#Jeuneadulte
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Aujourd'hui je vous présente mon histoire : Ma musique, ta voix (ou Ta voix, ma musique) ⚠️TRIGGER WARNING⚠️ [Je rappelle que cette histoire fait mention de maltraitance infantile, de racisme et d'harcèlement scolaire.]
📝RÉSUMÉ📝 L'histoire est celle de Tao qui vient de rentrer en première année de licence. L'année scolaire il n'en a que faire, ce qu'il veut c'est trouver une fille avec qui il pourra participer au concours régional "Battle of the Bands", c'est alors qu'au cours de ses recherches, il rencontre Malik d'un an son aîné, ce dernier a une voix de soprano qui lui fera changer ses plans. Mon histoire est disponible sur Wattpad (vous pouvez y accéder en cliquant sur le rectangle "Ici j'écris" de mon linktree) Bonne lecture !
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Ne pensez pas trop le mardi 19 novembre à partir de 18 h à la #Massecritique de @babelio_ spéciale #jeunesse et #jeuneadulte en échange d'une chronique sur ce #réseausocial spécial #lecture #lecteurs #book #books
Sinon, il n'y en aura pas assez de spécimens pour tout le monde !🤣
#billet littéraire#chronique littéraire#chroniques littéraires#littérature contemporaine#littérature francaise#litterature contemporaine#roman#littérature française#chronique livre#bric à brac de culture
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Recherche de participants pour une étude ! Sujet : "Passion sexuelle, style d'attachement, satisfaction sexuel" https://t.co/dkT5feDPeL via @SurveyCircle #PassionSexuelle #attachement #SatisfactionSexuelle #JeuneAdulte #enquête #surveycircle https://t.co/Kx3phzk1jz
— Daily Research @SurveyCircle (@daily_research) Feb 27, 2023
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La demoiselle, la chambre et les questions (p.5).
Son flot de questions débuta lorsqu’elle atteint l'âge de 13 ans, elle commença à se sentir seule. A cette époque elle était très entourée que ce soit par ses amis ou bien même par sa famille. Elle était jeune, il n’y avait pas encore d’enjeu, tout était simple. C’est en grandissant que les choses se sont corsées, qu’elle pu faire la différence entre mépris et dévotion , respect et soumission, amour et rancœur. La jeune fille émotionnellement troublée s’était métamorphosée en femme morose qui ne se prêtait plus au jeu de l’humanité et de ses relations toutes aussi compliquées les unes que les autres. Pourtant quand sa relation avec Lui avait débuté, elle était simple, si simple, c’était la première fois qu’une relation, tout types confondus, était simple. Elle l’était mais les autres ne l’étaient pas. Lui l’était , il communiquait, il l’aimait. Leur relation était une évidence, clair comme de l’eau de source mais puisque c’était une première, une relation réussie, elle ne su pas comment réagir et gâcha tout. Elle n’avait cependant aucun regret.
Elle n’avait pas de regret. Elle n’en avait jamais eu d’ailleurs, fait étrange. Pour elle, si ce n’était pas évident, clair, net et précis c’est que ça ne devait pas être. Elle était assez austère, ascétique. Elle n’aimait pas forcer les choses, pousser les gens à l’aimer. Elle voulait qu’on l’aime pour ce qu’elle était, elle ne faisait plus semblant, l’eau avait coulé sous les ponts.
Un soir alors qu’elle buvait dans son lit, frappée par ses maudites interpellations mentales, elle se mit à pleurer à chaudes larmes. Elle se sentait faiblir. Elle avait supporté depuis bien trop longtemps. Toutes ses questions l’effrayaient, elle n’arrivait plus à faire semblant. Alors qu’elle n’avait jamais songé au suicide, elle y songea, l’alcool aidant. C’était une buveuse occasionnelle, mais elle n’avalait que de l’alcool fort, si ce n’était pas de la vodka au degré le plus élevé qu’elle pouvait trouver, elle se rabattait sur l’alcool couleur ambrée, le whisky. Je me demande si cette résistance a l’alcool n’était pas un triste vestige qu’elle a conservé de sa mère anciennement alcoolique. Enfin bref, revenons en a nos moutons, elle songeait au suicide puis se dit que c’était complètement stupide, qu’elle ne pouvait pas briser volontairement les cœurs de toute sa famille, même si c’était compliqué, ils s’aimaient. Rien que pour eux, elle ne pouvait y songer. Dans le même temps elle ne se voyait pas continuer à mener la vie qu’elle menait depuis de trop nombreuses années. Elle finit par s’endormir assommée par la fatigue et l’alcool. Elle se réveilla le lendemain en pleine forme et reprit machinalement le cours de sa vie, lassante et prévisible.
Désormais, lorsqu’elle rentrait, elle intégra à son rituel, après s’être déshabillée, celui de boire jusqu’à ce qu’elle s’endorme. C’est de cette manière qu’elle comprit qu’elle s’était accoutumée à l’alcool, que ce dernier n’avait plus aucun effet sur elle puisqu’il lui permettait de s’endormir paisiblement et de se réveiller en forme contrairement à une majorité d’autres, victimes d’une « gueule de bois ».
C’est ainsi qu’elle supporte la vie, sa vie. Supporter me direz vous ? Oui, supporter, j’ai cette fois-ci employé le terme adéquat. Supporter car selon elle, elle était un fardeau, en premier lieu pour elle-même mais aussi pour tous ceux qui gravitaient autour d’elle. La vie est censée être un plaisir, un parcours de joie frappé par quelques épisodes inopportuns mais c’est avant tout une belle expérience. D’ailleurs peut-on vraiment dire que la vie constitue une expérience en elle-même ? Le fait est que la vie n’est pas censée être une souffrance, si c’est le cas, il faut essayer d’y remédier au risque de tomber dans l’autodestruction et la solitude comme elle.
Tout ça pour dire que toutes les questions qu’elle s’était toujours posée n’avaient qu’un seul et même point de départ, à savoir, quel est le sens de la vie, de sa vie. C’est donc comme ça qu’elle se rassit sur son lit, les yeux dans le vide.
#demoiselle#chambre#questions#jeunesse#jeuneadulte#adolescence#grandir#interrogation#suicide#famille#amis#alcool#larmes#lit#lassitude#routine#vie#supporter#habitude#solitude#autodestruction#sens#nouvelle#histoirecourte#texte français#final#p5
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Lorsque le conte de fée vire au cauchemar...
Résumé :
"Ne t'approche sous aucun prétexte d'Hazel Wood."
"Ces quelques mots laissés par la mère d'Alice juste avant son enlèvement scellent à tout jamais le destin de la jeune fille.
Hazel Wood, la résidence légendaire d'Althea Proserpine, auteure des célèbres "Contes de l'Hinterland".
Hazel Wood, d'où semblent échapper des personnages inventés par Althea.
Hazel Wood, où sa petite-fille, Alice, va devoir s'aventurer.
Hazel Wood, dont personne ne revient jamais.
Et si Hazel Wood était bien plus qu'un simple manoir ?
Un leurre ? Une porte d'entrée sur un autre monde? Et si Alice était bien plus qu'une simple new-yorkaise ? Une princesse ? Une tueuse ?
Il était une fois... Hazel Wood." (source : Babelio)
Mon avis :
Ce livre m'avait pas mal intriguée suite à ses retours assez mitigés. Mais au final, je l'ai beaucoup aimé. J'ai eu du mal au départ à m'attacher à Alice, qui peut paraitre froide et colérique, mais l'origine de cette attitude est expliquée au fil de l'histoire et tout prend un sens nouveau. Et quel sens !
Autre fait qui m'a complètement immergée dans cet univers : les "Contes de l'Hinterland". Ces contes de fées, loin d'être féeriques, bien au contraire, m'ont intriguée tout au long du récit. Intimement liés à Alice et à sa famille, ces contes ne sont pas tous dévoilés dans ce roman, ce qui peut être un peu frustrant... Mais, en faisant quelques recherches, j'ai découvert qu'ils existent ! En espérant qu'ils soient traduits en français bientôt, peut-être seront-ils un bon prétexte pour lire en VO, qui sait ?
En conclusion :
"Hazel Wood", c'est un conte de fées sombre avec une héroïne tourmentée, qui, entre mythe et réalité, devra lever le voile sur son passé. Un page turner à dévorer !
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Aujourd'hui j'ai decideé d'aborder un sujet qui me tiens particulieèrement aà coeur et qui me fait reflechir constamment. La recherche du bonheur...
Tous les jours je me demande qu'est ce qui fait dans ma vie que je ne suis pas heureuse. Je ne parle pas d'une tristesse passagere, d'une mauvaise journee ou d'une dispute avec tel ou tel personne qui me trotte dans la tete. Je parle de ce sentiment constant et irreprecible qui tous les matins depuis maintenant plus de deux semaines me suis comme mon ombre. Que ce soit dans mes repas de famille, mes interactions avec les gens que j'aime (aussi peu nombreux soient ils) ou seulement dans mes pensees, ce sentiment ne veut pas disparaitre et aujourd'hui j'essaie de comprendre pourquoi.
J'ai failli ecrire que ma vie n'etait pas facile mais je trouve que ce serait manquer de respect envers les gens qui se battent ne serez ce que pour survivre, je vais plutot dire qu'elle me ressemble de moins en moins, commencant par la relation que j'estime le plus toxique dans ma vie, celle que je partage avec deux personnes que j'aime profondemment: mes parents.
Une relation toxique est une relation dans laquel on se sent sous pression et malheureuse, j'aurai pu penser vivre cela dans une relation amoureuse, mais jamais l'idee de partager une telle relation avec mes parents m'auraient effleurer l'esprit. Comme je l'ai dit dans l'introduction, j'ai rate mon premier essaie en ce qui concerne les etudes superieurs, je suis allee en paces et malheureusement la dose de travail etait beaucoup trop importante pour moi et je me suis simplement laissee allee, mais laissez moi etre plus claire. Ma vie a toujours ete regi par ses deux personnes grace auxquelles j'existe aujourd'hui: mes parents que ce soit ma scolarite, mes sorties ou mes frequentations. Entant qu'adultes aujourd'hui je comprend totalement la necessite d'une telle chose, les parents ont peurs pour leurs enfants, ils souhaitent les proteger coute que coute. Ce fut la plus admirable attention de mes parents mais a surdose ce fut egalement leur plus grande erreur. Agee de 18 ans je decide de quitter la maison familiale pour m'installer en france et tenter le concours de paces, concours extremement difficile qui necessite un mental d'acier ou seul devrait resider la motivation d'atteindre ses objectifs. Etant couve depuis ma plus tendre enfance et desireuse de decouvrir ce monde qui s'ouvrait a moi, une fois que j'ai du faire preuve d'acharnement et de determination, j'ai decide de lacher prise avec la voix de mon pere dans ma tete qui ne cessait de me murmurer "Ca ne sert a rien de t'acharner tu n'y arriveras pas, tu n'es pas comme tes freres". En effet mon pere etait contre l'idee que je m'en aille des le premier jour ou la discussion sur mon future arriva au coeur de l'attention "pourquoi partir loin de chez toi alors que tu as tout ce qu'il te faut ici y compris les etudes que tu veux faire. Ici tu n'auras pas besoin de faire la cuisine, ni le menage, ni les courses la seule chose dont tu devras te preocuper sont tes etudes". Mais mon choix etait deja fait, je ne pouvais plus vivre couver de la sorte par des personnes qui se preoccupaient tellement de moi que je n'apprenais rien de la vie, des personnes qui ont fait de moi cette personne naive, trop gentille, pensant vivre dans un monde uthopique dans lequel les relations humaines etaientt calquees sur les livres que je lisais ou les films que je regardais. Mais tout ce qu'ils ont reussi a faire de moi c'est une representation humaine et reelle de Madame Bovary. Me rendant compte de tout ca, il me fallait une seule chose, un echapatoire a cette tragedie, c'est ce que representais ce demenagment pour moi, mais malheureusement je n'ai pas su en tirer entierement profit.
Ce fut le debut de la fin de ma joie de vivre. Je suis une personne qui aime sociabiliser, rigoler, apportant de l'humour et de la joie a toutes les personnes qui m'entourent, ou du moins je l'etais. Depuis que je suis rentree de france quelque chose a change. La premiere fois que j'ai invite d'anciens amis a la maison, ca m'a frappe, mais surtout ca les a frappe. Avant de sortir l'un de mes amis m'a pris a part et m'a dit "Je ne sais pas ce qui t'arrive mais s'il te plait retrouve ta joie de vivre, on t'aime et on est la pour toi mais ne te referme pas sur toi meme. La personne qu'on aimait et qui pouvait rependre sa joie de vivre par l'unique action de son sourire ne peut pas avoir disparu". Ca m'a donne matiere a reflechir. A l'epoque ca n'etait pas mes parents, mais seulement une succession de chose de la vie comme un coeur brise et une orientation ratee, mais aujourd'hui je remet tout en doute.
Je me suis rendu compte en ecrivant ce texte que je ne peux pas tout mettre sur le dos de mes parents. Meme en leur abscence, les sorties, l'alcool, et les amis ne faisaient pas disparaitre ma tristesse, il ne faisait que la camoufler, parce que quand je me retrouvais toute seule j'avais toujours quelque chose qui n'allait pas. J'avais l'impression de savoir ce que c'etait mais en vrai je ne faisais qu'effleurer la realite que ce probleme constitue. Le plus difficile c'est de ne pas connaitre la cause de ce probleme. J'aurai voulu dire c'est le manque d'affection de ma mere, ou la pression qu'exercent mes parents pour que je reussisse mon concours d'entree, ou le manque de sociabilisation qui me rend triste, ou encore le fait d'avoir ete trahi par le garcon que je considerais comme mon premier et unique amour. Mais je ne peux pas, je ne peux pas choisir une de ces raisons et y associer tous mes problemes pour pouvoir ensuite m'efforcer d'y remedier parce que c'est l'ensemble de ces raisons qui contribuent a mon mal etre et essayer de les resoudre un a un releve de l'impossible pour une jeune femme de 18 ans qui commence a peine a comprendre le monde qui l'entoure. Je ne saurai meme pas ou commencer ni comment proceder.
Est-ce de la sorte que nous devons commencer notre vie d'adulte, entre les tourments et les questionnements, en quete perpetuelle de ce bonheur que personne ne reussit a atteindre. Dois je esperer un deus ex machina, me reveillant un matin avec l'ensemble de mes problemes resolus. Serait ce mon admission a la fac qui me permettra de reprendre ma vie? Pourrais je rencontrer des gens qui me rendront heureuse, chose que je n'ai pas reussi a faire moi meme ? Pourrais je transmettre ma joie de vivre si elle n'existe plus? Pourrais je me faire des amities sinceres sachant pertinnement que je n'arrive pas a etre sincere avec moi meme? Aurais je la force de continuer a vivre une vie qui pour l'instant n'a pas de sens? Toutes ces questions auxquelles je n'ai ni reponse, ni echapatoire, pourrais je un jour y repondre?
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Baiser cachés : Jérôme Larcher
Nathan a embrassé un garçon au court d’une soirée. Il est question d’une histoire d’amour naissante face à la violence des préjugés. Les clichés sur l’homosexualité sont construits puis déconstruits de façon très poignante. Issu du téléfilm du même nom, ce livre dénonce les violences homophobes que ce soit dans le milieu scolaire ou au sein même d’une famille. Une lecture qui vous prend à la gorge et dont on ne ressort pas indemne.
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Chronique | Suivre l'hirondelle
Ma chronique sur '' Suivre l'hirondelle '' de Yannick Midavaine publié en autoédition. N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé si vous l'avez lu :D
Suivre l’hirondelle
Yannick Midavaine
246 pages
Independently published
Le résumé
Cyril s’est comporté comme le dernier des abrutis et a plaqué sa vie pour rejoindre Emma sur Paris. Mais lorsqu’il se décide enfin à revenir auprès des siens, il sait qu’il va s’en manger plein la gueule. Suivre l’hirondelle, c’est une histoire d’amour, mais ça parle aussi d’amitié, de famille, de cinéma, de…
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« LES ÂMES AUBÉPINES » – CRÉATION DES PERSONNAGES : EL GARNER
Je vous présente mon premier article sur la création des personnages des Âmes Aubépines, et en particulier celui d'El Garner, mon héroïne féminine. Mais je ne révèle pas tout ça par hasard, je reviens vers vous très vite, pour vous mettre à contribution ;)
http://www.solennelegoff.com/blog/les-ames-aubepines-creation-des-personnages-el-garner/
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La vie, les chips et Lorie
Ce soir, je suis en pyjama, nous sommes dimanche, j'ai passé ma journée en pyjama. Je me suis levée à 12h30, une de mes meilleures amies avait dormi avec moi. On a déjeuné avec des céréales et du nutella, en jouant à massive music quizz. Ce soir, je suis de nouveau seule, un masque de beauté sur le visage, en train d'admirer le miracle que le masque pour cheveux Lush a fait sur mes boucles. Et d'un coup, ma playlist en mode aléatoire lance la chanson "toute seule" de Lorie, et là, gros retour en arrière dans ma tête, à l'époque où j'écoutais vraiment cette chanson. J'étais amoureuse de mon meilleur ami, s'il y a bien un mec sur terre qui m'a brisé le cœur à de multiples reprise sans même le vouloir, c'est bien lui. Je me revois dans ma chambre d'ado, couverte de posters. Je rêvais à ma vie future, je voulais grandir, devenir belle, gagner de l'assurance, devenir indépendante, avoir un mec, D. si possible. Je voyais ma vie future comme une de ces séries américaines type Friends ou How I met your mother. Et là, j'ai réalisé que j'ai passé un dimanche exactement comme la moi de 14 ans aurait voulu que je le passe. J'ai fait la fête samedi soir, avec des amies en or, je leur ai raconté mes histoires un peu dingues, un peu mignonnes, plutôt très drôles avec les mecs. J'ai fait une grosse grasse mâtinée. Je me suis nourrie de chips et de saucisson (je regretterais plus tard, YOLO). Et là, j'écoute ma playlist, élégamment baptisée "Playlist de la honte" en dansant en short, un masque sur le visage et des cheveux pas coiffés du tout. J'suis heureuse. J'ai pas du tout passé une journée d'adulte qui travaille et qui paye des impôts. J'ai passé la journée comme je le voulais, comme l'aurais voulu la fille de mes 14 ans.
Et maintenant, j'aimerais juste la voir, lui donner un message : t'inquiète, tout s'arrange. Un jour tu f'ras c'que tu voudras dans ton appart' à toi, tu seras belle. Alors ouais, pas un top model j'te promet pas la lune non plus. Mais tu seras belle, tu te seras enfin acceptée toi-même. Et tu te rendras comptes que tu PEUX plaire, tu SAIS plaire. En fait, tu sais faire plein de choses. T'es bonne meuf. Dans tout c'que t'entreprends. Alors souris, relax. Et pour D., désolée de te décevoir, mais jusque là t'as pas encore réussi à te le faire, mais t'as fait mieux ! et puis, juste un truc, si tu pouvais arrêter MAINTENANT de croire que t'as besoin qu'un mec t'aime pour exister pour de vrai et être une personne à part entière, on gagnera du temps, toutes les deux. Parce que tu te suffit à toi même tellement t'es classe.
Voilà, ça, c'est ce que j'aimerais dire à la fille de 14 ans que j'étais. Mais en fait c'est quelque chose qu'on peut dire à n'importe qui, à tout âge. Rien n'est grave, kiffez votre vie. Aimez vous, ça fait du bien.
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La chambre, la demoiselle et les questions (p.1).
La voici. Elle se dirige vers son lit en pagaille qu’elle s’évertue à faire de temps à autre. En effet, tout comme la chambre dans laquelle elle dormait, il semblerait qu’il soit constamment défait, dans une sorte de bordel organisé. Parce qu’en réalité son lit n’était pas fait , cependant, on remarque quand même un effort car les couvertures dans lesquelles elle se repose sont bien étendues sur la totalité du lit.
C’est donc vers ce lit qu’elle se dirige. Elle s’y assoit. Elle délasse ses chaussures avant de se redresser et de les poser au sol, dans son dressing. Elle se déshabille, elle enlève son soutien-gorge qui malgré le fait qu’elle n’ai pas de poitrine l’a oppressé toute la journée. Elle troque donc son soutien-gorge trop petit pour un grand débardeur qui n’était à l’origine pas un pyjama. Une fois toutes ces opérations effectuées, elle se redirige vers le lit et s’y assoit. Elle regarde fixement devant elle, calme, stoïque et sans tristesse ou colère apparentes. Il semblerait qu’elle soit au cœur d’un conflit intérieur, elle réfléchissait. En proie à des réflexions qui étaient toujours les mêmes, oui, toujours les mêmes. Chaque jour c’était les mêmes questionnements. En boucle et en boucle. Elle se posait les mêmes questions inlassablement, demeurant, malgré sa persévérance sans réponse. Elle était jeune. Elle était banale, ni belle ni moche. Elle avait un air qu’on pourrait qualifié de « blasée », ou même « saoulée ». Mais par quoi ? Telle est la question que devrait désormais se poser le lecteur. Et bien c’est tout simple, par la vie ! Ne vous méprenez pas, elle n’était pas suicidaire. Encore une question qu’elle s’était longuement posée et a laquelle elle avait eu une réponse. Non elle n’était pas suicidaire mais quelque peu morbide. Disons ça comme cela. Pour revenir à son air « blasée », elle l’était par la vie, comme vous le savez bien. Ce n’est cependant pas pour les raisons que vous croyez. Cette jeune femme se demandait constamment quel était le but de sa vie, si elle parviendrait à réussir les choses qu’elle entreprendrait , elle avait une peur irrationnelle de l’échec, de ne pas y arriver et de : « perdre du temps » comme elle le disait.
Après être restée longuement assise sur son lit, elle se décida à rentrer dans sa couverture. Elle éteignit la lumière et s’y endormie paisiblement. Chose étrange, elle avait remarqué que cela faisait des années qu’elle ne rêvait plus la nuit. Il était très rare qu’elle se réveille un matin avec le souvenir de son rêve. Parfois cela l’inquiétait car pour elle, cela signifiait que même son subconscient s’était résigné. Même lui ne s’autorisait plus à rêver, à imaginer des scènes nocturnes plaisantes ou horrifiantes. Qu’elle se rassure, tous le monde rêve, ce n’est pas parce qu’on n’en a plus le souvenir au réveil qu’on ne rêve pas. En effet, toutes les nuits, nos cerveaux se remémorent toutes les choses que l’on a vu, lu, senti, entendu ou même touché au cours de la journée afin d’édifier nos mémoires, c’est comme cela que les souvenirs se créent. Et c’est comme cela que les rêves les plus farfelus et les plus incompréhensibles naissent dans nos cerveaux, ils sont des éléments du réel remanier d’une manière spéciale, très spéciale afin que l’on s’en souvienne. Les rêves nous permettent donc de forger nos mémoires. D’ailleurs, pour se souvenir d’un rêve, il faut se réveiller en plein milieu de celui-ci ou alors juste après. Comme vous le savez nous alternons entre des phases de sommeil plus ou moins profondes dans lesquelles nous rêvons ou non. Je ne suis absolument pas neurochirurgien, ou même neurologue mais je suis passionné par les rêves, par ce monde alternatif, incompréhensible.
C’est beaucoup trop d’élucubrations pour dire qu’elle s’inquiétait de ne plus rêver. Concernant ses souvenirs, elle avait toujours été très pensive, d’aussi loin qu’elle se souvienne, elle s’était toujours posée ces mêmes questions.
#histoire#épisode#demoiselle#jeuneadulte#questions#chambre#nuit#reves#lit#désordre#inquiétude#calme#questionnement#sommeil#dormir#solitude#soirée#routine#femme#jeunefemme#portrait#présentation#nouvelle
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Introduction
Je suis obnubilée par ce mot: Perfection. Quelqu’un peut il être parfait? Et surtout qu’est ce qui fait qu’une personne peut être parfaite? Une maison? Une voiture? Des études? Une carrière? Une famille? Une vie?
Je ne pense pas...
La société d’aujourd’hui nous pousse jour après jour à espérer qu’après tous nos efforts notre vie deviendra parfaite. Je ferai du sport, et mangerai sainement, mon corps sera parfait. J’étudierai nuit et jour et ma carrière professionnelle, une fois mes études terminés sera parfaite.
Big news: La perfection n’existe pas.
Instagram n’est pas la réalité, et les vies constamment affichés de ses “personnes” nous laissent penser le contraire.
J’habite dans une villa immense dans le quartier le plus huppé de ma ville, ca ne veut pas dire que je n’ai pas de problème d’argent.
Ma mère est magnifique et extrêmement jeune, ça ne veut pas dire que je peux me poser et discuter de tout avec elle.
Mon copain m’offre des cadeaux, dis a tout le monde qu’il m’aime, ça ne veut pas dire qu’il a hésité à me tromper. Failli oublier de rectifier: ex copain.
Aujourd’hui je prend du temps pour moi, j’ai fais de nombreux mauvais choix dans ma vie, que ce soit en amour, en amitié ou en orientation scolaire. Avant de reprendre mes études au prochain semestre je veux comprendre pourquoi. Qu’est ce qui m’a mené à être aussi naïve et comment je peux apprendre de mes erreurs. Le plus difficile dans ses moments c’est la solitude, d’où mon envie de partager mon experience, et peut être d’autres personnes seront dans le même état d’esprit et voudront partager leur solitude.
Je ne souhaite pas partager mon noms seulement mes expériences et mon avancé dans la quête du bonheur et la satisfaction personnelle.
#perfection#bonheur#life#vie#société#jeuneadulte#texte français#journal#experience#perdue#lost#amitié#amour#deception
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Un univers fantasy/steampunk aux personnages inoubliables !
Résumé : "Dans le royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes, et leur Exécuteur, l’Ombre, veille à condamner tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion. Or, il semble que certaines failles existent. À l’âge de 17 ans, Céphise ne vit en effet que pour se venger. Depuis qu’on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille, elle ne rêve plus que d’une chose : s’affranchir de la tyrannie du tout-puissant Orion, Dieu parmi les dieux. Et contre toute attente, il se pourrait qu’elle ne soit pas seule…" (source : Babelio)
Mon avis : Avec cette saga, j'ai découvert la plume de Georgia Caldera et j'ai juste ADORÉ ! Son style est moderne, sans manquer de charme, et cette saga a une intrigue à la fois passionnante et touchante. Les protagonistes connaissent de belles remises en question, les révélations, phases d'action et de développement sont bien rythmés et les personnages secondaires sont intéressants. Le rapport de l'humanité (et son inexorable expansion) à la nature est pertinent et pousse à la réflexion. Enfin, la romance… on commence par un ennemies to lovers, qui évolue en une belle histoire d'amour, sur deux temporalités : certaines scènes et dialogues m'ont arraché des flots de larmes ! Et Verlaine ! C'est mon nouveau book-boyfriend ! Cette saga était belle, ambitieuse, engagée, magique et futuriste ! Un mélange qu'on pourrait croire étrange mais qui fonctionne ici tellement bien, et porté par une plume superbe !
En conclusion : Avec cette saga, j'ai découvert une plume belle et moderne et un univers qui m'a fait vibrer. Je vous la recommande chaudement !
#jailu#lesbrumesdecendrelune#georgiacaldera#darkfantasy#steampunk#dystopie#fantasy#fantastique#jeuneadulte#ombres#traumatisme#vengeance#gothique#post-apocalyptique#science-fiction#révolte#dieux#romance#amour#mythologie#bookstagram#books#booksaddict
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Le printemps des oiseaux rares / Dominique Demers
Prix littéraire du Gouverneur général 2019 (Québec)
Jean-Baptiste et Mélodie ont 17 ans lorsqu’ils se rencontrent lors d’une balade sur le mont Royal. Lui est solitaire, passionné par l’observation des oiseaux et se sent étouffé par sa famille trop catholique à son goût. Mélodie a vécu une agression sexuelle et réapprend la confiance auprès de ce singulier garçon qui se pose beaucoup de questions.
Le délicat problème du consentement est abordé avec beaucoup d’intelligence et de justesse. A l’âge de tous les désastres, l’émotion, l’observation de la nature, l’ouverture d’esprit et la sensibilité renversent tout. Rien n’arrête le vol des oiseaux.
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L'amitié fille-garçon, c'est un mythe ? Pour Violette et Loan, la réponse est...
Résumé :
"Beaucoup s’accordent à dire que l’amitié fille-garçon n’existe pas. Et pour cause ! Lorsque Loan et Violette se sont rencontrés, ce fut un véritable coup de foudre platonique. À cette époque, Loan était en couple avec Lucie depuis quatre ans, si bien qu’il n’avait d’yeux que pour elle.
Mais seulement un an plus tard, beaucoup de choses ont changé : Loan est un homme abattu depuis que sa petite-amie l’a quitté. Quant à Violette, elle commence tout juste une idylle avec le beau Clément – chose que Loan se surprend à détester.
Alors quand sa meilleure amie, encore vierge, le supplie d’être son premier, il hésite. La proposition de Violette sent la mauvaise idée à plein nez… mais après tout, il ne s’agit que d’une fois. Rien qu’une." (source : Babelio)
Mon avis :
Cette romance de Morgane Moncomble a une fois encore fait mouche ! J'ai retrouvé avec plaisir sa plume, mais aussi, en fond, mes chouchous Zoé et Jason ! Mais ici, il est question de Violette et de Loan, devenus les meilleurs amis du monde dès leur première rencontre. Violette, un vrai ovni, aussi mignonne que blessée, avec ses idées farfelues, et Loan, calme et taciturne, qui cache en lui de sacrés tourments... Que dire de plus sans en dire trop ? J'ai juste beaucoup aimé l'évolution de leur relation au fil du récit, ainsi que les intrigues secondaires qui enrichissaient leur background et leur donnait plus de profondeur. Le parti pris de l'auteur sur l'amitié fille-garçon ne mettra, certes, pas tout le monde d'accord, mais le constat est que pour moi, la romance est si bien menée que pour les protagonistes, la réponse était évidente.
Petit plus :
L'histoire se déroule en parallèle avec celle de "Aime-moi, je te fuis", dans lequel on pourra apprécier de retrouver Violette et Loan, mais surtout leurs amis Zoé et Jason !
En conclusion :
"Viens, on s'aime" est une romance jeune adulte très sympathique, avec des personnages plus complexes qu'ils peuvent paraitre de prime abord. Je recommande !
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