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Volupté et Violence
Spencer Reid x lecteur
Avertissements : attouchements sexu*les, langages déplacé &vulgaires, aucune scène de s*xe.
Résumé : Vous et l'équipe êtes sur une affaire en Géorgie avec une chaleur insoutenable mais lors d'un briefing de Hotch Spencer remarque que vous êtes mal à l'aise et entend les remarque déplacer des policiers.
Quarante degrés. Comment était-il possible de travailler sous une telle chaleur ?
L'équipe avait été appelée en urgence pour un poseur de bombes en Géorgie. Franchement, tu te demandais bien où ce type trouvait le courage de poser des explosifs par un temps pareil.
Tout le commissariat était en nage, et tout le monde avait troqué sa tenue habituelle pour quelque chose de plus léger.
Même Spencer avait abandonné ses cardigans pour un t-shirt à manches courtes, et Hotch ainsi que Rossi avaient entrouvert le col de leurs chemises, ce qui relevait de l'inédit.
L'équipe savait deux choses à ton sujet : d’abord, tu détestais la chaleur. Ensuite, ton style vestimentaire était… disons, peu conventionnel pour une agente fédérale.
Ce n’était pas rare qu’on te prenne pour une civile, ou pire, une prostituée. Tu avais une garde-robe composée de débardeurs, de pantalons larges, de bandeau, et, à l’occasion, de jupes ou shorts en cuir.
Aujourd’hui ne faisait pas exception.Tu avais opté pour un débardeur gris avec un généreux décolleté – une contrainte imposée par la chaleur et ta poitrine naturellement généreuse, qui compliquait souvent les choses. Avec ça, tu portais un pantalon large et un chignon négligemment noué sur la nuque. Pas forcément la tenue idéale pour être prise au sérieux dans ton milieu, mais au moins, tu ne risquais pas de mourir de chaud.
Alors que tu fouillais dans des dossiers liés aux achats de dynamite des six derniers mois, tu remarquas Spencer, ton compagnon depuis 3 mois, de l’autre côté de la pièce. Il était plongé dans son travail, mais lorsqu’il leva les yeux et croisa ton regard, il t’offrit l’un de ses sourires si tendres et pleins d’amour. Tu ressentis une chaleur monter à tes joues et baissas les yeux, émue par ce geste plein de douceur.
Cependant, l’atmosphère du commissariat était loin d’être agréable. Depuis ton arrivée, plusieurs officiers t’observaient d’un peu trop près. Et pas tes yeux ou ton travail, non, leur regard était rivé sur ta poitrine.
-Tu crois qu’elle sait seulement tirer, ou elle a d’autres talents ?
-Avec un corps pareil, elle ferait mieux de bosser dans un club de strip-tease.
-Tu crois qu’elle enquête ou qu’elle cherche juste à se faire sauter ?
Ces remarques te faisaient bouillir. D’habitude, tu aurais mis un pull pour cacher ta poitrine et stopper leurs réflexions, mais la chaleur était insupportable.Pendant deux longues heures, tu dus supporter leurs regards insidieux et leurs sous-entendus, comme :
-Ça se voit qu’elle est habituée à être à quatre pattes plus qu’à un bureau.
-C’est le genre de fille qui ouvre plus ses jambes que ses dossiers
-Si elle me fait un sourire, je la prends direct sur ce bureau.
Avec le temps, leurs commentaires devenaient de plus en plus explicites, ponctués de gestes dégoûtants. Tu avais envisagé de te confier à Spencer, mais il avait déjà assez de travail. Tu refusais qu’il devienne une cible à cause de vous.
Tu n'avais jamais été aussi soulagée que lorsqu'Hotch annonça un briefing. Enfin, tu allais pouvoir t'éloigner de ces regards lourds.
Une fois dans la salle de briefing, tu t’appuyas contre un mur, légèrement à l’écart, tout en observant l’équipe s’installer. Spencer te lança un regard, et tu lui souris, bien que tes nerfs soient à vif.
Mais cette pause fut de courte durée. Alors que tu te concentrais sur Spencer, un officier se glissa discrètement derrière toi. Au début, tu pensais qu’il cherchait simplement à passer, mais son attitude te fit rapidement comprendre le contraire.Il se colla un peu trop près, si bien que tu pouvais sentir la chaleur désagréable de son corps contre le tien.
Puis tu sentis sa main s’attarder sur ta cuisse, effleurant d’abord le tissu de ton pantalon avant de devenir plus insistante.Ton souffle se coupa un instant, une vague de dégoût te parcourant.
Tu bougeas légèrement pour te dégager, mais il ne recula pas.Tu relevas les yeux vers Spencer, espérant qu’il n’ait rien remarqué. Mais c’était peine perdue.
Il te regardait toujours, son expression cette fois marquée par une inquiétude évidente.Malgré tes efforts pour feindre l’indifférence, il avait compris que quelque chose n’allait pas.
La tension monta encore d’un cran lorsque l’officier se pencha vers toi, son souffle chaud contre ton oreille :— Ta seule compétence utile ici, c’est de savoir écarter les cuisses, pas de fouiller dans des dossiers. Ton corps se raidit immédiatement, la colère bouillonnant en toi.
Tes poings se serrèrent si fort que tes ongles marquèrent la peau de tes paumes. Tu aurais pu le remettre à sa place, mais l'atmosphère étouffante et la crainte de créer un incident dans un contexte professionnel t’empêchèrent d’agir sur le moment.
Cette fois, c'est lorsque l'officier fit glisser sa jambe entre tes cuisses que tu réagis instinctivement, te retournant brusquement pour le repousser violemment contre le mur. Le bruit du choc résonna dans la pièce, et un silence glacial s'installa aussitôt.
Toutes les voix, dont celle de Hotch, s'éteignirent d'un coup, laissant place à une tension palpable. Tu baissas immédiatement les bras, le regard fuyant, t'excusant précipitamment, cherchant à minimiser l'incident. Ton cœur battait à toute vitesse alors que tu tentais de cacher ton embarras, t'efforçant de faire oublier ce moment gênant au reste du groupe.
L'officier, toujours avachi contre le mur, esquissa un sourire carnassier, ses yeux glissant lentement sur toi avec une arrogance calculée. Il prit un ton traînant, amplifiant délibérément l'humiliation qu'il cherchait à infliger.— Les filles comme toi aiment ça, non ? Être prises sans résistance, juste pour qu’on s’en débarrasse. lança-t-il, ses mots dégoulinant de mépris.
Il marqua une pause, savourant l'effet de sa provocation, avant d’ajouter d’un ton encore plus acerbe :— Faut dire qu’avec une poitrine comme la tienne, tu dois avoir déjà pas mal d’expérience. Ça doit te servir souvent, non ?La pièce sembla s’immobiliser, le poids de ses paroles suspendu dans l’air comme une explosion qui résonnait encore.
Quelques rires étouffés s’élevèrent dans le fond, témoignant d’une complicité toxique entre certains agents, mais la plupart des regards étaient fixés sur toi, oscillant entre incrédulité et malaise.
Chaque mot qu’il venait de prononcer résonnait dans ta tête comme un écho douloureux. Ta respiration s’accéléra, ton cœur battait à tout rompre, et tu serrais les poings si fort que tes ongles s’enfoncèrent dans ta paume.
Une vague de chaleur, mélange de honte et de colère, envahit tout ton être.
Mais avant que tu ne puisses réagir, une chaise racla bruyamment le sol derrière toi.
— Qu’est-ce que vous venez de dire ?
La voix appartenait Ă Spencer.
Froide, tranchante, et étrangement calme, elle coupa à travers la tension de la pièce comme un coup de scalpel.
Lorsque tu te tournas, tu vis qu’il s’était levé, ses yeux rivés sur l’officier avec une intensité que tu ne lui connaissais pas.L’officier haussa un sourcil, essayant de jouer la désinvolture, mais l’assurance dans son regard vacilla légèrement face au jeune homme.
— Détends-toi, Doc, répondit-il avec un rire nerveux, cherchant à cacher son agacement. Pas besoin de jouer les chevaliers blancs. C’était juste une blague, tu sais. Puis, tu vas vraiment t’agiter pour une fille qui se met à quatre pattes pour n’importe qui ? Ça en dit long, non ?
Spencer fit un pas en avant, sa silhouette mince mais imposante dans cette posture de défi qu’il prenait rarement. Ses yeux étaient glacials, et sa mâchoire serrée trahissait une rage contenue. L’officier roula des yeux et rajoute une phrase :
- Si tu veux te la faire, suffit de se servir dit il en fesant un regard déplacé vers ta pointrine.
Mais avant que Spencer ne puisse répondre, une autre voix, plus grave et autoritaire, s’éleva dans la pièce :— Je vous demande pardon ?
Hotch se tenait à quelques centimètres de l'officier, les bras croisés et le regard glacé. En un instant, le silence s'imposa.
Spencer ne détournait pas les yeux de l’officier. Hotch le fixa intensément, et tu espérais silencieusement que la situation prenne fin."Dans le bureau, tous les deux."La voix de Hotch était ferme et autoritaire.
En sortant, un sentiment de honte t’envahit, tandis que l’officier semblait plus fier que jamais de ses actions.
Dans le bureau, Hotch s’avança lentement vers l'officier, dont l'assurance s'était nettement effondrée."Si je vous reprends à faire de telles choses ou à tenir de tels propos," dit Hotch d'une voix calme mais lourde de menace.
L’officier bredouilla des excuses, tentant de minimiser ses actes, mais Hotch ne lui laissa aucune échappatoire."Vous avez deux options," poursuivit-il froidement. "Soit vous quittez cet endroit immédiatement, et je m'assure que votre comportement est signalé aux plus hauts niveaux. Soit vous continuez, et je vous traîne devant le comité disciplinaire du Bureau. Vous voulez tester ?" Sous l'autorité de Hotch, l’officier baissa les yeux et quitta la pièce sans un mot.
Une fois seul, Hotch se tourna vers toi. Son expression restait sévère, mais il y avait une douceur dans son regard. "Tu vas bien ?" demanda-t-il simplement.Tu hochas la tête, mais ta gorge était trop serrée pour répondre.
En retournant dans la salle, Spencer, d'un geste rassurant, posa sa main sur ton bras, son regard trahissant toute son inquiétude. Tu sentais son regard, mais tu faisais tout pour l’éviter, trop honteuse pour le soutenir.
Le briefing se termina sans autre incident, mais l’atmosphère dans la salle restait lourde, presque étouffante.
Dès que Hotch donna le signal de fin, tu te précipitas vers la sortie, aspirant à échapper à cette tension oppressante. Ton cœur battait encore violemment, et tes pensées tournaient en boucle, alimentées par la colère et l’humiliation refoulées.
En franchissant les portes du commissariat, tu tombas nez à nez avec le fameux officier. Il était là , nonchalamment appuyé contre une voiture mais son sourire mauvais intact.
— Alors, t’as trouvé un autre type à te laisser baiser, ou tu te contentes de jouer les salopes en attendant qu’on t’offre un peu de plaisir ? lâcha-t-il d’un ton méprisant, un éclat provocateur dans les yeux.
Cette fois, c’était la goutte de trop. Avant même que tu ne réfléchisses à tes actions, ton poing s’était déjà fermé sous l’impulsion de toute la rage accumulée. En un éclair, tu lui décochas un coup puissant directement dans son visage.
L’impact fut brutal. Il vacilla en arrière, sa tête cognant légèrement la carrosserie de la voiture avant qu’il ne s’écroule au sol, le nez en sang.
— Sale garce ! cracha-t-il en essayant de se redresser, mais sa voix était étouffée par la douleur et la surprise.
Spencer, qui avait vu toute la scène depuis l’intérieur, accourut à toute allure vers toi, les yeux écarquillés. Mais avant qu’il n’ait le temps de te rejoindre, tu avais déjà attrapé ton sac et tourné les talons avec une détermination froide.
- La salope elle fait de la boxe, il y a d'autres volontaires ? lançais-tu d’une voix forte, balayant du regard les policiers présents, dont certains avaient assisté à la scène, visiblement choqués.
Le silence s’abattit sur le parking. Personne n’osa bouger ou répondre, tous les regards fixés sur toi, stupéfaits.
Même Rossi, qui venait d’arriver derrière Spencer, semblait figé, son expression oscillant entre incrédulité et admiration face à ta réaction.
Spencer, quant à lui, resta un instant pétrifié, la bouche entrouverte, avant de jeter un coup d’œil rapide à l’officier qui gémissait toujours au sol. Mais il n’essaya pas de te retenir.
Peut-être avait-il compris que tu avais besoin de ce moment, de cette action pour expulser la tension accumulée.Tu t’éloignas à grands pas, le bruit de tes talons résonnant sur le bitume.
Dans la voiture pour allez Ă l'hĂ´tel personne ne dis rien Ă propos de l'incident.
Lorsque tu te réfugias dans ta chambre d'hôtel, à l'abri des regards, tu t'effondras près du lit, tentant de reprendre ton souffle.
Enroulant tes bras autour de tes genoux repliés contre ta poitrine, tu cherchas à te cacher, à effacer l'intensité de ce moment.
Tu entendis la porte s'ouvrir derrière toi, et Spencer entra, fermant doucement à clé. Il s'approcha de toi sans un mot, mais tu sentais la chaleur et la douceur de sa présence.
Il s'agenouilla à tes côtés et, d'un geste délicat, déplia tes jambes. Doucement, il prit ton menton entre ses doigts, levant ton regard vers lui.
Ses yeux étaient pleins de compassion et d’amour, et il attendit que tu sois prête à le regarder, tout en te maintenant dans cette tranquillité. Les larmes que tu avais essayé de retenir commencèrent à dévaler tes joues.
"Je suis désolé que tu aies à supporter ça," murmura-t-il. "Mais ton coup de poing était magnifique."
Un petit rire nerveux s'échappa de tes lèvres, entrecoupé de sanglots.
"Le pire, c'est qu'il n'a pas tort," murmuras-tu. "Il suffit de regarder mon palmarès de relations pour savoir quel genre de fille je suis."
Spencer s'approcha, rapprochant son visage du tien, ses lèvres n'étant plus qu'à quelques centimètres des tiennes.
"Tu n'es pas comme ça. Tu as vécu des choses traumatisantes. Les relations que tu as eues, je ne m'en suis jamais soucié, parce que tu es une personne incroyable. Belle. Et tu mérites tout l'amour que l'on peut te donner.
Tu es une collègue, une petite amie, et…" Il marqua une pause avant de sourire légèrement. "…une amante incroyable."
Cette dernière remarque te fit rire, et tu le frappas doucement à l’épaule. "
Et tout ça… pour te dire que je t'aime," ajouta-t-il, son regard d’une sincérité dévorante.Tu t'arrêtas net, ton souffle coupé, cherchant à déceler la moindre trace de mensonge dans ses yeux. Mais il n'y en avait pas. Rien que de la vérité. Un frisson te parcourut.
"Moi aussi, je t'aime," murmuras-tu, presque inaudible, ton cœur battant plus fort dans ta poitrine.
À l'instant où il entendit ces mots, Spencer se jeta sur tes lèvres, ses mains se posant fermement sur ta taille, te guidant pour t’installer sur ses cuisses.
Vous vous laissâtes emporter dans ce baiser, essoufflés mais happés par l’intensité de l'instant.
Il s'arrêta un instant, essuyant une mèche de cheveux de ton visage, son souffle encore lourd.
Vous vous arrêtâtes tous les deux, haletants, le souffle court.
"Et une dernière chose," dit-il en souriant. "Ta poitrine, il n'y a que moi qui ai le droit d'y toucher."
Un frisson parcourut ta peau alors qu'il déposait un baiser tendre, mais possessif, sur ta poitrine.
Tu ris de plus belle, ta poitrine se serrant dans un mélange d'émotions. Spencer te faisait sentir en sécurité, aimée et désirée, et tu savais, sans l'ombre d’un doute, qu’il était un ange tombé du ciel.
Tu reprenais les baisers, plus passionnés, plus intenses, tandis que l’idée de tout ce que vous pouviez partager ensemble te semblait enfin à portée de main.
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" - then leave!"
"I am!"
The shuttle went quiet.
Mal and Inara stared at each other, both of them breathing hard.
"When?" the captain asked, his eyes dark.
"As soon as we land on Persephone," Inara lied.
Her heart beat in her throat, the loud thump-thump-thump filling the room until Inara felt like she couldn't breathe.
She hadn't meant to say that. She hadn't but she did and now she couldn't take it back.
(Why not?)
'What's the Companion policy on dating?'
'It's... complicated.'
She knew why.
Clearing his throat, Mal nodded and turned to leave. Just before stepped out, he stopped, one hand resting on the door jamb.
"I'll tell Wash to go full burn," he said, "Don't want to keep you from your greener pastures."
He didn't look back as he left, his boots clanging on Serenity's gridding.
Sinking down onto her couch, Inara stiffled a sob, a single tear rolling down her cheek.
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Apprends-moi à coller mon corps à tes blessures, apprends-moi à tenir ton cœur un peu dans ma main, à ouvrir mes jambes comme les fleurs s'ouvrent au vent pour elles-mêmes, pour la rosée de l'après-midi. Apprends-moi à danser, ce soir, je veux suivre le rythme, ouvrir les portes du toit, pleurer dans ta solitude alors que d'en haut nous regardons les voitures, les camions, les autoroutes pleines de policiers et de machines à feu.
Roberto Bolano
Ph. Colin Dodgson : Kiki Willems
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Joyeux Noël à tous !
Je souhaite partager avec vous les cadeaux que j'ai reçus de ma famille. Je suis ravie ! J'ai reçu le coffret intégral de la série Miami Vice (Deux Flics à Miami), l'intégrale de L'Homme qui valait trois milliards ainsi que l'intégrale de Better Call Saul.
Miami Vice (Deux Flics à Miami), 1984 - 1989 🌴
Ex-champion de foot américain et vétéran du Vietnam, le détective Sonny Crockett travaille à la Brigade des Mœurs de la police de Miami. Infiltré dans le milieu criminel sous l’alias de Sonny Burnett, son métier l’amène à côtoyer de redoutables trafiquants de drogue, d’armes, de rois du p*rno et autres criminels. A la recherche d’un trafiquant colombien responsable de la mort de son équipier, Crockett rencontre Ricardo Tubbs. Celui-ci est un flic originaire de New York. Il cherche alors à se venger du même trafiquant colombien, un certain Calderone. Ce dernier est le responsable du meurtre de son frère. Crockett et Tubbs affronteront ensemble la corruption et les milieux criminels du paradis de Miami. Un paradis derrière lequel se cache un enfer du vice.
Better Call Saul, 2015 - 2022
Six ans avant de croiser le chemin de Walter White et de Jesse Pinkman, James McGill, dit « Jimmy » (Bob Odenkirk), est un avocat qui peine à faire décoller sa carrière, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Devenu avocat sous l'influence de son frère Charles McGill (Michael McKean), dit « Chuck », lui-même avocat renommé et partenaire cofondateur du cabinet Hamlin, Hamlin et McGill (HHM) au côté de Howard Hamlin (Patrick Fabian), Jimmy tente de lui prouver sa valeur ainsi qu'auprès de Kim Wexler (Rhea Seehorn), sa compagne qu'il a rencontrée du temps où il travaillait au service du courrier de HHM.
Pour boucler ses fins de mois, Jimmy se résout à recourir à des méthodes proches de celles utilisées lors de son passé répréhensible, notamment celles qui lui avaient valu le surnom de « Casse-gueule Jimmy » (Slippin' Jimmy). Au cours de ses activités illicites, il va faire des rencontres qui vont se révéler déterminantes dans son parcours : Nacho Varga (Michael Mando), trafiquant pour la famille Salamanca ou encore Mike Ehrmantraut (Jonathan Banks), un ancien policier véreux devenu gardien de parking pour le tribunal d'Albuquerque, qui deviendra son futur homme de main. L'ensemble de ces rencontres et le fil des évènements vont conduire Jimmy au cœur d'un conflit opposant Gus Fring (Giancarlo Esposito) à la famille Salamanca, et plus particulièrement Lalo Salamanca (Tony Dalton).
Les évènements évoluent jusqu'à connecter ceux narrés dans Breaking Bad, c'est-à -dire lors de la rencontre de Jimmy avec Walter White et Jesse Pinkman. Plusieurs épisodes comportent une introduction préfigurant le dénouement final, postérieur à celui de la série Breaking Bad. Cette narration, présentée en noir et blanc, devient prépondérante vers la fin de la série.
L'Homme qui valait trois milliards, 1974 - 1978
Le colonel Steve Austin, un astronaute américain chevronné, a fait partie de ceux qui ont marché sur la Lune. Plusieurs mois après, redevenu pilote d'essai pour la NASA, et alors qu'il pilote un engin expérimental lors du test en vol d'un nouveau jet à corps portant Northrop M2-F2, il est victime d'une avarie qui le contraint à un atterrissage en catastrophe. Il ne peut alors éviter le crash de son appareil, et est gravement blessé.
À la suite de son accident, il subit une intense opération chirurgicale, au cours de laquelle certaines parties de son corps (dont le bras droit, les jambes et l'œil gauche) sont remplacées par des prothèses bioniques dernier cri valant six millions de dollars, qui améliorent considérablement ses performances physiques. Il peut dès lors courir bien plus vite, voir bien plus loin et soulever des charges bien plus lourdes. Cependant, le grand froid (à une température en dessous de 0 °C) rend inutilisable sa force bionique.
Steve Austin devient alors un agent secret pour l'OSI (« Government Office of Scientific Information » - Bureau gouvernemental de l'information scientifique en français) sous la direction d'Oscar Goldman, pour qui il accomplit les missions les plus dangereuses.
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4 septembre
déjà ?? maman regarde barnaby. je raconte toujours à tout le monde que la mer c'est le paradis mais j'oublie de mentionner tous les trucs chiants comme les après-midis vides, la frustration de pas avoir d'autonomie pour faire des excursions, d'être entièrement dépendante de maman et de la voiture, alors qu'à berlin par exemple je pouvais aller où je voulais grâce aux transports. j'avais même plus envie d'arriver à la mer après nos quatre jours de road trip, j'avais envie de continuer à aller dormir à l'hôtel à visiter le patrimoine à trop manger au resto et à me baigner en culotte dans des rivières, m'occuper de rien prendre aucune décision être la petite qui commande une menthe à l'eau pour l'apéro. mais bon être la petite qui s'occupe de rien ça veut aussi dire ne passer que 24 heures dans l'aubrac alors que j'aurais voulu y passer les deux semaines.
7 septembre
j'ai rĂŞvĂ© que je me jetais dans la seine en fauteuil roulant. c'Ă©tait la nuit et elle coulait au luxembourg. c'Ă©tait interdit mais j'ai pas rĂ©sistĂ© Ă l'envie, j'Ă©tais obligĂ©e de le faire. le bord Ă©tait très haut, c'Ă©tait un grand plongeon, avec l'Ă©lan j'ai volĂ© au dessus de la seine qui Ă©tait immense et je me suis retrouvĂ©e au milieu comme si j'Ă©tais au milieu de la mer en pleine nuit avec les lumières de la ville Ă l'horizon. je me suis dit comment je fais maintenant? des surfeurs sont arrivĂ©s et m'ont aidĂ©e Ă regagner le bord puis la police est arrivĂ©e, Ă©videmment j'Ă©tais suspecte parce que j'Ă©tais mouillĂ©e et je sentais la cigarette. un des policiers m'a conseillĂ© de mentir et de dire que je revenais du supermarchĂ©. c'est une femme intimidante qui m'a interrogĂ©e mais je restais calme et concentrĂ©e, j'ai racontĂ© la soirĂ©e depuis le dĂ©but, le tournage, le resto, mais on arrivait jamais au moment du saut dans la seine. jusqu'au dernier moment j'ai cherchĂ© une histoire pour justifier le fait que j'Ă©tais mouillĂ©e mais je me suis dit que la seule chose Ă faire Ă©tait de dire la vĂ©ritĂ©. peut ĂŞtre que je pourrais faire jouer ma santĂ© mentale, leur dire qu'elle me pousse Ă faire des choses hors de mon contrĂ´le. je pourrais leur dire que j'ai passĂ© trois mois dans une clinique, j'ai des preuves. mais je me suis rĂ©veillĂ©e avant.Â
hier soir à la télé ils ont montré un nageur qui nageait sans bras et sans jambes parce que quand il était petit sa mère l'avait balancé dans une piscine pour qu'il apprenne à s'en sortir. contrairement à la fille de l'expo dans le crématorium qui en a gardé un traumatisme à vie, a attrapé une méningite, développé une addiction à l'alcool et à la drogue puis une maladie auto-immune, lui est devenu champion paralympique qui fait une fontaine avec sa bouche pour célébrer ses victoires. elle a été faible, il a été fort. une loseuse et un gagnant. l'escrimeuse italienne elle a attrapé une méningite aussi quand elle était petite on lui a amputé tous ses membres et c'est devenue une star. une gagnante elle aussi. c'est son père qui lui a fabriqué ses prothèses. il les a inventées pour elle.
un jour l'ophtalmo de paris m'avait parlé d'un de ses patients à qui il manquait je sais plus combien de membres et qui retournait le regard des gens, comme si c'était eux le problème. elle m'avait dit de faire pareil, même si mon handicap, ou ma différence à moi était un peu moins flagrante. mais j'ai jamais réussi à suivre son conseil parce que je suis une faible moi aussi. comme la fille de l'expo. je me laisse couler. je laisse tout me plomber jusqu'à la moelle, je me courbe, je m'enterre et je pleurniche.
la mer n'est jamais aussi belle que quand il fait gris. ce matin je me suis baignée dans les vagues, j'y suis restée une bonne heure, je les regardais arriver sur moi depuis l'horizon et je me demandais si je me sentais vivante. oui? je me faisais malmener par la mer et j'en voulais encore, même si je restais prudemment près du bord parce que j'aime pas prendre des risques, utiles comme inutiles.
10 septembre
j'arrive plus à écrire. j'ai trop écrit à berlin. j'en ai marre de me décortiquer. je préfère lire. mais quand je lis j'ai l'impression de pas avancer parce que j'écris pas. et quand j'écris j'ai l'impression de pas avancer parce que je lis pas. j'ai fini les enfants tanner de robert walser, le chevalier invisible de calvino et son recueil de textes autobiographiques et d'entretiens. dans un des entretiens il dit qu'exister ne suffit pas, ou non, il dit qu'il faut conquérir le droit d'exister et le justifier par ce que l'on donne aux autres. la dernière phrase du chevalier invisible c'est: exister cela s'apprend. peut être que si j'étais plus généreuse je me sentirais plus exister.
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Impact of JAMB Cut Off Marks on Admission Fraud
In recent years, the role of JAMB (Joint Admissions and Matriculation Board) cut-off marks in the Nigerian education system has come under increased scrutiny. These cut-off marks serve as a critical factor in determining a student's eligibility for admission into tertiary institutions. However, the system has not been without its flaws. One of the more troubling concerns is how the manipulation of JAMB cut-off marks has contributed to admission fraud. Understanding this connection is crucial for you as a stakeholder in Nigeria’s educational system.
What Are JAMB Cut Off Marks?
JAMB cut-off marks are the minimum scores required for candidates to gain admission into universities, polytechnics, and colleges of education in Nigeria. These scores vary depending on the institution and course of study. Generally, universities set higher marks than polytechnics or colleges. JAMB, which oversees entrance into these institutions, annually reviews and adjusts the cut-off mark.
JAMB, as an examining body, sets a national cut-off point, but schools have the liberty to adjust these marks upward depending on their admission policies. For instance, a candidate who scores just below the cut-off may still be considered if the institution decides to lower its requirements.
The Link Between JAMB Cut Off Marks and Admission Fraud
Admission fraud in Nigeria often stems from the discrepancy between a candidate's performance and the JAMB cut-off mark. Many students who fail to meet the required score resort to illegal means, such as bribery, manipulation of results, or backdoor admissions, to gain entry into their preferred institutions. This creates a systemic problem that affects the integrity of the admission process.
Manipulation of Results
In some instances, candidates engage in result falsification or pay intermediaries to help boost their scores above the required JAMB cut-off mark. Fraudsters take advantage of the desperation among students, exploiting their desire to pursue higher education at all costs. Such acts undermine the purpose of the cut-off mark, which is intended to be a benchmark for academic merit.
Bribery and Corruption
You may also be aware of cases where candidates bribe admission officers or other gatekeepers to secure admission. This often happens when a student is just a few points shy of the required cut-off. Unfortunately, this not only perpetuates fraud but also compromises the educational standards, as less qualified candidates displace those who rightfully deserve admission based on their scores.
Special Consideration Admissions
Some institutions have been accused of bending the rules by offering "special consideration" to candidates with connections or financial means. While this is not new, the existence of JAMB cut-off marks has made the practice more opaque. Schools might officially adhere to the JAMB criteria, but in practice, they allow unqualified students to bypass these requirements through unofficial channels.
How Lowering JAMB Cut Off Marks Encourages Fraud
Lowering the JAMB cut-off mark is often seen as a way to accommodate more students, particularly in underserved regions or among disadvantaged groups. However, this practice can inadvertently encourage more admission fraud. When the cut-off is too low, the competition shifts from academic merit to who can game the system.
Here’s how that happens:
Increased desperation: As cut-off marks become less stringent, students who barely miss the mark might feel emboldened to engage in fraudulent activities, believing that they were "almost there" and deserve a spot.
Institutional loopholes: Universities and other institutions might exploit the flexibility in cut-off marks by creating additional quotas or unofficial channels for admission, which can be monetized or reserved for those with connections.
The Consequences of Admission Fraud
Admission fraud has far-reaching consequences for the educational sector. It compromises the quality of education, as students who do not meet the academic requirements are admitted at the expense of more qualified candidates. Additionally, it creates a system where meritocracy is replaced by favoritism, eroding trust in institutions.
For you as a potential candidate or concerned parent, this undermines your confidence in the fairness of the system. It also means that graduates entering the workforce might not have the skills or qualifications they should have, which affects the country’s broader economic and social development.
Steps Toward Reform
To combat the issue of admission fraud, there is a need for stricter enforcement of JAMB regulations and higher transparency in the admission process. Universities should also be held accountable for following JAMB's set guidelines and avoiding unnecessary manipulations of the system. As a candidate, you should stay informed about the official JAMB requirements and be wary of offers that seem too good to be true.
In addition, technology can play a vital role in monitoring and verifying results to ensure that they cannot be altered after the fact. Better coordination between JAMB and educational institutions will also help close the gaps that fraudsters exploit.
Conclusion
The impact of JAMB cut-off marks on admission fraud is a reflection of broader systemic issues in Nigeria’s education sector. While JAMB’s role in setting standardized cut-off marks is meant to ensure fairness, loopholes have allowed fraud to thrive. The key to combating this issue lies in a combination of regulatory reform, institutional accountability, and increased awareness among students like you. Staying vigilant and advocating for a more transparent system can help ensure that merit, not manipulation, determines admission outcomes.
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Baiser
« Dans la pluie de ce soir d'hiver
de 1942 dans un tram,
Ă Bruxelles, place Brugmann,
il a le privilège d'être assis
en face d'une infirmière
qui, elle, ne veut pas encore de lui,
alors que lui, veut déjà d'elle.
Mais elle tremble déjà de lui,
mais aussi d'une mallette entre les jambes,
elle fait de la RĂ©sistance.
« Halte-là , police,
tout le monde descend dehors. »
Fouille générale.
Restent au fond du tram
deux amoureux transits.
Sors, s'il te plait,
c'est des grenades que j'ai lĂ
laisse-moi seule, ignore moi.
Lui, en face d'elle, ne bronche pas.
Alors, il l'embrasse de toutes ses forces,
avec tout ce qu’il a,Â
avec presque rien, car il n’a rien,
avec tout ce qu’il a, car il a tout,
avec son cĹ“ur,Â
avec son âme,Â
avec sa langue, il la pĂ©nètre,Â
pour la faire taire
l’anéantir, elle
anesthĂ©siĂ©e,Â
annihilée...
Ce bout de soirée ne suffit pas.
Baisers sans fin, une nuit ne suffit pas.
Ivresse sans fin, la vie ne suffit pas.
l'éternité ne suffit pas.
Ils ne sont plus rien,Â
trop légers,
trop fragiles en
ces ultimes instants de vie :
dans quelques secondes,Â
ils vont être fusillés.
Non, car
le policier rit, goguenard :
« Ach so, französische KĂĽssÂ
Profitez de la vie, les zamoureuxÂ
dans cette sale guerre »
Tout le monde rentre dans le tram...
Ces amoureux furent mon père et ma mère...
Respect pour mon père ! »
petit bâtard, je ne sais pas qui est mon vrai grand-père: inconnu butté à Verdun, oui mais, Français? Allemand? Juif? Communiste? dans mon âme je suis un peu tout ça.
cell henry victor
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Un coup de feu
Il était une fois un coup de feu. La petite fille sursauta, sa main qu’elle tenait fermée dans celle de sa mère s'y agrippa d'autant plus fort. Les gens autour d’elles criaient et s'éparpillaient dans tous les sens, sous la fumée qui montait et les bombes lacrymogènes que lançaient les policiers. Mais elle n’eut pas le temps de contempler plus longtemps ce spectacle car sa maman se mit elle aussi à courir et força ses petites jambes à la suivre en la tirant par le bras. Elles ne s’arrêtèrent qu’une fois qu’elles furent sûres d’être à l'abri du mouvement de foule et de la rue enflammée. Dans le petit recoin où elles s’étaient réfugiées, elles pouvaient encore entendre les hommes crier et sentir l’odeur de fumée qui irritait leurs narines. Serrant sa fille fort dans ses bras, la jeune mère se força à retenir ses larmes de rage et de désespoir. Tant de violence et d’agressivité, une répression folle et incriminante alors qu’ils n’avaient fait que manifester pour leurs droits. Pourtant leur colère était plus que légitime. N’avaient-ils pas le droit de se sentir offensés quand on continuait à vouloir les payer au lance-pierre alors qu’ils subissaient comme tout le monde les conséquences de l’inflation ? alors qu’ils passaient leurs journées à trimer sur leurs machines sans aucune reconnaissance et sans jamais arriver à répondre aux besoins de leur famille ? Était-ce seulement humain d’être traité ainsi ? Était-ce juste ? Comment les usines qui les employaient, comment toutes ces entreprises qui profitaient de leur main-d'œuvre pouvaient-elles continuer à se regarder en face ? La jeune mère était profondément consternée face à toutes ces injustices qui rendaient les hommes inégaux et faisaient du malheur des uns le bonheur des autres. Démunie, les yeux levés vers le ciel, si calme face à la fureur de la Terre, elle s’essaya à une prière. Pour sa petite fille, elle ne pouvait s’avouer vaincue, ni croire que le monde ne finirait pas par changer. La vie ne pouvait être un effondrement permanent, il y avait forcément un moment où la roue finirait par tourner.
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Cherry Pie - Fourteen -
(Master Chapter List)
During the time that Weiss, Blake and Pyrrha were being introduced to the chaos that was Nora, Jaune was in his room packing his bag for his gig tonight at the Blue Oyster. He had been dancing there a couple of months before landing the Ladies Night gigs at the Valean, so he knew what the clientele like to see, and that was mainly him in a thong.
Jaune hated thongs. They were uncomfortable, and made him fidget. Yet for the tips it would gain him for two to three hours of dancing, he'd suck it up. In fact, it was the customers at the Blue Oyster that gave him his stage name of "Cherry Pie".
He had actually just zipped up his bag when a small can of pepper-spray landed on it. Picking it up, he turned just slightly and looked over his shoulder to see Yang in her work uniform leaning against the door jamb. Her arms crossed over her chest.
Jaune: And this is for?
Yang: Your protection.
Jaune: I'll be fine, Yang. I've been down there many times. I know my way around, and the guys...
Yang: It's not the guys I'm concerned about. It's the jag-offs that hang around the waterfront looking for easy scores.
Jaune: So, you're saying I'm easy?
Yang: No, jokes Jaune. You won't let me train you, so you're taking that as a security policy. Someone comes at you... use it.
Jaune: I really...
Yang: I KNOW you spend all day with your head in your ass, so listen... there have been attacks happening down there. People are getting hurt. After your gig, you'll be packing good money.
Jaune: So you figure I'll be a prime target, right?
Yang: I don't figure Jaune, I know.
Jaune: I'm serious, Yang, (holds up the can of pepper-spray) I don't need this.
Yang: You either take it with you, or you quit that gig.
Jaune: Aren't you taking this "adopted sister" routine a little far.
Yang: Jaune you're not only my co-worker and roommate. You're my friend. You were there when I needed help. Gave me a place to stay without even batting an eye. I worry, because I know how bad in can be down in that area.
Jaune: (Chuckling) The two of us in the rundown one bedroom. That was a little awkward.
Yang: Well, we survived the shower incidents, and then found this place. So I owe you, and I will do what I do best. Look out for the well-being of my family and friends... and to a point you're both.
Jaune: So there is no way out of this?
Yang: Not a chance.
Jaune: (Jaune put the can of spray into the front pocket of his hoodie.) Okay, okay. I know when I'm beaten.
Yang: It's not being beaten, Jaune. It's compromising and making someone who cares about you feel better about your safety.
Jaune: Okay, don't get all mushy on me... Blake might get jealous.
Yang: (Sticking out her tongue, before giving Jaune a playful wink) As if your tongue game could compare.
Jaune: (Giving Yang an equally teasing smirk) Wouldn't you like to know? I could be a natural.
Yang: In your dreams.
Jaune: (Looks at his scroll) Well, I'll be late if I don't head out now. See you in a few hours.
With that, Jaune moved past Yang and out the main door. Yang waited for a few minutes before moving to her own room. If she didn't get a move on, she too would be late for her shift.
#Cherry Pie AU#rwby#no grimm#Beacon is a University#pyrrha nikos#yang xiao long#blake belladonna#jaune arc#bumbleby#arkos
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La séquence dure plus de vingt minutes, enregistrée discrètement par un membre d’un groupe de sept personnes interpellées, lundi 20 mars, à l’angle des rues des Minimes et du Béarn, dans le 3e arrondissement de Paris. Entre commentaires à caractère sexuel, gifles, menaces et vantardises, ce document sonore, que Le Monde a pu authentifier, jette une lumière crue sur le comportement de fonctionnaires en contradiction totale avec les règles déontologiques autant qu’avec la loi.
Ce soir-là , plusieurs dégradations ont été commises dans les environs au cours d’une nouvelle nuit de protestation contre le recours, jeudi 16 mars, à l’article 49.3 par le gouvernement pour faire adopter sans vote la réforme des retraites. Appelée pour procéder à des interpellations d’émeutiers, qui ont pris l’habitude, depuis plusieurs jours, de se disperser par petits groupes et d’incendier des poubelles – les affrontements directs avec les forces de l’ordre sont plutôt rares –, une unité des brigades de répression de l’action violente motorisées (BRAV-M) parvient à appréhender une demi-douzaine de jeunes gens, sans qu’il soit permis d’établir, pour le moment, leur participation aux incidents.
Une photo, prise sur l’instant, montre une quinzaine de fonctionnaires, reconnaissables notamment à leurs casques de moto blancs, dans leur tenue habituelle qui emprunte autant à l’uniforme de « Robocop » des CRS qu’à l’équipement de n’importe quel motard. Cernant plusieurs jeunes assis sur le trottoir, le dos à la devanture d’un commerce désaffecté, plusieurs de ces fonctionnaires se laissent aller à des propos et des attitudes susceptibles de poursuites pénales, en particulier contre un jeune homme, « le seul Noir du groupe », précise l’un des jeunes gens interpellés. Plusieurs d’entre eux ne se connaissaient pas avant cet épisode.
« Tu sais que tu as une vraie tête à claques ? », lui dit un policier, tandis qu’à l’arrière-plan sonore des voix réclament des précisions sur le nombre de personnes interpellées. « Si tu veux, je te prends tout seul », continue le policier, avant d’intimer le silence au jeune homme, qui tente de répondre : « Ferme ta gueule. »
« Efface ton sourire »
Les propos de plusieurs fonctionnaires, très nettement audibles, sans que le moindre doute soit possible quant à la qualité de ceux qui les profèrent, sont prononcés sur le même ton, alternant menaces, intimidations, menus propos sur les aptitudes des interpellés à la boxe et fanfaronnades guerrières. Ainsi, cinq minutes et quarante secondes après le début de l’enregistrement, l’un des policiers se laisse aller : « T’as tellement de chance d’être assis là , maintenant qu’on t’a interpellé, je te jure, je te pétais les jambes, au sens propre… Je peux te dire qu’on en a cassé, des coudes et des gueules (…), mais toi, je t’aurais bien pété tes jambes. »
Plus grave, à deux reprises en l’espace de quinze secondes, à six minutes et quarante-deux secondes du début de l’enregistrement puis à six minutes et cinquante-cinq secondes, deux bruits de claques retentissent, d’autant plus identifiables qu’ils sont précédés et suivis de propos qui ne laissent aucun doute : un « Efface ton sourire », répété deux fois avant la première gifle puis une nouvelle fois après, et « Tu la fermes ou tu veux la deuxième ? », avant un nouveau claquement.
« Je ne… ferme pas », bafouille le jeune homme.
Une nouvelle voix, manifestement différente de celle du fonctionnaire qui a asséné les deux gifles, demande alors : « Tu commences à bégayer ! T’en re-veux peut-être une, que je te remette la mâchoire droite ? »
Le jeune homme : « Surtout, hésite pas à dire ça là -bas…
– Dire ça où ?, interroge un policier.
– Là -bas.
– Là -bas où ?, insiste le policier.
– Là -bas ! Vous allez me ramener où ?
– Au commissariat ? Mais y a que toi qui parlera, moi j’y vais pas, hein.
– Voilà , c’est pour ça que tu fais ça », conclut le jeune homme.
Puis le policier enchaîne par de surprenantes considérations, ponctuées des rires de ses collègues :
« Tu sais, moi je peux venir dormir avec toi si tu veux…
– Eh ben on y va,l’interrompt le jeune homme.
– … et c’est le premier qui bande qui encule l’autre », reprend le policier.
Une autre voix s’en mêle, toujours à l’adresse du jeune homme : « On va t’apprendre à respecter. En fait, je crois que t’as pas bien compris (…). Regarde tes copains, là  : ils respectent, ils ne l’ouvrent pas bêtement, pour rien. » « Je m’en fous », répond le jeune homme. « T’es trop insolent, je te jure c’est un truc de fou », poursuit le policier, avant qu’un autre fonctionnaire n’intervienne à son tour : « Eh, t’inquiète, ta petite tête, ta petite tête, on l’a déjà en photo, t’as juste à te repointer dans la rue aux prochaines manifs (…). La prochaine fois qu’on vient, tu monteras pas dans le car pour aller au commissariat, tu vas monter dans un autre truc qu’on appelle ambulance pour aller à l’hôpital. »
A cet instant, l’ordre est donnĂ© de faire mouvement vers le secteur de Château-d’Eau (10e), oĂą de nouveaux heurts sont signalĂ©s par radio. « T’as de la chance, dit un policier, on va se venger sur d’autres personnes. »Â
Interrogé sur ces faits vendredi soir dans l’émission « C à vous », sur France 5, le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a annoncé qu’il allait saisir l’inspection générale de la police nationale (IGPN). « Evidemment que ces propos sont totalement inacceptables, a-t-il déclaré. Nous sommes extrêmement rigoureux sur l’application des règles déontologiques (...). Quand j’entends cette vidéo, je suis très choqué. »
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Gaza après le départ des israéliens puis retour à Jérusalem.
Vendredi 16 septembre 2005
Kfar Darom ou ce qu’il en reste. Manifestation de force du Hamas et prière devant les ruines de la synagogue. Parade de drapeaux verts et d’hommes masqués très relax.
Frontière avec l’Égypte sur la plage. Le grillage s’arrête un peu avant la mer. Du côté égyptien deux soldats plutôt sympas, du côté palestinien, c’est un peu plus confus, un policier et un soldat membre de la marine palestinienne. De nouveau plage de Shirat Ayam. Une femme me dit que c’est la 1ère fois depuis 6 ans qu’elle peut s’y rendre. Chevaux, ânes, familles, très difficile en photo. Je tourne en rond.
Je me fais raccompagner par le copain de Mohamed, lui-même copain amoureux de Bénédicte d’abord à mon hôtel pour collecter mes bagages, puis jusqu’à la frontière côté palestinien. Très vite j’ai le feu vert pour emprunter le couloir d’Erez. C’est très rapide du côté israélien.
Retour à Jérusalem. De nuit, la route est très belle. Je la connais presque par cœur. C’est très agréable. Je retrouve ma pension de famille.
Terrasse du Link. Je commande avec mon repas du vin. Le régime sans alcool de Gaza me convient jusqu’à un certain point. Il ne faut pas que cela dure trop longtemps.
Ici, je vois des chats partout, à Ratisbonne, au Link. Pas de poussière. On voit aussi les cheveux et les jambes des femmes. C’est beau. Purée et steak au menu. Les gens autour de moi parlent en hébreu. Je trouve cela étrange. Cela me paraît être une langue étrangère, cela me montre aussi que malgré la familiarité que j’ai avec Israël, je me trouve quand même dans un pays étranger. Les gens de la table à côté de la mienne sont un peu agités. Moi, je savoure mon Gamla Sangiovese rouge. La fatigue aidant, je me sens devenir un peu pété plus vite que d’habitude.
Les gens ici semblent insouciants. Ils ne réalisent pas comment est la situation des palestiniens : pauvres, humiliés, rejetés, isolés, étouffés. Nous sommes dans un autre monde. Même si aujourd’hui Gaza a cessé d’être un bantoustan, le pays est exsangue. Un apport d’oxygène est arrivé avec l’accès à la mer, la possibilité de se déplacer partout sans avoir à affronter des check-points dont le passage est lié à l’humeur des soldats, les disparitions des interdictions. Voir les gens si heureux de pouvoir tout simplement aller sur le bord de la mer en dit assez long sur l’enfermement imposé aux palestiniens. C’était émouvant de les voir heureux et de les entendre le dire.
Il y a de la lumière dans les rues, des personnes qui marchent, parlent. Il fait doux à Jérusalem.
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TUMEURS URBAINES
Épisode 30
- exactement ! j'adore le jazz dit-elle
- vous venez souvent ?
- quelquefois dit Ava
Ils échangèrent sur le jazz et la musique en général en buvant plusieurs verres.
L'orchestre continuait à jouer, les gens qui étaient attablés, applaudissaient à chaque fin des morceaux.
- si vous voulez je peux vous faire écouter des inédits !
- où ça ? demanda Ava qui connaissait déjà la réponse
- chez moi
- d'accord ! dit Ava enthousiaste en pensant à cette aubaine que l'invitation de l'homme lui offrait. Ça lui permettait de garder les flics à distance et d'envisager une fuite un peu plus tranquille.
Ils sortirent du club , Adrien lui passa son bras sur ses Ă©paules , puis le couple s'Ă©loigna sur le trottoir.
- merde ! grogna Ray
Il suivit le couple Ă une distance respectable , Ginette les suivait de l'autre trottoir.
Ray vit que la jeune femme regardait si elle Ă©tait toujours suivie , l'homme lui parlait sans arrĂŞt en riant fort parfois. Elle se serrait contre lui en le regardant avec admiration.
Tout ce cirque Ă©nervait Ray.
Bientôt une ruelle se présente sur la droite , Ray voit Ava et son compagnon y bifurquer , c'est une petite rue étroite enserrée entre de vieux immeubles insalubres, sombres ne laissant pas passer le soleil. Ray et Ginette suivaient le couple sans se cacher.
La rue était encombrée de containers et de sacs poubelle.
Bientôt l'avenue , Ray le savait il fit signe à Ginette de se rapprocher encore , dix mètres les séparait de la fille.
Ray évita une grosse flaque d'huile, le bas de la rue était encore plus étroit et sombre que le haut , les trottoirs étaient bourrés d'imposantes poubelles.
Ray entendait les pas et le souffle de Ginette , cela le rassurait. Au moment de passer sur la place Ava plaqua sa feuille de boucher sur le cou de l'homme.
- arrĂŞtez de me suivre bande de con ! je vais le buter !
- lache le ! hurla Ray
- va te faire foutre !
- Tu t'en sortiras pas ! dit Ray
- ta gueule ! hurla t-elle en appuyant sur la gorge du mec , celui-ci était tout congestionné , essayant de s'exprimer d'une manière audible.
Elle serra encore plus fort l'homme s'en servant comme bouclier.
Ray voyait qu'elle s'énervait et qu'elle paniquait, Ray ne calma pas le jeu . La pointe de sa feuille piquait l'homme au creux du cou, elle lui lacéra la chemise, maintenant elle tremblait, la peur , l'impasse des événements l'enivrait.
Ray vit qu'elle avait l'air de sangloter. Ava Ă©carta les jambes du mec et lui donna un coup de son arme et jeta l'homme sur le trottoir.
Des badauds qui observaient la scène agglutinés non loin de là s'éparpillèrent en criant des horreurs.
Ray gueula :
- dispersez-vous ! police !
- attention ! cria Ginette, elle sort un flingue
Ava les pointa et tira une balle , l'éclair de lumière et le bruit dechirèrent cette partie de la place , un car de flics présent fit reculer les badauds, Ava tira sur Ray qui accompagné de sa collègue se collèrent contre un mur .
Une autre balle siffla suffisamment pour Ă©clater un morceau de mur.
- sortez de lâ ! hurla Ava , je vais vous fumer !
Ray sortit son arme et tira en direction de la femme.
A cet instant lĂ place Ă©tait vide , les flics en barraient toutes les issues.
La forcenée tira en direction de Ray ... un silence pesant , il étudiait la situation, ça lui semblait irréel.
Ava totalement acculée devant le nombre important de policiers décida de fonçer arme à la main sur Ray et sa collègue.
- je vais vous buter bande d'enculés ! hurla t-elle
Ray ajusta son tire , trait de lumière, bruit sourd , Ava s'écroula sur le trottoir...avec un petit choc.
- Michel ! Michel ! j'arrive.
Ray au dessus d'elle lui dit :
- tient bon !
- Michel ! ...
Ava s'éteignait allongée sur ce trottoir.
Ray fit signe que c'était terminé.
Plus tard dans la soirée Anna regardera la scène sur un journal télévisé, puis sur les réseaux sociaux. Elle pleure, elle se souvient de leur rencontre , de l'appartement , de Michel . Elle écoute ce flic raconter l'enquête, la poursuite et les derniers mots qu'elle aurait prononcé au moment de son dernier souffle . Les reportages et témoignages prirent fin en même temps que ce journal.
Maintenant les larmes inondaient son visage.
.......................................................un grand merci pour les photos que j'ai emprunté.
- redcatblog avec ses belles photos.
- Genix_x qui Ă©claire mes matins avec ses textes .
- un grand merci à Patricia pour son soutien très précieux.
Une pensée pour :
aldomag, mon petit cœur noir ,
jgrjgr, cruel....et les autres .
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Bah, c'est juste la France. >>>> "Quand les forces de l’ordre s’approchent de lui, l’homme entre, selon nos sources, dans une crise de démence. Il est alors maitrisé par les policiers qui trouvent, au niveau de sa ceinture, non pas un pistolet à billes, mais un pistolet à grenaille. (...) "Quant à l’enfant de 12 ans, il a été transporté à l’hôpital aussitôt après les faits. Blessé au niveau de la jambe, il subit quatre jours d’ITT (Interruption du temps de travail). Ses jours ne sont pas en danger. " (Aussi sur Fb, 27 mai 2 023) Article d’Actu.fr : “En pleine rue au Havre, il tire sur un ado de 12 ans : un homme interpellé“
#basile pesso#france#france...#le havre#nord de la france#madness#sadness#fight hate#fight male violence#france orange mécanique#le calvaire français#questions#psychiatrie#le cauchemar français#journalistes#journalisme#journalistes indépendants#contenu original#yes we are magazine
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Tribunal de Pontoise : « Rien ne permet de dire : Monsieur, vous vous moquez du monde ! »
https://justifiable.fr/?p=1940 https://justifiable.fr/?p=1940 #dire #monde #Monsieur #moquez #permet #Pontoise #Rien #Tribunal #vous Un jeune homme de 21 ans est jugé le 21 novembre par le tribunal correctionnel de Pontoise, pour de la détention de cannabis et une rébellion, dont il se défend. Tribunal de Pontoise (Photo : ©J. Mucchielli) Ayoub est assis au premier rang avec sa mère. Le tribunal entre. Ayoub et sa mère se lèvent, elle se rassoit, il s’avance à la barre. Son avocate approche du tribunal, le président l’avise : « Maitre, si vous voulez développer vos conclusions de nullité, c’est maintenant. — Eh bien non, Monsieur le président, après avoir discuté avec Mme la procureure, j’ai décidé d’y renoncer. — Ah, parce qu’elle vous a convaincu qu’on était en flagrant délit ? — Non, ce n’est pas pour ça. — Parce qu’il y avait un chien qui a senti le stup’. Chien, odeur, flag’ = policier, odeur, flag’, c’est la Cour de cassation qui l’a dit ! » Ambiance débonnaire. Le juge assesseur à droite est hilare. En clair, le chien est le prolongement du policier et le fait qu’il sente une odeur de stupéfiant permet une intervention en flagrant délit. « Est-ce que le policier qui se constitue partie civile est représenté ? — Non, elle n’est pas venue, à cause de la neige ! » avertit la greffière. Ayoub est bien là . Le 28 février 2024 à Saint-Gratien, il était chez lui, quand les policiers municipaux ont ressenti une forte odeur de cannabis émanant de la boite aux lettres de l’appartement 102. Ils appellent la police nationale. Un policier jette un œil par la fente et voit un sac en plastique bleu. À ses côtés, le chien émoustillé confirme. Ils mettent en place une surveillance de la boite aux lettres. « C’est une erreur du facteur ? » Ils attendent deux heures avant qu’un jeune homme ne descende relever le courrier. Ayoub ouvre la boite aux lettres et saisit le sac bleu. Les policiers lui sautent dessus. Ils le mettent au sol, Ayoub se relève. Il s’appuie sur un fonctionnaire, qui chute. Il tente de s’extirper de la masse de bras et de jambes qui tentent de le retenir au sol. Un policier finit par user de son pistolet à impulsions électriques, Ayoub se raidit, se fige et se rend. Dans le sac, 72 grammes de « produits stupéfiants », dont on devine qu’il s’agit d’herbe de cannabis. D’un ton toujours aussi débonnaire, le président demande : « Alors, qu’est-ce qu’il s’est passé, Monsieur ? — J’étais chez moi, je suis descendu pour prendre le courrier, ils m’ont sauté dessus, et comme je suis quelqu’un de sensible, j’ai pris peur. — Mais vous avez bien vu qu’il s’agissait de policiers. — En fait, ils ont crié, mais comme ils m’ont directement sauté dessus, je me suis débattu par réflexe. — Comment expliquez-vous la présence d’un sachet rempli de produits stupéfiants dans votre boite aux lettres ? — Je ne l’explique pas. — C’est une erreur du facteur ? — Aucune idée. — Qui habite dans cet appartement ? — Mes parents et ma famille, en tout 6 ou 7 personnes. — Est-ce qu’il y en a qui consomment des stup’ ? — Non, pas à ma connaissance. — On a exploité votre téléphone et il n’y a rien qui vous relie aux stupéfiants. Vous consommez — Non pas du tout. » Ayoub n’a par ailleurs jamais été condamné, ni même été concerné par une procédure judiciaire ou policière. La procureure pose la même question que le juge sur la raison de la présence du « pochon » d’herbe dans la boite aux lettres, et Ayoub fait la même réponse en écartant les bras, en ouvrant la bouche, puis en la refermant et en laissant retomber les bras sur ses hanches anguleuses. Le parquet est ennuyé. « J’ai conscience qu’il n’y a pas énormément de chose, les policiers notent qu’il ouvre la boite aux lettres et prend directement le stup’. J’ai dû mal à croire que quelqu’un l’y a mis par erreur. » Pas de problème pour la rébellion en revanche, qui lui semble parfaitement caractérisée. Elle demande 105 heures de travail d’intérêt général. Pris de panique L’avocate n’a pas parlé, alors elle se rattrape. « Je veux bien que les enquêteurs n’aient pas la même formation en droit que nous, mais ils pourraient faire un effort sur la qualification », dit-elle en préambule (ils ont simplement écrit « Rébellion » et « détention de stupéfiant »). Elle explique ensuite qu’il ne vit pas tout seul et qu’à partir de là , le doute reste entier. « Rien ne permet de dire : Monsieur, vous vous moquez du monde ! » Sur la rébellion : « Il est dans son hall d’immeuble, dans un espace qui est le prolongement de son domicile, on peut imaginer qu’il se retrouve pris de panique et qu’il a juste essayé de se relever et de se carapater. » Elle demande la relaxe et, subsidiairement, de le condamner à des jours amende plutôt qu’à des TIG, puisqu’Ayoub a un travail rémunéré. C’est ce que fera tribunal : 60 jours-amende à 10 euros pour la rébellion, relaxe pour la détention de cannabis.  https://www.actu-juridique.fr/penal/tribunal-de-pontoise-rien-ne-permet-de-dire-monsieur-vous-vous-moquez-du-monde/
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Common Reasons for Admission List Delays and How to Stay Updated
The release of the admission list for universities, polytechnics, and other higher institutions is a significant milestone for many students after their JAMB and post-UTME exams. However, it’s not uncommon for admission lists to be delayed, causing anxiety and uncertainty among prospective students. Understanding the common reasons behind these delays can help students manage their expectations and stay informed about when they can expect the results.
In this article, we will explore the common reasons for delays in admission lists and provide tips on how to stay updated throughout the process.
Common Reasons for Admission List Delays
Increased Number of Applicants
One of the primary reasons for delays in the release of admission lists is the increased number of applicants. With a growing number of students applying for various courses and institutions, the process of reviewing applications, selecting candidates, and compiling the admission list can take longer. Institutions often need more time to process a large volume of applications efficiently.
How to Stay Updated: Institutions may provide updates via their official social media platforms and websites. Regularly checking these platforms can help you keep track of any announcements regarding delays or extensions in the admission process.
Verification and Validation of Results
Universities often need to verify the results submitted by applicants, including JAMB scores, post-UTME scores, and O'Level results. The process of validating and confirming the authenticity of these documents can sometimes cause delays, particularly if there are discrepancies or issues with the submitted information.
How to Stay Updated: It’s crucial to ensure that your personal details and academic records are accurate and up to date on the JAMB portal and school admission system. If you are aware of any potential issues, contact the school’s admissions office to clarify them before the list is released.
Internal Administrative Processes
Internal procedures within the institutions can contribute to delays in admission list releases. This includes coordination between the admissions office, academic departments, and management. Sometimes, the list may be delayed due to internal approvals, adjustments in the admission process, or a backlog of administrative tasks.
How to Stay Updated: Be sure to follow up regularly with the admissions office of your institution for any updates. If the university has a dedicated helpline or email for admissions inquiries, use it to ask for progress or estimated release dates.
Technical Issues and System Upgrades
In today’s digital age, many institutions use online portals to compile and release their admission lists. Technical glitches, system failures, or ongoing upgrades to the online platforms can hinder the timely release of admission lists. Sometimes, maintenance work on the portals is necessary to ensure that all data is correctly processed and displayed.
How to Stay Updated: If you suspect technical issues may be causing a delay, be patient and check the portal regularly. Institutions often announce any technical issues or maintenance work ahead of time on their websites or social media.
Changes in Government Policies or Regulations
At times, changes in government policies or regulations regarding the admission process can cause delays in the release of the admission list. For example, the introduction of new admission guidelines, amendments to the cut-off marks, or changes in the way institutions handle admissions could lead to delays as schools adjust to the new policies.
How to Stay Updated: Keep an eye on announcements from bodies like the Joint Admissions and Matriculation Board (JAMB) and other relevant educational agencies. These updates are often made available on the JAMB website or official government portals.
Institutional Decision-Making Delays
Institutions may also face delays in finalizing admission lists due to internal decision-making processes. These include deliberations on the number of candidates to admit based on available spaces, departmental quotas, or special considerations for certain applicants (such as athletes, indigent students, or candidates with special needs). Delays may also occur when institutions are still finalizing the processing of supplementary admission lists.
How to Stay Updated: Regularly visit the institution's admission portal and social media platforms for any updates. Some schools may even publish tentative release dates for admission lists, so keeping track of these can give you a rough idea of when the list will be available.
Post-UTME Revaluation and Reconsideration
In some cases, the delay may be due to the revaluation or reconsideration of post-UTME exam results. This could happen if there were errors or discrepancies in the exam results, or if students request a review of their performance. Revaluations and the subsequent compilation of the revised admission list can take extra time.
How to Stay Updated: Ensure that you regularly check the school’s official communication channels for any information regarding revaluation processes. Also, if you believe there was an error with your result, inquire about the possibility of revaluation to avoid unnecessary delays.
Approval of the Admission List by the Governing Council
In some cases, the final admission list must be approved by the university’s governing council before being published. This is particularly common in public universities, where various bureaucratic processes need to be followed to ensure that the admissions meet institutional and regulatory standards.
How to Stay Updated: Keep an eye on the university’s website and social media accounts for any updates regarding the approval and final release of the admission list. Institutions may provide expected release dates, and you can also contact the admissions office to inquire about the process.
How to Stay Updated on Admission List Releases
Official School Websites and Portals Most universities and higher institutions post updates about the admission list on their official websites. Check these sites regularly for official announcements and updates on when the list will be released. Some universities also have dedicated admission portals where you can check your status directly.
Social Media Follow your institution on social media platforms like Facebook, Twitter, and Instagram. Many institutions use these platforms to communicate important updates and news about the admission process. Following these accounts ensures that you don’t miss any crucial announcements.
JAMB CAPS JAMB's Central Admission Processing System (CAPS) is another reliable source of information. You can check your admission status and see if you've been offered admission through CAPS. Regularly log into your JAMB profile to stay informed.
SMS Notifications Some schools send SMS notifications to candidates once the admission list is released. If your school offers this service, ensure that your contact details are updated to receive these notifications.
Contact the Admissions Office If you have any questions or concerns, don’t hesitate to contact the admissions office directly. They can provide insights into the admission process and let you know when you can expect to receive the list.
Conclusion
While delays in the release of admission lists can be frustrating, they are often caused by factors beyond the control of the university. By understanding the common reasons for these delays and taking proactive steps to stay informed, you can ease the anxiety associated with the waiting period. Regularly checking official channels, staying in touch with the admissions office, and being patient during the process will ensure that you are always updated about your admission status.
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The Federal Government of Nigeria, led by the newly appointed Minister of Education, Dr. Tunji Alausa, has officially abolished the 18-year minimum age requirement for admission into tertiary institutions. The announcement was made by Dr. Alausa during his first ministerial press briefing held in Abuja on Wednesday. The minister also indicated that his administration may review the broader education policy framework for Nigeria. Despite this reversal, Dr. Alausa maintained that the government’s recent decision to nullify over 22,700 degree certificates obtained from "fake" universities in neighboring Togo and Benin Republic remains unchanged. He affirmed that such degrees will not be recognized within Nigeria. Background on the 18-Year Admission Age Benchmark The age restriction was first introduced in July, when the previous Minister of Education, Prof. Tahir Mamman, directed the Joint Admissions and Matriculation Board (JAMB) to enforce an 18-year minimum age limit for applicants seeking admission to Nigerian tertiary institutions. Prof. Mamman announced this policy at the 2024 Policy Meeting on Admissions, held at the Body of Benchers’ auditorium in Abuja, noting concerns over the admission of underage students and the negative impact it could have on the higher education system. This announcement was met with immediate backlash from education stakeholders and attendees at the event, sparking protests and calls for the policy to be reconsidered. The National Assembly soon intervened, pushing for a more flexible approach. Federal Government's U-Turn on the Policy Under pressure, Prof. Mamman eventually revised his stance, allowing applicants aged 16 and above to be eligible for the 2024 admission cycle. However, he insisted that the 18-year minimum age benchmark would be enforced from 2025. With Dr. Alausa’s recent reversal of this benchmark, students under the age of 18 will once again be eligible to pursue higher education without restriction, marking a significant policy shift in Nigeria's education sector. Stay tuned for further updates.
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