#Jean-Pierre Sauvage

[footballmanageraddict]

Sir Alex Ferguson Challenge | Part 15 | 60 Goals Luís Pereira

#FM23 #SirAlexFergusonChallenge Part 15: 60 Goals Luís Pereira. Despite being 33, star striker Pereira hits new heights as he leads #NFFC to a 9th successive #PremierLeague title and #FACup and #ChampionsLeague Finals. Read here:

Having become the most successful Football Manager of all time in surpassing Sir Alex Ferguson’s haul of 38 trophies, the only remaining objective on our list was his 13 Premier League successes. We’ve now won an incredible 40 trophies at Forest, comprising: 12 Premier Leagues, 4 Champions Leagues, 1 Europa League, 5 FA Cups, 4 Carabao Cups, 1 Club World Cup, 4 UEFA Super Cups and 9 Community…

[ifreakingloveroyals]

10 December 2016 | Professor Jean-Pierre Sauvage, laureate of the Nobel Prize in Chemistry, acknowledges applause after he received his Nobel Prize from King Carl XVI Gustaf of Sweden during the Nobel Prize Awards Ceremony at Concert Hall in Stockholm, Sweden. (c) Pascal Le Segretain/Getty Images

[lajoiedefrancoise]

L’enfant sauvage (1970)

[le-journal-catalan]

Découvrez la biodiversité des Albères et du Vallespir 

Au contraire de nombreux territoires, chez nous la forêt gagne du terrain et avec elle des animaux sauvages conquièrent de nouveaux espaces. Des versants jadis pâturés ou cultivés sont  aujourd’hui recouverts de forêts et d’essences végétales variées qui abritent de nombreuses espèces dont certaines sont peu ou pas connues.   Jean-Pierre Pompidor, spécialiste des grands rapaces et des grands…

[france-cinema]

Pierre-Michel Beck et Madeleine Robinson dans Le garçon sauvage de Jean Delannoy, 1951.

Synopsis : Marie, une prostituée de Marseille, rend visite, très émue, �� son fils Simon qu'elle n'a pas vu depuis longtemps et dont elle a confié la garde à Gilles, un berger de la campagne provençale. Simon, âgé à présent d'une douzaine d'années, idéalise sa mère dont il ignore la profession. Marie, jugeant qu'elle est à présent suffisamment bien installée pour prendre son enfant en charge, le ramène avec elle. Mais après l'euphorie des premiers jours, Simon ne tarde pas à découvrir les activités de sa mère et à déchanter d'autant plus qu'elle s'est amourachée de Paul, un individu douteux et pleutre que Simon se met à détester, ce qui crée des dissensions entre la mère aveuglée par l'amour et le fils, clairvoyant. Afin d'échapper au milieu délétère familial, Simon, attiré par la mer, se met à fréquenter le port et sympathise avec François, un capitaine de marine marchande… Celui-ci, discernant le malaise et l'isolement du gamin, l'embauche comme mousse pendant que Marie va être entraînée au cœur d'un drame à cause de Paul fourvoyé dans une sordide affaire de faux billets.

[ditesdonc]

Les étés à Curtin

Texte écrit par Jean-Claude Long

Fin des années cinquante. La grande maison est divisée en deux, louée en partie l’été par les sœurs Rochet, Berthe et Denise, mariées plus tard à Robert Magaud et Georges Guichert.

Dans le coin cuisine, un grand évier noir, en pierre, sert aussi à se laver. Le réchaud fonctionne avec une bouteille de butane ; au fond de la maison, une pièce fraîche sert de cellier. Un garde-manger à grille , suspendu, dissuade les mouches et les fourmis .

Dehors, une pompe, qu’il faut « amorcer », c’est un jeu ; un puits, dont on ne se sert pas, des granges, des hangars, des greniers, des machines et des outils mystérieux, des odeurs de paille et de grain, des poules en liberté. La vraie vie est là, pas en ville.

Un chien noir, Jimmy, est attaché à une grande chaîne, en permanence. Il a creusé un chemin sur son passage. Robert le lâche parfois, Jimmy part courir dans la campagne, si vite qu’on dirait un dessin animé : il a douze pattes. Quelques heures après, il revient en lambeaux, boitant, saignant d’une oreille. Cinquante ans après, on aurait dit « il s’est mis minable ».

Lorsque Robert revient sur sa moto, Jimmy s’agite avant que les humains aient entendu le moindre bruit ; Berthe dit alors : « voilà Robert ».

A gauche en sortant de la maison, un pré, dont l’enfant rêve l’hiver, comme une préface à des récits d’explorateur. On le traverse pour aller à la boulangerie à Thuellin.

Souvent vient brouter un troupeau de vaches. L’enfant aime les vaches, à la robe marron et blanche, cette odeur à la fois sauvage et rassurante, leur chaleur épaisse et grasse, maternelle . Elles font un peu peur avec leurs gros yeux, mais sont paisibles, c’est fascinant !Aujourd’hui encore, l’odeur des vaches me met les larmes aux yeux.  "Voilà  les vaches ! " est un cri de fête, un alléluia païen. Avec les enfants qui mènent le troupeau, je crois qu’il y avait une Mireille, on va jouer à cache- cache , à Colin Maillart, à Mère veux-tu. On mangera la tarte aux pommes de ma mère, on boira du Pschitt, l’après-midi ne sera que féerie. La Dent-du-Chat est une frontière au loin, les dieux juchés nous observent.

Fête aussi les commerçants ambulants, qui arrivent en klaxonnant ; galopade ! Dehors en pyjama ! Ducard, petit monsieur chauve aux yeux vifs, sa camionnette bleue aux odeurs de sucre et de bonbons chimiques. Fontana, fruits et légumes, sa camionnette verte, « l’Increvable », ses grosses lunettes. Le boucher a une fourgonnette deux-chevaux, grise .

L’enfant aime la campagne ; la liberté est totale. Sa mère, si craintive en ville, le laisse pendant deux mois divaguer parmi les faux, les herses, les tracteurs, dont un jour il desserra un frein à main dans une pente, bourde réparée d’urgence. Il aime l’errance, nez dans les nuages, la rêverie dans les odeurs. Il est shooté au foin, au fumier, à la pluie, aux animaux, coqs, renards toujours lointains mais dont le glapissement est proche, témoin d’un monde secret qui nous entoure, le comprendra-t-il plus tard ?

Le soir, les chiens discutent de loin en loin, que se racontent-ils ? Il pose un jour la question, un adulte répond : « ils ne racontent rien, ce sont des bêtes ». L’enfant pense que le grand se trompe, je le crois encore aujourd’hui.

On peut prendre des bâtons tant qu’on en veut, pourfendre les ennemis ; les plantes, les herbes sont des légumes pour jouer à l’épicier ; infinie profusion de cailloux pour lancer et construire. Deux shorts, deux chemises pour tout l’été suffisent pour fouler l’herbe menue par les soirs bleus d’été et sans avoir lu Rimbaud. Ma sœur et moi allons chaque soir acheter le lait à la ferme Teillon, dont les bâtiments existent encore. Quand le soir tombe au retour, et que les hirondelles se rassemblent sur les fils électriques en prévision de la migration, c’est que la rentrée des classes est proche. On transporte le lait dans un bidon en aluminium, qu’on appelle une berthe. Je suis gêné que le bidon porte le même nom que la propriétaire, gentille et aimable. Je n’ose prononcer le mot de peur de la froisser.

Après la pluie, au retour, début septembre, l’ombre monte des fossés dans des odeurs de trèfle et d’orties.

Ma mère achète parfois un lapin vivant chez Mme Guetta (Guettat ?) Mon père pourtant plutôt doux et pacifique, mais initié par ses vacances enfantines ardéchoises, assomme, suspend, saigne, écorche et éviscère l’animal sous le regard de l’enfant.

Nous rendons parfois visite à la Génie, vieille dame moustachue qui habite une sorte de chaumière dans une cour herbue et intarissable pourvoyeuse de potins de village. Tonton Maurice vient aussi parfois, il y a toujours une bouteille de vin dans la pièce fraîche.

L’église et la procession du 15 Août font un peu peur.

Mais le plus étonnant c’est le bruit fracassant des métiers à tisser. Comme c’était étrange, ce bistanclaque pan (on dit tchique tchaque pan) parmi les chevaux de trait, les vaches, et l’odeur des charrettes de foin.

Merveilleuse époque : les locataires lyonnais devinrent amis avec les propriétaires, particulièrement Berthe et Robert, qu’ils fréquentèrent jusqu’ à la mort de ma mère, en 1979 ; celle-ci allait voir aussi Denise Rochet, installée à St Sorlin. Le pluvieux été 1958, la belote, les tartes aux pommes, les gâteaux de riz au caramel favorisèrent sans doute le rapprochement. Mon père et Robert, le citadin et le campagnard, « se chambraient » amicalement, ma mère et Berthe riaient en faisant la lessive, parfois au lavoir. L’on prêtait un vélosolex. Avec Denise les conversations étaient plus sérieuses ; Georges était taciturne.

Aujourd’hui, Curtin sort parfois des brumes et ressuscite l’enfant, dont les sens et la pensée s’ouvraient au monde : quelle place y prendrait-il ?

Je voudrais avoir des nouvelles de Brigitte et Jean-Claude Magaud, les enfants de Berthe et Robert. Michel Guichert, fils de Denise et Georges ; il habite encore la maison, me permettrait-il d’y entrer ? La famille Teillon ; j’ai vu qu’il y a un boulanger, un plaquiste, un décorateur. Tonton Maurice buvait rituellement un canon avec Victor, en embarquant la provision de pommes de terre de ma mère dans la quatre-chevaux. Mireille Rochet (existait-elle, est-elle encore en vie ?) Une jeune fille aujourd’hui vieille dame, Hélène, qui était horrifiée par mes acrobaties en trottinette : « je vais le dire à ta mère ! »

D'autres soirs bleus, par Irène, août 2023.

[surrealistnyc]

La « Pensée-Breton » Art, magie, écriture chez André Breton marks an effort by 17 writers to engage with Breton's thought in a number of areas, including his intersections with Georges Bataille, Louis Aragon, Blaise Cendrars, André Masson, and others.

« Revenir à l’œuvre même d’André Breton pour l’appréhender en termes d’idées, de travail de la pensée et du regard, en évaluer la portée dans l’espace et dans le temps, l’ouvrir au dialogue et l’exposer à la confrontation, tels sont les enjeux de cet ouvrage qui réunit des auteurs reconnus dans des disciplines variées (philosophie, histoire de l’art, des sciences et de la culture, littérature, psychanalyse), et pour certains non spécialistes d’André Breton. Prenant acte de la prodigieuse évolution critique des sciences humaines depuis la disparition de « l’inventeur » du surréalisme, La « Pensée-Breton » propose, précisément, d’aborder cette oeuvre comme pensée, c’est-à-dire comme un travail philosophique inédit, à l’écart des philosophies répertoriées du xxe siècle, et non plus seulement comme un espace littéraire ou artistique.

« Déployé sur trois axes – l’art, la magie, l’écriture – qui parfois convergent et se nouent, La « Pensée-Breton » s’interroge successivement sur les manières de penser propres à André Breton ; sur les processus de sa création, ses modalités d’écriture (fabriquer pour comprendre) ; sur son esthétique, de l’art à l’état sauvage à l’art magique ; sur quelques interlocuteurs avec et contre lesquels Breton a élaboré sa pensée ; et sur certaines « influences », prémisses, résonances ou échos lointains, attachés à son œuvre.

« Avec des contributions de Wolfgang Asholt, Marie-Paule Berranger, André Cariou, Jacqueline Carroy, Pierre Caye, Jacqueline Chénieux-Gendron, Michel Deguy, Stéphane Guégan, Christiane Lacôte-Destribats, Claude Leroy, Jean-Claude Marcadé, Françoise Nicol, Mark Polizzotti, Teodoro Rennó Assunção, Masanori Tsukamoto, Luc Vigier et Olivier Wagner. »

[christophe76460]

COMMENT CONCILIER JUSTICE ET MISERICORDE.

Jean 8.7 "Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle."

Ce verset de l'Évangile de Jean nécessite une réflexion approfondie sur son contexte, son message et son application.

CONTEXTE DU VERSET :

Dans Jean 8, Jésus se trouve au Temple de Jérusalem, où les scribes et les pharisiens amènent une femme accusée d'adultère. Ils cherchent à le piéger, espérant qu'il contredira la loi de Moïse qui impose la peine de mort pour de tels péchés.

En fait, la personne que les pharisiens cherchent à juger n'est pas tant la femme adultère que Jésus lui-même. Pour eux, le sort de la femme est déjà fixé. Mais dans l'esprit des pharisiens, ils guettent la réaction de Jésus devant cette femme qui servira à pouvoir le condamner !

ANALYSE DU VERSET

1. Le message principal

Ce verset nous invite à une introspection : Jésus incite chacun à s'examiner soi-même avant de juger autrui. Il souligne que tous sont pécheurs, remettant ainsi en question la légitimité des accusateurs et pas forcement des accusations portées contre la femme.

C'est vrai, ne faudrait-il pas être irréprochables pour bien juger ?

Mais, Jésus nous conduit à un équilibre entre justice et miséricorde : il n'affirme pas que le péché est ACCEPTABLE, mais appelle à la compassion.

Cet épisode démontre que la véritable justice doit toujours s'accompagner de miséricorde.

Pourquoi ? Parce que ceux qui jugent ne valent guerre mieux. C'est là une question d'objectivité.

2. La nature humaine

Notre nature humaine a souvent tendance à juger : Ce verset de Jean 8.7 met en lumière notre promptitude à critiquer autrui tout en ignorant nos propres défauts. Jésus nous rappelle dans les Evangiles que nous ne devons pas nous considérer comme supérieurs aux autres, ce qui révèle une réelle propension à l'orgueil.

Il découle de ce passage un appel à l’humilité : En reconnaissant nos propres faiblesses, nous sommes encouragés à traiter les autres avec davantage de grâce et d’empathie.

Il ne s'agit donc pas de négliger la justice en rapport de notre indignité, mais de l'exercer avec un esprit empreint de grâce.

APPLICATION DU VERSET

1. Dans notre vie quotidienne

Nous devons bel et bien réfléchir avant de porter un jugement : Avant de critiquer quelqu’un, pensons à nos propres imperfections et à notre besoin de grâce. Ainsi éclairés, nous approcherons les autres avec un cœur moins intransigeant et hautain.

Nous devons pratiquer la compassion : Offrons soutien et compréhension aux autres, surtout lorsqu’ils traversent des épreuves difficiles.

2. Dans nos relations

Nous devons établir un dialogue ouvert : Au lieu de condamner aveuglément, engageons des discussions constructives où chacun peut partager ses expériences et apprendre des autres (même de leurs erreurs). Il faut reconnaitre que les chrétiens sont plus enclins à partager leurs succès que leurs échecs. Dommage parce que cela servirait sans doute de formidables mises en garde pour les autres…

Efforçons-nous également de créer un environnement de soutien : Dans nos communautés, encourageons un climat de pardon et de réconciliation plutôt que de jugement et de condamnation et d'exclusivisme.

Le verset Jean 8.7 nous rappelle qu’avec Christ, la miséricorde doit toujours primer sur le jugement. Jésus nous invite à une introspection, nous incitant à traiter autrui avec l’amour et la compassion qu’il nous accorde. C'est la force et la dignité des sociétés civilisées, et plus particulièrement des chrétiens, de traiter celles et ceux que l’on estime coupables avec humanité. En intégrant ce message dans notre quotidien, nous pouvons devenir des agents de changement positif autour de nous. L'ensauvagement ne produira que des sauvages.

Nous évoluons dans un monde où il est trop aisé de critiquer les erreurs des autres.

Les accusations surgissent rapidement, souvent sans fondement ou dans un esprit de jugement intransigeants. Nous pouvons même être victimes de fausses accusations, fondées sur des malentendus ou des jugements hâtifs.

En tout cas, nous ne pouvons pas prendre plaisir à voir des vies, des familles et des églises être ruinées. Tout cela révèle une faiblesse inhérente à notre nature humaine, où nous cherchons souvent à élever notre propre statut en rabaissant les autres.

L’ATTITUDE ET LA REACTION DE JESUS SONT ICI DE VERITABLES ENSEIGNEMENTS.

Plutôt que de se joindre aux accusations et aux accusateurs, le Seigneur choisit de faire preuve de bonté.

Je n'ose penser ce que l'on dirait de lui si cela se produisait aujourd'hui…

« Jésus, tu nous déçois ! Tu dois forcement avoir du péché dans ta propre vie pour nos pas vouloir condamner cette pécheresse ! »

Mais, Jésus ne sous-estime pas le péché de la femme (ni de l’autre partenaire dans cet adultère… le grand absent de cette scène…voir note en dessous....), mais il lui offre l'opportunité de se relever, de changer et de vivre une vie nouvelle. Notre justice ne doit jamais fermer la porte.

Note concernant l'absence de l'homme adultère :

(Il y a sans doute là une question de double standard : La loi mosaïque stipule pourtant que les deux, l'homme et la femme, doivent être punis pour l'adultère (Lévitique 20.10).

Le fait que seul l'homme soit absent soulève des questions sur l'injustice et le double standard dans la société de l'époque. La réflexion devrait nous pousser objectivement à reconnaitre que de tels standars et bien d'autres sont présents dans nos sociétés.

Au niveau du symbolisme, la focalisation sur la femme pourrait également souligner la miséricorde et la grâce de Jésus envers les pécheurs, tout en montrant l'hypocrisie des accusateurs.)

Par sa réponse, Jésus nous rappelle qu'en réalité nous ne sommes pas en position de juger.

Chacun d’entre nous a ses propres luttes, ses propres échecs.

Qui parmi nous peut se vanter d’être sans péché ?

Pourtant la justice doit s'exercer…!

Mais, avant de condamner ou de critiquer autrui, prenons un moment pour réfléchir à notre propre vie.

Sommes-nous exempts d’erreurs ?

Allons-nous faire preuve de la même miséricorde que celle que Jésus a offerte ?

Allons-nous manifester une justice miséricordieuse ou une justice intransigeante ?

Au lieu de juger sèchement, cherchons à comprendre les luttes des autres et comment nous pourrions apporter lumière et espoir dans la vie de ceux qui trébuchent…

Pour conclure, réalisons que Jésus ne nous appelle pas à abandonner la justice, mais à l’exercer avec miséricorde sans chercher à anéantir le coupable.

Dans un monde rempli de jugements, soyons sans cesse des porteurs de grâce.

Dans un monde de plus en plus sauvage, les chrétiens devraient continuellement manifester le caractère de l’Agneau qui vit en eux. Ainsi, lorsque nous croisons ceux qui échouent, souvenons-nous de la femme adultère et de la manière dont Jésus l’a traitée. Au lieu de lancer des pierres, offrons une main tendue, une oreille attentive et un cœur compréhensif.

Prions pour que nos cœurs soient ouverts à la miséricorde, pour que nous puissions voir les autres comme Jésus les voit et pour que nous soyons des instruments de paix dans un monde qui a tant besoin d’amour et de compréhension.

Past. Xavier LAVIE

(Illustration : tableau de Eero Järnefelt (1863-1937), Jésus et la femme adultère (1908, huile sur toile), église Saint-Pierre, Lieto (Finlande). Domaine public.)

[shalomelohim]

Le Dernier Grand Jour ou Yom Hachemini Atseret « solennité de clôture du huitième jour »

Du Mercredi 23 octobre au soir au Jeudi 24 octobre au soir (jour chômé).

“ Le quinzième jour du septième mois, quand vous récolterez les produits du pays, vous célébrerez donc une fête en l’honneur de l’Éternel pendant 7 jours : le premier jour sera un jour de repos et le huitième aussi. “ (Lévitique 23:39)

Les sept jours de la Fête des Tabernacles sont associés aux 1.000 ans du règne de Yahshua / Jésus sur la Terre (Millénium).

Selon Apocalypse 20:7-10, Satan sera délié et relâché de l'abîme pour peu de temps après les 1.000 ans de paix pour reséduire l'humanité qui n'aura pas connu d'épreuves et beaucoup de gens, à nouveau se rebelleront contre Dieu et tomberont dans son piège.

Cette Sainte Convocation du 8ème jour ordonnée par YHWH correspond à la remise des clés du Royaume par Yahshua / Jésus au Père, à la fin du Millénium, quand tous ses ennemis seront sous ses pieds.

“Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Elohim et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et toute puissance. Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort. Elohim, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté. Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que YHWH soit tout en tous.” (1 Corinthiens 15:24-28)

“Et en la dernière journée, la grande journée de la fête, Yahshua se tint là et cria, disant : “ Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en mois, selon ce qu’a dit l’écriture, des fleuves d’eau vive couleront de son ventre. ” (Jean 7:37-38 - Jésus à la fête des tentes)

Puis la terre disparaîtra, les cieux seront roulés.

Une nouvelle terre viendra avec la Nouvelle Jérusalem, toute d’or, de pierres précieuses, de cristal, avec nos maisons préparées par Yahshua / Jésus !

Il n’y aura plus ni jour ni nuit, Yahshua / Jésus sera au centre.

Ce rendez-vous fait de nous des prophètes obéissants, annonçant au monde ce qui vient, ce qui arrive, La Bonne Nouvelle.

Bonne Fête du Dernier Grand Jour, que YHWH vous accompagne par Son Fils Yahshua / Jésus en faisant souffler sur vous son Ruah Ha Kodesh.

Sim'hat Torah (Joie de la Torah) est célébrée par le peuple juif par des chants et des danses, marquant ainsi la fin du cycle annuel de lecture de la Torah.

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Notes : Les 7 Fêtes de l’Eternel correspondent au plan de salut de l’humanité.

Puissions-nous célébrer les Saintes Convocations de Dieu, Notre Père, ensemble, dans l’unité, par son Fils Yahshua, Notre Roi, avec la compréhension de leur signification prophétique.

L’Olivier franc (Juda - les Juifs) sur lequel se greffe l’Olivier sauvage (Ephraïm - les Nations) pour former le peuple d’Israël spirituel.

Sources : Juda & Ephraïm

[rosesinvalley]

Retour sur l’exposition “Moto poétique” au MAC LYON

Chris Gilmour et ses  motos en carton

Retour sur l’exposition de 2014, “Moto poétique” au Musée d’art contemporain de Lyon, c’est ancien mais toujours intéressant par rapport à sa véracité à être toujours d’actualité. “Éloge de la sensation, l’exposition Motopoétique présente, avec plus de 200 œuvres, l’art contemporain dans sa relation à la culture moto et une poétique de la moto, une culture visuelle.” disait Paul Ardenne, commissaire de l’exposition et passionné de moto lien sur son blog et qui a écrit « Moto mon amour ».

Je ressens encore les sensations éprouvées en découvrant l’expo et les mises en scène. Moto sensuelle, moto pratique, moto carton, moto vitesse… Un panorama artistique sur la vison de l’usage de la moto dans le monde et tout son aspect poétique et fantasmagorique.

Honneur aux femmes avec l’artiste Brigitte Zieger (Allemagne) et Janet Biggs avec ses performances sur le lac salé de Bonneville et d’autres que nous suivrons dans les prochains articles.

L’histoire de la moto est une sorte de témoin historique, une transposition des mœurs de la société. A redécouvrir en ligne sur le site du musée. Lien Visite virtuelle

Liste des artistes : Artistes : Conrad Bakker (Canada), Elisabetta Benassi (Italie), Janet Biggs (USA), Tïa-Calli Borlase (France), BP (France) Alain Bublex (France), Benedetto Bufalino (France), Clayton Burkhart (USA),Andrea Cera (Italie), Cristina Da Silva (Suisse) & Olivier Mosset (Suisse), Jeremy Deller & Alan Kane (UK), Laurent Faulon (France), Chris Gilmour (UK), Shaun Gladwell (Australie), Bernard Joisten (France), Ali Kazma (Turquie), Kevin Laisné (France), Florent Lamouroux (France),  Gonzalo Lebrija (Mexique), Ange Leccia (France), Tuomo Manninen (Finlande), Luc Mattenberger (Suisse), Myriam Mechita (France), Maro Michalakakos (Grèce), Charles Moody (USA), Mélodie Mousset (France), Jean-Michel Pancin (France), Pierre et Gilles (France), Gérard Rancinan (France), Jean-Baptiste Sauvage (France), Lionel Scoccimaro (France), Julien Serve (France), Michaela Spiegel (France), Xavier Veilhan (France), Patrick Weidmann (Suisse), Moo Chew Wong (Malaisie), Raphaël Zarka (France), Brigitte Zieger (Allemagne)« 

Blue Line #2 de Jean-Baptiste Sauvage 

[footballmanageraddict]

Sir Alex Ferguson Challenge | Part 14 | Surpassing SAF's Trophy Haul

#FM23 #SirAlexFergusonChallenge Part 14: Surpassing SAF's Trophy Haul. A dominant league campaign sees #NFFC win an 8th successive #PremierLeague to go past SAF's haul of 38 trophies. But could we win another league & #ChampionsLeague double? Read here:

Sir Alex Ferguson’s haul of 38 trophies at Man UFC may have seemed insurmountable when we took control of struggling Nottingham Forest 16 years ago. However, it was suddenly just two successes away after a period of absolute dominance at the Brian Clough Arena. I’d also become the third greatest Football Manager ever, only behind Pep Guardiola and the great man himself. Speaking of managers,…

[blog-aventin-de]

Tötet nicht, sondern rettet den Planeten

Tötet nicht, sondern rettet den Planeten · Nobelpreisträger Brief

51 Nobelpreisträger veröffentlichten einen Brief, in dem sie zu einem Waffenstillstand in der Ukraine, im Gazastreifen und in Dutzenden anderen militärischen Konflikten auf der ganzen Welt aufriefen. Der Brief richtet sich unter anderem an die Konfliktparteien, den Papst Franziskus, den Dalai Lama XIV., den Patriarchen Bartholomäus von Konstantinopel, die Vereinten Nationen (UN), das Europäische Parlament und die Parlamentarische Versammlung des Rates von Europa. Die Autoren luden zudem religiöse Führer ein, sich ihrem Aufruf während der Olympischen Spiele in Paris anzuschließen. Die Autoren des Briefes fordern ein sofortiges Ende der Feindseligkeiten, einen Austausch aller Gefangenen, die Freilassung von Geiseln und die Rückgabe der Leichen der Toten. »Geben Sie uns die Möglichkeit, zu überleben. Lasst uns nicht einander töten, sondern den Planeten retten«, heißt es in dem veröffentlichten Brief. In der Botschaft heißt es weiter, dass es derzeit weltweit über 55 bewaffnete Konflikte gebe. Die Autoren betonen, dass zum ersten Mal seit dem Zweiten Weltkrieg die Zahl der Toten und Verwundeten in Europa möglicherweise eine Million Menschen übersteigt. Den Autoren zufolge könnten die erhöhten Waffenausgaben für 80 Jahre Leben ohne Hunger auf dem gesamten Planeten ausreichen. Insgesamt wurde der Brief von 51 Nobelpreisträgern unterzeichnet. Unterschriften: - Emmanuelle Charpentier - Nobelpreis für Chemie 2020 für die Entwicklung einer Methode zur Genombearbeitung, - Elias James Corey - Nobelpreis für Chemie 1990 für die Entwicklung der Theorie und Methodik der organischen Synthese, - Alan Heeger - Nobelpreis für Chemie im Jahr 2000 für die Entdeckung und Entwicklung leitfähiger Polymere, - Roald Hoffman - Nobelpreis für Chemie 1981 für unabhängig entwickelte Theorien zum Ablauf chemischer Reaktionen, - Martin Karplus - Nobelpreis für Chemie 2013 für die Entwicklung multiskaliger Modelle komplexer chemischer Systeme, - Brian Kobilka - Nobelpreis für Chemie 2012 für die Forschung zu G-Protein-gekoppelten Rezeptoren - Li Yuanzhe - Nobelpreis für Chemie 1986 für seinen Beitrag zur Erforschung der Dynamik elementarer chemischer Prozesse, - Morten Meldel - Nobelpreis für Chemie 2022 für die Entwicklung der Klick-Chemie und der bioorthogonalen Chemie, - Jean-Pierre Sauvage - Nobelpreis für Chemie 2016 für die Entwicklung und Synthese molekularer Maschinen, - Richard Schrock - Nobelpreis für Chemie 2005 für die Entwicklung der Methode der Metathese in der organischen Synthese, - Hideki Shirakawa - Nobelpreis für Chemie im Jahr 2000 für die Entdeckung und Entwicklung leitfähiger Polymere, - James Fraser Stoddart - Nobelpreis für Chemie 2016 für die Entwicklung und Synthese molekularer Maschinen, - Paul Milgrom - Nobelpreis für Wirtschaftswissenschaften 2020 für die Verbesserung der Auktionstheorie und die Erfindung neuer Auktionsformate, - Christopher Pissarides - Nobelpreis für Wirtschaftswissenschaften 2010 für seine Forschung zu Märkten mit Suchmodellen, - Swetlana Alexijewitsch - Nobelpreis für Literatur 2015 „für polyphone Werke, ein Denkmal für Leid und Mut in unserer Zeit“, - Elfrida Jelinek - Nobelpreis für Literatur 2004 - Werner Arber - Nobelpreis für Medizin 1978 für die Entdeckung von Restriktionsenzymen und ihre Anwendung auf Probleme der Molekulargenetik, - Françoise Barre-Sinussy - Nobelpreis für Medizin 2008 für die Entdeckung von HIV, - Luis Ignarro - Nobelpreis für Medizin 1998 für Entdeckungen über Stickstoffmonoxid als Signalmolekül im Herz-Kreislauf-System, - Barry Marshall - Nobelpreis für Medizin 2005 für die Entdeckung des Bakteriums Helicobacter pylori und seiner Rolle bei der Entstehung von Gastritis und Magengeschwüren, - Edward Moser - Nobelpreis für Medizin 2014 für die Entdeckung der Zellen, die das Positionierungssystem im Gehirn bilden, - Mai-Britt Moser - Nobelpreis für Medizin 2014 für die Entdeckung der Zellen, die das Positionierungssystem im Gehirn bilden, - Erwin Neher - Nobelpreis für Medizin 1991 für Entdeckungen zur Funktion einzelner Ionenkanäle in Zellen, - Peter Ratcliffe - Nobelpreis für Medizin 2019 für Entdeckungen darüber, wie Zellen die Sauerstoffverfügbarkeit wahrnehmen und sich daran anpassen - Charles Rice - Nobelpreis für Medizin 2020 für die Entdeckung des Hepatitis-C-Virus, - Richard Roberts - Nobelpreis für Medizin 1993 für die Entdeckung gespaltener Gene, - Gregg Semenza - Nobelpreis für Medizin 2019 für Entdeckungen darüber, wie Zellen die Sauerstoffverfügbarkeit wahrnehmen und sich daran anpassen - Hamilton Smith - Nobelpreis für Medizin 1978 für die Entdeckung von Restriktionsenzymen und ihre Anwendung auf Probleme der Molekulargenetik, - Jack Schostak - Nobelpreis für Medizin 2009 für die Entdeckung, wie Chromosomen durch Telomere und das Enzym Telomerase geschützt werden, - Karlus Bellu - Friedensnobelpreis 1996 für seinen Einsatz für eine gerechte und friedliche Lösung des Konflikts in Osttimor, - Mairead Maguire - Friedensnobelpreis 1976 für seine mutigen Bemühungen, eine Bewegung zur Beendigung des brutalen Konflikts in Nordirland aufzubauen, - Beatrice Finn - Friedensnobelpreis 2017 - Tavakul-Tasche - Friedensnobelpreis 2011 - Deni Mukwe - Friedensnobelpreis 2018 - Dmitri Muratow - Friedensnobelpreis 2021 - Maria Ressa - Friedensnobelpreis 2021 - Oscar Arias Sanchez - Friedensnobelpreis 1987 - Jody Williams - Friedensnobelpreis 1997 - Pierre Agostini - Nobelpreis für Physik 2023 - Barry Bearish - Nobelpreis für Physik 2017 für entscheidende Beiträge zum LIGO-Detektor und zur Beobachtung von Gravitationswellen, - Stephen Chu - Nobelpreis für Physik 1997 für die Entwicklung von Methoden zum Kühlen und Einfangen von Atomen mittels Laserlicht, - Andrey-Spiel - 2010 Nobelpreis für Physik für seine bahnbrechenden Experimente zum zweidimensionalen Material Graphen, - Brian David Josephson - Nobelpreis für Physik 1973 für theoretische Vorhersagen der Eigenschaften von Supraströmen durch eine Tunnelbarriere - Takaaki Kadzita - Nobelpreis für Physik 2015 für die Entdeckung der Neutrino-Oszillationen, die beweisen, dass Neutrinos Masse haben, - Klaus von Klitzing - Nobelpreis für Physik 1985 für die Entdeckung des Quanten-Hall-Effekts, - ​​​​Ferenc Kraus - Nobelpreis für Physik 2023 für experimentelle Methoden zur Erzeugung von Attosekunden-Lichtimpulsen zur Untersuchung der Dynamik von Elektronen in Materie, - Michel Mayor - Nobelpreis für Physik 2019 für die Entdeckung eines Exoplaneten, der einen sonnenähnlichen Stern umkreist, - Roger Penrose - Nobelpreis für Physik 2020 für die Entdeckung, dass die Entstehung von Schwarzen Löchern eine zuverlässige Vorhersage der Allgemeinen Relativitätstheorie ist, - William Phillips - Nobelpreis für Physik im Jahr 1997 für seine Entwicklung von Methoden zum Kühlen und Einfangen von Atomen mithilfe von Laserlicht, - Torsten Wiesel - Nobelpreis für Medizin 1981 für Entdeckungen zur Informationsverarbeitung im visuellen System, - Finn Kydland - Nobelpreis für Wirtschaftswissenschaften 2004 für seine Beiträge zur dynamischen Makroökonomie: zeitliche Kohärenz der Wirtschaftspolitik und die Treiber von Konjunkturzyklen. Tötet nicht, sondern rettet den Planeten · Nobelpreisträger · Brief Read the full article

[alexlacquemanne]

Juin MMXXIV

Films

Le Jour le plus long (The Longest Day) (1962) et réalisé de Ken Annakin, Andrew Marton, Bernhard Wicki, Gerd Oswald et Darryl F. Zanuck avec Patrick Barr, Richard Burton, Henry Fonda, John Wayne, Robert Mitchum, Robert Ryan, Curd Jürgens, Georges Wilson, Irina Demick et Christian Marquand

Magic in the Moonlight (2014) de Woody Allen avec Colin Firth, Emma Stone, Marcia Gay Harden, Simon McBurney, Jacki Weaver, Hamish Linklater et Erica Leerhsen

Mosquito Coast (The Mosquito Coast) (1986) de Peter Weir avec Harrison Ford, Helen Mirren, River Phoenix, Conrad Roberts, André Gregory et Martha Plimpton

Ne le dis à personne (2006) de et avec Guillaume Canet et aussi François Cluzet, André Dussollier, Marie-Josée Croze, Kristin Scott Thomas, Nathalie Baye, François Berléand, Jean Rochefort et Gilles Lellouche

Casablanca (1942) de Michael Curtiz avec Humphrey Bogart, Ingrid Bergman, Paul Henreid, Claude Rains, Conrad Veidt, Sydney Greenstreet et Peter Lorre

Le Grand Blond avec une chaussure noire (1972) d'Yves Robert avec Pierre Richard, Bernard Blier, Jean Rochefort, Mireille Darc, Paul Le Person, Jean Carmet, Colette Castel et Jean Saudray

Le Retour du Grand Blond (1974) de Yves Robert avec Pierre Richard, Jean Carmet, Jean Rochefort, Mireille Darc, Michel Duchaussoy, Jean Bouise, Paul Le Person, Colette Castel et Henri Guybet

Married Life (2007) d'Ira Sachs avec Chris Cooper, Pierce Brosnan, Patricia Clarkson, Rachel McAdams, David Richmond-Peck et Timothy Webber

Un poisson nommé Wanda (A Fish Called Wanda) (1988) de Charles Crichton avec John Cleese, Jamie Lee Curtis, Kevin Kline, Michael Palin, Maria Aitken, Tom Georgeson, Patricia Hayes et Geoffrey Palmer

Séries

Doctor Who Season 1

Dot and Bubble - Rogue - The Legend of Ruby Sunday - Empire of Death

Maguy Saison 5

L'esthète à claques - Vélo de Rose - Cinémaguy - Tableau d'horreur - Accident de sagesse - Anniversaire moi fort - Kidnapping-pong - L'appel de la mère - Racket sans filet - Vaudou dingue - Médecin retraitant - Propriétaires à terre - Sans crime ni raison - Adultère à délit - Déclics et des claques - Libido bloquée - Achat échaudé - Voirie aux larmes - Méprises de vue - Bouchon en carafe - Marquis dit mieux - Épidémies à la porte - Flagrant délire - Une étoile est nue - Train d'ennuis - Bombages ingrats - Toutou ou rien - Gala galère - Le majordrôle - Brouillon de culture - L'éventaire de rien - Qui s'y frotte s'hippique - Télécom… hic ! - Totem à la folie - Météorite initiatique - Mensonges d'une nuit d'été - Plumeau d'ordre - Taj Mahal où ? - La paix niche en Belgique - Les loyaux de la couronne - La cave se rebiffe - La valse a mis le temps

Totally Spies! Saison 7

Totalement talentueuses - Invasion de grosses bestioles gluantes - Fromage et lune de miel

Le Coffre à Catch

#170 : Yoshi Tatsu, et si c'était lui le futur de la ECW? - #171 : Y2J Chris Jericho à la ECW ! - #172 : Les adieux de Sheamus ! - #173 : Vance Archer nouvelle star : info ou intox?

La croisière s'amuse Saison 6

Pourquoi pas un mariage ? - Péchés de vieillesse - L'Amour sauvage - Une secrétaire intérimaire - À s'arracher les cheveux - C'est loin l'Amérique ! - Romance à bas prix - Ça, c'est de la classe !

Affaires sensibles

Radio Paris, Radio Vichy, Radio Londres : les ondes de choc - Normandie 44 (1/4) : Le rempart du mensonge - Normandie 44 (2/4) : Dans l'œil du bunker - Normandie 44 (3/4) : Le jour de gloire - Normandie 44 (4/4) : Des civils sous les bombes - L'affaire Guingouin : l'honneur bafoué d'un résistant - Mincemeat, l'homme qui n'existait pas - Enigma ou la guerre invisible - Dunkerque, mai 1940 : une défaite, mais aussi une victoire - Chirac, échec et mat : la dissolution ratée de 1997 - Danielle Darrieux dans le train de la honte - Dans les bas-fonds de la République - La tuerie de l'Ecole polytechnique de Montréal

Castle Saison 6

Tout feu tout flamme - Un monde d'illusions - La Rançon de la gloire - Habillée pour le cimetière - Bienvenue dans l'âge ingrat - La Chambre 147 - Lazare - La Voie du ninja - L'Agneau de Wall Street - Le Meurtre du samedi soir - Sport de rue - Veritas - Le Grand Jour

The Hour Saison 2

Une heure qui en dit long - Une heure critique - Une heure, des disparitions - Une heure, une source en danger - Une heure de paradis - Une heure de courage

Les Brigades du Tigre Saison 4

Le Village maudit - Les Demoiselles du Vésinet - Bandes et Contrebandes - Cordialement vôtre - Les Enfants de la Joconde - L'Ange blanc

The Grand Tour Saison 2

Coups de vieux

Spectacles

Un Grand moment de solitude (2015) de et avec Josiane Balasko et aussi Kader Boukhanef, Justine Le Pottier et George Aguilar

Ben l'Oncle Soul: Live Paris (2011)

Un Singe en hiver (2014) de Stéphane Hillel avec Eddy Mitchell Fred Testot, Evelyne Dandry, Gérard Loussine, Chloé Simoneau et Stephan Wojtowicz

Quincy Jones symphonique (2019)

Le duplex (2024) de Didier Caron avec Claire Nadeau, Pascal Légitimus, Francis Perrin et Corinne Touzet

Billy Cobham's Spectrum 50 Project (2023) au Monte-Carlo Jazz Festival

Le Placard (2015) de Francis Veber avec Philippe Magnan, Laurent Gamelon, Zoé Félix, Laurent Paolini, Marie Facundo, Elie Semoun et François Levantal

Livres

Le jour le plus long de Cornelius Ryan

Kaamelott, tome 6 : Le Duel des Mages d'Alexandre Astier, Benoît Bekaert et Steven Dupré

Les aventures de Tintin, tome 21 : Les bijoux de la Castafiore d'Hergé

Les aventures de Tintin, tome 15 : Tintin au pays de l'or noir d'Hergé

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Jean Pierre Sauvage

Anonymous asked: Jean-Pierre Sauvage, chemist - entj?

[blogdimanche]

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 1,12-15

« Jésus venait d’être baptisé.

12 Aussitôt l’Esprit le pousse au désert

13 et, dans le désert, il resta quarante jours, tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient.

14 Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ;

15 il disait : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »

(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)

(Illustration du site Apprenez-nous à prier)

Commentaire Mc 1,12-13

« Jésus venait d’être baptisé. Aussitôt, l’Esprit le pousse au désert. Et dans le désert il resta quarante jours, tenté par Satan. » (Mc 1,12-13) Marc ne nous précise pas quelles tentations Jésus a dû affronter, mais la suite de son évangile nous permet de les deviner : ce sont toutes les fois où il a dû dire non ; parce que les pensées de Dieu ne sont pas celles des hommes, et que, homme lui-même, il était entouré d’hommes, il a dû faire sans cesse le choix de la fidélité à son Père. L’épisode qui nous vient tout de suite à l’esprit, c’est ce qui s’est passé près de Césarée de Philippe : « En chemin, Jésus interrogeait ses disciples : Qui suis-je, au dire des hommes ? Ils lui dirent Jean le Baptiste ; pour d’autres, Elie ; pour d’autres, l’un des prophètes. Et lui leur demandait : Et vous, qui dites-vous que je suis ? Prenant la parole, Pierre lui répond : Tu es le Christ. Alors il leur commanda sévèrement de ne parler de lui à personne. » (Mc 8,27-30). Cette sévérité même est certainement déjà signe d’un combat intérieur. Et tout de suite après, Marc enchaîne « Il commença à leur enseigner qu’il fallait que le Fils de l’Homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit mis à mort et que, trois jours après, il ressuscite. » Et vous connaissez la suite : « Pierre, le tirant à part, se mit à le réprimander. Mais lui, se retournant et voyant ses disciples, réprimanda Pierre ; il lui dit : Retire-toi ! Derrière moi, Satan, car tes vues ne sont pas celles de Dieu mais celles des hommes. » Il y a là, dans la bouche de Jésus l’aveu de ce qui fut la plus forte peut-être des tentations : celle d’échapper aux conséquences tragiques de l’annonce de l’évangile. Jusqu’à la dernière minute, à Gethsémani, il aura la tentation de reculer devant la souffrance : « Mon âme est triste à en mourir... Père, à toi tout est possible, écarte de moi cette coupe ! Pourtant, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux ! » (Mc 14,34-36) Il est bien clair ici que sa volonté doit faire effort pour s’accorder à celle de son Père. Jésus a connu aussi la tentation de réussir ; là encore, son entourage l’y poussait ; le succès pouvait bien devenir un piège : « Tout le monde te cherche » (Mc 1,37), lui disaient ses disciples à Capharnaüm ; le matin du sabbat à la synagogue, d’abord, où il avait délivré un possédé, puis la journée au calme chez Simon et André, où il avait guéri la belle-mère de Pierre ; le soir tous les alentours étaient là, qui avec son malade, qui avec son possédé ; et il avait guéri de nombreux malades ; la nuit suivante, avant l’aube, il était sorti à l’écart pour prier ; Jésus avait dû s’arracher : « Allons ailleurs dans les bourgs voisins, pour que j’y proclame aussi l’Évangile : car c’est pour cela que je suis sorti. » (Mc 1,38). Elle est là, la tentation : se laisser détourner de sa mission. Jésus a vécu cette souffrance de l'incompréhension et a dû affronter une autre sorte de tentation, celle de convaincre par des actes spectaculaires : « Les Pharisiens vinrent et se mirent à discuter avec Jésus ; pour lui tendre un piège, ils lui demandent un signe qui vienne du ciel. Poussant un profond soupir, Jésus dit : Pourquoi cette génération demande-t-elle un signe ? En vérité, je vous le déclare, il ne sera pas donné de signe à cette génération... Et les quittant, il remonta dans la barque et il partit sur l’autre rive. » (Mc 8,11-12). Très certainement, quand Jésus décide brusquement de fausser compagnie à ses interlocuteurs du moment, que ce soient ses amis ou ses adversaires, c'est qu'il a un choix à faire. Ce choix est celui de la fidélité à sa mission. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)

[personal-reporter]

Olivier Messiaen, il musicista che amava gli uccelli

Un uomo che amava la natura e il piacere della musica…. Olivier-Eugène-Prosper-Charles Messiaen nacque ad Avignone il 10 dicembre 1908 dalla poetessa Cécile Sauvage e da Pierre, studioso e insegnante di letteratura inglese. Allo scoppio della prima guerra mondiale Pierre venne  arruolato e la famiglia si trasferì a Grenoble, presso il fratello di Cécile, dove Olivier svolse le prime esperienze musicali e,  dopo i primi approcci da autodidatta, iniziò a prendere lezioni di pianoforte e a dedicarsi alla composizione. Nel 1918, al ritorno di Pierre, i Messiaen si trasferirono a Nantes e, dal 1919, a Parigi, dove Olivier fu ammesso al Conservatorio: fu allievo di Jean Gallon per l’armonia, Maurice Emmanuel per storia della musica, Marcel Dupré per organo e improvvisazione, poi nel 1926 iniziò gli studi di composizione con Charles-Marie Widor per proseguirli poi dal 1927 con Paul Dukas, sotto la cui guida conseguì il Premier prix nel 1930. Durante gli studi Messiaen pubblicò i primi lavori e fu organista presso l’Église de la Sainte-Trinité in sostituzione del titolare Charles Quef e alla morte di questi, nel 1931, rilevò l’incarico. Nel 1932 sposò la violinista e compositrice Louise Justine Delbos, soprannominata Claire, dalla quale nel 1937 ebbe un figlio, Pascal. Colpita da un tumore cerebrale, nel 1947 Claire fu sottoposta a un intervento che, pur riuscendo nell’asportazione, avrebbe causato la perdita della memoria della donna, che avrebbe trascorso il resto della vita in un istituto. Nel 1936 Messiaen iniziò ad insegnare presso la Schola cantorum parigina mentre, insieme a André Jolivet, Jean-Yves Daniel-Lesur e Yves Baudrier fondò il gruppo La jeune France, che, in polemica con Jean Cocteau e il gruppo dei Sei,  propugnava un rinnovamento dei linguaggi musicali. In quel periodo il compositore cominciò a rivolgere la propria attenzione alle potenzialità espressive offerte dalle onde Martenot. Chiamato alle armi al principio della seconda Guerra mondiale,  Olivier nel maggio 1940 fu catturato dalle forze naziste preso Verdun e imprigionato a Görlitz nel campo di concentramento VIII-A e venne liberato nel maggio 1941. Rientrato in patria, ottenne la cattedra di armonia presso il Conservatorio parigino, poi  ampliò progressivamente la propria attività nel campo dell’insegnamento attraverso lo svolgimento di corsi privati di analisi musicale e l’esposizione dei principî alla base del proprio linguaggio nel trattato Technique de mon langage musical del 1944. Presso il Conservatorio passò alle cattedre di filosofia della musica nel 1955, analisi musicale nel 1947 e composizione nel 1962 ed ebbe tra i suoi allievi Pierre Boulez, Karlheinz Stockhausen, Karel Goeyvaerts, Iannis Xenakis, Gerard Grisey, Alexander Goehr, Tristan Murail,  Kent Nagano, George Benjamin  e Yvonne Loriod, con cui stabilì un intenso sodalizio artistico. Invitato a tenere corsi di perfezionamento nei centri di primo piano dell’avanguardia musicale, il compositore fu docente a Budapest nel 1947, a Tanglewood nel 1949, a Darmstadt nel 1949 e nel 1950. Dopo che rimase vedovo nel 1959, nel 1961 Messiaen sposò in seconde nozze Yvonne Loriod e nel 1978 lasciò l’insegnamento presso il Conservatorio, ma continuò a dedicarsi alla composizione musicale e allo studio degli uccelli, che fu la sua seconda grande passione. Il grande musicista morì il 27 aprile 1992 presso l’ospedale Beaujon di Clichy e nel 2014, nel sito del campo di concentramento VIII-A,  venne inaugurato il Centro europeo di istruzione e cultura Meetingpoint Music Messiaen. Read the full article