#France Espoirs
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Italie - France Espoirs : Sur quelle chaine, les compos probables et les prédictions pour ce match
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ohlala cette délicieuse condamnation de Sarkozy est en train de me donner un fol espoir d'assister à une petite condamnation d'inéligibilité pour Marine Le Pen 😍
#reprendre espoir c'est dangereux en France mais bon#marine le pen#upthebaguette#french#bee tries to talk#nicolas sarkozy
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Chaque jour, le monde bruisse de heurts invisibles, ces collisions ordinaires qui déchirent les silences. Une parole de trop, un regard de travers, une main levée, un cœur fermé. Les rues résonnent des pas pressés de ceux qui fuient l'autre, de ceux qui ne s'entendent plus, ni en mots ni en âmes. Les murs de nos villes deviennent des témoins muets, impuissants face à la violence qui s'insinue, insidieuse, dans les esprits fatigués.
Pourtant, quelque part, entre deux silences, l'espoir demeure. Il se glisse dans un sourire échangé, dans un geste offert sans attendre. Il naît dans le murmure de ceux qui, malgré tout, croient encore que la douceur est possible. Qu'un jour, les barrières tomberont, que les voix s'accorderont, et que chacun pourra poser son fardeau pour marcher aux côtés de l'autre, non pas en ennemi, mais en frère. Alors, la violence s'éteindra, et nos différences seront des ponts plutôt que des armes.
Un jour, peut-être, le monde s'écoutera. Et dans le fracas des époques anciennes, s'élèvera une mélodie d'harmonie retrouvée.
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Besoin d’espoir et de nature.
#photo#picture#aesthetic#sky#french#landscape#travel#france#campagne#nature#fleur#fleurs#espoir#ciel
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#france family (whether they like it or not) AU ig#family can be siblings children or veryyyy distante relative or just they have too much history together#i dont wanna babyfy Espoir but i think im going to babyfy Espoir. unfortunately. tbf Espoir Kingdom is very young!#Frioul would ask France money as compensation (useless commotion!!!)#Elsàss spent most of her life around France and Prussia (among other german nations/kingdoms/stuffs) you wish she cared
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ClicnScores Côte d’Ivoire te procure des infos sur Thierry Henry
Thierry Henry devient le nouveau sélectionneur des Espoirs et de l'équipe de France olympique. Une publication complète sur cette actu est disponible sur ClicnScores Côte d’Ivoire. Connecte-toi à ce site pour en profiter.
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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Mais pourquoi tant de haine ?
Il ne sert à rien de ce cacher derrière son petit doigt et de se raconter des bobard en faisant semblant de les croire : la célèbre histoire de Titin de Martigues et de la sardine qui avait bouché l'entrée du port de Marseille a fait long feu. La dernière fois que je l'ai racontée en entier, je devais avoir 7 ou 8 ans ! Osons parler français (un des grands problèmes du moment !) et reconnaître qu'il existe, ici et là (ou, depuis peu, ici ET là !) une véritable haine de la France, par des ''français'' dont la définition approximative explique sans doute bien des choses...
Bref retour sur image : il estune question utile que tout le monde, pourtant, se refuse de poser honnêtement : ''Qu'est-ce qu'un français ?'', ou : ''Qui est français ?''. La réponse pourrait sembler multiple, puisqu'elle peut aller de souvenirs honteux timidement avancés par le côté droit de l'échiquier politique jusqu'aux hurlement d’orfraie poussés par principe par l'aile gauche du même éventail : quand les premiers murmurent et s'excusant des notions de culture, de maîtrise d'une langue, d'impression ''d'appartenir'' et d'identification avec un mode de vie... les autres trouvent suffisant d'arborer un bout de papier, fut-il frauduleusement obtenu à coup de mensonges et d'approximations. Il ne faut pas longtemps pour trancher entre qui respecte le sens des mots et qui en ignore le sens.
En fait, après quelque quinze siècles de construction d'une Nation (ce ''cocon'' qui est ou devrait être ''un combat permanent''), on retombe toujours sur Ernest Renan qui, le 11 mars 1882, prononça à la Sorbonne une conférence sur l’idée de Nation... Trente pages qui servent toujours de référence. La France, d'après Renan, n'est pas une race, mais c'est une langue, une religion, une culture, une communauté de géographie, d'histoire, de souvenirs et d’intérêts. C'est une âme, un principe spirituel, un consentement, un désir de vivre ensemble et –la formule est restée célèbre--, ''un plébiscite de tous les jours''.
Il est évident que les glissements sémantiques qui servent actuellement de non-arguments à une Gauche qui a elle-même perdu son âme (si elle en a eu une, puisque tous ses efforts s'épuisent à refuser d'en avoir une et à faire croire qu'elle n'existe pas), pèsent peu de poids devant la lourde démonstration de Renan, et la cause devrait âtre tranchée : après ce chef d’œuvre, nul besoin de perdre sont temps à nommer un ou plusieurs ''Comités Théodule'' pour plancher sur ce sujet. Sans souci de ses origines, un français ''de papier'' (d'ailleurs souvent de très mauvais gré ou par le hasard d'un lieu de naissance) ne saurait être comparé, sur aucun point, à un ''citoyen français'' dans la pleine richesse de ce que ce terme véhicule de beau, de grand, mais aussi de complexe. La cause devrait être entendue et les faux arguments, rejetés.... ce qui résoudrait ce problème qui taraude et détruit notre pays.
Contre les mensonges proférés à longueur d'année par les europhiles bruxellois, l'européen de ce XXI ème siècle nage en réalité dans un désespoir permanent, sans cap, sans boussole, et ayant perdu son histoire et ses origines. L'Homo festivus (le mot est de Philippe Murray) des années '60 a été remplacé, sans vraiment le vouloir, par un ''Homo desperatus'' à qui des faux guides mal intentionnés font croire qu'il a une chance de trouver une guérison dans des idéologies mortifères ou des lois ''sociétales'', toutes contre nature, dans sa propre déconstruction, dans le rejet de ''soi'', dans l'auto-dénigrement de tout ce qu'il a été, dans le rejet et la haine de ce qu'il est, de ce qu'il rêve (encore) d'être, et dans la négation de tout ce qu'il a aimé... et aime encore, sans oser le dire. Et et face... Rien ! Le néant absolu, le vide glacé d'un monde-à-venir sans réponses, sans solutions, sans espoir...
En refusant de lui reconnaître non seulement une existence –comme les autres animaux-- mais aussi une essence –comme un ''animal bien à part'', les idéologies de la déconstruction privent l'homme de toute possibilité de salut, de réalisation et, répétons-le, d'espoir, c'est-à-dire de redevenir pleinement humain –au sens où notre civilisation dite judéo-chrétienne avait réussi à l'élever... Le monde actuel ne nous permettra bientôt plus que de rêver à des fausses richesses intermédiaires : les plaisirs éventés, les jeux de hasard pipé, des réussites matérielles convenues, ou... des jeux olympiques ! ''Panem et circenses'', en trois mots.
Le libéralisme, le modernisme et le progressisme ont entraîné un basculement majeur dans la pensée éthique de notre civilisation, qui s'est ainsi trouvée dépossédée de ses protections. Une des conséquences de ce pas de côté est une tentation de détestation de l'humanité, ''...puisqu'elle m'a déçu'' ! En réalité, nous vivons sur une nouvelle forme d'éthique : une éthique sans ''ethos'', donc sans lien avec nous-même ! Une liberté frelatée et changeante devient seul arbitre du Bien et du Mal, qui n'ont plus de définition universelle mais sont ramenées à ''notre bon vouloir de l'instant'' : l'homme, ''libéré'' (sic !) de toute morale, deviendrait ainsi la source unique de sa propre vérité, rebaptisée ''LA'' Vérité, elle aussi libérée (tu parles !) de toute influence normative ou de tout héritage civilisationnel... ce qui revient à dire : privée de murs porteurs.
A l'échelon de la Cité, cela a vite fait de devenir la disparition de toute responsabilité du politique envers les citoyens. Nous l'avons enduré avec l'absurde ''Quoi qu'il en coûte'' macronien, qui nous a plongés dans un gouffre dont nous sortons mutilés à jamais, car s'il n'existe plus de ''mètre étalon'' des vertus cardinales (Prudence, Tempérance, Force d'âme, Justice), la Loi perd son ''L'' majuscule. Au nom de cette fausse liberté (assimilée à un devoir d'obéissance aveugle à toutes les injonctions du Pouvoir en place), je peux donc faire ou dire ce qui me plaît, à chaque instant : je vais m'inventer de ''nouveaux Droits'', fonctions de mon bon plaisir du moment, et tant pis s'ils entrent frontalement en contradiction avec les autres ''Droits'' et les grands principes : je suis libre, non ? (re-''tu parles'', bis !). Et d'ailleurs, si ''tout se vaut'' et si ''tout est construction'', tout peut se transformer, et on peut recréer l'homme... un homme prétendu ''nouveau'' --bien entendu sur le cadavre de son prédécesseur, volontairement détruit pour permettre cette monstruosité !
La potion est dure à avaler : un immense dispositif dévastateur a été mis en place (NDLR : Par qui ? C'est une autre question qu'il faudra bien regarder en face, un jour) pour créer une alternative-leurre à la Vérité –qui est et ne peut être qu'une, non négociable, intangible et indiscutable--, et le piège a failli se refermer. Il semble cependant que, partout, d'immenses vagues se dressent et qu'apparaît enfin une première chance de balayer l'affreux édifice de mensonges que nous avons laissé ériger entre nous... et nous ! Au fond, cette crise de haine contre nous-mêmes pourrait n'être qu'une mode qui ira se noyer dans l'océan des mauvaises idées à oublier au plus vite !
H-Cl.
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en octobre, le vert est le contraire du froid ; un statut qui s’affirme à cor et à cri aux yeux des incrédules, un contraire franc, limpide, presque coupant au bords des hasards ; il réchauffe le regard et cette belle illusion fait croire à des jours meilleurs ; un chuchotement d’été, le balbutiement de son retour, qui pourrait lever des lumières entières, rétablir des forêts, redéployer des pétales ; un espoir comme un refrain qui brule la langue nouvelle des arbres fait de chutes et de vides ; les langues qui s’y sont attardées ont éteint les feux des départs
© Pierre Cressant
(mercredi 5 octobre 2022)
#poésie en prose#poésie#poètes sur tumblr#poème#poème en prose#prose poétique#poètes français#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#théâtre des saisons#la fin#final#fin#vert#pouvoir des couleurs#automne#octobre
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OFFICIEL : La liste de l'équipe de France Espoirs de Gérald Baticle dévoilée, avec Enzo Millot et Quentin Merlin
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J'avoue que je m'attendais pas à ce genre de poster enfin bref. Je trouve ça assez ironique que Claudia soit à côté de Leola (j'ai lu le wiki par curiosité donc je sais plus ou moins ce qu'elle a fait mais je dirais rien pour l'instant. Et aussi à gauche, on peut voir une licorne et apparemment dans Puzzle House, elle a a pu trouver une corne de licorne là bas (j'ai pas lu le roman graphique car il est pas vendu en france donc corrigez moi si je me trompe). Par contre les autres constellations, j'arrive pas trop à bien voir. Sinon on voit aussi le reflet d'Aaravos qui pourrait signifier qu'il aura pas fini avec elle. Ou bien plus dans le sens symbolique, celui qui a "indirectement" tué son père ! Quand au regard de Claudia, elle a l'air triste mais aussi résignée. Viren était sûrement la chose qui lui gardait espoir et maintenant qu'il est plus là, je pense qu'elle pourrait se résigner à son sort à moins qu'Aaravos la manipule pour rediriger son ressenti envers Callum et les autres.
I admit I wasn't expecting this kind of poster, but anyway. I find it quite ironic that Claudia is next to Leola (I read the wiki out of curiosity so I know more or less what she did but I won't say anything for now. And also on the left, you can see a unicorn and apparently in Puzzle House, she was able to find a unicorn horn there (I haven't read the graphic novel because it's not sold in France so correct me if I'm wrong). On the other hand, I can't quite make out the other constellations. You can also see Aaravos' reflection, which could mean that he's not finished with her yet. Or in a more symbolic sense, the one who "indirectly" killed her father! As for Claudia's gaze, she looks sad but also resigned. Viren was surely the thing that kept her hope alive, and now that he's gone, I think she might be resigned to her fate, unless Aaravos manipulates her to redirect her resentment towards Callum and the others.
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Hymne a la beauté du monde - Isabelle Boulay
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Randonnée du côté du Lac Laramon, joyau des Hautes Alpes (sud France)
Le vent a emporté tous les morceaux de nuages. Reste ce bleu qui tremble comme une musique de mots sonores qui claquent, réveillent et rhabillent de joie notre misère. Je reste interdite, fascinée par cette danse du vivant...la peau vibre au plus sensible de ses frôlements...Le miracle de vivre trouve ici son chemin, un appel de l'infini qui fulgure dessinant ces espoirs qui nous tiennent debout...
#au-jardin-de-mon-coeur#Lac Laramon#photo Web
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J’ai eu contre moi, avec constance et sans explications, les évêques français. Je n’ai jamais su l’origine de l’ostracisme dont j’étais frappé. J’ai souvent été la cible des autorités religieuses catholiques, et autres, mais c’est aux attaques catholiques que j’ai été le plus sensible, sans pour autant me sentir coupable. Je pense donc que la responsabilité du conflit leur incombe. Mais deux personnalités à part, et majeures, émergent : Mgr Lefebvre et Dom Gérard. J’ai connu Mgr Lefebvre au Quartier Latin il y a… très, très longtemps. Avec Dom Gérard, j’ai eu une relation cordiale, et même affectueuse. Ces résistances catholiques nationales sont à souligner. Elles sont les seuls espoirs de redressement. Je parlais de l’affaissement de la religion catholique, on pourrait dire : écroulement. Bruno Gollnisch me disait récemment que dans les Yvelines où il habite, il y a un prêtre pour douze paroisses. Cette défaillance des clercs est d’une gravité terrible. La régression de la civilisation chrétienne a des conséquences politiques. Qu’espérer ? Il me semble qu’il n’y aura pas de redressement politique en France sans redressement religieux, car la vie publique est liée à la vie spirituelle. Dès lors qu’on voit triompher d’un côté le matérialisme, de l’autre l’immigration massive de gens de mœurs et de religion différentes – et hostiles, il est difficile de le nier… […]
Jean-Marie Le Pen
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La mort de Baudouin IV de Jérusalem et ses derniers souhaits à Aliénor de Tripoli.
Le crépuscule colorait de teintes chaudes les murs de la chambre royale du palais de Jérusalem. La lueur dansante des bougies éclairait le visage pâle et marqué par la maladie de Baudouin IV, roi de Jérusalem. Allongé sur son lit de mort, il sentait que ses forces le quittaient peu à peu, emportées par la lèpre qui le rongeait depuis son adolescence.
À ses côtés se tenait Aliénor de Tripoli, la jeune femme dont le cœur battait en harmonie avec le sien. Le regard empli de tristesse, Baudouin prit la main d'Aliénor et la pressa doucement.
"Aliénor, ma chère Aliénor...", murmura-t-il d'une voix faible mais empreinte de détermination.
Le regard d'Aliénor se voila de larmes en voyant l'état de santé déclinant de son roi bien-aimé. Elle se pencha vers lui et prit doucement sa main dans la sienne.
"Mon roi, mon amour... ne me dis pas adieu, je t'en prie. Tu vas guérir, je le sais", balbutia-t-elle avec espoir, malgré le poids de la réalité qui pesait sur eux.
Baudouin secoua tristement la tête. "Non, Aliénor. Mon temps est venu, je le sens. Ma maladie est trop avancée pour que je puisse continuer à gouverner ce royaume. Et je sais que lorsque je partirai, Jérusalem tombera."
Les larmes coulaient à présent des yeux d'Aliénor, réalisant l'ampleur de la responsabilité qui pesait sur ses frêles épaules. Baudouin serra un peu plus sa main dans la sienne et plongea son regard chargé d'émotion dans celui d'Aliénor.
"Je t'en supplie, Aliénor. En mon nom, en mémoire de notre amour, quitte Jérusalem. Retourne en France, où tu as de la famille et des amis qui veilleront sur toi. Ne reste pas pour assister à ma chute, ni pour risquer ta vie. Je ne pourrais supporter de te perdre."
Les sanglots étouffés d'Aliénor emplissaient la pièce silencieuse, alors qu'elle prenait conscience de la dure réalité de la situation. Elle serra la main de Baudouin contre sa poitrine, sentant son cœur se briser en mille morceaux.
"Mais mon roi, mon amour, je ne peux pas te laisser seul dans tes derniers instants. Je resterai à tes côtés, pour apaiser ta douleur, pour honorer notre amour jusqu'à la fin des temps."
Baudouin ferma les yeux, les larmes coulant librement sur ses joues. Il savait qu'Aliénor était la lumière de sa vie, la seule qui avait su le comprendre et l'accepter malgré sa maladie. Il lui offrit un dernier sourire empreint de tendresse et de gratitude.
"Je t'aime, Aliénor. Que ton souvenir illumine les ténèbres qui m'attendent. Et que jamais je ne cesserai de t'aimer, même au-delà de la mort."
Les deux amants s'enlacèrent alors dans une étreinte aussi déchirante que bouleversante, savourant chaque instant qui leur restait à partager, dans la douleur de l'adieu et la beauté de leur amour éternel.
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J'ai été taggé par @valhdia la boss pour partager les 9 films qui m'ont le plus marqué cette année et c'est DUR
Pour le contexte : c'est la première année que je regarde BEAUCOUP de films avec 83 films dont 59 sortis cette année. J'ai raconté beaucoup de bêtises sur Letterboxd (https://boxd.it/885pf) mais du coup
-Robot sauvage : J'y suis allé sans grand espoir, un peu déçu par Pixar et la vie. Bah ça va mieux einh. Ou plutôt ça va pas mais tant mieux. Flow a presque pris sa place mais m'a moins mené aux larmes.
-Blade Runner : un classique que je devais voir depuis longtemps, une façon de pardonner à Scott son Gladiator II, une leçon de Anti-Heros. La version de Villeneuve est chouette aussi mais m'a moins transportée.
-La Reine Margot : je dirai pas que c'est un bon film, mais l'attachement à l'histoire dans le sens le plus narratif et dramatique qui soit est passionnant. Ça sent fort la France mais pas que du mauvais côté.
-Knit's Island : la déclaration d'amour au jeu vidéo transcendante, la plus belle réalisation à faire sur le pouvoir d'internet et sur les luttes personnelles pendant le Covid.
-12 angry men : je l'avais laissé traîner trop longtemps et il m'a donné une leçon comme peu de profs savent le faire.
-Il reste encore demain: une merveille critiquable mais le fait que ce soit son premier film me sidère. Il s'est battu avec les Racines du Figuier sauvage pour être ici.
-Le portrait de la jeune fille en feu : c'est pas à Tumblr que je vais apprendre que c'est un CHEF D'ŒUVRE mais rarement film m'aura autant bouleversé en un instant. Enfin 1h30 mais vous voyez.
-Green Border : pour moi le meilleur film sorti cette année. D'une violence froide et humaine juste prête à allumer le feu de la révolte.
- The Iron Claw : Peut être pas le plus gros choc esthétique de l'année mais des jeux d'acteurs merveilleux et je suis si ravi de voir le catch représenté de façon intelligente et respectueuse.
Je tag qui le veut évidemment.
#wild robot#iron claw#there's still tomorrow#green border#queen margot#12 angry men#knit's island#blade runner#portrait of a lady on fire
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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