#La Dame de Kyoto
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10 interesting fiction French books
The perfect nanny by leila slimani -French-Moroccan lawyer Myriam is returning to work after having children. When Louise comes into her life, she thinks they’re incredibly lucky — she’s the perfect nanny, cleaning their Paris apartment, devoted to the children, staying late, and working extra hard. But from page one, you know something that Myriam does not: Louise will end up killing the two children in her care. The unraveling of the story is dark and reveals the dehumanization, class struggle, and power dynamics that are part of how rich parents treat those who work for them. Slimani is a writer to watch, and this mystery/thriller won a slew of awards
A Winter's Promise by Christelle Dabos- A Winter's Promise takes place after a world altering event called the Rupture, when Earth shattered into pieces, leaving clumps of isolated floating islands called arks. Ophelia is a young girl who lives on an ark called Anima, where she is able to communicate with objects when she touches them.
The hunchback of Notre Dame by Victor Hugh- The story centres on Quasimodo, the deformed bell ringer of Notre Dame Cathedral, and his unrequited love for the beautiful dancer La Esmeralda. Esmeralda, born Agnès, is perceived to be a French Roma girl. Sep 15, 2023
The Stranger in the Seine by Guillaume Musso-On a winter night in Paris, a young woman is pulled naked out of the Seine. She has amnesia and bears no identifying marks apart from two peculiar tattoos. She is rushed to the infirmary of Paris police headquarters, but only a few hours later, she disappears. DNA analysis reveals her identity.
The Woman Destroyed by Simone de Beauvoir - Three long stories that draw the reader into the lives of three women, all past their first youth, all facing unexpected crises.
The Knight by Pierre Pevel - The High Kingdom is facing its darkest hour. Its King has been weakened by illness and many are discontent with the Queen’s regency. As rebellion rumbles throughout the land, new threats are massing forces at the realm’s borders.
The Confessions of Arsene Lupin - is the world's most cunning thief—and a gentleman, to boot. His brilliant criminal mind can nab riches from even the stickiest of situations, and he's not above the occasional good deed, so long as there's reward money on the table. Baroness Repstein has vanished from Paris, and her husband's jewels have gone with her. French detectives have been left in her dust all over Europe, but Lupin has the skill to outwit both the police and criminals
Lie with me by Philippe Besson -s a bittersweet novella about the first love between two teenage boys in rural France in the 1980s. Their affair kept hidden because of the shame surrounding homosexuality at the time, begins in winter but is over by the summer
A Single rose by Muriel Barbery- a woman's journey to discover the father she never knew and a love she never thought possible. Rose has just turned forty when she gets a call from a lawyer asking her to come to Kyoto for the reading of her estranged father's will.
The Mad Women's Ball by Victoria Mas - is literary fiction about three women in the Salpêtrière Asylum in Paris, 1885. Based on a historical event; once a year the asylum hosted a ball where the bourgeois mixed with women cast out of society - goodreads-
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dailymotion
Ça y est, nous avons terminé la charmante série japonaise Dans la cuisine des maiko.
Le dépaysement est total. Au début, tout semble étrange ; les rires légers mais constants des deux amies à la moindre parole, la fonction même de maiko (j’ai passé le premier épisode à me demander de quoi il s’agissait, je me suis renseignée ensuite, notamment auprès de mon fils qui en savait un rayon grâce à sa passion pour le Japon), les multiples rituels, l’importance des politesses, des codes, des prières, le mode de vie.
Ensuite, j’ai craqué pour Kiyo, la recalée des maiko (trop gauche), qui devient maikana (c’est à dire cuisinière pour le gynécée où l’on apprend l’art d’être maiko), sa passion pour les plaisirs simples, son talent pour faire plaisir aux autres, surtout en cuisinant, la beauté des images de Kyoto, la beauté des plats cuisinés.
J’ai été, au fond, tout autant charmée qu’agacée. Au bout d’un certain temps, la philosophie de Kiyo (« chérir chaque instant ») m’a parue tout aussi belle qu’inatteignable, et un peu forcée. Et une part de moi, même éblouie par le raffinement des coutumes et des interactions sociales, ne peut s’empêcher d’être un peu irritée du rôle donné aux femmes. Certes, elles choisissent de devenir maiko puis éventuellement geiko. C’est à dire qu’elles s’entraînent dur pour se parer, se coiffer, se maquiller et danser pour être ensuite employées pour des soirées ou événements dans lesquelles elles seront admirées pour la pratique de leur art. Des dames de compagnie (en tout bien tout honneur) ou des danseuses, ou un peu des deux. Il faut mettre sa main devant la bouche quand on rit, par exemple. Je suppose que ça me dépasse un peu. On est loin loin loin du féminisme… même si elles ont un certain pouvoir et un statut admiré. Au fond, qu’admire-t-on chez elles ? La capacité à faire de leur corps et de leurs mouvements une œuvre d’art ? La capacité de s’effacer au profit d’une tradition ancestrale jamais remise en cause (il n’y a guère que la maiko aguerrie qui soulève des questions) ? La capacité de mettre sa vie personnelle sous le tapis pour plaire aux hommes ? Ces questions, pour une occidentale de 2023, sont naturelles je pense.
Elles ont l’air heureuses, pour la plupart, sauf la sombre Reyko, qui détonne de façon bienvenue avec sa mélancolie maussade et son esprit désabusé. Mais peut-on croire la série sur parole ? Est-elle juste ?
Heureusement, ce qui sauve la série, c’est la solidarité et l’amitié (non dénuée de rivalités) entre les apprenties maiko. Surtout l’amitié de Surume et de Kiyo, qui survit à leurs changements de statut.
Peut-être que la série était trop longue. Neuf épisodes sur une trame aussi ténue, c’est beaucoup. En même temps, cela donne un côté documentaire qui est loin d’être inintéressant.
Une vraie curiosité en tous cas.
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par Jean-Claude Germain, Le Petit Journal, 19 Dec 1965.
Jadis, lorsqu'un gazelier du cour voulait connaître les secrets du royaume, tard la nuit, il prenait rendez-vous avec une dame de la maison de la Reine. Et là, dans les jardins de Versailles, à l'ombre d'un bosfure de la souveraine, tous deux, pour ce brin de complicité risquaient la Bastille. Aujourd’hui, notre époque et plus prosaïque et dans le petit royaume qu'est l'Expo-67 il n’y a pas de secrets, “Elles sont toutes jolies, cultivées, et chaqune d'elles parle plusieurs langues.” Monique Archambault décrit ainsi ses cinq hotesses. Nous aurions voulu, certes, les connaître toutes. Mais nous avons dû choisir. Par hasard, choisissant d'interviewer So. Saumier, avons-nous rencontré la plus secrète ?
—Sonia Saumier, où êtes-vous née ?
A Montréal. Ma famille habitait Ahuntsic.
— Quelles études avez-vous faites ?
D'abord, mes études secondaires à Montréal, mais je terminai mon baccalauréat à Madrid. Ensuite j'obtiens un certificat de philologie à Salamanque. Je quittai l'Espagne pour Heidelberg où j'appris l'allemand. Une fois mes sciences politiques complétées à Munich, je revins au pays. Je travaillai alors pour le service international de télévision de Radio Canada pour séjourner ensuite un an à Tokyo.
— Pourquoi tant voyager ?
Parce que je suis curieuse.
— Pourquoi êtes-vous curieuse?
Pour bien connaître un pays, il faut parler sa langue. Peut-être ai-je aussi une raison plus personnelle? Avant de partir avec ma mère pour l'Espagne, je fus recluse dans un hôpital pendant deux ans. J'ai appris alors tres jeune — J'avais quinze aus — l'importance de la vie. Du moment vécu. Je voulais tout voir, tout connaître, tout savoir.
— Qu'avez-vous appris ? Je suis devenue cosmopolite. Le champ de vision s’agrandi. ll y a si peu de différence. On s'ajoute des horizons. Les journaliers de Mont- réal et de Munich se ressembent comme des frères.
— Dans ces voyages, avez-vous perdu vos racines ?
Lorsque J'ai vécu au Japon, pendant six mois, j'évitais tous contacts avec les Européens. J'habitais chez une famille japonaise. Je vivais à la Japonaise. Pour comprendre un peuple, il faut partager sa vie et ses coutumes.
— Sonia Saumier, on a souvent répété que vous parliez plusieurs langues. Votre long liste comprend le francais, l‘anglais, l'allemand, l'espagnol, le portugais, l'italien, le russe et même, diton, vous tâtez un peu le japonais. Parlez-vous le "joual" ?
Je le parlais et je pourrai le réapprendre. Pour moi, c'est Ie couleur d'une époque, l'épice du terroir.
— Quel est le pays qui vous a le plus frappée dans vos voyages ?
L'Inde. C'est le seul pays que J'ai visité qui fui fidèle à l'image que Je m'en faisais. C'est un pays inaltérable.
— J'aurais cru, à vous entendre, que c'était le Japon…
On y vient avec une Image traditionnelle. On vient y chercher la mystique, mais le Japon est occidentalisé. La vie suit un rythme américain. La mystique et la poésie japonalses existent encore, mais il faut chercher beaucoup pour les trouver. Tout l'art traditionnel s'est rassemblé dans la ville de Kyoto. La télévision Japonaise, où je travaillais, est techniquement très avancée, mais elle est occidentalisée. Si l'art traditionnel Japonais s’y manifeste, c'est sur un réseau consacré à l'éducation. Pour les Japoais, cet art est historique.
— Pourquoi êtes-vous devenue hôtesse de l'Expo-67 ?
Je m'intéresse à tout, sans vouloir me spécialiser en rien. Une exposition universelle, c'est une chance extraordinaire. A mon retour du Japon j'ai travailler quelque temps dans une agence de voyages. On ne se rend pas compte de l'immensité de l'entreprise avant d'en faire partie. C'est incroyable. J'ai choisi, en quelque sorte, le parti des rêveurs.
— A quoi se résume pour vous, une journée de travail ?
Nous travaillons de neuf heures à cinq heures, quelque fois jusqu'à dix heures du soir. Nous sommes présentes partout, dans les conférences de presse, les exhibits, les visites de commissaires, d'ambassadeurs ou de journalistes étrangers.
— Au fond, vous êtes là pour la forme ?
Pour moi, c'est beaucoup plus que de savoir sourire. Nous devons vérifier tous les petits détails. Savoir si le visiteur a la documentation nécessaire. Faire face à toutes les situations inattendues. Au fond, la qualité principale et essentielle, c'est la débrouillardise.
— Vous avez déjà rencontré plusieurs ambassadeurs où commissaires généraux. Quelles sont leurs réactions ?
L'enthousiasme. Prenez l'exemple de l'architecte mexicain qui est venu la semaine dernière pour inaugurer le pavillon de son pays. Ce qui l'a frappé c'est l'aspect différent, non mercantile, de cette exposition. Pour décider son gouvernement à participer, immédiatement après l'Expo de New York qui lui cause un déficit, et un an avant les Jeux Olympiques, il lui faut de l'enthousiasme. Beaucoup d'enthousiasme.
— Sonia Saumier, aprés I'Expo-67, quoi ?
Visiter la Chine. Quand j'al visité l'Inde — trop rapidement — j'avais voulu me rendre jusqu’au Tibet, mais les circonstances m'en empêchèrent. (Suite à la page suivante)
(suite de la page précédente) Sonia Saumier est un peu comme ces oiseaux migrateurs qui seraient libres de leurs mouvements et qui n'auraient pas tous les ans à revenir au même endroit. Souriante, elle laisse une impression de gentillesse. Elle glisse sur sa vie personnelle rapidement. imperceptiblement. Elle n'est pas d'ici, et elle n’est pas de là-bas. Indéchiffrable et mystérieuse elle n'a pas d'époque. On l'imagine facilement sous d'autres cieux, prenant un vieil ambassadeur rabougri par le bras et lui chuchotant : "Alors, Monsieur l'Ambassadeur, voudriez-vous visiter nos merveilleux jardins dans l'île ?* Attentive, elle ajouterait : ‘’Vous devriez mettre vos bottes de chasse parce que, vous saver, elles sont un peu boueuses. Il n’y a pas d'arbres, les fleurs n'y sont pas encore. La neiges a tout recouvert, le fleuve est gelé, mais regardez bien, Monsieur l'Ambassadeur, fermez les yeux et vous verrez des pavillons plantés partout.” Le grand art de ces hôtesses est peut-être celui de donner l'impression qu'elles sont la pour la forme. C'est déjà beaucoup, mais elles font plus que sourire, peut-être charment-elles?
Link to archive: numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4251348?docsearchtext=19%20décembre%201965
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30 Destinations to Tick Off Your Bucket List
1. Kyoto, Japan:
Why: A blend of ancient traditions and modern amenities, Kyoto offers stunning temples, serene gardens, and delicious cuisine.
Must-see: Arashiyama Bamboo Forest, Kiyomizu-dera Temple, Gion district.
2. Santorini, Greece:
Why: With its iconic white-washed buildings, blue-domed churches, and breathtaking sunsets, Santorini is a dream destination.
Must-see: Oia village, Akrotiri archaeological site, Santorini Wine Museum.
3. Iceland:
Why: From glaciers and geysers to the Northern Lights, Iceland offers a unique and unforgettable experience.
Must-see: Blue Lagoon, Golden Circle, Vatnajökull National Park.
4. Machu Picchu, Peru:
Why: A UNESCO World Heritage site and one of the Seven Wonders of the World, Machu Picchu is a marvel of ancient Inca engineering.
Must-see: Inca Trail, Huayna Picchu, Sun Gate.
5. Galapagos Islands, Ecuador:
Why: Home to a unique ecosystem of endemic species, the Galapagos Islands offer unparalleled wildlife encounters.
Must-see: Isabela Island, Santa Cruz Island, Charles Darwin Research Station.
6. Taj Mahal, India:
Why: A symbol of love and loss, the Taj Mahal is a breathtaking mausoleum and UNESCO World Heritage site.
Must-see: Agra Fort, Fatehpur Sikri.
7. Great Barrier Reef, Australia:
Why: The world's largest coral reef system, the Great Barrier Reef offers incredible snorkeling and diving opportunities.
Must-see: Whitsunday Islands, Cairns, Great Barrier Reef Marine Park.
8. Paris, France:
Why: A city of romance, art, and culture, Paris is a must-visit destination.
Must-see: Eiffel Tower, Louvre Museum, Notre-Dame Cathedral.
9. Venice, Italy:
Why: With its canals, gondolas, and stunning architecture, Venice is a magical city.
Must-see: St. Mark's Square, Rialto Bridge, Doge's Palace.
10. New York City, USA:
Why: A bustling metropolis with endless things to see and do, New York City is a must-visit for any traveler.
Must-see: Times Square, Central Park, Statue of Liberty.
11. Angkor Wat, Cambodia:
Why: A stunning temple complex and UNESCO World Heritage site, Angkor Wat is a must-see for history buffs and culture enthusiasts.
Must-see: Bayon Temple, Ta Prohm, Preah Khan.
12. Petra, Jordan:
Why: A hidden city carved into the sandstone cliffs, Petra is a marvel of ancient architecture.
Must-see: Treasury, Monastery, Siq.
13. Great Wall of China:
Why: One of the Seven Wonders of the World, the Great Wall of China is a symbol of Chinese history and culture.
Must-see: Mutianyu section, Badaling section, Simatai section.
14. Cape Town, South Africa:
Why: With its stunning natural beauty, vibrant culture, and delicious food, Cape Town is a must-visit destination.
Must-see: Table Mountain, Cape of Good Hope, Robben Island.
15. Reykjavik, Iceland:
Why: The capital of Iceland offers a unique blend of Scandinavian charm and Icelandic culture.
Must-see: Hallgrímskirkja church, Harpa concert hall, Perlan.
16. Rio de Janeiro, Brazil:
Why: Known for its beautiful beaches, vibrant nightlife, and iconic landmarks, Rio de Janeiro is a must-visit destination.
Must-see: Copacabana Beach, Ipanema Beach, Christ the Redeemer statue.
17. Amsterdam, Netherlands:
Why: A charming city with canals, bicycles, and a relaxed atmosphere, Amsterdam is a popular tourist destination.
Must-see: Anne Frank House, Rijksmuseum, Van Gogh Museum.
18. Barcelona, Spain:
Why: A vibrant city with stunning architecture, delicious food, and a lively atmosphere, Barcelona is a must-visit destination.
Must-see: Sagrada Família, Park Güell, La Rambla.
19. Sydney, Australia:
Why: A beautiful city with iconic landmarks, stunning beaches, and a vibrant culture, Sydney is a must-visit destination.
Must-see: Sydney Opera House, Bondi Beach, Harbour Bridge.
20. Dubai, United Arab Emirates:
Why: A futuristic city with towering skyscrapers, luxurious hotels, and a vibrant nightlife, Dubai is a must-visit destination.
Must-see: Burj Khalifa, Palm Jumeirah, Dubai Mall.
21. Buenos Aires, Argentina:
Why: A vibrant city with a European flair, Buenos Aires is known for its tango, delicious food, and friendly people.
Must-see: Recoleta Cemetery, Caminito, La Boca neighborhood.
22. Prague, Czech Republic:
Why: A stunning city with beautiful architecture, cobblestone streets, and a rich history, Prague is a must-visit destination.
Must-see: Charles Bridge, Prague Castle, Old Town Square.
23. Kyoto, Japan:
Why: A blend of ancient traditions and modern amenities, Kyoto offers stunning temples, serene gardens, and delicious cuisine.
Must-see: Arashiyama Bamboo Forest, Kiyomizu-dera Temple, Gion district.
24. Santorini, Greece:
Why: With its iconic white-washed buildings, blue-domed churches, and breathtaking sunsets, Santorini is a dream destination.
Must-see: Oia village, Akrotiri archaeological site, Santorini Wine Museum.
25. Iceland:
Why: From glaciers and geysers to the Northern Lights, Iceland offers a unique and unforgettable experience.
Must-see: Blue Lagoon, Golden Circle, Vatnajökull National Park.
26. Machu Picchu, Peru:
Why: A UNESCO World Heritage site and one of the Seven Wonders of the World, Machu Picchu is a marvel of ancient Inca engineering.
Must-see: Inca Trail, Huayna Picchu, Sun Gate.
27. Galapagos Islands, Ecuador:
Why: Home to a unique ecosystem of endemic species, the Galapagos Islands offer unparalleled wildlife encounters.
Must-see: Isabela Island, Santa Cruz Island, Charles Darwin Research Station.
28. Taj Mahal, India:
Why: A symbol of love and loss, the Taj Mahal is a breathtaking mausoleum and UNESCO World Heritage site.
Must-see: Agra Fort, Fatehpur Sikri.
29. Great Barrier Reef, Australia:
Why: The world's largest coral reef system, the Great Barrier Reef offers incredible snorkeling and diving opportunities.
Must-see: Whitsunday Islands, Cairns, Great Barrier Reef Marine Park.
30. Paris, France:
Why: A city of romance, art, and culture, Paris is a must-visit destination.
Must-see: Eiffel Tower, Louvre Museum, Notre-Dame Cathedral.
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Quiso evitar soltar una risa por las palabras del contrario pero al final, le fue imposible. Sabía mejor que nadie que cualquier persona (mujer) que tratara de interactuar con él, esperando el romance de sus sueños al volverse su prometida; terminaría en un gran dolor de cabeza e imaginar cómo sería tratar con una chica de personalidad como una de sus compañeras en la escuela de Kyoto; sólo atraería más caos hasta finalmente, romper el intento de compromiso.
No todos tienen esa paciencia para tratar con Satoru y en el fondo, pensaba que era mejor; así él solo se quedaba con gente que realmente importaba a su alrededor.
Aunque en esos momentos sus amistades habían cambiado brutalmente en muy poco tiempo y se veía reflejado en su rostro.
Escuchar las gracias de sus labios le hizo mirarlo con sorpresa, era la primera vez que se lo decía (si su memoria no le fallaba). Una sonrisa se formo en sus labios y liberó una de sus manos del agarre del hechicero para colocarla en su mejilla.― Hay algo que quiero pedirte ahora ― Susurro llevando su mano detrás de su cabeza y jalarlo para que apoyara su frente en su hombro.
― Se que no has dormido nada en estos últimos días e incluso, no estás comiendo como acostumbras; necesito que lo hagas Satoru ― Dio una leve presión en su agarre, esperando que eso transmitiera un poco de su preocupación.― Puedo traerte algo de comer o puedes descansar aquí, ya que no te dejaré ir hasta que ocurra ― Estaba dispuesta ha aferrarse a la mano que aún le sostenía, si eso le daba algo de ventaja.
― Dame las gracias así.
Realmente estaba preocupada por él. No quería que se sumiera en un mundo donde él se veía solo sin nadie a su lado; si le era posible, esperaba detener esa imagen en su cabeza.
― Me soportarían, no soy tan desagradable como persona ―sí lo era―, pero no necesito lidiar con una situación así otra vez. Me resultaría cansino escucharlas.
¿Para qué lidiar de nuevo con el proceso? ¿Para estar malhumorado? ¿Para que más de una chica saliera corriendo llorando porque su actitud era desagradable? No, ya tenía suficiente con los problemas actuales. No quería más por el momento. Es más, no quería que se sumara otro más, o acabaría explotando como acabó haciéndolo delante de Yaga cuando le informó sobre la atrocidad que cometió Suguru.
Hasta ahora no podía creerlo. De verdad.
Se había hundido por un instante en sus pensamientos y salió de ellos tras escuchar la voz de Evelyne. La voz que lo distraía de su estrés temporal.
― Buena respuesta ―llegó a sonreír otro poquito más. Sus ánimos eran un sube y baja constantemente―. Gracias…, Evelyne.
Por una vez en su vida fue agradecido con ella.
#❪ ❀ ⋆ ― 「 sweetstories 」 ❛ evelyne┊ fleurs ❜ 」・*#❪ ❀ ⋆ ― 「 sweetstories 」 ❛ bond┊ evelyne & satoru ❜ 」・*#❪ ❀ ⋆ ― 「 sweetstories 」 ❛ evelyne ┊ jujutsu student : verse ❜ 」・*#xshoujiki
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List of Anime Adapted from Otome Games
Hakuouki Shinsengumi Kitan/Hekketsuroku (22 episodes/OVA for Shinsengumi Kitan), Hakuouki Sekkaroku (4 episode OVA), Hakuouki Kyoto Ranbu/Shikon Soukyuu (2 movies), Hakuouki Reimeiroku (12 episodes/2 episode OVA), Hakuouki Otogisoushi (12 episodes)
Hiiro no Kakera (26 episodes)
Dance with Devils (12 episodes) Dance with Devils: Fortuna (movie)
Kiniro no Corda/La Corda D'oro (25 episodes), Kiniro no Corda/La Corda D'oro Blue Sky (12 episodes)
Neo Angelique Abyss (26 episodes), Koi Suru Tenshi Angelique (25 episodes), Angelique (3 episode OVA), Angelique: Seichi yori Ai wo Komete (3 episode OVA), Angelique: Shiroi Tsubasa no Memoire (2 episode OVA)
Stand My Heroes: Piece of Truth (12 episodes)
Amnesia (12 episodes/OVA)
Brothers Conflict (12 episodes/2 episode OVA)
Meiji Tokyo Renka: Yumihari no Serenade/Hanakagami no Fantasia (2 movies), Meiji Tokyo Renka (12 episodes)
Uta no Prince-sama: Maji Love (52 episodes), Uta no Prince-sama: Maji Love Kingdom/Starish Tours (2 movies)
Harukanaru Toki no Naka de ~Maihitoyo~ (movie), Harukanaru Toki no Naka de ~Hachiyou Shou~ (26 episodes/OVA), Harukanaru Toki no Naka de 3 (2 TV specials/DVD special), Harukanaru Toki no Naka de 2: Shiroki Ryuu no Miko (3 episode OVA), Harukanaru Toki no Naka de ~Ajisai Yumegatari~ (2 episode OVA)
Kamigami no Asobi (12 episodes)
Prince of Stride: Alternative (12 episodes)
Sengoku Night Blood (12 episodes)
Kenka Banchou Otome: Girl Beats Boys (12 episodes)
Code Realize ~Sousei no Himegami~ (12 episodes/OVA)
La Storia Della Arcana Famiglia (12 episodes/OVA)
Libra of Nil Admirari (12 episodes)
Mr. Love: Queen’s Choice (12 episodes)
Hanayaka Nari, Waga Ichizoku (2 episode OVA)
Norn 9 Norn + Nonette (12 episodes)
Ikemen Sengoku: Toki wo Kakeru Koi (12 episodes)
Ozmafia!! (12 episodes/OVA)
Diabolik Lovers (24 episodes/OVA)
Heart no Kuni no Alice: Wonderful Wonder World (movie)
Trick or Alice (OVA)
Juuza Engi: Engetsu Sangokuden (OVA)
Starry Sky (26 episodes)
Kuro to Kin no Akanai Kagi (2 episode OVA)
Scared Rider Xechs (12 episodes)
Dame x Prince Anime Caravan (12 episodes)
I think that’s everything. Feel free to add to this if I did miss anything or when new ones come out.
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Top 5 des nanars que tu as lu ! 🤣
(Moi partant à l’assaut des nanars)
Merci @obeijaflorealesbica ! Attache ta ceinture, c’est parti xD Voici quelques machins que j’ai exhumés dans les tréfonds de mon compte Goodreads :
-The dark queen, Susan Carroll
Une romance historique absolument atroce. L’héroïne est sans substance et son love interest est un harceleur en puissance qui passe son temps à lui faire du forcing. Ah et le nom du love interest en question c’est Justice de Deauville Comte de Renard. Si ça c’est pas nanardesque je sais pas ce que c’est XDDD J’ai pas tenu au-delà de 100 pages.
-La dame de Kyoto, Eric le Nabour
Ce livre est mythique parce que l’auteur n’a fait aucune recherche. Du coup il se trompe sur l’écriture des termes en japonais, apporte des définitions complètement fausses (surtout sur tout ce qui touche à l’univers des geisha), bref c’est à se demander comment ça a pu être publié.
-L’ombre de Saladin, Mireille Calmel
Tu as vu cette couverture super cheap ? Rassure-toi, l’intérieur est tout aussi épique xDDD Entre histoires de coucheries et personnages ouvertement bisexuels/polyamoureux à l’époque des croisades, l’autrice nous balance de la magie qui empêche les personnages de vieillir, une épée magique qui permet à l’héroïne de décimer des armées...bref c’est incroyable mais pas dans le bon sens du terme.
-La maison des intentions particulières, John Boyne
L’histoire de Gueorgui (Corgi ? Oui ça fait longtemps que je voulais faire cette blague) le petit paysan qui va séduire Anastasia ! Ma lecture est perdue quelque part dans les tréfonds de mon blog (si seulement j’apprenais à taguer correctement haha)
-Les feux de Noël, Marie-Bernadette Dupuy
Je pense que beaucoup se souviennent de ce truc WTF avec cette scène de sexe complètement perchée (”une femme neuve” on s’en souviendra toujours haha). Le récap’ est ici pour ceux qui veulent revivre ça.
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"oh, ¿que un lobo casi me arranque el brazo no cuenta? ¿que estampes mi cara contra una mesa tampoco?" exagera su sorpresa antes de poner los ojos en blanco y mirarla inexpresiva. "en serio, mi sentido del humor es inexistente pero el tuyo está en números negativos" y no era tan frágil como podía parecer. bueno, sí, que era delicada y tenía un millón de peros, solo que también ya había experimentado cosas peores desde que se convirtió en vampiro junto a su sire. da igual, da igual. era mejor empezar... si no fuera porque ahí estaba binna otra vez, distrayéndola. lo más molesto es que ella misma se acerca naturalmente después de ser atraída con nula resistencia y sus manos descansan en las caderas de la otra, buscando contenta esa cercanía. ante la acusación, ella sólo se ríe estupefacta y aparta la mirada un segundo. “ridículo” se queda sin palabras porque refutar era demasiado tonto cuando su cuerpo respondía por sí solo, ya temblaba ante la caricia, le gustaba estar con ella y había sentimientos que no terminaba de querer aceptar. admitirlo en voz alta era otra cosa, sin embargo. vuelve a mirarla, aproximando su rostro: “quizá. pero hablas como si tú no disfrutaras tenerme cada vez más cerca, para ti sola, sin poder quitarme las manos de encima, justo como ahora” murmura con sorna, labios rozando ajenos sin querer perder ni ser quien diera brazo a torcer primero. cuando finalmente la suelta, sacude cabeza porque enfrentarse a su sonrisa de repente era demasiado gracioso: en vez de un beso le daría un pu��etazo. “bien” cerrando su mano en un puño es que tira brazo hacia atrás y se impulsa para acertarle un puñetazo, solo que... al final acaba dando un débil golpe al aire, sin fuerza. “no... no puedo" parpadea, asombrada mirando propio puño antes de volver a verle. “quiero pegarte, pero..." en realidad no lo ansía y ese es el problema, tampoco puede visualizar a su sire. ni está en su naturaleza ser violenta con otras personas porque sí, así que ese instinto solo aparecía por necesidad. lo que no es el caso ahora. con prisas, le asegura: “te juro que me lo estoy tomando en serio. pégame primero, vamos, dame una razón para golpearte” la alienta aún si sonaba ridículo. ni siquiera le devolvió el golpe cuando más molesta estaba con ella en kyoto. @binnas
' para cumplir nuestro objetivo tendrás que experimentar el dolor de una pelea en carne propia, ¿o creíste que sería suave contigo y que nos divertiríamos muchísimo? ' última pregunta va con sarcasmo, si lo que busca es pasar un buen rato pueden idear una velada más tranquila, que nada tenga que ver con planes de venganza, pero ahora mismo hay una meta muy clara y planea alcanzarla junto con ella, aunque tengan que lastimarse en el proceso. escucha sus palabras y alza ambas cejas. personalidad egocéntrica no tolera que le afirme algo como aquello, así que cuando toca su hombro, se mantiene firme, mirándola directo a los ojos. ' estoy segura de que te morías por volver a verme. ' estira el brazo y la toma por la nuca firmemente, haciendo presión y acercándola entonces, pretendiendo obligarla a dar algunos pasitos más, queriendo eliminar espacio entre las dos. ' ¿como no voy a pensarlo si te estremeces cada vez que te toco? ' dedo pulgar de misma mano que sostiene su cabeza roza su mejilla en forma de caricia aunque en el fondo siente impotencia y confusión porque aunque la acuse, es mutuo, y le cuesta entender aquellos sentimientos tan encontrados e igual de intensos. ' vale. ' contesta finalmente y se separa, caminando lejos. una vez que llega a un buen punto se detiene y gira sus pies para volver a enfrentarle, sonriente. ' intenta golpear mi rostro. ' pide entonces, haciéndole una seña con las manos para que se acerque y le de un puñetazo, planeando defenderse como aprendió en el pasado, demostrándole y explicándole exactamente qué hacer. @sayuriiz
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Tourisme à Tokyo, Jour 3
Aujourd’hui c’est lundi, donc jour férié au Japon! Les Japonais n’ont tellement pas beaucoup de congés (10 jours environ par an) que le gouvernement compense en leur donnant des jours fériés notamment pour éviter les problèmes fréquents de burn out. Pour ma part, je profite des jours fériés japonais (sauf éventuellement grosse nécessité de travailler) et le contrat VIE permet également de profiter des congés français, à savoir 2,5 jours par mois. Aujourd’hui c’est donc la fête du Travail.
On commence par descendre à pied vers la gare centrale de Tokyo pour nous diriger vers le palais impérial. L’empereur du Japon y vit, ce qui rend l’accès à l’enceinte du Palais très restreinte : il n’est possible d’y entrer que dans le cadre de visites guidées qui n’ont pas lieu les lundi ni les jours fériés (c’est ballot, on était dans les 2 cas). On se promène quand même sur la place principale, grand espace vide moitié goudronné moitié pelouse sans rien de cassant mis à part l’entrée du Palais qui s’annonce par 2 jolis ponts bien gardés. Pour la petite histoire, dès qu’un nouvel ambassadeur prend ses fonctions à Tokyo, la coutume veut que son arrivée se fasse à cheval en passant par ces ponts.
On va ensuite se promener dans les jardins est du Palais qui sont gratuits et ouverts au public, l’occasion de se renseigner sur l’histoire de la ville et mieux comprendre pourquoi cette ville me laisse un léger goût amer.
Tokyo s’appelait par le passé Edo et existe depuis au moins les années 600 (en tout cas vu l’existence du Senso-ji). Le pays a été alternativement dirigé par des Empereurs et des Shoguns (chefs militaires) dont certains se sont proclamés dirigeants du pays. En 1603 Tokugawa Ieyasu se proclama Shogun et quitta la capitale actuelle (Kyoto) pour s’installer à Edo. Ce n’est qu’en 1867 que l’Empereur Meiji arriva au pouvoir et resta sur Tokyo.
Tokyo est donc de base une capitale finalement assez jeune ce qui explique le peu de monuments historique pour une ville de cette ampleur. A cela s’ajoute le fait que de nombreux séismes, incendies et inondations ravagèrent la ville à plusieurs reprises sans parler de la Seconde Guerre Mondiale qui laissa une trace. Ainsi en lisant les descriptions de chaque monument on était assez déçus de savoir que beaucoup ont été restaurés après les années 2000. Tokyo est donc plus une ville où vivre découvrir la culture moderne et faire la fête qu’une ville où visiter l’histoire du Japon. Pour cela il faudra donc sortir d’ici ! Mais en attendant on profite!
Donc dans ce jardin par exemple on peut lire qu’il correspondait à l’emplacement de l’ancien Palais, mais mis à par la base du donjon (qui d’après les reconstitutions devait être magnifique) rien ne laisse penser qu’il y avait des habitations ici.
On sort de ce jardin pour nous diriger dans le quartier de Ginza, quartier de luxe et des grandes marques. L’avenue principale était réservée au piétons donc se promener ici était très sympa.
On continue notre marche vers le sud pour nous diriger vers un des plus beaux parcs de la ville, mais 17h et c’était déjà fermé. Pour une autre fois. On marche ensuite vers Roppongi en passant au travers des immeuble par une voie en hauteur assez futuriste.
On arrive par la Tokyo Tower, sorte de reconstitution de la Tour Eiffel peinte en rouge. La ressemblance est frappante de loin, mais les différences sont notables en se rapprochant : bien qu’elles fassent la même taille à 7m près, la Tokyo Tower fait beaucoup plus chétive et fine. En effet elle ne pèse que 4 000 tonnes comparé au 10 000 tonnes de la Tour Eiffel. La Tokyo Tower n’est également pas très bien mise en valeur avec un peu moins de 200 grosses ampoules fixes qui l’éclaire (20 000 pour la Tour Eiffel !). Bref, rien n’égale la beauté de la dame de fer!
On croise également sur le chemin de Roppongi une maison Landemaine, l’occasion de tester les croissants, traditions et macarons de Tokyo! Du même niveau qu’une maison Landemaine à Paris : pas les meilleurs mais tout de même très très bon.
Le quartier de Roppongi est en fait le quartier des expatriés, donc on a croisé beaucoup de gaijin (étrangers) ainsi que d’endroits où faire la fête. Mais on était quand même bien fatigués et étions plutôt motivés pour nous payer notre premier véritable restaurant sushi! On nous installe sur une table basse, on met nos chaussures dans des casiers et passons un excellent moment à déguster des sushis d’une qualité qu’il est très compliqué de trouver en France (mais même au Japon tout à un prix, le sushi à l’unité coûte environ 3 à 5 euros).
Voilà, une dernière journée un peu moins chargée même si on a fait 26 000 pas! En tout cas bien que Tokyo en elle même ne va pas nous laisser un souvenir marquant, force est de constater que la vie au Japon coïncide exactement avec tous les clichés qu’on peut lire : peuple très ordonné, propre et respectueux. La confiance règne vraiment ici, c’est pourquoi ici les gens n’hésite pas par exemple à poser leur sac sur une table pour la réserver et s’en aller 10 minutes en laissant tous ses biens sans surveillance le temps de commander à manger. Ou bien qu’il n’est pas rare de voir des vélos posés dans la rue sans cadenas, ou des pots de plantes posés sur le trottoir devant une maison. Ça change clairement de la France et il faut dire que c’est super agréable de se sentir en sécurité comme ça.
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La Dame de Kyoto - Eric Le Nabour
✎La Dame de Kyoto - Eric Le Nabour "J'ai eu la chance de visiter le Japon en 2015 mais l’auteur a su m'y renvoyer grâce à sa plume ! Chaque description est détaillée et enrichie, rien est laissé au hasard." (#Serena)
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Myako et Naoki Matsuka ont eu leurs parents assassinés dans une mise en scène macabre, quelques années auparavant. Naoki est devenu le tuteur de sa sœur et gère l’usine familiale de soierie mais il a décidé de partir combattre pour son pays contre la Russie du Tsar Nicolas II. En ce début du XXème siècle, Myako se retrouve forcée à gérer une usine mais surtout sa vie personnelle perturbée par son amour pour un diplomate britannique assez trouble.
Je pensais qu’il y aurait davantage de détails sur l’usine de soierie et le travail que la fabrication de la soie nécessite. C’est assez pauvre en fin de compte. Oh super elle a donne des pauses supplémentaires aux ouvrières et qu’en est-il des produits astringents qu’elles utilisent, à peine mentionnés? Pour moi l’auteur ne maîtrise pas son sujet, l’usine est une excuse et on se retrouve face à une manipulation qui se révèle assez faible. Un roman qui m’a assez peu convaincue que ça soit pour sa trame historique, pour son histoire personnelle et pour le suspens amené péniblement. Il y a même des personnages que j’ai trouvés parfaitement inutiles, qui semblent ne servir qu’à faciliter l’avancée de l’histoire et à qui l’auteur tente de donner une profondeur. Il tente mais ça se limite à la tentative.
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La Dame de Kyoto d'Eric Le Nabour
(Chronique de roman - Nath) Mon avis sur La Dame de Kyoto d'EricLe Labour publié chez Charleston. Le destin d'un femme éprise de liberté dans le Japon du 20ème siècle.
:star: La Dame de Kyoto d’Eric Le Nabour
Nombre de pages : 400 Editeur : CHARLESTON EDITIONS Date de parution : 17 mars 2017 Collection : POCHE Langue : Français ISBN-10 : 2368121404 ISBN-13 : 978-2368121405 Prix : 8,50€ Disponible sur liseuse : Non
De quoi ça parle ?
Kyoto, 1904
Depuis l’assassinat de ses parents, riches industriels de la soie, Myako Matsuka subit la tutelle de son frère Naoki.…
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La tête dans la main.
Samedi 06 avril 2019
Contrôle du sac sur le quai. Même pas vérifie mes papiers.
Filmé le sacré cœur depuis la fenêtre du train. Quelqu'un, loin, a trouvé ça magnifique. Il faut continuer à s’émerveiller. Sorti de la gare, descendu un boulevard, rentré dans le marché couvert qu'on avait contourné la fois précédente. ambiance de village, d'habitués, de personnes qui ne vivent pas loin. M'a rappel les Halles Bocuse à Lyon. Descendu une autre rue, passé le lond de passages (photos de certains). Me suis un peu paumé et raté le passage du grand cerf que j'aime bien. Suis arrivé aux Halles. J'aime de plus en plus ce qu'ils ont fait du forum. c'est aérien et leger et clair. Impression d'être sous des feuilles ou sous l'eau. Agréable.
Acheté un carnet pour le journal, couleur de la 4L de mon père, presque, et un jeu de carnets kraft pour noter des extraits de livres. Vendeuses agréables.
Longé Saint Eustache jusqu'à la place des victoires (La dame qui faisait la manche y était encore. très élégante, cheveux courts, col roulé rouge à cotes et veste. Je pense qu'elle habite dans le coin) et jusqu'au restaurant japonais désiré et indiqué comme fermé par le GPS.
Porte coulissante à bouton, sol de granit gris, meubles en bois blond et accueil soyeux. J’hésite avant d'entrer, je regarde à l’intérieur par la fenetre et suis à deux doigts de partir puis une table se libère et je tente ma chance. Des tables au fond de la salle. Je suis tranquille et seul et c'est agréable d'être loin des grandes gueules. Le même petit vieux sec et souriant que la dernière fois (novembre je crois). Je commande un menu udon. Il me demande ce que je veux boire, en japonais, je lui dis de l'eau (omizu). il me dit qu'elle est filtre ici, si j'en veux de la plate ou de la gazeuse dans un mix anglais, français, japonais. Au fur et à mesure que je parle quelques mots japonais, il se met à parler de plus en plus en français. Ça me régale. Le couple à coté perd de sa superbe et un peu de sa fibre de conquérant. C'est jouissif.
udon avec tempura, du poulet, un champignon avec une croix dessus, des oignons et un bouillon divin, apporté dans une sorte de petite bassine bouillante en métal posée sur un support en liège. Maki d'une finesse incroyable. Le couple à coté demande de la sauce sucrée pour son bento. La serveuse fait un effort de contrôle d'elle même, s'éloigne et retient pour leur dire qu'ils n'en ont pas. Avec le petit vieux on parle de Hakone, de Fuji Q. Car il me parle d'un dessert (une pâte lisse et brillante aux haricots rouges à tremper dans de la poudre sucrée, la rendant mate) qu'un ami là-bas nous avait fait gouter (mais il n'y en a plus).
"Vous avez pris le Ropeway ? Comment on dit en français ?" et je butte plusieurs fois funiculaire et il dit "ah oui ? Comme à Montmartre ? Ooh..." ensuite j'arrive à lui dire que c'est téléphérique. "Ah oui ! Téléphérique ! J'apprends tous les jours ! hihi!"
ensuite on discute sur combien de fois je suis allé au Japon.
"Et c'est quand la prochaine fois ?"
"Après les JO parce qu'il y aura trop de touristes." Il rit et me dit "À Kyoto il y a des touristes qui rentrent dans les jardins des gens parce qu'ils ne savent pas ! Les gens sont un peu agacés alors ils mettent des pancartes..."
Je finis mon repas et je le remercie pour le festin : dessert glace au thé vert, pure de haricots rouges, gelées blanches et verte et mocchi nature à tomber.
Ensuite retour par le chemin de l'aller. Beaucoup de scènes urbaines frôlant le ridicule et l'impolitesse. L4horloge après le Rex qui tourne sur 24h, la fresque où Tintin galoche Haddock, le nombre de "vrais" hamburgers ou de hamburgers "sur mesure" ou encore "Authentiques", le nombre de trottinettes, de jeunes gens qui finissent tous les mots en "ent" : "ouient, tu voient"
j'attends mon train à la terrasse d'un café, la tête dans la main, entrain de rêvasser. Je l'ai fait.
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4月20日2019年 23:30
Cela fait un moment que je n’ai pas écrit. Très longtemps même. Il s’est passé beaucoup de choses et il y a eu une très longue période ou je ne me sentais vraiment pas bien. Vraiment, je n’ai pas souvenir de m’être sentie aussi mal, ce n’était pas facile facile à gérer mais bon, avec la détermination on arrive au bout de tout. Je n’avais plus internet en octobre aussi...
Il y aura moins d’images cette fois, pour ainsi dire pas du tout. Hey, si vous voulez aller les voir, j’avais mis le lien vers le dossier Drive. Vous avez trois mois de photos. Nan… Du texte, beaucoup de texte car j’ai tant à raconter. Il m’est arrivé quelque chose d’intense, quelque chose de puissant. Je ne vous demande pas de me croire, d’ailleurs qu’est-ce-que ça changerait ? C’est ma réalité, mon histoire je ne fais qu’exprimer mes ressentis. À vous ensuite d’accepter, rejeter, réfléchir ou même rire. Mais mon regard est différent aujourd’hui par rapport au moment où je l’ai vécu ce qui est complètement normal. Vous comprendrez en parcourant cet article.
Passons, reprenons les choses à peu près où je les avais laissées : l’événement Miko Café, peu avant le Speech Contest. J’ai été très heureuse de pouvoir enfin porter ma tenue, certaines photos se sont même glissées sur Facebook. J’ai parlé à de nombreuses personnes en leur servant à manger ou du thé, j’ai fabriqué de nombreux omamoris (Porte bonheurs) en imprégnant mon énergie à l’intérieur et en ressentant l’énergie de la personne. Cela m’a permis de deviner énormément de choses sur les personnes en question. Par exemple, j’ai ressentis qu’une personne était d’une certaines manière liée à l’été, elle m’a répondu qu’elle est née en juillet. Puis, qu’une autre personne, très raffinée, était liée à la noblesse. Il me répondit que c’était bel et bien le cas. Plus je vivais, plus je me connectais à des Kamis, plus mon énergie et mes capacités évoluaient, plus je m’épanouissais.
Au final, c’était vraiment une bonne semaine car J’ai rencontré énormément de personnes et j’entendais les grelots des omamori que j’avais confectionnés aux séminaires du mercredi matin avec le sourire. Mais le stress du Speech Contest qui s’approchait était intense, je n’allais pas très bien, j’avais si peur ! Pour être honnête, je n’ai pas vraiment réussi à réviser mon texte.
Puis, le jour du Speech contest est arrivé, j’ai mis mon haut blanc et ma jupe rouge afin de garder les couleurs d’une Miko. Nous sommes arrivées à Kumagaya en voiture avec Akiko, elle m’a lâchée là devant le bâtiment et je suis rentrée puis ai été accueillie par une des dames du cours de japonais. Puis, j’ai été guidée jusqu’à une salle où se trouvaient 17 autres participants qui comme moi, avaient très peur. Il y avait du matériel devant nous dont le nom, un stylo, un sac avec également une feuille détaillant les différents sujets des divers participants. J’allais passer en troisième, pas le temps de stresser réellement enfin… Un peu quand même.
Puis nous sommes descendus dans la grande salle vide pour faire des essais de procédure et début de présentation. Il y avait de nombreuses chaises vides donc signe qu’il y aurait beaucoup de monde… Brrr…. Les tests finis, nous sommes remontés pour finir de nous préparer avant de descendre à nouveau pour le grand moment, il y avait énormément de monde… 200 personnes à peu près. J’ai gardé la tête haute et suis allée m’asseoir à ma place en stressant comme jamais. Le premier est passé, puis le deuxième… Mon coeur battait à tout rompre. Puis, j’ai entendu mon nom…
Je me suis lev��e, ai marché comme un automate, me suis postée derrière le micro en gardant une posture bien droite et un regard déterminé. Sujet : “La Voie d’une Miko étrangère” Capacité de communication : Entre 55% et 60%. Je n’ai, selon moi, jamais autant raté une présentation de ma vie. Inversion de mots, instants d’hésitation, détournement de regard, voix qui tremble à des moments. Dur, très dur. Mais je l’ai fait et je me suis rassise en respirant un bon coup.
À la pause, une personne m’a dit que ma posture et façon de parler étaient parfaites malgré tout. D’ailleurs, un Kannushi (Prêtre supérieur en gros) M’a approchée et devinez de quel sanctuaire il était le Kannushi ? Le Sanctuaire Hodosan de Nagatoro. Et oui ! Celui où j’étais en grand stress car c’était la première fois que je voyais des Miko en chair et en os ! Il m’a invitée à passer au sanctuaire, j’ai accepté avec joie. Une autre fille, a également essayé de me recruter chez les Mormons. Là, j’ai pas compris. Au final, le Speech Contest ne s’est pas si mal passé que ça, les gens ont quand même compris mon message, étaient touchés et m’ont encouragée dans ma voie.
Puis, la semaine suivante, comme convenu avec Akiko, j’ai déménagé chez Yumi pour le mois d’octobre. La propriétaire de la maison d’Akiko allait peut-être vendre sa maison et elle ne savait pas vraiment comment cela allait se finir alors elle préférait avoir une personne de moins à gérer ce qui est compréhensible. Le déménagement fût assez rapide et je vivais désormais dans cette magnifique et grande maison à moitié délabrée, véritable résidence de Yôkai la nuit hé hé. C’était aux alentours du 10 octobre.
La cohabitation avec Yumi allait bien, parfois un peu difficile car nos idées divergaient sur certaines choses et selon moi, je trouvais ses façon de penser un peu extrême là où moi je prônait l’harmonie, elle prônait l’égalité complète et forcée. C’est louable en soi mais c’était le côté imposé qui me dérangeait. Cela dit nous avons passé de bon moment ensemble et sommes même allées à Yamato Mizu, enfin. Je m’entrainais au sabre dans le jardin ou dans la grande pièce théâtre du deuxième étage et… En fait j’ai surtout décompensé du stress récent.
Je suis partie à la rencontre de Iwata-san, le fameux Kannushi, nous avons longuement parlé et j’ai assisté à un rituel. Le hic c’est que je me suis mise en Seiza (à genoux) au mauvais endroit sur les tatamis. Cela a fait garot et j’ai eu du mal à me lever 20 minutes plus tard. Il m’a ensuite invitée à aller au véritable sanctuaire situé au sommet de la montagne en prenant un téléphérique. C’était magique et le Kami que j’ai ressenti là haut était fortement lié au vent. J’aime beaucoup ce Monsieur et il m’adore aussi, il est même venu me voir chez Yumi et une fois à mon cours à Kumagaya, j’étais très surprise ! Nous avons brièvement échangé une passe à l’épée et il était impressionné, me disant que j’allais devenir une championne. Je lui ai modestement dit que ce n’était pas nécessairement mon but mais… Enfin pourquoi pas s’entraîner ensemble un jour à l’occasion.
J’ai rencontré un ami de Yumi, Susumu, il était très gentil, nous sommes allés à des sources chaudes ensemble, cela m’a vraiment détendue. Puis, le jour fatidique du 18 octobre est arrivé.
Je vous en ai déjà bien assez parlé je crois… Mon appel pour le Japon est un appel de retour, comme une nostalgie, un mal du pays, je ne me suis jamais réellement sentie à ma place en Suisse, jamais réellement sentie suisse non-plus d’ailleurs. J’ai depuis enfant quelques souvenirs flous de choses que je n’ai pas vécues en tout cas pas en mes trente années de vie. Mais c’était flou, rien de vraiment concret donc je n’y ai pas prêté importance sauf à cette apparence, je l’avais nommée Shades à un temps dans mon esprit, c’était la personnification de mon côté sombre en quelque sorte. En tout cas c’est comme cela que je le voyais. Ho et aussi Miko ce que au début je voyais comme un prénom à porter mais finalement une fonction que je devais exercer.
Je vous ai également dit à quel point j’ai pleuré, à quel point j’étais heureuse de rentrer au Japon, à la maison, à quel point je me suis épanouie, bien, à la bonne place.
Le 18 octobre 2018, j’ai été brisée, en mille morceaux, détruite. Les ailes du Dragon se sont brisées et je me suis écrasée avec violence.
Nous amenions Hide à l’école avec Yumi et plein d'étudiantes à bicyclette me sont passées devant et là, ça m’est revenu. Un des souvenir horrible que j’avais en mémoire m’est revenu, d’un coup, brutalement. Sensation, image, ressentis, sons et pas odeur heureusement. J’ai pleuré dans la voiture, discrètement. En rentrant, je me suis roulée en boule dans mon lit en pleine panique, crise d’angoisse violente puis j’ai ensuite pleuré dans les bras de Yumi. Je me suis rappelée de ma mort aussi atroce fût-elle. Celle de ma dernière vie.
J’avais 17 ans, je vivais dans le Kansai soit Kyoto, Osaka ou dans la région (Souvenez-vous, cette région m’a toujours appelée pour une raison bien précise.) et j’étais une fille d’une famille de sanctuaire, je pratiquais déjà le sabre à l’époque. C’était après la seconde guerre mondiale, 1945-1950. L’hiver était vraiment froid je venais de finir l’école alors j’étais sur le chemin du retour lorsque quatre homme forts, des marines (Soldats américains) m’ont attrapée et entraînée à l’abri des regards pour me forcer à faires choses que je ne voulais pas. Puis ils me passaient à tabac lorsque je me débattais. Ils se sont tous amusés avec moi, chacun leur tour et lorsqu’ils ont fini de s’amuser, ils m’ont laissé sur le sol glacé, mourir de froid à moitié dévêtue, la neige s’est mise à tomber et je ne me souviens de rien d’autre si ce n’est une haine intense et profonde. Cette haine, que j’ai en moi depuis toujours, j’ai enfin pu comprendre d’où elle venait. Mourir ainsi, se faire arracher si jeune à la vie, à son chez soi. J’avais des rêves, des espoirs des gens que j’aimais, une famille, des amis… Et tout me fut arraché en une soirée. Je pouvais encore sentir leurs mains glacées sur mon corps et entendre mes hurlements de désespoir. Ce souvenir retrouvé m’a anéantie.
J’en ai eu d’autres, des plus heureux, comme celui du kotatsu (la table chauffante) J’adorais dormir dessous quand j’étais gamine, haute comme trois pommes. J’adorais également m'entraîner au sabre dehors sous le clair de lune, je l’ai d’ailleurs fait devant chez Yumi, j’ai fermé les yeux et ne faisais qu’un avec mon passé, je pouvais sentir mon ancien corps, plus rien n’avait d’importance, seul le moment l’instant comptait. Les Sakura mochi également, je connaissait ce goût, j’ai adoré en manger dans cette vie mais cela fait depuis longtemps que j’aime ça, c’est profond et je le ressens. Je sens que je vais me rappeler d’autres choses encore en fonction du contexte, lieu, etc. Mais je ne suis pas focalisée là dessus.
Le reste du séjour chez Yumi s’est passé normalement des sorties à gauche à droite, des rencontres toutes plus incroyables les unes que les autres. Cette expérience m’avait profondément changée et mon niveau en japonais a continué d’escalader à une vitesse hallucinante jusqu’à atteindre une capacité de communication de 75% en fait, j’ai réalisé que je n'apprends pas le japonais, je le re-apprends, tout comme des manières qui me sont revenues et choses que je faisais instinctivement. L’immersion a certes aidé, mais il n’y avait de loin pas que cela.
Au dernier séminaire du matin, j’ai parlé de mes souvenirs, de mes ressentis devant 32 personnes j’ai été félicitée, les gens étaient impressionnés et m’ont accueillie comme une enfant du pays. Avant de partir j’ai dit ittekimasu et ils m’ont répondu itterasshai c’est ce qu’ont dit en partant de la maison pour le travail, les cours ou autres quoi, je vais, je reviens. Cela m’a fait réellement chaud au cœur. Oui… En mon for intérieur, je me suis toujours sentie japonaise, j’étais à ma place au Japon.
6 jours avant mon départ j’ai pleuré, encore et encore et encore, je ne voulais pas être arrachée à chez moi, pas encore, pas un jour n’a passé sans que je pleure. Puis, le dernier jour est arrivé. J’ai rencontré Kaiya ce jour là, mon amie prêtresse américaine. C’était intense, nous avons beaucoup discuté et je lui ai parlé de mon passé elle comprenait, était compatissante. Pour être honnête je n’arrivais pas à parler en anglais, le japonais venait automatiquement.
À un moment je lui ai dit quelque chose que je ressentais comme puissant : “Je suis fière que tu sois devenue prêtresse, en tant que américaine.” Et c’est moi, avec ce que j’ai vécu de la main d’américains qui te dis ça, c’est un pas vraiment incroyable vers une compréhension mutuelle et une paix durable. Avant que les portes ne se referment elle m'a dit, “Kami-sama needs you!” (Les kamis ont besoin de toi et le train est parti.) Puis, j’ai pris l’avion et ai pleuré, beaucoup.
Mais j’ai été bien accueillie, la maman de Fanny, Didi, est venue me chercher et nous avons pu discuter un peu dans la voiture.J’étais très heureuse de la revoir malgré ma douleur intérieur et mon état brisé. Arrivée à la maison, mon nouveau petit chez moi provisoire, ils m’avaient préparé une petite chambre dans le bureau de Franck avec des Tatamis au sol pour ne pas trop me dépayser j’étais tellement touchée et aujourd’hui encore, j’en pleure en écrivant ces lignes, ma reconnaissance dépasse tout ce que vous pouvez imaginer. J’étais très heureuse de retrouver tout le monde, Valentin, Fanny, Franck, Didi, mais cela va être provisoire, mon but étant maintenant d’entrer à l’université au Japon, devenir Kannushi et avoir mon sanctuaire. J’aimerais devenir un pont entre les gens, les gens et les kamis. Pour moi, les gens sont comme des étoiles alors j’aimerais les aider à luire et faire la plus grosse constellation possible !
Novembre, pas un sou, un état au plus bas entre mes allergies revenues, une phobie du froid (Je partais en crise d’angoisse dès que j’avais froid.) Je me suis inscrite aux CSR en cherchant du boulot. Mon âme étant en morceaux, je souriais, je faisais croire que j’allais bien mais j’avais mal à l’intérieur, plus mal que jamais. J’aime bien visualiser l’image du soldat qui continue d’avancer avec détermination même avec une jambe et un bras en moins et qui se bat, encore et encore. Ho et je me suis rappelée de mon ancien prénom, Yoshiko, le truc amusant vous savez, c’est que les Kanjis se lisent aussi Miko. Hé oui, la boucle est bouclée.
Décembre, j’allais un tout petit peu mieux, le froid me dérangeait un peu mais plus de phobie, je n’allais quand même pas bien du tout, obsédée par ce souvenir frais, je faisais de mon mieux pour me diriger vers mon futur en gardant la tête haute. Mais c’était difficile, très difficile. Chose amusante, si avant je voyais ma ligne de vie d’aujourd’hui à ma naissance, maintenant, je vois au delà. Je suis tombée sur la photo d’une fille qui m’a fait littéralement buguer car elle ressemble à la personne que j’étais comme deux gouttes d’eau. J’ai aussi réalisé que Shades, que je prenais pour mon côté sombre, n’était nulle autre que mon ancienne apparence. Un tout petit peu fâchée à cause… Enfin pas besoin de vous faire un dessin.
Janvier, j’ai trouvé du boulot, des cours et commencé à bosser. Je fais le ménage dans des EMS. Cela me plaît, c’est tranquille et j’arrive à mettre massivement de l’argent de côté. Élodie, une amie avec qui j’aime beaucoup parler de spiritualité et énergies m’a conseillé de lire le livre “La boîte de Pandore” de Bernard Werber, effectivement, très parlant et approprié. Mon âme et mon cœur étaient toujours en morceaux mais… Disons que j’étais en voie de guérison. Je suis retombée dans pleins de travers comme, jouer massivement aux jeux vidéos à nouveau. Enfin bon, tant que je mets de l’argent de côté, où est le problème finalement ?
Février, J’ai presque recollé tous les morceaux grâce à des discussions et même certains jeux qui m’ont rappelée à mes valeurs, ce pour quoi je me bats. Mes ailes et ma détermination sont revenues. Je vais fièrement de l’avant mais je suis transformée à jamais. Je suis encore en phase que je nomme chrysalide mais c’est en bon chemin même si le moral fait parfois le yoyo.
À la Japan Impact j’ai pu porter ma tenue de Miko, j’étais heureuse, bien, j’irradiais de mille feux. J’avance, fièrement, lentement, mais j’avance. Coûte que coûte.
Maintenant la question est, que vais-je faire de mon passé ? Et bien je me visualise comme un arbre voyez-vous ? Mes branches, feuilles,fleurs sont mon futur. Mon tronc est mon présent. Mes racines, ma mémoire et tous ces petits fragments de mémoire du passé. Mon terreau, car chaque plante a besoin d’un terreau spécifique pour croître et s’épanouir, le Japon. En Suisse, je suis pas bien, je me sens crever à petit feu. Je veux juste rentrer au Japon et faire ma vie. Aller de l’avant.
Après, je souhaite quand même aller dans le Kansai car je sens que je dois le faire, c’est mon appel après tout. Imaginez si je réussi à retrouver ma famille d’avant… À quel point cela serait… Intense. Mais rassurez-vous, je ne suis pas bloquée et focalisée là dessus. Je vais laisser les choses venir à moi petit à petit sans forcer. Si cette occasion se présente, je la saisirai. Sinon, tant pis. Vers le futur.
D’ailleurs, je vous l’avais dit il y a longtemps mais, même si je chéri le prénom Yoshiko par dessus tout car quand vous vous adressez à moi par ce prénom, vous vous adressez directement à mon âme et cela me fait vraiment plaisir, j’arbore fièrement le prénom Shanoa car, grâce à Franck, il porte désormais une signification extrêmement appropriée “Ciel Nouveau”. Je ne pouvais pas rêver mieux…
Hey… Le chemin du retour depuis l’école est long pas vrai ? Aller ça fait combien ? environ 69 ans et quelques kilomètres ? Mais je rentrerai à la maison hé hé. Même si fondamentalement, notre maison c’est cette planète alors ça n’a aucune réelle importance… Mais moi je me sens bien au Japon, c’est pas la première fois alors je veux juste y rentrer, c’est tout.
Mars, Parce que j’ai continué à travailler dur et jouer pour ne plus trop penser, je n’ai pas pris le temps de corriger ce que j’avais écrit et ne l’ai pas posté non-plus. J’ai eu des cours mais rien de réellement épanouissant.
Ha oui, j’ai appris qu’il me fallait un solde de compte de 20’000 francs pour m’inscrire dans l’école de Kumagaya. La limite d’inscription étant fixée à fin avril, j’ai abandonné et me suis tournée vers une agence de séjour linguistique qui me permettrait d’aller dans une autre école à Kobe. Le Kansai, ma région. Rien n’arrive par hasard. Me voilà donc avec un nouvel objectif : Mettre de côté 20’000 francs pour partir pour le plus vite possible pour le Kansai.
Avril, Boulot boulot, jouer jouer et puis, j’ai eu des vacances chez mes grands parents que je désirais vraiment revoir avant de partir au Japon. Ils habitent en France dans le Gard, j’ai passé une très bonne semaine, reposante, pleine de bonheur et j’ai même réalisé qu’un endroit où j'étais déjà allée par le passé dans la mer de Rochers était un sanctuaire. Il s’agit d’un cercle de pics Rocheux où se trouve un arbre particulier en son centre (Le cœur du sanctuaire, j’ai pris la photo depuis un des pics.) Nouvelle connexion et la fatigue qui s’ensuivi.
Puis, j’ai fini le livre “La Boîte de Pandore” de Bernard Werber. Effectivement il m’a parlé, il m’a touchée, vraiment. Après l’avoir fini je suis restée songeuse mais profondément connectée et dans un état de plénitude.
Je digère encore ce que j’ai lu mais je pense que je vais écrire à Bernard Werber.
Yoshiko n’était qu’une vie parmi tant d’autres… J’ai encore tant à découvrir, c’est grisant en un sens. Mais la plupart de nos peurs profondes, préférences et de nos choix, sont irrémédiablement influencés par notre passé… Nos passés.
Je le savais déjà sur le plan théorique mais, nous somme bien plus qu’une simple personne ou vie, nous sommes une âme, manifestation de la vie qui coule en toute chose. Maintenant je le ressens au plus profond de moi.
D’ailleurs cela fait un moment que... Mon intuition, mon instinct ainsi que d’autres capacités comme l’apprentissage de certaines tâches ou mes sens se sont accrues. Cela vient de l’expérience accumulée entre autre et pas seulement dans cette vie.
Voilà voilà, ça faisait pas mal de choses à écrire mais… J’avais également beaucoup sur le cœur et je ne savais pas comment vous l’exprimer… Peut-être que certains d’entre vous me prendront pour une allumée ou que sais-je mais… Comme cité au début de cet article, c’est ma réalité, je ne peux pas faire autrement, c’est comme si quelqu’un venait vous dire “Hey mais toi t’es roux !” alors que vous êtes blond.
Je vais continuer à écrire de temps-en-temps sur le blog, pour que vous puissiez continuer à suivre mon chemin si cela vous intéresse toujours.
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Dernière journée à Kanazawa
1er avril.
Il ne fait pas super beau. Ce matin, nous avons découvert un autre centre d’achats où nous nous sommes arrêtés dans un petit café. C’est le genre d’endroit où tous les clients se connaissent. Ils sont assez âgés aussi. Il y avait une dame très sympathique qui aime beaucoup le Canada, elle était bien contente de discuter avec nous. Une autre dame, qui est arrivée plus tard, me trouvait bien jolie avec mes grands yeux ☺️ C’est plutôt rare chez les asiatiques, j’étais bien touchée par son compliment.
En sortant au cours de la journée, nous avons dit à la réceptionniste de l’hôtel, en japonais, qu’il semble que quelqu’un a vu un ninja sur le toit de l’hôtel. Elle essayait de ne pas rire et nous à dit merci.
En fin d’après-midi nous sommes retournés à la brasserie artisanale pas loin de notre hôtel, Stéphane aime beaucoup leur bière. Le gérant est super sympathique, à toutes les fois où nous y sommes allés nous avons discuté avec lui et il nous aidait avec notre japonais. Ce soir, nous lui avons appris à sacrer en québécois! Nous avons bien rigolé. Il nous a aussi appris des mots qui expriment la colère en japonais. Et il nous a suggéré un restaurant de ramen pour souper. À côté de nous, il y avait un couple de français qui mangeait leur ramen comme des spaghettis, en enroulant les nouilles sur leurs baguettes à l’aide de la cuillère... C’est dur de sortir le français du français! Au moins c’était bon, et il neigeait en sortant, c’était pas mal beau.
La campagne électorale bat son plein, il y a des gens qui n’arrêtent pas de crier dans leur porte-voix et ils saluent les gens avec leurs gants blancs, tout en se promenant en voiture. Ils doivent être épuisés à la fin de la journée.
Nous quittons demain matin notre super grande chambre d’hôtel, qui ressemble plus à un mini appartement, pour aller à Kyoto!
Edit: le 1er avril était aussi un jour important pour le Japon, ils ont annoncé le nom de la nouvelle ère, qui débutera en mai avec le nouvel empereur. Le nom dévoilé est 令和 (reiwa). La signification est assez mystérieuse. Il s’agit d’une ère où le japonais devraient bloomer comme des fleurs. Notre voyage aura donc eu lieu sur 2 ères différentes.
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Nom, Prénom: Rex Saito Identité secrète: Kappa Age: 19 Sexe: masculin Yeux: vert clair Habitat: Oklahoma City (États-Unis) Lieu de naissance: Kyoto (Japon) Équipe: les Core Blazing, la Suicide Squad, les Titans East Ses alliés: les Core Blazing (son équipe), les Blade Moonstorm et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, Dame Chie, les jupitiens et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #10 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Shameik Moore & VF - Stéphane Bak Thème principal: https://www.youtube.com/watch?v=cG7X62ULlTs Capacités: Kappa a les pouvoirs du monstre de la créature; Il se camoufle dans l'eau et les plante, maitrise la nature, et il a une force colossale. Il peut aussi creuser au sol. Sa passion: les sports, les jardins, l'environnement et les animaux. Histoire: Rex Saito alias Kappa est le leader le plus fort des Core Blazing. Il est têtu, un peu colérique et calme. Né de l'union entre un roi kappa et une humaine, Rex a préféré garder son humanité au lieu de suivre les traces de son père monstrueux, mais il lui a volé son masque. Il quitte le Japon pour trouver sa place à l'université de Oklahoma City. Lorsqu'il teste le masque de son père, il réveille ses capacités de kappa et se nomme "Kappa". En rencontrant Magnolia Quesada, Janie Chanthara et Spike Turner qui sont aussi des hybrides, Rex forme une équipe nommé les "Core Blazing". Ensemble, ils affrontent le général Akuma et les jupitiens. Ils deviennent aussi les rivaux des Wave Blossom.
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Nom, Prénom: Magnolia Quesada Identité secrète: Zotz Age: 18 Sexe: féminin Yeux: rose pastel Habitat: Oklahoma City (États-Unis) Lieu de naissance: Oaxaca (Mexique) Équipe: les Core Blazing, la Suicide Squad, les Titans East, la Bat Family Ses alliés: les Core Blazing (son équipe), les Blade Moonstorm et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail, les Wave Blossom et Man-Bat. Ses ennemis: Général Akuma, Dame Chie, les jupitiens et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #10 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Dorah Fine & VF - Caroline Pascal Capacités: Zotz peut transformer ses bras en ailes géantes et émettre un chant aigu. Sa passion: Le rock, la tradition mexicaine et les histoires effrayantes. Histoire: Magnolia Quesada alias Zotz est une descendante des Zapotèques. Elle est calme, rebelle et attentive. Liée à ses ancêtres, Magnolia est choisie pour obtenir les pouvoirs du dieu chauve-souris, Camazotz. Lors du rituel, elle a reçu également un masque spirituel pour utiliser ses capacités. Entrant à l'université d'Oklahoma City, elle rencontre Rex Saito, Janie Chanthara et Spike Turner qui ont des pouvoirs surnaturels. Devenue membre des Core Blazing, Magnolia se nomme "Zotz" pour combattre les jupitiens. Et elle rejoint aussi la Bat Family.
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Nom, Prénom: Janie Chanthara Identité secrète: Léviathan Age: 16 Sexe: féminin Yeux: pale (aveugle) Habitat: Oklahoma City (États-Unis) Lieu de naissance: Bangkok (Thaïlande) Équipe: les Core Blazing, la Suicide Squad, les Titans East Ses alliés: les Core Blazing (son équipe), les Blade Moonstorm et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, Dame Chie, les jupitiens et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #10 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Kayli Mills & VF - Laëtitia Godès Capacités: Léviathan capable de nager, de respirer longtemps sous l'eau et de créer des boules de poison. Sa passion: La natation, les poissons, la médecine, le bouddhisme et l'alchimie. Histoire: Janie Chanthara alias Léviathan est la fille de serpent de mer légendaire. Elle est intelligente, un peu froide et autonome. Janie est née de l'union entre le léviathan et une humaine. Elle pratique le bouddhisme pour sa mère. Avant de partir à l'université d'Oklahoma City, elle a reçu un masque de la part de son père.En réveillant les pouvoirs du serpent de mer, Janie devient Léviathan et rejoint les Core Blazing.
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Nom, Prénom: Spike Turner Identité secrète: Azeban Age: 17 Sexe: masculin Yeux: jaune Habitat: Oklahoma City (États-Unis) Lieu de naissance: Boston (Nouvelle-Angleterre) Équipe: les Core Blazing, la Suicide Squad, les Titans East Ses alliés: les Core Blazing (son équipe), les Blade Moonstorm et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, Dame Chie, les jupitiens et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #10 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Sean Chiplock & VF - Donald Reignoux Capacités: Azeban possède les pouvoirs mythiques du raton-laveur divin et utilise le sable pour se téléporter ou se camoufler. Sa passion: La tradition amérindienne, la nature, les animaux et le sport. Histoire: Spike Turner alias Azeban est un fier descendant des Abénaquis. Il est pacifique, attentif et un peu têtu. Spike et sa famille vénèrent le raton-laveur divin nommé Az-ban. Il a reçu pendant le rituel, un masque de raton-laveur qui lui permet de se transformer en hybride moitié homme, moitié raton-laveur. En rencontrant Rex Saito, Magnolia Quesada et Janie Chanthara à l'université d'Oklahoma City, il rejoint les Core Blazing pour se battre contre les yokais et les jupitiens.
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