#Ivry Gitlis

[anamon-book]

アデルの恋の物語 フランソワ・トリュフォー没後10年追悼上映 コムストック 監督＝フランソワ・トリュフォー／出演＝イザベル・アジャーニ、ブルース・ロビンソン、シルヴィア・マリオット、ジョゼフ・ブラッチリー、イヴリー・ギトリス ほか

[7andaswitch-blade]

It was all going great until Yoko got on the fucking stage....

Ivry Gitlis (!) with John Lennon / Yoko Ono - Dirty Mac (youtube.com)

from the archive: Eric Clapton, John Lennon, Mitch Mitchell and Keith Richards

[masayoshi-kawaharablr]

Ivry Gitlis & Martha Argerich - Kreisler: 3 Old Viennese Dances: No. 3, ...

[alexlacquemanne]

Juillet MMXXIII

Films

Indiana Jones et le Cadran de la destinée (Indiana Jones and the Dial of Destiny) (2023) de James Mangold avec Harrison Ford, Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, John Rhys-Davies, Thomas Kretschmann et Boyd Holbrook

Un mariage de rêve (Easy Virtue) (2008) de Stephan Elliott avec Jessica Biel, Ben Barnes, Kristin Scott Thomas, Colin Firth, Kimberley Nixon, Katherine Parkinson et Kris Marshall

Douze Heures d'horloge (1959) de Géza von Radványi avec Lino Ventura, Laurent Terzieff, Hannes Messemer, Eva Bartok, Lucien Raimbourg, Suzy Prim, Gert Fröbe et Guy Tréjan

Dies iræ (2003) d'Alexandre Astier avec Tony Saba, Thomas Cousseau, Lionnel Astier, Alexis Hénon, Nicolas Gabion, Franck Pitiot, Jean-Christophe Hembert, Alexandre Astier, Jean-Robert Lombard et Jacques Chambon

La Vérité sur Bébé Donge (1952) d'Henri Decoin avec Jean Gabin, Danielle Darrieux, Gabrielle Dorziat, Claude Génia, Marcel André, Jacques Castelot et Daniel Lecourtois

Sorcerer (1977) de William Friedkin avec Roy Scheider, Bruno Cremer, Francisco Rabal, Amidou, Ramon Bieri, Peter Capell, Karl John et Friedrich von Ledebur

La moutarde me monte au nez (1974) de Claude Zidi avec Pierre Richard, Jane Birkin, Claude Piéplu, Jean Martin, Danielle Minazzoli, Vittorio Caprioli, Julien Guiomar et Henri Guybet

Mission impossible : Dead Reckoning, partie 1 (Mission: Impossible – Dead Reckoning Part One) (2023) de Christopher McQuarrie avec Tom Cruise, Simon Pegg, Rebecca Ferguson, Ving Rhames, Vanessa Kirby, Hayley Atwell et Pom Klementieff

Demain ne meurt jamais (Tomorrow Never Dies) (1997) de Roger Spottiswoode avec Pierce Brosnan, Jonathan Pryce, Michelle Yeoh, Teri Hatcher, Ricky Jay, Götz Otto et Joe Don Baker

Plus dure sera la chute (The Harder They Fall) (1956) de Mark Robson avec Humphrey Bogart, Rod Steiger, Nehemiah Persoff, Mike Lane, Jan Sterling et Max Baer

La Guerre des polices (1979) de Robin Davis avec Claude Brasseur, Claude Rich, Marlène Jobert, Georges Staquet, Jean-François Stévenin, Étienne Chicot, David Jalil, Gérard Desarthe, Jean Rougerie et Jean-Pierre Kalfon

Oppenheimer (2023) de Christopher Nolan avec Cillian Murphy, Emily Blunt, Matt Damon, Robert Downey Jr., Florence Pugh, Josh Hartnett, Casey Affleck, Rami Malek et Kenneth Branagh

L'Odyssée de Pi (Life of Pi) (2012) d'Ang Lee avec Suraj Sharma, Irrfan Khan, Ayush Tandon, Tabu, Adil Hussain, Ayan Khan, Vibish Sivakumar et Rafe Spall

L'Histoire d'Adèle H. (1975) de François Truffaut avec Isabelle Adjani, Bruce Robinson, Sylvia Marriott, Joseph Blatchley, Ivry Gitlis et Ruben Dorey

Meurs un autre jour (Die Another Day) (2002) de Lee Tamahori avec Pierce Brosnan, Halle Berry, Toby Stephens, Rosamund Pike et Rick Yune

La Tulipe noire (1964) de Christian-Jaque avec Alain Delon, Virna Lisi, Dawn Addams, Akim Tamiroff, Adolfo Marsillach, Robert Manuel et Francis Blanche

Séries

Friends Saison 10

Celui qui n'arrivait pas à se confier - Celui qui allait très bien - Celui qui avait décidé de bronzer - Celui qui transformait le gâteau d'anniversaire - Celui qui écrivait une lettre de recommandation - Celui qui a failli avoir la subvention - Celui qui bluffait l'assistante sociale - Celui qui ratait Thanksgiving - Ceux qui rencontraient la mère biologique - Celui qui se faisait coincer - Celui qui trahissait le pacte - Celui qui jouait le rôle du père - Celui qui baragouinait - Celui qui n'aimait pas la maison - Celui qui faisait tout pour retenir Rachel - Celui qui n'aimait pas les adieux - Ceux qui s'en allaient

Inspecteur Barnaby Saison 10

Danse avec la mort - L'Oncle d'Amérique - La Chasse au trésor - Le Blues de l'assassin - Le Flash de la mort - Le Télescope de la mort

Coffre à Catch

#122 : Finlay prend la trique et Ichtou jette l'éponge ! - #123 : Finlay à domicile pour le titre ECW ! - #124 : Les Survivor Series : Des bangers en veux-tu en voilà! - #125 : Beliaroth INFILTRE l'Univers d'Agius! - #126 : MVP et Matt Hardy: de partenaires à adversaires !

Kaamelott Livre I

Le Duel - L'Invasion viking - La Bataille rangée - La Romance de Perceval - Les Funérailles d'Ulfin - Le Chevalier femme - La Carte - Le Repas de famille - Le Répurgateur - Le Labyrinthe - Heat - Les Tartes aux myrtilles - La Table de Breccan - Le Chevalier mystère - Le Fléau de Dieu - Le Garde du corps - Des nouvelles du monde - Codes et Stratégies - Le Maître d’armes - Le Négociateur - Dîner dansant - Le Sixième Sens - Arthur et la Question - Monogame - Les Défis de Merlin - Le Banquet des chefs - Le Signe - En forme de Graal - Le Repos du guerrier - La Dent de requin - La Taxe militaire - La Queue du scorpion - La Potion de fécondité - L’Interprète - Le Sacrifice - À la volette - De retour de Judée - La Botte secrète - L’Assassin de Kaamelott - Le Trois de cœur - Basidiomycètes - L’Imposteur - Compagnons de chambrée - La Grotte de Padraig - Ambidextrie - Raison d’argent - La Romance de Lancelot - Merlin et les Loups - Le Cas Yvain - L’Adoubement - Arthur et les Ténèbres - Le Zoomorphe - La Coccinelle de Madenn - Patience dans la plaine - Le Oud - Le Code de chevalerie - Létal - Azénor - Le Sort de rage - Les Nouveaux Frères - Enluminures - Haunted - Le Secret de Lancelot - Le Serpent géant - Guenièvre et les Oiseaux - Le Dernier Empereur - Perceval relance de quinze - Le Coup d’épée - La Jupe de Calogrenant - Le Prodige du fakir - Un bruit dans la nuit - Feu l’âne de Guethenoc - Goustan le Cruel - Le Chaudron rutilant - La Visite d’Ygerne - Les Clandestins - La Kleptomane - Le Pain - La Mort le Roy Artu - Le Problème du chou - Un roi à la taverne - Les Fesses de Guenièvre - Le Billet doux - Guenièvre et l’Orage - Eunuques et Chauds Lapins - Choc frontal - Le Forage - Le Discobole - L’Expurgation de Merlin - Les Volontaires - Polymorphie - Décibels nocturnes - La Fête de l’hiver - Gladiator - La Blessure mortelle - Le Dragon des tunnels - Retour de campagne - L’Escorte - Tel un chevalier - La Pâte d’amande - La Fureur du dragon - Vox populi - Unagi - L’Éclaireur - Lacrimosa - La Quête des deux renards - Agnus Dei - Le Tourment - La Retraite - La Vraie Nature du Graal

Affaires Sensibles

Le Tour de France fantôme - Tom Simpson : une funeste passion - Lance Armstrong, le héros déchu - 21 juillet 1969 : objectif Lune

Castle Saison 2

Une rose pour l’éternité - Le Contrat - Le Troisième Homme - Le Batteur battu - Journal d'une dominatrice - Messages par balles - La Mort de Nikki - La Malédiction de la momie

Orgueil et Préjugés

Episode 1 - Episode 2 - Episode 3 - Episode 4 - Episode 5 - Episode 6

Raison et Sentiments

Episode 1 - Episode 2 - Episode 3

Spectacles

John Fogerty : Premonition (1997)

Eddy Mitchell au Casino de Paris (1990)

Livres

Pourquoi vous faisez ça ? de Pablo Mira

Gaston , Tome 2 de André Franquin et Jidékeur

Le péplum, un mauvais genre de Claude Aziza

Hero Corp, Tome 2 : Chroniques de Simon Astier, Louis et Stéphane Créty

[dospassos]

Ivry Gitlis

[thescientificviolist]

rest in peace ivry gitlis (1922-2020)

you will be missed!

[blog-bishop]

Ivry Gitlis, c'est de l'ombre, que l'on voit le mieux la lumière

Petite appréhension hier soir en voyant passer dans les choix de vidéos proposées par Youtube, un concert d'Ivry Gitlis... (Qu'est-ce que ça vient faire là, ai-je pensé, vaguement inquiet.) Comme ça n'avait pas l'air d'être un hommage, j'ai laissé couler. Et ce n'est que ce matin que j'ai appris la nouvelle : Ivry Gitlis nous a quitté.

Gitlis, je l'ai découvert vers 1990 via Léo Ferré avec la chanson Les étrangers (Album L’espoir, 1974). Cette espèce d'improvisation en volutes qu'il fait derrière la voix de Ferré, c'est merveilleux. (Son jeu, en général, peut-être un peu atypique, fait qu'on l'a souvent ou adoré ou détesté. Tout de suite, je l'ai aimé. Un jeu à l'image de son visage, à la fois espiègle et intense.) Dans la foulée, en oct '92 j'ai lu son autobiographie, L'âme et la corde. Très bien écrite. L'a-t-il écrite seul ? Mystère. Mais quand on l'a un peu entendu parler, on retrouve ses intonations dans l'écriture. Extraits choisis...

1951. C’est le concours Long-Thibaud, qui lance sa carrière. Thibaud accepte de l'écouter avant, ce qu'il faisait rarement, et dit : « il faut qu'il participe, il a de très grandes chances. » Mais dans le jury, on ne l'aime pas. Quelqu'un dit même : « il joue comme un juif. » On ressort une vieille rumeur tordue à propos d'un violon qu'il n'aurait pas dû vendre, pour essayer de le discréditer. Mais le public l'adore. Le concours a lieu. Premier prix : Gérard Jarry. (?) Au final... on annonce que Gitlis est cinquième.

« On m’a poussé sur la scène. (...) Le public s’est déchaîné, il est devenu fou. Cette véritable émeute a-t-elle duré dix minutes, un quart d’heure ? Je ne sais pas. Le président du jury agitait en vain sa sonnette ; le hourvari continuait. Des amis m’ont dit que ceux, rares, qui ne criaient pas recevaient un coup de programme sur la tête.

Le président du jury a pu annoncer finalement que je recevais le cinquième prix et un violon. Mais le tumulte a redoublé. »

A la sortie, un manager lui propose un concert.

« Ma carrière en somme a vraiment commencé avec ce concours. »

Octobre 1956, guerre du Sinaï. Gitlis s'apprête à donner un concert à Rome. Il décide de tout annuler et de se porter volontaire. Le porte-parole de l'armée israélienne lui dit :

— Ivry, voyons, tu n'annules rien du tout, tu vas à Rome, tu joues et tu joues bien.

Un peu honteux Gitlis rentre à son hôtel.

 « Ce soir-là, il y avait le couvre-feu. Dans ma chambre obscure, fenêtres ouvertes sur la chaleur du jour qui finissait, j’ai pris mon violon et je me suis joué quelque chose, à moi tout seul. Des minutes. Une éternité... Et soudain, de la rue, une voix a crié :

— Eh ! là-bas, tu joues de ton violon pendant que nos gosses jouent leur vie pour nous ! »

 Sur son interprétation du Concerto de Sibelius :

 « Le concerto commence avec une espèce de murmure de l’orchestre. Sibelius est un homme du Nord, il a une tête sombre, carrée, un peu à la façon de celles des présidents des États-Unis qui sont sculptées dans le roc du désert du Nevada. Pour jouer Sibelius, il faut penser aux centaines de lacs de la Carélie, à l’espace de ce pays. Cet espace rejoint les steppes de ma mère, où on entend de loin des voix russes qui s’approchent, crescendo, et s’éloignent, diminuendo. Tout d’un coup — et je l’avais beaucoup travaillé tout seul, ce concerto —, tout d’un coup, j’ai eu le contact d’une réalité, la compréhension de la façon dont je devais le jouer.

J’ai joué tout à fait différemment de ce que j’avais fait auparavant. Je suis sorti de ce murmure, murmure de la source, comme les murmures de la forêt de Wagner, et le violon sortait presque sans vibrato, presque inaudible, de ce murmure. (...) Pour moi, ce fut tout à coup autre chose, ça sortait du lac de Carélie, des steppes glacées, et peu à peu ça s’ouvrait. La première version enregistrée fut la bonne. Pour moi.

Nous étions là, dans cette énorme salle du Konzert Haus de Vienne, en train d’enregistrer, lorsqu’un courant d’air fit claquer une porte. On m’a demandé de recommencer l’enregistrement parce qu’on ne pouvait pas garder ce bruit de porte qui claque, mais j’ai refusé :

— Il n’y a rien à faire. C’est cette version que je veux garder !

On a juste coupé cette note pour la remplacer. Chaque fois que j’écoute ce disque, je sais que tel do dièse est un peu plus haut que les autres, et je sais pourquoi. Alors, quand cette note arrive, je parle pour qu’on ne l’entende pas. »

Sur Ferré :

« Léo Ferré, rencontré sur le plateau du Grand Echiquier, et venant à Vence quelques semaines plus tard, et chantant pour moi avec les « Solisti venti ». Un homme, un artiste. »

« (...) il y eut la complicité du Théâtre des Champs-Élysées, de Claudio Scimone et des Solisti Veneti — Léo Ferré, oui, Léo a chanté avec les Solisti ! et bien d’autres pendant six heures consécutives — deux soirées de suite. Lorsqu’à minuit, j’ai dû annoncer au public que nous ne pouvions payer le double de la location réglementaire après minuit, le public artiste voulait cotiser l’argent nécessaire. Mais finalement, cela ne s’est pas avéré nécessaire, car les techniciens, ouvreuses, etc. du théâtre ont tellement aimé tout cela, qu’ils ont décidé de rester, comme ça. Pour le plaisir. Et les soirées se sont terminées, vers 2 heures du matin. Car c’est nous les artistes qui ne tenions plus debout ! »

« On est solitaire avec un violon à la main. Le violon m'a enlevé à l'école, à la vie, ou à l'école de la vie (...) Un être à part, l'Artiste. Pas très gai tout cela ?

C'est du noir, c'est de l'ombre, que l'on voit le mieux la lumière. »

Ivry Gitlis, L'âme et la corde, Robert Laffont, 1980.Un très bon livre qu'on trouve encore d'occasion. Et un immense violoniste, qu'il faut écouter et réécouter... (L’album EMI Méditation de Thais est une bonne introduction. Ensuite voir l’abum Philips Paganini. Enchaîner avec le coffret VoxBox The Art of Ivry Gitlis.)

Léo Ferré, Les étrangers, 1974, avec Ivry Gitlis

Dans ce live du grand échiquier ‘75, on entend moins bien le violon, je trouve, un peu noyé dans l'orchestre, mais j'aime bien le geste d'amitié qu’on ces deux-là, au début, ils se touchent le bras, c'est très beau.

[scriabinomania]

Les dissonances sont si douces à mes oreilles.

[jbgravereaux]

Cali - Les étrangers (Léo Ferré) - Cali chante Léo Ferré (2018)     Léo LeBoc                                                                                                                                 Léo Ferré - Les Etrangers - YouTube                                                                    Christian Audemard Avec la participation du violoniste Ivry Gitlis: superbe. Comme dans un concerto le violon d'Ivry réponds aux mots de Léo. Sur l'album "l'espoir" enregistré en 1974                                                                                                                                                                                                                               LEO FERRE - Les Etrangers [Olympia 1972] - YouTube                                                                                                                                                                       cali : seul les enfants savent aimer / je sais [19.01.2018] soignies ...                     Le chanteur Cali a fait du drame de sa vie un roman - Vidéo dailymotion   Laissez-vous câliner par le dernier roman de Cali - Pop ... - Dailymotion

[hahn-bin]

Hahn-Bin seen with Ivry Gitlis backstage at Auditorium du Louvre following his Paris debut recital

[greensparty]

Album Reviews: Shonen Knife and The Rolling Stones

I got to review not one but two albums being released this week. A new one from Shonen Knife and a re-release from The Rolling Stones. Busy week!

Shonen Knife Sweet Candy Power

Sweet Candy Power album (I’m suddenly hungry)

Since forming in 1981, Japan’s Shonen Knife have been tearing it up in their end of the punk sandbox. A band that can draw equal comparisons to both The Ramones and the 1960s girl groups. What a testament it is that they’ve been doing their own thing for almost four decades. Since I began this blog, one of the cool things I’ve gotten to do is cover some of the band’s recent activity: their 2016 concert the day after the presidential election, my 2017 interview with the band’s singer/guitarist Noako Yamano, and my review of their 2018 DVD Shonen Knife ALIVE in Osaka!, which the band actually retweeted on Twitter! On June 5, Good Charamel Records released Shonen Knife’s 19th album Sweet Candy Power.

Shonen Knife!!!

While Shonen Knife falls into the punk category, they have always had a pop edge to them. Much like The Ramones there is a poppy sing-along element to their music. It’s no wonder Nirvana, another band that had both punk and pop elements in their sound, sung the praises of Shonen Knife and toured with them. With Sweet Candy Power, it has a hard-driving 60s garage sound. I love that this band has not lost any steam whatsoever. The band’s 1993 album Rock Animals is in my CD collection, and I honestly wouldn’t have known that this new album is 26 years after that one. As I said when I saw them in 2016, these ladies in their 50s could mop up the floor with bands half their age! This album is a rocker and in a year in which we’ve gotten some great rock albums from the likes of alt-rock vets The Dandy Warhols, The Claypool Lennon Delirium, and L7, this is among the cream of the crop!

For info on Shonen Knife: http://www.shonenknife.net/

4 out of 5 stars 

The Rolling Stones The Rolling Stones Rock and Roll Circus 2019 Reissue

The 2019 vinyl reissue

Technically speaking this is a Rolling Stones album, but an argument can be made that it is actually a soundtrack or all-star live album from various artists. I say this because a number of music legends appear on this. In Dec. 1968, the Stones put together a circus-themed concert for the BBC that was shelved until it was finally released in 1996. Just a few months ago it was brought back to movie theaters (read my preview here).  On June 7, ABKCO is re-releasing a special 4K Dolby Vision and Dolby Atmos restoration of The Rolling Stones Rock and Roll Circus. The Deluxe Edition contains a blu-ray / DVD / 2CD. But I got to review the vinyl soundtrack, which is exciting because its the first time ever on vinyl!

The Dirty Mac rock out at the Rock and Roll Circus

Spread out over 3 discs (180 gram LPs) remastered in hi-res audio, this is an amazing treat for vinyl fans. It includes the introductions and interludes as well as the circus music. But what made this time capsule-worthy is that the Stones invited so many of their friends of that era to join them for this TV special: Jethro Tull, The Who, Taj Mahal, Marianne Faithfull, and the one-time supergroup The Dirty Mac (John Lennon, Yoko Ono, Eric Clapton, Keith Richards, Mitch Mitchell, and Ivry Gitlis) before the Stones performed some hits. Although the Stones set is worth the price alone, the real excitement with this reissue for a lifelong John Lennon / Beatle fan like me is the newly discovered material from The Dirty Mac being released for the first time. Those tracks include a rehearsal of “Revolution”, a warmup jam, and an alternate take of “Yer Blues”. How spectacular is it to get to see and hear this supergroup (more like a super duper group) in 1968 with Lennon on vocals and guitar, Eric Clapton (in Cream at the time) on lead guitar, the Stones’ Keith Richards on bass, and Mitch Mitchell (of the Jimi Hendrix Experience) on drums. We can only imagine what it would be if they had recorded together. This is a definite stocking-stuffer!

For info on this Stones reissue: https://www.abkco.com/film/rolling-stones-rock-roll-circus/

4.5 out of 5 stars

[permiranda]

Ivry Gitlis plays Elgar - La capricieuse, Op.17

[humongousfanhologram]

La Campanella Violine and Orchestra Ivry Gitlis

Nicolo Paganini La Campanella Violine and Orchestra Ivry Gitlis

[lifejustgotawkward]

365 Day Movie Challenge (2017) - #63: The Story of Adèle H. (1975) - dir. François Truffaut

It is never any surprise when directors hire actress Isabelle Adjani, who has an incredible ability to mine a character for the most intense depths of emotion. This was probably never more evident than in her tortured work in Andrzej Zulawski’s grotesquely creative horror film Possession (1981), but Truffaut’s The Story of Adèle H. gives Zulawski a run for his money as far as depicting a woman’s slowly fracturing psyche and body.

Set in 1863-1864, Story has Adjani playing Adèle Hugo, second daughter of world-famous author and political figure Victor Hugo, a woman whose schizophrenia and erotomania begin to manifest when she fanatically falls in love with a handsome British army lieutenant, Albert Pinson (Bruce Robinson, later of Withnail and I directing fame) and follows him from England to his regiment’s new station in Halifax, Nova Scotia. Pinson is indifferent to Adèle, with whom he had had a brief affair when he lived near their family on the isle of Guernsey (the Hugos lived in exile, having been forced out of France for dissidence), but Adèle’s certainty that Pinson intends – present tense – to marry her gradually erodes her sense of reason, exacerbates the mental illness she didn’t understand that she had and drives her out of her mind. Twenty-year-old Isabelle Adjani received an Academy Award nomination for this performance, an absolutely deserved recognition that solidified her reputation as one of French cinema’s most exciting stars and got her work with such varied filmmakers as Roman Polanski, André Téchiné, Walter Hill, Werner Herzog, James Ivory, the aforementioned Zulawski, Claude Miller, Luc Besson, Elaine May and Bruno Nuytten (with whom Adjani received her second Best Actress Oscar nomination for Camille Claudel).

I have noticed recently that I have been gravitating towards stories of obsession, passion and violence: The Crying Game (1992), The Naked Kiss (1964), Angel (1982), Felicia’s Journey (1999), Asphalt (1929), Unfaithful (2002), Mona Lisa (1986), Exotica (1994). Of course, the ultimate icons of this mixed genre are numerous Hitchcock thrillers including Spellbound (1945), Vertigo (1958) and Marnie (1964), as well as Brian De Palma’s many Hitchcockian films, like Sisters (1973), Dressed to Kill (1980) and Body Double (1984). The Story of Adèle H. does not contain the same level of excitement as those other, more suspenseful films, though, since Story is a biopic and a period-piece drama rather than a thriller.

The film is consistently watchable since Néstor Almendros supplies good cinematography (especially in close-ups of the two leads) and, as mentioned, Adjani is brilliant (thankfully since she is the center of the film), but it is unfortunate that Truffaut could not elicit better performances from most of the supporting actors. There are a few sympathetic portrayals by Sylvia Marriott (Adèle’s landlady at a Halifax boarding house), Joseph Blatchley (a bookshop proprietor who is clearly sweet on Adèle) and Ivry Gitlis (best known to the world as a stellar violinist; here, he plays a hypnotist sought by Adèle in hopes of literally casting a spell on Lt. Pinson), but Truffaut’s film does not quite reach the heights of mastery.

[silverblog-xyz]

Ivry Gitlis: Celebrated Israeli virtuoso violinist dies at 98

Ivry Gitlis: Celebrated Israeli virtuoso violinist dies at 98

Described as one of the modern greats of classical music, he was a hugely charismatic figure. Source link