#La nuit est mon royaume
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affiches-cinema · 1 month ago
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La nuit est mon royaume, Jean Gabin, 1951
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alicedusstuff · 3 months ago
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lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
­-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
­-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
­-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
­-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
­-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
­-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
­-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
­- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
­-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
­-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
­-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
­-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
­-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
­-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
­-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
­-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
­-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
­-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
­-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
­-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
­- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
­-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
­-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
­-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
­-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
­-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient surv��cu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
chapitre 1 _ chapitre 2_ Chapitre 3
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lilias42 · 7 months ago
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La bête aux pieds d'argile
Et pour une fois, je ne vais pas trop faire de blabla au début, je veux juste vous montrer, je vous expliquerait tout après ! Je suis très fière du résultat alors, je veux juste partager au plus vite ! 😃 C'est une idée qu'on a eu en discutant avec @ladyniniane qui faisait remarquer que Delagarde et Hubert ressemblait à la bête de la mer et celle de la terre dans l'Apocalypse alors, voilà le résultat en dessin !
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(je sais, c'est en noir et blanc mais, j'aurais peur de le gâcher si je mettais de la couleur qui bavait sur d'autres parties vu que même si c'est du A3, les zones sont assez petites, mon crayon a pas mal travaillé le papier, et j'y ai déjà passé la moitié de ma nuit, plus mon dimanche donc, on va déjà partir comme ça ^^')
Je vais mettre le développement sous la coupe mais, je serais curieuse de connaitre votre interprétation avant de savoir qui est où et ce que veulent dire certaines formes !
Pour commencer, le sujet était "El et Hubert sont les bêtes de l'Apocalypse de la Mer et de la Terre", et je me suis basé sur cette représentation de ses deux créatures pour faire ma version Fodlan de cette histoire.
Delagarde est donc la Bête de la mer qui fait office d'Antéchrist quand l'Apocalypse approche. Elle est donc représenter comme sur l'enluminure, comme une bête avec des couronnes qui se fait adorer alors qu'elle est le mal incarnée mais, comme si l'artiste voulait se moquer d'elle et la représenter dans toute son horreur et la fragilité de son pouvoir.
Je me suis aussi inspiré des représentations de Baphomet vu que comme l'a souvent fait remarqué Fantasy Invader, elle lui ressemble beaucoup et a la même posture que le démon sur son panneau de fin. Alors, je lui ai donné une poitrine, sa couronne qui est censé être les cornes de l'Immaculée sont devenue des cornes de démons, et elle a des ailes mais, contrairement à Baphomet, ce n'est pas les siennes. Ce n'est pas un ange ou une sauveuse mais, elle veut se faire passer pour tel alors, elle veut des ailes d'anges alors, elle s'est clouée et collées des petites ailes dans le dos. ça sert à rien, elle ne pourra jamais voler avec et elle est plus ridicule qu'autre chose avec ces ailes minuscules qui tiennent à peine avec un clou et de la colle qui dégouline, comme elle ne sera jamais une sauveuse pour Fodlan.
D'ailleurs, elle porte aussi la couronne du Royaume et la bannière de l'Alliance sur ses cornes mais, pour la couronne, elle la porte n'importe comment, elle n'est pas sur sa porte mais comme si elle l'avait mise sur un porte-manteau et risque de tomber au moindre mouvement de tête car, elle ne sera jamais la vraie reine légitime du Royaume. Quant à la bannière de l'Alliance, je ne sais pas si ça se voie vraiment à l'image mais, l'écusson sur le tissu est toujours différent car, elle connait tellement mal Fodlan et s'intéresse si peu aux autres pays à part pour les envahir et leur imposer la civilisation adrestienne, qu'elle ne sait même pas à quoi ressemble l'étendard d'un de ses ennemis, surtout que si on suivait sa logique de façade jusqu'au bout du "les crêtes sont le mal et les gens doivent s'élever selon leur propre mérite !", bah Leicester le fait déjà depuis longtemps étant donné que l'ambition et la capacité personnel à s'enrichir est plus importante que les emblèmes, comme on le voie lorsque le margrave Edmund (nouveau noble grâce à ses capacités d'orateur et tout l'argent qu'il a gagné grâce à ses talents) remplace à la table ronde la famille Daphnel (donc famille à emblème mais, en perte de vitesse depuis que la moitié d'entre eux c'est barré dans le Royaume), ce qui montre qu'elle ne connait rien à ses voisins et veut en fait juste plus de pouvoir pour elle seule. De plus, le tissu est toujours attaché à ses cornes gauches car, si elle est assise sur son trône et que la carte de Fodlan est derrière elle, l'Alliance est à sa gauche et le Royaume à sa droite, sans penser que si elle leur fait face depuis Embarr en se tournant vers le nord, elle a inversé les deux pays sur ses cornes.
Elle tient aussi Ayrm avec sa queue, dont le bout est en tire-bouchon comme celle des cochons qui sont associé au poison de l'ignorance dans le bouddhisme (qui est également le poison auquel elle est le plus rattaché si je me souviens également bien des billets de Fantasy Invader) et qui n'est pas forcément l'animal qui a la meilleure réputation étant donné qu'il mange tout ce qui traine, ce qui oblige à bien faire bouillir sa viande si on veut la manger, voir à interdire complètement sa consommation pour des raisons d'hygiène, ce qui est surement à l'origine du fait que plusieurs religions interdisent d'en manger. Delagarde se sert de l'arme que lui ont donné les agarthans pour imposer sa tyrannie (et la lie encore plus au Diable vu que cette arme est liée à l'emblème de la Bête) mais là aussi, elle est pas vraiment en bon état : elle est cassée, certaines dents sont pourries et elle tombe en miette histoire de montrer que malgré toute son horreur, son pouvoir reste fragile vu qu'au moment où Aymr n'est plus brandit ou que les agents d'Hubert ne sont plus opérationnels, elle aura beaucoup plus de mal à imposer ses quatre volontés (tout en permettant de se moquer d'elle au passage vu que sa hache ignoble en forme de bouche qui dévore tout sur son passage, est en fait une grosse hache édentée qui tombe en morceaux et avec des morceaux pourris)
Comme la bête de la mer, Delagarde a plusieurs têtes qui crachent du feu dans tous les sens pour symboliser qu'elle s'attaque à tout ce qui l'entoure mais, aucune ne regarde le sol, personne ne peut la contester sur son territoire alors, elle ne regarde même pas ces sujets qui sont en train de la prier. De plus, j'ai fait en sorte qu'à part quand elle est plus ou moins de face à celui qui regarde le dessin, on ne voie jamais ses yeux avec sa coiffure qui lui bouche la vue comme des oeillères, comme Delagarde se met souvent des oeillères et refusent de voir la réalité en face. Là, elle ne voie que ce qui est devant elle et veut voir : ce que vont consumer ses flammes et tout ce qu'elle va cramer pour obtenir le pouvoir.
Cependant, ça l'empêche aussi de voir que ses pattes sont argiles, fragiles, qui craquèlent de partout et qu'elle est attaquée. Sous son ventre, on a Bernadetta qui est en train de graver l'emblème de Seiros de Rhéa sur son flan avec une de ses flèches afin de souligner son rattachement à la résistance et son soutien à l'Eglise que Delagarde persécute, pendant que Ferdinand est en train de couper une de ses pattes avec une hache, étant également dans la résistance et s'opposant à Delagarde et son impérialisme. Dans mon canon, ils sont même les deux chefs d'un des groupes résistants les plus importants de Fodlan. Enfin, derrière eux et sans que Delagarde ne le remarque, Petra est derrière elle et bande son arc pour décocher une flèche sur une des têtes de la bête, Brigid se battant farouchement pour leur indépendance et refusant de se soumettre (raison pour laquelle, elle est dans sa tenue de civil qui est surement un habit brigilène, même si ça ne se voie pas beaucoup, j'était sur le bout de ma page...)
Ensuite, on a Hubert qui est la bête de la Terre. Dans la légende, cette bête fait des tours pour convaincre les humains les humains que la bête de la mer est le Sauveur, et les faire tomber dans les griffes d'un antéchrist (de mémoire, si j'ai bien compris l'histoire) mais sur le modèle, il ressemble vraiment à un petit chien à sa mémère en fait ^^' Je l'ai alors représenté comme couché devant sa maitresse en se frottant les pattes mais, ses oreilles sont celles d'un chien : une dressé comme celle d'un chien de garde, une aplati sous sa mèche toute douveteuse comme celle d'un Cavalier King Charles pour le côté pelucheux et animal de compagnie de Delagarde. Sa queue est aussi celle d'un chien de chasse courant derrière les ennemis de sa maitresse, le foxhound anglais (et à la réflexion en l'écrivant, ça colle encore mieux vu qu'il courre après Ferdie qui a les cheveux roux). Pour ses cornes, j'ai voulu prendre celle de Grima de FE Awakening en exemple vu qu'il ressemblait vraiment à un être maléfique mais, vu que je l'ai fait de mémoire, je ne me souvenait plus qu'il n'avait pas 3 paires de cornes mais seulement une... enfin, il fait encore plus bêtes maléfiques avec des cornes de diable comme ça.
Il a aussi sa grosse mèche et un sourire carnassier de voir que leur plan se déroule comme sur des roulettes avec les roturiers qui prient El mais, au cas où, il a quand même les griffes de ses pattes arrières qui sont des couteaux, afin de rappeler qu'il assassinera quiconque représentant une menace pour son impératrice qu'il défendra jusqu'au bout, même si lui aussi ne se rend pas compte qu'elle se fait attaquer en douce.
Pour son oeil visible qui est vide, c'était à la base un oubli de ma part, j'ai oublié de dessiner son globe oculaire au brouillon mais, une fois passé à l'encre, je ne l'ai pas rajouté car, je trouvais que ça faisait ressembler son regard à celui des Agarthans comme Thalès ou Solon qui ont les yeux vides, Hubert utilisant les mêmes méthodes et la même magie qu'eux malgré tous les discours d'El "oui mais en fait, on les aime pas car c'est eux qui m'ont expérimenté, même si je les utilise pour le moment car ils sont pratique, MAIS je les tuerais quand j'aurais plus besoin d'eux ! Donc, ça passe ! Je les aide pas à continuer à faire des atrocités !".
Ensuite, pour les personnes face à Delagarde, ce sont des roturiers qui, abreuvés des mensonges d'El et la propagande, se mettent à la vénérer comme leur chef suprême et la nouvelle tête de proue de Fodlan, et même comme une Déesse (ce que Dimitri l'accuse de vouloir devenir dans leur face à face et vue la fin en duo d'Hanneman et Manuela, ça semble être le cas vu que l'église existe toujours après CF mais, tourne autour de l'empereur et de son idéologie), la première d'entre elle étant Dorothéa, à genoux devant elle, la priant et l'idolatrant. C'est elle qui a ce rôle car, c'est celle qui croit le plus à la rhétorique d'El et est sa pompom girl la plus fidèle dans le jeu, tout en étant aussi hypocrite qu'elle (surtout que je la voie bien pouvoir sortir "quand on veut, on peut" vu qu'elle a pu se sortir du caniveau grâce à sa voix et donc, elle pourrait appliquer cette même logique à tout le monde, sans comprendre que ce n'est pas possible que tout le monde devienne une diva à succès pour des milliers de raisons) donc, elle a le rôle de fidèle fanatique au regard vide à part son admiration pour son idole, biberonnée à la propagande qui vénère l'Impératrice comme sa nouvelle Déesse mais, sans se rendre compte qu'elle est un monstre.
D'ailleurs, elle n'a pas de pupille, ce qui rend son regard encore plus vide, et aucun des fidèles de Delagarde n'a d'yeux visibles. Même s'ils ont les cheveux attachés pour certains, ils ont toujours une grosse mèche devant les yeux qui leur bouche les yeux, ce qui permet de faire plus foule et de dire qu'ils ne voient pas qui est Delagarde pour ce qu'elle est vraiment, ont cru aux mensonges et au tour d'Hubert, et ils se mettent à la vénérer comme une Déesse, tous la priant devant elle. ça me permet également de me moquer du fait que si El dit détester la religion, elle pourrait se faire passer pour une Déesse et le Messie, elle le ferait sans hésiter à cause de son complexe du Sauveur. Donc, on donne un grand coup dans ses discours "Religion et Déesse = MECHANT PAS BO !!!" et on l'a fait vénérer par ses sujets.
Par contre, une d'entre eux à des yeux complets, et c'est la seule roturière qui est derrière eux et ne regarde pas Delagarde mais, célèbre plutôt l'arriver des vrais sauveurs. Elle porte d'ailleurs un habit d'évêque du jeu pour la rattacher à l'Eglise (et les vrais auront reconnu Margherita à son collier en forme de coeur [qui apparaitra peut-être un jour à Fodlan si je trouve l'occasion], même si elle n'a pas les cheveux attachés en deux couettes sortant d'une sorte de chignon [elle est inspirée par le design de Miku mais, avec une coiffure à la Sailor Moon], je trouvais que ça ressemblait trop à la coiffure en macaron de Delagarde et que ça ne rendait pas bien alors, elle a les cheveux détachés et libres). C'est la seule à voir El pour ce qu'elle est et à fêter l'arriver de ceux qui vont les sauver de cet Antéchrist et la guerre en Fodlan.
Enfin, tout en haut à droite de l'image, Byleth arrive en tenue de Prophétesse (même si la veste est celle de la version masculine, pas question que je dessine au premier degré Byleth dans la version féminine de cette tenue) et plante l'Epée du Créateur dans une des pattes de Delagarde, toujours pour la rattacher à l'église et pour signifier que le vrai prophète arrive pour chasser l'Antéchrist et pour ramener la paix de Sothis dans Fodlan. Elle porte également le bouclier de Seiros pour rappeler Rhéa et le fait qu'elle travaille ensemble. Enfin, elle est accompagnée et soutenue par un Lion pour Dimitri et Faerghus, un Cerf pour Claude et Leicester, et l'Immaculée pour l'Eglise, afin de montrer que tout Fodlan s'oppose à Delagarde et s'opposera toujours à sa tyrannie ! Je l'ai également dessiné plus grande que toutes les autres pour faire si elle était la Déesse elle-même venue pour arrêter le mal avec les bêtes protectrices du reste du continent, ainsi que souligner son importance dans la scène (et me simplifier la vie car il y a vraiment beaucoup de détail dans la tenue de Prophète - -' )
Et voilà ! Je crois que j'ai fait le tour de tout ce qu'il y avait à dire sur ce dessin ! J'espère qu'il vous plait !
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daisydesetoiles · 1 month ago
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Flufftober 2024 : Rencontre mignonne en cherchant un animal perdu
1er octobre
Rencontre mignonne en cherchant un animal perdu (Lost pet meet-cute)
Luigi x Daisy (Mario)
Pour vous, les gens d'Escal'Atlantic : parce que je vous aime.
Le royaume de Sarasaland ne vivait pas sous les mêmes latitudes que le Royaume Champignon. Pour un 1er octobre, il faisait chaud et sec et ces dunes de sable et ces architectures en pierres étaient merveilleuses. Luigi avait envie d'en explorer chaque recoin.
Évidemment, il savait que certains cactus, coiffés de fleurs d'une couleur différente, étaient vivants et qu'il y avait des monstres du désert, des crapules cachées dans les anciens temples et des aliens, mais il n'avait pas l'intention de vraiment sortir des villes! Peut-être juste prendre de l'altitude sur un un promontoire à l'écart, afin de mieux profiter de la vue sur le désert, mais ce serait tout! Il n'était pas son frère, il n'était pas assez valeureux pour se permettre d'aller dans de nouvelles zones sauvages le nez au vent, ou assez fort pour risquer qu'on lui demande son assistance en tant que héros.
Cependant, Luigi était profondément gentil. Lorsqu'il vit un petit animal a l'air bien vulnérable et anxieux bondir par-dessus les limites de la ville pour s'enfuir dans le désert, il s'élança sans réfléchir à sa poursuite.
Il ne se posa plus la question de la dangerosité des lieux devant cet animal en détresse. Et pas d'avantage si cette innocente bestiole avait pu l'attirer volontairement dans un piège, lorsqu'il se retrouva à devoir grimper au sommet d'un cactus avec son protégé sous le bras. Encerclés par des termites cybernétiques du désert !
Luigi était bien embêté et il était en train de se demander s'il était capable de crier assez fort pour qu'on l'entende, lorsqu'un petit tapotement poli se fit entendre sur la carapace d'une des termites. Le plombier en vert sursauta, autant que les monstres: comme il était occupé à scruter l'horizon, déterminer si la capitale de Sarasaland était très loin ou pas, il n'avait pas vu la nouvelle venue s'approcher. Ses talons aiguilles orange avaient pourtant dû faire du bruit dans le sable du désert. Elle portait une robe quatre tons plus clairs, avec un col, des jupons et des manches qui faisaient penser à des pétales de marguerite. Il y avait des fleurs aussi dans ses accessoires: dans ses boucles d'oreille et sur sa couronne.
« Princesse Daisy ? l'interpela timidement Luigi, car son frère lui avait parlé d'elle. »
Mais il avait une voix trop douce et la régente de Sarasaland était en train de bouter les termites cybernétiques loin du grand cactus, à coups d'escarpins experts! Elle avait dû entendre les lamentations de détresse de l'animal, elle aussi. Peut-être même que c'était le sien.
« Et que je ne vous y reprenne plus! lança la princesse aux monstres qui s'enfuyaient sans demander leur reste. »
Luigi voulut lui signaler de nouveau sa présence, la remercier, mais l'animal qu'il tenait encore sur son bras s'échappa soudain pour bondir dans l'étreinte de sa maîtresse. Le plombier moustachu se retrouva entraîné dans son élan.
« Oh là là ! s'écria Daisy en discernant soudain cette ombre qui lui tombait dessus. »
Heureusement, elle avait de bons réflexes. Ses bras gracieux et ses mains gantées de blanc rattrapèrent l'infortuné héros comme s'il ne pesait pas plus lourd qu'une plume – ce qui était loin d'être faux. Elle lui sourit. Ses yeux bleu foncé avaient la couleur du ciel à la tombée de la nuit.
« P… Princesse Daisy ? répéta Luigi, confus.
-Oh ! Tu dois être le petit frère de Mario, devina-t-elle avec enthousiasme. Il m'a beaucoup parlé de toi après m'avoir sauvée de cet horrible Tatanga. Et voilà que tu as secouru mon petit trésor à ton tour! Est-ce que tu n'as pas envie de rentrer avec moi au palais pour que je puisse te remercier ? »
Luigi acquiesça, le visage tout rouge. Elle le reposa par terre et ils reprirent le chemin de la capitale, l'animal retrouvé de Daisy s'emmêlant dans ses jupons. Pour une première rencontre, c'était étonnant. Il avait le sentiment de ne pas être au bout de ses surprises avec la princesse !
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aisakalegacy · 3 months ago
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Printemps 1923, Hylewood, Canada (5/7)
Qu’allez-vous répondre à la demande que Constantin vous a faite l’an dernier d’aller vous installer en Egypte ? Est-ce vraiment quelque chose que vous allez considérer sérieusement ? Seriez-vous vraiment prête à laisser toute votre vie derrière vous, pour partir dans des terres si lointaines ? Vous n’êtes pas née à Champs-les-Sims, si je ne me trompe pas. Cela veut dire que vous avez déjà dû quitter votre village natal pour construire votre vie ailleurs… Seriez-vous prête à recommencer ? Ce Howard Carter, je le connais bien de réputation, mon mari s’en plaignait quand il travaillait avec lui il y a des années. A l’époque, il le décrivait comme brillant mais obtus, colérique, avec des attitudes d’adolescent égoïste. C’est avec ce genre d’homme que vous devrez rebâtir votre sociabilité… Albertine, je sais que nos situations sont différentes, et j’aime mes enfants plus que tout au monde, mais je vous écris ici avec toute l’inquiétude d’une femme un peu plus âgée que vous, qui a donné toute sa vie à un homme et qui l’a amèrement regretté ensuite. Quand vos filles seront adultes, mariées et enceintes, ne pensez pas qu’elles n’auront plus besoin de vous. Jeune mariée, je posais tous les jours des questions à Maman pour lui demander des conseils quant à la tenue de ma maison.
[Transcription] Dolorès LeBris : « Dame Lola, vous êtes notre seul espoir ! Si le Dragon Lulu se réveille, tout le royaume sera perdu… Il faut absolument préserver son sommeil ! » Dolorès LeBris : Vous pouvez compter sur moi, ma Reine, je serai la gardienne de son repos. Dolorès LeBris : Pour la réussite de cette quête, je fais ici le serment de ne plus jamais dormir ! Dolorès LeBris : … C’est long, quand même… Dolorès LeBris : … Et mes yeux sont lourds… Dolorès LeBris : … Peut-être que si je les fermais juste un petit peu… Maria Mayordomo : ¡Ah, así que aquí estás! (Ah, c’est donc là que vous êtes !) Dolorès LeBris : Comment, c’est déjà le matin ? Maria Mayordomo : ¡Santo cielo, me tenías preocupada! No estabas en tu cama… ¿Qué haces aquí y por qué no estás en tu habitación? No me digas que no has dormido en toda la noche… (Bon sang, vous m’avez inquiétée ! Vous n’étiez pas dans votre lit… Qu’est-ce que vous faites ici et pourquoi n’êtes-vous pas dans votre chambre ? Ne me dites pas que vous n’avez pas dormi de la nuit…) Dolorès LeBris : Chut, Maria ! Il faut laisser Lulu dormir. S’il se réveille, le royaume entier sera réduit en cendres. Maria Mayordomo : ¿Pero qué estás diciendo? No tienes fiebre… Deja que Lucien duerma y ve a acostarte, en TU cama. (Mais qu’est-ce que vous racontez ? Vous n’avez pas de fièvre… Laissez Lucien dormir et aller vous coucher, dans VOTRE lit.)
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nsfwhiphop · 2 months ago
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Comedy Skit:😂😂😂 Titre : "Le Méchoui Manquant : Marion et son Équipe en Galère"
Scène : Marion Cotillard, accompagnée de son équipe, arrive devant les ambassadeurs du Royaume-Uni et des États-Unis, l'air fatigué et affamé.
USA & UK disent : "Alors, expliquez-nous, qu'est-ce qui se passe ?"
Marion dit : "J'avais prévu de manger des méchouis délicieux en Somalie, mais ils nous ont virés du pays. Donc maintenant, on vient manger des méchouis avec vous, nos chers amis du UK & USA."
USA & UK disent : "Sérieusement ? Pas de méchoui pour toi et ton équipe ?"
Marion dit : "Je te jure, plus de méchoui du tout, on est dans le rouge, à sec ! Du coup, y'a moyen qu'on vienne pieuter chez vous ce soir ? Moi et mon équipe, on a trop fait les malins et maintenant on se retrouve sans toit. Franchement, on a l'air bien bêtes."
USA & UK disent : "Bien sûr que vous pouvez pieuter chez nous, on est vos amis. Angelo est vraiment un grand con. Quel connard !"
Fin.
Pieuter est un terme familier en français qui signifie dormir ou passer la nuit quelque part. On l'utilise souvent dans un contexte informel pour dire qu'on va se coucher ou dormir quelque part, parfois à l'improviste ou dans un endroit qui n'est pas prévu pour. Par exemple : "Je vais pieuter chez un ami ce soir" signifie "Je vais dormir chez un ami ce soir."
P.S.:
Le méchoui est un plat traditionnel du Maghreb et du Moyen-Orient, généralement composé d'un agneau ou d'un mouton entier rôti à la broche ou cuit lentement dans un four. Le mot "méchoui" vient de l'arabe "šawā" qui signifie "griller" ou "rôtir".
Le méchoui est souvent préparé lors de grandes occasions comme les fêtes familiales ou les célébrations religieuses. La viande est assaisonnée avec des épices et des herbes, puis cuite jusqu'à ce qu'elle soit tendre et juteuse.
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davidheulin · 2 months ago
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Mon livre de la nature
Aujourd'hui, j'ai décidé d'ouvrir une nouvelle page de mon livre de la nature et de vous en offrir quelques lignes. Enfant, je passais des heures en forêt, à jouer à cache-cache, à construire des cabanes avec mes amis, entouré par la magie des arbres et du chant du vent. Aujourd'hui, ce lien profond avec la nature me rappelle à elle. Je me suis promis de rouvrir cet ouvrage ancien et d'en partager les secrets avec vous.
Le jour s’annonce radieux, baigné par une douce lumière dorée. Mon affût est installé à quelques centaines de mètres d'un point d’eau où les animaux sauvages viennent souvent se désaltérer. Depuis plusieurs semaines, je parcours cette forêt avec une curiosité presque enfantine, tentant de décrypter les traces laissées par ses habitants : empreintes furtives, souilles humides, écorces grattées... Je ne suis qu'un humble observateur, un apprenti face aux mystères de ce royaume, mais peu à peu, je me fonds dans leur monde, apprenant à respecter leurs lois silencieuses.
Le vent souffle dans la bonne direction, me protégeant de leur flair redoutable. Une biche ou un cerf pourraient me percevoir à plus de 300 mètres si je ne fais pas attention. Pas de parfum, pas de faux pas, juste la discrétion absolue. Les minutes passent, puis soudain, le silence se brise : le brame majestueux du cerf résonne dans l'air. Ils sont deux, quelque part entre les arbres. Je perçois le craquement des branches sous leurs sabots, mais aucun d'eux ne se montre.
La pluie, douce et imprévisible, fait son apparition, devançant l’ami qui devait me rejoindre. Deux heures que je guette, immobile. Mon compagnon finit par arriver, et ensemble, nous partageons ce moment sous les larmes du ciel. Le brame s'estompe, laissant place à une inquiétude silencieuse. Malgré nos vêtements trempés, notre patience nous habite encore, car la forêt enseigne à attendre.
Nous décidons de changer d’endroit avant que la nuit ne vienne tout effacer. Et puis, dans un souffle, l’espoir renaît : un chevreuil et un brocard surgissent, espiègles et gracieux, jouant dans l'ombre des arbres. Mais toujours pas de roi en vue. Derrière nous, des biches profitent des jeunes pousses, reprenant des forces pour les jours à venir.
Je ne veux pas refermer cette page du 8 septembre sans avoir vu le roi de la forêt. Notre détermination finit par être récompensée. Une biche apparaît enfin, et dans son sillage, il est là... majestueux, fier, guidé par l'instinct qui le pousse à suivre sa future reine. Nos cœurs battent à l’unisson, comme ceux d'enfants fascinés par ce spectacle offert par la nature.
Nous les observons s’enfoncer dans le bois, préservant leur mystère, leur liberté. Ce royaume n'est pas le nôtre, et nous respectons le rythme de la forêt, son souffle, ses sonorités, ses joutes et ses jeux. Nous quittons les lieux en silence, reconnaissants pour cette parenthèse d’émerveillement qui, dans quelques mois, portera de nouveaux fruits.
Merci, à toi, nature et Tony Tranel
#cerf #normandietourisme #normandie #seinemaritime #seinemaritimetourisme #seinemaritimenormandie #franquevillesaintpierre #biche #nature #naturephotography #officenationaldesforets
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kilfeur · 3 months ago
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Il y a de fortes chances que Lissa apparaisse en saison 7 si elle apprend la nouvelle que Katolis est tombé, Soren l'a mentionné dans l'épisode 2 de la saison 6, disant qu'elle lui manque. Et Claudia dans l'épisode 9 de la saison 2, elle dit qu'elle avait vu ses parents se disputer. Au moment où elle a décide de repartir à Del Bar, l'un des royaumes de la Pentarchie. Elle a donné le choix à ses enfants entre elle et Viren. Soren a choisi Viren et Claudia était incapable de choisir. Alors elle a regardé Viren mais a demandé à Claudia de rester avec Soren car ils ont besoin l'un de l'autre. Pas Viren, Soren !
Dans la lettre de Viren, on comprend pourquoi elle a fini par partir. En voyant ce que son mari a fait et malgré ses justifications. Elle était terrifiée de voir que l'homme qu'elle a aimé ait commit de tels actes. Alors certains vont dire que Viren n'a fait que l'immobiliser et c'est tout. Mais Viren dit qu'il l'a plaqué contre le mur pour l'immobiliser et récupérer ses larmes. Ça reste une agression même si il a pas levé la main sur elle.
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J'en avais parlé à mon ami et il dit que justement que cette famille et Aaravos représente les étapes du deuil. Je cite :
Chaque personnage sont liés à l'étape d'un deuil: - Claudia: le déni - Soren: la colère - Aaravoss: le marchandage - Viren: la dépression - Lissa pourrait être l’acceptation donnant enfin à ses enfants l’amour maternel qu’ils ont perdu
Après si Soren la revoit, je pense pas que ce soit les retrouvailles à bras ouverts. Au début, ce serait certes compliqué vu que Soren a perdu son père et a dû évacuer les survivants de Katolis. Mais ça pourrait amener à la réconciliation et la reconstruction d'une famille brisé si Lissa donne sa version des faits ou non. De plus il est vrai que Lissa a sa part de responsabilité en tant que parent, elle a laissé le choix à ses enfants de venir avec elle. Mais elle pouvait pas les forcer à venir avec elle. Si elle les avait kidnappé et s'était enfuit pendant la nuit pour rejoindre son royaume natale : Viren aurait demandé à Harrow de prendre une escouade et lui même pour se rendre à Del Bar. Et la situation aurait pu dégénéré en conflit politique ! A voir si oui ou non, elle viendra.
There's a good chance Lissa will appear in season 7 if she hears the news that Katolis has fallen, Soren mentioned it in episode 2 of season 6, saying he misses her. And Claudia in episode 9 of season 2, she said she'd seen her parents arguing. By the time she decides to move back to Del Bar, one of the kingdoms of the Pentarchy. She gave her children the choice between her and Viren. Soren chose Viren and Claudia was incapable to choose. So she looked at Viren but asked Claudia to stay with Soren because they need each other. Not Viren, Soren!
In Viren's letter, we understand why she ended up leaving. Seeing what her husband had done and despite his justifications. She was terrified that the man she loved would commit such acts. So some will say that Viren only immobilized her and that's all. But Viren says he slammed her against the wall to immobilize her and collect her tears. That's still assault, even if he didn't lay a hand on her.
I'd talked to my friend about it and he says that this family and Aaravos represent the stages of grief. I quote:
Each character is linked to a stage of grief: -Claudia: denial - Soren: anger - Aaravoss: bargaining - Viren: depression - Lissa could be acceptance, finally giving her children the maternal love they've lost.
After that, if Soren sees her again, I don't think it'll be a reunion with open arms. At first, it would certainly be complicated, given that Soren lost his father and had to evacuate the Katolis survivors. But it could lead to reconciliation and the rebuilding of a broken family if Lissa gives her side of the story or not. It's also true that Lissa has her share of responsibility as a parent: she let her children choose to come with her. But she couldn't force them to come with her. If she had kidnapped them and fled during the night to her native kingdom, Viren would have asked Harrow to take a squad and himself to go to Del Bar. And the situation could have degenerated into a political conflict! It remains to be seen whether or not she will come.
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cassiopeapoetry · 4 months ago
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Sous le Ciel de Cassiopea
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Sous le voile dorée de la nuit étoilée,
Je trace avec soin les contours de mon récit,
Cassiopée, la constellation sacrée,
Où les mots deviennent poésie infinie.
Exploratrice des mondes imaginaires,
Je navigue sur des flots de vers enchantés,
Tissant des histoires sous la voûte stellaire,
Constellations, mes guides illuminées.
Dans chaque poème, je laisse mon empreinte,
Une étoile brillante dans l'obscurité,
Cassiopea, le royaume où je peins sans crainte,
L'éclat de l'âme, une beauté illuminée.
Suivez-moi sous le ciel de la création,
Où les mots dansent sous la lumières des astres,
Cassiopée, guide de cette vision,
Chaque vers éclatant comme un fragment d’albâtre.
Que ce poème soit une invitation,
À découvrir l'univers de Cassiopea,
Chaque vers est une étoile resplendissante,
Brillant dans la nuit, éternelle et éclatante.
#Cassiopeapoetry
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0x1-in · 18 days ago
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°❀.ೃ࿔* 𝗟𝗢𝗩𝗘 𝗠𝗘 𝗕𝗔𝗖𝗞 | 𝗦𝘂𝗻𝗦𝘂𝗻 en-. FR VER.
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♡ ‧₊˚ ⋅ ౨ৎ ‧₊ .ᐟ
Sunoo x Sunghoon.
Part 1.
Strangers to lovers.
Nb : j’ai fait cette histoire après un fanart que j’ai dessiné. (MERCI DE NE PAS REPOSTER SANS ME CRÉDITER)
Les dessins se trouveront à la fin.
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˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
┊sunsun ff. ♡ ┊
" c h a p i t r e 1 : i l o v e y o u. „
(Je m’inspire simplement des leur physique. En aucun cas les personnages ne les représentent.)
Elle me gifla. 
L'ambiance de la fête s'était évanouie, emportant avec elle l'insouciance de la joie et des rires passés. Pourtant, le décor restait d'une clémence surprenante, et la musique, toujours vibrante, continuait de jouer jusqu'à... silence radio. J'étais à une fête d'anniversaire. Pas n'importe laquelle, c'était la fête d'anniversaire de ma petite-amie.
Ou peut-être que ex-petite-amie est le terme plus approprié.
Le monde nous scrutait du regard. Le silence semblait presque aussi bruyant qu'un concert de heavy metal ou bien qu'une nuit à la campagne, je ne sais pas. Le cœur tourmenté, sa main, d'un élan, effleura ma joue. Ce geste, aussi soudain qu'une flamme éphémère, me laissa immobile, le souffle coupé, tandis que l'éclat des lumières décoratives contrastait avec l'ombre naissante en moi.
J'avais honte.
— Park Sunghoon, tu n'es qu'un idiot ! Comment oses-tu ? Le jour de mon anniversaire, en plus ?! Tu ne comprends définitivement rien à l'amour, s'énerva-t-elle. C'est fini entre nous.
Ainsi, elle s'éloigna, me laissant seul dans la froideur d'un instant figé. Ma main, posée sur ma joue, tentait en vain de calmer l'ardeur qui brûlait, une douleur bien plus profonde que le simple choc de sa paume, j'étais prêt à parier qu'en plus de la marque de sa main, elle avait même créé un relief, une marque. Autour de moi, les regards flottaient, lourds de silence et de jugement. Je ne cherchais pas à me justifier, ni même à comprendre; je restais là, la tête baissée, envahi par une honte qui me consumait. Une étrange résignation me tenait, comme si, au plus profond de moi, je savais qu'elle avait raison, que ce châtiment muet était celui que je méritais. Je n'y comprenais rien en l'amour, et je n'avais donc jamais réussi à la faire sentir aimée.
Mais pour être d'une grande sincérité, je n'étais pas spécialement amoureux. Elle me plaisait, mais ça n'allait guère plus loin.
J'étais Park Sunghoon, le roi de la glace.
Et le roi venait de se faire humilier.
Je me suis pris la tempête la plus glaciale de mon royaume.
Finalement, l'amour c'est pour les nuls.
Ou justement, pas pour les nuls comme moi.
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
J'étais en cours de mathématique, faisant simplement acte de présence. Loin de moi l'idée d'écouter quelque chose qui ne m'intéressait et ne m'intéressera jamais. J'avais mieux à faire. La scène de la semaine dernière, cette claque, revenait sans cesse comme un refrain, marquant mon esprit d'un souvenir encore brûlant. Le regard perdu vers la fenêtre, je sentis une main secouer mon épaule.
— Sunghoon..! Ça fait 10 plombs que je t'appelle. chuchota Jake, mon meilleur ami -et voisin de table-
— Ça se voit, t'as les cheveux blanc qui commencent à pousser. plaisantai-je.
— Haha, très drôle. retoqua-t-il sarcastiquement. Ça te dit d'aller à la salle d'arcade après les cours ??
— Je suis désolée, je dois récupérer ma sœur ce soir, je pourrais pas.
— T'inquiète ! On remettra ça ! me rassura-t-il d'un sourire radieux
Jake était ce genre de personne rare, bienveillante et lumineuse, trop précieuse pour ce monde. Il était même trop bon pour ce mauvais monde. Mon seul ami depuis l'enfance, celui qui contrastait avec mon caractère froid et distant. Lui, chaleureux et extraverti, avait le don de se lier d'amitié avec tous.
Il était tout ce que je n'étais pas, chaleureux, agréable, positif, enthousiaste. En plus d'être délégué, il se portait toujours présent pour autrui. C'est un homme formidable et amical.
J'étais bien différent.
On avait nos différends.
Le fin des cours retentit, nous indiquant qu'il était finalement l'heure pour chacun de rentrer chez soi, hormis les élèves punis. Ces derniers avaient comme mission d'accomplir l'heure de colle.
Dans la cours, après avoir salué Jake et Ni-Ki, un petit de troisième qu'il veillait comme un grand frère, je m'apprêtais à rentrer.
Enfin,...
Jusqu'à qu'une étrange main retient ma chemise. Par pur réflexe, je me retournai.
C'était un garçon, un jeune homme, pas plus grand que moi. Il était blond, certainement pas une couleur naturelle. Nous avions droit aux teintures même dans notre établissement ? Quoiqu'il en soit, sa chevelure dorée telle la lumière douce d'un crépuscule, semblait porter sur lui un éclat éternel. Son visage, fin et délicat, évoquait la pureté d'une fleur de camélia, chaque trait subtilement sculpté comme une œuvre d'art éthérée. Ses yeux, vastes et lumineux, sont deux étoiles perdues dans un ciel d'ivoire, captivant ceux qui osent les croiser. Ses lèvres, légèrement rosées, semblaient prêtes à murmurer des secrets du vent. Il était une brise légère dans la chaleur d'un été, à la fois doux et envoûtant, irradiant une aura à la fois mystérieuse et angélique. C'était cela, c'était un ange.
Un ange tombé du ciel.
Il me regardait avec des yeux qui m'inculquaient du stresse, de l'excitation, de la peur mais aussi du courage. Son regard pétillant m'hypnotisaient
Il retira sa main, et baissa légèrement la tête.
— Park Sunghoon ? Hum... commença-t-il, jouant avec ses doigts, il y a une chose à laquelle je dois te faire part.
Il prit une grande inspiration, puis plongea son regard dans le mien, ses yeux brillants d'une sincérité presque effrayante. Ses joues rosirent, et je pouvais voir son corps frémir, partagé entre courage et vulnérabilité.
Ça ne pouvait tout de même pas être une déclaration d'amour..
— Je... Je t'aime. Sors avec moi.
C'était une déclaration d'amour.
Je restais planté là, ses mots résonnant dans mon esprit. Une déclaration d'amour ? Inattendu, c'est le moins qu'on puisse dire. J'étais à des kilomètres d'imaginer qu'un mec que je ne connaissais même pas puisse se pointer, les joues rouges, les mains tremblantes, pour me dire... ça. Moi, Sunghoon, le roi de glace, me retrouver face à une déclaration d'amour d'un parfait inconnu ? Mais comment tu réagis à ça sérieux ?
Normalement, j'aurais eu un réflexe de recul, une indifférence polie pour m'échapper de cette situation. Après tout, ce genre de choses, l'amour et toutes les émotions qui vont avec, m'échappaient. La claque de mon ex, sa colère, tout ça m'avait fait comprendre que ce n'était pas mon truc. Je n'avais jamais su ce qu'elle attendait vraiment de moi, et je n'avais même pas cherché à comprendre. Elle avait raison, probablement : je ne comprenais rien aux sentiments, à l'attachement. Peut-être parce que je ne les avais jamais ressentis de cette façon.
Mais en regardant ce dernier, quelque chose en moi hésita. Sa sincérité, l'authenticité de son regard... Il avait l'air d'y croire vraiment. Ce n'était pas un sentiment réciproque, mais une curiosité me poussait à accepter, comme une sorte de défi. Peut-être que cette fois, en me lançant dans l'inconnu, je probablement pourrais comprendre ce que les autres ressentaient, ou au moins essayer.
Ma main glissa machinalement sur ma nuque, signe de ma gêne, et je détournai les yeux, avant de lâcher, presque sans enthousiasme mais avec une sorte de curiosité étrange :
— D'accord... un léger souffle sortant de mes lèvres.
— C'est rien. Je me disais bien que tu— Attends, quoi ?? Tu viens d'accepter ???
— Oui.
— Mais je croyais que t'étais hétéro !
Je fronçai les sourcils, sentant une pointe d'agacement monter en moi. Dites moi que c'était une plaisanterie. Et puis quoi encore ? Il me fait une déclaration en pensant que j'étais hétéro ? Et maintenant, il fait les grands yeux parce que j'ai dit oui ?
— Si tu pensais que j'étais hétéro, pourquoi m'avoir demandé de sortir avec toi ?! demandai-je en haussant le ton, de plus en plus agacé par cette situation absurde.
Le blond haussa les épaules, un petit sourire satisfait sur les lèvres, comme s'il s'amusait de ma réaction.
— J'ai toujours rêvé de dire ça, avoua-t-il, avec un air mi-fier, mi-détaché. Il y avait une pointe d'audace dans ses yeux, un mélange de défi et de fierté qui semblait dire qu'il n'avait rien à perdre.
Ah, voilà, c'est ça, un jeu. Tout ça pour une phrase qui lui trottait dans la tête. Bien, et moi, je fais quoi maintenant ? Je retourne à ma vie de "roi de glace" et on fait comme si de rien n'était ?
Par la suite son expression changea, se faisant plus sérieuse, presque vulnérable.
— Et puis, il fallait que je te dise ce que je ressens pour pouvoir passer à autre chose, ajouta-t-il doucement. Mais je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes.
Son honnêteté me surprit. D'un coup, je me retrouvais face à quelqu'un qui m'expliquait ses raisons, sans détour ni fioriture. Pas comme mon ex, pas comme toutes ces personnes qui jouaient des jeux que je ne comprenais même pas.
— Pour être honnête, je n'y connais rien en l'amour, dis-je en lâchant un soupir. Je n'avais jamais vraiment réussi à comprendre ce que les gens attendaient de moi. Ma dernière relation m'avait montré que j'étais loin d'avoir tout compris.
Mais peut-être, pensais-je, que c'était justement pour ça que j'avais dit oui. Peut-être que j'avais besoin de tenter quelque chose de différent pour enfin savoir ce que ça faisait.
— Oui, j'ai sais. Tout le lycée ne parle que de la claque que tu t'es prise ! rit-il doucement.
Quelque chose me dit qu'il n'avait pas fini de jouer avec mes limites.
Un sourire amer flotta alors sur mes lèvres, les mains dans les poches, tout en sortant un soupir audible.
— Aaah... tout compte fait, je pense décliner ton offre-
Mais avant que je ne puisse achever ma phrase, il s'empressa d'ajouter :
— Attends attends, s'écria-t-il, agitant ses mains pour me retenir.
Bah tiens donc.
Il esquissa un sourire radieux, un sourire sincère, lumineux... presque céleste. Ses lèvres, délicatement courbées, laissaient transparaître une douceur infinie, un éclat de bonheur pur qui, pour un instant, semblait suspendre le temps. C'était un sourire rare, celui qui réchauffe l'âme et laisse une empreinte indélébile, comme une étoile filante traversant le ciel.
— Je peux t'apprendre ce qu'est l'amour. finit-il par dire.
Je restai silencieux, pris entre la tentation de découvrir ce qu'il avait à m'offrir et la méfiance que j'avais envers tout ce qui touchait aux sentiments.
— Bon... tentai-je de briser le silence, une légère hésitation dans ma voix. Veux-tu m'accompagner ? Je dois aller chercher ma sœur au collège. 
— Ça aurait été un plaisir, mais... je suis collé, répondit-il, sa voix teintée d'un brin de désespoir, un sourire gênée.
Lui ? Lui ??
L'idée de voir LUI en retenue me surprit. Lui, qui semblait être la définition même de l'innocence, l'âme d'un enfant qui n'oserait jamais transgresser les règles. 
— Toi ? Pourquoi donc ? demandai-je, un mélange d'étonnement et de curiosité se mêlant à mes mots. 
Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, illuminant son visage d'une lumière espiègle. 
— J'ai peint mon casier avec des paillettes... avoua-t-il, presque comme une confession. 
Bien sûr.
Là je comprenais mieux.
Qui d'autre que ce type aurait eu le courage de transformer un simple espace de rangement en l'atelier de la fée Clochette ?
Puis, sans crier gare, il fouilla dans son sac et en sortit un stylo. D'une douceur infinie, il saisit mon bras, et l'éclat de ses doigts chauds contrastait avec ma peau glacée, me laissant frémir sous cette délicate étreinte. Un frisson me parcourut, me rappelant le frôlement léger d'une brise d'été. Lentement, il traça une série de chiffres...
Est-ce bien ce que je pense ?
Oui, son numéro.
C'était son numéro.
Son numéro, encré sur ma peau comme une promesse silencieuse. Un petit « xo » à la fin, symbole d'une affection voilée.
— Envoie-moi un message... ou appelle-moi, murmura-t-il, son ton flirtant avec l'éternité, accompagné d'un clin d'œil.
Il s'éloigna, me laissant seul, figé, encore prisonnier de l'instant. Un sourire discret se dessina sur mes lèvres, comme une fleur timide émergeant au printemps. Mon cœur battait la chamade, mes joues s'enflammaient... Bordel. Que venait-il de me faire ?
Je venais d'avoir un petit ami. Un inconnu, un mystère à peine entrevu, un mec que je ne connaissais que des moindres et pourtant, peut-être serait-il mon Soleil.
Tandis que je restais là, à revivre la scène en boucle, mes yeux fixés sur mon bras, une soudaine vérité m'étreignit, frappé à plein fouet.
Merde... comment s'appelle-t-il... ?
À suivre…
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Merci à tous d’avoir lu ! <3
C’est la toute première fois que je poste ici hihi 🤭
J’espère que ça vous a plu !
J’aimerais savoir si j’en fais une suite, si l’histoire intéresse :)
Prenez soin de vous ! Bisous 🩷
XOXO.
(Les dessins sont juste ci dessous)
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affiches-cinema · 10 months ago
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La nuit est mon royaume de Georges Lacombe avec Jean Gabin, 1951.
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selidren · 1 year ago
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Printemps 1906 - Champs-les-Sims
15/19
Peut-être ne le savez vous pas, mais ma Grand-Mère a tout d'une bonne chrétienne, avec malgré tout une grande croyance en beaucoup d'histoires mystiques. Elle m'a raconté toute mon enfance qu'il arrivait aux fantômes de la famille de la visiter la nuit, quand tout le monde dormait. Selon elle, Tante Daphné voyait elle aussi les esprit, mais il n'y a plus moyen aujourd'hui de le lui demander. Elle ajoute aussi fréquemment que quand elle aperçoit le fantôme de Grand-Père, c'est qu'un grand malheur se prépare.
Transcription :
Rhabba : Ô esprit des défunts... Ô ombre des âmes du royaume d'Osiris souverain... Ecoutez mes chants et mes paroles. Remontez des champs d'Ialou, parmi les terrestres du royaume diurne de Râ. Répondez moi... Faites entendre votre voix...
Rhabba : Les esprits sont là, Madame. C'est à vous d'appeler le bon. Allez-y ?
Eugénie : Très bien. Heu... André ?
Rhabba : André, frère qui marche aux côtés d'Anubis. Celui que Ammout la cruelle ne dévora pas... Ton épouse bien-aimée t'appelle ! Réponds à ses sollicitations...
Rhabba : Voyez-vous la brume dans la sphère Madame ?
Eugénie : Oui, enfin je crois.
Rhabba : Il est ici, remonté du Royaume d'Osiris.
Eugénie : Le Royaume d'Osiris... Très bien...
Rhabba : Posez-lui vos questions, je vous transmettrai ses réponses et... oh attendez... il a quelque chose à vous transmettre urgemment. Il dit qu'il vous aime et qu'il est desolé de vous avoir abandonnée ainsi dans des temps si troublés.
Eugénie : C'est bien André... Madame Rhabba, force est de constater que vous n'avez rien des charlatans qui prétendent convoquer les morts par chez nous.
Eugénie : A quoi cela ressemble-t-il de l'autre côté ?
Rhabba : Il dit avoir parcouru les longs champs de blé doré avant d'atteindre le pays de l'éternelle quiétude. Sous l'égide de Dieu, ce royaume est baigné par un doux soleil, traversé de fraîches rivières. Il converse souvent avec ses parents, qui l'ont attendu, fils idéal, pendant si longtemps.
Eugénie : Oh... Est-il avec nos enfants ? Mon petit Matthieu...
Rhabba : Votre fils est là-bas lui aussi. Il vous aime aussi tendrement qu'André.
Eugénie : Hum... André est-il heureux ?
Rhabba : Oui. Mais son bonheur n'est pas complet.
Eugénie : Vraiment ?
Rhabba : Il dit que l'endroit est parfait. Qu'il se sent en paix. Mais pas complet. Votre absence auprès de lui le torture, si bien qu'il sent qu'il a laissé en vous une part de lui-même.
Eugénie : Il veut... que nous passion l'éternité ensemble ?
Rhabba : C'est cela. Mais il vous fait savoir de prendre votre temps. Il sait qu'il serait égoïste de vous appeler à lui alors que votre famille a tant besoin de vous.
Rhabba : Ô esprit d'André ! Que veux-tu dire d'autre à ton épouse adorée ?
Eugénie : Merci mais ce ne sera pas néc...
Rhabba : Il veut que vous sachiez que peu importe ce qui s'est passé, cela n'est pas de votre faute, il ne faut jamais, au grand jamais, vous le reprocher.
Eugénie : ... Pas de doute possible, il n'y a que mon mari pour me dire ce genre de choses.
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lilias42 · 2 months ago
Note
Coucou alors le peuple veut savoir : des informations sur l'histoire d'Aura (qui est-elle ? comment est-elle apparue ?), et sur ton idée en cours (quelles inspirations etc.) ?
Coucou ! :D Merci beaucoup pour les questions ! Et oui ! Des questions sur Aura ! Merci beaucoup !
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(L'évolution du design d'Aura dans le temps, du plus vieux à l'actuel de gauche à droite, même si à la base, il y avait "que" 3 bandes de feuilles pour les habits de la plus vieille mais bon, je dessinais pas très bien à l'époque ^^')
Aura :
Alors, pour Aura, comme j'en ai déjà parlé, c'est mon plus vieux personnage et celle que j'utilise pour me représenter moi-même. En fait, de base, je l'avais créé avec des amis à l'école primaire (vers le CE2 de mémoire) : on regardait toutes les Winx alors, une amie qui aimait beaucoup écrire / dessiner avait imaginé qu'on vivait des aventures proches des leurs en combattant Lord Valtor, et chacune d'entre nous venait d'une planète différente. Elle m'avait attribué Pluton et un pouvoir du feu (j'ai jamais su pourquoi le feu sur le coup, mais je suppose que c'était parce que j'avais plus de reflets roux et la seule du groupe avec des taches de rousseur à l'époque) et là, j'avais choisi mon surnom, soit Aura, même si j'avais pas vraiment d'apparence différente, juste que j'étais la plus petite car je venais de Pluton qui est une petite planète contrairement à elle qui venait de Mars et Vénus.
C'est plus je me suis réapproprié son personnage qu'elle a pris sa forme actuelle et j'ai commencé à la dessiner à peu près au même moment où je me suis mis à dessiner. Cette fois, elle était toujours une plutonienne avec des pouvoirs de feu (mais aussi télékinétique pour déplacer des objets de taille normal tout en faisant la taille d'une poupée Barbie) mais, elle rejoignait d'autres enfants du reste du système solaire pour combattre le Soleil Noir (c'est surement de là que vient le fait que le soleil est souvent l'astre des méchants, là où la nuit est le moment propice à la magie et où les personnages se sentent bien) pour défendre le bon royaume de la Lune dirigé par Queen Serenity (oui, j'ai beaucoup bouffé des animes des années 80-90 quand j'étais petites, surtout Sailor Moon et Sakura Chasseuse de Cartes alors, des personnages de ses histoires revenaient souvent) et Aura partait sur Terre pour veiller à ce que le Soleil Noir ne corrompe pas les humains. C'est aussi là qu'elle a gagné sa queue de cheval haute sur le côté, qui va de plus en plus ressembler à une flamme au fil du temps, et ses ailes qui apparaissent et disparaissent aléatoirement vu que soit elle vole, soit elle flotte dans les airs étant donné qu'elle reste toujours toute petite (elle restait même souvent sur les épaules de ses amis, surtout son meilleur ami de Jupiter qui est immense).
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(si, si, je jure, la queue de cheval est censé être à gauche ! ^^' Et ça, c'est le design plus travaillé, je ne suis pas arrivé à retrouver mes vieux vieux carnets avec son design original plus simple)
Ensuite, au fil de l'adolescence, elle restait en mission sur Terre mais, ça alternait entre "elle est là pour étudier les humains qui sont l'espèce la plus en retard du système solaire afin de les aider" et "elle est là pour étudier pour ensuite voter si les humains doivent continuer à exister ou pas vu qu'ils détruisent leur planète et veulent aller coloniser d'autres planètes une fois qu'ils auront pété la leur" (oui, le collège a été une période compliquée alors, j'aimais pas vraiment les autres humains, et j'avais pas encore le recul pour me dire que bon, la civilisation avancée qui vient aider les sauvages terriens, c'était pas une très bonne idée).
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(j'avais un truc avec les horloges et les grosses mécaniques à l'époque du lycée... ça devait être quand les copains m'avaient poussé à aller sur Wattpad...)
A la fin du lycée où elle se calme aussi en même temps que moi niveau "je déteste les humains, je veux me barrer de cette planète", elle gagne un nouveau look avec un aspect plus steampunk vu que j'avais un gros délire sur les rouages et les design ultra complexe à ce moment-là qui remplace ses habits en feuilles. Elle a même gagné un frère "double" venant de Charon, le satellite de la planète Pluton (vu que les deux s'influencent beaucoup dans leur rotation et tournent de tandem, j'avais imaginé que dès que quelqu'un naissait sur Pluton / Charon, une autre personne naissait aussi sur l'autre planète et que les deux avaient un lien télépathique qui les unissaient comme des frères et soeurs) qui était spécialisé en géographie pendant qu'Aura préférait l'histoire. J'avais même l'idée de faire un manuel d'histoire romaine avec eux deux, où Aura se baladerait à Rome et dans l'Empire pour dire ce qu'elle voyait, avec son frère qui donnant des infos sur les environnements.
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(Aura à gauche et en paysage, son frère Spirit à droite et en portrait, j'avais imaginé son design comme étant celui d'Aura mais en inversé [queue de cheval basse et à droite, un serre-tête à gauche au lieu d'un chapeau à droite, un tour de cou avec un pendentif en flamme plutôt qu'un pendant plus lâche des boutons droits au lieu de travers...)
A présent, même si je me sers d'elle plus comme d'une représentation de moi-même vu qu'on a vraiment grandi ensemble toutes les deux, elle a encore une petite histoire à elle pour le moment. C'est toujours une plutonienne qui vit sur Terre mais, comme journaliste avec son frère qui sert d'agent de liaison, et ses meilleurs amis viennent chacun d'une planète différente. Pour sa personnalité, c'est une personne assez vive et énergique, qui va facilement vers les autres et se fait plein d'amis (trait qu'elle a gardé de ma période adolescente, j'aurais adoré être bien moins timide et bizarre [j'arrivais pas à me plier à ce que je trouvais stupide comme le fameux "il faut souffrir {et geler} pour être belle"] à l'époque ^^'), très curieuse qui va fouiner n'importe où pour trouver des informations et se renseigner sur la Terre et maintenant, elle assume bien plus ses côtés plus étranges. Elle a aussi encore changé de look pour une apparence plus simple avec une veste, un haut croisé et son collier en forme de flamme que j'utilise à présent pour la représenter (beaucoup plus simple pour en faire des chibis qu'avec son design ultra détaillé ^^') même si je peux toujours la faire avec ses habits steampunk vu que j'aime toujours cette tenue ^^
C'est vraiment un perso que j'adore dessiner alors, elle évolue beaucoup et elle risque de faire d'autres apparitions sur ce blog ! :D
Idée en cours (et faut vraiment que je lui trouve un titre ^^') :
Pour cette idée, je me suis pas mal basée sur ce que j'avais déjà fait avec ma version de la famille Fraldarius mais, sans la contrainte du canon pour faire mon propre truc sans cet encombrant boulet au pied. Ma famille principale est principalement mes Fraldarius mais, où ils survivent tous jusqu'à la fin sans avoir besoin de les faire disparaitre par nécessité de coller au scénario du jeu (l'équivalent de Guillaume, Aliénor et Félicia survivent par exemple) avec une autre histoire qui se concentre plus sur leur ascension vu qu'ils sont de la toute petite noblesse cette fois mais, qu'ils montraient en grade petit à petit, même si l'aspect fantastique deviendrait de plus en plus important au fur et à mesure de l'histoire, notamment lors de la partie de la 2e génération (notamment avec le destin de Caemgen et la naissance de son petit dernier Dil, qui est né d'une vivante et d'un mort vu que son père a échappé de très peu à ça après avoir pâmé la discussion avec la faucheuse un moment alors, c'est plus ou moins une aberration car c'est pas censé arriver de naitre d'un ou d'une mort.e). Les origines aussi de cet univers seraient également vraiment imprégnés de magie qui aurait encore des retombés sur le présent, notamment parce qu'elle s'est imprégnée dans les environnements et influencent des régions entière.
Dans la première partie, même s'il y a de la magie, on se concentrait surtout sur Gwilim et Siofra Fontanges qui bâtissent petit à petit leur fortune et leur nom, tout en restant les rois de la débrouille et en n'hésitant pas trop avant de donner un coup de main à leurs sujets dans le but d'éviter les impôts, eux-mêmes étant opposés à pas mal de mesures du souverain, même s'il y aurait surement un équivalent à Ludovic étant donné qu'il finirait par aider un bon souverain à monter sur le trône, ce qui permettrait aussi de valider officiellement leur ascension. Pour les inspirations, ça irait surement beaucoup chercher dans l'histoire de France, mais aussi dans celle de mon coin en particulier. J'aimerais bien casé un équivalent à la Salle Héraldique, une très grande salle où tout le plafond est recouvert de blasons représentant les alliés des comtes du Forez, qui a été soit construite pour un mariage, soit pour l'émancipation d'un des comtes (si vous passer dans le coin, allez la voir, c'est magnifique !), peut-être pour quand Gwilim et Siofra marquent leur ascension pour montrer leur puissance avec une salle similaire. Un autre truc serait que pas mal de monastères fortifiés. Le Forez, c'est une zone frontalière avec des terres d'Empire (genre Lyon qu'on déteste depuis des générations) alors, y a pas mal de places fortes et fortifié tout le long de la frontières (je veux dire, ça c'est Saint-Romain-le-Puy, la tête de l'église qui est au sommet d'un piton rocheux avec une bonne enceinte, même si lui, c'est particulier, y a aussi un château avec -et là aussi, si vous êtes dans le coin, allez-y). ça pourrait être une bonne base pour la ville des Fontanges qui pourrait être perché en hauteur comme ça.
Mais pour la deuxième partie où on suit leurs enfants, là, on tournerait plus vers du fantastique où j'aimerais bien m'inspirer des contes français, et encore une fois foréziens comme les contes des quenouillères (oui, grande région où on faisait de la dentelle en hiver pour compléter ses revenus). J'aime beaucoup les contes de fées et les légendes alors, j'aimerais arriver à retranscrire leur ambiance, notamment avec les personnages encore humains qui ne comprennent pas ce qui se passe et reçoivent une punition karmique après avoir mal agi et continuer à mal agir en connaissance de cause.
J'aimerais bien caser une punition ressemblant au conte "L'Auvergnat" par exemple, où un homme particulièrement radin fait tomber son poisson (pourri car il a acheté le moins cher), ramasse à la place un gros crapaud qu'il mange mais, l'influence maléfique du crapaud (animal très lié au diable vu que plusieurs d'entre eux sont au mieux urticants, au pire toxiques - par pitié, n'en toucher jamais à mains nues, mettez des gants épais si vous devez en manipuler !) le rend complètement fou et vivre un véritable enfer avant de se faire brûler lui-même, où ce serait Dil qui - en pensant faire une farce à quelqu'un qui a mal parlé à son papa - met un crapaud dans le sac de cette personne en l'ayant chargé de sa magie.
Enfin, pour les origines de cet univers, ce serait aussi pas mal inspiré de mes Braves mais, sans devoir tous les faire mourir dans d'affreuses souffrances à la fin et qui ont un avenir un peu moins noir bouché foutu pour tout le monde en attendant que les persos du jeu viennent les sauver. ça partirait en cacahuète à un moment ou un autre pour que la suite de l'histoire arrive dans cet univers mais, ça me permettrait de faire une histoire qui se déroule pendant l'Antiquité, qui est ma période historique préférée.
En fait, le truc avec cette histoire, c'est que j'aimerai finir celles que j'ai en cours, même si c'est de la fanfic (notamment mon billet sur Pyrkaïa, une "petite" histoire tournant autour des lions de saphir qui trouve une pierre de résurrection, et j'aimerais aussi écrire une petite histoire sur Halloween, que ce soit en reprenant mon histoire de chasse fantastique de l'année dernière ou autour du fait que plusieurs personnages soient contrôlés mentalement sur AG avec tous les sacrifices qu'il faut faire pour les libérer) alors, je n'ai pas encore commencé à l'écrire. Au moins, ça fera bien mijoter l'idée avant de le mettre sur papier et ça me permettra de me décider si j'écris l'histoire de la famille Fontanges en premier ou l'origine de cet univers afin d'avoir un monde bien solide... enfin on verra bien !
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lepartidelamort · 1 year ago
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Isaïe 34 :
Approchez-vous, nations, pour bien entendre! Peuples, soyez attentifs! Que la terre écoute avec tout ce qu’elle contient, le monde avec tout ce qu’il produit! En effet, la colère de l’Éternel s’abat sur toutes les nations et sa fureur sur toute leur armée: il les voue à l’extermination, il les livre au carnage. Leurs victimes sont jetées, leurs cadavres exhalent la puanteur et les montagnes ruissellent de leur sang. Tous les corps célestes se désagrègent; le ciel est roulé comme un livre et *tous ses corps tomberont comme la feuille de la vigne, comme celle du figuier. C’est que mon épée s’est enivrée dans le ciel. La voici qui descend pour frapper Edom, ce peuple que, pour respecter le droit, j’ai voué à la destruction définitive. L’épée de l’Eternel est pleine de sang, recouverte de graisse, du sang des agneaux et des boucs, de la graisse des rognons des béliers. Oui, c’est un repas sacrificiel pour l’Eternel qui se déroule à Botsra, un grand carnage dans le pays d’Edom. Les buffles tombent avec eux, et les boeufs avec les taureaux. Leur pays s’enivre de ce sang et leur poussière est imprégnée de graisse. En effet, c’est un jour de vengeance pour l’Eternel, une année de représailles pour la cause de Sion.
Isaïe 60 :
Des étrangers reconstruiront tes murailles et leurs rois te serviront, car dans mon irritation je t’avais frappée, mais dans ma grâce j’ai compassion de toi. Tes portes seront constamment ouvertes, elles ne seront fermées ni le jour ni la nuit pour laisser entrer chez toi les ressources des nations, ainsi que leurs rois en cortège. En effet, la nation et le royaume qui ne te seront pas asservis disparaîtront, ces nations-là seront totalement ruinées. Tu te nourriras du lait des nations, tu te rassasieras des richesses des rois, et tu sauras que c’est moi qui suis l’Eternel, ton sauveur, celui qui te rachète, le Dieu puissant de Jacob.
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alain-keler · 9 months ago
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Mercredi 24 janvier 1979.
Marrakech, Maroc.
Le Shah et la Shabanou au Maroc.
Poursuivant leur voyage hors d'Iran, les souverains iraniens sont arrivés à Marrakech où ils séjourneront dans le palais d'hiver du Roi Hassan II pour une durée indéterminée (Légende Sygma). Un exil en remplace un autre.
Étrange pays où le Shah se rend après un court séjour en Égypte. Pour se faire pardonner l’impossibilité pour les journalistes de couvrir l’arrivée du Shah deux jours auparavant, une séance photo est organisée, puis un repas dans le somptueux palais du prince Moulay Ali. En repartant dans la nuit de ce palais pour retourner à Marrakech, nous traversons des quartiers d’une grande pauvreté. Intrépide dans mes pensées, je me disais que le prochain Iran serait le Maroc, tant la différence entre les classes de dirigeants et le peuple étaient grandes. J’ai eu tort.
Le Maroc a toujours aujourd’hui un régime autoritaire, même si des avancées démocratiques ont été données à l’occident bailleur de fonds du Royaume. L’autoritarisme a sans doute repoussé l’avancée de tous les dangers.
Un petit retour sur les dates :
Lundi 6 novembre 1978 : Paris Téhéran. Jeudi 19 décembre : Téhéran Paris.
Samedi 30 décembre : Paris Téhéran. Nouvel an au Park Hôtel. Mardi 9 janvier 1979 : Téhéran Paris.
Jeudi 11, 16,17 janvier 1979 : Neauphle le château, résidence de l'ayatollah Khomeiny en exil.
Jeudi 18 janvier : Paris Marrakech. Je note sur mon carnet : Rencontré François Lochon à Orly. Nous avons voyagé ensemble avec Randy Taylor (A.P), et Alexandre Aufort comme Stewart ! Alexandre a ensuite travaillé comme cameraman pendant de nombreuses années à Capa. Il m'a notamment filmé pour la série d'Arte* "les cent photos du siècle" à propos de ma photo sur la confession publique à Gdansk pendant la grande grève de Solidarnosc. 
Lundi 22 janvier, arrivée de l'avion du Shah à l'aéroport de Marrakech. Les journalistes ont été bloqués à l'hôtel El Badia.
Mardi 23 janvier 1979. Journée de tourisme.
Mercredi 24, matin. Tourisme dans la médina. 16.00 heures séance photo très rapide du shah et de la shabanou. Un seul film noir & blanc. La couleur était plus importante. L'agence m'avait appelé pour me dire que j'étais en "assignment" (commande) pour Newsweek.
Jeudi 25 janvier envoi des films par Air France.
Le soir réception offerte par le Comte de Paris.
Vendredi 26 janvier : Dîner offert à la presse par le Prince Moulay Ali, pour faire pardonner les mauvais traitements à l'arrivée de Shah.
Dimanche 28 janvier 1979 : Marrakech Paris.
Mercredi 21 janvier 1979 : Paris Téhéran. Jeudi 1er février, arrivée de l'Ayatollah Khomeiny.
On fait le raccord avec la parution de ce journal le vendredi 9 février 2024.
* série réalisée par Marie Monique Robin.
Réédition en partie du journal du 19 juin 2014.
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kamomille9 · 2 years ago
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Fanfic Pendranièvre
Avec toutes les fanfictions que j'ai lu sur Arthur et Guenièvre dans l'univers d'AA je me lance enfin !!! Vive KAAMELOTT et mon chéri qui m'a fait découvrir cette série et qui maintenant s'en mord les doigts parce que j'arrête pas de les regarder XD
Bonne lecture à toutes et tous !!
Le Cœur a ses raisons…
Résumé : Après la faute commise par Arthur avec Dame Mévanwi, Guenièvre décide que c’en est trop. Elle veut partir. Pour aller où ? Rejoindre Lancelot ? Certainement pas ! Guenièvre voulait être libre et quel était l’intérêt de quitter l’homme que l’on aime pour un homme que l’on n’est pas sûre d’aimer ? Elle avait besoin de plus de certitudes car tout ce que la Reine de Bretagne avait jamais voulu c’était aimer et être aimer en retour…
Chapitre 1 : l’Annulation
Guenièvre Pendragon pensait avoir une patience et une tolérance infinies. Cependant, même la Reine du Royaume de Logres avait ses limites. Son mari avait joué avec ces limites pendant près de 15 ans et aujourd’hui la jeune femme ne pouvait pas laisser passer cette trahison. La femme d’un chevalier… Mévanwi de Vannes… Cette goutte d’eau avait fait déborder le vase de Guenièvre. Il lui semblait que son cœur, saignant depuis des années de la maltraitance émotionnelle de son mari, avait fini par s’ouvrir en deux. L’air lui manquait terriblement et les larmes coulaient abondamment sur ses joues laiteuses.
La nuit était pourtant calme au château de Kaamelott durant laquelle elle avait surpris le Roi avec sa nouvelle conquête. Recroquevillée dans son lit, elle n’arrivait pas à calmer la tempête qui régnait dans sa poitrine. Elle ne pouvait tout simplement plus supporter sa condition de Reine de Bretagne. Il fallait qu’elle fasse quelque chose, qu’elle se sorte de cette situation avant qu’elle ne meure de chagrin ou qu’elle finisse par se jeter par la fenêtre de sa chambre… Elle y avait tant pensé durant ses dernières années ou le poids de la solitude se faisait de plus en plus oppressant. Seulement, à quoi cela servirait-il ? Arthur lui avait dit lui-même : elle n’était « Rien » …
Lorsque le jour se leva enfin, elle avait pris sa décision : elle ne voulait plus être la femme d’Arthur Pendragon. Elle n’était pas aussi bête que son mari et la cour du château le pensait. Elle savait que ce n’était pas si simple d’annuler un mariage… En tout premier lieu, elle devait se renseigner sur la manière dont elle devait procéder… Les lois bretonnes étaient complexes, elle aurait donc besoin d’un spécialiste pour l’aiguiller discrètement sur la marche à suivre. Elle savait que le Père Blaise se levait toujours très tôt. Elle prit donc le temps de s’habiller d’une robe bleu clair toute simple ne nécessitant pas l’aide d’Angharad. Elle n’avait pas envie de voir son amie et bonniche avant que son plan ne soit mis en marche.
Elle traversa donc le château, rasant les couloirs, ne croisant que les quelques serviteurs s’affairant avant le réveil des bourgeois. Guenièvre finit par atteindre la salle des archives sans encombre. Le Père Blaise était effectivement là, griffonnant sur un parchemin, concentré sur sa tâche. Elle racla légèrement sa gorge afin de signifier sa présence au cureton qui releva finalement le nez de son papelard.
_ Ma Reine !? Il est rare de vous voir ici de si bon matin.
_ Oui… C’est-à-dire que j’avais une question a vous posé plus ou moins urgemment, voyez-vous ? répondit-elle, forçant un sourire sur son visage fatigué.
_ Si je peux vous aider…
_ Il ne s’agit pas de moi mais d’une amie… Elle souhaiterait se renseigner sur comment faire annuler un mariage. Quelles seraient les conditions requises ?
_ Il est très difficile voir quasiment impossible d’annuler une union au royaume de Logres… répliqua le Père Blaise en fronçant les sourcils.
_ Je m’en doute bien ! Mais quels seraient les prérequis ? Peut-être ses raisons entrent-elles dans le cadre de la juridiction !
Le prêtre, outre le fait d’être extrêmement surpris par l’éloquence de sa Reine, commença tout de même à fouiller dans son barda afin de trouver la loi demandée. Il finit par trouver un petit parchemin listant les conditions à remplir afin de rompre une union légitime.
_ Y a-t-il eu bigamie, fraude ou manque de compréhension ?
_ Pas à ma connaissance, accorda Guenièvre, feignant de réfléchir intensément.
_ Il y a aussi la non-consommation de l’union, ajouta-t-il en haussant les épaules.
_ Ce qui veut dire ?
_ Ce qui veut dire que si pour toute raison l’un des époux n’a pas été capable de consommer le mariage, cela peut donner lieu à une annulation.
Les choses de l’amour dont elle avait toujours été privée… Guenièvre ne pouvait pas mieux tomber, elle rentrait pile-poil dans cette catégorie. Néanmoins, il y avait un hic…
_ Comment est-il possible de prouver que le mariage n’a pas été consommé comme vous dites ?
Le Père Blaise fronça à nouveau les sourcils d’incompréhension. Où la reine voulait-elle en venir à la fin ?
_ Je suppose qu’un examen gynécologique effectué par un médecin assermenté, ou ce qui s’en rapproche le plus, prouvant la pureté de la femme devrait suffire.
Guenièvre hocha alors la tête comme si l’information ne lui était pas plus importante que cela…
_ Et une fois les preuves rassemblées, les époux doivent-ils signer un papier stipulant l’annulation du mariage où les preuves suffisent-elles ?
Il se pencha une nouvelle fois sur le texte de loi avant de répondre par la négative. Pas besoin de signer quoique ce soit, l’attestation et le texte de loi suffiront.
_ Je vous remercie Père Blaise de m’avoir accordé un peu de votre temps. Puis-je emprunter cette loi ? Je vous la rendrais très certainement demain après l’avoir montrée à mon amie, s’empressa-t-elle d’ajouter en voyant sa réticence.
_ Bien entendu… mais demain sans faute alors !
_ C’est promis !
La reine pris donc le parchemin, le roula délicatement avant de souhaiter une bonne journée au prêtre. Guenièvre avait bien remarqué les expressions du cureton, elle savait qu’il se doutait de quelque chose et se fit la réflexion de lire attentivement le texte de loi afin de vérifier par elle-même ses dires. Une première étape de franchie, il fallait à présent passer à la suivante… Dans ce château, il n’y avait qu’une personne qui soit familière avec les examens et autres petits bobos de l’assistance : Merlin.
Il était tôt. Le château était encore largement endormi quand Guenièvre atteignit le laboratoire du druide. Elle espérait juste qu’il serait déjà réveillé. Elle frappa donc poliment avant d’entrer doucement dans la pièce. Il n’y avait personne mais elle entendait distinctement des bruits de pas venant de l’arrière.
_ Ma Reine ? Vous êtes bien matinale aujourd’hui !
L’enchanteur remarqua alors le sourire d’agacement se peignant sur son charmant visage.
_ Je sais… J’ai besoin de vous pour une affaire assez délicate…
_ Si cela concerne la magie s’est inutile, il est nul en sortilège ! scanda Elias en débarquant dans la pièce à son tour.
_ Rassurez-vous Elias, ça n’a rien à voir ! rétorqua Guenièvre alors que Merlin ouvrait déjà la bouche afin d’enguirlander son collègue.
_ Ah ? Pourquoi donc avez-vous besoin de moi alors ?
_ Comme je vous le disais c’est assez délicat mais vous êtes la seule personne en qui je peux avoir confiance et dont la déclaration ne pourra être contestée.
Merlin et Elias se regardèrent alors à la fois surpris et curieux. Ils n’osèrent ouvrir leurs bouches, attendant que la reine se décide.
_ Je souhaiterais que vous effectuiez un examen gynécologique.
Les deux hommes ouvrirent grands les yeux.
_ Mais pourquoi donc ? et sur qui ?
_ Sur moi-même, afin de vérifier ma condition d’une part et de lever le doute sur un point en particulier.
_ Sur quel point ? demanda alors Elias, craignant ce que la Reine allait répondre…
_ Ma virginité.
_ Ma Reine… Pourquoi voudriez-vous…
_ Cela ne regarde que moi ! Mais sachez que j’aurai besoin d’une attestation signée de votre main, en fait de vos mains à tous les deux tant qu’à faire, stipulant les résultats exacts de l’examen.
_ Ma Reine… dans quel but voudriez-vous…
_ Ma question est : pouvez-vous le faire ou non ? coupa Guenièvre une seconde fois.
Pour une fois, les deux enchanteurs ne savaient vraiment pas où se mettre et restaient étonnamment silencieux.
_ Dites-le moi tout de suite si vous ne pouvez pas afin que j’aille quérir le médecin du village qui lui saura ! s’exclama-t-elle devant le mutisme des deux acolytes.
_ Très bien, ne vous énervez pas…
Sans un mot, Elias commença par dégager la table de tous les objets s’y trouvant. Ils la nettoyèrent comme ils purent avant de la recouvrir d’un drap et de demander à Guenièvre de s’y allonger.
L’examen ne dura pas si longtemps que cela : quinze à vingt minutes tout au plus, mais pour Guenièvre, qui n’avait jamais été touchée, il sembla durer une éternité. Pour la première fois, les deux enchanteurs travaillèrent de concert afin d’effectuer leur tâche du mieux possible. Elias utilisa même un ou deux sortilèges afin de confirmer leurs conclusions. Ils devaient se couvrir un maximum et être sûrs de leur résultat si jamais on venait leur demander des comptes. Ce moment gênant passé, ils se penchèrent sur une feuille de parchemin vierge et commencèrent à écrire leurs conclusions.
_ Pouvez-vous en faire trois exemplaires, je vous prie, dont un que vous garderez pour vous ?
Merlin et Elias acquiescèrent d’un commun accord et finalement tendirent à la reine ses deux parchemins attestant de son indubitable virginité.
_ Je vous remercie bien… murmura-t-elle doucement gardant encore quelques instants la tête baissée avant de la relever dignement en sortant du laboratoire.
Une fois partie, Merlin et Elias poussèrent un soupir comme si la pression s’évacuait finalement de leur corps.
_ Ça craint ça… mais là vraiment ! commenta Elias en levant les bras au ciel.
_ Je ne sais pas ce qu’il a bien pu faire cette fois… mais c’était la fois de trop visiblement… ajouta Merlin en s’appuyant sur la table.
_ J’ai toujours dit qu’elle finirait par craquer ! C’est un miracle qu’elle soit restée aussi longtemps vu comment il la traite ! poursuivit l’enchanteur vêtu de noir.
_ Je le sais bien ! Mais malgré tous mes efforts j’ai jamais pu lui faire comprendre à cette tête de mule que Guenièvre était faite pour lui !
Elias leva les yeux au ciel mais préféra ne pas répondre. Jamais au grand jamais le roi n’acceptera ce fait.
En ce milieu de matinée, le château de Kaamelott n’avait jamais paru aussi calme… C’était le calme avant la tempête.
-o-
Voilà pour ce premier chapitre ! j'espère qu'il vous plaira !
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