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Maison Gainsbourg
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L’exposition « Gainsbourg, le mot exact » s’ouvre à la bpi du Centre Pompidou. Le lieu est idoine pour découvrir, grâce à sa propre bibliothèque, le processus créatif de l’homme à la tête de chou et sa construction personnelle. Les livres de Sade, Breton, Huysmans, Baudelaire, Allan Poe,… côtoient des ouvrages consacrés au cinéma ou à la culture pop et des biographies de musiciens ou de sportifs. Le portrait du dandy poète surréaliste, en phase avec la société, se dessine. L’artiste aime les mots. Une phrase résonne et son génie de parolier s’éveille. On déchiffre avec émotion les brouillons illisibles d’initial BB, de je t��aime moi non plus ou de Ford mustang. La scénographie de l’exposition, une partie noire et l’autre blanche, suggère une lecture plus fine du musicien. Il se complaît dans la dualité ; Dr Jekyll et Mr Hyde. « Derrière le personnage désinvolte et désenchanté, se cache une vive sensibilité » panthéonise le Larousse. Ginsburg écrit : « Je suis l'homme à tête de chou. Moitié légume, moitié mec » et se construit minutieusement des doubles avec en point d’orgue, Gainsbarre, un personnage médiatique provocateur. Les objets personnels exposés et les coupures de presse sur sa carrière qu’il a conservées illustrent cette volonté. Après le 8 mai 23, date de fin de l’exposition, tous ces trésors, issus du 5 bis rue de Verneuil, la maison de Gainsbourg à Paris, constitueront le fonds du musée dédié à l’artiste. Sa maison se visitera et un piano-bar, le Gainsbarre, permettra de se restaurer ou de siroter des cocktails en soirée. On a hâte. Abonnez-vous à paris_aimelart @centrepompidou @bpi_pompidou @charlottegainsbourg @maisongainsbourg @paris_aimelart @paris @timeoutparis @quefaireaparis @paris.explore @paris_art_com @artaparis @paris_culture @expositionparis.info @paris_love_street @parismusees #centrepompidou #lemotexact #sergegainsbourg #gainsbourg #gainsbourglemotexact #gainsbarre #MaisonGainsbourg #parisaimelart #paris_aimelart #parisexpos #parisexposition #exposparis #paris #exposition #parismusees #parisculturel #quefaireaparis #artparis #parisart #parisjetaime #parislife #parissecret #parisianlife #culture #expo (à Centre Pompidou) https://www.instagram.com/p/Cn7WG4SIvWm/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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PATRIMOINE | Maison Gainsbourg à Paris (maison historique et musée) ➽ https://bit.ly/Maison-Gainsbourg Ayant ouvert ses portes en septembre 2023, la Maison Gainsbourg est une institution culturelle proposant une expérience sur deux sites distincts rue de Verneuil à Paris (7ème) : au 5 bis, la maison historique dans laquelle Serge Gainsbourg a vécu pendant 22 ans, l'intérieur légendaire ayant été conservé depuis sa disparition en 1991 ; en face, au numéro 14, un musée retraçant la vie et la carrière de l’artiste, une librairie-boutique et le Gainsbarre, café et piano-bar, permettent de prolonger la visite
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4 icônes mode et beauté inoubliables
Jane, Jackie, Audrey, Marilyn... Des prénoms de femmes pourtant si différentes, avec une chose en commun : toutes ont marqué l'histoire de la mode et de la presse people par leur beauté, leur élégance, parfois même leurs frasques. Retour sur quatre femmes propulsées au rang d'icône. Audrey Hepburn, l’élégance intemporelle Actrice mainte fois reconnue par la critique et icône mode incontestable des années 50, la belle Audrey se démarque par sa frange courte et son style, résolument chic. Rendue célèbre par ses nombreux rôles au cinéma, notamment pour Vacances romaines et Diamants sur canapé, c’est pourtant à une carrière de danseuse que la jeune Audrey se destinait. D’une silhouette élancée, presque androgyne, et très maigre, elle est à l’antipode des canons de beauté de l’époque qui privilégient les formes pulpeuses à l’égard de la célèbre Marylin Monroe. Pourtant, le film Sabrina la propulse en icône mode, dés lors, elle puise sa popularité de sa différence. Grande amie du créateur Hubert de Givenchy, elle sublime ses créations iconiques à l’écran comme à la vie. Tout naturellement, elle s’impose comme une dictatrice du bon goût, faisant de sa maigreur et de son élégance ses principales qualités, et créant son propre style, loin des dictats de la mode. Petites robes noires, lunettes de soleil, collier de perles et grands chapeaux, Audrey Hepburn a su faire de son authenticité une véritable force. Marylin Monroe, la sex-symbol incomprise Marylin Monroe étincellante dans sa robe satinée Très loin du style unique de la jolie Audrey, Marylin Monroe est la représentation de la pin-up des années 50. Petite, taille fine et courbes généreuses, elle se fait remarquer dans des petits rôles au cinéma avant de devenir le sex-symbol que l’on connaît. Véritable mythe, elle est plus connue pour ses amours tumultueux et ses nombreuses frasques que par son CV hollywoodien. Même si la belle Norma Jean Baker, de son vrai nom, décroche d’importants rôles comme dans Certains l’aime chaud en 1959, ce sont ses photos dénudées, sa chevelure blonde, son grain de beauté dessiné au crayon, sa robe soulevée par le vent au dessus d’une bouche d’aération ainsi que son fameux « Happy Birthday » et sa relation intime avec le président J.F.Kennedy qui construisent le mythe. Pourtant, vite enfermée dans le rôle de femme fatale qu’elle s’est créée mais qui ne lui ressemble pas, Marylin tombe en dépression. Elle se sent seule, réduite au stéréotype que son image lui renvoi et se perd dans l’alcool, les médicaments et les drogues. Cette triste descente aux enfers la conduira à sa perte, le 5 aout 1962. L’autopsie conclue à un suicide, bien que les circonstances de sa mort reste encore aujourd’hui mystérieuses. De sa mort est né un nouveau symbole. Celui d’une femme fragile, attachante, peut-être même incomprise. Mais plus que jamais, Marylin reste l’icône de beauté et de mode par excellence. Jane Birkin, la baby-doll des sixties Jane Birkin en tee-shirt en jean flare. Source : instagram Icône du style dans les années 60 et 70, Jane introduit avec désinvolture des looks innovants et révolutionne la mode à tout jamais. Elle lance même des tendances qui marqueront notre époque, notamment le combo tee-shirt, jean, baskets. A lire également : Portrait de Cyril LignacOn retiendra surtout de Jane, son idylle tumultueuse et passionnelle avec Serge Gainsbourg, dont elle fût la muse pendant douze ans. Ils se sont rencontrés sur le tournage du film Slogan en 1968, alors que Jane avait seulement 22 ans et un charmant accent britannique. De leur amour est née la petite Charlotte. Malheureusement, le couple mythique se sépare suite à de nombreuses frasques de Gainsbarre. Entre alcool et violence, Jane rompt définitivement avec Serge en 1980. Icône préférée des Parisiennes dans les années 70, Jane lance la mode de la frange effilée. Son style, composé des pièces phares vues sur les podiums, devient une référence en la matière. Robe en grosse maille transparente, panier en osier, top en coton, jean flare… Autant de basiques qu’elle revisite à sa manière, et qui lui permettent de devenir une véritable pionnière de la mode ! Jackie Kennedy, l’incarnation BCBG Jackie Kennedy descendant de l'avion a l'aeroport de New York ou elle va etre nommée pour sa contribution à la culture et aux arts du New York University's Institute of Fine Arts, 17 octobre 1962 Première dame américaine intemporelle, Jackie Kennedy, de son vrai nom Jacqueline Bouvier, demeure une icône de style et de grâce qui ne cesse d’inspirer des millions de femmes. Dés son arrivé à la Maison Blanche au côté du président John Fitzgerald Kennedy, Jackie bouleverse les codes vestimentaires traditionnels. Désireuse d’incarner la modernité, elle porte, sans jamais aucun faux-pas, des robes élégantes monochrome. Plus que les vêtements, le carré court bouffant qu’arbore Jackie devient très vite un accessoire de mode que de nombreuses femmes s’empresseront d’imiter. Presque aussi culte que la femme, personne n’oubliera le célèbre tailleur rose en maille bouclette qu’elle porte lorsque son mari se fait assassiner le 22 novembre 1963. Ce macabre tailleur apparaît d’ailleurs dans de nombreuses représentations de Jackie, notamment au cinéma. Tenues minimalistes, matières nobles, cheveux toujours bien coiffés, double rangée de perles autour du cou, Jackie s’est façonné un style unique. A la fois élégante et avant-gardiste, elle s’inspirait de l’élégance parisienne, sans toute fois trop en faire. Et vous, quelle est votre icône mode favorite ? Quelles femmes vous inspirent au quotidien ? Read the full article
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J'ai toujours aimé Gainsbourg. L'artiste, compositeur et parolier surtout, l'homme, je ne l'ai pas connu, et je ne vais pas le juger, même post mortem, surtout post mortem. Nous aurons tous pêché, plus ou moins gravement, depuis notre naissance jusqu'à notre mort, à quoi bon vouer aux gémonies un disparu?
J'aime le vrai Gainsbourg, celui que je n'ai pas connu de suite. Pas le Gainsbarre que je voyais à la télé quand j'étais jeune ou adolescent. Encore que je pouvais apprécier son goût pour les mots, sa dose de provocation parfois, et puis ce que je comprenais de la luxure apparente qui transparaissait dans ces chansons.
J'aime le vrai Gainsbourg, vous dis-je, l'orfèvre des mots qui a pondu "L'alcool" , qui a su mettre en musique Baudelaire, piocher chez Rimbaud, Verlaine, Heredia ou Poe des fragments à réécrire, qui a offert à tant de voix féminines d'excellentes harmonies et des merveilles de mots; j'aime ses racines slaves qui transpirent la folie et la passion, le goût exquis et amer de l'autodestruction.
J'aime qu'en se reconnaissant laid il savait pourtant séduire, j'aime qu'il savait surprendre ceux qui voulaient le réduire, j'aime qu'il soit resté indifférent à ceux qui voulaient lui nuire.
Il a fait ses choix, et tous sans doute n'étaient ni judicieux, ni bons, ni recommandables. Mais il les a assumé, avec liberté, avec audace, avec outrance parfois.
Alors oui, Gainsbourg m'accompagnera longtemps, peut être jusqu'à ma mort.
Etre enterré avec en fond musical "Requiem pour un con", ça a de la gueule, non?
(Copyright Lucas Heller, 03/04/2024)
(Sur une photo envoyée par un lecteur fan de Gainsbourg)
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Monsieur Depardieu
J'ai visionné la récente émission qui vous a été consacrée. Évidemment je n'émettrai aucun jugement définitif sur la base de ce reportage à charge essentiellement constitué de séquences volées. Pourtant, je vous y ai par moments trouvé très con et je dis ça parce que je vous aime bien, mais ceux qui vous ont dans le collimateur vont sans doute s'en donner à cœur joie pour vous fustiger allègrement.
Vos saillies verbales graveleuses (en Corée du Nord !) m'ont rappelé celles de Gainsbourg époque Gainsbarre qui, ado, alors que je l'admirais beaucoup par ailleurs, me mettaient terriblement mal à l'aise. Comme un aveu d'impuissance aux accents pathétiques.
Un point commun entre lui et vous outre la provocation : la poésie (il n'y a qu'à lire vos écrits pour s'en rendre compte, ou vous écouter parler en interview). Pas celle qui fait rimer hirondelle avec bleu du ciel, non ; plutôt celle, âpre, rugueuse, mal léchée, qui éructe ses mots en rappelant à qui veut/peut l'entendre que "ce qui est beau est moral, voilà tout et rien de plus. La poésie, comme le soleil, met de l'or sur le fumier. Tant pis pour ceux qui ne le voient pas." (Flaubert)
Bien-sûr, si vous avez abusé de votre pouvoir pour contraindre des victimes non consentantes, il faut qu'elles portent plainte et... dura lex, sed lex. Mais en attendant que la justice, si les faits sont avérés, vous soumette à sa loi, je voudrais formuler un vœu pieux à l'approche des fêtes de Noël : arrêtez votre cirque et continuez de nous émouvoir comme vous le fîtes par exemple au Cirque d'hiver en chantant Barbara. Merci.
"Je ne cherche pas à être un Saint. Je préfère être ce que je suis. Un innocent. Quelqu'un à qui les choses arrivent, qui laisse les choses lui arriver sans aucune préméditation. Quelqu'un qui traverse la beauté des choses et qui est traversé par la beauté des choses. Je suis quelqu'un qui se fie à la vie, aux autres, je ne suis pas quelqu'un qui se méfie. C'est là, en général, où tu te fais ratatiner la gueule mais ça ne fait rien. L'innocent, il est comme le chien errant, il sent les gens, il s'approche toujours, et s'il prend un coup de pied, c'est pas grave, il se barre, il va voir plus loin." (G. Depardieu)
Philippe Bresson
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I don’t think the death of anyone would affect any of them in any way cause that’s not something they’re responsible for. Dying young is also not what karma would serve. Falling victim to alcohol, however, is something I can see coming. The second coming of Gainsbarre
Karma is not necessarily about serving responsibilities. It's just about balancing out. And if his parents died in the next five years it would still be way too young for them.
I'm not even sure they would make the connection of addiction and personal responsibility. They'd find a way to blame it on someone else. Karma is just about balancing and it has a lot of balancing to do here.
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Can’t wait for Miss Verneuil’s daily posts at “le Gainsbarre” 🤢😭😂🫣🤷♀️
“As well as the house at 5 bis rue de Verneuil, a museum will open opposite with a bookshop and a cafe-piano bar called le Gainsbarre.”
“The Maison Gainsbourg website says it is the “first cultural institution dedicated to Serge Gainsbourg” and expects about 100,000 visitors a year. Within hours of the first house tour tickets going online they sold out.” I knew there cray people, but I didn’t know there were this many. Thank goodness at least this article mentioned some of his bad behavior since most just ignore that part and represent a clean image.
https://www.theguardian.com/music/2023/apr/08/serge-gainsbourg-house-to-open-to-public-paris-charlotte-gainsbourg
Bar or cafe photos would be less boring than her piano, at least.
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Bonjour à tous
Collectionneur et passionné de vhs depuis les années 90 j'en ai fait mon métier et vous pouvez me retrouver sous le nom de Librairie Melodie en Sous-Sol
Tous les films ont été testés avant d'être mis en vente et fonctionnent bien !
Pour un envoi vers international merci de me contacter avant svp
Un film de Serge Gainsbourg avec Charlotte Gainsbourg
Edition Proserpine 1988
Le boitier est 1 peu cassé
Charlotte for Ever est un film français réalisé par Serge Gainsbourg, sorti en 1986 qui traite du rapport entre un père alcoolique et une fille pubère de quinze ans dans une atmosphère sombre. Le film fit scandale à sa sortie pour le parallèle entre le scénario du film et la relation de Serge Gainsbourg et de sa fille Charlotte.
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instagram
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Portrait de Serge Gainsbourg Dessin au crayon - 42 x 29, 7 cm www.monautremonde.fr #monautremonde #dijon #bourgogne #burgundy #art #artiste #artist #oilpainting #oiloncanvas #artistedijon #artistepeintre #peinture #peinturehuile #peinturedijon #sergegainsbourg #serge #gainsbourg #gainsbarre https://www.instagram.com/p/CSw2jrgo_SX/?utm_medium=tumblr
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4 icônes mode et beauté inoubliables
Jane, Jackie, Audrey, Marilyn... Des prénoms de femmes pourtant si différentes, avec une chose en commun : toutes ont marqué l'histoire de la mode et de la presse people par leur beauté, leur élégance, parfois même leurs frasques. Retour sur quatre femmes propulsées au rang d'icône. Audrey Hepburn, l’élégance intemporelle Actrice mainte fois reconnue par la critique et icône mode incontestable des années 50, la belle Audrey se démarque par sa frange courte et son style, résolument chic. Rendue célèbre par ses nombreux rôles au cinéma, notamment pour Vacances romaines et Diamants sur canapé, c’est pourtant à une carrière de danseuse que la jeune Audrey se destinait. D’une silhouette élancée, presque androgyne, et très maigre, elle est à l’antipode des canons de beauté de l’époque qui privilégient les formes pulpeuses à l’égard de la célèbre Marylin Monroe. Pourtant, le film Sabrina la propulse en icône mode, dés lors, elle puise sa popularité de sa différence. Grande amie du créateur Hubert de Givenchy, elle sublime ses créations iconiques à l’écran comme à la vie. Tout naturellement, elle s’impose comme une dictatrice du bon goût, faisant de sa maigreur et de son élégance ses principales qualités, et créant son propre style, loin des dictats de la mode. Petites robes noires, lunettes de soleil, collier de perles et grands chapeaux, Audrey Hepburn a su faire de son authenticité une véritable force. Marylin Monroe, la sex-symbol incomprise Marylin Monroe étincellante dans sa robe satinée Très loin du style unique de la jolie Audrey, Marylin Monroe est la représentation de la pin-up des années 50. Petite, taille fine et courbes généreuses, elle se fait remarquer dans des petits rôles au cinéma avant de devenir le sex-symbol que l’on connaît. Véritable mythe, elle est plus connue pour ses amours tumultueux et ses nombreuses frasques que par son CV hollywoodien. Même si la belle Norma Jean Baker, de son vrai nom, décroche d’importants rôles comme dans Certains l’aime chaud en 1959, ce sont ses photos dénudées, sa chevelure blonde, son grain de beauté dessiné au crayon, sa robe soulevée par le vent au dessus d’une bouche d’aération ainsi que son fameux « Happy Birthday » et sa relation intime avec le président J.F.Kennedy qui construisent le mythe. Pourtant, vite enfermée dans le rôle de femme fatale qu’elle s’est créée mais qui ne lui ressemble pas, Marylin tombe en dépression. Elle se sent seule, réduite au stéréotype que son image lui renvoi et se perd dans l’alcool, les médicaments et les drogues. Cette triste descente aux enfers la conduira à sa perte, le 5 aout 1962. L’autopsie conclue à un suicide, bien que les circonstances de sa mort reste encore aujourd’hui mystérieuses. De sa mort est né un nouveau symbole. Celui d’une femme fragile, attachante, peut-être même incomprise. Mais plus que jamais, Marylin reste l’icône de beauté et de mode par excellence. Jane Birkin, la baby-doll des sixties Jane Birkin en tee-shirt en jean flare. Source : instagram Icône du style dans les années 60 et 70, Jane introduit avec désinvolture des looks innovants et révolutionne la mode à tout jamais. Elle lance même des tendances qui marqueront notre époque, notamment le combo tee-shirt, jean, baskets. A lire également : Portrait de Cyril LignacOn retiendra surtout de Jane, son idylle tumultueuse et passionnelle avec Serge Gainsbourg, dont elle fût la muse pendant douze ans. Ils se sont rencontrés sur le tournage du film Slogan en 1968, alors que Jane avait seulement 22 ans et un charmant accent britannique. De leur amour est née la petite Charlotte. Malheureusement, le couple mythique se sépare suite à de nombreuses frasques de Gainsbarre. Entre alcool et violence, Jane rompt définitivement avec Serge en 1980. Icône préférée des Parisiennes dans les années 70, Jane lance la mode de la frange effilée. Son style, composé des pièces phares vues sur les podiums, devient une référence en la matière. Robe en grosse maille transparente, panier en osier, top en coton, jean flare… Autant de basiques qu’elle revisite à sa manière, et qui lui permettent de devenir une véritable pionnière de la mode ! Jackie Kennedy, l’incarnation BCBG Jackie Kennedy descendant de l'avion a l'aeroport de New York ou elle va etre nommée pour sa contribution à la culture et aux arts du New York University's Institute of Fine Arts, 17 octobre 1962 Première dame américaine intemporelle, Jackie Kennedy, de son vrai nom Jacqueline Bouvier, demeure une icône de style et de grâce qui ne cesse d’inspirer des millions de femmes. Dés son arrivé à la Maison Blanche au côté du président John Fitzgerald Kennedy, Jackie bouleverse les codes vestimentaires traditionnels. Désireuse d’incarner la modernité, elle porte, sans jamais aucun faux-pas, des robes élégantes monochrome. Plus que les vêtements, le carré court bouffant qu’arbore Jackie devient très vite un accessoire de mode que de nombreuses femmes s’empresseront d’imiter. Presque aussi culte que la femme, personne n’oubliera le célèbre tailleur rose en maille bouclette qu’elle porte lorsque son mari se fait assassiner le 22 novembre 1963. Ce macabre tailleur apparaît d’ailleurs dans de nombreuses représentations de Jackie, notamment au cinéma. Tenues minimalistes, matières nobles, cheveux toujours bien coiffés, double rangée de perles autour du cou, Jackie s’est façonné un style unique. A la fois élégante et avant-gardiste, elle s’inspirait de l’élégance parisienne, sans toute fois trop en faire. Et vous, quelle est votre icône mode favorite ? Quelles femmes vous inspirent au quotidien ? Read the full article
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