#Heureux qui comme Ulysse
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Notre-Dame Restoration Reveals Renaissance Poet's Coffin
The tomb of one of France’s best-loved early poets has been discovered during post-fire restoration work in Notre-Dame cathedral.
Scientists say they are nearly certain a lead coffin found beneath the transept is that of Joachim du Bellay, who died in Paris in 1560 at the age of about 37.
The 2019 fire, which destroyed Notre-Dame’s roof and spire, has provided a rare opportunity for archaeologists. Their findings will be on display at an exhibition from November, shortly before the cathedral’s re-opening.
Born near Angers in western France around 1522, du Bellay was – with Pierre de Ronsard – founder of a circle of poets known as La Pleiade which championed French, rather than Latin, as a language of poetry.
It was known from records that du Bellay was buried in Notre-Dame, where he had served as a minor clerical official. But his tomb has never been found.
Analysis of the skeleton inside the lead coffin revealed it to be of a man aged about 35, who suffered from bone tuberculosis in his neck and head, and spent a lot of time in the saddle.
Du Bellay suffered in later years from deafness and debilitating headaches – symptoms consistent with the researchers’ findings. It is also known he was a regular rider, having notably made the journey from Paris to Rome on horse.
One remaining question is why the body was where it was, and not in the side-chapel where it was recorded as being interred.
One theory is that it was moved to the new site after his name became famous with publication of his collected works some years after he died.
Du Bellay is still taught in French schools, and a few of his poems are widely-known.
The most famous Heureux qui comme Ulysse (Happy he who like Ulysses) is about nostalgia for one’s childhood home.
By Hugh Schofield.
#Notre-Dame cathedral#Notre-Dame Restoration Reveals Renaissance Poet's Coffin#Poet Joachim du Bellay#La Pleiade#Heureux qui comme Ulysse#art#artist#art work#art world#art news#ancient artifacts#archeology#archeolgst#history#history news
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Georges Brassens - Heureux qui comme Ulysse
Happy he who like Ulysses Journeyed far and wide Happy he who like Ulysses Has seen hundreds of lands And has regained again, after Many years of wandering The country of his youthful years
On an early summer morning When the sun sings within your heart Then how fine it is to be free Fine to be free!
When you’re better here than elsewhere When one friend can make you happy Then how fine it is to be free Fine to be free!
Heureux qui comme Ulysse A fait un beau voyage Heureux qui comme Ulysse A vu cent paysages Et puis a retrouvé Après maintes traversées Le pays des vertes années
Par un petit matin d'été Quand le soleil vous chante au cœur Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand on est mieux ici qu'ailleurs Quand un ami fait le bonheur Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Avec le soleil et le vent Avec la pluie et le beau temps On vivait bien content Mon cheval, ma Provence et moi Mon cheval, ma Provence et moi
Heureux qui comme Ulysse A fait un beau voyage Heureux qui comme Ulysse A vu cent paysages Et puis a retrouvé Après maintes traversées Le pays des vertes années
Par un joli matin d'été Quand le soleil vous chante au coeur Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand c'en est fini des malheurs Quand un ami sèche vos pleurs Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Battu de soleil et de vent Perdu au milieu des étangs On vivra bien content Mon cheval, ma Camargue et moi Mon cheval, ma Camargue et moi
[translation by Gulalys, lyrics by Henri Colpi, original poem by Joachim du Bellay]
#Georges Brassens#Heureux qui comme Ulysse#prison ballads#odysseus#the ramblin' rover#the phantom of liberty#Joachim du Bellay#poetry
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The tomb of one of France’s best-loved early poets has been discovered during post-fire restoration work in Notre-Dame cathedral.
Scientists say they are nearly certain a lead coffin found beneath the transept is that of Joachim du Bellay, who died in Paris in 1560 at the age of about 37.
The 2019 fire, which destroyed Notre-Dame’s roof and spire, has provided a rare opportunity for archaeologists. Their findings will be on display at an exhibition from November, shortly before the cathedral’s re-opening.
Born near Angers in western France around 1522, du Bellay was – with Pierre de Ronsard – founder of a circle of poets known as La Pleiade which championed French, rather than Latin, as a language of poetry.
It was known from records that du Bellay was buried in Notre-Dame, where he had served as a minor clerical official. But his tomb has never been found.
Analysis of the skeleton inside the lead coffin revealed it to be of a man aged about 35, who suffered from bone tuberculosis in his neck and head, and spent a lot of time in the saddle.
Du Bellay suffered in later years from deafness and debilitating headaches – symptoms consistent with the researchers’ findings. It is also known he was a regular rider, having notably made the journey from Paris to Rome on horse.
One remaining question is why the body was where it was, and not in the side-chapel where it was recorded as being interred.
One theory is that it was moved to the new site after his name became famous with publication of his collected works some years after he died.
Du Bellay is still taught in French schools, and a few of his poems are widely-known.
The most famous Heureux qui comme Ulysse (Happy he who like Ulysses) is about nostalgia for one’s childhood home.
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Heureux qui comme Ulysse...
#boston trip 2024#on the step of a revolution hero#forever in my heart#forty is not too old for a first travel#never stop dreaming#minutemen#john hancock#american revolution
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Le château de Fontainebleau☀️👑🕊
Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé
Après maintes traversées
Le pays des vertes années
Par un petit matin d'été
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand on est mieux ici qu'ailleurs
Quand un ami fait le bonheur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté…. Joachim du Bellay
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Nostalgie, quand tu nous tiens...
L'affirmation ''c'était mieux, avant'' revient régulièrement dans nos ''éditos'', au point de devenir un clin d’œil complice. En ces temps où ''tout le monde en a marre'', un colloque sur un sujet très proche s'est tenu, du 24 au 27 novembre derniers, au Mans. Pompeusement baptisé ''le 35 ème Forum philosophique'', il a tourné autour de ''l'Actualité de la nostalgie'', ce qui m'a donné l'idée de rephraser ma question favorite : ''C’était mieux, demain ?''. Barbara Cassin l'a fait, en évoquant d'autres ''hiers'', pleins d’espoirs futurs... que ''la flèche du temps'' semble rendre impossibles.
La philosophe et académicienne a commencé sa réflexion en racontant que son fils, lorsqu'il avait dans les 2-3 ans, lui demandait, après la lecture vespérale de son histoire quotidienne et juste avant de s’endormir : ''Maman, c’est aujourd’hui, demain ?''. Tout un chacun sait, intuitivement, que notre perception du temps est à la fois linéaire et indomptable, et que le présent ne cesse de s’évanouir, sans s'épanouir, entre le passé et le futur. Pourtant, la nostalgie a une façon bien à elle de bouleverser le temps, en bricolant le passé : on voudrait revenir à hier, on a envie qu'hier soit encore à venir, et puisse se rejouer... comme dans les idéogrammes japonais qui écrivent ''passé' en traçant une ligne devant les yeux et non pas derrière la tête, comme on pourrait le penser... En fait, la nostalgie vaut pour l’espace comme pour le temps : on veut revenir là où on était, où on est né, où on a fait sa vie, où on a été heureux ; on veut rentrer chez soi, surtout si l’on n’a plus de chez-soi, et on voudrait bien avoir, à tout moment, l’âge qu’on avait hier.
Ce drôle de mot est un ''vrai-faux fake'' ! En fait, c’est un pseudo-mot grec composé de ''algos'', la douleur, la souffrance, et de ''nostos'', le retour. Mais ce mot était inconnu d’Homère alors que, s’il existe un monument de nostalgie, c’est bien l’Odyssée, dont le vrai sujet est : est-ce que Ulysse va connaître le ''nostimon hêmar'', le jour du retour... et quand ? Et lui ne cesse de pleurer sur ce retour, mais ne parvient pas à rentrer et endure mille peurs, souffrances, fatigues et naufrages. A deux reprises, le héros voit de loin son Ithaque, sa terre natale, son royaume... et à chaque fois, il s’endort et laisse les vents contraires l'éloigner, une fois encore.
De manière curieuse, ce mot de ''nostalgie'' n'a pris forme qu'en 1678, lorsqu'un médecin suisse, Jean-Jacques Harder, l’a inventé pour que les Gardes suisses, ceux du pape comme ceux du roi de France, qui désertaient quand ils pensaient au chant profond des alpages, le ''ranz des vaches'', soient, non pas fusillés comme déserteurs (ce qu’ils étaient, en termes militaires), mais réintégrés et soignés comme des malades, ce que lui diagnostiquait. ''Ce n’est pas leur faute, disait-il : ils sont malades de ''nostalgie'' comme d’autres de lombalgie''. La preuve, miraculeuse ? Apercevoir leur village depuis une colline et entendre chanter le beau Lyôba, por aryâ ... suffisait à les guérir...
Depuis... la nostalgie est devenue beaucoup plus compliquée, et beaucoup plus difficile à soigner, comme l'avait expliqué Barbara Cassin (encore elle !) dans ''La Nostalgie'' (Ed. Autrement, 2013), répondant à la question : ''Quand donc est-on chez soi ?'' Elle cherchait une réponse en comparant trois destins emboîtés, (1)- Ulysse, le ''revenable'', qui doit quitter le lit conjugal, creusé dans le tronc d’un olivier encore enraciné, pour un extrême ailleurs, avant de pouvoir rentrer pour de bon ''vivre entre les siens le reste de son âge''. (2)- Enée, l’exilé sans retour, qui doit abandonner non seulement l’espoir de construire une nouvelle Troie, mais doit quitter jusqu’à sa langue pour pouvoir fonder, en latin, ce qui deviendra Rome. (3)- Et Hannah Arendt, qui n’appartient à aucun peuple, la naturalisée américaine qui n’est vraiment chez elle que dans sa langue, l’allemand plutôt que l’Allemagne, dans la chancelante équivocité du monde à ce moment terrible de l'Histoire.
Serait-on donc ''chez soi'', non parce qu’on a là ses racines, mais parce qu’on est accueilli ? Selon les pays, la ''Nostalgie'' varie, d'ailleurs, du Heimweh, le mal du pays, au home sweet home, qui reboucle et enracine chez soi, ou au Sehnsucht, l’éternel désir d’ailleurs, infini, aussi étrange et terrifiant qu’indispensable, inévitablement humain. On se souvient de Rimbaud : ''Je sais que je serais mieux ailleurs. Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs...''
De là, on en arrive très vite à l'anti-phrase : ''Demain, c’était mieux hier'',car hier, on pouvait encore croire à demain. Et c’est cela, précisément, qui est la nostalgie, aujourd’hui. Le ''demain d'hier'', on pouvait l'imaginer mieux, plus libre, plus intelligent, plus user friendly que le ''hier d'aujourd’hui''. Hier, on croyait au progrès de la science, des arts, de la sagesse, de l’humanité. Mais, surtout, on croyait au ''plus jamais ça''. Demain... c'était mieux hier, puisque privé à jamais de l’horreur, de la Shoah, d'Hiroshima, des guerres mondiales, et cetera... des ''et cetera' qu'allaient désarmer, sans doute, le lent mais irréversible mouvement d’émancipation des peuples, des hommes, des femmes, des enfants. L’avenir souriait, tout le monde.y croyait. C'était... hier !
Aujourd'hui, seule la nostalgie rend possible de croire que ce sera mieux demain... ou de croire que c’était mieux avant... Toute ma vie, j’ai cru à aujourd'hui et en demain, parce que le soleil se lève chaque jour, inattendu, splendide dans sa gloire, tandis que le ''aujourd’hui d’aujourd’hui'', c'est l'atroce souvenir du ''7 octobre'' et ses suites... Ce sont toutes les maisons de Gaza-City réduites –au sens propre-- en poussière... Ce sont les rives du Dniepr transformées en cimetières pour jeunes hommes que ne reverront jamais leurs parents, morts aussi, peut-être, des deux côtés... Ce sont des milliers d'ulysses morts en Méditerranée parce que nos pleutres-au-pouvoir n'ont pas eu le courage et la clairvoyance de dire ''On ne passe plus : il n'y a plus de point de chute !'', arrêtant instantanément ce massacre (et la fortune des ''passeurs'')... Ce sont tous les enfants soumis aux idées criminelles du jour, à qui on fait haïr et mépriser leurs parents qui auraient détruit la Terre, ou à qui on fait croire qu'ils peuvent impunément changer de sexe, ''pour voir''. Où ai-je lu, il y a peu : ''On va droit dans le mur, mais c'est pas grave : on a allumé les phares, donc on voit le mur''.
Aujourd’hui, si personne n'ose plus dire ''c'était mieux, hier'', par crainte de représailles venues du ''système'', de moins en moins de gens pensent que ''ce sera mieux demain'', et la Loi soi-disant ''immigration'' votée hier (voir ci-dessous) en est un bel exemple.... Le lavage de cerveaux, après 30 ou 40 ans de ''credo'' progressiste, n'a toujours pas pris dans les têtes, et c'est tant mieux : la tendance, aujourd'hui, permet d'espérer un réveil de notre ancienne sagesse et un retour à des jours meilleurs... même si l'horreur et le pire restent, encore, des alternatives permanentes, menaçantes et redoutables... Ce qui est certain, c’est que c'est hier que c’était mieux demain, et c’est de cet hier d’espoir dont tout le monde a la nostalgie, ce sentiment qui refait surface lorsque la réalité devient insupportable... Etonnez-vous qu'il fasse un retour en force, en ces jours noirs !
H-Cl
PS – Impossible de ne pas dire un mot de l'actualité : les vacances qui arrivent vont empêcher de tirer les conséquences du ''drame comique'' qui déchire la France, la Droite, la Gauche, les français, la majorité non-majoritaire... et tout le reste. Comme nous l'annoncions depuis longtemps, cette loi –dite d'immigration-- est ''passée'', au prix de contorsions honteuses. Elle ne va rien changer, sauf un tout petit peu, à la marge, et le fait qu'elle ait été heureusement durcie transformera ce ''rien'' en ''presque rien''. En revanche, préparons-nous à souffrir : pour se venger d'avoir été aussi nuls que d'habitude, les macronistes vont nous faire payer cher leur défaite, et nous allons donc ployer sous le poids de lois affreuses, mais ''à gauche'', sur tous les sujets : assassinat légal des malades et des vieux, permission de tout ce qui est défendu, promotion de ce qui est interdit, encouragement de tout ce dont la vaste majorité de nos concitoyens ne veut pas, tolérance zéro pour tout ce qui s'écarte –fut-ce un peu-- de la doxa de Gauche, et, ''comme d'hab'', bobards, mensonges et contraintes perverses poussés à l'extrême...
Nous aurons besoin de beaucoup de ''bons vœux'', pour contrer le tsunami qui se prépare, dès aujourd'hui, au Cons Cons (pour ''-eil'' et ''-titutionnel'' !), comme un raz-de-marée de grosses macronneries... dont la première fut sans doute cet interminable ''foutage de gueule'' que l'Elysée nous a imposé ce 20 décembre au soir : deux heures interminables de pur déni de toute réalité ! Les français, pas idiots, jugeront...
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Can you please when you have time ofc, write a list of the books any French high-school graduate should have read? Like the baccalaureate curriculum for example. I'm seeking to catch up my general knowledge of universal literature + attempt to read directly in French
Sure!
Now curriculum may vary and there was a reform of education since I left high school so it might have changed but what any french graduate should have read: (authors in bold, titles in italics)
Poetry (middle ages and early Renaissance):
Any three poems from Joachim du Bellay or other poets from the Pleiade. Most important is Heureux qui comme Ulysse.
Also look up who the Pleiade were.
16th and 17th centuries novels:
La Princesse de Montpensier, by Madame de Lafayette. 90 pages but very, very antiquated language.
Gargantua, by Rabelais. It's NOT cheating to take the modern-french translation. Native speakers do it. It's not cheating either to just dump it half-way through because you don't understand half of it. Native speakers do it too.
La Belle et la Bête, by Madame Leprince de Beaumont.
Any fairy tale by Perrault.
Les Liaisons Dangereuses, by Choderlos de Laclos. Please. Do. Not. Read. It. It's awful, the protagonist rapes a 15yo girl but it's ok because him loving her is making him into a better person (Yikes), the whole thing is about the protagonist and his long-time on-and-off girlfriend (who's married to someone else) teaming up to dirty/perverse two (maybe three?) innocent young ladies. It's studied because it's a classics, not because it's good. Please. Don't subject yourself to it.
Les Lettres Persannes, by Montesquieu. letters from a bunch of fictional characters to the others, two iranians (but at the time Iran was called Perse) visit France and criticize everything (way for Montesquieu to criticize but be able to say "nah it's my characters saying that not me"). TW of suicide and incest iirc. Not something too graphic either, since it's always second-hand testimonies or third-hand.
Theatre of the 17th and 18th centuries:
Le Cid, by Pierre Corneille.
At least one play by Molière. Can't recommand because I don't remember much of it. Do read summaries for a few of his plays though because some characters names have passed into common language to mean the type of characters they were (a Harpagon is going to be a greedy man, a Tartuffe a guy pretending to be devoted but being a hypocrite...)
Le Mariage de Figaro, by Beaumarchais. It's a political satire but also people are jumping from the window so that the husband doesn't find them in the lady's room. Basically.
If you fell in love with theatre at that point, you can look up Racine but fair warning, all of those have old language but Racine (along with Corneille) have very old language.
19th century novel:
Short version of Les Misérables, by Victor Hugo. I'd recommand the long one but only the short one is required and also the long one has 40 pages of description of the parisian sewers system with no relevance at all to the story and that's not the only long digression so... Do what you want.
A book by Honoré de Balzac, whichever you'd want. If you want to read the whole series, it might be best to look up the order on wikipedia, they'll know better than me. Basically him and the next author on the list had a bibliographic universe before Marvel made it cool. 60-or-so books with common characters but not the same protagonists. I'd recommand you simply go with Le Lys de la Vallée, slightly royalist and apparently the easiest to read? (so i've been told but i didn't read it myself so...)
Any book by Emile Zola. I'd recommand Au bonheur des dames because it has to be the only one with a happy ending and a cute romance out of the 40-and-more books by Zola.
Bel-Ami, by Guy de Maupassant. The protagonist has no morals but it's funny. Kinda.
Madame Bovary, by Gustave Flaubert. A tad bit depressing. Not the most interesting either. But it's one of the few that have been studied more than once in my schooling so I know it's an important one.
19th century theatre:
Hernani, a play by Victor Hugo. Tragedy, so a bit sad. But do look up the Battle of Hernani (sorry there's not a big choice of languages for this one on wikipedia). Basically founded the french romantic genre. Quite a scandal.
If per chance Hernani was love at first reading for you, you might also like Ruy Blas, still Hugo, although i found it a bit less good. If you want a ridiculously overdramatic, over-the-top movie freely inspired by Ruy Blas but in which no one dies, you've got La Folie des Grandeurs, a comedy with Louis de Funès.
Cyrano de Bergerac, by Edmond Rostand, and if the style of the author makes you want to read more, go for l'Aiglon, which is about Napoleon's son but is a bit sadder.
19th century poetry:
Les fleurs du mal by Baudelaire. Awful. Simply awful. I mean you can try a few. I hated them all. Not necessary to have read all of them by any mean.
20th century:
A Ionesco play, either La Cantatrice Chauve or Rhinoceros, for the Theatre de l'Absurde. La Cantatrice Chauve is funnier I think.
Actually I won't give you any novels from that century because most of the ones studied suck and also it's for post-bac (after graduation) studies so it doesn't fall under the ask.
Now if I had to give you a few classics to read, what I'd recommand:
Les Trois Mousquetaires, by Alexandre Dumas.
Le Comte de Monte-Cristo, (ibidem). Luckily this one is on substack format at the cristo account.
Notre-Dame de Paris, by Victor Hugo.
I think that's all. If you've got any more questions, about books or about whether or not it's worth reading That Book instead of watching an adaptation or reading a summary, or which adaptation of, for example, Les Miserables, is the best, I'm here to answer them.
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ah damnit I have "heureux qui comme ulysse" stuck in my head.
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Visite de BONIFACIO
Bonifacio perchée à 70 mètres, sur des falaises de calcaire blanc, Bonifacio semble, depuis la mer, flotter dans les airs. Cette cité, subjugué par Charles Quint et Napoléon ; demeure mystérieuse à bien des égards. il n'est pas prouvé qu'Homère l'ait vraiment décrite : "heureux qui comme Ulysse la découvre dans toute sa splendeur"
Bonifacio divisée en deux grandes parties : - le joli port de pêche avec sa marina et la ville basse qui s'étend le long d'un goulet de près de 2 km, - et la ville haute, la partie ancienne qui est entièrement piétonne et surplombe la mer.
Port de bonifacio La marina se trouve au pied de la citadelle. Vous trouverez de nombreux bars et restaurants et quelques commerces. Vous pourrez en profiter pour boire un verre en terrasse et admirer les fabuleux yachts amarrés au quai. C’est depuis le port que partent les croisières en mer pour voir les falaises de Bonifacio et les navettes pour rejoindre les îles LAVEZZI ou la Sardaigne. Le petit train débute aussi son circuit à ce niveau-là. Juste en face du port, vous trouverez des parkings payants où laisser votre voiture le temps de votre promenade à pied dans Bonifacio. Le quartier du port, se la joue très Chic, en été avec son ballet d'immenses yachts viennent y mouiller. Celui-ci gardé par l'église Saint-Érasme (XIIème siècle), vouée au Patron des pêcheurs, qui vaut le détour pour son dôme néo-byzantin. L'église Saint-Erasme : Au pied de la montée Rastello à Bonifacio, on trouve cette chapelle Saint-Erasme (San Teramu en Corse), la seule du faubourg de la Marine. Dominée par la citadelle, et surtout par le massif Bastion de l'Etendard. Saint-Erasme existait depuis 1686, comme oratoire du quartier ; elle fut agrandi jusu'au XXè siècle ; Les petites coupoles de style néo-byzantin ayant été rajoutées en 1936. Les statues en bois de Saint-François et de Saint-Erasme(patron des pêcheurs et des gens de la mer) côtoient une peinture du XVIIe de la Vierge à l'enfant aux côtés du Saint-Patron.
Pour chercher un peu de fraîcheur, empruntez le sentier des plages. Permettant de découvrir la campagne environnant en longeant la rive nord du goulet (1h30 de marche) ; ou s'engouffrer dans l'Aquarium, qui présente dans une grotte naturelle, des espèces capturées dans les Bouches de Bonifacio. (L'Aquarium de la Mer de Bonifacio, ouvert à la visite du lundi au dimanche d'avril à octobre. Proposant un parcours permettant de découvrir les richesses de la faune et de la flore de la méditerranée comme les langoustes, les murènes, les étoiles de mer et bien d'autres spécimens encore. La visite est payante de 4 euros pour les adultes et de 2 euros pour les enfants.)
Bonifacio Près de l'église Saint-Érasme, on accède à la Ville Haute par le col Saint-Roch et la montée de Rastello. Vous permettant d'admirer les maisons construites en bord de falaise, comme prêtes à sauter dans le vide.
En tout cas, pour l’ascension de la montée Saint-Roch, vos muscles seront bel et bien sollicités. Mais quelle récompense vous attend ! Elle slalome de par un col, jusqu’à la chapelle Saint-Roch. En haut, le spectacle est époustouflant. Vous surplombez la mer, la ville, les murs d’ocres, le port et la Citadelle. Au loin, la Sardaigne. Chapelle Saint-Roch Si vous la voyez d'en haut, vous pourrez vous croire sur une île grecque. Toute blanche sur un fond de mer bleue, avec son petit clocheton surmonté d'une croix, elle représente pourtant une histoire bien funeste. Petit rappel : saint Roch, né à Montpellier, consacra sa vie à combattre la grande peste noire qui ravagea l'Europe au milieu du XIVe. Bien sûr, il finit par attraper la terrible maladie et c'est pourquoi on le représente montrant ses plaies. Bonifacio n'échappe pas à l'épidémie qui fit des ravages dans l'île, l'année 1528. La ville aurait perdu les trois-quarts de sa population. On bâtit la petite chapelle, soi-disant, à l'endroit où mourut la dernière victime de l'épidémie. Chaque année, le 16 août, on se souvient de saint Roch, que l'on honore lors d'un spectacle culturel en langue bonifacienne.
Remonter vers la Porte de Gênes percée dans les remparts.
La Porte de Gênes Unique accès à la ville jusqu’en 1854 et fait face au Bastion de l’étendard . Véritable forteresse, difficile de s'en approcher puisque la porte est doublement surveillée par des « meurtrières ». Seul accès à la citadelle jusqu’au 19 -ème siècle, elle est munie d’un pont levis datant de 1830. Celui-ci remplacé l’ancien (datant tout de même de 1598) et fonctionnait avec un système de poids et de poulie. La Citadelle Bonifacio Il faut oser se perdre dans les ruelles de Bonifacio, lever la tête pour découvrir les miracles d’ingéniosité dont on a fait preuve pour construire ses maisons. Flâner, prendre le temps d’observer. L’atout maître de Bonifacio est l’intelligence avec laquelle cette ville a été construite. tout a été pensé en vue d’un avantage stratégique contre les attaques ou sièges éventuels. De chaque côté de l'église, des arcs-boutants viennent renforcer les murs. Des canalisations ont été également creusées permettant d’acheminer l’eau de pluie récoltée sur les toits vers une citerne dissimulée sous l’église…
Autre aspect de cette vie : les besoins élémentaire ; Chaque maison avait sa propre réserve de grain ; Les silos Les escaliers des habitations sont tout aussi intéressants : il faut remonter à l’époque où la ville ne cherchait qu’à se protéger. Les portes étaient quasiment infranchissables : inexistantes en rez-de-chaussée. On accédait aux maisons par une échelle que l’on remontait ensuite derrière soi… Cette citadelle médiévale du XIIIè siècle force l’admiration de part sa conception en haut des falaises, et sa parfaite conservation. Rendez-vous, le vendredi matin au marché qui se tient sous loggia de l'Arsenal de debut avril à fin octobre dans la haute ville de 8h à 13H; L'occasion de vous rapprocher de culture culinaire des lieux que vous visitez Mais vous y trouverez des produits locaux comme : - de la charcuterie, - biscuits, - légumes, - préparations culinaires - huiles essentielles...... C'est occasion d'échanger avec les Bonifaciens et de récupérer quelques bonnes adresses.
Ne quittez surtout pas cette pointe de la Corse sans aller faire un tour :
Le Bastion de Létandard
Certains pourraient croire qu'il s'agit d'un château, mais il s'agit en réalité de l'imposante forteresse qui domine l'entrée du port. Le Bastion de l'Etendard date du XIIIe siècle et fut bâti par les Génois. Détruit au XVIe siècle par les bombardements de l'armée franco-turc, commandée par Dragut, le bastion fut rebâti dans la foulée en respectant le tracé du bastion génois. Il fut néanmoins adapté aux nouvelles techniques de sièges, notamment grâce à des fortifications « à la Vauban », bien plus solides. En savoir plus
L'Eglise-Sainte Marie-Majeur
La présence de l' Eglise Sainte-Marie-Majeure : Attestée dès le XIIIe siècle dans des actes notariés dont le plus ancien remonte en 1222.La façade occidentale dotée de trois portes d'entrées percée d'une grande rose qui constituait, à cette époque, l'éclairage principale de l'église. L'ensemble correspondant à la nef, aux bas côtés et aux absides remanié aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. En sovoir plus
Le cimetière marin de Bonifacio
Il vous dévoilera les voyages périlleux que les marins ont entrepris pour rejoindre ces rivages. Ainsi que les tombes ornementées des braves âmes qui n'ont pas survécu. Vous allez découvrir la véritable signification de la mer pour la ville et bénéficier d'un spectacle somptueux, lors du coucher de soleil sur la mer Méditerranée. En savoir plus
Le Gouvernail
Un point de vue insolite sur le détroit situé juste à côté du Cimetière Marin, à l’extrême pointe de la presqu’île, ce site militaire : un long tunnel de 168 marches creusées dans la falaise. En savoir plus
le grain de sable
Situé Sutta Rocca est un célèbre et énorme rocher dans la mer, détaché de la falaise. Il y a plusieurs siècles, les cartes anciennes le nomment "scoglietto". La partie qui émerge de l'eau est haute d'une quarantaine de mètres environ. Sa partie supérieure est recouverte d'une maigre végétation persistante. Il est aussi le paradis des oiseaux de mer. En raison de ses proportions massives mais harmonieuses, les Bonifaciens l'avaient surnommé "u Diu Grossu" (le Gros Doigt ou le "Pouce"). En savoir plus
L’escalier du roi d’Aragon domine les Bouches de Bonifacio,
(inscrit au titre des Monuments historiques).Il figure parmi les sites les plus fréquentés de la Corse. La légende raconte : il aurait été creusé en une seule nuit par les troupes d’Alphonse V le Magnanime, à l’occasion du siège de Bonifacio en 1420.Situé à l’extrême pointe sud de l’ile de Beauté. Il relie la mer à la citadelle, en débouchant au pied de la terrasse, sur laquelle se dressait autrefois la tour du Castellet. Taillé par la main de l’homme dans la falaise calcaire ; Celui-ci compte 189 marches sur une hauteur de 65 mètres, le long d’une pente à 45°. Sa largeur n’excède pas 80 cm par endroit. 54 000 visiteurs font le déplacement tous les ans pour le découvrir. En savoir plus Découvrir nos logements : Read the full article
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Vivre dans un pays dont on ne parle pas la langue
On dit "heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage", certes mais personne ne lui a demandé comment il a baragouiné son grec pour se faire comprendre.
En arrivant au Mexique, bien que plusieurs choses m'ont surprises. Ce qui m'a le plus marqué et qui est pourtant le plus banal : C'est la barrière de la langue.
Vous pensez que ce que j'écris est simpliste mais quand vous rencontrez des gens qui ne parlent même pas anglais, c'est tout votre vocabulaire que vous perdez. Surtout que l'espagnol est une langue qui se lit bien certes, mais avez-vous déjà entendu un espagnol parler ? On se demande quand est-ce qu'il reprend sa respiration... Et pourtant peut-on appeler cela une barrière? Bien que mon expérience se limite seulement à deux semaines, je remarque déjà qu'il est possible de sortir avec des amis, rencontrer de nouvelles personnes, parler avec des professionnels avec 3 ou 4 mots (tel un Macgiver de la langue). En fait on n'oublie même que le language non verbal existe. Un sourire, un hochement de tête, une expression de visage vaut parfois mieux que milles mots.
Huelbecq disait dans son livre "Sérotonine" que les homme s'entendent du moment qu'ils ne parlent pas la même langue. Lorsqu'ils finissent par se comprendre, ils ne s'entendent plus.
Pour l'instant avec ma maigre expérience, je témoigne seulement d'une expérience humaine et linguistique. Je reviendrai plus tard pour d'autres publications.
Salud ;)
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also i had two quotes pop up in my head while writing this - du bellay's "heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage.../et puis est retourné, plein d'usage et de raison, vivre entre ses parents le reste de son âge" (happy he who, like Ulysses, has traveled much/ and then returns, filled with customs and [ways of thought], to live out his days among his family)
and Horace's "'Caelum non animum mutant qui trans mare currunt.(They change their sky, not their soul, who rush across the sea.)' -
there's a bunch more I could add on either side (Cavafy's "The City," for example) but the dialogue between travel as a complete transformation vs. personality as an unchangeable core is long indeed.
one of the reasons why "what if people went on a road trip and it was weird" is one of the oldest story types is that a lot of sense of personhood has been, historically, tied to place. the weird road trip says "what if we went somewhere else, where no one knows us, and tried out being a different person".
Odysseus, the famous liar, goes on a weird road trip & over the course of it becomes several different people, and then comes home & is all those people as well as himself, wearing the echoes of those other people
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HEUREUX QUI COMME ULYSSE
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :
Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la douceur angevine.
Happy the one who, like Ulysses, has taken a marvelous journey,
or like him who won the golden fleece,
and then comes home, full of wisdom and knowledge,
to live among his family the rest of his days!
Alas, when will I see the smoke from the chimneys
of my little village, and what time of year
will I see again the garden walls of my poor house,
which to me is a province and much more?
The home my forefathers built
pleases me more
than the bold façades of Roman palaces,
more than hard marble I like fine slate;
more my Gallic Loir than the Tiber of Rome,
more my little Liré than the Palatine Hill,
more the softness of Anjou than the sea air.
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Plaque en hommage à : Joachim du Bellay
Type : Lieu de travail
Adresse : 11 impasse Chartière, 75005 Paris, France
Date de pose : 1926 [inscrite]
Texte : Ici s'élevait le collège de Coqueret où Joachim du Bellay composa "La deffence et illustration de la langue françoyse" et reçut avec Pierre de Ronsard l'enseignement de Dorat
Quelques précisions : Joachim du Bellay (~1522-1560) est un poète français, considéré comme l'un des plus importants de son temps aux côtés de Pierre de Ronsard, avec qui il forma le groupe dit de la Pléiade dont l’œuvre s'appuie intensément sur un manifeste rédigé par du Bellay, La Défense et illustration de la langue française (1549). Il est principalement connu pour ses sonnets élégiaques, en particulier le recueil Les Regrets, publié en 1558 et où l'on trouve le célèbre vers "Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage". Ce recueil est également une critique de la société romaine de son époque. Sa santé décline dès l'année 1557, et il meurt d'apoplexie en 1560. Un musée portant son nom honore sa mémoire à Liré, sa ville natale. Une autre plaque commémorative en son honneur peut être trouvée à Paris, dans l'actuel quatrième arrondissement.
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BLOOMSDAY 16 juin 1904-16 juin 2024 Dans Ulysse (publié le 2 février 1922 à Paris par Sylvia Beach qui a ouvert la célèbre librairie Shakespeare and Company) de James Joyce (1882-1941), Leopold Bloom transhume dans Dublin le 16 juin, c'est son Odyssée, son voyage. Depuis 1954, Dublin célèbre le jour de Bloom. Voici des liens vers Shakespeare and Company, le site dédié à cette journée, un documentaire sur Arte de Frank Callanan et un formidable podcast en 5 parties de Laura El Makki et David Federmann. https://www.shakespeareandcompany.com https://www.bloomsdayfestival.ie https://www.arte.tv/fr/videos/103013-000-A/ulysse-de-james-joyce/ https://podcastmagazine.fr/heureux-qui-comme-james-joyce/
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Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,Ou comme celui-là qui conquit la toison...
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Peinture acrylique de Fernandel dans "Heureux qui comme Ulysse
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