#Histoires Parallèles
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x-heesy · 1 year ago
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𝙸𝚗𝚝𝚘𝚖𝚢𝚜𝚘𝚞𝚕: 𝙿𝚑𝚞𝚌𝚔 𝚢𝚎𝚊𝚑 𝚏𝚛𝚎𝚗𝚌𝚑 𝙴𝚕𝚎𝚌𝚝𝚛𝚘 𝚖𝚞𝚜𝚒𝚌𝚔
Histoires Parallèles (Parallel Stories) by Order89
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French electro playlist:
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 351
Florian contrat (suite) + mon petit beau-frère - 2
Dimanche matin
Je me réveille le premier comme d'habitude. Alors que le reste du lit (PH et Ludovic) dort encore, je fais défiler sur l'écran de la TV les différentes caméras du blockhaus. Je commence par la chambre de João. Elle est vide ! Je m'attendais à la trouver peut être surchargée mais vide, surement pas ! Je bascule directement sur la chambre type refuge de montagne (deux supports de matelas superposés de 6m de long sur 2m de profondeur). Je les trouve tous les 7 (Second, Julien, João, Romain et Florian, Max et Enguerrand) endormis les uns sur les autres. Du coup je recherche le fichier de l'enregistrement de cette chambre (ils se déclenchent automatiquement quand une personne y séjourne, détection de chaleur). Je passe en accéléré. Après notre fin de soirée chaude, je vois João entrer avec mes deux amis et les deux gymnastes tous encore humides et le drap de bain autour des reins en provenance de la salle de bain. Puis je vois l'arrivée des deux gamins. Ils en font un tas (des draps de bain) et envahissent le niveau du bas. Je les vois se câliner gentiment mais sans sexe. Il faut dire que notre séance digestive nous a mis les couilles à plat. Et ils s'endorment plus ou moins collés.
Il est 8h30. Je pénètre la chambre et silencieusement réveille Julien. Comme je vais pour faire de même avec Second, il me dit tout bas de le laisser dormir, il viendra le rechercher ce midi. On glisse hors de la chambre et je l'accompagne à la salle de bain. Petite douche pour achever le réveil et nous montons prendre un café avant qu'il ne parte vite à sa boutique. Comme il monte en voiture, je lui propose, si son apprenti est libre, de revenir avec pour déjeuner. Ce serait un bon moyen de connaitre son " ouverture d'esprit " et puis avec les jeunes qui sont là ce WE, ça fera moins piège. Il part en me disant qu'il allait y réfléchir. Vers 10h les autres sortent des bras de Morphée. Second me reproche de ne pas l'avoir réveillé en même temps que son mec. Mais quand je lui dis que peut être Julien nous rejoindra pour déjeuner avec son apprenti, il me dit que j'ai fait fort s'il le ramène. Petit déjeuner et matinée de sport. Alors que nous sommes quelques-uns à aligner des longueurs, Second et les deux gymnastes regardent comment ils pourraient intégrer leurs agrès sans prendre plus de place que nécessaire. Quand je sors de l'eau, ils ont des idées à me proposer. Les barres parallèles peuvent prendre place au bout du tatami coté sortie du garage. L'élément pourra toujours être déplacé dans le cas où un Fenwick serait nécessaire pour déplacer les arbres en bac. Quant aux anneaux, comme leur support doit être spité au Blockhaus, c'est à l'opposé par rapport au bassin qu'ils seraient les moins gênants. Je valide et il ne reste plus qu'à attendre les livraisons. Romain et Florian travaillent leur souplesse au sol alors que nous autres on pousse un peu de fonte, juste histoire de gonfler légèrement nos muscles. 12h30 : je pousse le groupe à aller se doucher et se vêtir un minimum au cas où l'apprenti serait des nôtres. Ça se limite quand même à un short + un t-shirt ou un marcel selon. Evidemment Max et Enguerrand enfilent leurs shorts hyper moulants, véritables appels au viol ! 13h15 : nous sommes prêts et attendons avec impatience le retour de Julien. 13h30 : sonnette, Julien est à la porte. J'ouvre qu'il puisse entrer la voiture. J'ai vu que la place du mort était occupée mais je ne dis rien aux autres. Ce n'est que quand le monte-charge s'ouvre que mes comparses voient qu'il est accompagné. Le jeune homme est encore mieux en vrai qu'en photos. Il est intimidé et ses yeux tournent pour ne pas se fixer sur quelque chose ou quelqu'un en particulier. Jusqu'à ce qu'il voit la piscine au-dessus de la cuisine.
Julien lui prend le bras et le pousse en avant pour présenter Nathan à ceux qui ne le connaissent pas. Les plus âgés (dont je fais partie) lui claquent une bise sur la joue comme mes escorts. Par contre Max et Enguerrand ne se gênent pas et directs posent leurs lèvres sur les siennes. Je ne sais si c'est à cause de la surprise ou s'il aime ça mais il ne recule pas en hurlant au viol. Très naturellement nous embrayons sur les clients de la matinée. Julien nous demande ce que nous avions fait en les attendant. Pendant ces échanges, je mate son apprenti. Pour son âge, il est déjà bien bâti. Un petit mètre 80, larges épaules, petit cul mais cuisses épaisses qui remplissent son jeans slim. Tête avec cheveux blond coupés footeux, ses lèvres rose vif sont pulpeuses sans tomber dans le vulgaire. Comme je sers les apéros, Max et Enguerrand le prennent en charge et je tends l'oreille pour saisir leur aparté.
Ils lui demandent dans quel lycée professionnel il est, pourquoi il avait changé de maître d'apprentissage, s'il se sentait bien chez Julien. Il n'a pas le temps de répondre qu'une autre question arrive. Il demande un temps mort et commence à répondre. Il cite un lycée qui n'est pas très éloigné de celui de Max, la raison de son changement est que son ancien patron lui avait fait des avances mais qu'il était vieux et vraiment repoussant pour qu'il accepte. Oui il était bien chez Julien, le travail est très intéressant et il apprend beaucoup en technique. Julien lui demande aussi de travailler sa créativité et ça il aime, même s'il se plante régulièrement. C'est Enguerrand qui relance le côté " sexe ". Il lui dit qu'en plus, contrairement à son ancien patron, Julien est jeune et suffisamment canon pour... il laisse la phrase mourir.  C'est Nathan qui conclut en leur disant que oui mais il est casé avec Dorian. Max et Enguerrand sont surpris, c'est vrai qu'ils ne le connaissent que sous le surnom de Second. Ils mettent un peu de temps à réagir jusqu'à ce que Nathan leur montre l'ancien apprenti maçon. En attendant ça sent bon tout ça ! Je finis de servir les verres, il accepte un petit Martini avec plein de glaçon, comme les garçons. PH lui demande d'où lui est venue la vocation. Il se dévoile un peu et nous dit que sa mère est cuisinière et à la maison il l'aide depuis qu'il peut tenir un bol. Moi je lui demande ce qu'il a fait pour avoir cette carrure à son âge. Il me sourit (et il a un très beau sourire) et me dit que depuis tout petit il fait du foot en club mais que depuis son début d'apprentissage il a du mal à en faire régulièrement. Alors, si c'est pour rendre service ! Je n'attends pas l'accord de Julien et lui dis que s'il le veut il pourrait venir faire du sport avec nous tous dans la mesure où ses horaires le permettraient. Ce qu'il y a de bien avec nous c'est que les entrainements se font plutôt en début de soirée qu'en fin d'après-midi. Là je me tourne vers Julien et lui demande si ça pourrait le faire qu'il s'entraine avec Max et Enguerrand. Sans m'engueuler il me dit que je ne perds pas de temps. Je fais l'innocent et lui dis que c'est juste pour rendre service. Il en est content de son apprenti, donc il peut lui faciliter la vie aussi. Il convient qu'il a trouvé avec lui, un futur bon second. Le rouge monte aux joues de notre jeune invité !
Nous passons à table. La vue de Samir et Ammed trouble un peu plus Nathan. Et si je me fie au gonflement de sa braguette, le trouble est plutôt positif pour nous ! On fait tous semblant de ne pas s'en apercevoir pour ne pas le mettre mal à l'aise. Si la conversation commence sur son cursus théorique et pratique, nous passons vite à un sujet plus intéressant lui. Après deux verres de vin, il se lâche un peu plus. Surtout on en apprend plus sur son année passée. Il commence soft mais fini par tout nous raconter. Je pense qu'il avait gardé cela en lui jusqu'à aujourd'hui. Au début son maître d'apprentissage paraissait bien. Bonne boutique avec une réputation de qualité, la sélection avait été dure pour obtenir le poste. Mais cela s'était vite dégradé. En fait le type voulait plus un esclave qu'un apprenti. Il l'avait logé dans un taudis plus qu'une chambre, avec juste un lavabo et l'eau froide. Il ne lui laissait qu'un WE sur deux, une véritable exploitation ! Il avait eu du mal à en parler à son professeur principal et c'est après qu'il avait débarqué chez Julien. Le prof principal étant un ami de ce dernier. Julien comprend mieux le comportement du " petit " dans les premières semaines. Mais comme cela s'était " normalisé " il n'en avait plus fait cas. Comme il est à coté de Nathan, il passe son bras derrière son cou et l'attire vers lui pour lui ébouriffer les cheveux et lui claquer un gros bisou sur la joue. Nathan se laisse faire et nous dit que c'est bon maintenant. Son nouveau patron est trop bien et en plus qu'il soit homo le rassurait lui. Max et Enguerrand sortent de table et vont l'entourer. Il craque et, avec quelques larmes aux yeux, il les serre contre lui. Pas de gêne entre nous. Si pour moi le passage à l'état de PD s'était super bien passé avec Marc, je sais que ce n'est pas le cas de tous. PH à morflé lui aussi ! Quand ils se décollent, Ludovic lui prend le bras et lui dit " bienvenue parmi nous ! ". Un petit sourire contrit lui répond. Puisque ça part comme ça je prends les choses en main. J'impose à Julien de libérer Nathan pour les deux séances de sport hebdomadaires. Florian qui n'avait jusque-là rien dit me propose de le véhiculer les soirs en question. Julien le remercie mais nous dit que cela ne leur fera pas de mal à lui et à Dorian (Second) de reprendre le sport un peu plus sérieusement. Il m'assure qu'il y aura toujours l'un deux pour faire les conduites. Florian m'a l'air un peu déçu. Je le chauffe en lui disant qu'il le retrouvera sur le tatami notre nouvel ami. Du coup c'est lui qui pique un fard ! Le déjeuner se termine dans la bonne humeur et le café pareil. Alors qu'on discute entre nous, Max et Enguerrand me demande l'autorisation de faire visiter les installations sportives à leur nouveau copain.
Ils disparaissent plus d'une heure et nous reviennent tous les trois un peu, non franchement rouges. Florian fait la gueule ! En attendant il est décoincé notre Nathan. Il est beaucoup plus bavard et déjà il est en train de planifier son programme avec nos deux jeunes. Je l'attrape par le cou, le fait venir jusqu'en face de moi et lui demande ce qu'il croit. Qu'il va peut-être faire ce qui lui chante ? Il ne comprend pas. Quand je lui explique qu'on a plusieurs coaches sportifs qui vont s'occuper de lui, il commence à saisir. Julien rit devant sa tête effarée. Il lui dit de se préparer à des journées doubles s'il veut suivre ses nouveaux copains. Le dimanche se fini dans la bonne humeur et quand ils repartent tous, je vais dans notre chambre trouver l'enregistrement qui devrait me renseigner sur l'heure manquante. Je repère le trio dans la cour puis au second dans la salle de sport. Mais c'est dans les douches, en revenant de lui avoir montré la piscine que mes deux jeunes l'on coincé/entrepris. Le dos bloqué par Max, Nathan s'est laissé embrasser par Enguerrand. Puis j'ai vu mes deux gamins lui faire la totale. Alors qu'Enguerrand soulevait son T-shirt pour lui manger les tétons, Max embrassait son cou et lui mordillait les oreilles. Puis ils l'ont coincé contre le mur carrelé avec toujours Max à lui rouler un patin et Enguerrand à descendre d'un étage de plaisir. Sans dégager plus que son service trois pièces, je le vois entamer une pipe de pro. Le sexe du petit nouveau disparait totalement dans la bouche de mon petit beau-frère. Mais comme il sait faire des gorges profondes, ça ne m'indique pas la taille de Nathan. Ils en resteront là pour cette fois, amenant leur nouveau camarade de jeu à l'éjaculation totale.
Et malgré le coup d'eau sur leurs figures, ils avaient encore chaud quand ils nous avaient rejoints. Je remonte au 4ème et attrape les deux " fautifs ". Ils avouent sans que je leur demande que, oui, ils n'avaient pu se retenir de voir s'ils pouvaient décoincer un peu Nathan. Et Max de me rappeler qu'à leur retour, ce dernier était beaucoup plus disert. Je demande à Enguerrand, puisque c'est lui qui avait eu le " matériel " de Nathan en bouche de me l'estimer. Réponse : 18/19 x 4,5/5 avec de belles couilles même si elles étaient invisible sous les poils. Ça promet, même si sa croissance est quasiment terminée. Julien m'appelle quand ils sont arrivés chez eux. Dans la voiture, ils ont beaucoup discutés avec Nathan. Il leur a avoué qu'il s'était laissé sucer par Enguerrand et que s'ils étaient d'accord, il aimerait bien les revoir lui et Max. Je l'annonce à nos deux gamins que je n'ai pas encore raccompagnés. Ils sautent de joie, Nathan leur plait beaucoup. Je reprends ma conversation avec Julien. Il me dit que Nathan était entré dans les détails de son apprentissage précédent et qu'il le comprenait bien mieux maintenant. Son ancien patron était un gros porc d'hétéro qui avait deviné que Nathan était homo et avait voulu en profiter. Il lui faisait du chantage pour ses évaluations, il le coinçait régulièrement dans le labo et frottait son sexe contre son cul. Enfin l'enfer quoi ! Et ç'avait été jusqu'au viol. Je lui dis que Nathan avait dû apprécier le respect avec lequel il l'avait traité. Puisque sans se cacher qu'il vivait avec Second et qu'il n'avait jamais eu un geste déplacé. Il me répond que c'est justement ce qui l'avait fait accepter mon invitation à déjeuner. Mais il craignait maintenant qu'il soit pris pour une salope d'avoir cédé aussi vite à mes deux petits. Comme je lui dis que j'espère qu'il l'a détrompé sur ce dernier point, il me dit que oui, qu'il l'avait assuré qu'il n'avait choqué personne chez nous. J'ajoute que nos cours de self défense devraient lui donner de l'assurance et surtout il saura après mettre KO le moindre mec qui voudrait profiter de lui. Là-dessus, Julien est d'accord que ça ne lui fera pas de mal.
Le mardi suivant ils sont tous les trois pas trop en retard. Par contre ils sont les derniers et le blockhaus bruisse de toute l'activité d'une bonne 20aine de mecs en tenue de sport (enfin la mienne) ! Max et Enguerrand prennent Nathan en charge. Ils lui passent un short complet aussi étroit que les leurs. Quand ils nous le ramènent il se fait siffler par tous les mecs présents. Quand il arrive devant moi, il est tout rouge. J'appelle Jona et lui présente le dernier arrivé. Il devine que c'est un footeux et pas à sa tête mais à ses cuisses puissantes. Il tourne autour de lui, passe ses mains sur son torse, ses bras et lui dit qu'il va falloir travailler tout ça. Il le questionne sur sa pratique sportive at pousse Clem du banc de développé couché pour le tester. Il note les poids soulevés et le fait passer sur plusieurs postes avant qu'Anthony le prenne en charge. Max cours lui chercher un maillot et le fait se changer au pied du bassin. Ses petites fesses blanches provoquent de nouveau sifflets admiratifs. Dans l'eau il se débrouille bien en brasse et crawl. Quand il entend notre maitre-nageur l'informer qu'il va devoir se mettre au papillon, car ça développe bien le torse, il se demande où il est tombé. Je le sort de l'eau et le pousse vers le tatami. João est en train de s'entrainer avec François. Nathan est fasciné par les mouvements des combattants. Je lui prends le bras et à l'oreille lui glisse que quand il aura appris à se défendre comme nous tous, il sera à l'abri de tous les cons de la terre. Il comprend que Julien m'a parlé. Il se tourne vers moi et je vois ses yeux légèrement humides. Je passe mon bras sur ses épaules, le serre contre moi et lui dit qu'avec nous, il est en sécurité. J'ajoute en riant que le seul risque c'est qu'il se laisse séduire par mes amis. Je vois apparaitre un sourire et il m'assure qu'heureusement qu'il est stressé sinon il banderait comme un chien en rut. J'arrête les combattants et leur pousse Nathan. J'avise João que c'est un béotien question sport de combat. Je reste à mater l'entrainement. João lui apprend à tomber sans se faire mal. Pendant 3/4 d'heure, il tombe, tombe et retombe jusqu'à ce qu'il prenne le pli. Avant la fin, Max et Enguerrand sont arrivé voir les progrès. Ils le félicitent et l'embarquent pour aller se doucher. Je vais me doucher à mon tour mais ne les trouve nulle part. Ils reviennent tous sourires et tous propres du 3ème. Florian fait encore une fois la gueule !    
Jardinier
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coovieilledentelle · 1 month ago
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Dans le célèbre langage des fleurs, le mimosa est chargé de symboles : la sensibilité, la tendresse, la certitude, l'élégance. Mais, le plus répandu est celui de l'amour secret .
De toute évidence, les abondants pompons dorés du mimosa lui valent d’être comparé au soleil. Un parallèle plutôt flatteur pour cet arbre, dont on dit qu’il serait un symbole d’affection, de chaleur humaine et de joie. Offrir du mimosa est donc une attention remplie de tendresse. C’est un signe d’amitié et de profonde estime envers son destinataire. Gorgé de lumière, le mimosa se prête également très bien aux gestes de réconfort adressés à quelqu’un qui traverserait une période difficile.
Lorsqu’il apparaît dans les rêves, le mimosa est porteur d’un message rassurant. Il vient dire au songeur ��Tout va bien, tu es en sécurité”.
En Italie, le mimosa est traditionnellement offert à la gent féminine le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Mais par-dessus tout, le mimosa est un symbole d’ouverture. Il est particulièrement conseillé aux personnes introverties ou timides, qui ont tendance à se replier sur elles-mêmes et peinent à nouer des liens avec les autres.
Le mimosa est préconisé pour amener de l’harmonie dans les relations. Lorsqu’une personne éprouve de la difficulté à s’ouvrir aux autres, elle peut parfois adopter une attitude hostile, comme une carapace qui la protègerait d’un éventuel rejet tout en le provoquant. Ce cercle vicieux entraîne un isolement qui peut être difficile à vivre, et celui ou celle qui le subit n’a souvent qu’une envie : s’en défaire.Grâce à son aura solaire, le mimosa aide à voir le monde d’un autre œil, à retrouver la joie de vivre et le mordant qui nous fait parfois défaut. Pour transformer les plus gros ronchons en joyeux lurons, il faudra sans doute plus que quelques branches de mimosa, mais c’est un premier pas ! … Voilà la petite histoire
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vanam0nde · 4 months ago
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La Société Surnaturelle
J'avais dit que ce blog me servirait pour mes dessins et peut-être mes écrits, alors let's go.
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Plus tôt dans l'année, j'avais dessiné une présentation de l'univers de mon roman (pour le concours BigBang...qui n'ont pas réalisé à quel point c'était une idée géniale, je suppose) et depuis je continue de m'en servir comme support visuel quand c'est demandé par certains éditeurs.
Alors la Société Surnaturelle, qu'est-ce que c'est?
En gros, c'est la trame principale où se déroulent mes histoires. Une sorte d'endroit magique/chaotique où se regroupent les monstres et autres créatures surnaturelles. Certains pensent que c'est un monde parallèle; je dirais davantage "perpendiculaire", puisqu'il n'y a pas de frontière précise, et que, comme dessiné, plus on s'y enfonce, plus il est difficile d'en sortir. Les rues les plus proches du "monde réel" ressemblent aux nôtres, et ensuite, ça devient n'importe quoi.
Outre les monstres, les humains ayant des capacités magiques vont graduellement s'y rendre, sans forcément s'en rendre compte, par instinct. Mais la Société piège aussi les humains perdus ou déstabilisés, qui ne savent pas ce qui leur arrive. Et, pour eux, la situation est plus dangereuse...
Quelques descriptions de la Société Surnaturelle par les yeux de différents personnages:
"Lorsqu’il était entré dans la maison, le temps était couvert, des nuages bas qui masquaient presque la nuit tombante. À présent, les cieux étaient clairs, et parés de tant d’étoiles qu’on se serait cru non pas en plein jour, mais dans l’antre d’un faiseur de chandelles. Juste en dessous, l’œil remarquait ensuite les lampadaires aux verres colorés, trop nombreux eux aussi, et, encore plus bas, les badauds qui se pressaient dans la rue."
"La rue semblait avoir été construite sur le lit d'une ancienne rivière, en respectant ses méandres et ses tumultes. De grandes maisons s’affaissant sous leur poids penchaient en avant dans la rue, comme des commères se racontant leurs secrets. Des échafaudages, des panneaux de bois, si anciens qu'ils auraient pu jouer le rôle de lierre grimpant, agrippaient les murs et contribuaient à rétrécir encore l'espace où l'on était sensé marcher."
"L’odeur de la ville est toujours la même, mais avec une subtile différence, moins humaine. Plus monstrueuse. La même qu’il perçoit parfois lors de ses chasses, dans les endroits les plus reculés. Les bruits étouffés par les brumes lui parviennent déformés, comme au bout d’un long tuyau de cuivre. Il se méfie, mais en même temps se délecte de cette part d’étrangeté. Une part de lui-même a l’impression de retrouver un endroit familier."
A suivre: les humains, les chevaliers, et les anges.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Dans le célèbre langage des fleurs, le mimosa est chargé de symboles : la sensibilité, la tendresse, la certitude, l'élégance. Mais, le plus répandu est celui de l'amour secret .
De toute évidence, les abondants pompons dorés du mimosa lui valent d’être comparé au soleil. Un parallèle plutôt flatteur pour cet arbre, dont on dit qu’il serait un symbole d’affection, de chaleur humaine et de joie. Offrir du mimosa est donc une attention remplie de tendresse. C’est un signe d’amitié et de profonde estime envers son destinataire. Gorgé de lumière, le mimosa se prête également très bien aux gestes de réconfort adressés à quelqu’un qui traverserait une période difficile.
Lorsqu’il apparaît dans les rêves, le mimosa est porteur d’un message rassurant. Il vient dire au songeur “Tout va bien, tu es en sécurité”.
En Italie, le mimosa est traditionnellement offert à la gent féminine le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Mais par-dessus tout, le mimosa est un symbole d’ouverture. Il est particulièrement conseillé aux personnes introverties ou timides, qui ont tendance à se replier sur elles-mêmes et peinent à nouer des liens avec les autres.
Le mimosa est préconisé pour amener de l’harmonie dans les relations. Lorsqu’une personne éprouve de la difficulté à s’ouvrir aux autres, elle peut parfois adopter une attitude hostile, comme une carapace qui la protègerait d’un éventuel rejet tout en le provoquant. Ce cercle vicieux entraîne un isolement qui peut être difficile à vivre, et celui ou celle qui le subit n’a souvent qu’une envie : s’en défaire.Grâce à son aura solaire, le mimosa aide à voir le monde d’un autre œil, à retrouver la joie de vivre et le mordant qui nous fait parfois défaut. Pour transformer les plus gros ronchons en joyeux lurons, il faudra sans doute plus que quelques branches de mimosa, mais c’est un premier pas ! … Voilà la petite histoire
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ilballodellavitarpg · 2 months ago
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𝔄𝔱𝔥𝔢𝔫𝔞𝔢𝔲𝔪 𝔉𝔩𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔞𝔢
L’Athenaeum Florentiae est bien plus qu’un pensionnat universitaire. Situé au cœur de Florence, cet établissement majestueux allie l’excellence académique à une atmosphère imprégnée de secrets et de traditions séculaires. Ses salles de cours, ses cloîtres ombragés, et ses bibliothèques labyrinthiques évoquent un passé riche d’érudition, tandis que ses dortoirs et espaces communs encouragent une vie communautaire intense.
C'est une institution prestigieuse, conjuguant son passé glorieux et ses ambitions modernes. Ses bâtiments principaux sont disséminés à travers la ville : des ailes modernes en verre et en acier jouxtent des structures historiques de la Renaissance, ornées de fresques dégradées et de colonnades dépassant les siècles.
Les départements sont organisés selon une hiérarchie implicite : les sciences humaines et l’histoire de l’art, installées dans des cloîtres médiévaux réhabilités, rayonnent d’un charme suranné, tandis que les sciences exactes et les disciplines modernes occupent des infrastructures flambant neuves, souvent associées aux investissements des Dei Medici.
Les bibliothèques de l’université sont des lieux emblématiques : la Bibliothèque Laurentienne, où le silence est presque sacré, préserve des manuscrits rares et des ouvrages anciens, tandis que des espaces dédiés aux recherches actuelles offrent des outils technologiques avancés.
L’Université Athenaeum Florentiae n’est pas qu’un espace d’étude : c’est un véritable lieu de vie. Ses annexes et galeries abritent des cafés, des marchés éphémères, et des espaces ouverts où étudiants, professeurs et auditeurs libres se croisent. Cette effervescence en fait un microcosme social où l’apprentissage et les échanges se mêlent à une dynamique communautaire unique
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𝔦𝔩 𝔰𝔦𝔰𝔱𝔢𝔪𝔞 𝔰𝔠𝔬𝔩𝔞𝔰𝔱𝔦𝔠𝔬
Entrée à l’Université
L’admission à l’Université Athenaeum Florentiae repose sur un processus rigoureux. Les candidats doivent soumettre un dossier académique exemplaire, accompagné d’une lettre de motivation manuscrite, un vestige des pratiques anciennes préservées par l’institution. Des entretiens individuels permettent à un jury composé de professeurs et d’administrateurs de jauger les motivations et la profondeur intellectuelle des postulants.
Chaque année, un pourcentage restreint de places est réservé à des boursiers Di Michelangelo, souvent recrutés parmi des profils atypiques mais prometteurs. Parallèlement, les Dei Medici influencent indirectement l’admission en favorisant les candidats issus de partenariats avec leurs entreprises ou institutions affiliées.
L’université encourage également la participation d’auditeurs libres et d’étudiants adultes, offrant des cours du soir et des programmes adaptés. Les Di Michelangelo financent une initiative dédiée, permettant à des individus en reconversion ou à des passionnés d’art et de culture de suivre des parcours choisis sans barrière économique. Cette ouverture renforce le rôle social de l’université et favorise la diversité intellectuelle.
Les Cursus Proposés
L’Université offre une vaste gamme de cursus, alignés sur le système italien :
Laurea Triennale (3 ans) : une formation initiale équivalente à une licence, axée sur l’acquisition de bases solides dans une discipline choisie.
Laurea Magistrale (2 ans) : un approfondissement équivalent à un master, offrant des spécialisations avancées et une ouverture vers la recherche ou la professionnalisation.
Dottorato di Ricerca (3 à 5 ans) : un programme doctoral exigeant, centré sur la réalisation d’une thèse et de travaux de recherche originaux. Spécialisations :
Les Arts et Sciences Humaines : Histoire de l’art, Philosophie, Littérature et Langues anciennes. Ces disciplines sont fortement associées aux Di Michelangelo, qui soutiennent l’idée que la culture et l’érudition doivent demeurer au cœur de la société.
Les Sciences Exactes et Techniques : Ingénierie, Mathématiques, et Sciences informatiques. Ces cursus bénéficient des infrastructures modernisées par les Dei Medici et attirent les meilleurs talents grâce à leurs partenariats internationaux.
Les Sciences Politiques et Sociales : Une discipline stratégique où s’opposent les influences des deux sociétés. Les cours abordent aussi bien la diplomatie que les théories critiques, reflétant l’ambivalence intellectuelle de l’université.
Chaque programme est ponctué de projets collaboratifs, de colloques académiques, et de stages pratiques étroitement liés aux cercles d’influence des étudiants.
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𝔪𝔦𝔱𝔦, 𝔪𝔦𝔰𝔱𝔢𝔯𝔦 𝔢 𝔱𝔯𝔞𝔡𝔦𝔷𝔦𝔬𝔫𝔦
Au-delà de l’université visible, une infrastructure secrète nourrit les légendes qui entourent l’établissement. Des passages dissimulés derrière des bibliothèques et des escaliers dérobés mènent à des salles interdites : une ancienne crypte utilisée pour des réunions clandestines, une salle de dissection abandonnée au XIXᵉ siècle, ou encore un observatoire oublié dans une tour effondrée.
Le Rituel de l'Admission (rentrée scolaire) Chaque nouvel étudiant est conduit à minuit dans la cour principale, où il doit lire à voix haute une citation choisie d’un manuscrit ancien conservé par l’université. On dit que la phrase choisie oriente tout son futur, tant personnel que professionnel. C'est la première impression, qui condamne ou qui encense un futur étudiant.
La Nuit des Portes Fermées (janvier) Une fois par an, l’université coupe toute communication extérieure. Les étudiants doivent alors résoudre une série d’énigmes disséminées dans l’établissement. Cette nuit permet d'imaginer qui sera le prochain major de promotion, et d'offrir des avantages non négligeables au vainqueur, comme un appartement privé. Celui ci peut être conservé tout le cursus scolaire
Les Clés de l’Héritage Certains professeurs, proches des Di Michelangelo ou Dei Medici, distribuent des "clés symboliques" aux étudiants les plus brillants ou audacieux. Ces clés ouvriraient des portes vers des salles renfermant des archives précieuses, des instruments d’études étranges, voire des vérités sur l’histoire de l’université elle-même. En réalité, personne ne sait réellement ce qu'elles contiennent.
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𝔳𝔦𝔱𝔞 𝔲𝔫𝔦𝔳𝔢𝔯𝔰𝔦𝔱𝔞𝔯𝔦𝔞 Les journées commencent tôt à l’université, marquées par des cours intensifs et des conférences passionnantes. Les étudiants, vêtus d’un uniforme sobre mais élégant, se déplacent dans les couloirs silencieux, leurs chaussures résonnant sur le marbre usé par des générations précédentes.
La vie nocturne, cependant, dévoile un tout autre visage. Des cercles de lecture confidentiels se réunissent dans des cryptes, tandis que certains étudiants organisent des duels rhétoriques dans la cour principale. Pour les plus aventureux, des soirées privées au goût luxurieux se déroulent en toute intimité. Dans les dortoirs, des alliances se forment, et des intrigues se tissent, alimentées par des correspondances clandestines et des secrets arrachés sous le sceau de la confidence. Vie en communauté
Les dortoirs de l’Athenaeum Florentiae sont conçus pour encourager l’interdisciplinarité et les échanges entre étudiants. Chaque chambre regroupe cinq résidents, soigneusement choisis pour représenter la diversité des cursus de l’université. Ce mélange n’est pas laissé au hasard : l’administration souhaite que cette cohabitation inspire des débats intellectuels et des projets collaboratifs, bien que ces intentions se heurtent parfois à des personnalités incompatibles ou des tensions inévitables.
Les Chambres Partagées Chaque étudiant dispose d’un lit individuel niché dans une alcôve de pierre ornée de rideaux épais, permettant un minimum d’intimité. Les alcôves sont encastrées dans les murs, créant une atmosphère de cocon où les étudiants peuvent se réfugier avec leurs livres ou leurs pensées. Un bureau personnel, souvent encombré de notes griffonnées et d’objets de curiosité, complète l’espace de chaque occupant.
Les murs des dortoirs sont un mélange d’enduit ancien et de boiseries sombres. Certaines chambres conservent des fresques effacées par le temps, tandis que d’autres arborent des messages gravés par des générations passées d’étudiants, parfois cryptiques, souvent mystérieux. Les fenêtres hautes, protégées par des vitraux décolorés, diffusent une lumière douce, insufflant une ambiance feutrée aux lieux. La Salle Commune Au centre des dortoirs, une petite salle commune est partagée par les cinq résidents. Ce salon, à l’architecture aussi élégante qu’usée, est le véritable cœur des interactions. Une cheminée massive en pierre y trône, entourée de fauteuils dépareillés et d’un divan râpé mais incroyablement confortable. Les étagères croulent sous les livres abandonnés par d’anciens occupants, mêlant traités philosophiques, journaux de recherche et romans poussiéreux.
Sur une vieille table basse en marbre ébréché traînent souvent des tasses de café oubliées, des échecs inachevés ou des papiers couverts de croquis. C’est dans cet espace que les étudiants discutent de leurs cours, confrontent leurs idées ou, parfois, règlent leurs différends dans des éclats de voix étouffés par les murs épais.
L’espace commun, tout comme les dortoirs eux-mêmes, semble vivre une vie propre. Les étudiants affirment entendre des bruits au-dessus du plafond ou derrière les murs, comme si d’anciens occupants veillaient encore sur eux. Dans certains coins, les boiseries dissimulent de petites cachettes, où sont parfois retrouvées des lettres jaunies, des carnets de notes codés, ou des objets étranges laissés là depuis des décennies.
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raisongardee · 2 years ago
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"Comble de la disgrâce, une "école parallèle", selon l’expression du sociologue Georges Friedmann, s’immisce dans l’intimité familiale par l’intermédiaire du poste de télévision qui s’arroge aussitôt l’une des plus anciennes prérogatives du père qui était d’être, sous son toit, le haut-parleur du monde, l’intercesseur privilégié entre le dedans et le dehors, le forain et l’intime. Au modèle d’identification paternel qui avait fonctionné pendant des millénaires succède l’empyrée cathodique des héros de feuilleton télévisé, des animateurs et des chanteurs de variété qui s’offrent au regard des jeunes comme autant de pères électifs décidément plus gratifiants que ceux que la nature leur a donnés. Le magistère des "étranges lucarnes" est tel que les choses ne sont plus vraies parce que c’est le père qui l’a dit mais parce qu’on l’a vu ou entendu à la télé. Qui n’a pas vécu ces années-là dans une cours de collège ou de lycée ne peut imaginer à quel point la télévision a pu façonner les comportements des teenagers et leur faire adopter, sans la moindre résistance, de nouveaux codes sociaux en comparaison desquels les valeurs patriarcales étaient brusquement frappées d’obsolescence et devenaient, à tout le moins, suspectes de passéisme."
Patrick Buisson, La fin d’un monde. Une histoire de la révolution petite-bourgeoise, 2021.
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kilfeur · 7 months ago
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La nuance du conflit entre le paradis et l'enfer (The nuance of the conflict between Heaven and Hell)
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Y a quelque chose que j'apprécie dans le conflit c'est que ça apporte son lot de nuance. Au premier abord, on pourrait voir comme une énième histoire "le paradis est mauvais et l'enfer est bon". Mais je trouve que c'est quand même un peu plus complexe. Sera est un bon exemple de cette nuance. Elle tient à la sécurité du paradis et pense que sa solution d'exterminer les pêcheurs est la bonne solution. Elle dit plusieurs fois de ne pas poser de questions. Car la dernière fois que quelqu'un s'est rebellé, c'était Lucifer et elle était témoin de ça. Je me demande comment était la relation entre ces deux là. Sera est l'opposé de Lucifer, elle sait ce qui ce qui se passez chez elle et a une relation amicale avec Emily, qu'elle apprécie et se soucie d'elle. Mais pour la préserver de certaines vérités, elle lui cachera la vérité concernant l'extermination.
Contrastant avec Lucifer qui a été absent, délaissant l'enfer et son statut de roi à cause de sa dépression Et il est contre l'idée de sa fille pour éviter qu'elle vive la même chose qu'il a vécu par le passé. Emily et Charlie se contrastent aussi, Charlie est pleinement consciente de la situation de l'enfer et au début idéalise le paradis avant de comprendre ce qu'il en retourne vraiment. Emily n'a pas vraiment d'animosité envers l'enfer, les démons voir même les pêcheurs. Mais elle est ignorante concernant les décisions que prennent le paradis pour l'enfer. Elle espérait que Sera soit dans l'ignorance mais non. On pourrait avoir un scénario où justement Emily soit déchue et tombe en enfer. Mais je pense que ce serait plus intéressant si elle change les choses de l'intérieur, avec l'aide de Sir Pentious, qui est la preuve que les pêcheurs peuvent se repentir. Ce serait un parallèle avec Charlie avec son Hazbin Hotel qui souhaite repentir les pêcheurs et Emily qui essaie justement d'ouvrir les yeux des habitants du Paradis.
Quand à Sera, je la vois pas foncièrement méchante, ses intentions sont compréhensibles mais ce sont ses méthodes qui sont mauvaises. On ne sait pas vraiment qui amène les âmes aux Paradis ou bien ce sont les âmes qui font le chemin tout seul entre le paradis et l'enfer. Et Sera pourrait se questionner sur les choses qu'elle a apprit, elle pourrait douter sur ce qu'elle croit. Je pense qu'elle sait bien qu'on ne le laisse le croire. Dans la chanson "Tu ne le savais pas" elle dit à Charlie qu'elle se bat pour une noble cause mais qu'elle ignore tant de choses. Donc y a encore de choses à découvrir.
One thing I like about conflict is that it brings its own nuance. At first glance, it might seem like the umpteenth "heaven is bad and hell is good" story. But I think it's a bit more complex. Sera is a good example of this nuance. She wants heaven to be safe, and thinks her solution of exterminating the sinners is the right one. She says several times not to ask questions. Because the last time someone rebelled, it was Lucifer and she witnessed it. I wonder what the relationship between these two was like. Sera is the opposite of Lucifer, she knows what's going on In Paradis and has a friendly relationship with Emily, whom she likes and cares about. But to protect her from certain truths, she hides the truth about the extermination from her.
Contrasting with Lucifer who has been absent, forsaking hell and his status as king because of his depression And he is against the idea of his daughter to avoid her experiencing the same thing he has in the past. Emily and Charlie also contrast, Charlie being fully aware of the situation in hell and initially idealizing paradise before understanding what it's really like. Emily has no real animosity towards hell, demons or even sinners. But she is ignorant of the decisions heaven makes for hell. She'd hoped Sera would be in the dark, but no. We could have a scenario where Emily falls into hell. But I think it would be more interesting if she changed things from the inside, with the help of Sir Pentious, who is proof that sinners can be redeemed. It would be a parallel with Charlie and his Hazbin Hotel, who wants to repent the sinners, and Emily, who is trying to open the eyes of the residents of Heaven.
When it comes to Sera, I don't see her as inherently evil, her intentions are understandable but it's her methods that are bad. We don't really know who brings souls to Heaven, or whether it's the souls who make their own way between Heaven or Hell. And Sera might question the things she's learned, she might doubt what she believes. I think she knows better than to let us believe it. In the song "You didn't know" she tells Charlie that she's fighting for a noble cause, but there's so much she doesn't know. So there's more to discover.
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chifourmi · 8 months ago
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J'ai vu Apo hier et c'est dingue comme on a vécu la même chose en parallèle! Elle a aussi vécu une histoire pas folle du tout (pire que moi, le gars était toxique à mort) avant de se remettre sur une app de rencontre puis de rencontrer un gars adorable. Et elle a les mêmes réflexions que moi. C'est pas trop beau pour être vrai? Il existe des gars vraiment bien? Elle est où la couille? Limite on se demande si le gars n'est pas trop bien pour nous et on en vient même à se demander parfois si on mérite ça?? Puis on s'est dit que maintenant qu'on était dans quelque chose de sain, on arrivait pas à croire qu'on ait pu accepter des comportements de merde pareils?! Comment on a pu accepter d'être traitées autrement que comme on est traitées là maintenant?? On ne s'est tellement pas respectées!!
Son gars aussi la prévient à chaque fois qu'il ne pourra pas répondre tout de suite pcq il sera occupé. C'est adorable et je suis tellement contente pour nous parce que OUI en vrai on le mérite tellement!! Apo est aussi hypersensible et elle a un cœur gros comme ça. Elle a de l'amour à donner et à recevoir. Je lui souhaite tellement d'être heureuse aahhh elle le mérite trop
(16/06/2024)
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thebusylilbee · 5 months ago
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"L’absence de réaction de l’Occident face aux actions israéliennes et aux dizaines de milliers de civils tués se situe au-delà du double standard dénoncé depuis des mois. Il s’agit bien de complicité active de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis par un État voyou.
La rapidité et la violence des bombardements sur Beyrouth créent une forme de sidération, au Liban comme ici. Et la litanie des morts sans nom et sans sépulture, souvent civils, qui s’amoncèlent sous les frappes prétendument ciblées de l’armée israélienne, possède désormais un effet anesthésiant.
Comme le notait l’historien Vincent Lemire le 4 septembre au micro de France Inter, quelques jours avant l’offensive sur le Sud-Liban et Beyrouth : « On ne connaît pas les histoires et les visages des morts à Gaza. Au moins 40 000 morts, dont au moins 30 000 femmes et enfants à Gaza, innocents par définition… Ces chiffres ont pratiquement une capacité anesthésiante sur nous. Il y a quelques mois, on programmait des émissions parce qu’on parlait de 30 000 morts et non plus de 20 000. Mais aujourd’hui ces chiffres ne nous disent plus rien. On est obligé de les rapporter à une réalité française pour qu’ils continuent de nous frapper. »
Un mois après les massacres du 7 octobre, nous écrivions que « rapportés à la population israélienne, il a été dit que les massacres du 7 octobre ayant fait plus de 1 300 victimes équivalaient, en France, à un Bataclan qui aurait coûté la vie à 9 500 personnes. Si l’on prolonge ces calculs sordides, et qu’on rapporte les 9 000 morts de Gaza à une population totale d’environ 2,3 millions d’habitant·es, c’est comme si, en quatre semaines, la France avait perdu 264 000 habitants, dont plus de 100 000 enfants ».
Si l’on poursuit encore l’extrapolation macabre et que l’on se base sur un chiffre de désormais 41 000 morts à Gaza, la population palestinienne gazaouie engloutie depuis un an équivaut donc à 1,2 million de tués rapportés à la population française, soit à peine moins que le nombre de Français tués pendant la boucherie de la Première Guerre mondiale.
Guerre de vengeance
Mais puisqu’il n’est pas certain que même cette comparaison suffise à frapper les esprits, sans doute faut-il oser un autre parallèle. Si on se base sur les chiffres donnés par les ministères de la santé à Gaza et au Liban et qu’on ajoute une estimation basse des victimes sans nom ni sépulture qui se trouvent encore sous les décombres, on atteint au moins 60 000 morts directes dans les frappes de l’artillerie et de l’aviation israélienne.
Ce qui revient à dire qu’Israël a commis, depuis un an, l’équivalent d’un massacre du 7 octobre chaque semaine. Pourtant, aucun dirigeant occidental ne s’est précipité à Ramallah ou à Beyrouth pour exprimer son horreur devant le carnage. Aucun chef d’État ou de gouvernement n’a assuré les peuples palestinien et libanais de son soutien total face aux agressions. [...]
Cette guerre menée par Israël – guerre de représailles et de dissuasion mais aussi de vengeance – fait couler des rivières de sang dont les mains des dirigeants occidentaux – et avant tout étatsunien, c’est-à-dire Joe Biden mais aussi Kamala Harris en tête – sont entachées, tant ils partagent de responsabilités avec les criminels qui gouvernent Israël.
L’effacement des civils
Dans le monde post-7 octobre, bien préparé par le monde post-11 septembre et les centaines de milliers de morts d’Irak ou d’Afghanistan, c’est ainsi la notion même de population civile qui s’efface, en tout cas si ces civils ont le malheur d’être arabes ou musulmans.
Ce n’est pas seulement que les morts et les prisonniers israéliens ont des noms, des visages et des histoires, contrairement aux corps pourrissant dans les fosses communes de Gaza, enfouis dans les décombres de la banlieue sud de Beyrouth ou retenus dans les geôles inaccessibles du Néguev.
C’est qu’un corps palestinien ou chiite ne vaut plus rien aux yeux des Israéliens en particulier, et des Occidentaux en général, comme le manifeste la démesure des chiffres que l’on peut aujourd’hui mettre en regard.
Si l’on mesure non seulement les morts provoquées directement par les bombardements israéliens à Gaza, mais aussi toutes les victimes indirectes, notamment du fait des maladies et du manque d’accès aux soins, on peut sans doute facilement doubler le chiffre de 60 000 victimes, sans aller jusqu’aux 186 000 victimes comptabilisées par une publication récente du Lancet.
Ce qui signifierait qu’avec une estimation plausible de 120 000 morts à Gaza, on aurait déjà une centaine de morts palestiniens, pour un mort israélien le 7 octobre. Des chiffres effarants, à comparer avec un rapport de 7 à 1 pendant la première Intifada et de 3 à 1 pendant la seconde.
Autre exemple du décalage profond entre l’importance des corps et des vies d’un côté à l’autre de la barrière de Gaza ou du fleuve Litani : l’offensive israélienne au Liban a été justifiée par son gouvernement par la nécessité de permettre aux 60 000 déplacés du nord d’Israël de retourner dans leurs maisons.
Sans sous-estimer la vie devenue invivable de ses populations, que nous avions d’ailleurs documentée dans un reportage récent, comment est-il possible d’accepter une telle justification alors qu’elle se paye de l’exil forcé de déjà plus d’un million de Libanais ?
Les complicités occidentales
De cet effacement des civils libanais et palestiniens, l’Occident est comptable à plus d’un titre. D’abord en fournissant les armes et les devises nécessaires à ce carnage. Au moment même où il frappait Beyrouth et où les États-Unis affirmaient n’avoir pas été mis au courant, le gouvernement israélien se faisait un malin plaisir d’annoncer une nouvelle aide de 8,7 milliards de dollars en provenance de l’allié américain.
Dans quel monde peut-on trouver logique, comme ce fut le cas en avril dernier avec la levée du véto républicain au Congrès, de débloquer une « aide » comparable pour l’Ukraine attaquée par le régime de Poutine ; pour Taïwan sous la pression du régime chinois et pour Israël capable de détruire en quelques jours la menace du Hezbollah libanais après avoir réduit en miettes les infrastructures du Hamas ?
Ensuite, en refusant de reconnaître un État palestinien, à quelques rares exceptions près, telles la Norvège, l’Irlande et l’Espagne. Le Moyen-Orient est de fait bouleversé par la décapitation du Hezbollah – une action en passe de prouver que la menace iranienne sur Israël demeure circonscrite, tant le régime des mollahs est contesté en interne et incapable de rivaliser militairement avec un État hébreu soutenu par les États-Unis.
Dans ce moment majeur de redistribution des cartes, l’urgence est pourtant à une action diplomatique imposant la création d’un État palestinien sans lequel les logiques meurtrières et génocidaires à l’œuvre ne pourront que difficilement connaître de répit. [...]"
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shakizu-ao3 · 10 days ago
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Yo
J'ai des idées d'univers alternatifs en ce moment, pouah mon cerveau explose mdrr
Entre Frostpunk, Stardew Valley, et mon histoire sur Wattpad qu'honnetement j'écris lentement, parce qu'elle m'enjaille moins que d'autres projets, sachez que j'écris entre 1000 et 3500 mots par jour (week end exclu)
Alors je poste pas tout, puisque certains de mes écrits sont sur des univers que j'ai créés, totalement sortis de mon cerveau, mais je fais de mon mieux pour garder un équilibre entre ce que j'écris dans le coin de mon ordi, et ce que j'écris qui va finir sur Ao3 ou Wattpad, en sachant que j'ai au moins 4 projets parallèles pour cette deuxième catégorie, donc j'essaye aussi d'équilibrer entre les univers 😂
Vsy au moins je suis productif mdr, pour ce que ça vaut
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flammine · 3 months ago
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Oui un nouveau drama !!!!!!!!!!!!!! Et c'est partit pour la fiche :
Titre: Love game in Eastern Fantasy
Drama Chinois de 32 épisodes x 45minutes de novembre 2024.
Genre: Fantasy (esprits et démons), Romance, Comédie, Monde virtuel historique et fantaisiste.
Acteurs:
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Histoire:
Tout débute lorsque la jeune femme Ling Miao Miao entre littéralement via son ordinateur dans le système de mission du roman Monster Hunting et devient un personnage secondaire méchant (elle fait partie maintenant d'un roman en ligne qu'elle a lu).
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Pour retourner dans le monde réel, elle doit accomplir les différentes tâches du système sans mourir (une fois la période d'essai terminé :)) et notamment conquérir le jeune homme mystérieux et tordu, Mu Sheng.
Mu Sheng (cachant un secret) fait partie d'une équipe de chasseurs de démons avec Mu Yao (dernière rescapée d'une illustre famille de chasseur) et Liu Fu Yi, (un chasseur de démons en mission secrète).
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Ensemble, ils vont faire équipe et combattre des monstres, les faisant grandir et leur faisant douter progressivement sur l'animosité entre les humains et les démons.
Pourront il réécrire la fin fatale du roman et sauver le monde ?
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Avis: un drama de plus qui ajoute la dimension de monde parallèle via un système de jeu vidéo, ils ont bien compris que cela marchait ! C'est cliché mais perso j'adore ! Il y a de l'action, de bons acteurs, de jolis costumes (les vêtements et les bijoux sont trop beaux!), bons effets spéciaux et l'héroïne est comique !
Pour le voir, il y a l'embarras du choix!
Pour les abonnés: Netflix Viki WeTV
Gratuit: Dramacool
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bienvenuechezmoi · 2 months ago
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Qui se rappelle " le quinquennat des femmes" on dirait une histoire mythologique d'un monde parallèle. Je crois le bro il avait pas compris ce qu'inplique lutte contre le sexisme en générale. Il a cru que c'était mettre des chemises roses. Ptdr le monde de 2017 un délire.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 29 (et fin)
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
Vous pouvez également naviguer entre les différents posts de chapitres à l'aide de ce sommaire
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Hello la team !
Voilà, nous y sommes. Le dernier chapitre du tome 10. J’avoue, c’est un moment un peu bizarre pour moi, tout est passé très vite. J’espère que ce dernier post à ce sujet vous plaira ; vous allez voir, cette fin va partir dans tous les sens.
Dans le chapitre 28, que j’avais nettement préféré à son prédécesseur, on revoyait Glubl, on apprenait ce que Fabrice et Moineau avaient fait en parallèle de Tara et des autres, et Mara faisait repérer son vaisseau spatial après avoir envoyé un message à Autremonde.
C’est la fin, et ce chapitre s’appelle « La guerre des mondes, ou comment pousser l’art d’impressionner sa future petite amie à un niveau jamais égalé »
Aïe aïe aïe, est-ce qu’on va voir Cal… ?
On reprend après l’explosion du vaisseau spatial, qu’on a déjà vue sous trois points de vue. Tara réalise qu’Archange et Gabriel ont disparu, mais aussi que des vaisseaux Autremondiens ont fait leur entrée en scène.
« Dès que les soldats loups se furent assurés que la voie était libre et sécurisée, et les démons sous surveillance, désarmés et désemparés, les gros bonnets arrivèrent. La reine dragon Charmamnichirachiva en tête, qui salua gracieusement Tara. Sandor, qui menait l’escouade, envoya immédiatement ses soldats elfes à la recherche de Lisbeth, histoire d’éviter qu’elle ne fasse exploser le monde alors qu’ils étaient sauvés. »
C'est un drôle de moment pour penser à lui, mais avec tout ça, je ne sais même pas où en est Various.
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À ce stade, on ne sait même pas s’il a suivi Lisbeth sur Tadix ou s’il lui a obéi en demeurant sur Autremonde. Ça fait plusieurs chapitres qu’on n’a aucune information à ce sujet. Aucune nouvelle de lui. Aucune bonne année.
Mara est avec Sandor, et Tara la prend dans ses bras (même si clairement Mara n’a pas l’air très emballée par l’idée de lui faire un câlin, ce dont notre Héritière d’héroïne devrait se douter). Elle fait aussi un câlin à Sandor, et… ok c’est pas très pro, mais j’accepte parce que c’est chou et qu’il réciproque.
« - […] L’Ambassadeur a donc fini par transmettre le message ?
— Oui, confirma Sandor. Au début, nous n’avons pas très bien compris ce que disait le gnome bleu qui servait de traducteur. Il insistait en disant qu’il y avait un gros problème sur la lune alors que nous recevions des images parfaitement normales. Et puis nous avons reçu un message de Mara. Elle disait qu’une vingtaine de vaisseaux ennemis avaient attaqué Tadix et qu’il s’agissait sans doute des démons. Nous avons embarqué, les vaisseaux ont décollé, l’Ambassadeur n’a pas voulu se déconnecter du Diseur qui était avec nous, il nous a informés de ce qui se passait au fur et à mesure (ah, c’était pour cela que l’Ambassadeur était resté en transe ?) (Heum, Tara n’est pas au courant de ça. Moineau était celle qui a assisté à la scène, et elle n’a clairement pas eu le temps de lui en parler. C’est un détail, mais puisqu’on suit le point de vue interne de Tara, c’est à relever comme un défaut de cohérence) en divisant son cerveau en deux. D’une part, il écoutait les sortceliers et ainsi nous envoyait de précieuses informations, d’autre part, il restait en contact avec ses compatriotes. Le gnome bleu nous a dit que c’était un exploit incroyable. (Un Diseur de Vérité qui est utile, aaaah <3) En arrivant, nous avons détecté une dizaine, et non une vingtaine, de vaisseaux inconnus patrouillant autour de Tadix et un petit vaisseau soigneusement camouflé qui jouait à cache-cache avec eux. Nous l’avons sauvé juste au moment où ils allaient le capturer. Imagine notre surprise lorsque nous avons découvert qui était à l’intérieur. »
Mara repère Cal, qu’elle va aider. Fafnir est blessée, inconsciente et dans un drôle d’état, même si on ne nous précise pas pourquoi.
« Fabrice et Moineau s’aidaient mutuellement. Maître Chem apparut, avec l’Impératrice à ses côtés, soutenu par Grr’ul. (Revoilà Grr’ul !! La pauvre, elle n’aura vraiment eu qu’un rôle de meuble dans cette histoire. Je tiens à rappeler à l’assistance que son mari est aussi venu sur Tadix. On ne l’a pas vu de toutes les scènes) Le dragon était blessé (meurs) et cette fois-ci ce fut au tour de Charm de se précipiter.
— Il faut partir ! cria Lisbeth. Tout de suite !
L’urgence dans sa voix les fit tressaillir. Tara faillit soupirer. Mais ça n’arrêtait donc jamais ?
— Partir ? Mais pourquoi ? demanda Sandor, déjà prêt à foncer.
— Gabriel ! Il allait me tuer lorsque Archange lui a dit que mon hor déclenchait les bombes de Tadix. (ALORS TARA QUI DONNE DES INFORMATIONS GRATUITES À L’ENNEMI ?? ALORS ?? Je l’avais call et je déteste parce que ça veut vraiment dire que Tara est une abrutie quand ça arrange l’intrigue. Leur petit comptage de fleurette où ils se parlent à cœur ouvert de leurs difficultés politiques et de la lourdeur de leurs responsabilités, tout ça pour qu’Archange trahisse tout le monde en vendant la mèche à Gabriel (qui est censé être son ennemi à lui d’ailleurs)… Tara a fait deux grosses erreurs, j’espère que quelqu’un va le mentionner. Au moins Lisbeth. Pitié.) Ça l’a fait beaucoup rire et il a décidé d’utiliser ça pour vous détruire. Il a usé de sa magie démoniaque pour m’arracher mon hor (elle montra son avant-bras encore ensanglanté). Il m’a enfermée afin que je ne puisse pas vous prévenir, après m’avoir annoncé qu’il ne me tuait pas tout de suite parce qu’il préférait me laisser mourir dans l’explosion de mon stupide satellite et de mes stupides vaisseaux en même temps. Mais Archange, en partant, a mal crocheté la porte, j’ai pu m’échapper »
Lisbeth, je t’apprécie, mais plus court, s’il te plaît. L’implosion de la planète est peut-être imminente, t’as pas le temps d’un paragraphe pour élaborer pourquoi c’est la merde.
« Sur l’avant-bras de Tara, la petite tête rouge se mit soudain à clignoter.
— Vite ! cria Tara, ils ont activé les bombes. Sandor, quel est le vaisseau qui pourra tous nous contenir ? »
Il me semble que Lisbeth avait clairement dit à Tara que les bombes se déclencheraient dès que le bouton serait pressé, mais là, apparemment, ils ont du délai. C’est con de ne pas se relire à ce point... Tara a donc le temps de se transformer en vampyr pour mieux détecter chaque personne présente sur Tadix, et elle téléporte tout ce monde dans un vaisseau. Sandor ordonne qu’on décolle tout de suite, ce qui est fait, puis…
Le satellite implose.
Disons que c’était attendu. Le passage n’est pas très impressionnant, par ailleurs.
Le vaisseau où se trouvent Tara et les autres est tracté par l’implosion, et Tara décide d’agir.
« Elle se concentra, la magie illuminant son corps au point que les gens s’écartèrent d’elle. Sauf Cal.
Cal resta à ses côtés. Avec tant d’amour, d’admiration et de parfaite sérénité dans ses yeux gris, que cela brisa le cœur de Mara. Ce fut à ce moment qu’elle comprit. Cal aimait tellement Tara que mourir à ses côtés ne le préoccupait pas. Ce qu’il voulait, c’était être avec elle. Et c’était tout.
Mara mesura à quel point elle avait été ridicule, mesquine, jalouse et stupide. Elle laissa couler une larme. Et se jura qu’un jour, elle trouverait un garçon qui l’aimerait et la regarderait exactement comme Cal regardait Tara en ce moment. »
… pfff, next.
Tara parvient à téléporter les personnes à bord du navire qui était en train d’être aspiré. Puis…
« — Je croyais que cela ne créerait pas de trou noir ? murmura Tara, encore épuisée par les deux énormes efforts qu’elle venait de fournir, en se retransformant.
— Normalement non, répondit Lisbeth, les yeux écarquillés. Prie. Fort.
Tara n’allait pas prier, non, elle allait faire mieux.
— Jeremy ! cria-t-elle. Jeremy’lenvir Bal dregus !
— Tara ?
La foule anxieuse laissa passer Jeremy. Il avait encore le sang de son frère sur les mains.
— Active ta magie et touche-moi, fit Tara. Vite !
Cal haussa les sourcils, mais Jeremy obéit.
À l’instant où ils se touchèrent, leur magie fusionna exactement comme à Stonehenge. Le Dragon Renégat les avait créés pour cela. Pour qu’ensemble ils soient la force la plus puissante de l’univers. Sous la direction de Tara, ils se dématérialisèrent du vaisseau. »
Alors euh. Je veux bien que Jeremy soit utile, zéro souci, j’en suis contente, même. Mais c’est pas le passage stylé que ça pense être. Le gars, on l’a vu dans le tome être abusif envers Moineau, compétitif envers Tara, de nouveau abusif envers Moineau, triste pour son frère, et c’est tout. La symbiose entre Tara et Jeremy devrait en prendre un coup, et de tous les personnages, ça ne devrait pas être celui ayant droit à ce genre de scène. Si encore Tara avait pris le temps de lui parler au moment où elle l’avait découvert en train de sangloter sur le cadavre de son frère, s’ils avaient pu compatir l’un envers l’autre, je sais pas… y aurait eu quelque chose. Mais non. Il est à peine apparent dans la thématique du tome, cette scène… est tellement pas satisfaisante.
Quant à Jordan, le gars aura servi qu’à se faire tuer.
Jeremy et Tara réussissent leur coup, tout le monde est soulagé, tout le monde se câline, Sandor est contrarié car les vaisseaux des démons ont profité du barouf pour filer.
Sur ce, un message venant d’un des vaisseaux ennemis leur parvient.
« L’image holographique se précisa et, bientôt, le beau visage d’Archange, Gabriel derrière lui, s’afficha devant eux. Mais tout le monde sursauta lorsqu’un troisième visage, impassible, les fixa gravement.
Angelica. Tara réalisa qu’effectivement elle ne l’avait pas vue lorsqu’elle avait transféré tout le monde. Et elle était bel et bien derrière Gabriel lors de la première allocution du démon.
Toute la question était donc : otage ou complice ? (pfft, comme si madame S.A.M. allait prendre la peine de complexifier le personnage d’Angelica en la présentant comme une otage, alors qu’il ne reste que quelques pages. On y croit)
Ils n’eurent pas le loisir de se poser la question, car Archange s’adressait à eux.
— Je désire vous présenter mes plus profondes excuses, dit-il, les traits marqués. Nous avons vécu une grave divergence d’opinion au sein de mon peuple, mais comme vous avez si intelligemment déjoué le plan de mon demi-frère, à ma grande satisfaction, car j’avoue qu’annihiler des planètes entières sous prétexte de les conquérir est un acte inqualifiable, j’ai donc pu reprendre les rênes »
Archange… Archange, juste, quoi ?
C’est quoi, ce personnage, à la fin ? C’est quoi, ses intentions ?
S’il est censé être gentil, pourquoi avoir vendu la mèche sur les bombes de Tadix à Gabriel, plutôt que d’essayer de libérer Lisbeth ou de combattre leur ennemi commun ? Pourquoi se ranger à l’avis de son demi-frère ? Pourquoi foutre intentionnellement la merde au cours du tome ?
Et s’il est censé être méchant, pourquoi avoir été complice des héros ? Pourquoi avoir parlé à cœur ouvert à Tara, et prétendu vouloir arranger les choses ? Pourquoi lui avoir livré des informations sur les factions démoniaques, et pourquoi n’avoir fait que mine de tuer tout le monde pendant le concert ?
Je ne comprends pas son but, ni même son rapport à Gabriel, ni son rapport à la faction d’Autremonde. Je ne comprends pas ce personnage, y a rien à faire. Son aiguille morale est posée sur une toupie, ce qu’il ressent envers Tara n’a aucun impact sur ses actions, ses actions ne sont pas motivées par quoi que ce soit… je crois qu’on a trouvé le personnage le moins bien écrit du tome, félicitations.
Mais ce n’est pas le seul !
Gabriel engueule Lisbeth en lui demandant comment elle a su qu’il comptait prendre la sphère-négation, et où celle-ci se trouve. Très loin de sa maîtrise politique habituelle, l’Impératrice balbutie et dit la vérité, à savoir qu’elle n’est au courant de rien. La formation « ne jamais donner des informations à l’ennemi gratuitement » n’aura vraiment servi à rien.
C’est là que Mara révèle ce qu’elle a fait, dans l’un des dialogues les plus pétés que j’ai jamais lus :
« — Comment… comment as-tu su ? Tu es la sœur de Tara Duncan. C’est elle qui l’a dissimulée ? (Il se tourna vers Archange et grinça :) C’est toi qui l’as contactée ? Es-tu un traître à notre race, Archange ?
Archange, outragé par l’accusation, allait répondre lorsque Mara prit la parole :
— Ça n’a rien à voir avec vous. J’étais furieuse parce que Cal était pris au piège sur cette lune où il risquait de mourir. Et que moi, je suis… j’étais amoureuse de Cal. J’ai voulu le sauver. (1/ Pire raison de faire ce qu’elle a fait, genre vraiment. 2/ Tu étais ? Genre ton amour obsessionnel qui t’a fait bouillir de rage et t’a rendue prête à tuer ta propre sœur disparaît d’un coup par magie ? J’y crois pas) Magister (elle ignora le sursaut de Tara) m’a dit qu’il me prêtait un vaisseau et un équipage si je volais un grimoire pour lui dans le bureau de Lisbeth et que je tuais Selenba. Ce que j’ai fait.
— Tu as tué Selenba ? fit Lisbeth.
— Non. J’ai fait semblant pour que Magister me croie. C’était une mise en scène. (Called it.) Selenba va très bien, ce n’est pas une traîtresse, et là, en ce moment, elle est sans doute en train de faire plein de petits bébés avec Safir Dragosh. Berk. Bref, dans L’Incadenassus, j’ai vu cette sphère, je savais que c’était une arme, je l’ai prise, et c’est tout.
Il y eut un silence stupéfait. »
Voilà. Mara n’avait donc pas de plan, elle ne savait même pas à quoi servait la sphère-négation, elle était juste très colère, et l’univers de Tara Duncan peut s’estimer putain de chanceux que cette gamine n’ait pas pris l’objet avec ses mimines, parce que cette histoire ─ et l’ensemble de cette série ─ seraient partis en fumée dès le chapitre 19. Pas que ça m’aurait déplu.
Selon mes standards, cette fillette qui a mis un équipage en danger, a tué un Très Haut Mage zombie et vient d’avouer avoir agi selon les ordres de Magister devrait se recevoir une punition très grave et a minima perdre son rôle d’Héritière. Pire façon de faire sa déclaration à Cal, par ailleurs.
Au lieu de ça, les personnages ont un fou rire général parce que hohoho, la petite fille amoureuse a contrecarré accidentellement les plans d’un redoutable démon, comme c’est cocasse ! On dirait la fin d’un dessin animé de la fin des années 90. Après le générique on va peut-être avoir un message d’intérêt général, qui sait.
Et quand je dis que les personnages ont un fou rire, ça comprend Archange, Lisbeth, Sandor, Tara... Tout le monde.
« — Ouf ! fit [Archange]. Ça fait du bien. Tara ?
La jeune fille blonde le regarda. Il était son ennemi et pourtant, elle voyait bien qu’il possédait un curieux code de l’honneur. C’était bizarre, mais d’une certaine façon, elle l’aimait bien. (Le… le mec à cause duquel un satellite entier vient d’exploser sans aucune raison ? Tu l’aimes bien ? Tara, tu es horrible.)
— Oui, Archange.
— Je veux juste te dire que je suis vraiment désolé. Rien de tout ceci n’aurait dû arriver. ( ????? Excuse-toi auprès des Tadixiens, non ????) Mon demi-frère, par orgueil, par stupidité, a ruiné les chances que nous avions de nous entendre. (C’est toi qui lui as dit qu’il y avait des bombes sur Tadix, connard) Je suis vraiment, vraiment très triste de tout ceci ( :’( ). À présent, nous allons retourner dans notre univers. J’espère… oui, j’espère que les choses s’arrangeront.
— Attends, fit Tara, je voudrais savoir : comme je te l’ai dit, quelqu’un a engagé un assassin. Afin de me tuer, ainsi que Robin, juste avant mon mariage avec toi. As-tu découvert qui c’était ? »
Allez, c’est parti pour remballer toutes les petites intrigues du tome, hop hop hop.
« Archange secoua la tête, l’air encore plus désolé.
— J’ai plusieurs frères mais aussi des sœurs. Pour une très mystérieuse raison, elles ont décidé qu’elles voulaient m’aider à te conquérir.
Tara ouvrit la bouche, très surprise.
— Euh, oui ?
— À leur décharge, nous avons beaucoup importé ces films et ces séries que vous affectionnez sur Terre et sur AutreMonde.
Tara ne voyait pas le rapport. Archange termina :
— Dans ces séries, le héros sauve la vie de l’héroïne et elle lui tombe dans les bras.
Tara commençait soudain à avoir une petite idée de ce qui s’était passé. Elle balbutia :
— Attends une minute. Tu veux dire qu’elles voulaient à la fois se débarrasser de Robin et de Cal, puis faire croire que j’étais visée, juste pour que tu tues l’assassin, et me sauver la vie pour que je tombe dans tes bras ? Tout ceci n’était pas un complot pour m’affaiblir avant votre venue ? »
………………….
Y a pléthore de mots dans notre langue pour refléter nos émotions, mais là j’avoue être à court.
C’est, c’est… comment dire.
En tant que bibliothécaire jeunesse, je lis beaucoup de livres à destination du jeune public. Pas seulement pour les ados, mais aussi pour tous les niveaux d’âge, depuis les tout-petits jusqu’aux 14-15 ans. Et souvent, croyez-le ou non, je le fais par plaisir. Car ils sont réellement satisfaisants à lire, pour la plupart.
Tenez, je vais me permettre une courte parenthèse : je peux vous jurer que je peux facilement vous citer 20 albums à destination des enfants de maternelle mieux composés que cette bouse.
Parce que le niveau d’âge ne signifie pas la qualité. Il ne suffit pas d’écrire des mots rigolos sur trois pages pour créer un livre pour les tout-petits.
Les ouvrages pour la jeunesse ont vocation à faire comprendre des choses aux enfants, à les divertir, à les amuser, à les émerveiller, les faire rire, leur apprendre la langue, les émotions, les peurs, la poésie, les réalités du monde. Et leur faire aimer la lecture, qui n’est pas quelque chose d’intuitif. Tout ça, de manière accessible en fonction du niveau. On ne raconte pas la même histoire à un bébé qu’à un enfant de primaire. Mais il existe des livres, des anomalies profitant du système, qui n’ont vocation qu’à être vendus, et le contenu et l’intention importent moins que les paillettes jetées dessus pour que ça brille et attire le regard. On sait quand un artiste met du cœur dans sa création, car il y a une qualité picturale et littéraire accessible à tous, ce même si le public auquel elle est destinée n’a pas les codes pour tout apprécier. Un bon album jeunesse enchante aussi bien un parent que son enfant. Si vous voulez comprendre à quel point la littérature jeunesse peut redoubler d’efforts et de variété pour ouvrir au monde, la prochaine fois que vous irez dans une librairie avec un rayon jeunesse, jetez un œil à un Chris Haughton, un Christian Voltz, un Jeanne Ashbé, un Beatrix Potter, un Philippe Jalbert, un Antoine Guillioppé, un Frédéric Marais, un Dedieu, un Elena Selena, un Marion Bataille, un Anouck Boisrobert, un Lucie Félix. Ou encore, ouvrez un album au hasard, même. Laissez-vous guider par les couvertures, par les coups de cœur, ou par vos tripes. Vous comprendrez.
Tara Duncan fait partie des anomalies du système. C’était peut-être une bonne série, à l’origine. Une série sincère dans ses intentions, sincère dans ses messages, sincère dans son envie d’offrir de belles choses à ses lecteurs.
Mais après avoir lu un passage pareil, vous comprendrez qu’elle a basculé. Elle a basculé du côté du commercial.
Sérieusement…
Sérieusement.
Archange a des sœurs, dont on n’a jamais entendu parler au demeurant, et ce sont elles qui ont monté ce plan, sous prétexte que… que quoi ?Qu’elles ont vu des films et des séries terriennes, sans critiquer leur contenu, sans notion de fiction et de réalité ? Et que c’est trop rigolo, faut trop qu’on déclenche un conflit interespèces tout ça pour mettre le frangin en couple ?? Prévoir des ASSASSINATS pour ça ?
Je ne vais déjà pas passer sur à quel point c’est d’un sexiste monstrueux de déterminer que cette idée d’abruti provient évidemment de ses sœurs, et non pas de frères qu’il aurait. Ah, les filles et leur envie d’arranger des coups, n’est-ce pas ? Et comme une idée limitante n’arrive jamais seule, ça essentialise aussi les démones, puisqu’une fois de plus, le peu de démones qu’on voit sont traitées comme des idiotes irresponsables. Attendez, il faut vraiment que je répète : elles ont vu des films et des séries. Et ça leur a fait former des idées préconçues sur non seulement comment les humains fonctionnent, mais aussi comment leur propre race fonctionne.
Ce n’est pas la première fois que ça arrive, oh non, loin s’en faut. En fait, ce ressort scénaristique de chaque tome de Tara Duncan, selon lequel les personnages des autres planètes font ce qu’ils font selon ce qu’ils voient dans des films terriens, c’est… mais bordel !! Ça n’a jamais été pertinent, ça n’a jamais été drôle, et ça nous est ressorti à CHAQUE tome, à CHAQUE fois, mais là en plus t’es en train de me dire que c’était l’élément déclencheur de l’intrigue ?? UN SATELLITE A EXPLOSÉ À CAUSE DE VOS CONNERIES, LES TADIXIENS N’ONT PLUS DE CHEZ-EUX, LEUR VIE EST IRRÉMÉDIABLEMENT CHANGÉE ET C’EST TRAITÉ EN MODE « HAHA TROP GOLRI » ??? MAIS PUTAIN MAIS VOUS ÊTES IRRÉCUPÉRABLES !
Est-ce que je suis seule. Est-ce qu’un personnage va réagir ? Faire une remarque, quelque chose ?
« — Je suis désolé, répéta Archange. Toxi a une vision très romantique des choses (une image apparut à ses côtés, une ravissante démone aux cheveux roses la salua d’un air mutin puis disparut). Elles allaient me l’avouer juste avant notre mariage afin que je puisse te sauver. Que puis-je te dire de plus à part que j’ai une famille… compliquée.
Tara qui sentait l’amusement pétiller dans son cerveau lui sourit franchement.
— Bienvenue au club, répondit-elle. Et crois-moi, à propos de famille compliquée, je te comprends.
Ils se saluèrent comme deux adversaires courageux qui se sont mesurés à leur juste valeur. »
… Pas de réaction, donc.
C’était pour le moins inattendu /sarcasme.
Tara se rappelle soudain de l’existence de Robin. Elle demande à la foule si quelqu’un connaît un monsieur X, et un chaman s’approche pour lui transmettre une boule de cristal, où l’image de l’assassin apparaît.
« — Si vous lisez ceci, Tara Duncan, c’est que je suis mort. (enfin une bonne nouvelle.) Donc votre Robin va mourir aussi, d’autant que cela fait deux jours que nous n’avons plus de communication avec AutreMonde et que mes gardes ont dû déclencher le minuteur qui va tuer Robin M’angil (un coup il l’appelle Robin tout court, l’autre il dit son prénom et son nom de famille, faut savoir), et quitter la maison. J’ai espionné les démons. Gabriel est le plus dangereux. Moi, à votre place, je mettrais un contrat sur sa tête. (ç’aurait été bienvenu que cette boule de cristal soit transmise un chouï plus tôt à Tara, non ? Il foutait quoi, ce chaman, de la corde à sauter ?) J’ai également laissé un message à votre propos à notre Guilde, avec mon compte rendu, prononcez le mot « concombre » et vous serez bien reçue. (Il lui adressa un clin d’œil, beau joueur.) Bref, voici le plan afin de pénétrer dans la maison. Soyez prudente. Et ne vous inquiétez pas pour ma femme et mon fils. Ils sont à l’abri du besoin.
Il sourit à la scoop qui le filmait, puis éteignit l’appareil »
Ouais, à part que t’es crevé. Tu sais, l’argent ça remplace pas un papa absent. Ni un papa mort. Je… je ne sais même pas pourquoi on nous a dit que monsieur X avait une femme et un gosse. Le résultat aurait été meilleur sans.
Comme madame S.A.M. refuse catégoriquement d’accepter la gravité des événements pour ce qu’elle est (perso je suis atterrée devant mon écran), Tara manque repartir dans son fou rire à cause de l’histoire du concombre. Et puis c’est trop drôle parce que Cal lui montre que woups il a coupé les tresses de Fafnir parce qu’il croyait qu’elle allait mourir et qu’il faudrait les ramener à sa mère (cf chapitre 24).
C’est drôle hein ?
« Tara aurait bien voulu empêcher le gloussement qui montait à sa gorge de sortir, mais Moineau partit d’une crise de fou rire homérique, vite suivie par
Fabrice. Tara ne put résister.
— Ahhhh ahhhh ahhh, tu as coupé les cheveux de Fafnir ? Sa plus grande fierté. Elle a mis deux cent cinquante ans à les faire pousser, elle les entretient au moins une heure par semaine ! Qu’est-ce que je raconte, par jour ! Elle va te tuer ! »
Sinon y a un satellite qui a explosé à cause de vous tous, juste comme ça.
« L’opération « recollage » eut lieu sous la supervision de Moineau. À la fin, les tresses de Fafnir avaient retrouvé leur place initiale et ne semblaient pas avoir trop souffert de leur bref retrait.
En dépit de cela, la naine grommela beaucoup. Notamment à propos du fait que ses cheveux lui paraissaient bien moins brillants. Pendant tout le reste du voyage, Cal se fit tout petit. »
Un million de Tadixiens sur Autremonde, le traumatisme de plusieurs générations confondues, la perte d’un satellite pour Autremonde, tellement de bouches à nourrir, un impact socio-culturel évident, peut-être même du rejet, des problèmes de xénophobie ─ thème plutôt latent chez les ministres d’Omois par ailleurs ─, ça va peut-être déclencher des conflits civils et impacter les populations sur lesquelles Moineau et Tara ont autorité, et tous ces connards rigolent parce que l’autre s’est fait couper ses tresses. Et personne ne se rend compte de rien. Madame S.A.M. ne se rend compte de rien. On doit rire, là.
Mettez les panneaux « LAUGH », la prochaine fois, parce que je dois avouer que j’ai loupé le signal. Quoique, pas sûre que je me serais exécutée, bizarrement.
« Le vaisseau amiral ne pouvait pas se poser dans la capitale, il était bien trop gros. On affréta donc une navette et deux pilotes pour Tara et ses amis.
Le quartier avait été évacué sur l’ordre de l’Impératrice et le vaisseau se posa dans un grand parc, non sans avoir rasé deux petits immeubles, hélas ! placés au mauvais endroit. »
Ouais, enfin, vous êtes pas à ça près, hein ?
« Tara se précipita, suivi du magicgang. Foulant le sol de la planète pour la première fois depuis plusieurs jours, elle réalisa soudain à quel point ses jambes lui paraissaient lourdes après avoir vécu dans un environnement en faible gravité, mais elle força. D’après le message du changelin, il y avait un code. Dès qu’elle fut devant la jolie maison privée jaune et bleue qui abritait le changelin et où Robin était caché, elle tapa la combinaison de chiffres, ce qui lui permit d’accéder au salon, puis au sous-sol sans problème »
Ah oui, c’est vrai, ils vont chercher Robin, qui va peut-être mourir. La narration s’en tamponne tellement le coquillard que j’avais l’impression qu’ils passaient juste faire un tour au marché. Autant dire que j’ai moyennement peur pour l’elfe, hein. Encore un enjeu scénaristique qui part au vide-ordures.
« Lorsqu’elle ouvrit très, très doucement et délicatement la porte, après que Cal eut glissé des senseurs non magiques sous la porte afin d’être sûr qu’il n’y avait pas de piège aussi pour les visiteurs indésirables, celle-ci dévoila une vision terrible.
Robin, amaigri, rageur, un bandeau sur les yeux et sur la bouche, était immobilisé par des chaînes au centre d’une pièce ronde. Tout autour de lui, se trouvaient une cinquantaine d’arbalètes.
Et les cinquante carreaux, dont les pointes aiguisées de métal luisaient férocement, étaient braqués sur lui.
Le sol tout autour était piégé de lignes lumineuses, prêtes à déclencher le piège. Impossible de s’approcher. Ils levèrent la tête, mais en l’air aussi, des lignes très visibles n’attendaient que d’être brisées afin de libérer les carreaux d’arbalètes.
Peut-être qu’on ne pouvait pas utiliser la magie dans la pièce, mais clairement les senseurs étaient magiques.
Ils reculèrent et voulurent inspecter le sous-sol.
Sauf qu’il n’y avait pas de sous-sol.
La pièce était de plain-pied. »
Ah oui dis donc c’est ah là là ça a l’air terrible mais comment vont-ils s’en sortir. Hein ? Si, si, je regarde ce qu’il se passe, je vous jure. Non mais je ne suis pas sur mon téléphone, je regarde l’heure, c’est tout.
« Fafnir les regarda et soupira.
— Et moi ? Je suis quoi ? fit-elle.
Ils la regardèrent avec surprise.
— Euh, tu es une fille, précisa Fabrice. Une naine. Très jolie naine. Guerrière ? Avec de magnifiques tresses rousses.
Fafnir leva ses yeux verts au ciel d’un air impatient.
— Une naine, oui. Qui creuse des tunnels et a donc un…
Cal claqua des doigts, un énorme sourire aux lèvres.
— Ton pouvoir d’infiltration ! Mais bien sûr ! Il n’implique pas de magie et dès que tu auras posé la main sur Robin, il passera au travers de ses liens !
— Exactement, confirma Fafnir. OK, attendez-moi, je reviens avec le demi-elfe.
Le cœur serré, ils la regardèrent s’enfoncer dans le sol. Cal réprima un haut-le-cœur. Il ne savait pas pourquoi, mais voir la naine s’immiscer dans la pierre ou la terre comme ça le retournait complètement. Tara rouvrit la porte tout doucement afin de voir ce qui se passait. »
Vous savez, il y a une satisfaction à voir les personnages proches les uns des autres avoir des scènes en écho.
Du genre, Lisbeth et Tara, qu’on a beaucoup vu interagir pendant le tome, et qui auraient pu sauver le vaisseau de l’implosion de Tadix ensemble.
Ou, par exemple, Cal et Robin qui sont en rivalité tout le tome durant pour le cœur de Tara (et ont leur scène individuelle où ils travaillent ensemble en début du tome), auraient pu avoir un payoff ici, si Cal avait sauvé Robin.
Mais là, c’est Fafnir qui sauve Robin. Est-ce que la naine a été particulièrement impliquée dans le tome ? Est-ce qu’on a vu l’elfe et la naine interagir ? Misère, bien sûr que non. Deuxième pétard mouillé du chapitre. Joli feu d’artifice, sans son ni lumière.
Robin est sauvé de façon monstrueusement facile, tout ce beau-monde est téléporté vers le palais d’Omois.
« Mara était descendue avec une autre navette et se trouvait déjà là. La jeune fille évitait le regard de Cal. Elle était parfaitement consciente d’avoir complètement vrillé et ne savait pas très bien comment s’en sortir. Cal la toisa sans animosité mais avec une certaine prudence. Elle allait en baver un peu avant qu’il ne lui pardonne. Tara, elle, trop occupée par Robin, la salua d’un baiser amical. Elle ne lui en voulait pas. L’amour faisait faire des tas de bêtises, depuis que l’humanité existait. »
… Ouais. Je peux même pas dire que je suis surprise, vu tout ce qu’on a vu des scènes d’avant. Tout ce que j’ai à dire, c’est que les Tadixiens méritaient mieux. Je suis prête à parier qu’ils ont été ouvertement critiqués par les personnages et Tara dans ce tome tout ça pour que madame S.A.M. n’ait pas à justifier de l’indifférence totale des personnages face à l’implosion de leur satellite.
Alors que Robin est confié aux soins d’un chaman, une information leur parvient sous forme d’image holographique.
« — Par la barbe de mes ancêtres ! souffla Fafnir, médusée. Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
— Ça, grogna Cal, le cœur battant à toute vitesse, ce sont les démons. Ils sont revenus !
Mais Archange n’était pas exactement tout seul. Les rapports paniques et les images spatiales montraient toutes la même chose.
À présent, ils savaient ce que les démons avaient fait dans l’espace avec les vaisseaux manquants. Ils avaient monté des sortes de Portes de transfert géantes, capables de faire passer tout ce qu’ils voulaient d’un univers à l’autre.
Car là où il y avait quatre planètes gravitant autour des deux soleils d’AutreMonde, il y en avait dorénavant six de plus.
Archange venait d’accomplir le plus grand exploit technologique et magique jamais réalisé. Il avait importé ses peuples dans l’univers de Tara. (d’où ça sort ? Pfffffrt !)
Y compris la fameuse planète de Bendruc le Hideux et ses copains. Qui n’allaient pas être contents.
— Ben ça, murmura Cal d’une voix mal assurée, là où moi je gare mon tapis de course super-profilé, lui il gare ses six planètes. Je vais avoir du mal à le challenger, ce gars-là…
Tara glissa ses doigts dans les siens, effrayée.
Il n’y avait plus qu’une seule issue à ce geste fou.
La guerre des Mondes venait de commencer…
Fin. »
Et voilà.
Voilà.
On a fini.
Je me sens… un peu vide. Bon, ça doit peut-être venir du fait que j’ai quelque peu accéléré le rythme de lecture sur la fin, c’est même un miracle que tout ceci vous parvienne en 2024. Mais la fin était hâtive, et bien sûr, n’a pas vraiment permis de tout conclure proprement.
Si on y réfléchit, il y a une quantité de promesses du tome que celui-ci n’a pas remplies.
- À part pour un personnage, qui est mort, nous n’avons pas rencontré de changelins, qui étaient pourtant teasés pendant toute la première partie de l’histoire.
- La question du mariage de Tara n’a pas réellement eu d’impact ou de conclusion, alors que c’est la première chose qui a été abordée dans son chapitre d’introduction, et qu’on aurait pu supposer que ce serait son leitmotif du tome.
- Les objets démoniaques, la Lance et l’Armure, que Tara est partie récupérer et qu’elle a placés sous sa protection, à part pour un ou deux vagues sursauts d’inquiétude ici et là, n’ont pas été utiles.
- La question de l’assassinat a été disséminée au point de perdre son sens au détour des chapitres. Elle ne nouait rien ensemble, et la révélation sur qui était à son origine était ridicule.
- On ne va parler ni de Magister, ni de Selenba, ni de Dragosh. Leur présence était trop appuyée pour être des caméos, mais ils n’ont servi à rien ultimement. Pareil pour Various. Pareil pour Mourmur. À quoi bon entraîner autant de personnages dans ce tome si c’était pour les faire disparaître sans leur donner de rôle à jouer ?
- Enfin, et surtout : Dragons contre démons ? Sérieusement ? Ce tome n’a pas vu de conflit entre ces deux espèces. Je suis formelle, l’opposition de ces deux peuples n’était pas un thème dans l’histoire. La rivalité entre Chem et Archange pour la main de Tara n’a pas été une question. Les dragons en eux-mêmes n’étaient même pas présents dans le thème de l’histoire. Enfin, je serais bien en difficulté si je devais trouver le thème de cette histoire.
Ma lecture n’a pas été semée que de mauvaises choses. J’ai apprécié des passages, qui ont offert le divertissement que je voulais en commençant ce Hateread. Mais lire l’ensemble en critiquant à la va-vite, à la manière de Plm, donne vraiment cette réalisation. Un peu une recette de pourquoi Tara Duncan n’est pas une bonne série. Et aussi une recette de pourquoi ça marche quand même.
C’est donc la fin. On en a terminé. Pour ne pas abandonner le navire sur une note trop abrupte, j’envisage de faire un dernier post au sujet de ce tome : le top 10 des personnages de fond que j’ai préférés dans Dragons et démons. La quatrième place va vous étonner.
Désolée, je pense renoncer à mon idée de réécrire le chapitre 7. Un peu la flemme de mettre de mon écriture dans un univers pareil. De la même manière, même si l’idée était un peu drôle, je ne me vois pas faire un post de lecture des notes du tome. Un peu compliqué à envisager.
J’espère que vous avez trouvé votre compte dans cette critique malgré tout. N’hésitez pas à en parler, vous êtes désormais libres de tout me spoiler, tome 11, tome 12, je n’en ai plus rien à faire !
J’ai encore des projets pour ce blog, si ça vous intéresse.
En attendant, je vous salue. Et que l’année 2025 se passe bien pour vous !
Déambib
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mangacultes80 · 2 months ago
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Kennosuke-sama
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Infos Oav : Akira Toriyama a un gros problème d'équilibre : il ne peut pas s'empêcher de raconter des histoires ! On aurait pu penser que des séries comme Docteur Slump ou encore Dragon Ball auraient suffi à évacuer ce trop-plein d'imagination, eh bien non ! Entre deux tomes ou entre deux planches, Akira Toriyama est de nouveau assailli d'idées. Seul remède à cette pulsion créatrice : dessiner ! Aussi, parallèlement à ses séries les plus célèbres, le maître n'a pas pu s'empêcher de raconter de petites histoires aujourd'hui réunies dans ce recueil.
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kilfeur · 8 months ago
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Y avait quelque chose qui me tracassait concernant le passage où Kazi et Callum découvrent le poème ainsi que le texte de la lame de Nova. Donc j'ai voulu revoir l'extrait pour voir si je pouvais avoir une seconde lecture.
"Et bien qu'éternel, il rendit son dernier souffle, Laurelion l'immortel n'était plus."
@starry-skies-writes avait parlé dans un post que ce passage est assez paradoxal. Disant que si une étoile meurt, sa lumière traverse toujours l'univers et c'est ce qu'on voit. Donc ce serait possible que quelque chose de similaire arrive à Aaravos. Même si il meurt, il sera toujours présent d'une autre manière, peut être qu'il deviendrait une sorte d'esprit par exemple ? Ça collerait avec le seul sort de l'étoile qu'on connaît qui est capable de réunir un esprit et un corps ensemble.
Puis vient le passage décrivant la lame de Nova :
"Blanc est le coeur de l'étoile qui l'a transpercé, l'ivoire draconique a infligé la morsure de la mort. Désormais connu sous le nom de Lame de Nova"
A mes yeux, la Lame de Nova est comme Excalibur, une lame incassable capable de couper toute matière. Il est même dit de son fourreau qu'il le protège de toute blessure (bien que je doute que la Lame de Nova a un fourreau). C'est intéressant car justement dans les légendes, Excalibur est surtout connu pour être un symbole de la légitimité d'Arthur en tant que roi. Et je pense que quelque chose de similaire va arriver dans la tour pour Callum, il pourra recevoir la lame selon deux possibilités : soit la lame vient à sa main dans un moment crucial ou bien il devra la retirer de son socle. Mais seulement si il en est digne. Car je pense que c'est l'arme qui va choisir son détenteur et non l'inverse. Le fait que justement Callum a un parallèle avec Harrow vu que tout deux ont choisi le bandeau sans compter la couronne. Ça ne fait que solidifier ma pensée comme quoi il va être légitime de la Lame de Nova mais aussi de la couronne du paradis.
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En revanche, il y a quelque chose d'autre qui me tracasse au sujet de la lame de Nova. Si cette lame est aussi dangereuse, pourquoi elle est justement gardée dans une tour protégés par des elfes célestes ? Ça n'aurait pas été plus logique de détruire cette lame si c'est une menace pour eux ? L'une des seules description qu'on a du peuple des elfes des étoiles : c'est qu'Aaravos les voit comme arrogants, que selon Rayla ce sont les premiers elfes. Ils n'ont pas écouté les supplications de l'humanité et auraient provoqué des cataclysmes lorsque l'humanité avait utilisé la magie primale dans les histoires courtes.
Peut être que c'est justement à cause de leur arrogance, qu'ils se disent que tant que cette arme dangereuse est loin d'eux ils seront en sécurité. Ou bien justement ils pensent pouvoir être suffisamment puissant pour pouvoir surpasser cette lame. Du coup une question se pose qui a forgé la Lame de Nova ? Était ce l'humanité elle même qui a décidé de se venger contre les elfes des étoiles ? Ou bien il s'agit d'un elfe des étoiles lui même qui l'a forgé ? Et si la deuxième option est vrai, je pense que ce serait assez intéressant.
There was something bugging me about the part where Kazi and Callum discover the poem and the text of Nova's blade. So I wanted to see this passage again to see if I could have a second reading.
"And though undying, took last breath, immortal Laurelion was no more."
starry-skies-writes had talked in a post that this passage is quite a paradox. Saying that if a star dies, its light still travels through the universe and that's what we see. So it would be possible for something similar to happen to Aaravos. Even if he dies, he'll still be present in some other way, perhaps becoming something like a spirit? That would fit in with the only star spell we know of that's capable of bringing a spirit and a body together.
Then comes the passage describing Nova's blade:
"White is the heart of the star that pierced it, draconic ivory inflicted the bite of death. Now known as the Nova Blade."
In my eyes, Nova's blade is like Excalibur, an unbreakable blade capable of cutting through any material. Its sheath is even said to protect it from injury (although I doubt Nova's blade has a sheath). This is interesting, because in the legends, Excalibur is best known as a symbol of Arthur's legitimacy as king. And I think something similar will happen in the starscraper for Callum, who will be able to receive the blade in two possible ways: either the blade comes to his hand at a crucial moment, or he'll have to remove it from its base. But only if he's worthy because I think it's the weapon that will choose its owner, not the other way around. The fact that Callum has a parallel with Harrow, given that they both chose the blindfold, not to mention the crown. This only solidifies my thought that he'll be legitimate to the Nova blade but also to the Corona of Heavens.
However, there's something else that puzzles me about Nova's blade. If this blade is so dangerous, why is it kept in a tower protected by celestial elves? Wouldn't it make more sense to destroy the blade if it's a threat to them? One of the only descriptions we have of the startouch elves is that Aaravos sees them as arrogant, and according to Rayla, they're the first elves. They didn't listen to humanity's pleas and provoked cataclysms when humanity used primal magic in the short stories.
Perhaps it's precisely because of their arrogance, that they tell themselves that as long as this dangerous weapon is away from them, they'll be safe. Or maybe they just think they're powerful enough to overcome this blade. Which begs the question: who forged the Nova Blade? Was it mankind itself who decided to take revenge on the startouch elves? Or was it a startouch elf himself who forged it ? And if the second option is true, I think it would be pretty interesting.
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