au favoritisme, non au trafic d’influence, non aux arrangements entre amis…, bref non à la corruption qui gangrène la démocratie.
Des décisions saines et sensées prises par les habitants eux-mêmes dans le respect de la nature et dans une logique de préservation de la terre. La VIe République est en marche, peut-être paradoxalement grâce à ce bras de fer, qui va beaucoup plus loin que le simple rejet d’une loi sur les retraites. Encore faut-il que le peuple ne se contente pas de dire non. Car il lui faut aussi se montrer créatif, inventif et plus encore. Une vraie révolution est en marche, mais pas celle dont rêvait Macron. Une révolution des consciences individuelles prêtes à prendre en main leur destinée.
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frisquette27 · 2 years ago
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J'avais prévu de poster vendredi dernier, ne jamais mettre de deadline car c'était toujours comme ça que l'on a plein d'autre chose à faire pfff.
Bon voici enfin le chapitre 19 de ET SI .. (j'aurais mis le temps quand même)
Toujours les mêmes avertissements : rappel de tentative de suicide, SMUT etc ...
UN GRAND MERCI à ceux qui suivent ma p'tite histoire et UN GRAND MERCI pour tous vos commentaires (Ils me donnent le courage de continuer)
ET SI …
Chapitre 19 : Si je savais qui croire
Elle était tétanisée, complètement affolée la Reine ne savait que faire, elle rêvait de pouvoir prendre ses jambes à son cou et s’enfuir à l’opposé de la femme devant elle. Mais malheureusement son corps ne lui répondait plus, elle restait donc la devant elle, à sa merci comme une proie. Aucun son ne sortait de sa bouche, Dame Mevanwi comprit immédiatement le trouble de la Reine, elle en était enchantée, elle avait du pouvoir sur cette femme, elle allait donc en abuser.
Prenant un air doux et une voix mielleuse à la limite de la caricature.
« Ma Reine, quel plaisir de vous revoir » dit-elle en s’approchant, se permettant même de lui prendre la main « J’avais tellement peur de ne plus vous revoir après notre discussion, j’étais particulièrement mal de vous avoir fait de la peine »
Guenièvre ne pouvait pas lui répondre, elle en tremblait, des brides de leur dernière conversation tournait dans sa tête en boucle, elle ne pouvait en oublier aucun mot.
« Ne restons pas là » Mevanwi lui prit le bras et l’entraina doucement avec elle « Allons dans les jardins, nous serons plus au calme pour discuter »
Les deux femmes s’installèrent sur un banc en pierre auprès d’un magnifique parterre de jasmin d’hiver jaune, Mevanwi avait choisi cet endroit précis car elle savait que la reine avait voulu que l’on n’y plante des fleurs rouges mais Arthur avait préféré mettre des fleurs jaunes car cet endroit était fait pour les passions inavoués et elle savait parfaitement que c’était à elle qu’il pensait. Elle avait bien choisi le lieu car elle vit le regard de la Reine sur le parterre de fleurs et elle perçu le désarroi de cette dernière. Parfait, son plan fonctionnait, elle prenait plaisir peut être un plaisir malsain mais c’était amusant de détruire cette femme, un petit sourire s’étira sur ses lèvres.
« Comment allez-vous ? » commença-t-elle mais comme Guenièvre restait silencieuse, elle poursuivit « Vous n’êtes partie que quelques jours mais j’étais très inquiète, je pensais que vous aviez disons tourné la page et j’étais contente pour vous. Le Roi ne vous a pas laissé le choix a ce que j’ai pu comprendre »
Guenièvre réagit enfin, interloqué par les mots de son ancienne amie
« Comment ça je ne comprends pas ? Pourquoi le Roi ne m’aurait pas laissé le choix »
« Pour être très honnête avec vous, votre départ la certainement contrarié, vous comprenez les apparences, disons que l’alliance avec votre famille est importante pour le royaume et j’imagine que votre relation à évolué sur le plan physique »
« Comment …vous …qu’est ce qui vous fait supposer de telle .. »
Mevanwni posa la main sur la jambe de la Reine.
« Je le sais car le Roi veut un héritier et pour le citer il n’a pas le choix de se taper l’autre grosse gourdasse » mentit elle.
« Non Arthur n’a pas dit ça ! »
« Je suis vraiment désolé mais très honnêtement est ce vraiment la première fois, je comprends que vous deviez rester, votre statue de Reine et votre devoir envers le Roi mais vous méritez que l’on vous aime ou au moins que l’on vous respecte »  
Guenièvre ressentit une pression au niveau du cœur, elle avait du mal à respirer, non ce n’était pas possible pas après la nuit dernière pourtant la petite voix qui ne cesser de la tourmenter lui rappelait qu’il y a quelques jours à peine son mari ne pouvait pas la voir en peinture. Elle retenait ses larmes, elle ne pouvait pas pleurer devant cette femme. Elle se leva brusquement et partit dans les jardins laissant Mevanwi seule sur le banc sans un mot pour cette dernière.
« Voilà » murmura-t-elle « Trop facile, elle se dirige directement dans mon piège »
Et quel piège, le Chevalier Blanc attendait sagement au bout du chemin l’arrivée de sa belle. Tout d’abord soucieux de la voir en pleurs, il se rappela les consignes précise de sa complice. Il devait rester concentré sur sa mission et essayer de charmer sa bien-aimée.
« Ma Reine, que vous arrive-t-il ? Etes-vous blessée ? »
Elle s’arrêta net devant lui, honteuse d’avoir été vu en train de pleurer mais étrangement contente d’être tombé sur son ami. Car oui après tout c’était avant tout son confident en déplaise à son mari.
« Seigneur Lancelot, je suis désolé »
« Ne soyez pas désolé ma Reine, dites-moi ce qu’il a encore fait »
« Rien ..il n’y a rien je suis juste un peu à fleurs de peau parfois, ne vous tracassez pas pour des broutilles »
« Mais ce ne sont pas des broutilles, Guenièvre, je suis persuadé qu’il a encore était trop loin, je ne connais bien notre Roi et les sentiments qu’il vous porte »
Trop c’était trop pour elle, tout le monde savait que son mari la méprisait et elle était là à croire que peut être il y avait une chance entre eux. Elle fondit en larmes devant le chevalier ne retenant plus ses sanglots. Devant la fragilité de la jeune femme, Lancelot en profita pour la prendre dans ses bras et lui murmurer des mots d’encouragements. Elle mit plusieurs minutes à se calmer, en reprenant un tant soit peu de constance, elle se défit de son étreinte et lui proposa de se promener, oubliant les recommandations de son mari. A ce moment, rien ne comptait plus que de retrouver la légèreté de sa relation avec le chevalier, il avait toujours été là dans les moments difficiles et il était tellement agréable avec elle. Ils passèrent donc l’après-midi dans les jardins à discuter de chose et d’autre, Guenièvre en oublia son chagrin. Le chevalier lui raconta sa vie dans la forêt, la faisant rire parfois avec des anecdotes plus incongrues les unes que les autres. Elle sentait ses regards amoureux et elle avait du mal à savoir comment se comporter avec lui, maintenant elle connaissait ses sentiments pour elle et même s’il n’était pas réciproque, elle se demandait toutefois si elle n’avait pas été amoureuse d’Arthur est ce qu’elle aurait succomber au charme de Lancelot. Après tout, il était bel homme, intelligent, romantique, il correspondait plus à son idéal masculin que son mari. Mais voilà, elle était amoureuse d’un homme râleur souvent bougon et terriblement attirant. Ils avaient perdu la notion du temps au point qu’ils ne se décidèrent à rentrer que lorsque le jour commençait à laisser place au crépuscule.
La journée avait été longue, trop longue pour le Roi qui avait enchainé les réunions les unes derrière les autres, leurs lots de problème avaient définitivement fini d’agacer Arthur. Alors qu’il n’avait qu’une seule chose en tête, retrouver sa femme qu’il avait vu pour la dernière fois de la journée au petit déjeuner. Arthur était frustré, tout d’abord il avait été interrompu par ses beaux-parents le matin même alors qu’il passait un moment merveilleux avec sa femme, puis elle s’était carrément barrée de leurs petits déjeuner le laissant seul encore avec ses beaux-parents. Il avait passé la journée à apprendre que les hommes dans ce château tournaient autour de Guenièvre d’ailleurs plus il y pensait plus il trouvait qu’il avait été trop clément avec le seigneur Calogrenant, et pour couronner le tout il n’avait pas vu ou même aperçu sa femme de tout le reste de la journée. Alors oui, il était frustré et se dirigeait d’un pas déterminé vers la salle de repas car même s’il devait se coltiner encore le couple royal de Carmèlide, il allait enfin retrouver sa femme. C’est donc avec un sourire sur le visage qu’il ouvrit la porte de la salle à manger, sourire qu’il perdit immédiatement quand il ne vit dans la pièce que ses beaux-parents déjà attablés.
« Non mais bon sang c’est pas possible, elle est où encore !! »
« Franchement ça vous arrive de temps en temps d’être aimable, on voit que ça vous fait vachement plaisir de nous voir » dit sa belle-mère d’un ton acerbe
« Non mais laissez-le, il cherche encore la p’tite d’ailleurs moi aussi j’aimerais bien savoir où elle est fourrée celle-là »
« Ben c’est pas à moi qu’il faut demander ça, c’est une vrai anguille cette gamine, tout le monde la vue mais personne ne sais où elle est, j’ai autre chose à faire que jouer à cache-cache avec elle »
Arthur s’était attablé complétement dépiter, regardant dans le vague son assiette. La porte s’ouvrit et il releva la tête immédiatement la tête dans l’espoir de voir sa femme apparaitre et malheureusement ce n’était qu’une servante qui apportait les plats. Encore déçu il souffla et rebaissa son regard sur la table.
« Non mais vous allez pas faire la gueule en plus, déjà que d’habitude vous êtes pas très jouasse comme bonhomme mais alors là on atteint le summum »
« Non mais je viens de vous dire de lui foutre la paix, qu’est-ce que vous ne comprenez pas ! »
« Merci beau-père »
« Allez-y vous ! Prenez sa défense tant qu’on y est, ce qui faut pas entendre sérieux, il y a quelques jours encore il pouvait pas la blairer la p’tite et là monsieur fait la gueule quand il la voit pas »
« Faut savoir à la fin, moi je trouve que c’est mieux, je préfère qu’il fasse la tronche parce qu’il ne la voit pas que quand il se foutait ouvertement de sa tronche »
« Hé oh je suis là je vous rappelle, et puis d’abord je me foutais pas de sa tronche »
Le couple se tourna vers le roi et le regardèrent d’un air septique relevant tout les deux un sourcil de surprise, la situation en été presque comique de voir ses beaux-parents réagirent à l’unisson.
« Heu je veux bien prendre votre défense mais ne nous prenez pas pour des jambons, bientôt vous allez dire que vous avez été toujours prévenant avec elle »
« Oh oui bientôt il va nous sortir qu’ils ont toujours eu une belle histoire d’amour » rajouta Dame Séli d’un ton sarcastique.
« Non mais c’est plus compliqué que ça et puis d’abord mêlez-vous de vos fesses, ça me fera des vacances !! »
« Ah mais vous rêvez les yeux grand ouverts mon p’tit bonhomme je vous le dis tout de suite, si vous pensiez qu’on été sur votre dos ben vous allez voir le changement, c’était de la nioniotte jusqu’à présent »
« Super ça annonce une bonne ambiance en perspective pendant les repas, trop chouette je me languis !! »
« Ouais mais alors faite pas trop le malin quand même, je ne vous rappelle pas dans quel état vous avez mit ma fille, je veux bien essayer d’être tolérant et ce n’est franchement pas dans ma nature mais je vais vraiment avoir du mal à oublier que j’ai failli perdre ma fille par votre faute !» dit le seigneur Leodagan en fixant durement son gendre.
Tout penaud Arthur, s’enfonça dans son siège, baissa les yeux et ne pipa plus un mot. Le repas fut alors silencieux, extrêmement silencieux voir gênant.
Elle avait réussi à éviter le repas, elle n’avait pas mangé de la journée mais elle se sentait euphorique de pouvoir maitriser quelque chose dans sa vie. Pour éviter son mari, elle décida de prendre un bain pour ne pas se rendre directement dans sa chambre. Elle n’était pas prête à le voir, le chagrin que lui avait provoqué sa conversation avec Mevanwi était encore bien trop présent, elle ne savait pas comment elle allait réagir en le voyant. A sa grande surprise la porte de la salle de bain avait été condamné et ce fût un serviteur qui lui indiqua la direction de la nouvelle salle de bain. Il faisait déjà nuit noire quand elle rentra dans son bain, c’était donc à la lueur des bougies qu’elle examina ses poignets. L’eau était bien chaude et parfumé pourtant la vision de ses marques lui rappelait cruellement la nuit où son désarroi avait pris le dessus. Elle se rappelait la sensation de la lame froide sur sa peau cependant elle n’avait aucun souvenir de la douleur de son acte juste de la libération qu’elle avait ressenti. Est-ce qu’un jour elle oublierait ? Est-ce elle lui pardonnerait un jour ou même arriverait elle seulement à se pardonner elle-même ? Perdu dans ses pensées elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni la servante se rapprocher.
« Madame, veux-t-elle qu’on lui change son eau, elle doit être froide maintenant »
En regardant la servante qui venait de s’adresser à elle, Guenièvre vit de la peur dans son regard. Pourquoi cette femme avait-elle l’air effrayé, elle tremblait légèrement.
« Non je vous remercie, je vais sortir de mon bain. Pourriez vous me passer la serviette derrière vous s’il vous plait »
La servante ne bougeait pas et fixait toujours la reine.
« Vous êtes nouvelle, vous ai-je déjà vu ? »
« Oui…oui madame » répondit elle avec un soubresaut dans la voix « c’est moi qui vous ai aidé à passer votre robe ….cette nuit-là ! »
« Ah !  Je comprends ! comment vous vous appelez ? »
« Nessa, madame »
« Nessa pourriez-vous me passer la serviette derrière vous que je puisse sortir »
« Oui madame »
Elle lui tendit la serviette.
 « Dites-vous n’allez pas recommencer ! »
Guenièvre secoua la tête, elle se sécha rapidement et demanda à la servante de l’aider à se vêtir, elle posa une main rassurante sur l’épaule de la jeune femme.
En rentrant dans sa chambre le Roi avait espéré la retrouver mais toujours pas de Guenièvre. Il commençait fortement à s’inquiéter, il voulut partir à sa recherche quand la porte s’ouvrit laissant place à sa femme. Sans lui laisser le temps de réagir, il la prit dans ses bras et fondit littéralement sur ses lèvres. Il aurait voulu juste effleurer ses lèvres pour l’embrasser doucement mais il était bien trop frustré pour cela, le baiser était passionné. Ses lèvres étaient douce chaude, il pourrait mourir s’il s’arrêtait. Prise dans le moment ses mains glissèrent sur ses épaules nues, sentant la peau fraiche sous ses doigts, puis il plaqua une de ses mains au creux de reins pour l’attirer contre lui. Il commença à caresser son dos, envoyant des frissons dans la colonne vertébrale de la jeune femme, qui instinctivement se colla encore plus à son mari. Il grogna dans sa bouche de plaisir.  Les mains de sa femme étaient partout, maudissant les vêtements qui séparait leurs peaux l’une de l’autre. Ils s’embrassèrent ainsi pendant plusieurs minutes, savourant leurs goûts, les sensations que produisaient leurs gémissements respectifs, les plongeant dans une douce torture. Respirant à peine Arthur les entraina vers leurs lits, Guenièvre s’affairait à lui enlever ses couches de vêtements qui lui interdisait l’accès à sa peau. Elle ne pensait à plus rien, oublié la conversation avec Mevanwi, oublié ses doutes sur la sincérité de son mari, oublié les marques sur ses poignets seul Arthur comptait à ce moment-là, sa peau, son parfum, ses mains sur elle.
Ils tombèrent sur le lit sans que leurs lèvres ne se séparèrent, Arthur se positionna sur sa femme et entreprit de lui enlever sa robe alors que sa bouche parsemait son cou de baiser. Il finit par lui déchirer sa robe et la jeta à travers la pièce en rageant.
« Trop compliqué vos tenues, vous allez rester toute nue tout le temps maintenant ! »
Elle rit et enfouie sa main dans la chevelure de son époux dans un geste tendre, avec un petit sourire mutin. 
« Ah bah je vais faire sensation à me promener toute nue dans le château »
« Même pas vous y penser »grogna -il
La main toujours dans ses cheveux elle attira sa bouche contre la sienne, ils s’embrassèrent à nouveau désespérément, gémissant de plaisirs alors que leurs langues se caressaient. Ils étaient collés l’un à l’autre, poitrine contre torse, leurs peaux se rencontraient enfin. Les mains de la jeune femme montaient et descendaient le long de son dos. Elle pouvait sentir le désir de son mari pressé contre son bassin, il lui faisait perdre la tête. Elle écarta les jambes laissant Arthur se placer entre ses cuisses. Le pouvoir qu’elle possédait sur lui la stupéfiait juste en bougeant son bassin contre lui, elle la sentait bien son impatience dans ses caresses, dans ses baisers, dans ses gémissements. Autant il lui faisait totalement perdre la tête autant elle aussi elle avait ce pouvoir sur lui.
« Décidément, vous êtes encore trop habillé mon ami » lui murmura t elle à l’oreille d’une voix suave.
Il comprit qu’elle faisait référence à son pantalon, et comme si ses mots étaient magiques, il s’en débarrassa rapidement faisant sourire sa femme devant son empressement.
Alors que leurs corps nus se rencontrèrent enfin Guenièvre ressenti que c’était une évidence entre eux et alors que son mari lui relevait légèrement les cuisses pour la faire sienne.
« Ah je dérange peut-être ? »
Stoppé dans son action, Arthur se retourna vivement vers l’intrus tout essayant de couvrir sa femme. Devant lui la Dame du Lac.
« Non mais vous êtes pas bien ! ça vas pas non ! mais BARREZ VOUS ! »
« Ben non je voulais juste voir comment elle allez quand même »
« Non mais vous êtes sérieuse là »
« Oui elle va comment du coup ! »
« Je vais bien merci mais disons que là c’est pas vraiment le moment de papoter »
Arthur s’était couvert lui aussi, elle lui avait coupé l’envie.
« Ah mais vous faites plus semblant de ne pas me voir, ah ben c’est bien vous lui avez dit, ça sera plus simple »
« J’ai un peu gaffé mais maintenant du coup ça sera plus facile pour parler »
« Ah c’est clair ! déjà que c’est le bazar quand je dois venir si en plus faut gérer quand lui apparaitre parce que cela vous met mal à l’aise »
« Ah parce que là ça met pas mal à l’aise » grogna t il
« Oh mais c’est bon, de toute façon vous n’aviez pas vraiment commencé »
« Non mais j’avoue que moi aussi j’aurais préféré que vous n’apparaissiez pas maintenant »
« Ah ben je suis désolé, je voulais vraiment savoir comment vous alliez car c’est un peu le bazar là-haut depuis que vous avez essayait de ..enfin vous voyiez quoi »
« Oh je suis vraiment désolé, je ne voulais vraiment pas vous ennuyer, je ne pensais pas que … »
« Non mais ça va dis donc, vous ne voulez pas que je vous fasse apporter des tisanes et des p’tit gâteaux pour que vous puissiez papoter tranquille non plus ! »
« Ah maintenant que vous dites, pourquoi pas »
« Non mais certainement pas ! Cassez-vous »
« Oh ben ça vas quand même si je dérange je m’en vais »
« C’est ça oui faite ça donc, BARREZ VOUS »
La Dame du Lac s’éclipsa sans demander son reste. Laissant le couple royal enfin seul, Arthur n’attendit pas son reste et fondit immédiatement sur les lèvres de sa femme.
« On en était où sinon »
A l’abri de tous dans un couloir, Lancelot avait rejoint sa complice et lui faisait un rapport détaillé de son après-midi avec la Reine.
« Il faut que vous soyez plus tactile avec elle, il faut être plus direct »
« C’est plus facile à dire qu’a faire comment voulez vous que je m’y prenne »
Pour joindre l’acte à la parole, Mevanwi prit la main du chevalier caressant langoureusement de son autre main la joue, puis la nuque de ce dernier. Elle se rapprocha et colla son corps à cet homme qu’elle trouvait néanmoins désirable, leurs lèvres s’arrêtèrent à quelques millimètres l‘une de l’autre.
« Et là vous l’embrassez » murmura-t-elle
« Montrez-moi » lui répondit le chevalier.
Le château s’était endormi paisiblement, pourtant les alliances se rapprochait dangereusement et le piège risquait de se refermer très vite mais sur qui ?
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little-lamb-lyosha · 2 years ago
Text
Louis mon cher there's a pile of dead bodies and a indescribable horror but nous devons trouver ana stansik louis louis kill that monster with a rock! Merde le roi en jaune is chasing us louis
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