#Il Rapace
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adventuresofalgy · 12 days ago
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The next morning was brighter, but also a great deal colder, and although the world was still dripping as far as the eye of a fluffy bird could see, it was as dry as anything possibly could be when it was already completely soaked through and through…
Now that the mist had cleared, Algy was able to see more of the woodland that stretched out before him, and at its very edge, just a short distance away, loomed a huge Atlantic oak tree, whose branches reached high into the sky and out across the still-chortling burn, which ran on deep into the woodland and vanished.
Carrying the magic pumpkin carefully in his beak, Algy flew over to the tree and landed on a wide, almost horizontal branch, which not only provided an exceptionally secure perch for both himself and his pumpkin, but also a luxuriously soft cushion of moss for the comfort of a fluffy bird's tail feathers…
As the low November sun squeezed through the clouds and attempted to illuminate the scene in front of him with a pale, watery light, Algy felt moved to sing to the magnificent tree – and as he could only think of one appropriate example in which the singer praised a tree, he opened his beak and did his best to perform that beautiful hymn-to-a-tree for the benefit of the hospitable oak, changing the words slightly to make it quite clear that he was not addressing some faraway plane tree in a mythical land…
Frondi tenere e belle del mio platano amato per voi risplenda il fato. Tuoni, lampi, e procelle non v'oltraggino mai la cara pace, né giunga a profanarvi austro rapace. Ombra mai fu di vegetabile, cara ed amabile, soave più. Which Wikipedia translates in English as: Tender and beautiful fronds of my beloved plane tree, let Fate smile upon you. May thunder, lightning, and storms never disturb your dear peace, nor may you by blowing winds be profaned. Never was a shade of any plant dearer and more lovely, or more sweet.
[Algy is singing what is sometimes referred to as "Handel's Largo", the aria Ombra mai fu from the opening of Handel's opera seria Serse (Xerxes) written in the early 18th century.]
But Algy, of course, has a fluffy baritone voice, and although he always does his best, this beautiful aria is really quite beyond the capabilities of a daft fluffy bird 😔 Nor is Algy's version anything like what the composer intended, as it was originally scored for a very much higher voice.
So Algy decided to provide links – for those interested – to two very different interpretations, out of the many, many available recordings of this famous, hymn-like aria. The first, in the unusually pure voice of America's great contemporary mezzo-soprano Joyce Didonato, goes straight into what is in her case an almost ethereal "Ombra mai fu", while the second, sung more robustly by the famous 20th century German baritone (or bass-baritone) Dietrich Fischer-Dieskau, contains the complete aria starting from its less melodic opening, and is much closer to Algy's own rendering… 😀
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ilcaffeletterariodimars · 5 days ago
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È vero che gli uomini sono fondamentalmente crudeli? L’esperienza della crudeltà è l’unica cosa che ci accomuna come specie? La dignità a cui ci aggrappiamo non è altro che un’autoillusione, un modo per nasconderci questa unica verità - che ciascuno di noi può essere ridotto a un insetto, a una bestia rapace, a un ammasso di carne? Può farsi degradare, distruggere, massacrare… È questo il destino ultimo del genere umano, un destino che la storia ha confermato come qualcosa di ineluttabile? - Atti umani, Han Kang
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crimson-veil-rpg · 6 months ago
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CRÉATURES JOUABLES
Bestiaux qui rôdent, se tapissent derrière les masques. Peut-être serez-vous l'un d'entre eux ? Ferez-vous partie des hostiles ou des protecteurs inoffensifs ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque créature fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu. (tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation) ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨
BANSHEES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté **** Activité : principalement de nuit Regroupement : solitaires
Entités fantomatiques hurlant mélopées funèbres, elles sont les individus qui ont un jour été frappés accidentellement par la faucheuse, alors que cela ne faisait guère partie de leur destin, revenant ainsi à la vie après une expérience de mort imminente. Ces êtres en ont conservé un lien particulièrement fort avec l’au-delà. Simili sorciers protecteurs de clans humains ancestraux, les Banshees perçoivent la mort, la sentent venir. ---------------------------
DRYADES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : solitaires ou cercles de trois à dix Dryades
Nymphes des forêts et des landes. Êtres de nature aussi curieux que doux, les Dryades sont pourtant en déclin constant depuis l’aube de l’urbanisation qui dévore chaque jour un peu plus leur habitat naturel. Leurs épidermes se fardent de fleurs et autres feuillages, faisant de ces êtres de véritables écosystèmes vivaces qui ne sont guère de chair et de sang.
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HARPIES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : nids de trois à douze Harpies
Rapaces avisés à la réputation belliqueuse. Mi-oiseau, mi-humanoïde, leurs ailes puissantes se déploient afin de traquer les proies qu���elles saisissent de leurs serres affutées qui semblent pouvoir tout transpercer. Jadis nommées Sirènes, Érinyes voire Sirin Bird, l’évolution leur a donné une seconde apparence, celle d'humanoïdes dissimulant la bête. L’instinct de chasse et le goût sanglant les borde, avides de violence et d’observer la souffrance dont elles se délectent.
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LYCANTHROPES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces **** Rareté *** Activité : les nuits de pleine lune Regroupement : solitaires et meutes de deux à vingt Lycans
Malédiction des pupilles de la lune. L’âcre venin d’une monstruosité les a frappés une nuit, gangrenant leurs chairs jusqu’à la lune ronde suivante. Bêtes aux instincts bestiaux qui prédominent sous les effets de l’astre, ils perdent toute conscience de leurs actes lors de leurs transformations en monstruosités mi-hommes mi-loups. Leurs sens demeurent cependant constamment affutés.
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SIRÈNES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté * Activité : jour et nuit Regroupement : clans de deux à trente sirènes
Aussi surnommées Merrows, Ondines ou Vampires des eaux, elles errent dans l'onde à la recherche d'âmes pour en aspirer la jouvence et ainsi dé-sécher leurs proies sans vergogne. Créatures vicieuses et manipulatrices, elles ont évoluées avec le monde, arpentant en partie les terres afin de mieux saisir leurs proies, qu'elles capturent via de leur charisme. Omniprésentes, il se murmure qu'elles sont plus nombreuses sous l'écume qu'il y a d'êtres humains sur terre.
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STRYGES
Hostilité envers l'humain ** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires ou nid de deux à vingt Stryges
Goules dévoreuses de macchabées. Gargouilles trônant dans les cimetières et reluquant du haut des églises. Elles se figent une fois l'aube levée en malédiction terrible qui les tourmente. Fardeau qui leur donne un aspect monstrueux aux antipodes des êtres humains qu'elles ont un jour été. La nuit les libère, ôte leurs traits de statue. Peu hostiles, elles se font gardiennes, veillent sur l'humanité.
--------------------------- VAMPIRES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires et clans de deux à douze Vampires
Maîtres des nuits brumeuses. Créatures non mortes et non vivantes arpentant les terres sans jamais trouver repos éternel. La faucheuse est omnisciente dans leurs sillages, en ombre qu'ils laissent en relâchant leurs proies. Buveurs de sang, ils glanent l'ichor encore chaud aux gargues de leurs proies. Rigueur cadavérique qui fascine pourtant l'humain depuis toujours.
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abr · 2 months ago
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Il potere d'acquisto di salari, stipendi e rendite in Italia è diminuito nell'ultimo ventennio. E abbiamo dei gegni che il neopauperismo non gli basta mai: mentre accolgono poveracci da mantenere con poco, che diventa tanto per le quantità, vorrebbero colpire ancor di più "gli extraprofitti" e "i patrimoni". Per farli scappare ancor di più e far spazio a disgraziati neoschiavi?
La sinistra, prima responsabile del governo di questo ventennio sfigato, cerca il fallo di confusione dando la colpa al “neoliberismo”, qualcosa che loro sentono nella stanza ma che in questa fossa socialpopolare non c’è stato mai (usano il termine come accusa interna ai loro Renzi, social democratici che non sapendo l'inglese si sono illusi d'esser liberali).
Sull'altro versante, la destra non ha le palle per applicare ricette di buon senso e progressive tipo Javier Milei.
Per cui lo stato continua a gonfiarsi pur essendo immobile, la produttività stagna per via dell'immobilismo paralizzante e rapace pubblico, il valore dei soldi rispetto ai beni cala: economia del primo anno.
La verità è che son tutti "sociali" e nessuno osa, ma che dico tagliare, potare appena lo Stato. L'Italia è una repubblica democratica fondata sulla burocrazia.
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blacklotus-bloog · 1 month ago
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Da dove giungi?...
... E qual è la tua meta? La luna è calata, ma il sole non è ancora sorto. Nell’oscurità che precede l’alba, cerco luce e avanzo per disperdere le nubi oscure della mia mente, per trovare un grande albero che non si pieghi nella tempesta. Emergo dalla terra. Sono fiore oscuro, io. Sono rapace di Carne, io . Assecondo lo scandire lento dei brividi. Sono essenza antica. Cammino tra filari di desiderio, ubriaca di odore di memorie future, di un mondo solo Mio fatto di terra immobile in cui l'anima non conosce il gioco delle sabbie mobili dell'incertezza. Libera, canto versi che appartengono a richiami di falchi e odore di peccato. Da dove giungo? Dalla tua mente, lì dove ogni virtù tace e il vizio è Padrone.
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BLACKLOTUS
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canesenzafissadimora · 4 months ago
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I balconi del millenovecento. Prima dei telefoni i balconi, si usciva fuori e si mandava a dire. Erano lo sfogo della casa, le ragazze non uscivano a spasso tranne per la funzione, la domenica. Però stavano in vista sul balcone, passava il giovanotto, un fiore conficcato nell'occhiello, una sbirciata a scippo, l'intesa fulminata, telegramma spedito con le ciglia. Al balcone tra i vasi la ragazza dipanava un gomitolo, ricamava a telaio, fingeva di pungersi con l'ago per liberare gli occhi messi in giù. Mia nonna si fidanzò al balcone. E mia madre, d'estate, dopoguerra, con altri amici esce sul balcone per il fresco e un uomo, ventott'anni, sedutosi vicino le chiede di sposare. Provengo dall'incontro di loro due là fuori, a Mergellina, col cielo giocoliere del tramonto. Ma da un altro balcone s'era affacciato pure l'impettito a dichiarare guerra, sporgendosi rapace e pappagallo sulla folla ubriaca di se stessa. Era meglio se usciva alla finestra e meglio ancora se teneva chiuso, così non si guastava la storia dei balconi e dell'Italia del millenovecento.
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arcobalengo · 10 months ago
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🇨🇭🦅Zurigo, "viaggia" a 38 km/h su una strada dove il limite è di 30 e l'autovelox lo fotografa: "beccato" in flagrante eccesso di velocità, ma il trasgressore è un uccello rapace
Giuseppe Masala
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sciatu · 10 months ago
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Devi far sedere la tua anima e farla concentrare sulla Vigna per più di trenta secondi, il tempo che ti ruba un Reel inutile su i cosiddetti “Social”. Questo perché la tua anima ha bisogno di far sedimentare quello che i sensi le fanno percepire. È un esercizio che certi monaci o esseri spirituali chiamano “meditazione” ma che è semplicemente dare valore al tuo tempo. Ecco, ad esempio, la Vigna, se tu la guardi semplicemente è un filare continuo e ripetuto di piante della vite. Questa constatazione però non è degna di te che sei, o dovresti essere, un essere vivente, un’anima pensante in un corpo recettivo. Usa gli occhi. Vedi l’azzurro del mare ed il crepuscolo che si avvicina, il cielo perdere forza e dare alle foglie delle viti un colore intenso ed intimo non quello splendente e forte che hanno durante il giorno. Vedi le nuvole, li ad occidente, arrossare ed illuminarsi sempre più intensamente, coperte dall’ondeggiare delle chiome ad ombrello degli antichi pini. Sono gli attimi che portano i ricordi ed in cui la memoria distilla il giorno preparando attori e sceneggiature per i prossimi sogni. Ora ascoltiamo il mondo. Il vento, instancabile maratoneta, sale dal mare o scende precipitoso verso di esso, facendo frusciare le foglie e portandoti la discussione paesana che le Ciaule hanno nel cielo, chiamandosi e rispondendosi fin quando il grido infinito di un Cacciavento, non le zittisce e le porta a nascondersi su rami o sui fili della luce. Aspettano composti che il rapace torni verso l’alto monte, tra gli aerei abissi da dove domina il mondo. Senti le voci della spiaggia, il vociare dei bambini, il metallico e ritmico correre di un treno, il suono della corriera, lo scoppiettio dei motorini. Il suono è parte dell’uomo, per questo le viti in silenzio, ascoltano curiose, scrivendo nei loro acini, le canzoni della gioia per quando sarà festa o per quando vi saranno dolori da combattere. La Vigna vive di santa eternità e prova ne è l’amore che dona agli uomini. Ora i profumi. Profumo di resina dei pini, intenso, liberatorio, quasi una medicina miracolosa. L’odore del vento, odore umido del mare, odore secco del monte, fatto di cardi arsi e di ulivi eterni. Odori caldi d’estate ed odori secchi e taglienti d’inverno che la vigna percepisce e di cui nutre i suoi grappoli, custodendo il sapore della terra nel loro sangue e trasformandolo con il sole in zucchero ed ebrezza perché la Vigna è la magia della natura, il cantastorie delle stagioni. I suoi filari si allungano a vivere nel sole, le sue radici raccolgono l’anima della terra. Per questo la Vigna è come una donna che dona ebrezza, che ci rivela la bellezza e l’essenza della natura: il mutare, il divenire, l’essere. Perché la vigna è una bambina a cui devi dare attenzione, cura, la protezione di un padre, l’amore di una madre. Ogni giorno chiede la tua presenza, ogni notte sogna le tue carezze. Il tuo passo tra quelle zolle grosse e secche, è quello che aveva tuo padre, e tutti padri che ci sono stati prima di lui. Sono i passi del tempo, che va e torna, che viene a potare, ad aggiustare tralci e pali, a raccogliere per creare. Ecco, ora puoi andare a rincorrere Reel e relazionarti con le frasi di un bambino non più lunghe di uno sguardo. Non ti ho fatto perdere tempo, ti mostrato quello che la tua anima non sa dirti.
You have to make your soul sit and focus on the Vineyard for more than thirty seconds, the time that a useless Reel on so-called "Social Media" steals from you. This is because your soul needs to settle what its senses perceive. It is an exercise that certain monks or spiritual beings call "meditation" but which is simply giving value to your time. Here, for example, is the Vineyard, if you look at it simply it is a continuous and repeated row of vine plants. However, this observation is not worthy of you who are, or should be, a living being, a thinking soul in a receptive body. Use your eyes. You see the blue of the sea and the approaching twilight, the sky lose strength and give the leaves of the vines an intense and intimate color, not the bright and strong one they have during the day. You see the clouds, there in the west, reddening and lighting up more and more intensely, covered by the swaying umbrella-shaped crowns of the ancient pine trees. They are the moments that bring memories and in which memory distills the day, preparing actors and scripts for future dreams. Now let's listen to the world. The wind, a tireless marathon runner, rises from the sea or descends hastily towards it, rustling the leaves and bringing you the village discussion that the Ciaule have in the sky, calling and answering each other until the infinite cry of a Cacciavento silences them and brings them to hide on branches or on electricity wires. They wait calmly for the bird of prey to return to the high mountains, among the airy abysses from where it dominates the world. You hear the voices of the beach, the shouting of children, the metallic and rhythmic running of a train, the sound of the bus, the crackling of motorbikes. Sound is part of man, for this reason the vines listen curiously in silence, writing in their grapes the songs of joy for when there will be a celebration or for when there will be pain to fight. The Vineyard lives in holy eternity and proof of this is the love that it gives to men. Now the perfumes. Scent of pine resin, intense, liberating, almost a miracle medicine. The smell of the wind, the humid smell of the sea, the dry smell of the mountain, made of burnt thistles and eternal olive trees. Warm smells in summer and dry, sharp smells in winter that the vineyard perceives and nourishes its bunches of, keeping the flavor of the earth in their blood and transforming it with the sun into sugar and exhilaration because the Vineyard is the magic of nature , the storyteller of the seasons. Its rows stretch out to live in the sun, its roots collect the soul of the earth. For this reason the Vineyard is like a woman who gives exhilaration, who reveals to us the beauty and essence of nature: changing, becoming, being. Because the vineyard is a little girl to whom you must give attention, care, the protection of a father, the love of a mother. Every day she asks for your presence, every night she dreams of your caresses. Your step among those large, dry clods is the one your father had, and all the fathers who were there before him. They are the steps of time, which comes and goes, which comes to prune, to adjust branches and poles, to collect to create. Here, now you can go chasing Reel and relate to a child's sentences no longer than a glance. I didn't waste your time, I showed you what your soul can't tell you.
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mamusiq · 1 year ago
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Maria Callas photographed by Cecil Beaton in 1957
Callas (2024) Callas is a film directed by Niki Caro with Noomi Rapace. Synopsis: A biopic about the operatic star, Maria Callas.
Noomi Rapace Star As Maria Callas announced at the Cannes Film Festival, Noomi Rapace is currently training her vocal cords in preparation for a starring role as Maria Callas.
The biopic is centered on the passionate relationship the singer had with Greek tycoon Aristotle Onassis lasting almost two decades. Caro will direct “Callas” from a screenplay she adapted from Alfonso Signorini’s biography “Too Proud, Too Fragile.”
Callas was a profoundly influential American opera singer of Greek heritage. She died in 1977 at the age of 53.
“This movie is about an extraordinary woman whose deepest desire is to lead an ordinary life with the man of her choice,” said Guido De Angelis. “Callas was la Divina, a goddess, who just wanted to be a normal woman; she found out she couldn’t. It sounds like an ancient myth.”
Rapace’s credits include “The Girl with the Dragon Tattoo,” “Prometheus,” “Sherlock Holmes: A Game of Shadows” and “The Drop.” Caro directed “McFarland USA,” “North Country” and “Whale Rider.”
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Maria Callas sings Puccini: Tosca - 'Vissi d'Arte' at Covent Garden 1964
Maria Callas' final appearance on the operatic stage was in Tosca ​at Covent Garden's 1965 Royal Gala. ​​​For many opera lovers, Maria Callas and Tosca's Vissi d'Arte ​are inseparable. "I lived for art; I lived for love" became La Divina's cri de coeur, ​​​​her swansong, the perfect expression of her own triumphs and tragedies. This unrivaled recording is from that legendary Zeffirelli production in 1964 and is one of just many jewels in the Maria Callas Live edition.
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Vissi d'arte, vissi d'amore, non feci mai male ad anima viva! Con man furtiva quante miserie conobbi aiutai. Sempre con fè sincera la mia preghiera ai santi tabernacoli salì. Sempre con fè sincera diedi fiori agl'altar. Nell'ora del dolore perché, perché, Signore, perché me ne rimuneri così? Diedi gioielli della Madonna al manto, e diedi il canto agli astri, al ciel, che ne ridean più belli. Nell'ora del dolor perché, perché, Signor, ah, perché me ne rimuneri così?
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gavroche-le-moineau · 1 year ago
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Some Gaîtés Préalables / Preliminary Gayeties Hapgood translation notes!
I noticed a number of translation discrepancies in this chapter, and I'm sure there are more than these since I didn't go through the translation with a fine tooth comb.
1. “C’est un spectacle berveilleux, dit Joly.” / “It’s a marvellous sight,” said Joly.” This is the first instance that Joly's stuffed up state is shown through his speech (berveilleux instead of merveilleux), and at first I was so disappointed that Hapgood didn't mimic it in the translation but luckily later on in the chapter she does include the speech modification due to stuffy nose. I loved this so much, reminds me of Bilbo in The Hobbit when all he can say is "thag you very buch" due to his cold!
2. “Il fait un coup d’état, parce qu’il y a solution de continuité entre le présent et l’avenir, et parce que, lui Dieu, il n’a pas pu joindre les deux bouts.” “He effects a coup d’état because he, God, has not been able to make both ends meet.” The bolded line in French is skipped in the English translation here and I have no idea why, I really like this line. My attempt at a full translation of this sentence would be: "He stages a coup, because there is a gap between the present and future, and because he, God, hasn't been able to make the two ends meet."
3. “...et à voir tant de malaise en haut et en bas, tant de mesquinerie et de pingrerie et de ladrerie et de détresse au ciel et sur la terre...” “...and when I see so much distress in heaven and on earth...” This part of the very next sentence gets greatly simplified in the Hapgood translation. The French reads something like: "...and to see so much malaise on high and down low, so much pettiness and stinginess and rapacity and distress in heaven and on earth..."
4. “Voyez, c’est le cinq juin...” / “Here it is the 4th of June...” It's June 5th! Not June 4th? ONCE AGAIN Hapgood with the mistranslated numbers???? Can anyone explain this I'm so confused. Why would you change some number by one or two?? It's happened throughout the book with ages, hours, dates...
5. “L’enfant, choisissant sans hésiter parmi les trois, quoiqu’il n’en connût évidemment aucun, s’adressa à Laigle de Meaux.” “The child unhesitatingly making his choice among the three, addressed himself to Laigle de Meaux.” A fairly inconsequential omission here but the English once again skips the bold part of the sentence, reading in full: "The child, choosing among the three without hesitating, though evidently not knowing any of them, addressed himself to Laigle de Meaux."
There may be more but these are only the ones I noticed! What a great chapter, though, as I know we're all aware!
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smokingago · 7 months ago
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"Primo: se sei innamorato, è una buona cosa,
praticamente la miglior cosa che ti possa
capitare. Secondo: ci sono molti tipi di amore.
C'è uno egoista, meschino, rapace e cattivo che
usa l'amore per darsi importanza. L'altro, invece, è una fuoriuscita di tutte le cose buone che hai dentro di te. Il primo tipo di amore può farti stare male, renderti piccolo e debole ma il
secondo può far nascere in te una forza, un
coraggio, una bontà e saggezza che non credevi di avere. Cerca di esserne all'altezza.
Se ami qualcuno, dirlo non può fare alcun male.
Può succedere che quanto senti non sia
ricambiato, ma ciò non renderà i tuoi sentimenti meno veri e belli. E non avere paura di perdere.
Se deve succedere, succederà. La cosa più
importante è non avere fretta.
Le cose belle non scappano via."
Web
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aisakalegacy · 6 months ago
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Hiver 1921, Hylewood, Canada (5/15)
Puisque je n’allais pas resté planté là à attendre éternellement d’être gobé par un autre prédateur que je pensais éteint, j’ai pris les choses en main. Dès le lendemain, j’ai levé le camp. J’avais pris ma décision : j’allais rejoindre la côte par mes propres moyens, quand bien même cela signifiait traverser à pied les deux cent cinquante miles de désert qui m’en séparait.
J’ai remonté le Nil jusqu’à Assouan, puis j’ai marché vingt jours vers l’est. Cette traversée du désert a été une expérience presque mystique pour moi. Isolé, sans aucune réserve de haschich pour atténuer les manifestations de mes états-limites, complètement isolé du monde - plus encore que je l’avais été à Abou Simbel.
Un soir, un sixam à pois est venu me disputer la perdrix que j’avais chassée. J’ai partagé ma pitance avec lui, et le rapace a commencé à me suivre partout, certainement dans l’espoir que je continue à le nourrir sans qu’il n’ait plus à fournir aucun effort. Je l’ai appelé Rif, comme la montagne marocaine, et il fut mon seul compagnon tout le temps où dura mon trajet.
Toute cette aventure et la grande solitude dans laquelle elle m’avait plongé me donna tout le temps du monde pour me lancer dans une grande introspection. Je pensais beaucoup à mes enfants, au plaisir que j’aurais de les retrouver, et je pris la décision que ce voyage serait mon dernier.
[Transcription] Rif : Hoot hoot ! Jules LeBris : Je sais, ami strigidé. La chaleur est implacable et notre voyage est long. Jules LeBris : Mais nous devons continuer, car notre survie en dépend ! Jules LeBris : Enfin… La mienne. Je suppose que si le désert devait m’avoir, tu ne te gênerais pas pour te faire un festin… Rif : Hoot !
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mezzopieno-news · 8 months ago
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IL BARBAGIANNI TORNA NELLA PIANURA PADANA
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Il parco Natura Viva di Bussolengo (Verona) ha rilasciato i primi dati del progetto che ha visto l’installazione di dieci nidi tra fienili, sottotetti e antichi edifici della campagna bresciana allo scopo di ripristinare l’habitat del rapace notturno in un territorio dove la sua popolazione è in forte declino. Negli ultimi 30 anni, infatti, il 50% degli esemplari di barbagianni è scomparso dalla pianura padana, soprattutto a causa delle attività agricole.
Dopo aver lasciato agli uccelli il tempo per colonizzare i nidi, i ricercatori hanno analizzato i resti alimentari rinvenuti al loro interno in collaborazione con l’Università di Bologna. Le borre, ovvero i rigurgiti di cibo non digerito, contenevano ossa di storno e ratto bruno, prede compatibili con le abitudini di caccia del barbagianni. “I risultati ci dicono che sono stati tre i nidi frequentati dal barbagianni. E in uno di questi, il sopralluogo di fine anno ha verificato la presenza di una coppia di barbagianni. La previsione è che la stagione riproduttiva imminente possa vedere il ritorno degli stessi e di nuovi esemplari”, ha commentato così i risultati dello studio Cesare Avesani Zaborra, biologo e CEO del parco Natura Viva che prosegue “spesso non serve andare in luoghi lontani del Pianeta. Molti dei nostri territori possono aver bisogno del nostro aiuto”. All’interno dei nidi i ricercatori hanno anche riscontrato tracce della presenza di otto civette e due assioli, altri rapaci tipici della biodiversità della pianura padana.
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Fonte: Parco Natura Viva; foto di Philip Williams from Pixabay
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les-cris-des-fendues · 8 months ago
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Je me suis baladée toute la matinée avec Fenris dans un bouillonnement de sève, d'ardeur, de bleu, de vert et de soleil. Lui il récoltait ses tiques et puces amassées à l'entrée du terrier des renards ou bien fourrées dans les hautes herbes et moi je prenais des photos, dont quelques-unes qui se sont faites toutes seules d'ailleurs comme celle d'en haut. On est bien là, Fenris et moi... Cet endroit nous rend fous de bonheur, à courir partout, à grimper tous les rochers, à s'extasier devant la beauté, la seule qui ne fait pas de manière, à siffler les rapaces pour les faire venir; tiens ce matin, un grand corbeau solitaire suivi de près par un milan royal (lui aussi tout seul, étrange d'ailleurs, ils volent souvent en couple ceux-ci mais peut être qu'il était en chasse pour nourrir la femelle qui couvait) ont rappliqué illico presto, à croquer les fleurs comestibles pour moi, ou le chiendent pour Fenris, à ramasser de tout et n'importe quoi, des cailloux, des bouts de bois, des graines... J'aime le printemps, ici, en Catalogne française. D'ici à un mois, toutes les fleurs auront explosé du rire de leurs couleurs, le muscari, le lin vivace, l'asphodèle, la fleur de bruyère , la lavande vraie ou officinale, celle endémique de la garrigue, l'immortelle, la ciste (ma chouchou), le laurier Tin, la santoline, les orchis et les deux stars que sont le thym et le romarin. J'en oublie bien sûr, pardonnez-moi, mes demoiselles... Tout cela, cette beauté, cette joie qui nous vient, à Fenris et moi, ce calme, ce bien-être sans pareil, ce bain d'arômes, de senteurs, d’effluves, d'images, de vibrations j'aime beaucoup le partager ici avec vous. En toute simplicité.
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Pierre de Corail fossile. Nous sommes à plusieurs centaines de mètres d'altitude et pourtant ici avant, il y a des millénaires en arrière, c'était la mer...
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billetcognitif · 9 days ago
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Rien
Se lever en retard, chaque matin, c’est trop, Ces draps toujours froissés, rien faire comme il faut, Même changer le lit, pas le temps, tout s’emballe. Choisir ses vêtements dans la pile de sale, Penser à la lessive un jour moins haletant, Dans la machine aussi, un tas moisi attend. Quel petit déjeuner ? les placards sont tous vides, Au moins, ça peut aider à être plus rapide Pour attraper le bus, non, encore raté. Chaque rien contribue à tout mal s’emboiter ; Au boulot, ascension de monts de paperasse, Fin de cordée, encerclement par des rapaces. Chaque rien alourdit le ralentissement, Et la pause à sauter se fait en rampement. Rattraper, s’excuser, décider, le temps file, Je cours après moi-même, après rien fois dix mille.
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lumioluna · 25 days ago
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un uomo che abbia il sapore di i'm your man di cohen e it will come back di hozier e black and red dei reignwolf e a love unreal dei black label society e hands up- i love you dei madrugada e rapace degli afterhours ma anche amore fermati di fred bongusto e wicked game di chris isaak e apostle di peter green e pearl jam e soundgarden e nine inch nails ma anche
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