#La Derniere femme
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ozdeg · 1 year ago
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frnndlcs · 1 year ago
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La Dernière Femme, Marco Ferreri, 1976
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manoelt-finisterrae · 1 year ago
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cultura
@les-cris-des-fendues: Ses cheveux roux sentent l'océan. Le soleil couchant se reflète sur le sable mort. La nuit s'allonge sur son lit d'apparat Tandis que la femme haletante tremblante Reçoit entre ses jambes fléchies Les derniers baisers d'un soleil mourant. Cris (Joyce Mansour)
© Manoel T, 2024
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chic-a-gigot · 18 days ago
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Le Figaro-modes, no. 37, janvier 1906, Paris. L'Art de la coiffure. Vitrine de Mm. Gilbert Frères, Coiffeurs. 8, Boulevard des Moulins, Monte-Carlo — 10, Rue de Casino, Aix-les-Bains. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
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L'art de la coiffure consiste à faire d'une jolie femme une beauté, d'une femme aux traits ordinaires une jolie femme, et d'une femme laide une presque jolie!
Il y a un tour de main spécial dans l'ondulation, une bouclette à faire bouffer selon les règles de cet art, toute une combinaison de ce génie que Gilbert a décidément atteint: aussi ses salons de Monte-Carlo l'hiver et d'Aix-les-Bains l'été sont-ils bondés de toutes les grandes élégantes qui attendent patiemment leur heure de coiffure.
Il a aussi ses fameuses teintures blondes, brunes et rousses trompant par leur réalité l'œil le plus expert!
Il a aussi… que sais-je encore? des secrets de parfums grisant comme son dernier "Monte-Carlo Caprice" et son adorable parfum des "Blondes"; il a aussi des brillantines spéciales, des crêmes pour le teint!
Ah! ces crèmes, quel délice sur la peau qu'elles adoucissent, rafraîchissent et embaument! Toutes en veulent! Toutes en ont!!!
The art of hairdressing consists in making a pretty woman a beauty, a woman with ordinary features a pretty woman, and an ugly woman an almost pretty one!
There is a special trick in waving, a curl to be fluffed according to the rules of this art, a whole combination of this genius that Gilbert has definitely achieved: so his salons in Monte-Carlo in winter and Aix-les-Bains in summer are crowded with all the great elegant ladies who patiently await their hairdressing hour.
He also has his famous blond, brown and red dyes deceiving the most expert eye by their reality!
He also has… what else do I know? secrets of intoxicating perfumes like his latest "Monte-Carlo Caprice" and his adorable perfume of "Blondes"; he also has special brilliantines, creams for the complexion!
Ah! These creams, what a delight on the skin that they soften, refresh and perfume! Everyone wants some! Everyone has some!!!
Le Gérant: Quintard. Imprimerie Lahure, 9 Rue de Fleurs, Paris. Clichés Ruckert.
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camisoledadparis · 9 days ago
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saga: Soumission & Domination 377
Nouvel an 2016-4
Le soir du 1er
Je passe rapidement dans notre chambre imprimer l'avis de " Plan Réservé, NE PAS DERANGER" et le donne à Jona. Ils s'éclipsent aussitôt sans même faire honneur au buffet.
La soirée est différente. Les mégatouzes ont laissé place à des plans plus confidentiels. Enfin, façon de dire, puisqu'il n'y a jamais moins de 4 ou 5 mecs ensemble !! Mes Escorts se sont répartis dans les différents groupes et les font profiter de leurs expériences. Sportivement, ils sortent du lot ce qui leur permet d'adopter plus facilement des positions originales.
Notre quatuor de jeunes ne s'est pas éclaté et a trouvé avec les 2 gendarmes, Xavier et Pablo une équipe à la mesure de leur faim. Comme je m'étonne de les trouver tous les 4 passifs, ils me rassurent qu'ils ont prévu de finir leur soirée en actifs et qu'ils se sont réservés pour plus tard petit Théo, Jimmy, Jules et Baz.
J'aurais dû me douter qu'ils s'étaient fait des plans pour jouir de tous les côtés !! En attendant, c'est avec leurs trous qu'ils servent de support de jouissance à leurs ainés. De leur côté ils n'ont pas l'air d'en souffrir trop !
Ludovic me rejoint, on déambule donc bras dessus bras dessous ou plutôt son bras sur mes épaules et ma main sur et parfois entre ses fesses.
On trouve bientôt mes deux " russes ", Viktor et Nicolaï qui s'apprêtaient à engager les hostilités avec Stéphane (mon écraseur), Louis exceptionnellement délaissé par son Franck, Léo qui a laissé le trou de son Arnaud à un autre mâle actif et Manu (mon serveur d'été de La Palmyre). On se trouve un espace libre autour de la piscine de la serre. A 8 ça demande quelques m² pour pouvoir exprimer ses délires.
Le rebord du bassin à juste la bonne hauteur pour supporter les torses de ceux qu'on encule. Collés épaules contre épaules, Louis, Manu, Stéphane et Nicolaï subissent les saillies (on est des vraies bêtes en rut) de respectivement, Léo, Victor, Ludovic et moi-même.
Louis laisse échapper sans honte ses émotions. Il gémit sous les coups de butoir de Léo au caractère très dominant. Arnaud est, depuis son dépucelage par son oncle Bruno, une véritable petite " salope " qui aime se faire démonter la rondelle virilement et par son Léo en particulier.
Les autres enculés l'entendant ne se gênent plus pour exprimer aussi leurs plaisirs. Du coup les commentaires fusent. Les " petites salope " alternent avec les " grosse salope ", les " trou à bite " et autres " chienne " de notre part à nous.
......
Le 2 janvier
Réveils vers 11h. Je retrouve au petit déjeuner mes deux " espions " et Côme. Ils me remercient pour hier soir. Ils étaient trop contents de se retrouver. Côme me dit qu'avec eux c'est vraiment différent. Même quand ils " s'égarait " avec nous tous (cf. les touzes de l'été dernier chez ses parents avec la triplette et nous les occupants du blockhaus), c'était bon mais ça n'avait pas l'intensité qu'il atteint avec ces deux-là.
Je roule un patin aux trois, content que ça se passe comme ça entre eux.
Midi Jona se fait appeler sur son portable. Quand il coupe, il demande à me voir isolément avec François.
Là ils me racontent que le jeune mec qu'ils avaient exfiltré de Syrie s'était enfui de chez ses parents et était dans un avion vers Paris.
Je demande un peu plus de détails pour comprendre ! Jona m'explique qu'ils avaient été envoyés en Syrie, François et lui, pour sortir des griffes de Daech le fils d'un libanais (mais grand ami de la France) embrigadé depuis 3 ans et qui servait non pas de combattant mais de " repos du guerrier " comme la plupart des femmes qui rejoignent ce groupe terroriste. Le gamin avait réussi à appeler son père un an auparavant regrettant d'être parti au djihad.
Là, le père venait de l'informer que Jalil (le petit mec en question, 18 ans dont 3 ans de Daech) s'était enfui de la maison et il avait retrouvé sa trace dans un avion vers Paris.
Dans le même temps où il m'expliquait ça, François a appelé leur correspondant (militaire). Il en a reçu l'ordre d'aller le chercher à Roissy et de le prendre en charge. Comme ils avaient un vécu commun, cela serait surement plus rassurant pour le gamin. Petite explication de Jona sur où il était, avec qui et à quelle distance de Paris, réponse de sa hiérarchie, 2 motards sont en route pour l'escorter du Blockhaus (dixit l'officier traitant !!) et que pour être à l'heure à Roissy, il n'avait qu'à réquisitionner ma SLS.
J'apprends là que ma situation n'a pas de secret pour les services de renseignements de mon pays !! Va falloir faire avec !
Evidemment je suis d'accord. Le temps de lui donner mes clefs et à l'interphone l'escorte est déjà là. Je vois un motard devant la porte, l'autre est sur sa moto, les gyrophares tournent déjà. Je descends avec François. Il prend dans leur RCZ un gyrophare bleu (je ne savais pas qu'ils en avaient un) et l'installe dans ma SLS alors que Jona fait le point avec son escorte. François sort la voiture et la laisse à Jona avec pour toute recommandation " tu nous le ramènes fissa ".
La sonorisation de mon SLS permet à François d'accompagner Jona quasiment tout le temps du voyage.
Je prends des nouvelles de temps en temps. Il kiffe de rouler sans risque à plus de 200 sur l'autoroute derrière les deux motos, je le remercie de me décrasser ma caisse.
Au blockhaus, beaucoup de mouvements. Mes escorts passent chez leurs parents, Côme, Ludovic et Enguerrand font de même. Je les accompagne avec PH et Ernesto.
Echanges de voeux et je m'éclipse avec PH et Ernesto pour aller chez Emma, Ludovic est avec nous.
Idem chez ma mère, échanges de voeux, de façon un peu plus c��line/sexe que dans ma " belle famille ". Ça me fait même un dérivatif à l'aléa qui m'occupe l'esprit.
Sans bâcler le " travail ", nous passons deux bonnes heures à faire l'amour à Emma. Nous la laissons un peu fatigué alors que nous rentrons.
Retour à la maison, c'est l'effervescence. Tous ne sont pas rentrés mais c'est surtout l'arrivée prochaine de Jona et Jalil qui est de toutes les conversations. D'autant plus que quand il sera là, pas question de lui faire ressentir la moindre pression.
François a brossé le portrait du gamin :
Prénom : Jalil
Langue : Arabe, Français et Anglais
Physique : 1.78m 55 Kg, peau ambrée, yeux et cheveux noirs, imberbe, typé encore ado, Tête d'ange.
Sexe : monté 22x6 mais passif avec une taille très fine et un bassin étroit
Parcours : pendant 3 ans a servi de vide-couilles à une " brigade " de Daech en mode viol, n'a pu se réintégré dans sa famille et son milieu de départ, même si ses parents sont libéraux. Il s'est enfui et nous le récupérons.
Conclusion de ma part : personne ne lui saute dessus, sans indifférence non plus mais pas trop de sollicitude et surtout pas de pitié.
Enguerrand confirme que pour lui c'est ce genre de comportement qui lui a été le plus bénéfique même s'il n'a pas subi le quart du dixième de ce que Jalil s'est pris.
Nous évitons d'être tous dans le séjour quand ils arrivent. Les autres sont soit en train de faire du sport (la majorité) soit occupé à baiser.
Mes amours sont présents ainsi que la triplette. François a pensé que de voir des jeunes de son âge le rassurerai aussi. C'est le cas.
Les 2 heures de route (moyenne à plus de 200Km/h) lui ont permis d'être briefé sur ce qui l'attendait. Quand il débarque, nous sommes un peu plus habillés, shorts et t-shirts ont recouvert les seuls boxers qui couvraient nos fesses (quand ils n'étaient pas bottomless de chez Addicted !!).
 C'est effectivement un ange qui entre chez nous. A 18ans il en parait 16 et fragile. Son Français est excellant et sa politesse légèrement surannée. Quand il finit ses remerciements pour notre accueil, j'en fais la remarque à la triplette qui éclate de rire. Ils l'embarquent vers la cuisine en nous renvoyant à nos autres occupations.
François jette un oeil sur son protégé mais comme ce dernier suit les jeunes sans crainte, il le leur abandonne.
Récit d'Enguerrand : (sans corrections, juste quelques notes en italique)
Débarrassés des grands, nous pouvons mettre Jalil en confiance. Nous nous présentons tous les trois et lui indiquons que nous sommes amoureux tous ensemble. Nous parlons de nous, de nos études et lui disons que nous sommes contents qu'il soit venu en France.
Il nous dit avoir fréquenté le lycée Français de Beyrouth mais qu'il s'est arrêté en troisième.
Nathan lui annonce que c'est pas un souci, ils s'y connaissaient en remise à niveau. Et d'expliquer que le soutient de ses deux amours l'avait méchamment boosté et, me pointant du menton, lui dit que s'avait été un peu pareil pour moi avec Max.
J'acquiesce sans entrer dans les détails, ce sera pour plus tard nos confrontations de " misères ".
Nathan ajoute que quand même va y avoir du taf. Comme s'il était évident que Jalil allait rester chez nous. D'ailleurs c'est ce que ce dernier lui dit. Qu'il verrait avec Jona et François quel serait son avenir.
Déjà il se projette dans l'avenir, c'est beaucoup plus que ce que j'étais capable de faire quand Sasha m'a sauvé (ndlr : faudrait pas exagérer non plus !). Je m'avance peut être mais, connaissant nos ainés, je l'assure qu'il va rester dans le coin et qu'il va vite se remettre à niveau.
Ça me fait mal quand il me demande avec qui il doit coucher pour ça (moi aussi quand je le lis). Avant que j'ai eu le temps de lui dire que ça marche pas comme ça ici, Nathan ouvre sa grande gueule et lui annonce que " ce qui est bien ici c'est que t'es libre de coucher avec qui tu veux et seulement quand et si tu en as envie ".
Jalil craque ! On l'entoure et le serrons dans nos bras. Sa tête vient se poser sur mon épaule et ses larmes trempent mon t-shirt. Nous relâchons notre câlin quand il se calme. Pas de question, nous reprenons notre conversation là où elle s'est arrêtée 5 mn plus tôt.
Il nous dit être plutôt littéraire que scientifique mais surtout il craint de se retrouver avec 3 ans de plus que les autres s'il retourne à l'école. Il nous demande s'il ne pourrait pas trouver un petit travail pour pouvoir vivre en France.
Hurlements de mes deux amis et de moi aussi. Pas question qu'il laisse tomber ses études. Ok il aura 3 ans de retard mais sur une vie c'est rien !
Je lui dis qu'on va en parler avec Sasha et Jona mais hors de question qu'il reste analphabète. Ça le fait sourire, il nous dit qu'il n'est quand même pas à ce stade-là.
On part à la recherche de Sasha. Avant de le trouver en train de s'entrainer avec Jona et François, nous tombons sur quasiment tous les autres.
Jalil est impressionné. Pas par le fait qu'il n'y ait que des hommes, ni par le bâtiment mais par l'ambiance sereine qu'il y a partout. Quand on tombe sur des mecs en train de faire l'amour, (ça nous est arrivé 4 fois !) il note que le plaisir est partagé. On tombe sur Duke qui était très impatient de faire connaissance. Après nous avoir roulé un patin, il engage la conversation avec Jalil en Anglais, ce que l'autre maitrise bien aussi. Et c'est à 5 que nous arrivons aux tatamis de lutte de l'annexe.
Avec Max, je l'empêche de tomber quand il voit le combat. Probablement de mauvais souvenirs qui remontent de sa mémoire.
Jona nous voit et le combat est interrompu, Jalil trébuche mais cours dans ses bras.
Nous assistons à une séance de réconfort et d'explications à voix basse entre les deux.
Jardinier
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ekman · 5 months ago
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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greedandenby · 7 months ago
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light 
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
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thebusylilbee · 3 months ago
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Comment a-t-on pu en arriver là ? À mesure que l’on feuillette la bande dessinée, la question se répète, s’amplifie, jusqu’à former une tornade d’incompréhension. Dans Spirou et la Gorgone bleue, paru en septembre 2023 aux éditions Dupuis, certains personnages noirs ressemblent à des singes. D’autres cochent toutes les cases des caricatures racistes : une peau noir foncé, des lèvres surdimensionnées d’une couleur rosée et, parfois, des grandes mains et une mâchoire prognathe. 
Les représentations s’étalent sur des dizaines de pages et pourtant, l’œuvre a été relue, éditée et diffusée massivement en France et en Belgique depuis un an. Le synopsis de l’album tient en quelques mots : Spirou et Fantasio traquent une bande d’écoterroristes en lutte contre la malbouffe. Leur enquête les mène sur un porte-avions de l’armée américaine, subtilement baptisé USS Obama, dont les militaires poursuivent aussi les militantes écolos. À bord de l’USS Obama, tout le personnel est noir. Ou plutôt, « furtif », comme l’affirme en riant l’amirale Denzelle Jackson à bord, une grosse femme noire aux immenses lèvres roses et au cou poilu. 
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Au téléphone, le dessinateur de l’album, Dany, tente de nous expliquer la « blague » : « On a repeint le porte-avions avec une couleur noire, qui lui permet de ne pas être décelé par les radars. C’est un navire “furtif”. La dimension furtive est amusante. D’ailleurs, la pacha [commandante du navire – ndlr] dit en rigolant que tout le personnel est furtif. Ils sont tous blacks ! [sic] C’est ça qui amusait beaucoup le scénariste et qui m’a fait rire aussi. C’était une bonne trouvaille, un équipage complètement noir... » 
Mais depuis quelques jours, une foule de nouveaux lecteurs et lectrices est loin de partager ce point de vue. « Quand j’ai découvert les dessins, j’ai eu l’impression que c’étaient des animaux qui étaient dessinés, et non des humains », s’étonne le blogueur Seumboy. 
« Retrait de l’ouvrage »
Le militant antiraciste a, comme beaucoup d’internautes, découvert l’existence de Spirou et la Gorgone bleue après qu’une Française a diffusé une courte vidéo sur TikTok, le 29 octobre. « Je tiens entre mes mains une des BD les plus racistes de 2024 », présente-t-elle en feuilletant les pages de l’album, paru en réalité un an plus tôt. Sa vidéo est reprise sur d’autres réseaux sociaux, cumule rapidement des centaines de milliers de vues et génère des trombes de commentaires indignés.
Contactées par Mediapart, les éditions Dupuis ont répondu ce jeudi par voie de communiqué, actant que « les prises de parole se multiplient pour exprimer la colère ressentie devant la représentation des personnes noires et des femmes » dans l’œuvre mise en cause.
« Nous sommes profondément désolés si cet album a pu choquer et blesser. Cet album s’inscrit dans un style de représentation caricatural hérité d’une autre époque. Plus que jamais conscients de notre devoir moral et de l’importance que représente la bande dessinée en tant qu’éditeur et plus largement le livre dans l’évolution des sociétés, nous prenons en ce jour la pleine responsabilité de cette erreur d’appréciation. C’est pourquoi nous tenons à présenter nos plus sincères excuses. »
La maison explique avoir « mis en œuvre le retrait de l’ouvrage de l’ensemble des points de vente ». L’album se serait toutefois très bien vendu ces 13 derniers mois, selon le dessinateur Dany, qui nous informe qu’elle aurait même été réimprimée. Elle avait été tirée en septembre 2023 à 22 000 exemplaires, apprend-on sur le site BDZoom. 
L’univers de Spirou, popularisé par Franquin, est dense. D’un côté s’égraine, depuis les années 1950, la saga officielle des Aventures de Spirou et Fantasio,dont le 57e numéro est paru cet automne. De l’autre, une série dérivée« Le Spirou de... »permet à la maison d’édition de décliner la franchise en demandant à des dessinateurs de réinterpréter le célèbre héros à leur sauce.
C’est là que Yann et Dany entrent en scène. Le premier est scénariste de BD, l’autre auteur et dessinateur. À 81 ans, Dany est un incontournable du neuvième art belge, qui fait vivre depuis cinquante ans les aventuresd’Olivier Rameau, un héros rêveur et son acolyte féminine hypersexualisée en robe courte, Colombe Tiredaile. Il y a huit ans, les éditions Dupuis sont venues le chercher pour développer ce nouveau Spirou, raconte-t-il dans une interview accordée aux Amis de la BD en 2023. 
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Le processus de création a visiblement pris du temps. L’éditeur qui avait démarché Dany est remplacé en 2020 par un autre, plus jeune, qui se serait alarmé en voyant la tête de certains personnages. « Le nouvel éditeur m’a dit : “Tu sais, on ne peut plus dessiner les Noirs comme ça.” Alors j’ai changé, on a refait pas mal de visages… Mais apparemment pas suffisamment », explique Dany à Mediapart. 
La bande dessinée que l’on connaît aujourd’hui aurait donc déjà fait l’objet de modifications. C’est ce qu’a confirmé Julie Durot, la directrice générale de Dupuis depuis 2021, au Parisien ce jeudi : « Le contrat a été signé il y a plus de dix ans, par des gens qui ne sont plus aux commandes. Depuis mon arrivée, nous avons à plusieurs reprises demandé des modifications à son dessinateur, Dany. C’est un homme de plus de 80 ans : il ne voyait pas en quoi ces dessins, qui sont des caricatures, étaient choquants. Nous avons sans doute commis une erreur en acceptant de la publier. »
« On peut se demander pourquoi l’éditeur a quand même publié l’album alors qu’il ne semblait pas satisfait. Refuser d’éditer ce Spirou aurait été à perte, mais cela aurait évité une grosse polémique »,souligne Lloyd Chéry, rédacteur en chef adjoint de Métal hurlant, un magazine de référence sur l’univers de la BD.
Peu de remise en question
Auprès de Mediapart, le dessinateur alterne aujourd’hui entre excuses et justifications. « S’il faut retenir quelque chose, c’est que je suis désolé si j’ai pu blesser certaines personnes, africaines ou pas [sic]», insiste celui qui se dit « interloqué » par les réactions. « J’ai peut-être un peu forcé la main, peut-être que j’ai fait une erreur… Cela dit, l’album est sorti en septembre 2023, jusqu’ici, je n’ai eu aucune critique. » 
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Dany défend la « caricature » qui, « par définition, consiste à forcer le trait ». Et d’expliquer un raisonnement à faire s’évanouir des militants antiracistes : « Il est évident que la plupart des Africains, enfin presque tous d’ailleurs, ont des lèvres plus épaisses, plus grosses que les Blancs, c’est un fait. Ça fait partie de la caricature. »
Il mentionne ensuite les protagonistes blancs, qu’il considère également avoir « caricaturé » : « Il y en a un qui ressemble à Trump, ce n’est pas particulièrement gentil non plus… Et puis à ce moment-là, j’aurais aussi dû refaire le nez de Fantasio aussi ? », ajoute-t-il à propos de l’acolyte de Spirou.
Il admet toutefois : « J’aurais dû faire gaffe à ne pas dessiner les Noirs comme dans les années 1960 ou 1980, c’est sans doute vrai [...], mais je voulais me rapprocher de l’univers de Spirou. Mon modèle absolu, c’est Franquin, c’est le genre de dessins qu’il faisait. J’en suis vraiment désolé et je voudrais présenter toutes mes excuses à ceux que j’aurais pu blesser, car c’est totalement involontaire. J’ai peut-être beaucoup de défauts, mais je ne suis pas raciste, ça, c’est certain. »
Un blog qui en dit long
Sur le blog professionnel de Dany, on retrouve pourtant une autre publication, preuve d’une inclination à déshumaniser les personnes noires, qui n’est pas propre à la BD de Spirou. Le dessin montre, d’un côté, les deux personnages blancs créés par Dany, le fameux Olivier Rameau et son amie, s’opposer à un groupe de cinq personnes racisées. « Ça ne va pas être facile de les intégrer, ces deux-là », soupire un protagoniste noir aux airs de singe, avec de grandes oreilles, une grande bouche, un « museau » brun, entouré d’autres personnages racisés. Comme si les personnes blanches, devenues minoritaires, étaient victimes de discriminations, dans une sorte de mise en abyme de la théorie raciste du « grand remplacement ».
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Le blog regorge également de dessins de femmes nues ou hypersexualisées, comme c’est le cas dans Spirou et la Gorgone bleue. Une autre planche, signée Dany et Tibet, montre un homme qui tabasse une travailleuse du sexe. 
« Quand on fait un tour sur le blog de Dany, on se rend bien compte qu’il ne s’agit pas d’une erreur de jeunesse, mais d’une prise de position politique dont il est coutumier, remarque Seumboy, créateur et animateur du site de vulgarisation de l’histoire coloniale Histoires Crépues. Le message qu’il essaye de délivrer, c’est que les personnes noires prennent trop de pouvoir aux États-Unis et que si l’on n’y prend pas garde, la société multiculturaliste américaine va arriver chez nous en Europe. »
Aux origines de l’esthétique coloniale de la BD franco-belge
Celui que Dany présente comme son modèle, l’iconique dessinateur franco-belge André Franquin, créateur du Marsupilami et illustrateur régulier des aventures de Spirou et Fantasio, avait lui-même une façon bien particulière de crayonner les personnages noirs.
Dans Spirou chez les Pygmées, paru pour la première fois en 1949, l’auteur de BD met en scène des personnages noirs… dont on découvre qu’ils sont en réalité « des bruns qui ne se sont jamais lavés », dixit Spirou, en nettoyant au savon un enfant noir. Une illustration qui préfigurait les spots télés pour détergents qui « lavaient plus blanc que blanc » et qu’on illustrait d’un Africain dont les membres ressortaient du bain dépigmentés. Dans un livre d’entretien, exhumé par le journaliste spécialiste Jérôme Lachasse, Franquin se défendait de tout racisme et expliquait caricaturer les Blancs comme les Noirs. 
Pourtant, dans les dessins de Dany, comme dans ceux de son illustre inspirateur Franquin, les personnages blancs ne sont pas ou peu caricaturés, et souvent dépeints sous les traits d’aventuriers en quête de frissons et d’exotisme, ont des physiques avantageux et diversifiés, quand les personnages noirs sont souvent primitifs et présentent des physiques très homogènes.
« Convoquer cet imaginaire colonial, c’est aussi faire preuve de paresse artistique, déplore Laura Nsafou, écrivaine et bédéiste afroféministe. Là où on va se poser la question de varier les physiques pour les personnages blancs, on va uniformiser le corps noir, sans jamais essayer de rendre compte des différentes carnations ou textures de cheveux. Plutôt que de faire ça, on va reprendre des attributs racistes, rappelant les singes. »
L’histoire de la bande dessinée franco-belge recèle en réalité beaucoup de ces représentations stéréotypées, reprenant l’esthétique coloniale des pubs Banania, donnant aux personnages noirs des traits indiscernables de ceux des primates et les campant dans des rôles secondaires de faire-valoir humoristiques, imbéciles et dociles. Les protagonistes noirs évoluent fréquemment dans des contextes de guerre, d’esclavage ou de ségrégation raciale, et n’occupent que très rarement les rôles principaux. 
L’exemple le plus mémorable reste le numéro de Tintin au Congo, où l’on suit le reporter à houppette déjouant les pièges d’une bande de gangsters qui cherchent à mettre la main sur la production de diamants au Congo. Cette bande dessinée était le reflet de l’esprit paternaliste de la Belgique colonialiste du début des années 1930. Et presque cent ans plus tard, les planches de Hergé continuent de nourrir l’inspiration et les préjugés racistes de bédéistes contemporains. 
Plusieurs spécialistes et acteurs de la bande dessinée relèvent la responsabilité de l’éditeur d’avoir validé, après réunion du comité éditorial, une telle publication. Mais ils saluent la décision rare de retirer des ventes le numéro et invitent à saisir cette occasion pour amorcer une réflexion plus large. « Il est nécessaire que les maisons d’édition de bande dessinée soutiennent d’autres narrations et proposent des récits actuels et respectueux des personnes noires, avec des protagonistes de différentes carnations, qui vivent à Paris, et qui ressemblent aux gens qu’on voit dans la rue et dans le métro », milite Laura Nsafou, elle-même autrice de plusieurs BD qui mettent en scène des personnages racisés. 
Marie Turcan et Yunnes Abzouz
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clubvideotapes · 1 month ago
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EYES WIDE SHUT, 1999
Le dernier film de Stanley Kubrick est donc son dernier chef-d'œuvre. Le film oscille entre rêve et réalité, certitudes et doutes, tentation et hésitation. On vit ce rêve, ou plutôt ce cauchemar, avec le personnage principal (interprété par un excellent Tom Cruise). Contrairement aux apparences, le scénario ne dérive pas et est constamment maîtrisé. Le film date, il a déjà vingt-cinq ans. Pourtant, on a l’impression que c’était hier. Tom Cruise et Nicole Kidman étaient déjà célèbres. Leelee Sobieski était toute jeune. Thomas Gibson jouait déjà la comédie, avant de devenir le futur officier de police dans *Esprit criminel*. Par contre, le casting féminin, avec ses comédiennes, reste d’un très haut niveau. En particulier, les figurantes pour jouer nues dans un château médiéval ; leurs corpulences sont absolument parfaites : ce sont des femmes avec des corps impeccables et sans défauts. Le film, au préambule, semble ne parler que des relations intimes entre les femmes et les hommes, mais il recèle bien plus de choses, bien plus de mystères.
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« Le génie du réalisateur Stanley Kubrick dévoile un chef-d'œuvre. Ce maître du cinéma, cet artiste exceptionnel, nous présente une véritable œuvre d'art. Il y a beaucoup de choses dans ce film, bien plus qu'un simple divertissement. L'histoire se complique avec le temps, jusqu'à atteindre un chef-d'œuvre absolu. »
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clhook · 5 months ago
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J'ai lu le dernier roman de Mélissa da Costa parce que j'avais jamais lu ce qu'elle écrit et je voulais me faire une idée mais wahou comment j'ai détesté la suite ci-dessous pour ne pas spoiler
déjà ça part mal parce que le type principal a 42 ans, il trompe sa femme avec une meuf de 24 ans et il décide de la quitter pour elle j'étais 🙄 ensuite il a un accident de scooter (entièrement sa faute, il grille une priorité à droite et se prend un bus) qui le laisse paraplégique et il devient infect, ce qui pour moi est compréhensible après un traumatisme, mais infect au point d'abuser les gens qui veulent l'aider genre sa nouvelle meuf : il lui jette des trucs à la tête, il lui fait des crises de jalousie et même il l'étrangle ?? et elle elle reste avec lui la grande folle ? bref il divorce ils s'installent ensemble en banlieue quand il sort de rééducation lui il pète des cables régulièrement il est violent avec sa meuf du coup elle déprime et il ose dire "on est pas mieux l'un que l'autre" bah tg françois elle est mille fois mieux que toi ok ! Son ex-femme devient pote avec eux elle vient manger toutes les semaines mais isabelle qu'est-ce que tu fous le mec se barre avec une jeunette avec qui il t'a trompée coupe les ponts je sais pas :/ ensuite françois dit "je veux un enfant" sa meuf veut pas trop parce que bah elle a 25 ans elle s'occupe de tout chez eux son mec est détestable mais elle finit par dire ok pour "le sauver" BIIIP grossière erreur !! Elle accouche puis elle fait une dépression post-partum parce que c'est clairement pas la vie qu'elle voulait et tout le monde lui tombe dessus en mode oh la la quelle mauvaise mère mais WTF prenez vous-en à l'autre con de françois qui a fait que des caprices depuis le début !!!! Il la respecte pas, à la fin elle suit des cours d'écriture elle part 3 jours par semaine elle est heureuse et la première chose qu'il se dit c'est "ok elle me trompe avec son prof beau gosse" françois je vais te tuer froidement
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petit-atelier-de-poesie · 6 months ago
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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers. 
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort.  Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui. 
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante. 
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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aisakalegacy · 1 month ago
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Hiver 1930, Hylewood, Canada (2/3)
Il s’est passé beaucoup de choses ces derniers temps. Papa est mort deux semaines avant le mariage de Marie. Il n’aura jamais assisté aux noces d’aucun de ses enfants, étant donné que celles de Louise n’ont jamais abouti… Cela me fait me sentir un peu coupable. Je lis bien tes railleries, mais je ne suis pas d’humeur à y répondre, je sais exactement ce que tu vas m’écrire, et tout ce que je peux te dire, c’est que tu n’as pas complètement tort mais que c’est plus compliqué que cela. N’insiste pas, tu n’auras rien de plus.
Toutes mes félicitations d’ailleurs pour les fiançailles d’Antoine. Très clairement, je n’y croyais plus. Avait-il donc si peur de la réaction de votre arrière-grand-mère qu’il a attendu que sa période de deuil soit terminée avec de faire sa demande ? Aurore est bien patiente, d’autres filles n’auraient pas attendu si longtemps. Va-t-elle être remplacée ? Nous avons dû nous aussi engager quelqu’un d’autre pour remplacer notre bonne. En effet, nous avons bien failli y passer aussi : il y a eu un incendie dans la maison. Heureusement, il a été rapidement maîtrisé. Il est dû à la négligence de notre ancienne bonne, Clothilde, parce qu’elle était trop alcoolisée pour faire attention à ce qu’elle faisait. Elle n’en est pas à son premier coup d’éclat… Son peu de diligence dans les tâches ménagères nous avait causé une invasion de rats peu après la mort de Maman. Nous la gardions parce que ses talents culinaires compensaient ses autres défauts (elle cuisine vraiment très bien). Mais cette affaire d’incendie va trop loin, j’ai perdu suffisamment de membres de ma famille comme cela ces dernières années. Pour tout t’avouer, je m’en veux un peu de la licencier dans cette période difficile, malgré les circonstances, donc je lui ai fait une belle lettre de recommandation qui passe sous silence sa tentative d’homicide involontaire…
[Transcription] Marie LeBris : S’il tente de me faire le même coup que le fiancé de Louise, je connais deux ou trois personnes qui… Napoléon Bernard : Il va certainement arriver… Tenez, le voilà ! Georges Rumédier : Tu es splendide. Une vraie reine des glaces. Napoléon Bernard : Georges Rumédier, voulez-vous cette femme comme épouse… Marie LeBris : Tu es en retard ! Georges Rumédier : Pardon ! J’avais quelques vérifications à faire, pour installer… Eh bien, pour ce que tu sais. Napoléon Bernard : …dans le bonheur et les épreuves, dans la santé et la maladie, dans la richesse et la pauvreté… Marie LeBris : Georges, c’est mon affaire, pas la tienne. C’est important que tu comprennes ça. Si je tombe et que tu es impliqué, tu tomberas aussi. Tu en as bien conscience ?  Napoléon Bernard : …pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ? Georges Rumédier : Oui. Napoléon Bernard : Marie LeBris… Marie LeBris : Je le veux.
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kilfeur · 1 year ago
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Mao Mao qui joue à la poupée était très plaisant à voir surtout Jinshi qui était un peu gêné que celle ci se rince l'oeil. Bien qu'elle remarque les paumes calleuses de ce dernier mais se pose pas plus de questions car ce sont pas ses affaires.
Mao Mao playing with dolls was very pleasant to watch, especially Jinshi, who was a little embarrassed that she was rinsing her eye. Although she noticed his calloused palms, she didn't ask any more questions, as it was none of her business.
Bonus Jinshi version femme (female version) :
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chic-a-gigot · 6 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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christian-dubuis-santini · 4 months ago
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L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci "psychologisant" qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La "perversion narcissique" apparaît pour la premier fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du "pervers narcissique", pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit rappel sur la notion de perversion en psychanalyse
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de rév��ler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
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fablesofenvola · 14 days ago
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— Fables of Envola (projet med/fan)
Parce qu'il ne pourrait y avoir d'univers sans son histoire, voici la première partie des Fables d'Envola, sa chronologie avec, pour commencer, le troisième des Trois Grands Âges qui est également l'âge actuel.
𝓐𝓾 𝓭𝓮𝓫𝓾𝓽 : Très rapidement, les choses changèrent en Envola. Les familles nobles se vautrant dans les privilèges eurent à faire un choix - se fondre dans le nouvel ordre ou disparaître de la vie publique sous peine de mort. Et si beaucoup acceptèrent, quelques noms s'enfuirent vers les régions que l'empereur n'avaient pas reliées à sa cause. Il imposa une nouvelle organisation et alors, tous les Envolien.nes eurent leur chance - femme, homme, de grande naissance ou fils de paysan, chacun pouvait faire ses preuves.
𝓐𝓷 14 : Alors que la nouvelle organisation de l'empire lui permet de s'enrichir rapidement, des territoires restent encore inhospitaliers pour qui soutient l'empire. Ceux-ci, souvent ralliés par les nobles méprisant la nouvelle politique de méritocratie de l'empereur sont de solides bastions où l'ordre n'existe pas et où une loi bien particulière est en place. Vous vous en doutez, l'heure est à la conquête des derniers royaumes hostiles, aux complots et machination...
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